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Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

Publié le mardi 14 juillet 2015 à 23h25min

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Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

Mesdames et Messieurs les juristes de la CEDEAO,

Vous avez, semble-t-il, dit le droit. Droit, ça veut dire direct, franc et juste. Et gauche se comprend comme tordu. En métallurgie, gauchir une matière, c’est la tordre dans tous les sens. Sémantique pour sémantique, droit ne veut pas forcément dire juste. Car la lame du sicaire est pointue, aiguisée et va droit dans le forfait. Corollaire : rien ne dit que le droit c’est la vérité.

A quoi sert un juge incapable d’énoncer le vrai ? Qu’importe la logorrhée pâteuse. Qu’importe le savant brouillard touillant le réel à dessein. Il est pourtant facile de déterminer qui est dans son tort, et qui a lourdement fauté. Peut-être faut-il considérer les faits avec un regard dénué d’un savoir venimeux ?

Mesdames et Messieurs les juristes de la Cedeao,

Un citoyen burkinabè, un fils d’Afrique ne revendiquant que cette qualité, vous écrit aujourd’hui, fort de sa perplexité de votre décision concernant l’article 135 du code électoral révisé par le CNT du Burkina Faso. N’attendez pas ici des mots savants, encore moins des formules ampoulées, pas de postures étudiées. Un homme parle à une femme, un être humain parle à un être humain, un rustre parle à un savant. Ne m’en veuillez pas, c’est notre société qui est comme cela.

Des ignares paient des impôts pour que nos gouvernements puissent instruire des fils savants. En retour, ces fils savants reviennent circonvenir les mères et les pères qui ont l’infini, l’immense, le tragique tort de ne pas savoir. Regardez autour de vous ! C’est ce que traduit votre arrêt rendu ce lundi 13 juillet 2015 à Abuja, au Nigeria, sur la requête formulée par sept partis de l’ex-majorité et 13 autres personnes contre l’État burkinabè, relative à l’article 135 du nouveau Code électoral. N’est-ce pas beau ?

Mesdames et Messieurs les juristes de la Cedeao

Croyez-moi, si vous le pouvez ! La grande majorité de nos concitoyens n’ont jamais lu Kant. Ils ne savent rien de l’existence de Hegel. Personne ne leur a parlé d’un grand savant blanc au grand nez qui se serait appelé Descartes. Les autres, ceux qui croient savoir, confondent avec Guy Descars. Et ni Kant, ni Hegel ne leur manquent dans leur vie quotidienne. C’est au nom de tous ces gens que je vous écris aujourd’hui.

Mesdames et Messieurs les juristes de la Cedeao

Permettez-moi de vous référer à un texte important pour l’Afrique, pour les Africains. Un texte injustement méconnu. Les diplomates ont leur calendrier. Ils ont leurs mots à eux. Je veux vous parler de « la charte africaine de la démocratie, des élections et de la bonne gouvernance » adoptée par la huitième session ordinaire de la conférence tenue le 30 janvier 2007 à Addis Abeba.

Les acteurs et les coupables de cette affaire sont aujourd’hui connus. Il est question de "Nous, Etats membres de l’Union africaine (UA)". C’est donc des gens au cerveau puissamment blindé qui parlent en notre nom à tous. Et que disent ces gens, pour nous autres pauvres paumés, ayant le grand tort de n’avoir pas étudié le droit ? Ami lecteur, il faut comprendre le béotien qui s’adresse à des frères calés. Il est donc prudent de reprendre leurs mots.

“Article 2
La présente Charte a pour objectifs de :
1. Promouvoir l’adhésion de chaque Etat partie aux valeurs et principes universels
de la démocratie et le respect des droits de l’homme.
2. Promouvoir et renforcer l’adhésion au principe de l’Etat de droit fondé sur le
respect et la suprématie de la Constitution et de l’ordre constitutionnel dans
l’organisation politique des Etats parties.
3. Promouvoir la tenue régulière d’élections transparentes, libres et justes afin d’institutionnaliser une autorité et un gouvernement légitimes ainsi que les changements démocratiques de gouvernement.
4. Interdire, rejeter et condamner tout changement anticonstitutionnel de
gouvernement dans tout Etat membre comme étant une menace grave à la
stabilité, à la paix, à la sécurité et au développement.
5. Promouvoir et protéger l’indépendance de la justice.
6. Instaurer, renforcer, et consolider la bonne gouvernance par la promotion de la
pratique et de la culture démocratiques, l’édification et le renforcement des
institutions de gouvernance et l’inculcation du pluralisme et de la tolérance
politiques.”

Je choisis de m’en arrêter à ce texte. Pourquoi ? Il est bon d’avoir un guide sérieux, lorsqu’on se promène dans des sentiers inconnus. Comme moi, votre frère, votre oncle, votre fils, votre ami, spécialiste de rien du tout, qui se risque à commenter des arrêts d’une juridiction supranationale telle la CEDEAO. Restons donc prudemment sur l’extrait cité plus haut. Pour vous dire que ce qui a conduit aux événements d’octobre 2014 au Burkina Faso, c’est justement parce que le pouvoir de l’époque refusait de comprendre que “Interdire, rejeter et condamner tout changement anticonstitutionnel de gouvernement dans tout Etat membre comme étant une menace grave à la stabilité, à la paix, à la sécurité et au développement.” Ils ne voyaient qu’eux-mêmes ; ils ne regardaient que leur nombril, refusant d’accorder la moindre attention à la nécessité du “pluralisme et de la tolérance politiques.”

Mesdames et Messieurs les juristes de la Cedeao

Vous pensez que je les calomnie ? Que je parle sans savoir ? Que je dis des choses sans fondement ? Permettez-moi d’abuser de votre temps, que l’usage dit précieux. Des Burkinabè ont été exclus de leurs droits à la vie, tout simplement du fait de “l’intolérance politique” des gens que votre arrêt tente de réhabiliter aujourd’hui, des gens qui se sont présentés devant vous comme de frêles et innocentes créatures injustement persécutées par le pouvoir de la Transition. Et Pourtant !

Mesdames et Messieurs les juristes de la Cedeao

Je vous prie très respectueusement de bien vouloir examiner avec moi la liste des tués dressée par la commission de réconciliation nationale mise sur pied par le pouvoir déchu de son Excellence Blaise Compaoré. C’est l’un des jalons importants de notre histoire nationale.
Cette “Commission ad-hoc chargée de la réconciliation nationale, installée le 23 novembre 1999 a remis son rapport au Premier ministre, Kadré Désiré Ouédraogo le 22 février 2000 à son cabinet.”

Ce rapport intitulé “Liste non exhaustive des crimes perpétrés au Burkina Faso depuis 1987 (par ordre alphabétique)”, recense plus 105 dossiers de crimes de sang perpétrés dans notre beau et riant pays, par des dirigeants qui ont prêté serment de défendre la constitution, de protéger la veuve et l’orphelin. Et la dernière phrase de cette liste est assez explicite : “Liste pouvant être complétée … ». Et croyez moi, elle a été complétée. Entre le 22 février 2000, date de la remise de ce rapport au premier ministre, et la date du 30 octobre 2014, des crimes tout aussi inexpliqués ont endeuillé des familles. Il convient d’y ajouter les victimes des 30 et 31 octobre derniers.

Mesdames et Messieurs les juristes de la Cedeao,

Vous avez bien lu : “liste non exhaustive... liste pouvant être complétée”. Je n’invente rien. Ce rapport est disponible et accessible à tous. Du reste, Son Excellence Monsieur Kadré Désiré Ouédraogo peut vous en parler, en tout cas mieux que je le puis. Voilà ce que les Burkinabè ont vécu des décennies durant, devant le silence coupable de la fameuse, très fameuse, communauté internationale. Et ce n’est que la pointe émergée de l’iceberg, dans l’océan des douleurs que les Burkinabè ont endurées. On ne compte pas les familles brisées ; on ne vous conte pas les reniements imposés aux uns et aux autres ; on ne vous dit pas la terreur dans les ventres ; on ne saurait vous expliquer les traumatismes suite aux élections truquées ; vous ne pouvez savoir les tourments multiples et variés sur les chemins incertains de l’exil. Que dire alors des corps torturés avec une joie sadique ? A force de subir des procès alambiqués, vous ne trouverez pas un Burkinabè qui irait devant nos juridictions sans appréhension. Nous avons assisté impuissants et égarés aux prévarications les plus subtiles, aux grivèleries les plus savantes.

