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Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

Publié le mardi 28 avril 2015 à 23h47min

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Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

La révision de l’article 37 de la Constitution du 2 juin 1991 était bel et bien légale, sauf à ceux qui sont d’un avis contraire d’en donner la preuve par des moyens autres que les déclarations évasives. A ce jour, personne n’a produit un document émanant d’une instance accréditée et ayant pour objet de se prononcer sur la constitutionnalité de la révision de l’article 37 entreprise par le régime du Président Blaise Compaoré ou l’irrégularité de la procédure de la révision.

La Constitution du 2 juin 1991 est toujours en vigueur. Nous ne sommes donc pas dans un débat d’idées stérile, mais dans une logique juridique confortée par des règles et des principes.
A la question de savoir « à qui revient-il la compétence et la charge de constater et de prononcer l’anti constitutionnalité d’un acte présumé porter atteinte à la Constitution ? »
L’on ne peut répondre que par la désignation du Conseil constitutionnel, seule compétente pour interpréter les dispositions constitutionnelles et de suite, ses manquements. C’est du reste le contenu de l’article 152 de la Constitution qui dispose entre autres que : « Le Conseil constitutionnel est l’institution compétente en matière constitutionnelle et électorale…
Il interprète les dispositions de la Constitution……. ».
Le dernier alinéa de l’article 154 de la Constitution ajoute que « …Le Conseil constitutionnel veille au respect de la procédure de révision de la Constitution. »
Or, à ce jour, le Conseil constitutionnel ne s’est prononcé ni sur l’inconstitutionnalité de la révision de l’article 37 de la Constitution du 2 juin 1991, ni sur l’illégalité de la procédure de révision. Aussi simple que cela puisse paraitre, la révision de l’article 37 de la Constitution par voie référendaire poursuivie par le régime du Président Blaise Compaoré n’était en rien contraire à l’ordre constitutionnel.
Elle n’était pas plus contraire aux textes de l’Union africaine (UA), dont précisément la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance que certains constitutionnalistes évoquent avec hardiesse et véhémence sans pour autant expliquer l’absence d’un avis du Conseil constitutionnel pour conforter leurs argumentations.
C’est d’ailleurs pour cela que ni l’Union africaine, ni la CEDEAO n’en ont condamné le projet en son temps. Mieux, courant année 2014 et à une date récente encore, Mme Nkosazana Dlamini ZUMA, Présidente en exercice de l’UA a admis la conformité dudit projet de referendum avec la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance.
Ce rappel du cadre institutionnel de l’action publique était important, parce qu’il permet d’apporter un jugement réfléchi sur les évènements des 30 et 31 octobre 2014 et de suite, sur l’attitude controversée des autorités de la transition.

1. L’incongruité de l’incendie de l’institution parlementaire
La séance plénière du 30 octobre 2014 de l’Assemblée nationale enclenchait la partie législative des opérations référendaires en soumettant le projet de révision de la Constitution à l’appréciation de l’Assemblée nationale, préalable exigé par l’article 163 de la Constitution.
Les opposants au régime du Président Blaise Compaoré ont prétendu avoir empêché le vote de ladite loi en incendiant l’Assemblée nationale ce jour. S’ils étaient des légalistes et des patriotes comme ils le prétendent, ils auraient dû épuiser les voies de recours prescrites par la Constitution avant toute action violente, ce qui n’a pas été le cas. Pour des prétendants à la gestion des affaires publiques, l’on est en droit de s’interroger sur leurs motivations réelles.
L’article 35 de la loi organique n°011-2000/AN du 27 avril 2000 portant composition, organisation, attributions et fonctionnement du Conseil constitutionnel et procédure applicable devant lui dispose qu’« à l’occasion d’une procédure de révision de la Constitution, le Conseil constitutionnel peut être saisi conformément aux articles 157 et 161 de la Constitution. Le requérant doit préciser la nature de la contestation. »
L’article 36 de la loi organique n°011-2000/AN du 27 avril 2000 relative au Conseil constitutionnel ajoute que « le Conseil constitutionnel statue dans le délai d’un mois. S’il estime la contestation fondée, il arrête la procédure de révision ou annule la loi de révision. »
Ainsi, les députés de l’opposition à l’Assemblée nationale auraient pu saisir le Conseil constitutionnel d’une requête en inconstitutionnalité en application de l’article 157 de la Constitution qui accorde ce droit à « Un dixième (1/10) au moins des membres de chaque chambre du Parlement ». Ils étaient 29 députés, soit plus du 10ème requis.
En application de l’article 161 de la Constitution, ils auraient également pu opposer une pétition à la loi référendaire (qu’ils ont vu venir) devant l’Assemblée nationale par le biais d’« … au moins trente mille (30 000) personnes ayant le droit de vote, ... »
La procédure de mise en œuvre de la pétition est amplement détaillée dans la loi n° 27/94/ADP du 24 mai 1994, portant organisation du droit de pétition d’initiative législative.
Contrairement à une idée répandue, il n’est pas nécessaire de posséder sa carte d’électeur pour être signataire d’une telle pétition ; il suffit d’avoir la majorité électorale au jour de la signature de la pétition, ce qui se prouve avec la Carte Nationale d’Identité Burkinabè (CNIB).
L’Assemblée nationale était contrainte d’examiner ladite pétition en même temps que le projet gouvernemental de révision.
Comme on peut le constater, les opposants au régime du Président Blaise Compaoré disposaient d’un éventail de recours légaux. Mais au lieu d’emprunter ces voies républicaines de la contestation devant le Conseil constitutionnel ou le Parlement, ils ont préféré prendre le raccourci du populisme avec les conséquences que l’on sait, parce qu’ils n’étaient pas convaincus de leurs arguments.
La jeunesse burkinabè, confrontée aux difficultés du chômage, instrumentalisée par une certaine classe sociale, a pillé et incendié le Parlement de façon méthodique les 30 et 31 octobre 2014, sans réaliser au prime abord l’ampleur du préjudice pour la Nation. Des personnalités politiques connues se sont attribué la responsabilité de cet incendie, même si elles ont adopté le profil bas par la suite au regard de l’énormité de la faute.
Y a-t-il crime plus grave que cette atteinte à la sûreté de l’Etat ?

2. L’empiètement du Conseil National de Transition sur les compétences de l’organe judiciaire
Le Conseil National de Transition (CNT) a voté la loi portant modification du Code électoral avec une disposition identique insérée dans les articles 135, 166 et 242 relative à l’inéligibilité aux élections présidentielle, législatives et municipales de « Toutes les personnes ayant soutenu un changement anticonstitutionnel qui porte atteinte aux principes de l’alternance démocratique notamment au principe de la limitation du nombre de mandats présidentiels ayant conduit à une insurrection ou à toute autre forme de changement ».
Cette modification du Code électoral n’était pas nécessaire parce que dans leurs formulations initiales, les articles 135,166 et 242 disposent en substance que « sont inéligibles les individus privés par décision judiciaire de leurs droits d’éligibilité en application des lois en vigueur. »
En outre, à vouloir adapter la loi modificative pour cibler des individus, le libellé ne rentre dans aucun critère distinctif de la Charte africaine et peut, dans une application forcée, concerner tout Burkinabè de tout bord politique ayant occupé un minimum de responsabilité publique. La gymnastique des mots en dit long sur le manque de repère des rédacteurs.
Si les « transitionnaires » étaient conséquents avec eux-mêmes, ils auraient dû engager des poursuites judiciaires contre les personnalités de l’ancien régime en application du Code pénal et leur appliquer les peines privatives de leurs droits d’éligibilité comme prévu dans le Code électoral.
L’on comprend que le processus devant aboutir à une décision judiciaire définitive pouvait prendre du temps. Mais c’était la condition du respect de la Constitution et des institutions républicaines, et la preuve de notre attachement au respect des droits de l’homme.
Avec le vote de cette loi controversée du 7 avril, le Parlement de transition a empiété sur les compétences de l’organe judiciaire en usurpant tout d’abord des pouvoirs du Conseil constitutionnel avec la qualification de la révision de l’article 37 comme étant un « changement anticonstitutionnel », et ensuite de celles du juge répressif en condamnant à des peines privatives de droits civiques des citoyens désignés par des critères subjectifs.
L’article 125 de la Constitution est clair à ce propos lorsqu’il dispose que : « Le pouvoir judiciaire est gardien des libertés individuelles et collectives. Il veille au respect des droits et libertés définis dans la présente Constitution. »
C’est donc au juge seul qu’il appartient de priver le citoyen de ses droits civiques par décision motivée.
Au demeurant, toute poursuite de personnalités du régime du Président Blaise COMPAORE, fondée sur le soutien du projet de référendum n’est qu’action attentatoire aux droits humains parce que le Conseil constitutionnel n’a jamais qualifié la révision de la Constitution comme étant non conforme à la Constitution.
Dans un Etat de droit républicain, la séparation des pouvoirs interdit de telles dérives. Les engagements pris par les autorités de la transition au cours des états généraux de la justice de mars 2015, couronnés par la signature du Pacte national pour le renouveau de la justice, n’étaient donc que pour amuser la galerie.

