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Dégradation précoce des routes au Burkina : Corruption et affairisme à l’origine

Publié le mercredi 3 août 2005 à 09h09min

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Le corps du Burkina Faso est gangrené par le virus de la corruption à tel point qu’il est nécessaire d’observer une vigilance accrue : l’intelligence c’est prévoir. Les hommes du Faso sont reconnus intègres mais ont-ils aussi cet esprit prévisionnel de leur bien-être ?

C’est le "Wait and See". Le Burkina Faso est un pays pauvre très endetté communément appelé "PPTE" et ne doit compter que sur ses hommes. Il y serait difficile, très difficile de diminuer la pauvreté dans un pays corrompu jusqu’à un certain seuil.

La répartition de ses maigres richesses n’est plus équitable au profit d’un cercle restreint. Le fonctionnaire et de surcroît entrepreneur, dans ce club de corrupteurs et de corrompus, exonéré d’impôts est beaucoup plus crédible et positif dans son bilan de fin d’année, après recettes et dépenses, que tous les opérateurs économiques du Faso réunis. Quelle honte de justifier son salaire non mérité au mépris d’un programme d’éradication de la pauvreté qui tue plus que le SIDA cet autre défi à relever au Burkina Faso.

Depuis que j’ai écris sur la mauvaise prestation de Razel, un point de vue à prendre ou à laisser, et ce, concernant les dégradations précoces de la route Boromo - Bobo paru dans le Sidwaya n° 4864 du 22/10/2003 suivi de la visite du journal à Boromo paru au même journal n°4881 du 14/11/2003 ; j’ai déclenché une avalanche de problèmes et de difficultés, inattendus, dans lesquels je ne m’en sors pas. J’ai dû toucher le nerf sensible de tout un système jusqu’ici stable.

Le péché mortel semble être commis et me voilà heurté de plein fouet contre un vaste réseau de vampires organisés par des corrupteurs et des corrompus de tout poil de très haut niveau au Burkina Faso. La vérité est que je n’ai rien contre quelqu’un mais je n’ai fait que proposer une solution, que je croyas être recherchée, à un problème national posé ; étant moi aussi Burkinabè et soucieux du devenir de mon pays : le pourquoi des dégradations précoces et comment a-t-on pu bâcler de cette façon la construction de cette route Boromo-Bobo ?

Je n’ai fait qu’agir en accord avec ma conscience, défendre mon avenir professionnel et sans arrière pensée vivre pleinement l’instant : les trois principes génétiques fondamentaux qui ont façonné mon être tout différent et incomparable à dessein à mon père créateur. Ma compréhension de la démocratie c’est de s’enrichir de la différence de l’autre et pas autrement ; la culture de l’excellence . Dois-je croire que je me suis trompé ?

Le Burkina Faso est un pays pauvre très endetté dit-on avec insistance et disposerait de 15 272 km de routes classées mais seulement à peine le 1/3 soit 2 416 km qui sont bitumés et d’ailleurs à reprendre alors que l’on sait que dans ce pays le transport routier demeure le mode de transport le plus sollicité pour son approvisionnement vital à l’import mais aussi à l’export étant enclavé à plus de 1000 km de la mer. Les plus hautes autorités du Burkina Faso le savent, les bailleurs de fonds le savent ; les contribuables des pays donateurs le savent en témoignent les fonds toujours disponibles pour acquérir cet instrument de développement afin d’améliorer la condition de vie de ce peuple courageux et travailleur.

Deux pouvoirs au Burkina Faso : le négatif et le positif. On a l’impression de constater qu’une politique de développement, en matière d’infrastructure routière, a souvent été mise en place avec ses moyens d’exécution des travaux et on ne peut pas demander mieux au négociant des fonds. Malheureusement une contre-politique semble prendre le contre-pied pour réussir à détruire techniquement sur le terrain ce qui a été durement acquis en amont dans le but de chercher à favoriser et faciliter un dispatching de fonds disponible au bénéfice de l’entreprise parce que n’ont mis en place.

Cette technique, scientifiquement menée pour mettre en ruine nos routes, avec des raisons acceptables que par les analphabètes, dans le but de faire reprendre entièrement les travaux, est une véritable mine pour les acteurs de ce réseau de terrorisme international routier où la Société Razel et Frères s’est fait passer Maître dans cet art de faire mal ses travaux pourvu qu’il gagne beaucoup avec ces primitifs inconsidérés. Il y aurait donc deux pouvoirs au Burkina Faso : un pouvoir qui travaille dur pour sauver le pays et un pouvoir inverse à détruire pour que ce pays vive. La science universelle utilise le négatif et le positif pour obtenir de l’énergie constructive encore faudrait-il savoir les utiliser !

