« Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sangI- D’abord un souvenir Chers lecteurs, Vendredi 16 octobre 1987, j’avais 11 ans et j’étais élève au Cours moyen 2. Ce matin-là, je parcourrais comme chaque matin les six kilomètres qui séparent Minkama, mon village natal et l’arrondissement d’Obala (35 km de Yaoundé, Cameroun), où se trouvait mon école primaire. De ma maison jusqu’à mon école, je n’ai vu de bosquet habité ni de carrefour qui ne soit en proie à de discussions passionnées sur la mort d’un parfait inconnu pour moi : Thomas Sankara. Ici, des hommes révoltés devisaient autour d’un verre de vin de palme, les machettes parfaitement aiguisées prêtes à en découdre avec les cabosses de cacao ; là, des femmes analphabètes affichaient des rictus de désapprobation ou étaient carrément secouées de sanglots au récit des prouesses et de la virilité de ce lointain mâle et dont je ne saurais jamais décider si elles regrettaient la révolution ou la naturelle séduction. Quoi qu’il en soi, toute la matinée, je fus perturbé par ce singulier événement. À midi, je décidai d’en avoir le cœur net et allai m’enquérir de la situation auprès de mon grand-frère, élève en Seconde au Lycée d’Obala et grand amateur de RFI. Je trouvais tous les locataires du foyer La Foulou en grève. Mon grand-frère, tout en larmes, asséna : « Monti, ils ont assassiné Sankara ! On a tué l’Afrique ! » Ces lycéens avaient refusé d’aller au cours et s’apprêtaient à aller défendre celui qu’on a assassiné !? Ce fut une poignante révélation. Jusque-là, je savais que l’Afrique est une carte. Je croyais que la géographie était un objet livresque, c’est-à-dire un ensemble de cartes, de continents, de pays, de reliefs, etc. susceptibles d’être retenus dans la mémoire, en somme une histoire qu’il fallait réciter, comme la science, l’éducation civique, l’histoire ou la catéchèse. Je ne comprenais pas qu’elle était la réalité de la vie où chacun devait se projeter réflexivement. Ce traumatisme ne m’a jamais quitté . Et l’intérêt de l’écrasante majorité des Camerounais pour les Burkinabè datent de ces années glorieuses de la Révolution et de la mort de Sankara, son principal initiateur. Et lorsqu’un Camerounais parle du Burkina Faso, il prend appui sur ces inaltérables réminiscences historiques. Comment comprendre donc que mon compatriote, M. Nyamsi, vienne parler avec une telle légèreté, sinon davantage ? D’où vient cet individu, qui vient ratiociner sur un « président légal et légitime du Faso », alors que le peuple burkinabè crie que trop c’est trop ? De quel droit un jeune diplômé en philosophie comme moi peut-il prétendre donner une Grande leçon à un vrai Professeur qui nous dépasse de loin et en tous points de vue ? Comment peut-il pertinemment espérer dire un mot sensé, dès lors qu’il renie l’esprit critique qui commande de juger par soi ? Comment peut-il se défaire des chaînes acérées de l’opinion commune s’il admet, sans le démontrer dialectiquement, « la légalité et la légitimité de la réforme de l’article 37 de la constitution burkinabè » ? Comment expliquer que lorsqu’au mépris de leurs propres engagements des partisans de la modification de la constitution débitent à longueur du jour de ridicules inepties, un cuistre vienne s’en mêler ? Quels arguments avance-t-il pour démontrer « la force de frappe du pouvoir et celle de la proximité du peuple envers le président… » ? II- Pourquoi je réagis ? Je réagis aux graffitis de M. Nyamsi pour deux raisons : 1) en tant que Camerounais, puisque ce cuistre me fait honte et qu’il fait honte à presque tous ses compatriotes ; 2) parce qu’il utilise frauduleusement la philosophie qu’il n’a pas suffisamment assimilée pour des causes perdues, pour des buts infâmes et cyniques. Il foule aux pieds l’humilité chère aux philosophes, et même le « Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien » de Socrate, que les non-philosophes savent si bien réciter, il l’a oublié il y a belle lurette. Puisqu’il ne peut supporter la discipline de la géométrie – rappelons-nous le « Que nul n’entre ici s’il n’est géomètre ! » de Platon –, c’est-à-dire les règles strictes de l’autocritique (notamment la remise en cause de nos sentiments et de nos sensations) et de l’analyse dialectique en vue de l’approfondissement du vrai, cheminement que suit le philosophe, il tente de prendre l’arène philosophique au dépourvu, en l’infiltrant par des raisonnements captieux. Il aspire à la grandeur du héros, mais ne réussit qu’à se débattre dans ses rentables turpitudes. On n’entre jamais dans l’histoire d’une discipline académique par effraction. Certains internautes parmi vous l’ont traité de fou cravaté qui a quelque chose qui ne va pas dans son cerveau. D’autres ont cru savoir que c’est un foulosophe, etc. Vous voyez juste : c’est un enseignant formé pour dispenser des cours de philosophie – Agrégé de philosophie – dans les lycées en France qui utilise sa petite formation non pas pour conjurer la bêtise humaine comme cela est de rigueur, mais pour encenser les miasmes malodorantes et aliénantes de l’imposture. En fait il souffre d’une pathologie que je désignerai volontiers par un groupe de mot : « Le syndrome du Nègre des palais nègres ». Pour comprendre à quoi renvoie ce terme, il faut revisiter l’histoire du Négro-Africain. Par la notion de syndrome du Nègre des palais nègres, je désigne le stade actuel de ce complexe millénaire qui se multiplie en désordre comme des cellules cancéreuses. III- Nyamsi, une autre espèce de Nègre ? Jusque-là, l’histoire de notre peuple nous révèle en effet trois principales figures du Nègre : le Nègre assimilé ou « Le bon Nègre », le « Nègre des Champs » et le « Nègre des maisons ». En son temps, Césaire avait fait une rigoureuse description du « bon Nègre » dans les vers suivants : « C’était un très bon nègre, la misère lui avait blessé poitrine et dos et on avait fourré dans sa pauvre cervelle qu’une fatalité pesait sur lui qu’on ne prend pas au collet ; qu’il n’avait pas puissance sur son propre destin ; qu’un Seigneur méchant avait de toute éternité écrit des lois d’interdiction en sa nature pelvienne ; et d’être le bon nègre ; de croire honnêtement à son indignité, sans curiosité perverse de vérifier jamais les hiéroglyphes fatidiques ». Les deux autres types de Nègres ont été systématisés par Malcom X. Dans un discours, il affirme : Vous devez lire l’histoire de l’esclavage pour comprendre ceci. Il y avait deux types de "Nègre". Il y avait le "Nègre de maison" et le "Nègre des champs". Le "Nègre de maison" prenait toujours soin de son maître. Lorsque le "Nègre des champs" s’éloignait un peu trop, il le retenait et le renvoyait à la plantation. Le "Nègre de maison" pouvait se le permettre car il vivait mieux que le "Nègre des champs". Il mangeait mieux, il s’habillait mieux, il vivait dans une meilleure maison. Il vivait juste à côté de son maître, dans le grenier ou au sous-sol. Il mangeait la même nourriture que son maître et portait même ses vêtements. Et il pouvait parler comme son maître, avec aussi une bonne diction. Et il aimait son maître, plus que son maître ne s’aimait lui-même. C’est pourquoi il ne souffrait pas de le voir blessé. Si le maître tombait malade, il lui disait : "Qu’est-ce qu’il y a Patron, nous sommes malades ?" Lorsque la maison du maître prenait feu, il essayait d’éteindre le feu, il ne voulait pas que la maison de son maître soit brûlée. Il n’a jamais souhaitée que la propriété de son maître soit menacée. Et il la défendait plus que le maître ne le faisait. C’était le "Nègre de maison". Mais vous aviez quelques "Nègres des champs", qui vivaient dans des huttes et n’avaient rien à perdre. Ils portaient les pires vêtements, mangeaient