3. Le respect de la Constitution, condition du salut de tous
Suivant avis juridique n°2009-019/CC du 22 avril 2009, le Conseil constitutionnel s’est prononcé sur la conformité à notre Constitution de la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la Gouvernance à la suite d’une saisine du Premier Ministre.
L’article 1er de cet avis juridique dispose que « La Charte africaine de la démocratie, des élections et de la Gouvernance, adoptée par la huitième session ordinaire de la Conférence des Chefs d’Etats et de gouvernements de l’Union africaine tenue le 30 janvier 2007 à Addis-Abeba (Ethiopie) est conforme à la Constitution. »
Par ailleurs, à travers la Constitution du 02 juin 1991, le peuple souverain du Burkina Faso souscrit à la déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948, réaffirme solennellement son engagement vis-à-vis de la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples de 1981 tout en édictant des dispositions protectrices de ces droits.
Il est donc étonnant que des praticiens du droit puissent prétendre que cette Charte africaine, conforme à notre Constitution, contient des dispositions attentatoires aux droits humains pouvant justifier la loi liberticide que le Conseil national de transition a votée le 7 avril 2015.
En vérité, cette interprétation délibérément erronée de la Constitution et de la Charte est le fait de ceux-là qui, hier déniaient toute capacité de discernement au Peuple pour empêcher l’organisation du référendum. Aujourd’hui encore, ils s’acharnent à exclure une partie du peuple des élections de fin de transition, afin d’assurer la victoire du camp qu’ils supportent. Le prétendu nationalisme invoqué par ces agitateurs pour justifier les modifications du Code électoral est la preuve de leur manque de contenance.
Cependant, nul n’est dupe. Le revers de mobilisation essuyé par les organisateurs du meeting de soutien au Code électoral tenu le 25 avril passé, malgré le temps de préparation, le tapage médiatique et les sommes englouties, marque le désaveu du peuple pour les pratiques antidémocratiques des autorités de la transition, des partis politiques de l’ex-CFOP et de leurs OSC affidés. La communauté internationale du Burkina Faso, que le meeting de soutien était destiné à convaincre, sait désormais à quoi s’en tenir.
Aussi, l’ancienne majorité est dans son droit de contester cette loi électorale controversée votée par le CNT le 7 avril 2015 et sur le bon chemin en ayant engagé des procédures judiciaires visant à contester sa constitutionnalité. Tôt ou tard, le retrait de ladite loi sera ordonné par les juridictions nationale ou supranationale.
Dans un Etat de droit, même engagé dans un intermède transitionnel comme le notre, le salut de tous réside dans le respect de la loi.
C’est seulement à cette condition que des élections de fin de transition inclusives, équitables et paisibles pourront se tenir, avec des chances de parvenir à un régime post-électoral stable soutenu par la majorité du peuple burkinabè.

Drissa SANOU

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Vos commentaires

  • Le 28 avril 2015 à 10:34, par DEB BIE En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mr SANOU Drissa, si tu penses détenir la vérité, pourquoi alors tu n’as pas communiqué tes coordonnées pour que les Burkinabè puisse te répondre valablement à tes propos ? A défaut, je vais point passer mon temps à répondre à un fantôme.

  • Le 28 avril 2015 à 10:41, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    - Toi tu nous emmerdes ! Ce débat est maintenant érrodé. Passons à autre chose au líeu de continuer à jouer un disque rayé !!

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 28 avril 2015 à 10:46, par kakou En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    quand on a rien a dire on la boucle

  • Le 28 avril 2015 à 10:47, par ouedraogo ousmane En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mon cher c’est de la folie de continuer de penser de la sorte jus ce qu’a présent nous (peuple) sommes devant.
    C’est votre (pouvoir de blaise) logique d’être dans la légalité qui nous ont conduit à cette vie de transition.

  • Le 28 avril 2015 à 10:53, par welson En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Monsieur Sanou merci pour votre article mais seulement le débat n’est plus a ce niveau. même la constitution de 2 juin 1991 sera changé aussi. le pouvoir de la IV république avait fabriqué une constitution a leur porté et des articles qui les arrangeaient eux seuls. quand on modifie un même article à chaque élection même si cela est autorisé on doit se posé des questions. tout le monde savait que la modification de l’article 37 était destiné a main-tenure Blaise au pouvoir, pour temps la loi doit être impersonnelle, donc c’est ici l’inconstitutionnalité de la révision de l’article 37 commence.

  • Le 28 avril 2015 à 10:57, par yonaba En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    mr drissa sanou,tu es dans quelle planète.le peuple n’est plus a ce stade de l’article37,38,39....non vous êtes entrain de vous masturber.ce que le peuple veut aujourd’hui ,c’est la justice.le peuple vous tient a l’œil car vous ne savez pas ce que vous voulez.allez vendre les mangues a bobo ou demander a être avec salia en prison.le peuple avance.nous avons confectionné des nattes pour vous en prison car nous sommes clément.espèce de l’article 37.n’importe quoi.

  • Le 28 avril 2015 à 11:00, par Wendmi En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Si tu n’es pas d’accord avec le soulèvement des 30 et 31 octobre 2014, il faut rejoindre Blaise en terre ivoirienne.

  • Le 28 avril 2015 à 11:00, par L’Etalon Enragé En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Si on n’avait pas verrouillé l’A37 alors que un article dit que le mandat est de 5 ans renouvelable une fois, cela veut dire qu’il va arriver un moment dans le temps on pourrait changer comme par exemple 5 ans non renouvelable mais ce changement ne concerne plus celui qui est au pouvoir lors du changement. C’est là le problème avec Blaise Compaoré. Maintenant si on le verouille à 5 ans renouvelable une fois, ce qui veut dire jamais on pourrait venir dire un seul mandat de 5 ans pour empêcher un futur PF de briguer 2 mandats de 5 ans. Donc Blaise, lui a vu dans non verouillé pour vouloir s’octroyer des mandats à jamais ; pas possible. Lui et son gouvernement voulaient prendre les autres pour des nez bouchés ou quoi ? Ils pensaient qu’ils comprenaient mieux le français que les autres ou quoi ?
    Normalment après les 2 x 7 ans de Blaise, il ne devrait plus être candidat. Mais comme le peuple burkinabé est tolerant, il a encaissé en son temps. Après les 2 x 5 ans, ils veulent feinter encore le peuple, oubliant que ce peuple jadis mouton a muté et est devenu peuple panthère. Maintenant que ce peuple panthère a empêché ces manigances, voilà des ex-ministres qui ne pouvaient pas lever le petit doigt, venir dire qu’eux veulent être candidat. Candidat de mon oeil, ouais ! Aucun ministre, je dis bien, aucun ministre du dernier conseil de ministres qui a envoyé le projet de loi de l’A37 pour modification à l’AN ne verra sa canditaure validée pour ces élections de 2015 et 2016.

  • Le 28 avril 2015 à 11:01, par Kabore En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Merci pour pour votre apport mr SANOU. La lutte continue. InchAllah justice reviendra à qui de droit.

  • Le 28 avril 2015 à 11:02, par BILI-BILI En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Drissa SANOU, toi tu es un comédien !

  • Le 28 avril 2015 à 11:03 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    tu n’a pas fait ton école pour rien en tout cas

  • Le 28 avril 2015 à 11:04, par PATRIOTE En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mr Drissa Sanou refuse d’avancer ! Le bénéficiaire de la modification de l’article 37 a même pris la fuite ! Toi tu es toujours là à défendre la légalité de cette modification ! Où était tu aux temps forts des débats sur le référendum ? Peut être que tu aurais pu empêcher ce qui est arrivé au président Compaoré ! Maintenant que tu n’as rien pu empêcher, il faut accepter avancer ou bien tu la fermes.

  • Le 28 avril 2015 à 11:05, par Dakfils En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Franchement Mr Drissa Sanou vous en êtes toujours la ? A vous demander si c’etait légal ou pas cette modification. Apparemment vous venez de vous reveilez d’un cauchemard sinon que nous avons empeché cet acte legal qu’est la modification de l’article 37 selon vous. Y a longtemps qu’on est passé a autre chose et meme que les auteurs rasent les murs actuellement. Donc revenez sur terre ce n’etait pas un rêve l’article 37 n’a pas été modifié et meme plus Blaise est parti. Alors vous ferez mieux de trouver d’autre sujet pour vos articles.
    Car nous on est devant. Comme le dit le language a la mode actu : ALLONS SEULEMENT !!!

