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Inspection générale d’Etat : M. Bruno Henri Bessin a pris service

Publié le jeudi 14 avril 2005 à 07h35min

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Dans l’après-midi du 12 avril 2005 s’est déroulée à l’Inspection générale d’Etat, une cérémonie de passation de service entre les Inspecteurs généraux entrant, M. Bruno Henri Bessin et sortant, M. André Joseph Léopold Ouédraogo.

Le nouvel Inspecteur général d’Etat s’appelle Bruno Henri Bessin. Il a officiellement pris service le lundi 12 avril dernier en présence de la secrétaire générale du Premier ministère, Mme Véronique Tiemtoré, représentant le Premier ministre. Le directeur de cabinet dudit ministère, M. Clément Sawadogo était également présent. M. Bruno H. Bessin vient en remplacement de M. André Joseph Léopold Ouédraogo admis à la retraite.

Nommé le 7 avril 2005, l’Inspecteur général aura comme son prédécesseur à assurer la "noble et difficile mission" de contrôle de l’Etat, a fait remarquer Mme Tiemtoré. Un défi que ce dernier dit être déterminé à relever avec dévouement, intégrité, honneur et dignité. Et cela en mettant à profit son expérience acquise au cours de son passage au secrétariat général du ministère du Plan, à la présidence du Faso et dernièrement au Comité national d’éthique, entre autres.

Pour le travail, la secrétaire générale du Premier ministère a rassuré M. Bessin de la disponibilité du personnel de l’Inspection générale d’Etat à l’accompagner dans la mission à lui confiée.

Par ailleurs, elle a salué tous les mérites de l’Inspecteur sortant. En effet, a-t-elle rappelé, M. André J. Léopold Ouédraogo a dirigé une première fois, l’institution de 1999 à 2003. Son travail, a-t-elle laissé entendre, a été satisfaisant. Ce qui a conduit à sa réquisition du 13 février 2003 au 11 février 2005. Une période également marquée par de précieuses contributions et de la disponibilité au travail de M. Ouédraogo, a indiqué Mme Tiemtoré.

Lui plutôt, toute modestie gardée, estime avoir accompli sa mission au mieux de ses capacités intellectuelles et physiques. Il a sollicité le pardon de sa hiérarchie et de son personnel d’appui pour les insuffisances qu’ils auraient constatées au cours de sa direction. Avant de souhaiter que son successeur puisse bénéficier de la même attention que lui de la part du Premier ministère.

A.K.
Sidwaya

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