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On en parle : Panique au CMA de Pissy :

Publié le lundi 2 février 2009 à 02h02min

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A travers cet écrit, un membre du personnel du Centre médical avec antenne chirurgicale (CMA) de Pissy interpelle les autorités communales sur l’insécurité notoire qui règne dans cette structure.

"Nous sommes bien au premier centre de référence sanitaire de l’arrondissement de Boulmiougou. En effet, en tant que Centre médical avec antenne chirurgicale (CMA), il s’étend jusqu’aux communes rurales de Komsilga, Tanghin Dassouri et Komki Ipala. Cette structure a donc en charge la santé de toute la population vivant dans son ressort territorial et bien au-delà. Malheureusement, en plus des difficultés d’ordre institutionnel, matériel, humain et financier récurrentes dans nos centres médicaux, voilà que s’ajoute le grave problème d’insécurité dans le sens propre du terme. Ces derniers temps, l’insécurité va grandissante parce que les mesures élémentaires de sécurité ne sont pas respectées, en l’occurrence la présence de gardiens et de vigiles dans l’enceinte du CMA, et cela depuis bientôt deux mois. Les faits parlent d’eux-mêmes. D’abord, courant décembre 2008 et janvier 2009, un braquage s’est opéré dans l’enceinte de l’hôpital et aux alentours où argent, motos et portables ont été retirés aux personnels, usagers et passants. Dans la même période, deux motos ont été emportées du parking de l’hôpital. Ensuite, à la maternité, des accouchées ont été à deux reprises agressées et dépossédées de leur argent et portables.

Le 11 janvier 2009, le gardien qui assurait la sécurité d’un nouveau chantier a été ligoté, attaqué à la gorge par des malfrats qui se sont enfuis avec la quasi-totalité du matériel de construction. En plus de l’absence des hommes de sécurité, le centre souffre de l’état délabré des ouvertures (fenêtres et battants) et du mauvais éclairage, toutes choses qui font de l’hôpital un lieu d’insécurité. Face à cette situation dramatique, des démarches ont été entreprises pour informer le premier responsable de l’arrondissement mais elles se sont avérées infructueuses. Une autre demande d’audience adressée depuis deux semaines au maire central par les premiers responsables du centre est toujours en suspens.

Les malfrats eux, continuent d’opérer, créant ainsi la psychose aussi bien chez le personnel soignant, d’appui, que chez les patients et leurs accompagnateurs. On se demande finalement ce que vaudront les soins si l’intégrité physique de tous est menacée ? Car, aussi bien le personnel que les patients et leurs accompagnateurs, nul n’est à l’abri de cette insécurité. Si personne ne semble s’émouvoir face à cette situation, comment voulez-vous que l’équipe médicale puisse exercer convenablement son travail, elle qui a déjà le moral au talon ? Ce cri interpelle le pouvoir public afin qu’une solution diligente et idoine soit trouvée pour assainir la situation, autrement, le coup de gueule pourrait se transformer en coup d’arrêt de travail indépendamment du personnel."


Les bouchers du Kadiogo suspendent leur grève

Les bouchers du Kadiogo devaient observer dès demain 31 janvier une grève. Cette démarche tend à amener les autorités à satisfaire leurs doléances qui sont entre autres la décentralisation des aires d’abattage, la révision des taxes d’abattage jugées élevées. Par deux fois, la coalition des associations des bouchers du Kadiogo a été reçue par le ministre en charge du Commerce pour des échanges. Déterminés qu’ils étaient à se faire entendre et aussi pour assurer une bonne qualité de viande aux consommateurs , les bouchers du Kadiogo ont pourtant accepté de suspendre leur mot d’ordre. Cette suspension est due aux promesses du ministre en charge du Commerce, apprend-on, de travailler à apporter des réponses adéquates aux doléances des bouchers et ce par le canal du gouvernement. La coalition se donne jusqu’en début mars 2009 pour aller en grève si rien n’est fait.