  • Le 28 avril 2015 à 11:09, par Seydou En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Quelle indécence de votre part ! pourquoi le conseil constitutionnel doit forcément et actuellement se prononcer sur un fait sans objet ? Celui qui tenait à la modification a été balayé par le peuple qui est souverain devant le conseil constitutionnel et dont ce dernier lui doit son existence. De grâce, ce débat est clos depuis belles lurettes mais je te répond pour montrer à quel point le peuple te trouve ridicule. Pseudo-Constitutionnaliste, relit la constitution entièrement. Elle proscrit d’abord tout pouvoir personnel mais pourquoi vouliez modifier l’article, rien que pour satisfaire le désir d’une seule personne et cela s’est confirmé récemment avec les appétits électoraux présidentiels que les dignitaires du CDP développent. Ensuite pauvre juriste relit bien toute la constitution, il est écrit que sa modification se repose sur un consensus national, était-il le cas ? Si ces deux conditions ne sont pas satisfaites, ça ne tient absolument pas. S’il te reste un peu de dignité, relit toute la constitution sinon je peux même te donner tous les articles y relatifs mais je t’excite à lire et à bannir toute masturbation intellectuelle. Enfin, que dis-tu du pacte social qui a sauvé le régime compaoré en 1999 avec l’appui du collège des sages suite à l’assassinat de Norbert ZONGO ? Si vous êtes sans scrupule, nous, on connaît la morale humaine.

  • Le 28 avril 2015 à 11:09, par Blaise En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Faut pas gâter le nom des SANOU ; tu n’es pas un SANOU. Que Dieu te vienne en aide tu n’est pas des nôtres. C’est des gens comme toi qui vont que BOBO est la risée de tout le monde qu’on ne réfléchi pas on ne travaille pas et bien d’autres.

  • Le 28 avril 2015 à 11:18, par Abah ! En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Monsieur SANOU, SVP ne nous ramenez plus en arrière. J’espère que les Burkinabè ont chassé Blaise et son clan pa parce que la révision de l’article 37 était anticonstitutionnelle mais plutôt l’esprit de la révision. Parlez de la réconciliation, l’apaisement des coeurs aue de revenir sur l’article 37 Si vous n’avez rien a faire aussi restez tranquille svp.

  • Le 28 avril 2015 à 11:19, par Peter de Bangkok En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Qu’est ce qu’on peut bien faire d’un monsieur comme vous, monsieur Drissa SANOU ?
    Vous êtes un négationniste, un nazi qui est contre l’intérêt supérieur de la Nation, le bien-être commun, le peuple dans son entièreté !

    Comment peut on appeler un ennemi du peuple qui est contre la limitation des mandats et l’alternance au sommet de l’Etat ! Je n’ai pas de mots pour qualifier cet énergumène qui est en mission commandée contre le peuple !

    Où vous étiez quand le débat était au firmament ?

    Hommes de Droit, Juristes, pénalistes, constitutionnalistes, aidez moi à qualifier ce crime passible d’un traitement judiciaire avec la dernière rigueur de la Loi.

    Depuis la chute de Blaise Compaoré, des partis, associations et "intellectuels" de je ne sais quoi, se sont érigés en experts en droit, en démocratie, et en prévention de conflits juste pour nous polluer l’air et se faire de la Pub ! Démarches qui va leur coûter cher car qui va contre le Peuple va contre Dieu !

    VOX POPULI, VOX DEI

  • Le 28 avril 2015 à 11:20, par Alex En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    M. SANOU, je vous cite : "...le Conseil constitutionnel n’a jamais qualifié la révision de la Constitution comme étant non conforme à la Constitution."
    Mais pourquoi le régime Compaoré a tué le juge Nébié si le conseil ne s’est pas encore prononcé sur la question ? Pourquoi tant d’intimidations des membres du Conseil Constitutionnel avant que ces derniers n’aient donné leur point de vue ? Le Régime avait certainement quelque chose à se reprocher et comme à son habitude, quand on est pas sûr d’un toukguili, on passe par des kafcidents. M. Sanou, souffrez que je vous dise que le peuple avait marre d’une constitution taillée sur mesure pour conserver le pouvoir à vie. L’ère Compaoré est définitivement terminée, tournons donc la page. Quelque soit vos démonstrations, il ne reviendra plus jamais au pouvoir avec ses cortèges de malheurs.

  • Le 28 avril 2015 à 11:22, par soul En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    mon chers, il faut bien décliné ton identité sinon le Burkina regorge de beaucoup de Drissa Sanou. Aussi, comme vous voulez jouer à l’avocat du diable, pendant qu’on y est, il faut aller chercher Blaise en Côte d’Ivoire pour qu’il vienne terminé son mandat. Du verbiage pour ne rien dire. Nous n’allons pas passer toute notre existence à débattre de la modification de l’article 37. De même, un petit rappel, comment votre dieu de président est arrivé au pouvoir en 1987 ? Donc trêve de débat et avançons.

  • Le 28 avril 2015 à 11:23 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    hé toi là,nous en avons fini avec votre régime pourri qui est bien tombé comme un fruit pourri et maintenant nous regardons tout droit devant nous.

  • Le 28 avril 2015 à 11:24, par Abah ! En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Monsieur SANOU, SVP ne nous ramenez plus en arrière. J’espère que les Burkinabè ont chassé Blaise et son clan pa parce que la révision de l’article 37 était anticonstitutionnelle mais plutôt l’esprit de la révision. Parlez de la réconciliation, l’apaisement des coeurs au lieu de revenir sur l’article 37 Si vous n’avez rien a faire aussi restez tranquille svp.

  • Le 28 avril 2015 à 11:52, par Achille De TAPSOBA En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mr Sanou bêtise sur bêtise tout est bêtise. .

    C’est la justice des vainqueurs qui compte dit Alassane Ouattara à l’inauguration du pont de Cocody car dans toute l’Histoire du monde il n’y a pas eu la justice des vaincus. Après la 2è Guerre mondiale ont condamnés à perpétuité ou à mort les criminels nazis au procès de Nuremberg principalement Hermann Göring ,Julius Streicher, Alfred Rosenberg

    Après l’échec de la révision de l’A37 et la fuite en plein midi de leur "dieu’ sont frappés inéligibilité tous les membres et les partis satellites du cdp ayant soutenu la modification de l’A37 et entrainant la mort de 33 personnes.Nous appliquerons ce code électoral pour honorer la mémoire de nos illustres frères disparus par la folie des mortels (pouvoir à vie tant rêvé par un homme indispensable )il n’ y aura rien. Nous assumerons l’entière responsabilité

    Mr Sanou même si vous n’avez aucun respect pour les morts (martyrs du 30 et 31 Octobre 2014) veuillez-vous taire cela rend un homme très sage ayant le sens de la morale. Ce qui vous manque énormément c’est la grandeur d’esprit à analyser les réalités politiques avec objectivité.

    A NOS MARTYRS QU’ILS SE REPOSENT EN PAIX. QUE JUSTICE LEUR SOIT RENDUE RAPIDEMENT.

    JUSTICE POUR NORBERT ZONGO
    JUSTICE POUR THOMAS SANKARA
    JUSTICE POUR SALIFOU NEBIE
    JUSTICE POUR DAVID OUEDRAOGO

    VICTOIRE TOUJOURS AU BRAVE PEUPLE
    VIVE LA DÉMOCRATIE AU FASO
    VIVE LE BRAVE PEUPLE BURKINABÉ

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA QUE NOUS AIMONS TOUS.AMEN
    PAIX ET SUCCÈS A TOUS LES BURKINABÉS. AMEN

    ACHILLE TAPSOBA
    Partisan inconditionnel de l’Alternance

  • Le 28 avril 2015 à 11:53 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Toujours à nous renvoyer en 1991, les textes ont évolué depuis mais vous êtes resté figé en 1991. La même loi a connu des retouches après les évenements de 1998 ce qui a concerné la limiation des mandats et en 2003 on en est revenu sur la non retroactivité de la loi. Fait ta mise à jour chers ami ! Et évite de nous servir ceci sur le site !!

  • Le 28 avril 2015 à 11:54, par sidiki En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    arretez de remuer le couteau dans la plaie.blaise avait trop dure au pouvoir,on la chasser c est tout.