la pire nourriture. Ils vivaient l’enfer et subissaient les coups de fouet. Ils détestaient leur maître. Oh oui, ils le détestaient. Si le maître tombait malade, ils priaient pour qu’il meure. Si la maison du maître prenait feu, ils priaient pour qu’un vent fort s’abatte et attise le feu. Voilà la différence entre les deux. Aujourd’hui, vous avez toujours des "Nègres de maison" et des "Nègres des champs". Je suis un "Nègre des champs" . Ces Nègres dont parle Césaire et Malcom X sont comme vous et moi, avec le sentiment du beau, du vrai et du digne en moins. Le bon Nègre et le « Nègre des maisons » sont complémentaires et partagent une structure génétique unique. C’est de sa mutation que procède le type nouveau que nous connaissons à travers un personnage comme M. Nyamsi et d’autres avant lui, à savoir le « syndrome du Nègre des palais nègres ». Par cette notion, je désigne un ensemble de comportements contradictoires, permissifs, froids et sophistiques que cultivent certains diplômés des universités et grandes écoles de notre temps. Ce syndrome consiste d’une part à s’accommoder et à profiter des privilèges dont périssent les citoyens, et d’autre part à justifier ces forfaits par une rhétorique imperturbable, sans sourciller. Comme tous les syndromes, le syndrome du Nègre des palais nègres n’obéit pas à un diagnostic aisé. Chez mon compatriote Nyamsi, plusieurs symptômes manifestent ce dysfonctionnement de la tête, du ventre et des poches . D’abord, il y a une persistante amnésie par rapport aux événements historiques. Ici, la revendication de la fierté révolutionnaire des héros des indépendances est mise à contribution pour mieux en circonscrire les enjeux de libération actuels et une rhétorique nationaliste bien calibrée est mobilisée pour ne pas heurter la sensibilité des maîtres de l’ombre qu’on sert docilement . À ce niveau, la valorisation outrancière des institutions et de la culture de l’ex-puissance coloniale est frappante. Ensuite, il y a une logorrhée verbale ayant pour principal ressort un pédantisme débridé et enfantin , le dénigrement et l’argument ad hominem . Ceci passe, entre autres, par des dénonciations calomnieuses de sédition (pour incitation à la répression si le Maître est au pouvoir) ou appel à la rébellion contre la dictature (si le Maître veut accéder au pouvoir, à travers notamment un appel à témoins de la « Communauté internationale », diverses mesures d’intimidation et/ou recours effectif à des acteurs officiellement impartiaux, c’est-à-dire aux forces coalisées), par un goût prononcé pour la confrontation, le bruit de la gâchette et des explosions et par l’absence notoire d’élégance envers la gent féminine . À la fin, on se dit qu’il y a quelque chose de sorcier dans ces pays des Blancs, notamment dans la nation par excellence des droits de l’homme, la France. J’y ai éprouvé une féroce vanité, par exemple lorsque je m’exprimais à la Sorbonne en juin 2010, à l’occasion des conférences annuelles du « Groupe d’études sartriennes ». J’avais soudain eu l’impression d’être enfin quelqu’un, une célébrité dont je ne pouvais que rêver auparavant. Je suis convaincu que certains frères africains, qu’ils vivent en France ou ailleurs, ont éprouvé (et continuent d’éprouver) comme moi cette maladie des déracinés et des parvenus. Je la désignerais volontiers par quelques mots : le complexe de l’humaniste abstrait. Ceci requiert un long apprentissage du cynisme. De ce point de vue, M. Nyamsi n’est pas seulement philosophiquement inclassable/inconnu ; il est en outre essentiellement douloureux ; surtout, il devient pathétique. À SUIVRE Bruxelles, le 02 février 2014 1. Ces réactions n’étaient pas isolées. Elles étaient visibles partout au Cameroun. Le 18 juillet 1988, celui qui avait succédé au Président Thomas Sankara fut interpellé par Le Messager, au 24e sommet des chefs d’Etat de l’OUA à Addis-Abeba. La journaliste lui demanda : « Pendant les évènements du 15 octobre et les semaines d’après, j’étais au Cameroun où les gens semblent bien vous connaître. J’ai constaté que les gens là-bas étaient très choqués. Est-ce que vous ne pensez pas que la révolution Burkinabé a perdu son image de marque le jour-là ? » Il répondit : « Vous savez nous, ce n’est pas l’image de la révolution qui nous intéresse » : http://accypresse.over-blog.com/article-le-messager-fait-parler-blaise-compaore-quand-on-sert-un-etat-on-n-a-pas-peur-de-coup-d-etat--38645841.html. 2. Un syndrome est l’ensemble de plusieurs symptômes ou signes en rapport avec un état pathologique donné et permettant, par leur groupement, d’orienter le diagnostic 3. Aimé Césaire, Cahier d’un retour au pays natal, Paris, Présence Africaine, 1983 4. Discours de Malcom X : http://www.youtube.com/watch?v=IAgLORiZqcc 5. Symptôme : phénomène subjectif qui révèle un trouble ou une lésion. 6. « Ces questions sont livrées aux mois à venir », Voir sa « Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire… ». Je suis un Expert des questions éducatives et je sais par expérience qu’on paye lorsqu’on a livré le travail… Par ce lapsus, mon compatriote se trahirait-il ? À qui va-t-il livrer ses prestations au cours des prochains mois ? 7. Dans son commentaire du 23 janvier, un Internaute – Hum ! – utile une notion juste pour caractériser l’état d’esprit de mon compatriote : « la culture de la reptation ». Quelle justesse d’analyse, mon Diable ! 8. « Devant ce type de dérive, où sous un semblant d’objections intellectuelles, se cache en réalité la chose abjecte de l’Afrique contemporaine, à savoir un anticolonialisme dogmatique mâtiné de xénophobie archaïque, nous ne pouvons rester la plume en poche, comme d’autres resteraient l’arme au pied. Il importe de toute urgence de remettre, pour toute l’intelligentsia africaine intéressée par l’actualité burkinabè, les pendules à l’heure de la réalité institutionnelle effective de ce pays ». Qui l’a désigné analyste politique du Burkina Faso ? Qui lui a dit qu’il sait ? 9. « … il faut dire que [Roch Christian Kaboré te Simon Compaoré] inspireront difficilement confiance à grand monde… l’ultranationaliste Etienne Traoré… » (« Grande leçon … bla bla »). 10. Voir « Etienne Traoré, porte-flingue de la pensée identitaire burkinabè contre la médiation-Soro » 11. « une opposition… potentiellement implosive » ; « Jusqu’où iront-ils dans la confrontation avec le pouvoir CDP… la confrontation violente ou non » ; « opposition insurrectionnelle » « confrontation para-constitutionnelle avec le pouvoir », (« Grande leçon … bla bla »). 12. « … quelques politiciens et intellectuels burkinabè lunatiques, tels Madame Saran Sérémé… l’inélégance truculente de dame Sérémé… » (Ibidem). |
Vos commentaires
1. Le 11 février 2014 à 13:40 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
AYA ! Les Camerounais ont "acheté" notre affaire de l’article 37 ! bienvenus et continuez vos joutes. Un conseil : le Nyamsi insulte trop les gens et s’il n’y avait pas les autres qui sont courtois mais utilisent des mots durs contre lui, moi qui n’ai jamais lu un livre de philosophie, ça ne m’aurait pas donné envie d’un lire ! Niamsy, tu défends une cause indéfendable, parce que tu es contre le bricolage que Biya a fait chez vous pour rester au pouvoir ; ce n’est pas correcte de défendre le contraire chez les Burkinabè ; tu leur manque de respect de cette façon
Le 11 février 2014 à 17:04, par Lum En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Frère la pensée n’a pas de limite. Chacun est libre de se prononcer sur notre situation mais ce qui compte ce sont nos actions et pas les tiennes. Mais si tu pense que les camerounais on acheté notre article 37 c’est que c’est nous même qui avons vendu notre article 37 aux camerounais.