Bobo : un accident fait au moins un mort et de nombreux blessés

Un car S.T.I.F en provenance d’Abidjan et un camion-citerne sont entrés en collision au petit matin du jeudi 29 janvier 2009 à Bobo Dioulasso. L’accident s’est produit vers 4 h du matin au carrefour jouxtant le mur de la BCEAO Bobo. De sources policières, il a fait un mort sur place et de nombreux blessés. Certains blessés ont été grièvement touchés, selon Modibo Coulibaly, commissaire central de police de Bobo, qui s’est rendu sur les lieux du drame avec des éléments de la section accident de son commissariat. Le train avant du car accidenté a été totalement démoli, et il a fallu une grue pour l’extraire du champ de l’accident. La citerne, qui partait tout comme le car, à Ouaga, après avoir déchargé son contenu, n’a pas subi grand dommage. Son chauffeur non plus n’a pas été touché. Ce n’est pas le cas de celui du car qui fait partie des blessés.

Au Centre hospitalier universitaire Sourou Sanou (CHUSS), où les blessés ont été évacués, rien ne filtre comme information. Au service des urgences de l’hôpital, il est demandé aux journalistes un document autorisant les agents à livrer à la presse les informations. La direction générale a délivré au représentant du journal "Le Pays" à Bobo, un papillon signé où est mentionné en manuscrit ceci : « Service Urgence. OK pour le Bilan de l’accident. Nombre de blessés, nombre de décès ». Mais cette autorisation de la DG sera rejetée avec la dernière énergie par un agent du service, qui exige un document en bonne et due forme, cacheté. Ainsi, nous ne saurons pas exactement le nombre des blessés, ou s’il y a eu un ou des morts à l’hôpital, suite à l’accident. C’est ça aussi les réalités vécues par la presse dans son travail.


Aéroport de Dakar : des voleurs de tampons aussi

Des membres de la délégation du FESPACO partie à Dakar le 20 janvier 2009 pour le lancement de la campagne internationale de la 21e édition du FESPACO, se sont vu délestés de certains de leurs biens à l’aéroport international Léopold Sédar Senghor de Dakar. A l’arrivée, il leur a fallu attendre une vingtaine, voire une trentaine de minutes pour entrer en possession de leurs valises et autres bagages. Et quelle ne fut la surprise de certains de voir que leurs paquets ont été forcés. Au nombre des objets volés, des tampons pour femme que leur propriétaire avait pourtant pris le soin de bien emballer. A quoi le voleur a-t-il pensé en prenant l’emballage ? Difficile de répondre à cette question. On ne peut qu’imaginer sa rage quand il aura découvert le contenu du paquet. Et que dire du carton de viande de biche fumée qui a été vidé de la moitié de son contenu ? Là au moins, on peut affirmer que le voleur a fait une bonne affaire au détriment de celui à qui était destiné l’emballage puisqu’en fait, il s’agissait d’une commission. C’est dire que l’insécurité est une réalité dans certains aéroports.


Somiaga : un litige foncier à la justice

Le 5 février prochain, Ousseini Zorom, agro-pasteur à Somiaga, dans le département de Ouahigouya, a été convoqué à comparaître devant la chambre civile de la Cour d’appel de Ouagadougou. Cela, à la requête de B.S., cultivateur demeurant également à Somiaga. Ousseini Zorom, dans une note d’information qu’il a adressée au président de la Chambre d’agriculture du Nord, a donné sa version des faits. Il dit être l’objet de harcèlement dans le but de se voir retirer son lieu de production agricole, d’élevage et de plantation d’arbres de 27 ha aménagés. "Cela fait 30 ans que j’ai mis en valeur ce terrain qui était dur et très désertique, écrit-il. A ce jour, il est reverdi et j’ai pratiqué le zaï, les diguettes et toutes sortes de formes de récupération des sols". Un premier procès a eu lieu à Ouahigouya et M. Zorom dit l’avoir gagné. Mais ses adversaires ont décidé de faire appel devant la Cour d’appel de Ouagadougou. Espérons seulement que la justice sera dite et que surtout la quiétude reviendra autour de ce terrain litigieux.


