Il a planté le décor de sa présentation en définissant d’abord le concept de la finance, notamment sa clarification conceptuelle, sa plus-value et ses enjeux.
Ainsi, l’enseignant-chercheur a défini la finance comme une sous discipline de l’économie, de la gestion et de la grande rentabilité opposée aux secteurs de l’économie. Sa plus-value, c’est qu’elle permet d’analyser les opérations bancaires, les marchés des capitaux et investissements, dettes etc. et cela vise à garantir la circulation des capitaux, l’évaluation des risques des actifs dans tout type de structure (publique, privée et entreprises).

En revenant sur la finance catholique à proprement parler, le prêtre jésuite a d’abord rappelé que c’est une réponse de l’Eglise aux situations concrètes de l’homme à la lecture des temps et en se basant sur la doctrine sociale de l’Eglise. Cette finance millénaire a été pensée pour restaurer l’image de Dieu en l’homme et elle contribue au développement humain intégral de la personne humaine.

Pour ce qui est de ses enjeux, l’homme de Dieu parle d’un mode d’allocation optimale des capitaux au sein de l’Eglise, avec un fonctionnement et une gestion des structures. En clair, il s’agit, selon lui, d’une finance pensée, en cohérence avec les valeurs régissant l’Eglise (investir éthique, produire éthique, consommer éthique et rétribuer éthique). L’autre enjeu, dont il a également fait cas, c’est le développement intégral de tout homme qu’elle prend en compte dans son mode de fonctionnement.

En somme, l’économiste a conclu sa présentation en montrant que la finance catholique est un mode d’allocation ou d’opération des capitaux financiers, des investissements qui se fondent sur les principes catholiques, notamment la doctrine sociale de l’Eglise.

Synthèse réalisée par YZ
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