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Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

Publié le mercredi 1er avril 2015 à 15h40min

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Lettre  ouverte  à  Shériff Sy, Président  du CNT :

Cher grand frère,

Nous sommes à un tournant décisif de notre histoire politique et démocratique où vous avez la charge de l’organe délibératif de la transition, le CNT. Au vu des développements qui prônent l’exclusion d’une partie du peuple du processus électoral en cours, nous avons l’obligation d’attirer votre attention sur ses dérives.

Vous connaissez mieux que quiconque les enjeux des élections car vous étiez -même candidat malheureux aux législatives, tête de liste au YATENGA avec le Front des Forces Socialistes ( FFS ).

Vous connaissez votre popularité au village, dans votre propre village ISSIGUI commune de Ouahigouya où vous avez obtenus moins de 30 voix avec le FFS avec l’appui de Ouattara Mamadou, actuel SG MPP du YATENGA, lui aussi candidat malheureux de votre parti aux législatives dans les années 1990 et 2000.
Vous imaginez si à l’époque, vous étiez exclu tout simplement à cause de vos positions sankaristes ?

L’exclusion est le lit de toutes les frustrations et des conflits, Excellence Monsieur Sy Cherrif !

Ainsi à quelques mois de l’élection présidentielle prévue pour le 11 octobre 2015, des voix s’élèvent ici et là pour appeler à l’exclusion de certains citoyens de la compétition électorale. Vous-même en tête, à en croire le journal l’Evénement.
Ce débat, si l’on y prend garde, envenimera la vie de la nation et ébranlera la cohésion sociale, la paix et la stabilité de l’Etat.

Pour la réussite de la transition et pour des élections apaisées, nous devons nous souvenir que l’Etat de droit démocratique auquel aspire le peuple burkinabè nous impose le respect de la loi, le sens de la justice, du pardon et l’acceptation de l’autre dans sa différence. Si le peuple est souverain, il faut laisser ce peuple sanctionner les politiciens.

Votre légitimité est mise à rude épreuve car vous n’êtes pas un élu mais choisi entre vos confrères de la presse.

En se référant à certaines presses que vous représentez et non le peuple entier, ils ne sont pas d’accord avec votre décision unilatérale qui s’apparente à un règlement de comptes personnels.

Cette presse vous reproche un manque absolu de compte rendu à la base et dit que vous agissez comme si vous étiez parti au CNT à titre individuel et non en leur nom à tous.

Vous avez déclarez qu’ « Il faut commencer par déstructurer le régime Compaoré » (Sheriff Sy, DP de Bendré avant d’ajouter que le RSP est un corps d’élite sur les ondes de radio Omega.

Nous avons contribué à chasser Blaise Compaoré. Il est parti, ne divisons pas le pays ! Vivons en paix !

C’est le lieu ici d’interpeller les autorités coutumières et religieuses sur les dangers que court notre pays si certains de ses fils sont exclus de par leurs opinions politiques.
Grand Fère SY, ne nous amène pas à regretter Blaise Compaoré, personnage que je n’ai jamais aimé dans ma vie.

La Constitution du 02 juin 1991 garantit les droits fondamentaux et les libertés individuelles, y compris la liberté d’expression et le droit d’être électeur et éligible, il importe de souligner que lesdits droits et libertés s’exercent dans les conditions prévues par la loi.

En matière électorale, la Constitution du 2 juin 1991 dispose en ses articles 11 et 12 que :
-  Art. 11. Tout burkinabè jouit des droits civiques et politiques dans les conditions prévues par la loi.
-  Art. 12. Tous les burkinabè sans distinction aucune ont le droit de participer à la gestion des affaires de l’Etat et de la société. A ce titre, ils sont électeurs et éligibles dans les conditions prévues par la loi.

A sa suite, le Code électoral en ses articles 123 et 134, stipule que :
-  Article 123 : Tout candidat aux fonctions de Président du Faso doit être burkinabè de naissance et né de parents eux-mêmes burkinabè et être âgé de trente-cinq ans révolus à la date du dépôt de la candidature et réunir toutes les conditions requises par la loi. Les candidatures peuvent être présentées, soit à titre individuel, soit par un parti, un collectif de partis ou un regroupement de formations politiques légalement reconnus.
-  Article 134. Tout Burkinabè qui a la qualité d’électeur, peut être élu Président du Faso sous les réserves énoncées à l’article 123 ci-dessus.