  • Le 28 avril 2015 à 11:56, par VERITE FAIT MAL En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Votre analyse est pleine de vérité et la TRANSITION fonce tout droit vers le mur aveuglé par les ambitions revanchardes des VIEUX LOUPS DU MPP. Tôt ou tard, les burkinabé reviendront sur cette loi malsaine pour que les élections puissent se tenir dans la PAIX et que et que le président démocratiquement élue puisse être soutenu par tous pour gouverner. Sinon ça sera le chaos chaque jour jusqu’à l’incertitude. Tous les épris du BURKINA, de la JUSTICE restés sereins continuer de soutenir ce qui est vrai. Blaise est parti avec ses insuffisances et nous nous félicitons de l’ère nouvelle qui nous est offerte, nous n’avons pas le droit de permettre que les mêmes méthodes du système Blaise se poursuive à travers Rock, Simon, et surtout le bras armé de Blaise qu’est SALIF DIALLO. DIEU bénisse le BURKINA FASO

  • Le 28 avril 2015 à 12:08, par Oumi En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Le peuple a tranché les 30 et 31 octobre. Le débat est clos !

  • Le 28 avril 2015 à 12:19 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Monseur Sanou,le vin est tiré, il faut le boire.Au lieu de tenter de nous convaincre, va dire ça à Blaise en Cote-d’Ivoire.Peut-etre il te nommera son conseiller en exil.

  • Le 28 avril 2015 à 12:44, par doudouno le cobra En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Monsieur votre analyse est véridique, mais malheureusement nous avons des aigris qui sont rentré dans l’histoire à reculons.
    Ils ont utilisé des jeunes inconscients pour bruler et piller. Malheureusement pour eux le peuple commence à comprendre.
    Ils me font tous pitié ces apprentis sorciers, mais bientôt ça sera les élections et ils vont retourné dans leur misère quotidienne.
    La haine et l’intolérance ne construise pas un pays.
    J’ai peur pour la suite

  • Le 28 avril 2015 à 12:50, par nyppi En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    c’est ça qui est la vérité ! ça rougit les yeux mais ça ne les éclate pas..
    Mes amis , la vérité est belle quant elle est nue . je vois que beaucoup confondent loi et justice et pourtant ! nul est censé ignorer la loi. La justice, elle n’est pas toujours ce que l’on souhaite et elle dépend toujours de celui qui se plaint.ex : un taximan qui évite un groupe d’écoliers ( futurs cadres du pays) et écrase mortellement une personne adulte : pour la famille de la victime,la justice ne sera pas perçue de la même manière que du côté des familles des écoliers mais mais mais la loi va tenir compte des circonstances du drame avant que le verdict tombe.
    je pense que DS a voulut tous nous le rappeler et encore je vois que les réagissent mais ne débattent pas ce qu’il a écrit.
    je regrette vraiment d’avoir assisté impuissant aux incendies nous étions sortis pour le retrait de la loi mais hélas.........
    je ne pensais pas que cela allait permettre à certaines personnes de devenir ce qu’ils sont .
    hummm !

  • Le 28 avril 2015 à 13:04, par sidzabda En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mmerci sanou pour cette belle analyse et soit fort pour supporter les injures des anarchistes qui ne connaissent rien que la violence tant dans leur langage que leur physique .la modification de l article 37 n était pas anticonstitutionnelle mais comme les adversaires d en face n avaient pas d arguments juridiques ils sont passés par la violence et cela va sûrement continuer car leur soif de pouvoir les aveugl e.

  • Le 28 avril 2015 à 13:30, par Paligba En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Après le départ de Blaise Compaoré que j’ai souhaité de tous mes voeux, la question que je me pose aujourd’hui est la suivante : La limitation des mandats présidentiels est-elle anti - démocratique oui ou non ?
    Pou moi, la réponse est oui. La limitation des mandats est anti-démocratique (ne me parlez pas des USA ou de la France SVP). Les seuls problèmes qui se posaient pour le cas du Burkina sont :
    - Blaise Compaoré est arrivé au pouvoir par la force et voulait s’y maintenir à tout prix
    - Comment garantir une participation citoyenne et la transparence aux élections dans le contexte d’un pays à population majoritairement analphabète
    - Le suffrage universel direct est-il adapté à notre cas ?

  • Le 28 avril 2015 à 13:44, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Notre "juriste émérite" est de retour, toujours dans ce combat d’arrière garde. Il trouverait pourtant à mieux employer ses efforts ailleurs ? Nous on avance...

    Mais juste pour qu’il n’arrive pas à embrouiller les gens de bonne foi, l’affirmation selon laquelle le juge est le seul habilité à déclarer quelqu’un inéligible est FAUSSE. Le juge ne fait qu’appliquer la loi, et la loi est faite par le législateur, donc les députés. C’est eux qui au nom du peuple, disent ce qui est légal ou pas, ce qui s’impose ensuite au juge. C’est ainsi que tous les législateurs (pas un juge) depuis les indépendances ont dit qu’un militaire ou un magistrat en activité était inéligible, et cela s’applique encore maintenant. Si au terme des échanges sur la chefferie traditionnelle les gens s’entendent sur ça, on pourrait aussi ajouter les chefs traditionnels dans le liste des inéligibles comme c’est le cas au Ghana, sans passer par la justice car ils n’ont rien fait de condamnable. Alors votre histoire de juge, c’est juste pour jouer la montre car vous savez que peu de procédures aboutiront avant les élections.

    Nos représentants ont CNT ont fait la loi, celle que les juges vont désormais appliquer, comme dans tout état de droit. Que cela dérange M. Sanou et ses "amis" parce qu’ils sont touchés, on les comprend, mais ce n’est pas à l’accusé de dire le droit, surtout quand il a déjà montré sa turpitude à utiliser les lois pour les contourner. Cherchez vous un autre combat, celui la est passé et perdu définitivement.

  • Le 28 avril 2015 à 13:46 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    C’est sans objet et Sanou Drissa c’est qui ?.

  • Le 28 avril 2015 à 13:54, par Mawuéna En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Ce débat est vraiment clos. En fait c’est le "souroucou taama" qu’on ne voulait plus, on sait comment avec le collège des sages on était revenu à la limitation des mandats. Mon souci c’est pourquoi ne pas réviser la constitution pendant cette période de transition pour avoir une constitution impersonnelle et verrouiller en même l’article 37. Au besoin réunir une constituante et passer à la 5è république. La constitution du 2 juin ayant été taillée sur mesure pour l’homme fort qui alors la considérait comme du papier toilette.

  • Le 28 avril 2015 à 14:00 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Eh Burkinabé d’aujourd’hui !!! Je ne vous reconnais pas. Quand on dit vrai, reconnaissons que c’est vrai ! C’est bien logique ce qu’il a dit et c’est le principe du droit ! Toute chose égale par ailleurs !
    Maintenant, ca peut ne pas nous convenir ! Et là aussi on dit ! "C’est vrai mais on ne veut plus de ça !" Et on propose. C’est ça être burkinabé !
    Et à l’internaute 1, avec la haine qui t’anime, monsieur SANOU ne communiquera pas son non, de même que la majorité de ceux qui intervienne dans ce forum et qui aime la vérité !!!

  • Le 28 avril 2015 à 15:02, par Enrique En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    le problème posé par mr sanou est d’ordre juridique ce n’est pas la peine de l’insulter si on n’est pas d’accord avec lui ; laissons plutot repondre ceux qui s’y connaissent en droit constitutiuonnel .il ne dit pas que Blaise a bien fait en tentant de modifier la constitution mai que juridiquement rien ne l’emêchait de le faire ;est-vrai ?

  • Le 28 avril 2015 à 15:06, par Bob En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    M.Sanou ,c’est nul et non avenu ,d’abord votre parti pris est criard (ce qui rend votre contenu biaisé à dessein) ensuite montrez nous en quoi modifier l’article 37 pour une seule personne est-il légal et constitutionnel après 37 ans de dictat ?
    Le pire dit-on c’est pas l’attitude des gens ignorants mais celle des gens dits avertis(comme vous autres )qui travestissent volontairement la réalité pour tromper les ignorants .
    Toutes les institutions acquises étaient myopes et sourdes -muettes ,comme vous d’ailleurs ,qui n’a pas peur de la mort ? NEBIE en a payer le prix fort ,SVP messieurs les acquis y’en a marre de nous triturer les méniges ! BASTA !.Epui aucune structures (politique,OSC,individus) n’est sorti le 30 et le 31 avec l’objectif pour renverser ou brûler ,mais c’est l’importance qu’ont pri les tournures qui l’ont emporter ,et du même coup ont constituées l’ocasion qui à fait le laron.

  • Le 28 avril 2015 à 15:28, par MITE En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    N’IMPORTE QUOI !!!

  • Le 28 avril 2015 à 15:29, par DOUG En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Monsieur SANOU, je ne serai pas long
    Vous avez parfaitement raison et je vous invite à convoquer vos députés pour voter la loi.