Ce sont là des exclusions qui n’ont pas besoin du renfort du droit pour exprimer toute leur laideur. Mais, que s’est-il passé après octobre 2014 ? Vous n’avez pas entendu parler d’acte de vengeance, ni de règlements de comptes, encore moins de poursuite d’aucune sorte envers celles et ceux qui se sont rendus coupables d’asservissement de leur propre peuple.

Par bonheur, comme par inspiration divine, nos dirigeants ont appelé à la retenue. Et de façon unanime, cet appel a été entendu et compris. Sans cela, vous savez ce qui serait advenu. Chacun est instruit sur l’actualité brûlante de notre tumultueuse Afrique. C’est pour toutes ces raisons que la loi 135 du CNT a été comprise par les victimes d’hier comme un début de réparation. Et votre décision du 13 juillet 2015 vient reprendre ce début de soulagement. Que doit donc faire l’Africain pour rentrer dans ses droits ? On ne peut compter sur les instances nationales. Les instances internationales refusent de nous comprendre. Que nous reste-t-il donc ? Continuer de voir prospérer les faussaires à la loi ? Ainsi donc le pauvre regarde faire le fils savant armé d’un savoir dévoyé. Savoir dévoyé parce que permettant d’enjamber la vérité des faits.

Mesdames et Messieurs les juristes de la Cedeao

N’est-ce pas un savoir dévoyé, celui-là qui permet de dire que 4 mandats, ça fait en réalité 2 mandats ? Et que tripatouiller une constitution dans tous les sens est légal ? Faut-il donc comprendre que légal, ça veut dire machiavélique ? Ou alors les Burkinabè doivent-ils se résoudre à accepter qu’ils n’ont pas vécu ce qu’ils ont vécu ?
Je ne sais pas si les différents acteurs qui se sont présentés devant vous ont pris le temps de vous expliquer ces choses. Mais sachez que c’est là l’état d’esprit des Burkinabè dans leur grande majorité. Nous savons ce que nous avons vécu. A défaut de savoir ce qu’il serait judicieux d’entreprendre, nous savons ce que nous ne voulons plus vivre. Et demander aux bourreaux d’hier de s’écarter un peu, le temps pour nous de lécher nos plaies, nous ne voyons pas cela comme une exclusion. Tout au plus, une quarantaine salutaire pour tous. Le temps de la réflexion pour toutes les filles et tous les fils de ce pays.

Car il est important aujourd’hui de “Promouvoir l’adhésion de chaque Etat partie aux valeurs et principes universels de la démocratie et le respect des droits de l’homme.”. C’est-à-dire de bâtir enfin un Etat démocratique avec des institutions au service du citoyen Burkinabè. C’est pourquoi il est impératif de réussir la Transition sans heurts majeurs. Et c’est encore pourquoi, il est important de tenir et réussir les élections programmées dans trois petits mois.

Pour une fois, l’histoire donne l’occasion à un peuple d’un pays africain de se construire un devenir démocratique. Nous nous ôtez pas ce rêve, par excès de juridisme ! Car nous pensons naïvement que la loi doit être au service de la vérité. La terrible vérité, c’est que le bourreau d’hier restera toujours un compagnon inquiétant. Et le geste de fraternité des Burkinabè à l’endroit des “exclueurs” d’hier doit être compris à sa juste mesure. Ce n’est pas et ce ne sera jamais une invite à continuer les basses besognes.

Quand on me fait un tort, je le comprends. Quand on maquille un crime en accident, je parviens à percer le brouillard. Bref, quand on nie mes droits, je comprends. Je déplore que ceux qui détiennent le pouvoir de me libérer, moi et mes semblables, détournent le regard. Ceux qui ont le devoir de me protéger me martyrisent. Ceux qui peuvent leur dire d’arrêter ne le font pas. Et ça dure pendant 27 ans ; et à l’issue de ces 27 longues années, des savants dans des organisations internationales viennent me dire que j’ai tort de crier ma douleur ! Dans quel monde sommes-nous ?

Sayouba Traoré
Ecrivain-Journaliste

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Vos commentaires

  • Le 14 juillet 2015 à 18:28, par vérité no1 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    J’aime les écrits de Sayouba parce qu’il dit la vérité ! Tu peux te couper la tête c’est ton problème ! Cette décision bât..... de la CEDEAO vient comme une soupe versée sur une tête ! Un vrai faux débat !!!!!!!

  • Le 14 juillet 2015 à 18:41, par SIDNOMA En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Je valide.

  • Le 14 juillet 2015 à 18:44, par kouadio En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Sayouba vient vivre au Burkina et te battre avecnous au lieu de toujours jouer les connaisseurs, donneursde lecon. C’est bien mais en politique il n’y a pas de place ni a l’emotion ni a l’affectif. Viens te abattre mains nues

  • Le 14 juillet 2015 à 18:48, par Le Loup En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Bonjour Mr Sayouba, bien que votre écrit suscite un intérêt intellectuel, la décision de la cour de justice de la Cédeao invite tout citoyen à une modération d’esprit. La cour a dit du droit par rapport à un recours que l’État du Burkina Faso n’était pas en mesure de répondre. Il s’agit d’une violation de droit de l’homme et une loi discriminatoire qui exclue des citoyens. Les députés du CNT ont violé le droit de nos concitoyens en une loi discriminatoire décriée par la communauté internationale.

  • Le 14 juillet 2015 à 18:51, par rendak En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    propre !!! rien à redire ! le droit ne doit pas être une abstraction qui ne tienne pas compte de la réalité ! qu’on ne me demande pas d’accepter que mon bourreau d’hier ose se présenter devant moi pour solliciter ma voix tout simplement parce qu’il en a le droit alors que lui a piétiné les miens et ceux de mes frères et ce pendant longtemps sans que ces savants du droit n’en disent rien !

  • Le 14 juillet 2015 à 18:58, par ka En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Je me demande parfois comment les responsables de la CEDEAO et même de l’UA raisonnent par rapport a l’effort du peuple Burkinabé et les jeunes morts le 30 et 31 Octobre 2014 pour arrêter les crimes , la corruption a ciel ouvert et surtout les tripatouillages de l’article 37 par Blaise Compaoré et sa clique pour s’éterniser au pouvoir ? Et dès que les charognards tremblants de peur d’être mis aux arrêts pour leur passé lourd, ils courent a Abuja pour encore traumatiser un pauvre peuple déjà meurtri. Dès que la loi d’inclure les fautifs qui ont causé la mort de nos enfants est voté en accord avec le peuple meurtri, les criminels n’a pas attendu pour aller trouver leurs complices de juges a Abuja et annuler cette inclusion qui est légitime : C’est normal car celui qui tuait qui il veut ou il veut par le RSP, se trouve refugié dans le pays de ses beaux-parents avec toute la caisse du denier public Burkinabé pour les achats de conscience a prix d’or. La Cote d’Ivoire qui est le plus grand pourvoyeur du budget de la CEDEAO est aussi celle qui dicte les règles judiciaire de cet organisme mafieux dirigé par des dictateurs crapuleux. La CEDEAO et l’UA ont créer une Cour Africaine de Justice pour éviter qu’un chef d’état africain puisse être transféré a la Hayes : Pour ma part, je demande au peuple Burkinabé de se lever et quitter cet organisme mafieux qui est la CEDEAO, car la fierté vaut mieux que l’humiliation que nous inflige la Cote d’Ivoire et son célèbre beaux fils refugié criminel et sanguinaire qui est Blaise Compaoré.

  • Le 14 juillet 2015 à 19:03 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    vous vous n’avez encore rien vu. les heros vont tous devenir zéros. les gens ne mangent pas vos discours fleuves et vos poèmes. Restez la. Le CDP va revenir au pouvoir

  • Le 14 juillet 2015 à 19:06, par Cequejenpense En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Dans quel monde sommes nous ? Merci Sayouba.