Cette société Razel a, semble - t - il, une expérience professionnelle négative bien connue en Afrique : d’abord le Cameroun avant le prochain pays cocu le Burkina Faso. Toute la prestation de Razel : de Sakoinsé à Bobo en passant par Boromo est à reprendre entièrement, le colmatage même à grandes échelles ne suffisent plus. Ce qui prouve tout de même que son travail a été mauvais, très mauvais pour être accepté.

Mais les planificateurs de cette médiocrité ont enregistré tout de même un succès car les financements sont encore disponibles et le début des travaux pour bientôt mais avec les mêmes dispositions d’attribution de marché tant pour les travaux que pour le contrôle : le système est de nouveau bien mis en place tout comme Razel et DIWI pour le prochain coup inévitable si une autre mesure d’accompagnement à prévoir n’intervient pas à temps. Question : A quand, dans ces conditions, la réduction de la pauvreté, je répète, qui tue plus que le SIDA ? Notre génération vieillissante va disparaître sans voire le développement de notre pays endetté pour les générations futures. Nous n’aurions pas pu prévoir un meilleur avenir pour les générations futures alors que l’intelligence c’est prévoir.

Diagnostic indispensable avant tout début des nouveaux travaux :

Avec le recul, sûr est de reconnaître que tout le gouvernement burkinabè a été trompé par le premier responsable du ministère des Infrastructures, en témoignent les journaux burkinabè à travers les presses ministérielles passées avant la découverte des forfaits et après vérification de mes propos.

Il est certain que la reprise des travaux Boromo-Bobo est pour bientôt mais les mêmes causes produisent inévitablement les mêmes effets et une route qui devait recevoir un revêtement de 8 cm d’épaisseur s’est retrouvée avec 2,5 cm d’épaisseur arrachée par des pioches à bout large et non des marteaux piqueurs (cf photo Sidwaya), il est tout à fait normal que les infiltrations désorganisent toute la structure de base. Et bien sûr on peut parler de charges à l’essieu puisque ce gravillonnage sur plate-forme, avec peu d’imprégnation et sans bitume en guise de bi couche trompeuse, ne peut recevoir un cric de 40 tonnes, nos charges autorisées. Un diagnostic est indispensable avant tout début des nouveaux travaux. Ce diagnostic donnera matière à réflexion pour tous ceux qui interviendront, dans les futurs travaux similaires ici ou ailleurs car nous sommes citoyens de cette planète où tout intéresse tout le monde même et surtout dans le domaine routier.

Si l’on veut bien comprendre il y aura même des grands magasins à pourvoir pour recevoir les trop pleins de charges à l’essieu que les seules routes du Burkina Faso ne peuvent pas supporter. Non, la solution est ailleurs si non, bonjour la pagaille au Faso. En réalité les dégradations précoces de la route Boromo-Bobo ont été bel et bien été planifiées c’est dire que cette route est gâtée avant le début des travaux ; si c’est faux que l’on ait le courage de passer à l’épreuve du diagnostic et je suis près à moins qu’il y est un bout de Razel à la Présidence du Faso.

J’ai appris à voyager dans les temps négatifs c’est-à-dire arriver à destination la veille de mon départ : mon avant-projet de diagnostic est prêt. Mon analyse est la suivante : des erreurs à répétitions et ceci tout le long des 200 km de route ne sont plus des erreurs mais une faute lourde commise par préméditation.

Cette faute est évaluable aux 2/3 du prix du revêtement parce que le revêtement réalisé et vérifiable sur le terrain actuellement malgré le colmatage de grandes envergures est au 1/3 d’épaisseur (2,5 cm au lieu de 8 cm). Il reste non mis en place 5,5 cm c’est-à-dire des milliards de francs CFA gratuitement envolés au bénéfice de l’entreprise Razel et de son contrôle DIWI : c’est trop gros pour les besoins égoïstes d’une ou deux personnes fussent-elles morales au détriment de tout un peuple. Aussi une route ne se construit pas à n’importe quel prix mais comment peut-on le savoir sans diagnostic. J’ai prédit les dégradations précoces aux deux saisons pluvieuses de 2003 et 2004 et vérifications ont été faites, je n’ai pas menti hier et aujourd’hui non plus et si c’est faux ce que je dis, je donnerai ma langue à arracher avec un double crochet métallique flambé.

