Cet état de fait serait lié à un différend financier entre la société et l’Etat burkinabè qui n’aurait pas honoré ses engagements et reste redevable d’un montant de plusieurs milliards de FCFA.

Ce problème n’est pas nouveau, car, en septembre dernier, SATOM avait menacé d’arrêter les constructions, car elle n’avait reçu aucun kopeck du financement prévu.

A l’époque, le nouveau ministre des Infrastructures et du Désenclavement, Seydou Kaboré, avait rassuré l’entreprise qu’elle recevra son dû très bientôt. La promesse ministérielle ne semble pas avoir été respectée, et l’entreprise observe un arrêt momentané des travaux en attendant d’entrer dans ses fonds.

L’Observateur Paalga