Les cas d’inéligibilité sont expressément cités à l’article 135.
Article 135. Sont inéligibles :
1) les individus privés par décision judiciaire de leurs droits d’éligibilité en application des lois en vigueur ;
2) les personnes pourvues d’un conseil judiciaire ;
3) les individus condamnés pour fraude électorale.
Nous avons défendu cette constitution au prix des vies de nos camarades, il faut donc respecter cette même constitution gage de paix et de stabilité.
Vouloir la violer ou la tripatouiller à des fins personnelles ou au gré de certains politiciens qui ont peur du peuple, c’est faire pire que le régime déchu que nous avons tous combattu.

La Charte de la Transition, qui complète la Constitution du 2 juin 1991 et qui, dans son préambule, vise la construction d’un véritable Etat de droit démocratique, édicte dès son article 1 que : « Outre les valeurs affirmées par la Constitution en son préambule, la présente Charte consacre les valeurs suivantes pour guider la transition, ses organes et l’ensemble des personnalités appelées à la conduire :
•le pardon et la réconciliation ;
•l’inclusion ;
•le sens de la responsabilité ;
•la tolérance et le dialogue ;
•la discipline et le civisme ;
•la solidarité ;
•la fraternité ;
•l’esprit de consensus et de discernement. »

Ces dispositions explicites de notre loi fondamentale, de la Charte de la transition et du Code électoral devraient inspirer le débat sur l’exclusion de x ou de y. En d’autres termes, nous nous devons de transcender nos ressentiments pour appeler au préalable au respect des lois afin de permettre une vie en société organisée et d’éviter le développement de la loi « du plus fort ». Autrement alors, on serait dans une situation proche d’une véritable anarchie, chacun agissant selon son bon plaisir, sans souci de la règle commune. L’obligation pour tous les citoyens de respecter les lois est la meilleure assurance que la liberté, les droits et la sécurité de chacun d’eux sont garantis de manière effective.

Nous devons appeler les autorités à juger les personnes incriminées et c’est le juge qui dira si elles doivent être exclues de la compétition électorale. Encore qu’à ce niveau, il y a ceux qui ont poussé le bouchon avant de sauter de la barque.

Concernant les personnalités militaires, aucun texte à notre connaissance, législatif ou règlementaire ne les prive de leur droit d’être éligible, à condition qu’elles obtiennent leur mise en disponibilité. N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi applicables dans l’immédiat. Sur ce point, l’on pourrait appeler à prendre des textes qui règlementent leur situation. Mais ici encore, même si le principe de la non rétroactivité des lois doit entrer en ligne de compte, nous aurons l’avantage de disposer pour l’avenir.

Dans l’ensemble, pour construire le véritable Etat de droit démocratique que revendique le peuple sorti les 30 et 31 octobre les mains nues, il nous faudra nous inscrire résolument dans l’esprit de la Constitution et de la Charte de la transition et en conséquence, revisiter ou prendre des lois tout en ayant à l’esprit qu’un bon texte de loi qui connait une mauvaise application et une mauvaise loi qui connait une bonne application produisent les mêmes effets. Evitons à tout prix de reproduire ce qui a conduit le régime de Blaise COMPAORE à sa chute.

Il faudra surtout avoir à l’esprit que partout où des guerres ont germé ou éclaté, où l’instabilité politique s’est installée, une poignée d’hommes politiques et ou de la société civile en ont été les instigateurs. Ils sont alors soutenus en cela par une foule de militants, de coreligionnaires, de parents ou amis zélés, prêts à tout pour voir triompher leur parti, leur idole, leur fils et surtout leurs intérêts personnels.

L’on se souviendra aussi qu’à certaines étapes charnières de la vie des nations, surgissent des penseurs en quête de points de chute alimentaires qui soutiendront avec force qu’ils pensent pour la société, mais à y voir de près, les faits sont là pour les contredire : sociétés en crise cherchent toujours penseurs. L’auteur d’un feu de brousse connaît le point de départ du feu, mais en ignore totalement le lieu où il va s’arrêter.

