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Le pouls de la cité : Un peu de propreté au stade du 4-Août

Publié le jeudi 20 novembre 2008 à 23h23min

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Le stade du 4-Août est l’un des joyaux de la capitale burkinabè. C’est là où se déroulent toutes les grandes manifestations sportives, en particulier les matchs des Etalons. Mais force est de constater que les alentours du stade du 4-Août dégagent des odeurs nauséabondes. Les excréta des chauves-souris empestent les lieux.

Pourtant chaque soir, des jeunes viennent s’entraîner, parmi lesquels des expatriés, pour se maintenir en forme. Elèves et étudiants y vont pour bosser. Malheureusement, les odeurs pestilentielles gènent constamment. Certains n’osent plus y retourner compte tenu de ces odeurs. Le mur longeant le rail est aussi un dépotoir d’ordures. L’Office de gestion des infrastructures sportives (OGIS) doit jeter un coup d’œil du côté du stade du 4-Août pour plus de propreté autour de cette infrastructure sportive qui, pourtant fait la fierté de notre chère nation.


Haro sur les vidages anarchiques !

Ouagadougou est une ville en pleine expansion qui doit répondre aux exigences dignes d’une capitale. Cette situation veut qu’un minimum d’hygiène de vie comme disposer de latrines chez soi, soit respecté, à la différence des villages où déféquer en plein air n’offusque outre mesure.
S’il est vrai que beaucoup de citadins font l’effort pour disposer de latrines, il n’en demeure pas moins que leur entretien pose parfois problème. Ainsi, des citadins n’hésitent pas un seul instant à vider leur toilette nuitamment en plein milieu d’une rue, laissant leurs voisins à la merci des odeurs nauséabondes et autres risques liés à l’insalubrité, précisément les maladies liées au manque d’hygiène dont la diarrhée, la fièvre typhoïde, les ballonnements etc. Toute chose qui appelle les autorités communales à ouvrir plus les yeux de ce côté car pareils agissements font que par endroits, Ouagadougou aura une année lumière avant de répondre au vœu de "cité où, il fait bon vivre" cher au premier citoyen ouagalais Simon Compaoré

Sidwaya

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