  • Le 14 juillet 2015 à 19:08, par kimbo En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Oh mon frere, que le Dieu de Jesus Christ, le Dieu Createur,l’UNIQUE,LE SEUL VRAI DIEU qui n’est que VERITE,AMOUR te benisse pour cette verite dite a nos faussaires de la verite que sont les juristes de la CEDEAO. S’ils ne comprennent pas ce que tu leur dis,tant pis pour eux et pour les exaltes du CDP,instrumentalises par Blaise COMPAORE qui n’a meme plus honte de vivre sous les ordresa de Chantal,celle-la meme qu’il bastonnait a Kosyam sans vergogne ! Aujourdhui,BLAISE a renie ses racines et son honneur de vrai Moaga qui ne va jamais giter dans sa belle famille ! Quelle honte pour nous Burkinabe ! Si cetait moi,je preferais me suicider:c’est le haut fait que tout Moaga digne de ce nom doit faire en ce cas de figure ! Merci mon frere et CEDEAO OU PAS NOUS MAINTIENDRONS CETTE LOI DU CNT ET NOUS IRONS AU SCRUTIN AVEC CELA.LE BURKINA EST UN PAYS SOUVERAIN OU PAS ?DOIT-ON VENIR NOUS APPRENDRE A DIRIGER NOS INS- TITUTIONS ET NOTRE PAYS ???!!! lA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS !
    Par un frere depuis l’Allemagne mais je rentre au pays bientot et on verra !

  • Le 14 juillet 2015 à 19:14, par yelkaye En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Propre, plus de commentaire, que celui qui yeux regarde, sinon écouter les hommes de peu de foi !
    En francais facile de MAMADOU ET BINETA et sans tournure ambiguë.
    Je valide ... Que DIEU BÉNISSE LE FASO !

  • Le 14 juillet 2015 à 19:27, par hopeburkina En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Toujours exceptionnel. Merci encore

  • Le 14 juillet 2015 à 19:31 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci Mr Sayouba TRAORE pour cette analyse. Je pense que si les juges de la CEDEAO lisent ça, ils doivent tous démissionner. La Patrie ou la mort Nous Vaincrons !

  • Le 14 juillet 2015 à 19:36, par Sylvain NACOULMA En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci M. Sayouba TRAORE pour cette analyse. Digne fils du FASO. Je pense que si les juges de la CEDEAO lisent ceci, ils doivent tous démissionner. La Patrie ou la Mort Nous Vaincrons !

  • Le 14 juillet 2015 à 19:38, par Le guide En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Mon frère ton aigreur date depuis les sanctions que tu as enduré pendant la révolution. nous n’avons rien à cirer de cela. va pour suivre Blaise à abidjan et fais en ce que veux. tu es libre de pompe l’air. mais tu ne peux pas nous obliger à respirer ce que tu pompe.

  • Le 14 juillet 2015 à 19:38, par Durandal En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Simplement MERCI pour ce message

  • Le 14 juillet 2015 à 19:39, par zemosse En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci Sayouba . Mais hélas,ces Hon.juges payés grassement n’y comprendront rien car payés pour ça. Mais je suis convaincu qu’ils seront balayé un jour comme de vulgaires malfrats et jetés dans les poubelles de l’histoire.

  • Le 14 juillet 2015 à 19:45, par Freeman de T En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Chapeau grand-frère ! tu as dit dans un français limpide ce que beaucoup de tes compatriotes pensent. Au lendemain des 30 et 31 octobre 2014, j’étais fier de mon peuple pour sa tolérance à l’égard des anciens dignitaires du régime Compaoré : aucun n’a été touché dans son intégrité physique. Mais je suis sur le point de le regretter. Il eu fallu que "le deuxième battant de l’enfer" (pour reprendre l’expression du Pr Bado Laurent) s’ouvrît le 31 Octobre et peut-être qu’on n’en serait pas à parler "d’exclusion" pour de simples élections et pour seulement ... 5 ans ! Qu’est-ce que 5 ans comparés à 27 ?
    Après tout je me dis qu’il y a peut-être des gens tapis dans l’ombre qui souhaitent mettre sciemment le feu à ce pays. Mais comme on le dit : allons seulement !
    Dieu bénisse le Burkina !

  • Le 14 juillet 2015 à 19:56, par lieutenant Casimir Kaboré En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Monsieur Sayouba une copie la CPI , CPI !!! QUE DIEU VOUS PROTEGER DE LA FAMILLE CDP= COMPAORE DOIT PATIR !!!!!!!!!

  • Le 14 juillet 2015 à 19:58, par Rita.8 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    S’il est une affaire qui a fait trembler la République, c’est bien celle dite Norbert Zongo. Six ans après le drame de Sapouy, les commanditaires et les exécutants de cette affaire courent toujours. C’est un peu long non ?

    • La justice en est saisie et l’espoir demeure donc que la vérité éclate. Je suis de ceux qui ont le plus intérêt à la manifestation rapide de la vérité des faits.

    Est-ce une affaire qui vous a coupé ou qui vous coupe toujours le sommeil ?

    • J’ai été bouleversé et choqué car il s’agit de la mort d’un homme, un crime odieux que des personnes, à travers une certaine presse, s’évertuent avec un acharnement très calculé à me coller sur le dos ! N’importe quel être humain à ma place serait offusqué surtout s’il sait qu’il est parfaitement innocent.

    Il faut reconnaître que toutes les apparences vous accusent.

    • Ah oui ! Pouvez-vous me citer ces apparences qui m’accusent selon vous ?

    Celles dont tout le monde parle et que la CEI a relevées, à savoir qu’il y a une relation de cause à effet entre l’affaire David Ouédraogo et l’assassinat de Norbert.

    • C’est çà vos apparences qui m’accusent ? La CEI ne m’a pourtant pas mis en cause en dehors des extrapolations que vous faites ! Vos apparences devraient être mieux fondées que sur des supputations et des extrapolations qui n’ont rien d’apparent, mais qui sont subjectivement puisées dans des rumeurs calculées.

    Quel était votre programme le 13 décembre 1998 puisqu’on dit que vous vouliez vous assurer que le boulot serait fait avant de voyager ?

    • Tiens, tiens ! En tout cas je n’avais confié aucun "boulot" de ce genre à qui que ce soit ce jour là ! Quant à mon programme, la CEI m’avait largement interpellé sur cette question avec toutes les vérifications nécessaires.

    Le 13 décembre 1998 dans la matinée, si j’ai bonne mémoire, j’ai participé à un meeting de remerciements des électeurs au Centre populaire des loisirs de Ziniaré, auquel a pris part le secrétaire général du CDP à l’époque, monsieur Simon Compaoré. L’après-midi j’ai dû quitter Ziniaré pour rejoindre Ouagadougou afin de participer à un autre meeting au secteur 8 où je me souviens même avoir pris la parole.

    Après ce meeting, j’étais contraint de rentrer chez moi puisque je prenais l’avion ce même soir pour participer à la journée du Burkina organisée à Paris le 15 décembre 1998 et qui était programmée depuis fort longtemps.

    Je n’ai été informé de la mort de Norbert Zongo que le 15 décembre 1998 ! Tous ces faits ont été minutieusement vérifiés par la Commission d’Enquête Indépendante et vous constaterez que j’avais ce jour-là le programme d’un citoyen et d’un militant préoccupé avant tout de remercier les populations suite au bon déroulement de l’élection présidentielle qui venait d’avoir lieu à la mi-novembre.

  • Le 14 juillet 2015 à 20:07, par la ouagalaise En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    il ya tjrs des fils dignes au Burkina Faso {}.merci sayouba et que dieu t’entends

  • Le 14 juillet 2015 à 20:09, par vérité no1 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Que les pseudo-juristes de la CEDEAO repartent à l’école de droit ! Point barre !

  • Le 14 juillet 2015 à 20:15, par LE LOUP En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Mr, vous parlez un peu trop, ceux qui ont redigé" l’article 135 connaissent KANT,DESCARTS ET HEGEL, et ils l’on fait pour ces ignares dont vous parlez.Mais le hic , c’est qu’ils ont mal ecrit un article que des hommes connaissant DESCARTS,HEGEL et KANT on jufé contraire au droit qu’ils ont appris ensemble dans les hanphythéatres et et autre.Neanmois je pense que vous serez unbon poete.

  • Le 14 juillet 2015 à 20:22, par ZAPATA En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Écrit très pathétique qui décrit vraiment la situation injuste que nous vivons et que cette fameuse cour n’a vraiment pas perçue. Que dire de plus : opposition légalité (que dis-je ? Juridisme) et légitimité des peuples opprimés ?

  • Le 14 juillet 2015 à 20:28, par le serein En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Tres bien dit mon frère. Quelquefois je me dis que les compromissions au plus haut niveau sont a la base des nouvelles formes de contestation (djihadisme, terrorisme, etc.) que nous vivons aujourd’hui a cause de l’injustice et de l’irresponsabilite.
    Dieu veille sur le BURKINA !