Le 12 février 2014 à 07:58, par Justin En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Je Remarque que ce fridolin ne connait rien de l’histoire du Burkina si ce n’est celle du Burkina raconte au Cameroune. Ici meme les opposants ne considerent pas Blaise Compaore comme dictateur. Tu ferais mieux de t’eduquer un peu la dessus......
Le 12 février 2014 à 09:23 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
"Frère la pensée n’a pas de limite." on lui réclame d’être seulement COHÉRENT dans sa propre logique. En chimie vous êtes sans que les mêmes causes dans les CNTP produisent toujours les mêmes effets. Il ne peut pas voir du noir au Cameroun concernant Paul Bya et voir du blanc chez nous au Faso. Autrement dit, c’est ça sa panse qui le guide et non un raisonnement logique. Quel éducation prétendra-t-il donner à ses propres enfants. Merde alors. qu’il garde ses médiocres connaissances pour lui-même. Nous n’en voulons pas ici au Faso. il a mal copié la leçon du blanc.
Le 11 février 2014 à 17:11, par iLBOUDO En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
remuer le couteau dans la plaie ne résout aucun problème.On demande à ces non burkinabé s’il n’ont rien à dire qui nous arrange qu’il se taisent.on ne veut pas qu’il mettent notre beau pays en feu.notre pays est enclavé nous avons pris du temps pour le construire donc pitié.Si on ne trouve pas un terrain d’entente on ira au référendum.
Le 12 février 2014 à 03:08, par Kontougni / "Nous-pas-bouger" En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
On ne discute pas beaucoup : On envoie Blaise Comparé en vacance à partir de 2015 jusqu’à dorénavant. Ensuite, nos frères camerounais nous imite et envoient aussi leur président à la retraite. Cameroun 6Burkina, même lutte même combat puisque Paul de Biya vient de créer son sénat avec les chefs coutumiers et que Blaise veut l’imiter.
Le 12 février 2014 à 08:53, par direct_bd En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
j’encourage les non burkinabè à ne jamais hesiter pour réagir sur notre situation tout comme les burkinabè commentent les situations d’autres pays. c’est l’afrique qui gagne et ne vs laisser pas distraire par certains commentaires qui viennent du fond du ventre de leurs geniteurs
Le 11 février 2014 à 17:19 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
moi j’ai fait l’ecole cultivatueur, on apel ; ca fja. si que je renconre bassi ou nyamsi moi je le cogne fortment. Parce que lui il est mechant et bete. ce que lui il veut pas a cameourn c’ est que lui il souyaite a burkina. Tu dis pol Pot byia est dictatuer et tu dis aussi que Blaisss tiyeur de Sankara est trop utile pour nous. En comment ? Tu as appris meme ta phoulosohie la ou mieme ?
Le 11 février 2014 à 17:49, par ,frere de retour au pays En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
monsieur votre philosophie vous permet peut être seulement de réagir si vous étiez parti comme la valeur du titre que vous vous revendiquez titulaire vous comprendriez que monsieur franklin a agir en bonne africain,en effet chez nous Afrique quand la maison du voisin est en feu on va a son secours,sans quoi en qualité d africain donnait ses points de vue sur la question de mon pays ,c est alors que des gens qui n ont pour ambition que le pouvoir ont voulu dire de mal de ses écrits et l ont attaqué alors son action est fondé et digne d intérêt alors ,sache une chose tu n es pas a la hauteur ta vie n intéresse personne ici ,BRAVO A FRANKLIN
Le 11 février 2014 à 17:52, par LAURE En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
au BURKINA on parle pas de dictature, meme les opposants n’en font pas cas. il s’agit simplement d’une "TRANSITION APAISEE". donc il n’ya pas ce feu que les gens allument par ci et par là de leur langue.
Le 12 février 2014 à 03:10, par toukatanever En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
il n’ y a pas de principe de " transition apaisée " qui sied ici .
on parle de respecter la constitution
Le 12 février 2014 à 09:32, par faisons un effort de réflexion En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
toukatanever, !!!!quand vous parler de respect ,qu est ce que vous entendez par là ?sinon un vrai respect de notre constitution signifie utilisation du référendum pour trancher la question de l article 37 ,mais dommage que les envies personnes vont savoir une partie de la constitution aux illettrés ,disons tous jusqu aux possibilités de révision aux gens c est a ça qu on pourra donner le label RESPECT de la constitution
Le 11 février 2014 à 17:53, par Ismo de Bobo En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Vous là éviter de faire de l’ingérence . Vous avez fini avec Paul Biya non je ne crois. Avant d’enlevé les grain de poussière sur l’œil de ton ami pense au paille qui se trouve sur le tiens. Donc de grace votre leçon de philo ne nous ne regard point
Le 11 février 2014 à 17:57, par Lum En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Tout ce discours de philosophie c’est bien mais je trouve que c’est trop facile de se classer parmi les nègres de champ et Franklin parmi une nouvelle espèce de Nègre qui est la combinaison de nègre de maison et de bon nègre. je remarque que toi même tu ne respecte pas le principe l’humilité chère aux philosophes dont tu prétend défendre.