Alors, oui à l’exclusion sur la base de décisions judiciaires, oui à l’exclusion sur la base de textes de loi.

Excellence Mr Le Président, un petit frère écrit à son grand frère, compte tenu de l’urgence la forme et peut être le fond ne vous plairont pas, je m’excuse.

Grand Frère ! Faites tout pour retirer de cette loi, les germes de la division, de l’exclusion.

Votre Petit frère depuis Ouahigouya

Rasmané BARRY
71223100

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Vos commentaires

  • Le 1er avril 2015 à 15:49, par kouadio En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Une question : quel niveau ou quel type de formation a le president du CNT Sy Cheriff dont on ne retient que les diatribes contre Blaise Compaore et son systeme dont il beneficiait souvent des millions pour son Filep

  • Le 1er avril 2015 à 15:56, par lewang En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Ce que vous oublier là, le CNT n’a pas besoin de lois pour blqoquer ceux vous défendez. Les audits des départements ministériels sont là pour les bloquer. Ils vont se préparer à se défendre en justice au lieu de chercher à etre candidats. je suis sur que cette voix là sera priviligiée pour que vos bandits d’hier qui ont volé le peuple (parcelles, surfacturation et corruption tous azimuts) ne puissent pas nous narguer avec ces sommes volées. Vivement que les résultats des audits soient rapidement dévoilés et que la justice s’en sen s’aisisse. en ce moment on ne parlera d’exclusion, puisque les auteurs se seraient, auto excluent.

  • Le 1er avril 2015 à 15:58 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    - il faut exclure les milo d’opérette (bassolet,yac,natama) et les autres non encore déclarés des prochaines échéances électorales
    - il faut exclure tous ceux qui ont soutenu publiquement la modification sur l’article 37
    - il faut combattre les candidats plaisantins en fixant la caution à 75 millions.
    tu vois que si j’étais membre de ce cnt,j’aurai été plus vurulent que monsieur sy. donc à cette petite pourriture du régiment de ce fuyard bilaise compaoré,tu la boucles

  • Le 1er avril 2015 à 15:58, par Dalailama82 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Ouh... c’est bien dit. franchement je ne connais pas ce mec mais on écrit est sage. Nous voulons une paix durable, pas une paix apparente qui a des germes de discordes. Une paix circonstancielle conduira à une crise plus grave que celle que nous avons connu.....

  • Le 1er avril 2015 à 15:59 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    ça c’est le message des CDPistes. Mais écoutez est ce que vous savez ce qu’on appelle la dignité d’un homme ? Je suis sûr que vos ancêtres là ou ils sont ; sont très déçu de vous parc que vous leurs faites la honte. Hier, c’était qui tramiez en longueur de journée que si ce ne pas Blaise COMPOARE personne ne peut diriger le Pays. Vous vous insultez vous même.

  • Le 1er avril 2015 à 16:00, par DIEU SAUVE L’AFRIQUE En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Qu’attend t-on pour juger tous ceux qui se sont rendus coupables de crimes sous le régime de Blaise COMPAORE ?

  • Le 1er avril 2015 à 16:08, par SAWADOGO Boureima En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    en dehors des aspects sentimentaux de votre lettre, le fond est un bon sujet de reflexion. la justice qui doit etre dites par ses instances, la démocratie ou le choix appartient au peuple.
    la démocratie ne produit pas toujours le Gouvernement le plus habile mais respecte le choix des citoyens ,acteurs du développement. si nous choississons à place des citoyens nous nous engagerons sans ces citoyens.

  • Le 1er avril 2015 à 16:09, par koiupiste En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    remarque : merci mr Barry
    normalement les gars du CDP,du Front republicain ,de l’ADF ne doivent pas prendre part à cette election presidensiel du 11 octobre 2015 car c’est eux qui ont encouragé Blaise Compaore dans son erreur...ils n’ont qu’a attendre 2020 pr se presenter...c’est des semeurs de troubles...voici l’ADF/RDA deja qui cri aux fraudes pour l’enrolement à Ouahigouya...il a oublié deja qu’il a empoché des tonnes de millions pr trahir le peuple et accepter la modification de l’article 37...on na qua les exclure pian...si non nous allons voir par ou ils passeront pr battre leur campagne...ils vont ns croiser.