La vérité est pour bientôt :

Je sais beaucoup d’autres choses parce que les langues se délient, la vérité est pour bientôt. Et même si tout le monde est contre moi, le peuple lui non ; les bailleurs de fonds savent désormais que leurs apports au bien-être du peuple burkinabè, leurs investissements au pays des Hommes intègres sont suivis par tout le peuple et c’est un honneur d’avoir eu à dire ce que je pense n’en déplaisent aux gangréneuses erreurs de fabrications génétiques depuis le fœtus, gangrène du corps burkinabè à extraire avant qu’un membre ne soit amputé.

Dans cette affaire je suis torturé, escroqué, harcelé, on me ment au nom du pouvoir en place avec des phrases terribles : faites attention là où vous mettez les pieds ou vous irez là où vous ne voulez pas aller, encore vous n’êtes nulle part ailleurs en sécurité qu’à Ouaga et pendant ce temps on me confie des travaux d’études d’avant-projets de routes pour présentation aux bailleurs de fonds. Ces projets sont au nombre de huit (8) dont les échangeurs de Ouagadougou, l’aéroport privé de Ziniaré et le diagnostic (montant : 180 200 000 Frs CFA) justement de cette route pour lequel le matériel est, semble-t-il commandé.

Je veux que l’on me remette mon matériel et que l’on me mette au travail sur cette route avant tout début des nouveaux travaux. Toutes ces études ont été faites et livrées sur préfinancement fonds propres à la Présidence du Faso par cet envoyé. Cet envoyé m’assure : vous serez payé, le diagnostic sera fait, un virement est en cours, mais tout ce temps de patience d’un an fait perdre des amis qui me sont chers parce qu’ils m’ont aidé financièrement dans cette épreuve et attendent d’être payés ; c’est cet envoyé qui a encaissé les sous d’ailleurs, comme un garde-corps par mesure de sécurité étant donné que je dois faire attention là où je mets les pieds.

Maintenant, j’ai honte pour cette longue patience d’un an. Par mesure de sécurité également je suis hors de ma base à Boromo, je suis bloqué sans revenues alors que je paie mes impôts aux fiscs pour assurer les documents administratifs demandés que cet envoyé est allé lui-même chercher à Dédougou pour ces dossiers. J’ai pensé à un moment même de fuir, quitter ce pays, m’expatrier à cet âge de 57 ans pourquoi ? et Pourquoi ?

Mais cet envoyé m’assure que mes connaissances scientifiques en génie civil ne seront exploitées nulle part ailleurs qu’au Burkina Faso et que mon bonheur ne se trouve qu’ici. Mais pourquoi me fatigue-t-on alors ? Je suis là et attend l’espoir d’une vie meilleure ou la mort. Et pourtant je ne vois pas où est mon péché à purger : j’ai donné un point de vue à prendre ou à laisser ; j’ai agi en accord avec ma conscience et je suis Burkinabè aussi.

Dans tous les cas, tous ceux qui ont participé à la construction de cette route Boromo-Bobo, avant tout ce que l’on sait de ces dégradations précoces, sont de mon passé lointain (1975) ; Yaro évolue dans leur futur. Je n’ai aucune intention de nuire à qui que se soit mais d’apporter ma contribution à la construction du Faso, à ce que nos routes soient mieux faites que çà. L’envoyé dit m’avoir trouvé une voiture blindée, je n’en ai pas besoin, je veux une grosse moto 4 échappements pour faire le fou sur les routes bien faites que je vais participer à construire et non sur les routes, de Hyppolite Lingani, variolées de bosses ou de nids de poules.

La qualité de nos routes devait être le souhait de tout bon Burkinabè, des bailleurs de fonds et des contribuables de tout pays donateur. C’est une question de bon sens et de recherche de crédibilité du Burkina Faso que de savoir utiliser les fonds mis à sa disposition pour améliorer la condition de vie de son peuple et le cas contraire serait d’enfoncer le pays tout entier dans une évolution à formule suicide en matière d’infrastructures routières au pays des Hommes intègres. Ceci devrait être tout de même bien compris sans trop d’effort. Mais hélas mon écrit n’a pas plu à cette race de vipères, de vampires voraces et d’assassins qui programment des voyages macabres à Boromo si ce que l’envoyé m’a dit est vrai.

Faire taire cette saleté de route jusqu’aux élections :

Cette souffrance psychologique, morale et financière dans laquelle je vis est voulue, programmée par une poignée de mains financée semble-t-il par des systèmes de blocages administratifs : ma famille éclatée, mes enfants et petits-enfants ont perdu des cours, mes loyers à Boromo et Ouaga ne sont pas payés et je suis poursuivi ; eau, électricité, téléphone coupés, des funérailles non honorées de ma présence ; je suis à pied à Ouaga, mes talons sont usés. J’en ai ras-le- bol.

