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Une Lettre pour Laye : Quelque 70 morts ; c’est le triste bilan de cette hécatombe dont la ville de Boromo vient, en effet, d’être le théâtre.

Publié le jeudi 20 novembre 2008 à 23h05min

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En dépit de l’excédent céréalier enregistré en cette saison agricole, et de l’abondance qui se profile à l’horizon, les vautours commencent à voler bas sous le ciel du Faso, où les drames se succèdent à une cadence effrayante.

Après donc les sites aurifères qui se sont gavés de mineurs en quête du métal jaune dans les profondeurs des régions du Sud-Ouest et du Mouhoun, ne voilà-t-il pas que la route, elle aussi, s’est invitée à cette bourse macabre ! Dernier acte, cette collision entre un car et un camion, qui endeuilla le « Pays des hommes intègres » ce samedi 15 novembre de l’année de disgrâce 2008. Quelque 70 morts ; c’est le triste bilan de cette hécatombe dont la ville de Boromo vient, en effet, d’être le théâtre.

Mais inutile de revenir sur les circonstances de cette mémorable catastrophe, puisqu’il aura fait l’actualité tant nationale qu’internationale de la semaine qui s’achève. Néanmoins, cher cousin, nous n’attendrons pas que sèchent les larmes des parents des victimes pour leur présenter nos condoléances et, aussi, inviter aussi bien les usagers de la route que les « mogo-puissants » du transport routier à la prudence et à une prise de conscience générale. Car, dois-je le répéter, l’avenir n’appartient point aux champions des rallyes ou aux fous du volant, mais, plutôt, à ceux qui se réveillent tôt et savent être prudents.

En tous les cas, il s’avère impérieux que l’autorité apprenne à sévir pour réglementer ce secteur, au lieu de se complaire derrière les compassions télégraphiques et autres messages de condoléances qui, jamais, ne ressusciteront nos morts.

A toi aussi, cher cousin, d’accélérer ta mission de sensibilisation au village, car, comme on le dit, ça n’arrive pas qu’aux autres. Cette histoire n’est pas d’ailleurs sans me rappeler cette méchante branche qui, une certaine année, avait rasé sur la Nationale 6, celle reliant Ouagadougou à la frontière du Ghana en passant par Saponé-Sapouy-Léo, une dizaine de passagers juchés sur un camion surchargé de marchandises. Ça ne pouvait, du reste, qu’arriver, puisque les humains partageaient les mêmes tickets avec le bétail, les sacs de céréales et les tubercules. Hélas, c’est la même scène qui s’offre quotidiennement sur nos routes.

Au sommet de l’Etat, saura-t-on enfin prendre les mesures qui s’imposent ? Cher Wambi, à peine le locataire du palais de Kossyam, Blaise Compaoré, est-il rentré de son périple européen que son Premier ministre, Tertius Zongo, a pris le relais pour vendre l’image du Faso dans l’Hexagone.

Ce sera du 20 au 24 novembre 2008, à la faveur des traditionnelles journées économiques du Burkina qui se tiendront à Paris et à Lyon. Un grand rendez-vous du donner et du recevoir, qui mettra aux prises les hommes d’affaires et les décideurs burkinabè et français.

Tertius et la forte délégation qui l’accompagne (quelque 8 ministres) y travailleront à inciter les investisseurs potentiels à prendre la destination du Burkina, où tout baigne. En attendant d’y découvrir (qui sait ?) le pétrole, sous les dunes de sable d’Oursi, tous les secteurs restent tout aussi ouverts que porteurs, pour l’avènement du « win-win », le partenariat « gagnant-gagnant ». Certainement que j’y reviendrai avec les hauts faits d’armes de nos hommes d’affaires qui s’inviteront sur les bords de la Seine.