Le 11 février 2014 à 17:59, par Denis KABORE En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
L’africain n’aime pas se mêler de ces problèmes il préfère se mêler des problèmes des autres. Vue que tu présumer que tu es un jeune agrégé en philo j’imagine que tu est né trouver Paul BIYA au pouvoir et continue toujours de Regner mais cela ne te cause effectivement aucun problème c’est blaiso ton problème ! Très chère merci pour ton attention
Le 11 février 2014 à 17:59, par sy_le_scieur En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
mr NKE, ce que tu ne sais pas, c’est que tous les opposants qui jouent actuellement aux messies sont plus contre-productifs que BLAISE. tous ces gars surtout le RSS sont soutenus par des saprophytes rejettés du CDP qui esperent retrouver un terrain libre pour leur pillage une fois leurs protégés revenus au pouvoir. la verité donc, c’est la majorité de la population fait confiance à BLAISE qu’à ces opposants.
Le 11 février 2014 à 18:21, par Lumière En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Fridolin il serait mieux pour toi de retracer l histoirique de ton enfance a tes petit fils avec ton long message au contenu plat
Le 12 février 2014 à 10:39, par Rosalie En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Non seulement son message est plat en plus il nous casse les oreilles et s’aventure sur un terrain dont il ignore les rouages
Le 11 février 2014 à 19:47, par touré mohamed En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
il faut dire dire que le burkina a plus besoin d’idées de sorti de crise !ne passons pas notre temps à passer de clash en clash mais apporté des idées dans le sens de sorti de crise et non à contribuer aux échauffements d’esprit.
Le 11 février 2014 à 19:53, par touré mohamed En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
nous comprenons que vous êtes soucieux pour notre pays mais de grâce au lieu d’évoluer de clash en clash , il vaudra mieux essayé d’apporter des idées constructifs afin de nous aidez à quitter ce calvaire que nous nous vivons actuellement .
Le 11 février 2014 à 20:34, par kambou En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Mon cher,Nyamsy a le droit d’avancé son pion de vue sur la question politique de notre pays,pourquoi alors avancé des insultes a cet dernier(il fait honte au camerounais),sachez qu’il n’intervient pas en temps que camerounais mais en temps que africain,donc les questions africaines doivent intéressé les africains,vive l’intégration africaine.
2. Le 11 février 2014 à 13:54, par Sayouba Salam Sanfo En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci cher frere Panafricain. Merci de faire tienne, notre lutte que nous savons noble. Nous attendons impatiemment la suite.
Le 11 février 2014 à 17:49, par ZENA En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Pour quoi parler de suite quand l’histoire est déjà fini le Mr nous a raconter son enfance, son adolescence des lors nous comptons sur lui pour nous faire par de son 3ème age et de sa mort.Au fait comment va Paul BIYA. MERCI
Le 11 février 2014 à 18:06, par Lum En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Fridolin NKE, Je pense que tu dois descendre sur terre avant de te mesurer à Franklin. Toi tu ’est contenté de nous démontrer une typologie de nègres dont nous avons pas besoin pour résoudre notre crise alors que Franklin a donné son avis et argumenter sa position pour faire comprendre à nous burkinabé sa position. Chose que vous avez été incapable de faire ici. C’est trop facile lorsqu’il s’agit de denigrer quelqu’un mais très difficile lorsqu’il faut convaincre un peuple sur son point de vu
3. Le 11 février 2014 à 13:57, par patriote !!! En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Très clair,frère digne d’Afrique.Bravo pour cette réaction à votre compatriote de frankli !
Le 11 février 2014 à 18:00, par bf2015 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
monsieur le philosophe ,même si la philosophie utilise des pensés des personnes du passé tel SARTRE,MAX,soyez humble ,je voudrait que vous appreniez une chose ,en effet pour toute société qui veut son developpement elle doit savoir mettre en arriere le passé et entretenir le present pour garantir son futur et ici nous l avons compris donc l histoire de votre enfance vous servira a votre retraite dans votre village merci !!!!
Le 11 février 2014 à 19:54, par yeux écarlates En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Quand les camerounais s’attaque sur un problème du Burkina cela mon réellement que Sankara n’est pas mort pour rien. Au regard de ceci j’ai fois que dans un futur très proche l’Afrique va former un seul pays. Sur les divergences des idées je ne peux que souligner qu’en politique chacun choisi son camp se met a défendre ces idéaux. Bon nègre, nègre de maison, nègre de champ ce sont les intérêt du pays qui passe en premier après on pourra régler nos différent
4. Le 11 février 2014 à 14:08, par l’homme En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci à vous Docteur. Vous faites honneur aux Philosophes et aux intellectuels africains. ce Monsieur NYAMISI est simplement pathétique. ce qui me déçoit c’est que des personnalités comme Guillaume SORO se laissent défendre par lui, là ça craint.
Le 11 février 2014 à 17:32, par Issa Kafando En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Pathétique vous trouver ? Laisser moi vous dire que ces discours sont d’un intellect supérieur au votre. Quand vous passer a coté de l’essentielle il ne faut pas blâmer celui qui prononce le discours mais vous même qui n’avez pas pris le temps de vous instruire correctement. Merci
Le 12 février 2014 à 11:22, par GBokin En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Evitez surtout les esprit patisans. Merci pour la leçon au philosophe Flanklin qui manque franchement d’humilité
Le 11 février 2014 à 18:11, par BLAISE COMPAORE En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
pourquoi tu na pas eu le courage le monsieur le philosophe de dire a ceux qui t ont motivé a cet écrit que tu n est pas a la hauteur pour dire quelque de chose censé contre MONSIEUR FRANCKLIN,c est enfantin très d ailleurs avez vous ramassez le doctorat en philo ,,,,,sinon si s était de la part d un élève de première j accordais du prix !!!!
Le 11 février 2014 à 18:42, par Lum En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Chacun est libre de défendre son idole ou son mentor. Si tu n’a pas compris sa s’est que tu n’a pas ta place dans la discutions. Et je te conseil de suivre les écris de Franklin avant de le juger. Franklin n’est pas venu en tant que belligérant mais en tant que donneur d’opinions. maintenant ceux qui se sentent frustrer au lieu d’attaquer Franklin il faut donner votre avis argumenté. Le peuple s’aura tirer la vérité.
Le 12 février 2014 à 09:08, par faisons un effort de réflexion En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
l homme ,tu me déçoit énormément si suite une lecture que j ose croire profonde de ta part tu aboutis a une telle conclusion ,tu réduis a nul le niveau intellectuel de l africain !!!mais je te comprend si tu avais eu la chance de la classe de CM2 tu sauras que ces genres d écrits sont vraiment pour des apprentis de la rédaction cf expression écrite de la dite classe,alors un sujet comme ,dites en quelques lignes ce qui vous a marqué dans votre enfance !!!un moyen élève de CM2 va nous écrit ça !!!!!!!!!!!!!!!c est texte qui est intellectuellement nul !!!!!!a bon entendeur salut !!!!!!!
5. Le 11 février 2014 à 14:14, par le penseur En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
je suis vraiment content que tous les enfants d’afrique ou qu’ils soient puisse participer a ce débat car il y va de notre intéret maintenant je remarque dans votre analyse que j’ai beaucoup aimé mais cependant je vous fais remarqué que vous avez un discours que l’on peut qualifier d’insulte a l’endroit de la personnalité de mr nyamsi meme si je suis pas d’accord avec certains de ses propos j’estime qu’il a le droit de donner son point de vues comme beaucoup d’autres.