Hôpital Yalgado : le scanner à nouveau fonctionnel

Dans le mot ci-dessous, adressé au DG des Editions "Le Pays", le DG de l’hôpital Yalgado, le Dr Lansandé Bangagne, indique que le scanner a été remis en état de marche.

"Monsieur le Directeur général, suite à la parution de votre écrit relatif à la panne du scanner dans les colonnes de votre organe, n°4235 du 31 octobre au 02 novembre 2008, nous venons par la présente porter à la connaissance des usagers que le scanner a été réparé et remis en état de fonctionnement normal. Nous remercions votre organe pour sa grande contribution à la résolution de cette panne qui aura duré plusieurs mois et causé des désagréments à bon nombre de nos patients. Avoir des examens de haute qualité et à moindre coût, est redevenu possible pour les usagers qui n’en trouveront pas mieux ailleurs. Dans l’espoir d’une suite favorable, veuillez recevoir, Monsieur le directeur, l’expression de mes distinguées salutations."


Les actions visibles ou cachées de Simon Compaoré

Qu’est-ce que le maire de la commune de Ouagadougou et son équipe ont réalisé pour les citadins depuis 1995 ? La réponse à cette interrogation sera donnée par le biais de la 2e édition des journées-bilan de l’action municipale. Organisée par le conseil municipal, cette manifestation dont le lancement aura lieu en principe, le lundi 2 février prochain à 8 h, est placée sous la présidence du ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation. Ainsi, du 2 au 8 février 2009 où la ville de Ouaga s’exposera à la Maison du peuple, les populations, en plus des actions visibles posées par Simon Compoaré, devraient découvrir bien d’autres facettes cachées des oeuvres réalisées à leur profit.


Des passagers clandestins sur la route Ouagadougou - Ouahigouya ?

Sur l’axe Ouagadougou-Ouahigouya, certains passagers voyagent pratiquement comme des clandestins. Sans payer le prix qu’il faut, ils voyagent avec les compagnies qui empruntent le tronçon. Ces passagers de la ’’vie chère’’ prennent le bus en chemin et paient leur soi-disant droit de transport dans le car, sans toutefois prendre de ticket de voyage qui n’est pas délivré en cours de route, sauf s’il est payé à la gare. Ainsi, certains disent aller à Boussé (50 km de Ouaga) ou à Arbollé (85 km de Ouaga), alors qu’en réalité, ils vont à Yako (109 km de Ouaga) ou à Gourcy (136 Km de Ouaga) voire même à Ouahihouya (181 km de Ouaga).


Eglise-Famille de Dieu : solidarité avec les malades

Depuis 1992, le Pape Jean Paul II a institué une journée mondiale du malade le 11 février de chaque année, à l’occasion de la fête de Notre Dame de Lourdes. C’est dans cette dynamique que l’Eglise-Famille de Dieu de Ouagadougou organise du 8 au 14 février, au bénéfice des malades, une semaine de solidarité. Ces activités ont pour objectif d’une part de manifester l’amitié, l’affection et le soutien fraternel de toute la société aux malades, et d’autre part de sensibiliser un tant soit peu toute la famille humaine à une meilleure prise en charge de ses membres qui connaissent la saison de la maladie. Ci-joint, le programme de la semaine.