Je sais ton impatience de les entendre te conter l’événement à leur retour, mais, en attendant, veuille bien bénéficier de cette lumière que le directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), Innocent Coulidiati, t’apporte au sujet de la reprise et de la réhabilitation du Ciné Sanyon, dans la ville de Sya, dont je t’avais parlé, en marge de la rencontre Gouvernement/secteur privé. Lis donc :

« Suite à l’acquisition de la salle du Ciné Sanyon, en état de dégradation par la Caisse nationale de Sécurité sociale en 2006, des travaux de réhabilitation étaient nécessaires et ont été exécutés en deux (2) phases ». D’abord en urgence, pour l’organisation du FESPACO, ces travaux ont concerné :

• l’acquisition de matériels techniques pour la salle de projections ; • la réfection du bâtiment ; • la réfection de la climatisation ; • les travaux d’électricité ; • la fourniture plus l’installation d’un groupe électrogène.

Ensuite, après le FESPACO, les travaux se sont poursuivis par : • la reprise du plafond acoustique ; • le changement de la toiture (tôles) ; • la fourniture des dalles en caoutchouc ; • la fourniture des fauteuils.

Je précise que l’exécution de ces travaux a été suivie par le bureau d’études FASO KANU DEVELOPPEMENT. Pour la deuxième phase, quinze (15) entreprises ont été consultées pour l’exécution des travaux, composés de quatre (04) lots. Pour l’exploitation, un appel d’offres ouvert a été lancé et, en attendant les résultats, la salle du Ciné Sanyon est constamment sollicitée pour différentes manifestations.

Dans l’Observateur paalga n° 7246 du vendredi 24 octobre 2008, dans la rubrique une Lettre pour Laye, vous relevez la surprise que les organisateurs de la rencontre annuelle Gouvernement/secteur privé ont eue en constatant que le Ciné Sanyon, où devaient se tenir les travaux ne répondait pas aux normes requises. Je voudrais vous rappeler que la salle est destinée tout d’abord à des projections de films et que pour une rencontre de cette envergure, certains aménagements étaient nécessaires.

1°) Pour la sonorisation, des installations parallèles ont été faites afin de permettre le fonctionnement d’une dizaine de micros alors que la salle n’en avait que cinq (05).

2°) Ensuite, pour ce qui concerne la climatisation, il nous a été demandé de la renforcer dans une des salles d’attente, retenue comme bureau du Premier ministre.

3°) Enfin, en ce qui concerne la plomberie, il s’agit d’une dégradation des appareils sanitaires due à une mauvaise utilisation lors des différentes manifestations.

Je vous informe par ailleurs que tous ces travaux d’aménagement de la salle ont été effectués par la CNSS excepté la sonorisation parallèle, installée par la Chambre de commerce.

Je vous remercie de vous inquiéter de l’utilisation des fonds destinés à la réhabilitation des salles de cinéma acquises pour le compte de la CNSS, et je voudrais vous assurer qu’ils ont été effectivement utilisés à bon escient. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Directeur général, l’expression de ma considération distinguée.

Innocent Coulidiati
Chevalier de l’Ordre national

No comment !

Les pêcheurs et les voyageurs en provenance des provinces du Nahouri et du Zoundwéogo en parlent, depuis des lustres, mais sans émouvoir quiconque aux portes du Kadiogo. Hélas, cher cousin, le poisson n’est plus en fête à Koubri, cette commune rurale aux incessants remous politiques, mais qui attirait plus d’un par ses richesses halieutiques et ses jardins potagers bien généreux. N’est-elle pas le grenier de la capitale ?

Dommage, ces dernières années, l’ignorance et l’appât du gain facile ont fini par gagner les rangs de certains exploitants. A telle enseigne que les barrages y sont devenus des dépotoirs de boîtes de pesticides. Conséquence : cher cousin, des poissons et des crevettes morts, flottant sur les eaux.

Véritable aubaine pour les matinaux qui ne se privent pas de les ramasser pour agrémenter le menu du jour, si ce n’est pour les introduire sur la place du marché. Pourtant, les pêcheurs et les fils éclairés de la contrée n’ont cessé d’attirer l’attention des brebis galeuses sur les conséquences désastreuses qui peuvent en résulter.