  • Le 28 avril 2015 à 15:51, par verité nationale En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Voilà qui est un homme. Tous Osc, les Mppistes, les larbins de voyous casseurs, tous des mouflettes. Aucun n’a le courage de parler, de monter du doigt ce qui ne va pas. C’étaient les mêmes qui criaient le nom de Blaise quand ils voulaient manger. Maintenant ils ne sont même pas capable de penser ni de parler vrai puisqu’ils sont habitués à la fourberie. Longue vie à toi Sanou Drissa, que Dieu te donne toujours la sagesse et le courage. La victoire de la vérité est proche. Plus que quelques semaines.

  • Le 28 avril 2015 à 16:07, par POUTINE En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    J’ai lu avec attention votre écrit. C’est bien beau ce qui est écrit ; il faut dire que le régime déchu est passé maître de déni de justice sur bien de dossiers que vous n’ignorer pas. Combien de dossiers de tous genre de crime a ton essayer de faire passer en suivant la procédure Avec le temps le peuple a compris comment fonctionne les choses Le peuple à compris qu’il faut qu’il arrache les chose de force Voila ce qui s’est passé. Anti constitutionnelle ou pas la modification de l’article 37 visait le maintien de BC au pouvoir et ca nous ne pouvons pas l’accepte. En plus dans la vie d’une nation, il ne s’agit pas de droit tout simplement, il ya la morale C’est gens qui disait que seul BC est leur candidats doivent avoir un peu de décence politique et se ranger pour cinq ans seulement ce n’est pas beaucoup. Si dans les cinq qui viennent on les regrette, on les ferait appel c’est pas facile à comprendre ca.

  • Le 28 avril 2015 à 16:28, par le yacson En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Merci à toi le frère. Tu fais oeuvre utile pour le Burkina Faso mais les pyromanes d’octobre ne veulent pas entendre raison. Mais une chose, le peuple n’est pas dupe. Tôt ou tard, ces parvenus et arrivistes seront chassés à la tête du peuple.
    Courage encore à toi. Laisses parler les gens, ceux qui t’insultent sont en manque d’idées. Ces assassins de la démocratie sont comparables aux fascistes italiens pendant la 2nde guerre mondiale.
    NON A L’EXCLUSION, NON A LA CONFISCATION DE NOS LIBERTÉS, A BAS LE BARRYSTAN ET VIVE L’INCLUSION.

  • Le 28 avril 2015 à 16:30, par le yacson En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Merci à toi le frère. Tu fais oeuvre utile pour le Burkina Faso mais les pyromanes d’octobre ne veulent pas entendre raison. Mais une chose, le peuple n’est pas dupe. Tôt ou tard, ces parvenus et arrivistes seront chassés à la tête du peuple.
    Courage encore à toi. Laisses parler les gens, ceux qui t’insultent sont en manque d’idées. Ces assassins de la démocratie sont comparables aux fascistes italiens pendant la 2nde guerre mondiale.
    NON A L’EXCLUSION, NON A LA CONFISCATION DE NOS LIBERTÉS, A BAS LE BARRYSTAN ET VIVE L’INCLUSION.

  • Le 28 avril 2015 à 16:57, par le boss En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Monsieur SANOU SVP, un peu d’honneur pour toi,lies les internauts sur ton article.
    Ridicule ! je veux que M SANOU me dise si la loi sur l’amnistie contenue dans la constitution concerne tous les burkinabè ou pas. est ce que cette loi est inclusive ? qui l’a voté ?

  • Le 28 avril 2015 à 16:58, par Bouba En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Pourquoi tu t’arrêtes la ? Demande à ce que Blaise soit remis à sa place, que les députés CDP reviennent au parlement, dis haut et fort que les martyrs n’en sont pas parce q’ils sont morts pour une cause illégale ! Fais attention, le deuil n’est pas fini et tu veux remuer le couteau dans la plaie. On ne te loupera pas. Si tu est aussi courageux pour ramer à contre-courant, affiche tes coordonnées

  • Le 28 avril 2015 à 17:21, par le patriote En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    MES AMIS, êtes-vous surs d’être entrain de parler à la bonne personne ? Faites gaffe sinon nous serons tous coiffés par un plaisantin qui s’amuse avec un tel écrit pour bien se moquer de nous.
    NE PERDEZ PAS VOTRE TEMPS

  • Le 28 avril 2015 à 17:21, par OUATTARA En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    C’est un citoyen burkinabé, je suppose ? Alors je vais lui demander simplement de nous expliquer tous ce qui a été fait de façon légale depuis 27 ans de pouvoir.
    1 - Affaire Thomas SANKARA
    2 - Affaire Boukary DABO
    3 - Affaire Norbert ZONGO ........................................
    4 - Affaire Juge NEBIE
    5 - Affaire X9
    6 - Affaire "FASO FANI"
    7 - Affaire UCOBAM
    8- Etc. Et je ne cite que les affaires dites "d’Etat", les victimes silencieuses, il y’en a presque pour 80% de familles Burkinabè.
    Pour finir, la peine de mort est légale au Burkina. Alors vous qui êtes si respectueux de la loi, est -ce pour autant qu’il faudrait condamner d’autres Burkinabè à la mort ?

  • Le 28 avril 2015 à 18:05, par Deb En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Hors sujet M. SANOU. Parlez-nous plutot des enjeux de la Transition svp. C’est le sujet du moment.

  • Le 28 avril 2015 à 18:10, par Alpha En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    bjr Mr Sanou,merci pour ce papier pertinent seulement l,elite burkinabe est le probleme de ce pays car vivant dans l,amertume il lui est impossible d,obeir aux regles ni voir l,interet sup du pays.Ce que le pays a vecu le 30 et 31 est loin d,etre appele insurrection spontanee il est le resultat d,un reglement de compte entre elite urbaine dont l,origine remonte aux annees 80.Quant a la jeunesse il est difficile de faire le tri entre bons et mechants et pourtant tous sont issus de l,ecurie de Compaoré si les RSS ont ecarte les Etienne Traoré et cie des annees 89, eux memes seront vires 25 ans apres bref. coalition des aigris va se retouver pour commettre la parricide,une alliance de circonstance.Voyez le probleme n,est ni art.37 ni je ne sais quoi.Le drame ce qu,on continue avec les memes recettes (si tu n,es pas d,accord il faut quitter le BF) jusqu,a ce que l,irreparable arrive.

  • Le 28 avril 2015 à 18:10, par KASA En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    si vous êtes toujours a ce stade c’est que vous allez vraiment souffrir dans votre cœur car le débat est clos et clos. nous on avance

  • Le 28 avril 2015 à 18:17 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    vox populi vox dei ; la voix du peuple est celle du roi c est la loi suprême le reste on s en fout on a refuse on a refuse le peuple n a pas a se justifier toi oh Blaise oh c est comme cela ;c est les hommes qui font les loi et si le peuple refuse.il n y a pas une autre voix que celle du peuple et comme les des étaient pipes pronunciamiento. soulèvement .pas de règne ad vitam æternam

  • Le 28 avril 2015 à 18:50, par veritass En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Attention !!! j’ai un ami pasteur aussi qui s’appelle Drissa Sanou. Donc, eux tous ils peuvent ne plus avoir un bon nom a cause de leur homo. Qu’il fasse gaffe !!

  • Le 28 avril 2015 à 19:30, par yamame En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Merci monsieur Sanou pour l’éclairage car nul n’est suffisamment fort pour le rester éternellement.