Mais l’envoyé croit toujours dur comme fer pour m’assurer que ça ira et que si ça n’allait pas marché il ne m’aurait pas engagé dans tous ces projets que j’ai préfinancés en vendant tous mes biens. Cet envoyé est Yaro Yacouba, un neveu que l’on met sous mes pieds, qui se dit agir sur instruction, travaille au D.I (Direction des Informations) à la présidence du Faso, se dit travailler avec le commandant Bayala, son patron direct serait M. Léon Yougbaré : le protocole d’Etat et bien d’autres.

En quelques sortes une taupe, pourquoi chez Yaro K. Marcel à Boromo ? Pour étouffer cette flamme côté Boromo, enterrer cette saleté de route pourrie par tous les moyens possibles sur place à Boromo : fouetter, nuire, appauvrir, traumatiser, rendre fou, fermer sa gueule nuisible mais c’est une erreur monstrueuse à corriger immédiatement. Cet envoyé Yaro Yacouba pour me convaincre a souvent utilisé le nom du protocole Yougbaré Léon : toutes ces instructions seraient venues de lui. Le Proto a dit ceci, le Proto a dit cela : mais en réalité le Proto ne le connaît même pas et confirmation a été faite chez lui à domicile le 17/07/2005 avec simplicité alors qu’il m’était dit inaccessible.

Si donc ce super envoyé n’est pas connu de son soi-disant patron : le protocole d’Etat ; il évolue tout de même dans un monde parallèle inconnu de l’Officiel ce qui est normal pour tout Etat : exemples de KGB, CIA, agents secrets, SS supérieurs ou inférieurs etc... etc... qu’a connus le monde avec leurs tares, suffisances et insuffisances corrigées aujourd’hui. C’est ainsi que semble aller notre Faso inquiétant.

Comment pourrais-je ne pas faire confiance à un tel homme, de surcroît, proche du pouvoir et de Blaise Compaoré lui-même ? Et il faut être proche de lui pour connaître tous ces mouvements intérieurs et extérieurs du Faso souvent vérifiés. Il faut être proche pour connaître tout le système d’écoutes par super équipements technologiques de haut niveau avec capacités énormes de stockage de données à enregistrer et copier à tout moment en temps réel. Le système est long à développer et il n’est pas de mon devoir à le faire.

Aussi, des chèques BIB m’ont été subtilisés d’un montant total de 12 millions de francs CFA en garantie de paiements des assurances vie et de marchés au débit futur de mon compte n° : 1111518960185 ouvert spécialement pour recevoir ces fonds tant attendus. Ce compte, pendant tout ce temps est en rouge agios et un rouge de plus en plus vif ; les milliards y sont attendus.

Mon passeport a été récupéré pour en faire un diplomatique parce que je devais préparer les mêmes types de projets pour les bailleurs de fonds de la RCA, ce qui semble tenir le chemin aussi. Parce qu’il est temps de penser à la coopération Sud-Sud au lieu de faire tout le temps confiance aux soi-disant spécialistes du Nord qui nous desservent comme c’est le cas présent et futur. Cette taupe Yacouba, selon ses dires, aurait été tenté de corruption, par le ministre Lingani des Transports, pour un montant liquide de 10 millions de francs CFA qu’il a vu de ses yeux ; cela s’est passé à Boromo avec pour objectif de me faire taire : vrai ou faux, lui seul pourrait le dire, avec ses preuves de systèmes d’enregistrement mobile, autonome, qu’il possède.

Ne nous amusons pas avec le pouvoir :

En tout cas Yacouba est un bel échantillon de miroir transparent où on voit tout, entend tout par sa peau à son insu, à travers l’arrogance et les mots clés tels que : s’attribuer le titre de grand tortionnaire, avant que les milliards ne tombent il faut d’abord souffrir devant témoins à Boromo, l’espionnage et le contre espionnage, les écoutes téléphoniques la vigilance dont il se fait qualité et apprécié comme telle etc. etc... Cette organisation secrète puissante ayant pour chef des chefs peut effectivement tout : rendre réalisable les projets pour lesquels j’ai été consultés ; montant près de trois (300) milliards de francs CFA.

On gagnerait mieux à travailler avec moi au lieu de me mettre à Taba de cette manière. Un problème d’envergure technique se résout mais ne s’étouffe pas par le fouet, le harcèlement, le traumatisme, la folie programmée ; parce que les contribuables des pays donateurs et les bailleurs de fonds ne sont pas à notre niveau d’analphabétisme chronique : ils sont techniciens de haut niveau.