Dieu et les mânes des ancêtres soient loués que, jusqu’à présent, aucune perte de vie humaine n’ait été signalée, mais sait-on jamais ! Osons seulement croire que le Conseil municipal de Koubri, en attendant que le ministère en charge de l’Agriculture, de l’Hydraulique et des Ressources halieutiques trouve des solutions idoines pour protéger les barrages, s’emploiera à la sensibilisation des exploitants inconscients. Voilà, cher cousin, un plaidoyer dont je te confie la charge de le chanter sur tous les toits, car il y va de l’intérêt de tous.

Sur ce, je m’en vais t’ouvrir le carnet secret de Tipoko l’Intrigante fortement ébranlée, elle aussi, par l’hécatombe survenue samedi dernier dans les environs de Boromo, mais qui s’interdit de croire à la fatalité :

- Qui veut aller loin ménage sa monture, nous a enseigné grand-père. Une leçon certainement bien assimilée au Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), le parti au pouvoir, qui a déjà commencé à mettre les petits plats dans les grands dans la perspective de la présidentielle 2010. Inutile d’épiloguer sur quel cheval Roch Marc Christian Kaboré et sa troupe miseront, car, sauf tremblement de terre, l’enfant terrible de Ziniaré prendra une fois de plus le départ.

En tous les cas, les réunions et les conciliabules se succèdent au siège du CDP, sis avenue Kwamé-N’Krumah, où les stratèges du parti semblent avoir déjà élu domicile. Comme quoi là-bas, le promoteur du développement solidaire ne badine pas avec son trône, pour ne pas dire son naam.

- Toujours dans le camp présidentiel, une délégation des Amis de Blaise Compaoré (ABC) devait quitter hier le Burkina pour l’Allemagne, où elle devrait séjourner jusqu’au 8 décembre 2008. Conduite par son président national, Salif Dolebzanga, et comprenant entre autres le secrétaire national chargé des opérateurs économiques et des commerçants, Boureima Ouédroaogo, et le secrétaire national chargé des femmes, Fati Nyampa, la délégation devrait procéder à l’installation des ABC - zone Europe, dont le Coordonnateur est Sanfo Issa. L’artiste Ahmed Smani et ses danseuses devraient également être de la partie.

- L’affaire fait grand bruit dans la capitale, surtout à Bilbalogho au secteur 2 : il s’agit de cette fameuse bâtisse en bordure de voie, dont les travaux de finition sont renvoyés aux calendes grecques. Il se susurre, en effet, que l’intermédiaire n’a pu résister à la tentation de brouter quelques briques, d’où le courroux du gourou qui, immédiatement, a ordonné un audit. Surprise !

Au lieu d’un trou, c’est plutôt un véritable gouffre que le mystérieux intermédiaire aurait creusé dans le compte ouvert pour les besoins de la cause. A ce qu’on dit, il serait déjà en lieu sûr, à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO), dans l’attente que la justice statue sur son sort. Vrai ou faux ? On en saura certainement davantage dans les prochains jours.

- Dans ses « Confidences du week-end » du lundi 17 novembre dernier, le journal « Le Pays » a fait état d’une affaire d’importation problématique de spiritueux qui défraie la chronique notamment dans le milieu des professionnels. Selon certaines informations, c’est en fait depuis trois bonnes années que les importateurs attitrés de liqueurs d’origine au Burkina (ils se compteraient sur les doigts d’une seule main) ont flairé l’espèce de concurrence déloyale qu’on leur ferait, mais ce n’est que récemment que le pot aux roses a été découvert chez un ex-rebelle ivoirien qui en importait et stockait chez lui des quantités importantes.

De fil en aiguille, les fins limiers de la gendarmerie auraient remonté la filière, et l’affaire devrait être appelée ce matin même, sauf report, au palais de justice de Ouagadougou. Ce qui est curieux, c’est que c’est l’ex-rebelle en question, dont on a saisi les produits, qui aurait porté plainte.

Alors, questions : exerçait-il en toute légalité, avec toute la paperasserie conséquente ? Faisait-il entrer les produits normalement, en payant les droits de douane et en s’acquittant des impôts dus ? Sinon cela ne pénalise-t-il pas ceux qui opèrent dans le secteur en toute légalité et qui emploient par ailleurs du personnel conséquent ? On espère en tout cas avoir des réponses à toutes ces interrogations au cours du procès annoncé.