  • Le 28 avril 2015 à 19:35, par NANKOLENDUSE Pierre Claver à Ziniaré En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Je pense que la vérité se dit à tout moment.Nos dirigeants ont bien fait de se référer à la justice.Nous attendons le mot du juge pour s’accorder sur les actes des États généraux de la justice.La balle est à Joséphine OUEDRAOGO. Aux femmes.
    Bravo SANOU

  • Le 28 avril 2015 à 19:52, par rokia En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mr Drisas Sanou, la vérité a disparu au Faso . Vous voyez ils sont positionnés dès qu ’ veut dire la vérité à la transition on t insulte. Votre écrit est logique

  • Le 28 avril 2015 à 20:04 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Monsieur Sanou le débat n’était pas à ce niveau.Les gens ont déjà dit ce que vous affirmer. Il s’agissait beaucoup plus de l’opportunité de la révision.Vous marcher à reculons. SVP, permettez-nous d’avancer

  • Le 28 avril 2015 à 20:10, par Ka En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Drissa Sanou, a 100% pour le peuple Burkinabé tout confondu, la révision de l’article 37 était contraire a notre constitution : Il y a deux raisons capitales par rapport a tes raisonnements. Premièrement le collège de sages, un véritable référence avait haussé le ton au président Blaise Compaoré pour ses excès de tripatouiller cet article selon ses besoins. Les sages avaient notamment tranché le débat en ces termes, dans le rapport du 30 juillet 1999, a la page 14, au titre des recommandations paragraphe 2.2.2.2 : ‘’’’Respectez les règles du jeu démocratique et accepter le principe de l’alternance politique tant au niveau des institutions que des partis politiques.’’’’ Et dans leurs propositions de solution à la page 16 au paragraphe 2.3.1, les sages ont demandé ceci :’’’’ Revenir sur la modification de la constitution et y réintroduire le principe de la limitation a deux mandats présidentiels consécutifs qui est conforme a l’alinéa 164 alinéa 3 de la constitution, et qui touche un point capital de notre jeune démocratie : le principe de l’alternance politique rendu obligatoire par le texte constitutionnel de 1991.
    Le deuxième point est que le président Blaise Compaoré a confirmer et donner sa parole de ne pas toucher a l’article 37. Pour le peuple Burkinabé, intellectuel ou non intellectuel le conseil de sages et la parole donner d’un représentant de ce même peuple sont plus sacré que la constitution, et outre passer les prescriptions de l’article 37, ou la parole donner du représentant du peuple, le risque du désaveu de la population était assuré a 2000%. Idrissa quand a tes recherches bidon pour contredire tous nos prestigieux agrégé de droit public comme Somda, Hien, N’do, Ibriga, qui ont confirmé que l’article 37 est intouchable, n’est que remuer un couteau dans la plaie.

  • Le 28 avril 2015 à 20:37, par kabvla En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Vous etes trop en retard. Vous n’apportez rien au debat. Les gens se sont deja prononcés sur ce sujet a son temps. Et votre idée n’est point nouvelle.

  • Le 28 avril 2015 à 20:49, par Ka En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Enrique intervenant 37, bien venu dans le monde du réel : en septembre 2014 je te disais d’abandonner ton mentor Blaise Compaoré, et lutter pour l’alternance politique et économique du Burkina avec les jeunes. Te voilà raisonnable avec un profil bas comme Karim Ouédraogo : Relisez vos insultes sur Ka.

  • Le 28 avril 2015 à 21:37 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    M. Sanou, Permettez nous d’avancer. Vous n’êtes pas obligé de suivre.Les frontières sont ouvertes si ça vous dit. Faites vous connaitre en completant votre adresse et votre qualification ;Vous parraissez le meiĺeur juriste du pays, mais permettez nous de continuer. On se verra après les election et soyez sur d’etre utilisé par les vainqueurs. Le droit, ça vous connait.

  • Le 28 avril 2015 à 21:58, par Nessida En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Il y a des gens qui sont toujours en transe et refusent d’en sortir : quand vous allez vous réveillez vous trouverez que Drissa est très lucide !

  • Le 28 avril 2015 à 22:21, par Camélé En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    C’est françois qui a écrit ça

  • Le 28 avril 2015 à 22:50, par sidpawetta En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Pourquoi quand on dit la vérité aux gens ils se fâchent. Il faut être grand et rester homme. Et arrêter d’utiliser abusivement le mot peuple. Je suis du peuple mais je ne reconnais pas dans cette histoire du 30 et 31.ce qui s’est passé c’est l’oeuvre des insurgés. Le peuple c’est 17 millions

  • Le 28 avril 2015 à 22:58, par yesgo En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    La cellule de bave MPPiste est en éveil, y compris leur kôrô - quelqu’un me disait que lorsque tu entends un sobriquet koro, koro, fais gaffe, c’est le bouffon du quartier et je m’en convaincs depuis que celui des forums en ligne ns a montré son vrai visage ! -, ils ne peuvent jamais contrarier par l’argumentaire, leur seul argument étant l’injure et les insanités. Monsieur ka est un vrai cas, car toujours hors sujet, lui qui pense qu’un COLLEGE remplace le législateur en invoquant le Collège des Sages. Il faut savoir, que même l’actuelle CNRN pilotée par son Imminence ne fera que produire des recommandations qui ne seront en aucun cas opposables à la constitution qui est simplement la mère des lois. Mr SANOU, quand vous êtes en face des idiots de ce genre, le seul mépris à leur réserver est de toujours produire et produire et au moins Allha vous sera reconnaissant d’avoir tenté d’aider afin d’éviter qu’ils ne meurent bêtes. Ils raisonnent à rebrousse-poil, et comme ils volent si bas dans les débats d’idées, ils sont obligés d’aller droit dans l’injure, la diffamation et la violence. Je sais au minimum que dès que ces gens arriveront au pouvoir, ils tenteront de créer des milices, fusse avec des personnes qui ont violé des religieuses et qui le samedi dernier étaient leurs camarades. Mais alors, là, nous sommes assurés que d’autres seront accueillis par leurs beaux comme Blaise l’a été des siens. Monsieur SANOU, vous n’êtes pas le seul qu’ils vouent aux gémonies, loin s’en faut ! Newton Hamed BARRY, COULIBALY Siaka, le Pr Albert OUEDRAOGO, bientôt le quotidien NOTRE TEMPS, etc, etc sont promis au bûcher. Lorsque celui qui par accident de l’histoire est devenu notre Excellence M. le Président de l’Assemblée (CNT) vocifère à gorge déployée des injures telles que nous avons suivi le samedi de soutien et qu’il est applaudit, cela vous donne la pleine mesure des ordures dans lesquelles notre Burkina se débat. Ceux qui insultent ici ont retenu la leçon de leur idole, Sy shérif, cette honte nationale.

  • Le 29 avril 2015 à 00:23, par Bill Dapoya En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Bravo pour cet article qui nous éclaire. Les arguments avancés par Monsieur Sanou n’ont rien à voir avec la médiocrité et l’aigreur qui suintent des réactions des Koro Yamyelé et autres malcauseurs de cabarets qui pilullent depuis quelques temps sur le net. Je les imagine en train d’aiguiser leurs couteaux à la lecture de mon ecrit. Ha ha. On est là non ?

  • Le 29 avril 2015 à 00:30, par Valeo En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Yesgo, si Cherif n’insulte pas, il va faire quoi, avec son niveau là ?

  • Le 29 avril 2015 à 00:44 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Je crois que monsieur vient d’arriver d’une autre planète. Sinon on ne peut comprendre qu’il soit tellement en retard sur notre temps. Le débat que vous menez actuellma est clos depuis le 31 octobre dernier donc arrêter de nous distraire maintenant avec des opinions unitiles. Légalité ou pas du référendum sur la modification de l’article 37 de la constitution allons seulement avec la transition qui a remplacé le régime déchu à cause son entêtement à vouloir patrimonialiser le pouvoir du peuple burkinabé.

  • Le 29 avril 2015 à 03:28, par vérité no1 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    @Sidpawetta, si le peuple est différent de ceux qui ont chassé Blaise, alors Bravo, je te donne le transport Ouaga - Abidjan pour ramener Blaise. Espèce de CDPiste malhonnête !!!!!!!

  • Le 29 avril 2015 à 06:19, par dablo-youbloh En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mais pourquoi avoir attendu que le pays soit ce qu’il est aujourd’hui pour pondre un article de ce genre ? Monsieur Sanou , vraiment tu n’aimes pas ton pays . Beaucoup d’écrits a ce sujet avant l’insurrection mais tu n’a pas cru bon de donner ton point de vue et ce n’est que six (6) mois après qu’il faut venir pour sauver Blaise au lieu de sauver tout un pays d’un gâchis . Quel intellectuel ?

  • Le 29 avril 2015 à 06:57, par CHRIS En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Bjr,
    Bien dit et bien parlé, Mr Sanou, si on était en France ou au Ghana à côté, pays oû le respect des textes est la marque de fabrique d’un pays démocratique. Voici un homme et son clan mafieux, qui, après avoir tué son ami et frère, assassiné un journaliste, un juge et d’autres burkinabè, ont mis sous coupe réglée tout un pays. En effet, Blaise et sa famille avaient fait du burkina leur ’’chose’’. Alors, Mr Sanou, allez ailleurs débiter ces âneries d’un autre temps, car vous êtes tout sauf un’’Burkindi’’. Vos arguments sont recevables devant une justice aux ordres, avec des juges acquis et un pouvoir corrompu, à jamais dans les poubelles de l’Histoire. Nous, nous avons réglé la question les 30 et 31 octobre 2014.
    GLOIRE ETERNELLE AU PEUPLE BURKINABE
    LA PROPHETIE S’EST ACCOMPLIE

  • Le 29 avril 2015 à 07:38, par Anthropos En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Ecoutez monsieur Sanou, vivez avec votre temps et réagissez en temps réel ! si vous voulez, croyez que la révision était légale mais acceptez aussi que ceux qui sont sortis le 30 et 31 octobre ne voulaient plus de la Compaorose, qu’elle soit légale ou pas. c’est ce qu’il faut comprendre et donc éviter d’ergoter inutilement. je crois savoir que vous êtes universitaire toujours prompte à défendre Blaise parfois de manière grossière. on comprend que vous faites partie des universitaires acquis, payés pour dire que tout va bien dans le meilleur des mondes ! OK ! mais de grâce, faites le intelligemment.