  • Le 14 juillet 2015 à 20:30 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Mr sayouba vous êtes fou ! on passe !

  • Le 14 juillet 2015 à 20:31, par BURKIMBILA En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Ce que vous avez dit est, on ne peut plus clair. Ce qu’il faudrait se demander, c’est "est-ce que ces Fonctionnaires qui semblent avoir atteint les limites de leurs carrières sauront comprendre la portée négative de "leurs Actions" contre le peuple burkinabé pour des pécadilles qu’ils (membres de cette Cour) ont pu engranger pour sortir cette décision ineptique. Nous savons, avec la présence du teneur de la bourse, flibustier invétéré connu à Cotonou (très proche de Lagos et par voie de facilité de communication Abuja), son jeu de prédilection qu’est la corruption est très vite joué. Mais qu’ils fassent attention car, "la Société faisant le Droit pour que celui-ci la gère", nul ne saura parce qu’il a été recruté comme Magistrat à ce poste sous-régional, imposé aux burkimbi une façon de vivre. Nous sommes tous allés à l’Ecole des blancs et savons lire et bien lire entre les lignes. Et comme le disent les ivoiriens, "A connait pas, A demander". S’ils ne le savent pas, qu’ils le sachent maintenant. Mobutu a été plus fort que Blaise Compaoré. Mais aujourd’hui il dort au Maroc en laissant tout son pays dans la détresse, la misère. Au Burkina faso, nous sommes suffisamment éveillés pour ne pas permettre de telles choses dans notre pays. Que les organisateurs de chaos retiennent qu’il faudra qu’ils passent sur nos corps avant de parvenir à leurs buts. A bon entendeur, Salut. UN BURKIMBILA

  • Le 14 juillet 2015 à 20:42, par boudou En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    20/20 a mr Traoré tu es un patriote , ceux qui encouragent les criminels sont aussi les criminels . Ancien majorité je vous demande de nous expliquer comment sont arrivés les crimes de sang et économiques car vous étiez avec l’ancien régime ou bien dite nous seulement 1000morts à droite ,1000 à gauche on s’en fou ,pourvu qu’on gagne pour nous.

  • Le 14 juillet 2015 à 20:54, par BEN En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci Mr, nous n’allons pas prendre cette décision au sérieux, car nous savons ce qui nous attends avec le retour de ces comparose après 27 ans de misère.des gens qui ne passent leurs temps a faire du mal.

  • Le 14 juillet 2015 à 20:57, par Lucien Sanou En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Cet homme a bien parle et en vaut la peine d’etre entendu. Il a dit mieux que ces stupides de la cedeao places la-bas personne ne sait comment. Que se taise celui qui ne sait rien. Dans le silence on apprend toujours que dans la platitude et stupidite. Ces soit-disant juristes sont stupide. Ce sont des quoi de la cedeao. Quelle justice ou quel droit ? Souvent le ridicule pousse des gens a se devoiler. Ces gens-la de la cedeao sont des voyoux que vous payez pour se foutre de vous. Ils ont insulte l’intelligence et la sagesse du peuple du BF. A la CNT de voir si leur stupidite en vaut une attention. Tout ce qui est arriver est de la faute au CDP, MPP, RDA, et tous ces petits mange-millet voleurs qui osent aller se plaindre et se presenter. Un comme Marc Rock Compare et autre ne devait meme pas pretendre a un quelconque quoi que ce soit. A fortuori, ces malheureux dechus. Les demons ne lachent jamais, ca nous le savons aussi. Mais s’associer aux bandits de la cedeao. Les Africains n’ont pas honte, vu des dirigeants a la destinee des organisations comme la cedeao et l’UA. C’est triste

  • Le 14 juillet 2015 à 20:57, par Ouedmous En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Bien dit et bonne réflexion tachez prochainement dans un français facile afin a un bon nombre de personnes de partager votre commentaire je vous remercie

  • Le 14 juillet 2015 à 21:02, par Ouedmous En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Bien dit et bonne réflexion tachez prochainement dans un français facile afin a un bon nombre de personnes de partager votre commentaire je vous remercie

  • Le 14 juillet 2015 à 21:04, par bédjou En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    je valide. très bonne prise de position

  • Le 14 juillet 2015 à 21:35, par CEDEAO Resonne En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    N021, Verite N0 1, je rectifie plutot. Ces juristes ad hoc de la CEDEAO ont plutot besoin de repartir a l’ ecole de la morale et surtout du bon sens. Dalloz pourrait transformer le crime en bine s’ il le veut et s’ il a la cour avec elle. Il faut vopus mefier de la justice des hommes parce qu’ elle enfeme deux ans un voleur de poulets et libere un voleur avec 2 milliards de cantines. Pouah ! N’ importe quoi. Je respecterai difficilement les juges sans proceder au cas par cas.Pourriture ! Monstres !

  • Le 14 juillet 2015 à 21:36, par bangba En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Polimiqué et plomiqué,aujourd’hui des rit,sautent,soutiens la CEDEAO,attendez ils vont pleurez un jour par la même jugement de la même CEADO, attention la CEDEAO revient à la Charge pour rendre justice aux martyrs des 30 et 31 octobre,
    mais comment je ne sais pas,ce jourà ceux qui félicitent aujourdhui insulterons la mêmenCEDEAO,ne prenez pas comme cadeau cette décision de la CEDEAO. Cette décision cache une autre.
    Je ne connais rien et ne sait rien,mais attendez, les intelligents lisent autrement cette décision que nous. quels conseillent la CEDEAO a donné au gouvernement de transition,et la CNT ?la CEDEAO n’a t il pas donné des conseils au juristes de la CNT ?

  • Le 14 juillet 2015 à 21:43, par Nouvelle En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci Mr Traoré ! Ce machin imbu de gros salaires est un syndicat des dictateurs et de leur parti pourri. Tout ce que les Burkinabè ont enduré pendant 27 ans ne les regarde pas. Pourvu que leurs poches se remplissent. Où était-elle durant tout ce temps ? La justice Divine rattrapera la CEDEAO un jour. Dieu ne dort pas. Dieu aimant le Burkina Faso ne nous laissera pas périr comme le souhaite la CEDEAO.

  • Le 14 juillet 2015 à 21:46 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Le grand frère dérange et va toujours déranger avec ses écrits, ceux qui se sont compromis avec BC durant son long règne.
    C’est vrai qu’il (BC) a eu l’intelligence de "mouiller" beaucoup de pseudo intellectuels affamés.
    Mais on se souvient qu’il était dans ses petits souliers lors de l’assassinat de son ami.
    En 27ans BC, a eu le temps d’user pas mal d’opposants si il ne les a pas " fait". Alain YODA en sait quelque chose.
    Il a sourtout eu les " guiros" nerf de toute chose. Avec les cantines qu’il a embarqué il peut toujours être actif et nous nuire.
    Les juges de la CEDAO ? boff ! De la même manière que BC lui même ne les écoutait pas, pourquoi on les écouterait nous ? C’est connu le droit et la légitimité sont parfois antagonistes, donc ils ont dit le droit mais nous avons la légitimité. Ne nous perturbons pas par leur arrêt, avançons.
    Merci pour ton écrit.

  • Le 14 juillet 2015 à 22:01, par PAR L’HOMME INTEGRE En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    RAS,Mr TRAORE vous avez tout dit ?Qu’ils(les juges-CDP et acolytes) te lisent avec de nous donner raison.Qu’ils n’oublis pas que toutes les compromissions se payent sur terre !ils repondront devant l’histoire !!!LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS !!!!!!!!

  • Le 14 juillet 2015 à 22:29, par Yéro sanou En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci à Sayouba Traoré, Mon frère Ka merci tu as tout dit rien a ajouter queDieu vous bénisse tous les deux.

  • Le 14 juillet 2015 à 22:33, par ZES En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Je voudrais que la CEDEAO, arrête de faire ce qui arrangent des Individus. nous ne voulons pas d’une telle CEDEAO. Je comprend mieux pourquoi, la CEDEAO des peuples à du mal être une réalité. Pour votre information, le Burkina Faso va appliquer son code électorale voté conformément à la volonté de son peuple. où était la CEDEAO lorsque Blaise voulait modifier la constitution ? que dit la CEDEAO lorsque des élections calamiteuses ont été organisées et remportées par Faure au TOGO ? ; Les 30 et 31 des Burkinabé membre de la CEDEAO Sont tombée, mais cette CEDEAO Défenseur de droit ne dit rien jusqu’au jour d’aujourd’hui. Comme si ceux qui sont morts mérites la morts et les délinquants qui sont à l’origine de cet acte ne mérite pas l’exclusion.