  • Le 1er avril 2015 à 16:10, par adam En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Petit frere, tu es plus sage que ton grand frere. Tu t appuies sur des textes. Ton grand frere veut se venger de tous les ressentiments qu il a accumulés depuis la mort de sankara. Gestion et vengence font pas bon menage.

  • Le 1er avril 2015 à 16:13, par Cami En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Laissez les voter cette loi et on verra.Non seulement ca ne passera pas aux votes, mais les tribunaux vous attendent sans parler au consil const.
    Bref, votez cette loi et on verra

  • Le 1er avril 2015 à 16:14, par rigot En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mr Barry faite un petit sondage dans votre quartier et vous allez comprendre que c’est le peuple qui ne veut plus de ces gens là ,pendant 27 ans le CDP a semé le désordre dans ce pays vous n’avez rien dit, aujourd’hui le peuple a pris le pouvoir et tout fauteur de trouble trouvera le peuple devant lui..

  • Le 1er avril 2015 à 16:19, par le vigilant En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    chérif Sy a déçu tous les combattantS de la liberté et des droits démocratiques acquis. Vouloir tripatouiller la constitution pour ses barons du MPP qui l’ont placé là ne fait que montrer qu’il est piètre politique.( Sans Salif Diallo il ne serait pas là où il est )
    Le Peuple met en garde le soit disant CNT contre toute tentative de liquider notre lutte. Nous nous sommes battus pour le respect de notre constitution ce n’est pas des gens qui ne représente dans leur base ni dans leur métier qui vont venir mettre le feu à notre. Si d’avantage le pays prend feu ,Chérif SY et le gouvernement sera tenu seul responsable devant l’histoire de la déstabilisation de notre pays. Hier c’est nous qui disons d’être démocrate aujourd’hui on veut faire pire Blaise Compaoré.
    la lutte continue

  • Le 1er avril 2015 à 16:29 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Je voudrais tout simplement dire à ceux qui s’empennent au Président du CNT d’être modérer dans leur propos. C’est n’est pas le Président seul qui décide d’une lois c’est un vote donc l’indexé individuellement n’est pas réaliste.

  • Le 1er avril 2015 à 16:30, par kouadio En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    N’oubliez surtout pas que nous sommes en politique. Sarkozy qui a ete battu par Hollande revient sur la scene ; Buhari revient au pouvoir apres ete renverse dans les annees 80. Regardez les realisations de Blaise Compaore, l’economie robuste qu’il a laisse et le bien etre qu’on avait sous son long regne. Aujourd’hui les burkinabe ont peur de demain, ils regrettent deja Blaise Compaore. ceux qui souhaitent l’exclusion ce sont les voyous, voleurs d’hier qui sont revenus aux affaires au nom de l’insurrection et qui savent qu’ils seront demasques et rejetes dans la rue.

  • Le 1er avril 2015 à 16:30, par le Mechant En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Exclusion pour Exclusion , tous ceux qui ont déjà ministre, député , militant ODP/MT version CDP et ses affiliés sont responsables et comptable de la gestion chaotique du système Blaise COMPAORE. Comme il n’ y a pas de pardon sélective ce qui est une entrave à la loi... Tous ceux qui ont géré une fois le pouvoir avec Blaise COMPAORE ne sont pas éligible en 2015. ( Rock KABORE , SALIF DIALLO, Zéphirin Diabré, ABLASSE OUEDRAOGO, Sara Serme, Djibril BASSOLE , YAC , Simon Compaoré ) etc. Point BARRE.
    quand Chérif SY , le Sankariste qui adore les feuilles, il faut faire attention , on connait comment tu as géré négativement le centre de presse Norbert ZONGO. On va tout dire si tu crois que tu es blanc avec ton faux habillement de sage..