Le 11 février 2014 à 15:50, par Koumbem Tipousga En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Bonsoir
Monsieur le Penseur, est-ce que vous avez lu tous les écrits de franklin ? Chaque ligne comporte une injure soit claire ou voilée.
Son compatriote n’a pas dit le 100e de ce que lui il raconte.
Merci
Le 11 février 2014 à 16:01 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Je ne vous connais pas cher philopsophe, je versais des larmes en vous lisant, tellement vous avez été juste à propos. Je n’ai pas besoin de vous connaître puisque vous êtes juste et vous défendez une cause juste vous êtes mon frère.
Le 11 février 2014 à 18:19, par Lum En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Franklin n’a pas commencé par des injures. Si tu as suivi les débuts de Franklin sur lefaso.net tu verra qu’il a commencé par donner son avis sur la situation nationale. Parce qu’il s’est senti attaquer qu’il s’est défendu.
Le 11 février 2014 à 16:02, par BILI-BILI En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
haaa...Mais ôu sont nos intellectuels ?? les LAURENT BADO...les FRANCOIS COMPAORE...les IBRIGA...MAHAMADI KOUANDA ...les LOADA..les SALIA SANOU ??
Le 12 février 2014 à 08:55, par Minnayi En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Toi tu es vraiment BILI-BILI : qui t’as dit que Salia SANOU est un intellectuel ?
Le 11 février 2014 à 16:07 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
ces propre.j estime que vous ne devez laisser des aventuriers monopoliser le débats comme si l’Afrique doit toujours continuer et demeurer la queue du monde
Le 11 février 2014 à 16:53 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Mr le penseur, Nyamsi a insulte tout le monde plus que ca y compris toi meme si tu es Burkinabe. ce qui veut dire qu’il merite plus d’injures que ca. Sale neigre qu’il soit ce Nyamsi.
Le 11 février 2014 à 17:22, par dera En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
quand tu danse avec un sourd,il faut le piétiner
pour qu’il sache qu’il n’est pas seul.
6. Le 11 février 2014 à 14:28, par Balkissa En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Excellent !
7. Le 11 février 2014 à 14:50, par Wendmi le nègre des champs En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Simplement merci !
8. Le 11 février 2014 à 14:59, par NABIIGA En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci. Merci beaucoup. Vous êtes notre force par ce qu’en ces temps ou les anges du mal sont en tenue de fête, nous sommes de foi tenté de croir en eux. mais à chaque jailli par vous, la force utile à notre jugement de valeur. Que le Bon Dieu vous bénisse en abondance.
Le 11 février 2014 à 18:43, par Kissou Nafi En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci pour ce cour d’histoire sur les origines de la haine contre le burkina. Cependant je tiens a vous que quand vous écrivez pour vivre cela est différent de quand vous écrivez pour éclairer la jeunesse
9. Le 11 février 2014 à 15:14, par le magicien En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Aux âmes bien nées la valeur n’attend point le nombre des années Dr NKE. Très belle réplique à ce larbin de Nyamsi. NKE, Tu n’es pas agrégé de philosophie mais tu es plus mâture philosophiquement parlant que ce Nyamsi. C’est bien dommage que des parasito-saprophyto-charognards comme Nyamsi fassent la "philosophie du tube digestif" et arpentent les couloirs des palais de ces dictateurs africains pour se remplir la panse et les poches même s’ils doivent se prostituer intellectuellement. Courage aux braves fils de l’Afrique. Ceux qui comme nos ancêtres gardent leur dignité et leur fierté et refusent de se grandire en prprostituent leur intellect. Maudit soit les fils d’Afrique qui d’une manière ou d’une autre oppriment ou encouragent l’oppression d’une minorité sur la majorité.
Le 11 février 2014 à 17:21 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Dans tous les cas, Socrates n’ avais meme pas son certificat en philosophie mais tous le reste des philosophes d’ auj’ ui sont des footnotes a ce grand. Les diplomes peuevent servir aussi pour dissimuler l’ ignorance dans ce monde de simulations et de simulacres
Le Retour de Khulekani Kumalo ou l’ usurpation des identites modernes
10. Le 11 février 2014 à 15:14, par Peace En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Monsieur, Dieu vous bénisse abondamment
11. Le 11 février 2014 à 15:29, par AD En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Moi j’étais persuadé que tous les camerounais n’étaient pas comme ce Mr NYAMSI. En voici une preuve. Merci frère pour cette réaction à l’endroit de ton compatriote camerounais qui ne l’ai plus vraiment depuis . Mr NYAMSI est la honte de l’intellectuel africain . Avait il autant besoin de vendre sa dignité pour des espèces sonnantes pour un intellectuel de sa trempe ? Non . Le peuple du Burkina Faso est déterminé . Blaise Compaoré partira en 2015 nonobstant tous ses soutiens criminels. Merci pour ta contribution à ce débat panafricain frère .
12. Le 11 février 2014 à 15:30, par Non au Sénat En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci cher frère Camerounais. Je pense que ça ne vaut plus la peine de répondre à ce Franklin qualifié de foulosophe par certains internautes.
13. Le 11 février 2014 à 15:41, par jacob En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci mon frère docteur, je suis fier le PANAFRICANISME est en marche. Je ne comprend vraiment pas NIAMSY. Comment peut-il combattre la tyrannie, la dictature, la patrimonialisation du pouvoir et la "démocrature" au Cameroun et dans le même temps tolérer et défendre cette forfaiture au Burkina Faso. Vraiment je ne suis pas philosophe mais j’ai du mal à suivre des raisonnements contradictoires pareils. Les burkinabè aspirent à l’alternance au même titre que les camerounais. Du sérieux NIAMSY
14. Le 11 février 2014 à 15:51, par Pinot En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Les sorties de Franklin Nyamsi sur la toile, en particulier les deux dernières, confirment, point par point, ce que vous décrivez, mon frère. Merci. Ce gars est un grand malade. Je vais lui décerner la médaille de Mickey. Il la mérite amplement
15. Le 11 février 2014 à 15:51, par jelgel En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Non ce Camerounais de Nyamsi est nul. je ne peux pas comprendre 1 homme Normal au 21e siecle defendre 1 pouvoir a vie meme s’il est analphabète ! qu’il le fasse avc Biya mais de grace,nous on n’en veut pas. Si Blaise est bon qu’il le fasse venir avec lui mais pas ici.
16. Le 11 février 2014 à 15:52, par YaafooyauBurkina En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Justement, il faut un éléphant plus costaud pour répondre aux provocations d’un éléphant. Ils ne sont pas nombreux à servir le peuple avec les connaissances acquises mais plutôt se servir sur le dos du peuple. Mon frère le peuple burkinabé te sera reconnaissant.