  • Le 14 juillet 2015 à 22:47, par dougoumato En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Monsieur Traore laisse ces misérables avec leur conscience si conscience y en a. Quant aux burkinabé qui supportent les inconscients de la CEDAO, votre tour arrivera un jour car tout se paie sur terre. L’argent et le matériel ne font pas forcément le bonheur et Blaise peut vous le confirmer. Il a des milliards en compte mais il est aigre comme citron là où il est. Il subit sa vie au lieu de la vivre. Que Dieu nous garde.

  • Le 14 juillet 2015 à 22:53 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Pour ma part, cette CEDEAO qui est incapable de parler limitation de mandat avec le Togo et la Gambie perd tout son sens de la rigueur. On ne peut pas concéder le pouvoir á vie aux chefs d’État et vouloir s’ériger en donneur de leçons de démocratie encore moins de droit.

  • Le 14 juillet 2015 à 23:00, par Kon N’doungtouly En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Internaute n 3 ou Madame ou Monsieur , ignoriez vous que dans notre Faso là les suffrages sont déterminants dans les 90% par ceux là guidés par leurs émotions ou l’affection qu’ils nourrissent à l’endroit des candidats parce que tel candidat est fils du village ou tel m’a donné un sac de riz ou carton de sucre !? Je ne vous apprends rien qu’un bon politicien doit savoir jouer sur la corde sensible de la foule qui est devant lui , on s’en fout d’un programme politique quelque soit sa vision.
    Par contre si vous dites que dans les intrigues il n y a pas d’émotion ou d’affection alors je vous soutiens !
    Merci à Mr Sayouba Traoré pour sa contribution combien incommensurable pour l’éveil citoyen .

  • Le 14 juillet 2015 à 23:35, par nadjiol En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    les internautes n°3, 7, 15, 23, ET 26 vous êtes les ennemis de la majorité du peuple a cause de vos tubes digestifs.sachez une chose la vérité fini par triompher un jour.et vous aller fuir ce pays comme l’autre.

  • Le 15 juillet 2015 à 00:33, par Le Vigilent En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci

    . Sayouba pour cette contribution.
    Dans les attendus de la cour de justice de la CEDEAO, les eminents juristes de la cour ont declare qu’a la suite de violentes manifestations qui ont eu lieu les 30 et 31 octobre 2014 au Burkina Faso et qji se sont soldees par quelqjes morts..., minimiant ainsi les pertes en vies humaines (plus d’une trentaine) et omettant de preciser que ce sont des insurges aux mains qui ont ete massacres par la garde pretorienne de Blaise Compaore.
    Le parti pris des juges est donc evident et l’arret de la Cour en est la suite logique.
    On verra du tout dans notre sous region ou souvent, ceux qui sont senses vous proteger vous livrent a vos boueaux.

  • Le 15 juillet 2015 à 01:48, par cedeao En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Les organisation international qu’est qu’il font ? La même cédeao était muete quand Blaise compaore voulais imposer au peuple burkinabé un pouvoir à vie il viendront jouer au pompiste que seulement si si on n’avait compter des millier de morts et si le burkina allait a un référendum voir dans ce cas invoquer l"arrestation de Blaise la dissolution de tout les parti qui on conduit à l’insurrection et banir tout ses menbres qui on pousser jusquau dernière jour vous verrez qu’elle est le point de vue des burkinabés au lieux que ce soit des juges venu de nul parts qui nous dirons ceux qu’il faut faire ou ne pas faire

  • Le 15 juillet 2015 à 02:22, par Matou à Sikassossièra En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Mr Traore il faut retenir ceci : le Juge ne juge pas sur la moralité mais sur le droit. A son temps il fallait aider les messieurs du CNT à rédiger un bon texte comme vous connaissez le droit.
    dans un village mossi on dit : le lièvre ne peut pas accoucher l’enfant de l’âne .
    Au sortir des événements d’Octobre personne n’achèterait le CDP a 10 f . Aujourd’hui allez sur YouTube voir toute la mobilisation du CDP . Cela démontre l’échec de la transition . Il faut vous en prendre à ceux qui l’on conduit. Avec les nouvelles technologies on ne peut plus cacher malheureusement la réalité . Si vous voulez que les juges s’appuie sur la vérité ils voient tous la forte mobilisation du CDP dans les régions du Faso.
    Le vrai thermomètre de la démocratie reste toujours le peuple. Dans un pays si les affaires ne marchent pas, le régime qui conduit le pays sera d’office rejeté .
    Il me semble que vous êtes trop loin des réalités de ce pays. Les choses à critiquer vous jouer à l’autruche pour ne pas les voir.
    Les gens sont fatiguées des longs textes maintenant .
    cocorico salut !

  • Le 15 juillet 2015 à 03:46, par vérité no1 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    @Kimbo, d’accord avec vous ! Je préfère me suicider que d’aller vivre dans la case de ma belle mère ! Karissa ! Wend N’a Sam Yande ! C’est mieux de prendre un Kouakou et tu es tranquille.

  • Le 15 juillet 2015 à 06:40 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Vraiment, c’est fait mal

  • Le 15 juillet 2015 à 06:55 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    La lutte est féroce. Personne ne quitte facilement et de bon coeur son palais. Je souhaiterais que les juges de la CEDEAO viennent un jour écouter les burkinabè meurtris dans leur chair. Une question très simple : ceux qui veulent être Calife aujourd’hui à la place de BC, quand vous vous taisez et dites sans arrêt : "Oui allons Monsieur le Président", si Blaise avait modifié la constitution, Homme sans c...lles, alliez-vous vous présenter ? Les Burkinabè savent que votre combat c’est revenir protéger toute la fortune acquise. Malheureusement la façon dont la Transition était partie on ne pouvait pas vous embastiller ? Autrement, Thom sank a été exclu par Blaise. Oumarou Clément a été exclu par Blaise, les septs conjurés du faux coup d’état ont été exclus par Blaise, Norbert ZONGO a été exclu par Blaise, Nezien Badembié, Henri ZONGO, Lengani et..... Eux tous sont exclus par Blaise et par vous à ses côtés. Les carcasses de cadavres découvert chez le petit président ont été exclus, par pour 5 ans mais pour toute la vie..
    Les autres continents ne peuvent pas respecter l’Afrique puisque beaucoup d’Africains n’ont aucun grain de fierté et d’amour pour les Africains.
    Abject, triste comme décision de justice.

  • Le 15 juillet 2015 à 07:31, par Le Sénateur En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Bien dit petit fils. Mais tu oublies que les ennemis de l’ Afrique ce sont les Africains eux mêmes. Ça fait simplement pitié. Dieu sauve le continent africain.

  • Le 15 juillet 2015 à 07:37, par Noyesman En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Big up Mr Traore, le verdict de la Cour de justice de la Cedeao n’a rien d’étonnant. Comme de nombreux internautes l’on relevé le tandem Alassane Ouattara - Désiré Kadré a assuré le lobby auprès de juges probablement francmaçons. On sait comment on accède à un poste de responsabilité dans ces organisations internationales qui prétendent promouvoir la bonne gouvernance politique et économique. Les disciples du grand architecte avec l’onction de la grande loge de Côte d’Ivoire feront tout pour nous imposer un frère de lumière au Burkina Faso. Les évènements du 30 et 31 octobre 2014 ne les ont pas encore inspiré. En Dieu l’unique, le peuple a mains nues est vainqueur. Allons seulement, le 11 octobre 2015 nous dira.

  • Le 15 juillet 2015 à 08:25, par Solvay En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Quand on fait une analyse, on se doit d’être objectif. La cour de justice de la CEDEAO, n’est pas compétente pour les litiges nés de l’interprétation de lois nationales,la crise née de la tentative de déverrouillage de l’article 37 devrait être réglée par nos sages de la cour constitutionnel, ils n’ont pas eu les "gouilles", ceux de la CEDEAO en ont eu en ce qui concerne les violations de droit liées à la liberté d’expression et à la liberté d’opinion. Pour ces questions la cour de justice de la CEDEAO est compétente. Donc éviter nous vos élucubrations de bas étage et permettez nous d’aller seulement...