  • Le 1er avril 2015 à 16:33, par guabri En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    il faut exclure tous ceux qui ont soutenu publiquement la modification de l’article 37. y compris ceux qui ont gardé un silence coupable. placer les en residence surveillée.

  • Le 1er avril 2015 à 16:35, par doudouno le cobra En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Depuis le début je vous disait que ce Shériff Sy est un aigri patenté.Il est conseillé par d’autres aigris qui voyagent au frais du contribuable sans vergogne.
    Pauvre du contribuable burkinabé

  • Le 1er avril 2015 à 16:35, par Shahid En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mr BARRY, le début de votre texte laisse penser que vous n’êtes pas neutre ; disons que vous avez un compte à régler au président du CNT sinon quel relation avec son passé politique "sombre" que vous brandissez d’entrée de jeu ? Bref, vous appelez tout le monde à rester légaliste, alors texte de loi pour texte de loi, il n’y a pas que la constitution et ses lois inférieures qui nous régissent mais aussi les textes internationaux que nous avons ratifiés. A ce titre, citez-nous aussi ces textes de l’UA qui disent de frapper d’inéligibilité tous les acteurs qui travaillent à modifier leur constitution pour empêcher l’alternance.
    Dites-moi Mr BARRY, un élu du peuple, qui se laisse soudoyer à "seulement" 5 000 000f cfa (toutes les preuves sont là que les députés de l’ex front républicain et de l’ADF/RDA ont pris l’argent pour modifier l’art 37) pour déchiqueter sa loi fondamentale ; est-ce qu’un tel élu du peuple mérite de demander les voix du peuple encore ? C’est parce que notre justice pêche par son attentisme sinon leur cas était déjà réglé.
    Donc à la poubelle de l’histoire tous les tripatouilleurs !

  • Le 1er avril 2015 à 16:35, par OUEDRAOGO Tasséré En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Je voudrais tout simplement dire à ceux qui s’empennent au Président du CNT d’être modérer dans leur propos. C’est n’est pas le Président seul qui décide d’une lois c’est un vote donc l’indexé individuellement n’est pas réaliste.

  • Le 1er avril 2015 à 16:39, par Le Fatotchiè En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Très honnêtement Mr le Président, vous devriez réellement écouter ce cousin lointain à moi, car je pense que c’est bien réfléchi et quelque soit ce que les uns et les autres vont penser de cet écrit ; monsieur SY lisez ce texte à plusieurs reprises !

  • Le 1er avril 2015 à 16:41, par fasobiga En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    ce qui est sur qu’il met en place la stratégie du MPP, il se suivront lorsque le vrai peuple va s’élever.

  • Le 1er avril 2015 à 16:42, par kouadio En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Le MPP va engager le pays dans l’incertitude totale. Il veut arriver au pouvoir par tous les moyens meme en marchant sur des cadavres. Car l’exclusion entrainera d’autres convulsions plus serieuses et peut etre qu’elles vont permettre aux Burkinabe de se ressaisir. Il n’y a pas de lutte sans risques. et souvent nous devons etre prets a payer le prix fort pour faire avancer le pays

  • Le 1er avril 2015 à 16:43, par Touba En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mr Barry, pour ceux qui connaissent Ouahigouya et qui ont suivie l’actualité politique de 1990 à nos jours comprennent de quoi il s’agit. Vous ne dites pas la vérité en parlant de OUATTARA Mamadou s’il s’agit du même qui est actuellement SG du MPP. Avant de rejoindre Mr Salif DIALLO il était au MTP et au Bloc Socialiste tout comme moi. Sans chercher à défendre qui que soit, il faudra restituer la vérité à ce niveau.
    Mr Sy n’y pourra rien si les autres membres votent cette loi. Ça s’appel la démocratie et on vote s’il est en minorité, il ne pourra rien même s’il veut satisfaire un petit frère.
    Est ce que ce n’est pas en voulant satisfaire les petits frères que nous sommes dans cette situation ?