17. Le 11 février 2014 à 15:56, par l’integre du Faso En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Tres content de lire votre birllant ecrit. D’emblee, j’avoue que j’ai verse des larmes en apprenant la reaction des Camerounais suite au honteux assassinat de l’espoir de l’Afrique. Thomas Sankara, n’appartenait pas au seul Burkina mais a toute l’Afrique, a tous les hommes et femmes epris de justice et de verite ou qu’il soient. Ensuite, je vous tire tout simplement mon chapeau pour votre tribune dont la clarte et l’objectivisme n’ont pas besoin de pedantisme pour plaire. Enfin, je vous temoigne toute ma gratitude- en tant quant combattant de la liberte- pour votre sens eleve de dignite et d’honneur. Puissiez vous toujours avoir la force pour apporter des arguments constructifs et objectifs chaque fois que des mercenaires de la plume rameront a contre courant de l’histoire avec des artciles dont la vulgarite n’a d’egal que le pedantisme et l’ego mal place de leurs auteurs
18. Le 11 février 2014 à 16:16, par Achillo En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Bonjour Fridolin NKE
Merci pour votre contribution0. Que Le Seigneur vous bénisse et vous donne longue vie. Je crois que vous ne devez pas répondre à ce voyou Franklin. Il est insolent et cynique dans ses écrits. Ne vous occupez pas de ce taré.
Merci pour votre contribution très constructive. Vous êtes un digne fils de l’Afrique. HONNEUR A VOUS GRAND INTELLECTUEL
ACHILLE TAPSOBA LE BOBOLAIS
19. Le 11 février 2014 à 16:41, par Le regard En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci pour votre écrit qui vient prouver que tous les Camerounais ne sont pas des Franklin Nyamsi(heureusement !!!!).
Vous êtes un digne panafricaniste avisé et intègre.
Merci pour votre apport dans la lutte que mène la très grande majorité des Burkinabè qui se battent pour l’alternance démocratique qui est inéluctablement en marche.
Blaise Compaoré ne pourra pas régner à vie comme Paul Biya le président Camerounais , n’en déplaise au griot des temps moderne dont Nyamsi kranklin incarne vis à vis du régime fini de Compaoré et de son CDP qui veut dire :Compaoré Doit Partir !!!!!!(en fin 2015)
20. Le 11 février 2014 à 16:43, par nikmat En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Tout simplement merci. Ce nyamsi, nègre de maison est simplement un Griot des nouveaux temps. Il se fiche des lois burkinabè, mais de ce que le pouvoir Burkinabè peut lui donner. Moi je le lis même plus quand je vois ses fichues lunettes. Lefasonet, svp, donner nous toujours le plaisir de vous lire. Eviter de donner une tribune à des griots. Quel pauvre type.
Le 11 février 2014 à 20:38, par l’arbre qui cache la forêt En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
le gars a juste donner son avis tu est libre de partager son point de vue ou pas mais je ne proliférer des écart de sa par. Tu es jeune et ne sait pas qu’il ne faut pas entamer un guerre déjà perdu d’avance par peur de mettre Dieu a l’épreuve et d’avoir des morts inutiles
21. Le 11 février 2014 à 16:56, par Sahoudien En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Un frere tu merite respect e cnsideration vrai panafricaniste. Il faut que niamin sache que la mentalite africaine a bocup evolue. Ns entendon la suite d ta bel lecon.
22. Le 11 février 2014 à 16:57, par KENZA En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Très belle réponse. Ainsi, à tous les pseudo-intellectuels jouaant au mercenaire contre le peuple burkinabé à la recherche de nototirté et de gombo, il leur sera apporté une réponse fracassante et proportionnée. Merci mon frère NKE.
23. Le 11 février 2014 à 16:57, par HOMME En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
FÉLICITATION mon frère AFRICAIN, je suis convaincu après avoir lu ton écris que L’AFRIQUE VIT et VIVRA tant qu’il aura des DIGNES fils d’Afrique comme toi. Merrrrrrrrrrciiiiiiiiii mille fois FRÈRE
Le 11 février 2014 à 17:30 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
NYAMSI veut dire quoi ? A mon avis rien ! et rien qu’à l’entendre je sens la negation avec le premier ny.
Alors ce negro est victive d’une constipation intellectuelle qu’on appelle la NEGROCITOSE DES MAISONS.
Et je comprend pourquoi il est toujours en en recherche d’identité en france.
MERCI mon frère , vous serez le premier à décorér une fois l’alternance acquise.
Le 11 février 2014 à 17:51, par Raogo En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Retenons : LE NEGRE DES PALAIS NEGRES. L’AGREGE-CHERCHEUR DES LYCEES. Celui qui voulait se faire aussi gros qu’un boeuf, Franklin NYAMSI.
Le 11 février 2014 à 20:11, par Calmos En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Que d’émotions en te lisant. J’ai soupiré jusqu’à la fin de ton écrit. J’en ai versé des larmes dans le silence de mon âme. Que de revelations émouvantes et poignantes sur notre histoire et de celle de l’Afrique à travers sankara et me mettre à l’idée que de braves africains intello soutiennent le peuple dans sa lutte contre l’article 37 j’en suis reconforté. Vous êtes un vrai panafricaniste à l’image de notre sankara. C’est plutot lui qui a fait rayonner le burkina dans le monde. Je suggère que vous participiez dorevanant au forum pour nous faire partager ton expérience et ta vision de la nouvelle afrique
Le 11 février 2014 à 22:21, par photoacoustic En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
C’est ma première fois que j’écris ici ! Juste pour dire merci pour cet article très riche ! Ça fait plaisir de savoir qu’il y a personnes comme vous !
24. Le 11 février 2014 à 17:01, par Le Sahélien En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Bienvenu sur ce site Mr NKE et merci beaucoup pour votre contribution intellectuelle de taille à la consolidation de la démocratie au pays des hommes intègres. Votre écrit, en plus de la culture qu’il nous apporte, constitue pour nous un argumentaire pour contrer effectivement votre compatriote Franklin qui use son savoir philosophique à des fins pécuniaires. Ne manquez surtout de venir assister à l’investiture EN JANVIER 2016 du tout nouveau Président succédant à l’actuel par des élections pour la première fois au Burkina. Bien à vous !
25. Le 11 février 2014 à 17:03, par TRADRA En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
C’est des élites comme vous que l’Afrique a besoin de nos jours et non des malhonnetes comme Nyamsi qui vendent leur plumes pour des prébendes. Nous luttons pour les mêmes causes car le cameroun présente les mêmes réalités politiques que le Burkina. On sait aussi transcender les frontières artificielles pour savourer notre humanisme commune et sauvegarder nortre patrimoine traditionnel commun. Vous faites la fierté de notre continent en défendant une cause juste et vous faites honneur à la philosophie en lui rendant toute sa noblesse. Nyamsi est coupé des réalités du continent en ayant son esprit à Paris plutôt que son Cameroun natal.
26. Le 11 février 2014 à 17:12, par Raogo En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Y’a camerounais et camerounais fort heureusement. Toi, tu n’auras pas de billet paris-ouaga, ni de gombo dans ta besace mais ton coeur est limpide et ta pensée digne. C’est la différence entre l’homme et l’animal. L’animal court là où sa panse le conduit tandis que l’homme accepte mourir de faim devant un plat de soupe délicieux.