  • Le 15 juillet 2015 à 08:32, par tinbila En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Monsieur sayouba après unr lutte héroïque pour chasser BLAISE VEUT transformer son engagement en espèces sonante et trébuchante. Il ne le crie pas sur tous les toits mais il est militants MPP depuis l’insurrection. Donc monsieur le journaliste de RFI vos mentor du MPP Sson plus coupable si exclusion il avoir ils doivent être les premiers. La politique c’est pas se cacher derrière des écrits qui dénonce une décision de justice mais assumez vous avancez en plein jour.

  • Le 15 juillet 2015 à 08:33, par burkina En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Cdp et accolite heiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

  • Le 15 juillet 2015 à 08:37, par tinbila En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Monsieur sayouba après unr lutte héroïque pour chasser BLAISE VEUT transformer son engagement en espèces sonante et trébuchante. Il ne le crie pas sur tous les toits mais il est militants MPP depuis l’insurrection. Donc monsieur le journaliste de RFI vos mentor du MPP Sson plus coupable si exclusion il avoir ils doivent être les premiers. La politique c’est pas se cacher derrière des écrits qui dénonce une décision de justice mais assumez vous avancez en plein jour.

  • Le 15 juillet 2015 à 08:47, par touchpaa37 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    COUMA BANNA...
    C’EST BIEN FAIT POUR LA G... DU CDP NAFA & FRON ALIMENTAIRE...
    J’AI PARTICULAIREMENT ADOREE CE PASSAGE DU MINISTRE PORTE PAROLE
    """Mais la révision du Code électoral n’est pas nécessairement envisageable, compte tenu surtout de l’interdiction faite au niveau communautaire CEDEAO, de modifier la loi électorale moins de six mois avant les scrutins. """"
    on appelle ça un boom round hahahaha

  • Le 15 juillet 2015 à 09:06, par vialy En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci Sayouba digne fils du burkina

  • Le 15 juillet 2015 à 09:15, par YAT@ En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Les Juges de la CEDEAO ont fait du JURIDISME, ils ont trahient l’essence même du Droit
    "il y ’a la loi et l’esprit de la loi"
    Je félicite M TRAORE pour sa clairvoyance et son esprit critique !
    Nous sommes des témoins vivants de faits qui marqueront l’histoire de notre chère Patrie. Nous avons donc l’OBLIGATION de léguer aux génération futures un Référentiel pour leur développement.
    Que Dieu bénisse le Faso !!!

  • Le 15 juillet 2015 à 09:26, par Alias En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Dire le droit veut dire quoi en termes simples. C’est tout simplement faire le bon choix (pour le futur) et en fonction de la situation en face (présent, passé). ainsi défini, c’est dire le droit dans d’autres domaines. Donc le CNT a fait le bon choix pour un lendemain meilleur.
    SVP, il faut demissionner Mr les juristes de la CDEAO.

  • Le 15 juillet 2015 à 09:40, par AN En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Bien dit. Les anciens ministres, députés et maires seront exclus.n’en déplaise au CDP et à la CEDEAO.

  • Le 15 juillet 2015 à 09:40 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    soyons franche on s’en tient a la decision de la cedeao ce sont les sayouba qui vont entrainer le pays dans le feu laisser le peuple designer son president cette loi a ete voter par une minorite presenter on a l’impression que le CNT est corrompu quelque part

  • Le 15 juillet 2015 à 10:36, par yadarr En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    A la question dans quel monde sommes-nous ?
    Je réponds tout simplement dans un monde semblable à une échelle où ceux qui montent au sommet de l’échelle piétinent ceux qui veulent monter(Soit par complicité, soit par volonté).
    Je vous renvoie une autre question :
    Si vous êtes en bas de l’échelle quelle attitude allez vous tenir ? ; se laisser piétiner,piétiné les autres ou se battre pour monter...

  • Le 15 juillet 2015 à 10:37 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Wayiiiii, le Kasma est trés fâché dey..... Courage pour la suite.

  • Le 15 juillet 2015 à 10:44 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    internaute numéro 3,7,15 et 26 si vous ne comprenez pas français c’est pas la faute à quelqu’un !!! allez y vous faire voir !!!

  • Le 15 juillet 2015 à 10:48, par kamifi En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Juste pour remercier l’internaute 56 dont le pseudo laisse pensif, pour sa comédie. Il est resté en marge du débat pour faire sortir ceux qui y sont. Peine perdue

  • Le 15 juillet 2015 à 10:48 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci mon frère. Quand je te lis j’ai les larmes aux yeux. Que Dieu tout puissant te benisse et te protège. Qu’il protège le peuple Burkinabè contre tous ces vampires du CDP et de la CEDEAO.

  • Le 15 juillet 2015 à 11:18, par Le Guetteur En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Je comprends et je cautionne d’ailleurs ceux qui font fi des donneurs de leçons quitte à être prêt à en découdre. Effectivement, le droit est aussi la reconnaissance des faits. Personnellement je m’en fous de la décision de la CEDEAO mais je me plierais plutôt à celle de la Cour Constitutionnelle pour laquelle j’aurais du respect quelque soit la future décision qu’elle prendra sur les candidatures futures ou déclarées qui lui seront soumises. Car, la CEDEAO s’en fout de notre projet de société encore moins de nos souffrances.

  • Le 15 juillet 2015 à 11:22, par RV En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Impeccable ! Qui peut prévoir la réaction des insurgés ? Si demain les deux camps doivent manifester, quel sera le résultat ? Le pire est à craindre avec une transition faible, armée divisée et une classe politique et socité civile largement corrompue. Dieu sauve le Burkina !

  • Le 15 juillet 2015 à 11:31, par sidpawalimdé En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    j" ai toujours dit aux actifs d’aller à l’école du droit sinon il serait difficile d’engranger des acquis durables ; on a en expérience la remise en cause des jugements des TPR ; en voulant ratisser large, les députés CNT ont voulu faire de l’article 135 du code électoral une arme à destruction massive . or les armes de cette nature ou les condamnations massives sont condamnées par les conventions sur les droits de l’homme même en légitime de défense ;
    on aurait eu le courage de lister les membres du gouvernements ayant adopté le projet de loi,les dirigeants des partis plaignants et les individus qui se sentent concernés et on aurait économisé un débat. merci donc à la cour de justice CEDAO de nous guider dans l’orientation de l’application du nouvel article 135 et de nous rappeler l’interdiction à atteinte massive des droits humains même en cas de discrimination positive temporaire telle préconisée par l’article 23.5 de la charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance.

  • Le 15 juillet 2015 à 11:36, par JMP En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Je salut avec bravoure l’analyse de cet homme qui connaissant bien l’histoire de notre pays a osé répondre aux juristes de la CEDEAO. A mon avis cela ne me surprend pas quant on sait que c’est KADRE Désiré Ouedraogo fils de ce pays et qui est un ancien compagnon du régime de Blaise COMPAORE qui se trouve aujourd’hui’ hui à la CEDEAO. D’ailleurs son Nom a été cité entre temps comme le Candidat du CDP

  • Le 15 juillet 2015 à 12:22, par Paquita En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci Monsieur TRAORE. Bravo !!! que Dieu bénisse le Burkina Faso.

  • Le 15 juillet 2015 à 12:31, par sidnoma En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Mon ami, revenez ici au Faso pour que éventuellement nous éteignons les feux ensemble, ces feux que vos émotions allument, ces feux que de votre asile doré, vous cherchez à enclencher. Comment se peut-il que vous ne soyez exigeant envers les avocats que l’état du Burkina a grassement payé et qui au lieu de murir leur dossier faisaient des meetings pour en arriver à ce résultat.

    Vous êtes poétique certes, mais je suis estomaqué par cette haine qui vous emprisonne et je crains qu’à cette allure, elle vous consume et vous neutralise. J’ai toujours apprécié l’émission que vous animez sur rfi, mais j’avoue qu’après vous avoir réellement connu, l’évocation de votre nom me démange. Comment un intellect qui vit dans la patrie des droits de l’homme où il peut s’il le désire congédier sa femme et prendre un homme (hô abomination !!), peut-il jeter des salissures sur un collège de juges qui ne savaient peut-être même pas avant ce dossier ce que signifie le sigle CDP ? Je ne vous ai pas entendu lorsque nos fameux députés se sont octroyé des émoluments qui dépassaient les anciens députés dépités ; non plus lorsque le député a volé un ordinateur portable ; lorsque, lorsque.