  • Le 1er avril 2015 à 16:46, par Babiiga En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Ce que le "fameux petit frère Barry" ignore royalement, c’est que la Charte de la transition soutient haut et fort que "n’avoir pas soutenu la modification de l’article 37 de la constitution du 2 juin est une condition pour prétendre diriger le Burkina Faso post Blaise COMPAORE. Toutes ces personnes qui s’agitent, si elles étaient patriotes sincères, devraient comprendre que s’assoir cinq ans est ce qu’il y a de mieux pour eux et pour le pays. Laissons le peuple, qui est difficilement identifiable, pour parler de décision de logique , de bon sens et qui va dans les sens de l’alternance tant recherchée. Pourquoi ces messieurs n’ont pas fait le choix qu’il fallait en son temps ?

    Ils ont joué, ils ont perdu, qu’ils tirent toutes les conséquences. Restons clean et zen !

  • Le 1er avril 2015 à 16:47 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Que cette loi soit votée ou pas, ceux qui sont responsables de l’assassinat de nos vaillants martyrs ne prendront pas part, comme si de rien n’était, aux scrutins à venir.
    Vous n’avez aucune sagesse. N’érigeons pas non plus nos compromissions, notre malhonnêteté et notre lâcheté en valeurs. Le CNT peut bel et bien délibéré sur ces questions, en toute légitimité.

  • Le 1er avril 2015 à 16:52, par MIA En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    si on exclut on sera comme la RCI, n’oubliez pas que beaucoup attendent notre tour donc,lorsque quelque chose n’est pas nécessaire il faut s’en passer.
    On en parle parce que nous somme tous dans ce pays si ça brûle on sera tous touché.

  • Le 1er avril 2015 à 16:56 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Pour l’exclusion de tes amis, auteurs de changement anticonstitutionnel (l’infraction est consommée car l’échec de la tentative de tripatouillage constitutionnel par le CDP et ses alliés est indépendant de leur volonté et leur action a eu pour conséquence la rupture de l’ordre constitutionnel normal), la Charte africaine de la démocratie que le Burkina a ratifiée, s’en charge.
    Non à l’impunité sous le prétexte fallacieux de l’inclusion ou de la quête d’une paix hypothétique. Ceux qui ne veulent pas de la paix sont ceux qui demandent et cautionnent l’impunité.

  • Le 1er avril 2015 à 17:03 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    On dirait que le MPP hante les nuits de certaines personnes dèh !

  • Le 1er avril 2015 à 17:04, par le voyant En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mon ami BARRY où as-tu mis la justice dans ta citation de la charte. nous ne sommes pas dupes dans ce pays. tu extrais les parties qui t’arrange et tu parles de la sorte. qu’il y ait loi ou pas ils ne prendront pas part aux élections. entendu !

  • Le 1er avril 2015 à 17:06 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Les prochaines élections se tiendront sans les vampires. Ils ont démérité de leur pays. Personne ne les a obligés à se rendre indignes de ce grand peuple. Ils se sont exclus eux-mêmes. Il n’y a plus qu’à constater officiellement cette auto-exclusion.

  • Le 1er avril 2015 à 17:10, par VOILA ENFIN En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    rigot N° 12. Vous êtes dans quel quartier ? je doute que vous étiez vraiment dehors ce 30 oct... mais enfin, ce n’est pas très important.

    la justice dois solder les comptes, et traduire sans état d’ame, les responsables du dysfonctionnement d’hier devant les tribunaux.
    maintenant pour aller aux élections et trouver, la bonne personne qui détient des solutions pour nous faire avancer, il faut rester légaliste. faire voter une loi sur mesure contre quelqu’un, alors qu’on vous soupçonne vous même, d’avoir un parti prit, est dangeureux pour la quiétude d’un pays.
    c’est en cela qu’il faut bien commencer ces élections en respectant strictement la loi et en laissant les Burkinabè Maturent trancher dans les urnes.

    Arretez de tout ramener au CDP : les gens se cherchent aussi làbà.... vous noyez le débat alors qu’on pose les vrais questions...

    salut amical !

  • Le 1er avril 2015 à 17:12 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Les tripatouilleurs répondront de leurs actes et devront en assumer toutes les conséquences. On y veillera. Leurs menaces ne font peur à personne. Le peuple des insurgés vous fera face et vous aurez en version intégrale et une fois pour toutes, la leçon administrée à moitié en fin octobre. "Mieux vaut une fin effroyable qu’un effroi sans fin".