Dis Yamsi, tu veux la carte CDP ou FEDEAP/BC ? Je l’eus jamais cru qu’un nègre qui a fréquenté puisse copier/coller des citations sans réflexion. C’est la première fois - comprenez mon émotion - que je rencontre un philosophe qui refuse de réfléchir, un philosophe allergique à la philosophie.
27. Le 11 février 2014 à 17:18, par Ché En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci mon frère. Nous t’adoptons les yeux fermés. la jeunesse burkinabé, camerounaise, ivoirienne, africaine de façon générale a les mêmes combats. Si nous dormons, nous serons cuits comme des poulets. Debout, jeunesse d’Afrique ! Prenons en mains notre avenir. Sankara avait tracé la voie
28. Le 11 février 2014 à 17:24, par naba En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci d’avoir mis ce negre de salon à sa place. L’Afrique est dirigé actuellement par des negre de salon. Si le blanc n’est pas là ; C’est eux. Mon frère tes études bénéficie à toute lafrique. Courage.
29. Le 11 février 2014 à 17:36 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Frère NKE, tu connais très bien ton faux frère nyamsi, attends-toi certainement à des insultes de bas étage de sa part en guise de réponse. Tout son argumentaire est basé sur l’insulte ; pour un agrégé ça pue !
30. Le 11 février 2014 à 17:38, par Alcatraz En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Meri mon frère pour cet éclairage. Lorsqu’un régime fait appel à des mercenaires de la plume comme Franklin Nyamsi, c’est le signe incontestable de la fin, tel que nous l’enseigne l’exemple ivoirien. La RTI a même montré un coeur qui s’est formé dans la sauce graine d’une ménagère qui venait de prier le seigneur pour que Gbagbo reste au pouvoir. En déshérence, le régime s’accroche à tout. Je ne sais pas si le philosophe de mes deux voit les réactions des internautes. Comment un individu, aussi intelligent soit-il, peut-il avoir raison sur 100, 1000, 5000 internautes qui lui expliquent qu’il ne percute rien et qui s’acharne néanmoins à se convaincre qu’il peut faire quelque chose pour le clan Compaoré. Si Blaise a recours à des sophistes, en fin stratège qu’il est, c’est qu’il a conscience que les carottes sont cuites pour lui. C’est vraiment le dernier baroud. C’est un signal réconfortant, mes frères. Plus Nyamsi sera sur la toile, plus c’est mauvais pour le régime de Blaise. C’est un indicateur pertinent.
31. Le 11 février 2014 à 17:48, par LAURE En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
mr NKE, n’empeche que ton compatriote là dit la verité. il defend ce qu’il dit avec clarté, meme s’il est direct. mais au BURKINA ici on aime la verité meme si ça fait mal, la verité ne casse pas les yeux.
32. Le 11 février 2014 à 17:59, par john,bf En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Mon Docteur, NO COMMENT. Je me revoyais en classe de terminale où j’adorais les démonstrations de mon prof de philo. Là nous voyons la différence entre ceux qui ont décroché honnêtement leurs dipômes et ceux qui ont triché pour les obtenir. Mon Docteur, vous n’avez pas seulement donné une leçon de philosophie à monsieur Nyamsi ; Vous avez aussi prouvé qu’au Cameroun, il ya des intellectuels. Vous sauvez du même coup vos compatriotes qui vivent au Burkina Faso. Nous sommes tous frères, SANS NYAMSI.
33. Le 11 février 2014 à 18:11, par POURQUOI ? En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Effectivement les graffitis ici au FASO, ce sont les leaders de l’opposition à part L BADO qui actuellement à la retraite. tous ces gars voient une faille qu’il faut exploiter : "Blaise a duré au pouvoir donc il doit partir" pour achoir leur propres soif de pouvoir. pourtant le peuple doit penser à son propre interet et non à celui d’opposants peu fiables ; la comparaison relative donc s’impose et BLAISE serait de loin plus indispensable à la nation qu’à aucun de ces opposants (la liste:ZEPH ROCK SALIF SIMON SANK)
34. Le 11 février 2014 à 18:28, par Burkinbi En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci Docteur,
Vous nous aidez à définir ce Monsieur c’est un vrai nègre de maison qui est contre les nègres de champs qu’est le peuple.
Mais il se trompe d’époque. Le changement est en marche et gare aux Nègres de maison, le roi passe mais le Peuple demeure.
35. Le 11 février 2014 à 19:19, par ernst En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
les mots me manquent digne africain !mais sachez que c’est vous genre l’Afrique a besoin pour être la plus puissante nation démocratique de demain. et vous m’inspirez shalom !
36. Le 11 février 2014 à 20:24, par Tidiane En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Pourquoi les gars sont complexes comme ca. Tu as besoin d’ajouter que tu fais un deuxieme Doctorat ? Quand est ce que tu vas travailler, etre productif ? Ou bien tu veux etre etudiant a vie, loin de responsabiltes.
Tu attaque ton concitoyen parce que tu es jaloue de lui et tu veux aussi te faire remarquer pour plus tard manger dedans. Yako !!!
37. Le 11 février 2014 à 21:50, par BAbelt En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Un écrit plein de vérités, de succession d’idées et de bon sens qui ne sont, malheureusement pas à la hauteur de l’esprit obtus de notre opprobre à tous Franklin Nyamsi ! Décidement ce nommé Franklin Nyamsi donne la honte à tout le monde ! Mais que faire il y a toujours des vomissures dans chaque domaine, philosophes et diasporas africaines Franklin Nyamsi est la vôtre !Dans un français pédant et approximatif il se fait defenseur des palais nègres dans toute leur bassesse et se prend pour un intellectuel ! L’avocat de l’assassin de Thomas Sankara, l’avocat du sanguinaire rebelle des forêts de la Côte d’Ivoire : La vie est un choix, l’éphémère menestrel Franklin Nyamsi foulosophe de son état a fait son choix !
38. Le 11 février 2014 à 22:21, par PUISSANCE 21 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Excellent ecrit ! Chapeau !
39. Le 11 février 2014 à 22:41, par Kô-tigui En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Dr NKE, je suis fier de toi ! Très content de ta réplique à ce pédant et prétentieux Frankiln, ce pangolin ! Comment en ce siècle, des africains peuvent soutenir une situation d’oppression de leurs concitoyens par des présidents qui veulent régner à vie. Vraiment je ne peux pas comprendre.
Vous savez, je ne crois pas que Franklin est un vrai camérounais, non ! J’ai fait des stages avec des camérounais, que j’ai admirés par leur franchise, leur honnêteté. Chaque dimanche, je me fais le plaisir de suivre 7hebdo de Stv et Canal hebdo de canal 2 international, émissions similaires ayant été censurées au BF. Quand j’écoute quelqu’un comme Dénis NKWEBO, et quand je lis quelqu’un comme Franklin, tous des camérounais, je comprends davantage la nature humaine.