    Si vous avez un problème particulier avec Blaise ou ses camarades de l’ancien régime, attrayez-les devant les juridictions de votre choix. Je vous conseille dans ce cas de confier votre dossier à Me SALEMBERE et à surtout vous éloigner du cabinet KAM et SOME.

    Par votre attitude, vous tentez de nier le rôle de la défense dans les deux sens ; vous niez le travail colossal abattu par Me SALEMBERE et Cie pour gagner la bataille ; vous niez le manque de professionnalisme de Guy Hervé KAM qui peut-être, est un bon militant OSC, mais s’est révélé un piètre défenseur de l’état du Burkina.

    A moins d’être un état voyou, le Burkina exécutera la lettre et l’esprit de l’arrêt. Ceux qui tentent le dilatoire seront vite déçus car dans un jugement, le verdict se trouve à partir de la formule qui suit : PAR CES MOTIFS LA COUR................................................................... EN LA FORME :...............................AU FOND................. point/barre.

    Toute la littérature qui précède représente des enseignements et non des verdicts. C’est aussi simple, et si l’on se dit intellectuel, on doit accepter le fait QUE DURE SOIT-ELLE, LA LOI RESTE LA LOI.

    Maintenant, le BF peut chercher le statut d’état voyou et comme le disait quelqu’un hier, toutes les options en ce moment seront ouvertes contre cet état voyou EN VUE DE LE RÉCONCILIER AVEC LA LOI.

  • Le 15 juillet 2015 à 12:37 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Les gens du CDP prennent les autres burkinabe pour des imbeciles et a force de se comporter de cette facon, le prochain clash risque d’etre tres sanglant. Meme dans l’Armee, la soit disante hierarchie militaire qui reclame le depart des militaires du gouvernement sont des militaires qui militent au CDP. Le RSP est aussi CDP. Donc, la soit disante hierarchie militaire + le RSP = CDP. Si nous burkinabe nous n’ouvons pas l’oeil, ces gens vont tout faire pour faire echouer la transition qui est a 3 mois de son terme. Ces gens du CDP deguises ont infiltres toutes les couches de notre societe. Le CDP est un poison qu’il faut extirper de notre nation, meme si cela se fera au prix de nos vies. A bon entendeur, salut.

  • Le 15 juillet 2015 à 12:42, par L’Afro-optimiste En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Voici des vrais intellectuels que le Burkina Faso doit faire valoir
    fils intègre chapeau bas.
    Cet extrait est adressé à ceux qui ont un cerveau pour comprendre.

    LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS

  • Le 15 juillet 2015 à 12:47, par Spiegel En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Kilililililililililili !!!!!!!!
    C’est tout ce que je peux dire en hommage à ce digne fils de l’Afrique et à son écrit. Merci le koro TRAORE
    Kilililililililililililililililililili !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • Le 15 juillet 2015 à 13:00, par Le Burkindi En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Bravo vié père, tu as tout dit !

  • Le 15 juillet 2015 à 15:00, par ouerdaogo oumarou En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO :Et si on avait fait comme ça

    « « « « la » » » » pire des erreurs que les insurgés ont commis c’est de ne pas aller jusqu’au bout en nouchi on (dit qui a tué et n’a pas égorgé )il fallait terminer le travail d’après un militaire les chasser les bruler et les faire subir le plus de tort mais on les a laissé tranquille les sales agneaux deguisés en loup ceux là je parie que désormais c’est pas tous sorciers qui s’envolent .Des voleurs du peuple que la cedeao veut réhabilité on est mort encore avec ses genres de politiciens qui n’ont pas honte qui tuent qui volent leur peuple

  • Le 15 juillet 2015 à 15:31 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Je suis déçu par cette personne je vous croyais intégre et pour le Burkina mais vous voulez mettre le feu au pays monsieur Sayouba. C’est la loi vous avez invoqué la charte de l’union africaine et la CEDEAO Vous as condamné à permettre à tous d’aller aux élections et que le peuple choisis sont président donc arrêter.

  • Le 15 juillet 2015 à 15:51, par Zereson En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci Sayouba c’est propre.Les choses sont maintenant simples : ou nous parachevons notre lutte en révolution ou des institutions réactionnaires et rétrogrades nous humilient et que nos martyrs soient morts pour rien.Si nous ressortons on verra si une CEDEAO bâtarde viendra nous en empêcher.Nous sommes très nombreux à être prêts pour ressortir.On a pris notre retenue pour de la faiblesse.
    Reprenez vos cahiers d’histoire et voyez le processus de la révolution russe.’’Les mêmes causes produisent les mêmes effets’’.

  • Le 15 juillet 2015 à 17:25, par SAPO En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    "Ce rapport intitulé “Liste non exhaustive des crimes perpétrés au Burkina Faso depuis 1987 (par ordre alphabétique)”, recense plus 105 dossiers de crimes de sang perpétrés dans notre beau et riant pays, par des dirigeants qui ont prêté serment de défendre la constitution, de protéger la veuve et l’orphelin. Et la dernière phrase de cette liste est assez explicite : “Liste pouvant être complétée … ». Et croyez moi, elle a été complétée. Entre le 22 février 2000, date de la remise de ce rapport au premier ministre, et la date du 30 octobre 2014, des crimes tout aussi inexpliqués ont endeuillé des familles. Il convient d’y ajouter les victimes des 30 et 31 octobre derniers"
    Tu n’est pas crédible et c’est malsain. pourquoi la liste commence à partir de 1987. Ceux qui sont morts entre le 04/08/1983 ou même avant et 14/10/1987 ne sont pas pour toi des Burkinabés. Et puis il n’ y a pas de lien entre cette décision de la CEDEAO et ce que tu racontes. Les juges n’ont fait que leur travail ; tout comme toi aussi tu vas faire des animations dans les villages. Si des gens sont assassinés , il appartient à leur famille de déposer plainte contre X . Tu es un grand journaliste pour mélanger droit et sentiment. Et si tu ne prends pas garde , tu risque de perdre ton poste à RFI

  • Le 15 juillet 2015 à 20:02, par al ikhlas En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    très bonne analyse.j’espère ces juges vont cet article la.merci tonton

  • Le 15 juillet 2015 à 20:46 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci de recentrer le debat autour de l’humain (nous Burkinabe). C’est dommage que ton language soit inaccessible aux juges de la CEDEAO qui mangent a d’autres rateliers....les rateliers de la honte. Cela ne fait aucun doute ils sont manipules par les enemis du Faso dont le seul objectif est de bruler le pays et y semer la desolation (suivez mon regard). Il faut rester vigilents car nous avons des enemis de l’interieur comme de l’exterieur. Le gouvernmement de transition doit coute que coute tenir le cap...vers et pour aboutir aux elections le 11 octobre prochain. Tout changement en cours de route fera chavirer le navire du Faso, avec des consequences incalculables. Les moyens du pays etant limites toute derive nous plongera dans l’enfer. Les crises actuelles telles que celle suscitee par le RSP ou la nouvelle loi electorale qui est une emanation du peuple, sont des situations construites de toutes pieces pour voir le pays sombrer. Des compatriotes comme Sayouba nous en voulons des centaines....des milliers....des millions pour redresser la barre...la tete et pour que nous puissions continuer a etre une terre de paix.

    L’homme de Kadiogo

  • Le 15 juillet 2015 à 23:06, par Nazinigouba En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Pourquoi avoir accepter la décoration de l’ancien régime ?

  • Le 15 juillet 2015 à 23:13, par amah ohne En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Monsieur Traoré vous êtes un digne fils du Faso qui connaît la réalité du pays et ce que vie notre peuple et votre message est très salutaire quitte aux soit disant savant de s’instruire à ce niveau de notre histoire car je ne crois pas qu’ il le savent vraiment et de respecter les aspirations de notre peuple les burkinabés qui est juste et juridiquement fondée car même dans leur texte juridique le tort causé se doit d’être réparé

  • Le 16 juillet 2015 à 00:17, par assi En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    le probleme de l,afrique ce sont ses intelectuels deconnectes toujours bien rond et bien cire vivant loin des realites du pays ce nest pas en 87que lon a commence a trucider au faso mais bien depuis 84. pour un pays tres pauvre comme le burkina jai mal au coeur de voir ses fils dans la guerre du « ote toi de la que je m instal ».pauvre peuple ouvrez un peu les yeux pour voir le fosse qui de jour en jour vous separe de ceux que vous avez ou qui ce sont instales.helas pour la vaillante et laborieuse majorite silencieuse du burkina le pire est a venir. A VOS PLUMES

  • Le 16 juillet 2015 à 06:00 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci, c’est tres propre et nous sommes prets a achever ce que nous avons commence avec des morts et des larmes.