  • Le 1er avril 2015 à 17:13, par le voyant En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mon ami BARRY où as-tu mis la justice dans ta citation de la charte. nous ne sommes pas dupes dans ce pays. tu extrais les parties qui t’arrange et tu parles de la sorte. qu’il y ait loi ou pas ils ne prendront pas part aux élections. entendu !

  • Le 1er avril 2015 à 17:14, par Lecitoyen En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Webmaster laissez passer mon message qui est ceci : ATTENTION DANGER « Loi de l’exclusion ».

  • Le 1er avril 2015 à 17:17, par LoiseauDeMinerve En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mr Rasmané BARRY ,
    quand vous engagez un duel avec qq1 et vous le gagnez ce dernier ne devra-t-il pas se soumettre ? De façon pratique, sûr de votre succès, vous disputez à travers un duel ou krou une nana avec un rival, et ce dernier, contre toute attente, prend le dessus, à qui revient la pepe ? l’A37 s’il était passé, les autres burkinabè qui s’y opposent ne pourraient rien négocier au clan victorieux, pire certains ne trouveraient leur salut qu’en s’exilant. Ici, le CDP, le front républicain et Blaise ont joué et perdu, ils devraient subir le résultat car celui-ci a aussi valeur de référendum. Or si vous vous engagez dans cette voie référendaire, comme un PM qui engage son gouvernement à l’Assemblée nationale, en cas d’échec vous devez en tirer toutes les conséquences puisque ailleurs on démissionne tt simplement

  • Le 1er avril 2015 à 17:18 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    On peut pardonner au frère qui a tenté de vous égorger et qui ne vous a raté que grâce à votre vigilance et votre réactivité, mais on n’aura plus jamais confiance en lui. C’est sûr.
    Alors, loin de nous, traitres et assassins !

  • Le 1er avril 2015 à 17:18, par facons En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    il n’est pas question d’exclusion d’un parti politique ; mais plutôt de mettre à l’écart des personnes dangereuse pour la nation. on ne peu pas pour des individus bannir toute une famille. il s’agit d’un blâme afin de remettre ces familles dans les rayes.

  • Le 1er avril 2015 à 17:26, par boukson En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    C’est quel bandit encore. A te lire, tu es aigri d’après les autres. Tu verras à la fin que Mr SY a raison. Il faut suppendre le front republicain sinon ils vont saboter les elections

  • Le 1er avril 2015 à 17:28, par Leuk En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Monsieur, ce que vous ne comprenez pas, c’est que c’est dans l’intérêt des voleurs et assassins d’hier que vous défendez, d’être exclus. Ne savez vous pas que des familles endeuillées par eux et dont les plaies ne sont pas guéries les attendaient sur le terrain pendant leur campagne ? Si vous n’avez pas perdu des personnes qui vous étaient chères ou votre emploi, vous pouvez continuer de les défendre.
    Un délinquant reste un délinquant et est exclu de toute société qui se veut respectable.
    Si c’est des broutilles que vous cherchez à manger, cherchez les à la sueur de votre front, mon cher citoyen malhonnête.

  • Le 1er avril 2015 à 17:29, par Alfarid En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    M. Barry. En dehors des non vérités deja relevées par un internaute je vous invite à aller voir les victimes vivantes et les parents des victmes de l’insurrection pour leur tenir votre langage. On ne peut pas continuer à cotoyer des gens qui ont tiré sur leurs freres ou soeurs et enfants. L’inclusion ne signifie pas accepter n’importe quoi. Si la Loi est proposée, nous allons soutenir les députés à la voter. Ce sera une leçon pour tous. Cherif n’y pourra rien.

  • Le 1er avril 2015 à 17:29, par BILI-BILI En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    "Rasmané BARRY", que Cherif Sy soit ton grand père ou ton oncle ; on s’en fout ! Tu peux l’insulter comme tu veux , la vérité est que toute personne dont la présence aux affaires occasionnera le retour des "Pilleurs de la République " ( Blaise , françois et alliés ) on n’en veut plus ! Même s’il faut se rentrer, on se rentrera. Le liquide que BLAISE est son petit frère vous a donné à boire, c’est ce même liquide nous avons aussi bu !