- Commencées la semaine dernière, les activités entrant dans le cadre des 10 ans de l’association Teega-wendé de Pabré se poursuivent ce week-end. La journée de ce vendredi 21 novembre sera marquée par un doua à la mosquée de Pabré. Samedi 22 novembre, il y aura une course cycliste féminine à 7h00, suivie d’une remise de vivres aux femmes victimes de sorcellerie et recueillies par la paroisse de Pabré et, enfin à 15h00, d’un match de football entre la RTB et le village de Goupana.

Le clou des manifestations, c’est pour le dimanche 23 novembre. Au programme, une messe à 8h 30, un grand dassandaga sur la place du marché et une soirée culturelle. Cet anniversaire est placé sous la présidence du gouverneur du Centre et le parrainage de Mme Fatou Diendéré, députée, et du maire de Pabré, Anatole Désiré Doamba.

- 1958-2008. Voilà cinquante ans que Ouahigouya a été séparée de Koudougou pour être à son tour érigée en diocèse, c’est-à-dire une circonscription ecclésiastique autonome. En souvenir de cet événement heureux, une messe d’action de grâce sera chantée ce dimanche 23 novembre. La belle cité de Naaba Kango va donc vivre au rythme des célébrations jubilaires.

Après l’accueil des pèlerins du diocèse hier, aujourd’hui, c’est le tour d’une série de manifestations, qui se poursuivent jusqu’à dimanche. Tout est mis en place pour la réussite de ce Jubilé d’or. Il semble que c’est à cette occasion que sera inaugurée la nouvelle cathédrale de la ville, sise rive est route Ouahigouya.-Ouaga. La nouvelle construction devant être également une paroisse avant d’être érigée en cathédrale diocésaine.

- « La dissertation philosophique », c’est le titre d’un ouvrage didactique qui doit intéresser plus d’un élève ou étudiant. Son auteur n’est autre que celui de bien d’autres ouvrages dont « L’Arche de Noé est partie de Pilimpikou ». Comme vous devez l’avoir deviné, il s’agit de Serge Rosaire Kango Sawadogo, cet enseignant de philosophie, actuellement au lycée Song-Taaba à Ouagadougou. Dans les rayons des librairies Jeunesse d’Afrique et Diacfa-Librairie, l’œuvre sera dédicacée en marge de la Foire internationale du livre de Ouagadougou ce vendredi 21 novembre 2008 à partir de 18 h dans le pavillon de la créativité du SIAO.

- Adieu la fête de la bière ; vive le Festival des bars et maquis du Burkina (FESBAMAB) ! Telle est, en effet, la dernière trouvaille des promoteurs de la fête de la bière, jadis célébrée à la maison du Peuple de Ouagadougou, et ... critiquée par une partie de l’opinion à cause des dégâts (accidents souvent montels) que causent ces orgies bacchiques.

Désormais, donc, ils reviennent avec le FESBAMAB, qui devrait se tenir à partir du 27 novembre au 7 décembre 2008 sur le site du SIAO. Au programme : défilé des serveuses ; compétition de pétanques ; prestation d’artistes, etc. Pourvu seulement que, contrairement aux années écoulées, un point d’honneur soit mis sur la sobriété et la protection des mineurs, souvent livrés à la prostitution et à l’alcoolisme précoce.

- Les 21 et 22 novembre 2008, c’est-à-dire à partir d’aujourd’hui vendredi, et tout le week-end, Tenkodogo sera en effervescence : Le Dima du Zoungrantenga, le Naba Saaga, tient son baasga, autrement dit sa fête coutumière, qui marque le début de la nouvelle année. Rendez-vous donc à Tenkodogo pour vivre ces activités, qui vivifient et perpétuent nos traditions.

