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On murmure : Que se passe-t-il à la paierie de France au Burkina ?

mercredi 19 décembre 2012.

 

Kantigui a été surpris en apprenant les mésaventures d’un ancien combattant burkinabè. En effet, il est revenu à Kantigui que cet ancien combattant, parti à la paierie de France, le 25 octobre 2012 pour toucher sa pension, s’est vu refoulé parce que son document serait illisible. A ce qui se dit, il ne serait pas le seul dans cette situation incompréhensible. Et dire que notre ancien combattant est pensionnaire de cette paierie, il y a maintenant 10 ans. Que se passe-t-il donc à la pairie de France au Burkina ? A travers Kantigui, les anciens combattants veulent comprendre !


12e édition des Journées des communautés, du 20 au 22 décembre 2012

Il est parvenu à Kantigui que le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération régionale, en collaboration avec la coordination des communautés vivant au Burkina, organise du 20 au 22 décembre 2012 à Ouagadougou, la 12e édition des Journées des communautés. Kantigui a noté que l’ouverture de l’événement est prévue, le jeudi 20 décembre 2012 à 9 heures, dans la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères et la Coopération régionale, suivie d’une conférence-débats sur « la vision 2020 de la CEDEAO » et d’une dégustation des mets des communautés, à 12 heures 30. Le samedi 22 décembre 2012, il y aura la finale du tournoi maracana à 15 heures, sur le terrain du Moogho Naaba et à 20 heures, la grande nuit de l’intégration, à la Maison du peuple.


Education au Kourwéogo : à la recherche du renouveau

Kantigui a ouï dire que les autorités administratives et celles en charge de l’Education sont à la recherche de meilleures solutions pour l’école dans le Kourwéogo. En effet, les résultats au Certificat d’études primaires (CEP) de ces trois dernières années sont interpellateurs : 59 ,04% de taux de réussite au CEP 2010, 56,21% au CEP 2011. En 2012, le taux provincial a tourné autour de 57,01%. Ces résultats, bien loin de la moyenne régionale, méritent une réflexion concertée entre les acteurs du système éducatif et les autorités locales pour déterminer les véritables causes, a-t-on confié à Kantigui. Selon les sources de Kantigui, environ 200 personnes, issues du système éducatif, des collectivités et des parents d’élèves réfléchiront, dans la dernière semaine de décembre 2012, pour tracer les sillons du renouveau de l’éducation au Kourwéogo.


Plus de 50 000 poulets donnent rendez-vous à Poa, du 22 au 24 décembre !

La région du Centre-Ouest est sous les projecteurs en cette fin d’année. En effet, après la fête de l’indépendance et les NAK, voilà l’association Action vitale qui, selon les informations de Kantigui, est en train de mettre les petits plats dans les grands, pour donner un cachet particulier à la fête du poulet qui se tient, chaque année dans la commune de Poa, province du Boulkiemdé. Kantigui a ouï dire qu’il est attendu, du 22 au 24 décembre 2012, période de la fête, plus de 50 000 poulets, pintades, dindons et autres volailles, avec une centaine d’exposants. A ce qui se dit, les prix de ces oiseaux de la basse-cour seront très abordables afin que la population et les invités puissent s’en procurer pour les fêtes de Noël et de fin d’année. En plus de la volaille, une rue marchande est organisée. Et chacun pourra, non seulement déguster les gallinacées et mets made in Poa, mais aussi emporter pour les amis qui n’ont pas pu faire le déplacement. Selon les sources de Kantigui, la foire du poulet est placée sous le patronage du ministre des Ressources animales et sous le parrainage du ministre de l’Agriculture et de l’Hydraulique.


Un SAFARI dans le Gulmu

Kantigui a appris que le Salon de la faune et des ressources induites (SAFARI international du Gulmu) aura lieu, du 20 au 22 décembre 2012. Son lancement officiel ainsi que de celui de la campagne nationale d’exploitation faunique, 2012-2013, selon les sources de Kantigui, sont fixés pour le 20 décembre 2012, dans la ville de Fada N’Gourma, sous le patronage du Premier ministre, Luc Adolphe Tiao. Kantigui se réjouit de la valorisation du potentiel faunique burkinabè qui rapporte annuellement 4 milliards de FCFA à l’économie burkinabè. En attendant, Kantigui souhaite une bonne chasse à tous les amateurs.


MBC s’internationalise

Il est parvenu à Kantigui que la 7e édition de Moving basket camp (MBC) se tiendra à Ouagadougou (23 décembre au 3 janvier) sur les deux terrains de l’Université et à Bobo-Dioulasso (26 au 30 décembre) sur le terrain de l’Ecole nouvelle. Kantigui a ouï dire que le promoteur, Sylvain Zingué, voudrait apporter une touche novatrice en ouvrant MBC 2012 à 15 campeurs sénégalais dont 12 joueurs et 3 encadreurs. La présence des basketteurs sénégalais emmenés par Babacar Sy, président de Giving Back international, permettra certainement aux campeurs burkinabè de pouvoir hausser leur niveau d’apprentissage au cours de cette édition. Kantigui qui s’intéresse de près aux préparatifs de cet évènement a aussi appris que les meilleurs campeurs de Bobo viendront parachever leur formation à Ouagadougou. Sylvain Zingué fait encore plus fort dans l’innovation car il se susurre que les basketteurs les plus méritants de ce camp 2012 participeront au camp Adidas Nations Afrique à Dakar et le meilleur parmi les meilleurs se fraiera une place pour le Fast Break Camp animé par Michel Gomez en France. MBC 2012 est encore placé sous le patronage du ministre des Infrastructures et du Désenclavement, Jean Bertin Ouédraogo.