  • Le 29 avril 2015 à 07:54, par Leforgeron En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Blaise et Drissa avaient la Constitution pour eux, mais le peuple (ou pour ceux qui préfèrent la foule) a donné son verdict. On a marre de vous autres juristes en herbe et on devrait ne même pas nous accommoder de ces torchons conçus pour des individus. Passons aux TPR.

  • Le 29 avril 2015 à 07:57, par Un autre Koro En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Depuis quand réquisitionne t-on un hôtel pour les députés la veille d’un vote ? Un juriste comme vous doit savoir qu’il vaut mieux une absence totale de loi qu’une loi mal appliquée. Mieux valait une absence totale de constitution qu’une constitution que l’on déchire et taille selon la volonté d’un maître absolu des lieux. Sous plusieurs regimes de ce pays nous avons vecu sans constitution. Nous le savions. Au moins ceci a l’avantage de la clarté. Maintenant on nous dit que nous avons une constitution et pour pérenniser un pouvoir on la taillade à la convenance d’un individu et il se trouve des juristes veules et aveuglés par je sais quel intérêt pour défendre l’indéfendable. M. SANOU pense t-il seulement à la légitimité de l’acte de Blaise et compagnie ? Je donne la priorité à la légitimité d’un acte en cas de conflit avec sa légalité surtout si cette légalité consiste à tromper un peuple par des subterfuges juridiques.

  • Le 29 avril 2015 à 08:02, par ALAMANDOGO En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mr SANOU, Dites que le poisson est dans l’eau.

  • Le 29 avril 2015 à 08:28 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mr Sanou, c’est vraiment dommage que vous ne suiviez pas la marche. Tout ton écrit n’apporte rien à présent car il fallait dire tout cela le 30 et le 31 Octobre à la place de la nation ou au TP à Koudougou. Tu n’es qu’un destructeur et tu n’as aucun amour pour ton pays. On récolte toujours ce que l’on a semé, fais très attention. Je soutiens la transition.

  • Le 29 avril 2015 à 09:04, par Ninja Choc En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Monsieur SANOU, toi tu es décalé hein ! tu n’as pas bien coupé avec Blaise non ?
    franchement, le débat n’est plus à ce stade. Réveille-toi !
    Nous on avance ! allons seulement

  • Le 29 avril 2015 à 09:19, par Abdoulaye SAWADOGO En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Si vous n’êtes pas croyant ça vous regarde, Dieu Tout Puissant a sauvé le Burkina des turpitudes qu’ont connu nous voisins. Nous savons aussi que satan s’est infiltré dans le "paradis que vivaient nos ancêtres" , les faire sortir et les mettre dans les souffrances que nous tous vivons. Soyons des gens intelligents mais pas de malignes gens comme des serpents.Si les militants de la compaorose l’étaient, compaoré allait vivre comme Poutine que je respecte. Vous avez joué le satanisme comme le serpent qui est malin pour mordre et tuer mais qui s’est jamais façonné un gite, il se cache dans un trou qu’il n’a creusé pour attaquer mais fini toujours par être délogé et jeté loin. A bon entendeur ! salut !

  • Le 29 avril 2015 à 09:47, par Belekiliba FORODJAN En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Drissa S. est un des derniers intellectuel a l’esprit constipé. Qu’il apprenne desormais qu’un acte legal n’a de sens, de valeur que s’il est soutenu par une legitimité, un minimum de bon sens. Oui le Bon Sens, chose essentielle qui a manqué a Blaise et a son CDP. Arrogance et suffisance etaient leur leitmotiv, soutenues par la course effrenée au gain facile.

    Drissa SANOU nous fait la preuve qu’intellectuel ne veut pas dire forcement intelligent. Meme le plus petit paysans averti savait que le passage en force de l’article 37 allait etre tres mauvais pour le pays.
    Dans tous les cas, nous avons deja depassé cette histoire de legalité ou pas de la revision..

  • Le 29 avril 2015 à 09:53, par Peuple fort En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Je dois rappeler à Mr Sanou que quand Blaise prenait le pouvoir en 1987 il disait :" Je ne suis pas venu pour m’éterniser au pouvoir. Je ne suis pas un assoiffé de pouvoir. Dès que les choses rentreront en ordre nous remettrons le pouvoir aux civiles et l’armée rentrera dans les casernes" (vidéo disponible sur youtube)..Mais voilà après 27 ans de pouvoir cet homme ( qui n’est pas assoiffé de pouvoir) voulait modifier encore la constitution pour rester. Selon toi Sanou quel moyen pouvait - on utiliser pour faire partir ce monsieur en dehors d’une insurrection salutaire. Souffre que le peuple puisse goutter au changement en chassant les pillards de la république dont vous faite certainement parti.

  • Le 29 avril 2015 à 10:03, par Benaocyn En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    En fait, Blaise et ses inconditionnels voulaient vraiment prendre les autres pour des nez percés. Passons en revue, de façon résumée, le cheminement de Blaise avec l’article 37 originel de 1991 : 1- Utilisation d’une Assemblée nationale monocolore à plus de 90% pour lever le verrou en 1997 ; 2- Le Collège de Sages l’oblige a revenir à la limitation à deux mandats de 5 ans, suite à la crise consécutive à l’assassinat de Norbert Zongo et de ses compagnons ; 3- Retour donc a 1 mandat de 5 ans, rééligible une seule fois ; 4 - la bataille de la retro/non rétroactivité en 2005 ; 6- Tentative d’utiliser le CCRP pour entériner une nouvelle forfaiture, échec ( Il avait été préalablement convenu que les questions non consensuelles resteraient en l’état) ; 7- Blaise et ses affidés font fi du consensus sur les questions non consensuelles et engagent la manœuvre sur d’autres terrains ... Enfin des députés sont séquestrés dans un hôtel pour être canalisés par la suite, le lendemain, pour aller voter la loi. Vous aussi, N’EST-CE PAS QUE LES LIMITES DE L’ACCEPTABLE SONT DEPASSEES ?
    Ce que Blaise et ses gens nous ont fait, ressemble à ce que les spécialistes en droit appellent ’Délit d’initié’. Vous travaillez avec eux en toute honnêteté, en toute sincérité, pendant qu’eux positionnent des pions trompeurs pour pouvoir vous feinter après. Mais en fait, "tous les jours appartiennent au voleur, et c’est un seul jour qui appartient au propriétaire". Résultat : 4 ans de pouvoir d’exception + 2 x 7 ans + 2 x 5 ans + VLLEITES DE SAUTER LA CLAUSE LIMITATIVE = - 1 AN (Blaise a fui 1 an avant la fin de son dernier mandat constitutionnel). Sanou Drissa a posé beaucoup de questions. Il n y a qu’à approcher M.M. Paul Yao Ndré et Youssouf Bakayoko (respectivement Pdt du Conseil Constitutionnel et Pdt de la CENI en Cote d’Ivoire sous Gbagbo), pour comprendre le rôle que peuvent jouer les institutions dans un système noyauté. Pour ce qui est de notre Conseil Constitutionnel sous Blaise Compaoré, attendons que la justice fasse son travail concernant l’assassinat du Juge Salifou Nébié avant de nous prononcer. Que Drissa Sanou sache que beaucoup d’autres l’on précédé : Franklin Nyamsi, Djibo Mamadou PhD philosophie, Me Hermenn Yameogo ... et j’en passe. Seulement, c’est la loi de la nature, chaque chose à une fin. COMPAORE GAME OVER - FINISHED

  • Le 29 avril 2015 à 10:05, par Alias En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Pauvre garçon, je ne vais pas être long parce que ce n’est pas nécessaire. Dans la vie, il y a deux 02 choses : la légalité et la légitimité. Si tu parviens à faire la différence, tu comprendras qu’il ne fallait pas entreprendre une action sur la constitution.