D’autres ont étudié et se sentent redevables à leur peuple et le lui rendent par leur conscientisation, leur éclairage. Sont de ceux-là Dr NKE, SAMNE, Pr TRAORE Etienne, David Sawadogo, Anta, Kôrô Yamyélé, et j’en passe. Mais hélas, d’autres monnaient leur agrégation pour leur tube digestif et se font prévaloir de panafricanistes ! On a aussi des exemples dont le plus célèbre est Franklin. Je n’ai pas connu un camérounais aussi lèche botte que toi. Le peuple burkinabè, et tu dois le savoir ne veut pas de tes avis. Tu l’as certainement compris à travers les réactions des internautes. Je sais que tu veux pousser les gens à avoir des préjugés. Mais Dieu merci, NKE nous a prouvé le contraire.
Dr NKE, merci pour ta réaction ! puisse Dieu te bénir !!!!!!
40. Le 11 février 2014 à 23:21, par fongnon lecibal En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
votre père vos compatriotes et toute l’afrique est fier de vous.par contre,le frer nyamsi est la desolation de l’afrique,la honte de son père,le dechet du raisonnement,une diarhée persistante cet individu.que Dieu lui casse les couilles !
41. Le 11 février 2014 à 23:33, par Sarakona En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Je vous remercie infiniment pour cette reponse a ce soit disant philosophe car il n a rien compris de la philosophie.Comme nous l eiseigne le pere de la philosophie Socrate le vrai sage n est celui qui pretend posseder la connaitre mais celui qui est en recherche perpetuelle de cette connaissance ce qui n est pas le cas de mr Niamsy.Il a failli me faire abandonner mes etudes en philosophie car il ne faisait honte en tant qu etudiant en philosophie mais vous vous me render fier de mes etudes que Dieu vous benisse !
42. Le 11 février 2014 à 23:42 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci bien. Tu es notre frère. Tu ne peux pas comprendre à quel point ton écrit a essuyé mes larmes. Les ecrts de ton compatriote Franklin me fais verser des larmes. Merci pour le reconfort et la qualification de cet espèce de Negre. Que le seigneur te bénisse et te protège. Merci pour les liens qui montrent le passé peu glorieux de notre president. C’est la triste réalité n’a déplaise à Franklin.
43. Le 11 février 2014 à 23:58, par Appolo En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Monsieur, vous avez fait une scolarité utile ; merci pour tout, votre écrit est d’un apport inestimable. Vous irez loin dans la vie.
Thomas SANKARA avant sa mort nous a dit qu’on croiserait des Francs-Ki-..., mais que de ne pas tenir compte de leur servitude volontaire auprès des princes du moment. C’est pourquoi le peuple burkinabé observe cet philosophe bizarre se ridiculiser tout seul depuis. S’il a une âme, pardon, qu’il en prenne soin.
Webmaster, autoriser mon message, svp ; c’est pour le salut de l’Afrique que nous nous battons tous. Merci
44. Le 12 février 2014 à 00:00 En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci mon frere. Tu es un digne fils de l’Afrique. On sait que des milliers de SANKARA naitront encore de l’Afrique. Tu merites respect et consideration. Que le seigneur te benisse abondamment
45. Le 12 février 2014 à 01:10, par Inoussa verite USA En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Hee Mr. NKE, vous avez fait ma journee. Ma frustration a laquelle se melait un sentiment d’impuissance m’enveloppait quand je lisais les ecrits de Monsieur Franklin emprunts de malhonnetete intellectuellement. Mais tu nous a rendu justice, Mr. Nke, digne fils d’Afrique. Tu as deculotte Mr. franklin a travers une maitrise parfaite du francais et surtout de la philosophie qui est une science qui recherche la verite. Mon frère Nke, je suis trop fier de toi, l’Afrique est fiere de toi ; soit beni, digne fils d’Afrique.
46. Le 12 février 2014 à 03:52, par Tien Tigui En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Voici ce que rapporte ’’Jeune Afrique’’ a propos d’un autre chasseur de primes : ’’Le sénateur socialiste français Jeanny Lorgeoux a été reçu en audience par Blaise Compaoré, le 3 février. L’Élysée soutient ne pas avoir été informé de son voyage, qui aurait eu lieu à titre personnel.
Ni l’Élysée ni le Sénat n’étaient informés du séjour à Ouagadougou du sénateur socialiste Jeanny Lorgeoux, qui, le 3 février, a apporté un soutien ostensible à Blaise Compaoré. On sait que le projet du président burkinabè de modifier l’article 37 de la Constitution limitant le nombre des mandats présidentiels suscite actuellement la colère de l’opposition… Les médias officiels burkinabè présentent le sénateur comme un conseiller de François Hollande. L’Élysée soutient qu’il n’a jamais occupé cette fonction et n’a pas rencontré le président de la République depuis longtemps. Un de ses collègues sénateurs croit savoir que Lorgeoux aurait pris prétexte de la présentation d’un rapport intitulé « L’Afrique est notre avenir », corédigé avec Jean-Marie Bockel, pour se rendre à Ouaga et faire « des affaires personnelles ». Lorgeoux, qui travailla jadis avec feu Guy Penne à la cellule africaine de l’Élysée, connaît Compaoré depuis 1985’’. Sans commentaire ......
47. Le 12 février 2014 à 06:40, par supervagabond En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci pour cet article riche et consistant.
48. Le 12 février 2014 à 07:38, par TINAK En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci à Monsieur Franklin pour la première partie de sa réaction j’estime que c’est une bonne contribution de sa part au débat. Que ceux qui disent que les camerounais n’ont rien à voir dans nos affaires arrêtent de tenir de tels propos ; on est d’abord Africains et toute contribution venant d’ailleurs pour mieux nous éclairer est la bienvenue, la pensée est universelle dit-on. Quand vous voyagé dans les pays Africains, la seule référence que les gens évoquent au sujet du Burkina c’est Thomas Sankara quoi de plus normal que les gens en veuille encore à celui qu’on estime responsable de sa mort ! bref ! laissons la liberté à tout le monde de dire ce qu’il pense de la situation dans notre cher Burkina Faso
49. Le 12 février 2014 à 07:45, par TINAK En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Merci à Monsieur NKE pour la première partie de son article, c’est une bonne contribution au débat. On est Africain d’abord et ceux qui pensent que le débat ne doit pas intéresser les camerounais ou tout autre Africain ont tord. Arrêtons de nous séparer avec des frontières artificielles héritées du colonisateur !
Le 12 février 2014 à 10:48, par le sophos En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
les tragedies humaines revelent les grands hommes ( comme Fridolin) et ce sont les minables ( comme Franklin Nyamsi) qui la provoque.
50. Le 12 février 2014 à 10:28, par la bomb En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
un professeur se reconnait par ses écrits pas besoin de voir la différence avec c fameux niamsy dont j pleur ceu ki lon kom prof j m’incline devan votr sagess et l’afrique na besoin k d vous otr kom intellect
51. Le 13 février 2014 à 10:40, par Chafiq En réponse à : « Le syndrome du Nègre des palais nègres » : Franklin Nyamsi ou les graffitis d’une plume mouillée au gombo et au sang
Laissez les gens exprimer sincèrement leurs pensées