Ouagadougou honore la mémoire des illustres personnalités

Kantigui a appris que la mémoire d’illustres personnalités comme le Pape Jean Paul II, Adama Touré, El hadj Mamadou Georges Sanogo et Narcisse Kyendrebeogo, sera honorée par la ville de Ouagadougou. Les cérémonies de baptêmes de rues à leur nom interviendront, le mercredi 19 décembre 2012 à 8h pour Adama Touré, rue située à l’Est de la pharmacie Camille, feux tricolores Charles-De-Gaulle après l’hôtel des finances et à 9h pour le Pape Jean Paul II, sur l’avenue passant devant l’ENAREF et la gare de l’Est. Le même jour, à 10h, El hadj Mamadou Georges Sanogo sera immortalisé sur la rue en face de l’entrée principale du ministère de l’Agriculture et à 11h pour Narcisse Kyendrébéogo, rue face au centre médical Paul VI.


Les quintuplés du couple Ouédraogo seraient-ils devenus un fonds de commerce pour certains ?

Il y a quelques jours, Kantigui annonçait la naissance de quintuplés (le 28 novembre 2012) dans une clinique de Ouagadougou. Dans son écrit, il faisait savoir que les cinq bébés (deux filles et trois garçons) ainsi que leur maman, se portaient à merveille et qu’ils étaient toujours gardés à la clinique qui les a vu naître, aux bons soins d’un personnel mobilisé, à cet effet. Kantigui qui suit de prêt l’évolution de ces quintuplés (une première au Burkina Faso) a été abasourdi lorsqu’il a lu dans un journal que certaines personnes malveillantes utiliseraient les images de ces bébés à des fins commerciales. A la lecture de l’information, Kantigui est tombé des nus. Après vérifications auprès du père des quintuplés, celui-ci a affirmé avoir eu vent d’une telle rumeur. Il précise que l’une de leurs connaissances aurait surpris un jeune homme prétendant être un des parents des quintuplés, se promenant dans un quartier périphérique de la capitale, avec des images des bébés, à la recherche de soutien.

C’est le lieu pour Kantigui de rappeler que les vrais géniteurs des quintuplés sont Honoré Ouédraogo, écrivain éditeur et son épouse Haoua Ouédraogo/ Koubéré, adjointe des services financiers en service au ministère des Enseignements secondaire et supérieur. Toute personne qui voudrait bien leur venir en aide, puisqu’ils méritent du soutien, peut les joindre directement au (00226) 78 38 98 69 ou au 70 25 59 06. L’autre possibilité, c’est de prendre attache avec la clinique « Notre Dame de la paix » où bébés et maman y sont toujours, selon les dernières informations. Le couple remercie les personnes qui leur ont déjà apporté du soutien sous diverses formes. Il cite, entre autres, le fondateur de la clinique qui a décidé de prendre en charge l’hospitalisation et les frais y afférents et de mettre à la disposition de la famille, des pédiatres pour suivre gratuitement les quintuplés durant un an.

Kantigui

Sidwaya



Vos commentaires

  • Le 19 décembre 2012 à 08:27, par GOUKOUNY En réponse à : On murmure : Que se passe-t-il à la paierie de France au Burkina ?

    MR LE MAIRE AVANT VOTRE DEPART RESTITUEZ L HISTOIRE.
    DES BURKINABE ETAIENT DEJA INGENIEURS EN 1957 VOYEZ LISTE DES RETRAITES AVEC LA CARFO

  • Le 19 décembre 2012 à 08:33, par GOUKOUNY En réponse à : On murmure : Que se passe-t-il à la paierie de France au Burkina ?

    Pour cette première (5 du coup), je propose à KANTIGUI de couper court en organisant une quête natinale (pas de mendicité) à l’image de ce qui avait été fait spontanément au décès de BLAKY (BLACK SO MAN), le plus grand prince du BWAMU de NAZI BONI

  • Le 19 décembre 2012 à 08:58, par GOUKOUNY En réponse à : On murmure : Que se passe-t-il à la paierie de France au Burkina ?

    L’éducation est un tout partout dans le monde.
    Les résultats du KOURWEOGO peuvent avoir des origines assez lointaines mais très proches.
    Voyons ensemble.Combien sont-ils les éducteurs de cette provinces qui dorment à OUAGA ? Peut-être il n’y a pas de logements, mais c’est pas sur.
    Combien de parents vont des efforts pour accompagner les éducateurs ?
    Combien de ressortissants de la province qui ont réussi et s’intéréssent à l’avenir de leurs frères, enfants ?