  • Le 16 juillet 2015 à 07:38, par sidlawoto En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    La vérité c’est que tu n’es pas un TRAORE mais choisit de vivre avec cette erreur. Tu ne peux donc pas parler de vérité car toute vérité commence par soi.

  • Le 16 juillet 2015 à 08:28, par theo En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Merci mon frère pour ta clairvoyance mais fais attention à toi lis les avis des uns et tu comprendra le c d p est entrain de fêter une honte gens sans âme ni foi

  • Le 16 juillet 2015 à 09:47, par Yabirou En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Internaute n°26. Si Monsieur Traoré est fou, je préfère avoir des compatriotes fous comme lui. Et puis, une toute petite remarque. Ce ne sont pas les fous qui commettent les bêtises qui attristent le Burkina, mais des gens sensés comme vous. De toute façon, rien ne vous permet de vous montrer impoli. Sans rancune !

  • Le 16 juillet 2015 à 12:16 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Internaute 81 Sapo. Pourquoi veux tu qu’un rédacteur change le titre d’un rapport officiel ? Pour te faire plaisir ?. Le titre du rapport de la commission pour la réconciliation nationale porte la mention "depuis 1987". Tu peux aller vérifier. C’est la faute du journaliste ? On tu n’as pas pris le temps de lire, ou tu es de mauvaise foi. Et quand tu commences avec de la mauvaise foi, le reste de ton propos est de mauvaise foi. Je regrette seulement d’avoir perdu mon temps à lire ton post. Les autres considérations que tu développes, ça te regarde. Si tu as des problèmes personnels à régler, fais le hors de notre site ! OK ?

  • Le 16 juillet 2015 à 12:24 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Internaute Nazinougouba. Vous faites une mauvaise lecture des faits. La décoration n’appartient pas à un régime. C’est l’ordre du mérite du Burkina Faso.Tu sais bien que si c’était l’ordre du mérite des Compaoré Frères, Monsieur Traoré ne serait jamais cité. C’est les impôts de tous les Burkinabè qui financent les décorations. ça ne sort pas de la poche d’un président ou d’un ministre. Les récipiendaires doivent d’abord remercier des gens comme toi qui versent leurs impôts dans la caisse commune de la nation. Pas un quelconque président. Même quand on est à court d’argument, il faut savoir se ressaisir. Si un président ne veut pas signer les décrets de décorations déposés sur son bureau : c’est pas compliqué : il peut démissionner et laisser un autre fils du Burkina Faso remplir cette mission. Pas plus !

  • Le 16 juillet 2015 à 12:28 En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Sidlawoto. Appliques tes conseils à toi-même ! dis tes nom et prénom au lieu d’un pseudo. On est garçon ou on ne l’est pas. C’est ça qui est la vérité. Ce cacher derrière un clavier et un pseudo, et interpeller les autres, voilà le sommet de la lâcheté. Tu ne mérite pas ton pseudo.

  • Le 16 juillet 2015 à 12:52, par sidnoma En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Haaba monsieur OUEDRAOGO (78). Le nouchi et la violence, c’est du diaspo en direct. Retournez là où votre Zanré est enterré pour tuer, brûler, égorger, ou, rejoignez Boko Haram pour assouvir votre vampirisme. A partir de ce jour, dans nos prières, nous vous évoquerons afin que vos souhaits se retournent contre vous. Quand vous aurez tué et brûlé vos proches, vous deviendrez responsable, donc humain. Dans tous les cas, ayez désormais à l’esprit que chaque jour des gens prient afin que vos vœux vous soient rendus au centuple.

    Tous ceux qui tirent à boulets rouges sur la CEDEAO sont des lâches. L’état Burkinabé a déboursé des sommes colossales en pure perte et profit alors que ceux qu’il a mandatés pour sa défense ont voyagé s’il vous plait EN Classe Affaires, logé au sheraton pour à peu près 150 000 fcfa la nuitée, mangé et bu aux frais du prince, empoché des commissions, touché des frais de mission et que sais-je encore ?

    POURTANT, dans ses envolées populistes, le Gouvernement de la Transition nous avait promis qu’il n’y aurait plus de Classe Affaire au titre de l’Etat, ce qui revient à dire que nous sommes donc en présence d’un parjure . Au lieu de condamner ces choses, vous perdez votre souffle et votre équilibre dans la haine qui vous emprisonne. Ayez le courage de regretter que l’état ait retenu un activiste extrémiste (Guy Hervé Kam) comme pilier de sa défense au lieu de confier son sort à un avocat.

    Monsieur TRAORE se trompe et tente de tromper ses compatriotes en sa fraction inculte et manipulable, et dès l’entame ne se gêne même pas de jeter le discrédit sur les politiques se réclamant de GAUCHE en proclamant que Gauche égal TORDU. Bien dommage !
    Personnellement, je n’éprouverai jamais plus quelques sentiments positifs envers vous qu’à la condition que vous restituiez la décoration sur votre poitrine plantée par Blaise COMPAORE et qu’à l’autre condition que vous revoyez votre décompte sélectif des victimes de la politique au Faso, dont au demeurant et pour l’éternité, l’histoire retiendra que le premier chef de l’état à inaugurer le(s) crimes politiques au Burkina se nomme Thomas Isidore Noël SANKARA. Cela peut rougir bien d’yeux déjà roses, mais c’est une vérité historique I N D E L I B I L E !!

  • Le 16 juillet 2015 à 19:08, par leonardpoda En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Correcte vision

  • Le 17 juillet 2015 à 13:47, par Yabirou En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    @ Sidnoma. Je suis allé chercher le rapport cité par Monsieur Traoré. Même si le titre dit "depuis 1987", dans la liste, ça remonte plus loin dans le temps. Deux exemples : le dossier 24, fidèle Guébré, le 4 août 1983, et le dossier 45, Mademoiselle Maria le 7 novembre 1982. Il faut chercher et tu trouveras. Je ne vois pas comment tu peux dire que les tueries n’ont pas commencé avec Sankara. Et puis, entre toi et moi, c’est le journaliste qui a rédigé le rapport ou quoi ? Avant de formuler un jugement sur quelqu’un, il faut d’abord se renseigner, et être sûr d’avoir compris soi-même. Fraternellement.

  • Le 18 juillet 2015 à 11:57, par SAE En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Super. Je valide. Je n’ai pas lu toutes les reponses, mais de ce que j’ai pu lire je valide celle de l’internaute 76.
    Bravo Mr Traoré !

  • Le 21 juillet 2015 à 14:00, par soborssor (verité) En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    si le droit doit nous conduire dans l’injustice ce n’est plus du droit et cette decision est loin de ne pas avoir ete influencée de l’exterieur. moi je dis que cette decision ne nous empechera pas de bannir ces gens ils sont forcement sales et c’est là qu’on peut les avoir dans le cas contraire laisser les se presenter mais on ne va pas les voter et ils n’auront aucune chance de tricher et d’utiliser le materiel de l’Etat comme ils le faisaient avant. ils appartiendra egalement aux autres partis politiques de bien s’organiser afin que leurs representants dans les bureaux de vote soient vigilants et instruits sur la chose electorale

  • Le 23 juillet 2015 à 13:42, par Sidpawalmdé En réponse à : Sayouba Traoré interpelle les juges de la CEDEAO : Pour réconcilier le droit avec la vérité des faits

    Belle analyse grand frère ! la légalité est souvent en contradiction avec la morale si non logiquement on doit pas laisser tous ceux qui se sont entetés jusqu’à conduire le pays à l’insurrection se présenter aux élections pour le retablissement de l’ordre démocratique normal. Et pour s’en convaincre il suffit de se poser cette question : Y a-t-il eu insurrection au BF en fin octobre oui ou non ? Si la reponse est oui c’est qu’on doit pas permettre à tous ceux qui étaient au pouvoir de se représenter pour retablir l’ordre constitutonnel normal. Mais le dit un proverbe français "le chien aboie et la caravane passe"

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