  • Le 29 avril 2015 à 10:19, par garibout En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Bravo mrs Sanou les ministres qui ont participé au dernier meeting doivent démissionner et porter leur gadget de parti politique par ce qu’on arrive plus à faire la différence entre eux et les politciens

  • Le 29 avril 2015 à 10:21, par KPENW En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    C’est véritablement le prototype de débat stérile que Drissa SANOU mène depuis un certain temps. La constitutionnalité ou pas d’un acte ne saurait pas se défendre rien qu’à travers les lettres et les mots de la Constitution, mais plutôt en considérant le contexte réel ou virtuel de cet acte !
    (i), le Burkina Faso n’a jamais été un État de droit républicain et Drissa SANOU le sait très bien, à moins que...
    (ii), il me semble que personne en son temps n’avait contesté la constitutionnalité de la révision de l’Article 37, sauf que les juriste néocoloniaux, intellectuels aliénés à la solde de l’impérialisme refusaient de lire le motif principal pour lequel "pouvait" et non "devait" être engagée la révision de l’Article 37 ; à savoir l’enjeu d’une question d’intérêt national. Qu’est ce qu’il constituait la question d’intérêt national en son temps ??? à moins que...
    (iii), en référence au (i), avez vous bien dit Cour Constitutionnel et principe de séparation de pouvoirs ? Alors là, venant de la plume d’un intellectuel juriste d’origine de l’Ouest du Burkina vivant au Burkina, je suis stu-pé-fait ! A moins que...
    (iv), avez vous bien parler d’exclure une partie du peuple ? MON DIEU. Montrez moi la démocratie, parfaite, imparfaite ou "mascaradée" qui fait de l’inclusion ! Ne me dite pas que vous n’avez jamais fait une approche définitionnelle de la démocratie ! Toute démocratie est "exclusioniste" pour ne pas dire "ostraciste". L’un des principes fondamentaux de la démocratie n’est-il pas que : ’la partie qui gagne gouverne et la partie qui perd attend son tour" ? A moins que Drissa SANOU...Bonne suite.

  • Le 29 avril 2015 à 10:33, par Dénonciata En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Politique de médecin après la mort. Il faut aller consoler ton président déchu en CI c’est le seul rôle que tu peux pleinement jouer maintenant.

  • Le 29 avril 2015 à 11:26, par Dénonciata En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    mon oeil ! vous avez perdu le jeu. reposez vous et observez ce que les autres feront.

  • Le 29 avril 2015 à 11:37, par SING En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mr vérité Nationale, tu es hors sujet. Ici, il n’est pas question du MPP. Hé ils souffrent dèh ! imaginez maintenant après les élections d’octobre, allez vous fuir le pays et rejoindre l’homme fort ou bien allez vous vous abonner chez les cardiologues ? ça fait vraiment pitié de vous voir souffrir autant.

  • Le 29 avril 2015 à 11:40, par NulNestIndispensable En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mes chers frères et sœurs comprenez le. Il a besoin de soutien. Il n’arrive plus à reconnaître les quatre points cardinaux et a douloureusement compris que son Dieu vivant (Blaise Compaoré) n’est qu’un simple citoyen comme vous et moi. Ce débat est déjà derrière nous. Nous regardons maintenant l’avenir. Je lui souhaite vraiment beaucoup de courage...

  • Le 29 avril 2015 à 11:45, par ZWWA En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Merci Drissa, vraiment quelque chose de poser....

  • Le 29 avril 2015 à 11:55, par SING En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Mr yesgo, je comprends ta souffrance. ça va aller. Tu sais ? c’est la vie qui est ainsi faite. On joue on gagne de-fois on perd et la vie continue. Faut plus pleurer, le MPP n’y est pour rien. Vous aviez joué et vous aviez perdu c’est la règle du jeux.

  • Le 29 avril 2015 à 12:32 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Et pourtant mr sanou a pleinement raison, n’en déplaise aux monocordistes !!!

  • Le 29 avril 2015 à 13:08 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    mon ami , tu es là jusqu’à présent. mais,mais tu es en retard mon ferre , réveille toi .

  • Le 29 avril 2015 à 13:34, par Bangreson En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Et pourtant Drissa Sanou à tord et aura toujours tort. Sur le plan matériel, pas de contradiction. Tout le monde sait que le droit n’interdit pas dans sa lettre de réviser.

    Mais dans le fond, les mobiles de la révision de cet article 37 ne répondait à aucune utilité d’ordre général. Un clan voulait juste se maintenir au pouvoir. Monsieur Drissa, ayez l’intelligence de comprendre cela pour ne pas avoir honte devant vos enfants un jour.

  • Le 29 avril 2015 à 14:09, par le parisien En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Drissa pourqoi demandé pardon si on ne se reproche de rien ? Avançons seulement

  • Le 29 avril 2015 à 15:48, par hams En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    le ver est tjr ds le fruit .prenons le temps de tous les extirper.vigilance vigilance..car ces fossoyeurs de la republique sont tjr dangereux.

  • Le 29 avril 2015 à 18:43, par Sanogo En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Bravo mrs Sanou, bravo pour cet article qui nous éclaire, ils te flatte mon chère petit bobo, et tu n’a pas pitié de toi, il faut avoir un peu pitié de ta femme et de tes enfants qui voudrons eux aussi êtres avoir un mari, un père président avec l’alternance. Ton Blaise Compaore et sa suite ne sont pas née pour mourir au pouvoir, c’est pourquoi Dieu le tous puisant à fait ce qu’il voulait. Mr SANOU, si l’alternance te dérange tant retourne au village vivre comme tes ancêtres.

    .

  • Le 30 avril 2015 à 09:09 En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Courage, avec un peu plus de chance, une bonne dose de balivernes et une bonne mesure d’ânerie bien concoctées tu arrivera a convaincre tes semblables instrumentalisés

  • Le 30 avril 2015 à 10:46, par DAO En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    On n’est plus à ce niveau. Mon parent, tu n’étais pas au pays ?

  • Le 30 avril 2015 à 16:52, par abdoulaziz En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Je ne te connais pas, mais je te pose une petite question : Voudras-tu être un jour PRESIDENT DU FASO pendant 27 ans ? En passant par de multiples modifications de la constitution ?
    Vas-y le peuple écrira à ta place des papiers-courts, mais pas des papiers-longueur sur la légalité et l’illégalité.
    Bon courage !

  • Le 30 avril 2015 à 21:05, par yesgo En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Des fascistes socialo-sankaristes ont pris le pouvoir et ils veulent organiser des pogroms contre tous ceux qui pensent contraire à eux. Vous voulez l’adresse de monsieur SANOU Drissa pour quoi faire ? Brûler sa maison, après l’avoir pillée ? Vous allez payer tôt ou tard à l’instar de ces CDR qui, à la faveur de la Révolution dite Démocratique et Populaire ont violé, brûlé, délaté, dégagé ou/et fait dégagé des milliers de travailleurs, cassant des foyers, brisant des carrières , aux motifs de PROPOS/ATTITUDE CONTRE-REVOLUTIONNAIRE, d’ATTEINTE A LA MARCHE RADIEUSE DE LA TRANSI (OHOO ! DE LA REVOLUTION !). C’était leur manière de se reconnaître Prolétaires alors qu’en vérité c’était un lumpen à qui on a fait comprendre (de travers) que la Révolution était la fête des pauvres, leur fête, à l’image des hérésies que l’on sert actuellement à une population intoxiquée et réduite à faire la meute contre leurs concitoyens que le discours officiel tient pour apatrides. Pendant que nous y sommes, combien sont-ils, ces dirigeants d’OSC de nulle part sortis et qui de nos jours ont tous dépassé le stade DE CHAINAGE de leurs villas, la 4 X 4 HILANDER acquise et les PPS réglés, n’est-ce pas DICK, OUATT, SANA, etc. Et le troubadour SAMSK dont toute la ville bruit des échos du don d’une RADIO COMMUNAUTAIRE dont il aurait bénéficié de la part du bon samaritain ZIDA ? Chaque dirigeant d’OSC a obtenu et continue d’obtenir son gombo au point de dérouter des militants qui de bonne foi les ont suivis jusqu’à s’offrir en holocauste pour des causes dont ils ignorent véritablement les enjeux. Nous espérons que bientôt, les ka, les kôrô MPP-Yélé seront les preux chevaliers solitaires de l’infowar (guerre en ligne) quand ceux qu’ils ont mobilisés auront déserté le champ de bataille dès lors qu’ils comprendront que les sus-cités ont leur agenda propre qui se décline en terme de Feuilles, de Fermes, de Villas et de 4 X 4.

  • Le 2 mai 2015 à 15:47, par polo En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Bien dit monsieur Drissa SANOU car tous les partis pourront participer aux élections d’octobre 2015 inchallah.

  • Le 2 mai 2015 à 15:57, par polo En réponse à : Drissa Sanou : « La révision de l’article 37 n’était pas contraire à la Constitution du 2 juin 1991 »

    Très belle analyse Yesgo. T’es propre même quoi !!!!!

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