Mon souhait est que l’on ne s’amuse pas avec le pouvoir de cette manière parce que tous les Burkinabè s’identifient dans ce pouvoir tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du Faso : Prudence, Patience et Raisons. Nous avions tous goûté au fruit de ce PPR avec honneurs et dignité dans le Ziglibiti Ivoirien où la guerre fatale était inévitable. Et celui qui n’a pas de leçon à recevoir de quelqu’un est bel et bien Blaise Compaoré ; je ne m’adresse qu’aux petits enfants à initiatives personnelles immatures dans cette mouvance secrète.

La politique m’intéresse peu parce que j’ai une connaissance ultra scientifique et secrète qui me permet de vivre longtemps, très longtemps pourvu que je me méfie des agressions extérieures avec cette qualité d’être différent de l’arbre qui subit les primitifs. La politique pour moi n’est ni plus ni moins que l’organisation des primitifs pour atteindre une vie meilleure avec l’évolution. Mais moi, j’évolue dans le futur, c’est pourquoi je n’ai jamais été accepté et je n’ai trouvé mieux que de me retirer en brousse au milieu des arbres, des cailloux et des oiseaux qui sont plus heureux que l’homme : pas besoin de frontière et pas besoin de s’encombrer de biens excessifs.

Si j’étais député, je proposerai même un projet de loi pour réglementer la richesse et l’héritage ce qui, sans nul doute, freinerait l’égoïsme de la possession illimitée motif des, détournements, tout azimut en le motivant de certains passages bibliques pour ramener les gens à penser à l’ensemble unité UN à vivre de son mérite comme Dieu le veut. Chacun devait être sensé être molécule utile du grand corps : le Faso. Chacun devait jouir de son pouvoir , excellé dans son métier comme un excellent plombier sans lequel personne n’ira aux chiotes. Toute organisation humaine est exactement la même chose que l’organisation de son propre organisme encore faudra-t-il savoir comment est organisé l’organisme humain.

Je veux que mes enfants, mes amis et tous ceux qui me sont proches lisent attentivement cet article pour qu’ils comprennent mon silence, ma discrétion, mon recul d’eux ; ce fût indépendant de ma volonté. Je reconnais devoir, par ces chèques émis sans provision obligée bien sûr en garantie de paiement, à tous ceux qui m’ont assisté dans cette dure épreuve qu’ils me pardonnent et qu’ils veuillent bien accepter cette patience obligée et indépendante de ma volonté, c’est une question de force majeure ; je suis malheureusement toujours en attente de ce fameux paiement ou virement espéré attendu.

Pendant ce temps de galère, j’ai participé à créer une association de développement "ABADER" il semble que çà aussi a été utilisé autrement et qu’un compte aurait été ouvert à mon nom à Bamako au Mali pour me salir dans un coup d’Etat. Je ne connais même pas Bamako pour n’y être jamais parti mais si cela est vrai, moi j’ai besoin de ce chéquier pour virer ces fonds à Ouagadougou et payer mes amis qui m’ont aidé.

C’est très inquiétant si c’est ainsi que va le Faso. Pour ma part, je souhaite PAIX, AMOUR et FRATERNITE à tous les Burkinabè. Cet écrit n’est pas le dernier et je suis prêt à citer nommément tous ces avortons et à être plus précis.

YARO Kouamé Marcel
Bureau d’Etudes E.T.N.
Bp 522 Boromo
tel : 78 84 96 91
Yamar-etn@yahoo.fr

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 1er septembre 2005 à 15:30 En réponse à : > Dégradation précoce des routes au Burkina : Corruption et affairisme à l’origine

    L’un des effets néfastes de la corruption est d’empêcher l’emmergence d’une classe moyenne qui seule peut tirer la croissance vers le haut, en consommant. Au Burkina, depuis une dizaine d’année, c’est le contraire qui se produit. Les écarts entre riches et pauvres se creusent et dépassent d’assez loin les moyennes enregistrées, y compris chez d’autres pays africains réputés corrompus.

    Exemple : les 10% les plus riches du Faso détiennent 60 % de la richesse nationale. les 10% les plus pauvres, seulement 1%. A titre de comparaison, en France, où les écarts entre riches et pauvres se sont pourtant creusés ces dernières années, les chiffres sont de 25% pour les 10% des plus riches et de 2,5% pour les 10% les plus pauvres. Au Nigéria, 55% pour les les plus riches, 2% pour les plus pauvres.

    Même les plus idiots des riches et des corrompus devraient comprendre que s’ils veulent s’enrichir encore, ils ne pourront plus le faire encore très longtemps sur le dos des plus pauvres.

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