- 8/02/2009 à 16h00 : Conférences d’ouverture Dans la salle de conférence de la paroisse Saint Camille avec M. Ab. Bernard Désiré YANOGO

- 09/02/2009 au CMA Paul VI Visite aux malades hospitalisés : à 12h . Messe présidée par le curé de la paroisse Kolgh-naaba : à 17h 30

- 10/02/2009 au CMA du Secteur 30 Visite aux malades hospitalisés : à 12h . Messe présidée par le Curé de la paroisse Saint François d’Assise : à 17h 30

- 11/ 02/2009 à L’hôpital Charles De Gaulle

. Visite aux malades hospitalisés, : à 12 h . Messe présidée par le curé de la paroisse Saint Camille : à 17h 30

- 12/02/2009 au CMA de Pissy . Visite aux malades hospitalisés : à 12h . Messe présidée par le Curé de la paroisse Christ-Roi de Pissy : à 17h 30

- 13/02/2009 au CMA de Kossodo . Visite aux malades hospitalisés : à 12h . Messe présidée par le curé de paroisse Saint Guillaume de Tangê : 17h 30

- 14/02/2009 à l’Hôpital Yalgado . Visite aux malades hospitalisés : à 12h . Messe de clôture présidée par Mgr l’Archevêque à 18h 00

Hydrogéologie : le Dr Suzanne Yaméogo planche sur le cas de Ouaga


Suzanne Yaméogo/Ouandaogo a été élevée au grade de docteur en sciences de la terre, de l’université d’Avignon et des Pays de Vaucluse, avec pour spécialité hydrogéologie. Ses honneurs, elle les doit à sa thèse, un document de 248 pages, intitulée "Ressources en eau souterraine du centre urbain de Ouagadougou au Burkina Faso : qualité et vulnérabilité". L’avis favorable du jury a été décerné en raison de la qualité du travail accompli par Mme Yaméogo, mais aussi de la pertinence du sujet évoqué. Un sujet qui entre d’ailleurs dans la thématique développée par le programme hydrologique internationale. D’où la nécessité de protéger les aquifères des centres urbains, car leur pollution est très souvent cause de nombreux problèmes sanitaires. Cette oeuvre ne devrait donc pas dormir dans les rayons d’une bibliothèque, mais permettre de renforcer l’efficacité des projets et programmes liés à l’eau.


Situation en Palestine : le cri du coeur des associations de jeunesse

L’Association jeunesse unie pour un futur meilleur (AJUFM) et l’Union des jeunes de la CEN/SAD, ne sont pas contentes de la situation du peuple palestinien à Gaza. Et elles l’ont exprimé à travers un meeting organisé à la Maison du peuple, ces derniers jours. Les jeunes ont d’abord déploré la guerre déclenchée en décembre dernier par Israël et qui a fait plus de 1000 morts, détruisant les installations économiques et sociales des universités et des mosquées, ainsi que des bâtiments de l’ONU. Rappelant que Israël n’a jamais appliqué une seule résolution de l’Organisation onusienne, les associations de jeunesse ont dénoncé la politique de la force pratiquée à l’égard des Palestiniens. Elles ont également mis le doigt sur l’attitude passive de la communauté internationale devant ce qu’elles qualifient de "massacre programmé". C’est pourquoi les deux associations ont appelé toutes les organisations démocratiques du Burkina et tous les partisans de la paix, à manifester leur solidarité avec le peuple palestinien. Elles ont également souligné l’importance de repenser les relations internationales pour garantir la paix et la justice dans le monde.


Le Burkina présent à la finale de la CAN juniors

La CAN juniors 2009 qui se déroule au Rwanda va connaître son épilogue ce week-end. La finale opposera le Ghana au Cameroun. Si les juniors burkinabè y sont absents, notre pays sera par contre représenté par l’arbitre, Adama Paré. Il a déjà fait bonne impression lors des matches de poule en tant que juge assistant. Cette performance lui a valu d’être désigné comme premier juge assistant de cette finale. Avec lui , un autre Burkinabè, le colonel-major, Docteur Francis Liliou. Il y est dans le cadre des tests anti-dopage.