- Depuis la démission de Kassoum Ouédraogo Zico de la présidence de la section football de l’Etoile filante de Ouagadougou (EFO), les fans du club Bleu et Blanc se demandaient qui pourrait prétendre à sa succession. Eh bien, cet oiseau rare vient d’être déniché en la personne de Boukary Sawadogo, l’actuel directeur du Centre de gestion agréé de Ouaga. Dans l’attente de la validation de son mandat par le Conseil d’administration, l’intéressé a été exhorté par le Comité exécutif du club à se mettre rapidement au travail en vue des compétitions à venir.

- Le président du Sourou sport de Tougan convie tous les filles et fils du Grand-Sourou et de la boucle du Mouhoun, les amis, supporters et sympathisants au match de barrage pour la montée en D1, qui opposera le Sourou sport au Nalambou FC de Fada le dimanche 23 novembre à 16h00 au stade municipal de Ouagadougou. Les Mossi y sont aussi conviés.

Le président

La Fédération nationale des taximen et des travailleurs des secteurs des transports au Burkina (FNTT/STB), à travers le Syndicat national des taximen du Burkina (SYNTA-B) et le Syndicat des taximen de la solidarité (SY-TAX-SO), a l’honneur d’informer tous les taximen de la ville de Ouagadougou qu’une opération de visite technique aura lieu le samedi 22 novembre 2008 au CCVA, sis à Ouaga Inter à partir de 7h00.

Pour SYNTA-B, Kaboré T. Amado

Pour SY-TAX-SO, Compaoré Issouf

Pour la FNTT/STB, Oumarou Kièma

- Aussitôt après la rentrée des classes dans la Comoé, des problèmes surgissent dans certains établissements. C’est le moins que l’on puisse dire, car, depuis le 17 novembre dernier, rien ne va au lycée départemental de Bérégadougou : les cours y sont paralysés, les professeurs en débrayage, mettant ainsi les élèves dans la rue. En toile de fond de cette grève, la pléthore d’effectifs dans les classes. Pour protester contre cette situation, les enseignants ne sont pas passés par quatre chemins pour refuser de donner les cours.

Comment gérer une telle situation ? Faut-il expulser des enfants plus d’un mois après le début des cours ? Devant une telle situation, cocasse, c’est la direction de l’établissement qui est interpellée. Aucune solution ne semble trouvée pour le moment pour permettre le début des cours. A la Direction régionale de l’enseignement secondaire des Cascades, on attendait toujours les différents rapports des protagonistes pour apprécier la situation.

Selon une source proche de cette direction, invoquant des raisons officieuses, cette grève serait due à des engagements de motivation des professeurs non encore tenus par l’APE. Le Lycée municipal de Niangoloko, a révélé la même source, serait également en débrayage pour des raisons liées aux sureffectifs dans les classes. Pourvu que la fièvre ne gagne pas les autres établissements, qui ne font pas exception, pour la plupart, aux effectifs pléthoriques.

- « Côte d’Ivoire, Malawi, Burkina, Guinée. C’est le Groupe E des éliminatoires de la CAN et du Mondial 2010. Les Etalons peuvent-ils se qualifier : Oui pour la CAN
Oui pour la CAN et le Mondial
Non pour la CAN
Sans opinion ».

C’est le sondage que nous avons mis en ligne sur notre site internet, www.lobservateur.bf à l’intention de nos internautes. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les Burkinabè sont très optimistes, sportivement parlant. En effet, sur 991 votants, nous avons obtenus le résultat suivant : Oui pour la CAN 445
Oui pour la CAN et le Mondial 465
Non pour la CAN 60
Sans opinion 21
Vivement donc que les Etalons donnent raison à nos internautes. A lundi prochain pour un autre sondage que nous vous proposerons.

Tipoko l’Intrigante n’apprend rien d’elle-même, elle n’invente jamais rien. Tipoko l’Intrigante est un non-être. Elle n’est ni bonne en elle-même, ni mauvaise en elle-même. Elle fonctionne par intuition, car "l’intuition c’est la faculté qu’a une femme d’être sûre d’une chose sans en avoir la certitude..."

Ainsi va la vie. Au revoir. Ton cousin Passek Taalé.

L’Observateur Paalga

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