Kokologho en ébullition ce week-end

Ce samedi 31 janvier, le canton de Kokologho , dans le Boulkiemdé, va vivre une ambiance particulière. En effet, il s’y déroulera, toute la journée, le "Nabasga" ou le "Naab-ranm" du chef . Cette fête traditionnelle annuelle mobilise du monde et permet aussi aux fils de la région de communier avec la population du canton.


Province du Tuy : 3 postes de préfet vacants depuis 4 mois

Les départements de Houndé, de Koumbia et de Béréba dans le Tuy sont sans préfets et ce, depuis le vaste mouvement des préfets du 4 août 2008 pour Houndé et octobre pour Béréba et Koumbia qui ont vu leurs préfets admis aux concours professionnels. Pour sauver les meubles, c’est le préfet de Boni qui assure l’intérim à Houndé et Koumbia pendant que celui de Bekuy gère les instances de Béréba. Le moins que l’on puisse dire, c’est que dans ces trois départements, les usagers éprouvent d’énormes difficultés, qui pour se faire signer un document, qui pour demander une autorisation d’absence. Le comble est que les locaux sont souvent fermés, faute de présence humaine. Il est donc impératif pour le MATD (Ministère de l’Administration territoriale et de la décentralisation) de trouver des solutions à ces postes vacants.


Les arts scolaires en fête dans le Bazèga

Cette année encore, Bienvenu Théatre du Bazèga rebelotte, avec l’organisation de la 3e édition du prix des arts scolaires dans le Bazèga. La phase préparatoire de présélection, qui a débuté en décembre 2008, se poursuivra jusqu’en février dans les 3 communes concernées que sont Toecé, Saponé et Gaongo. Cette édition est placée sous le thème "Décentralisation et jeunesse participative" et permettra aux scolaires de s’exprimer dans 3 disciplines : théâtre, danse traditionnelle et dessin-peinture. La finale est prévue pour se dérouler le 12 mars 2009 à Kombissiri.


Le MESSRS et le SYNADEC se rencontrent

La crise à l’université de Ouagadougou a cristallisé l’attention depuis un certain temps. Les étudiants qui attendent toujours leurs notes de composition ne savent toujours pas à quelle sauce ils seront mangés et surtout à quelle date, ils reprendront le chemin de l’université pour l’année universitaire 2008-2009. Mais, des signes semblent indiquer qu’on va vers la fin du bras de fer qui oppose les enseignants à travers le SYNADEC (Syndicat national autonome des enseignants chercheurs) et les responsables en charge de l’enseignement supérieur et de la recherche. Le SYNADEC et le ministère des Enseignements secondaire, supérieur et de la recherche scientifique devraient d’ailleurs se rencontrer ce vendredi 30 janvier 2009 pour un échange de documents toujours dans le cadre de l’orientation des négociations.


Des documents des Nations Unies en langues nationales

Le secrétaire général adjoint de l’ONU chargé de la communication et de l’information procédera le 3 février 2009 à 17h à une remise de documents des Nations Unies à des ONG, associations et médias locaux. Ces documents sont traduits en langues nationales burkinabè. La cérémonie se déroulera au Centre d’information des Nations Unies à Ouagadougou.


Rencontre entre le ministre de l’Economie et les comptables

Une rencontre entre le ministre de l’Economie et des finances et les comptables publics aura lieu le samedi 31 janvier 2009 à 9h dans la salle de conférences de la Caisse générale de péréquation (CGP).


AG constitutive de bureau du marché du secteur 15

La cellule du marché du secteur 15 de Ouagadougou tiendra une assemblée générale constitutive le samedi 31 janvier 2009 pour la mise en place de son bureau. Elle est prévue pour débuter à 16 h sur la place du marché.


Miss Pog-bedré : c’est pour ce samedi

La femme la plus forte et la plus belle du Burkina sera connue demain soir, 31 janvier 2009. La 6e édition de Miss Poog Beedré se déroulera ce jour-là à partir de 20h au CENASA sous le patronage du ministre de la Promotion de la Femme, Céline Yoda.

Le Pays

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