  • Le 1er avril 2015 à 17:31, par Un simple citoyen En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    De la manière que les partisans de ces gens-là se sont cachés derrière la possibilité de révision de l’article 37 pour nous conduire à la situation actuelle, c’est de la même manière qu’ils sont entrain d’utiliser le mot INCLUSION. Ils interprètent les mots à leur faveur. Mais il faut que les autorités de la transition ouvre l’œil et le bon.
    Ces militaires étaient des femmes quand Blaise préparait sa forfaiture. Ils n’ont pas eu cette honnêteté digne de l’arrêter. Maintenant que le PEUPLE a fait le travail à leur place, ils sentent leur "queue" entre les jambes, capables de diriger le BURKINA FASO. Je leur demande de chercher la signification de BURKINA FASO. Si le ridicule pouvait tuer !
    Pour les réformes constitutionnelles à venir, je propose ceci concernant les militaires :
    - avoir démissionné de l’armée au moins 5 ans avant la date de l’élection présidentielle et 3 ans avant celle des législatives (article à verrouiller) ;
    - en cas de coup d’Etat, l’auteur , le commanditaire et les complices seront publiquement pendus à la Place de la Révolution (bien sûr, il faut aussi pour cela mettre des dispositions fortes pour éviter que quelqu’un ne vienne pas instaurer une monarchie ou une dictature). Cela va éviter que des militaires ne prenne en otage notre démocratie après les élections.
    Que DIEU bénisse le BURKINA FASO !

  • Le 1er avril 2015 à 17:42, par LE JUSTE En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Bonsoir cher internautes,
    Un adage dit "on ne peut pas réveiller quelqu’un qui ne dort pas". Mieux que quiconque Mr SY (en passant je ne sais pas pourquoi on continue d’appeler les gens "EXCELLENCE") sait que l’exclusion de certaines personnes aux différentes élections va provoquer des troubles. Personnellement je pense que c’est l’objectif recherché par bon nombre "d’hommes forts" du moment. Mais rappelez vous chers messieurs que les mêmes causes produisent les mêmes effets, donc ne soyez pas surpris qu’on brûle vos maisons (rénovées aux frais du contribuable), le CNT et je ne sais quoi encore, parce que vous auriez voté une loi anticonstitutionnelle. Soyez rassurés que nous (le Peuple qui ne vous a pas élu) ne ménagerons aucun effort pour vous chasser.
    Ah les gens sont amnésiques dans ce pays. Vous avez déjà oublié les causes du départ de l’ancien régime. C’est l’ENTÊTEMENT. Alors RÉFLÉCHISSEZ et BIEN.

  • Le 1er avril 2015 à 17:46 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Webmaster, pas d’exclusion à ton niveau.
    mais, ne laisse pas passer certains écrits.

  • Le 1er avril 2015 à 17:56 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Votre lettre est sans objet. plus de 90% de la population ne veulent plus des personnes mouillées jusqu’au cou par l’ancien régime Compaoré comme Bassolet, kouanda, le petit président, etc. Ce n’est pas mettre de l’huile sur le feu que de les écarter mais, au contraire, prévenir tout risque de dérapage. Si le CDP est incapable de trouver des militants cleans, c’est son problème mais qu’il ne ramène pas des Assimi Kouanda au devant de la scène, vous risquez de créer ce que personne ne veut. Supposons que Gilbert de l’ADF veut se présenter demain aux élections, qu’est ce qui va se passer à votre avis ? il sera lynché en plein public ainsi que ces fieffés partisans ou, alors, on arrivera à une guerre civile ce que souhaitent d’ailleurs les anciens boss zélés de l’ancien régime pour installer la chienlit pour revenir au pouvoir par tous les moyens. Or, la transition se doit de prévenir et non de guérir. On les écarte pour 2015 et, ils pourront revenir se présenter en 2020 lorsque les coeurs seront apaisés.

  • Le 1er avril 2015 à 17:58, par Anastasie Bado En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mci jeune frère ! Vivement que tous oeuvrent pour l’apaisement au pays. Dites vous tout simplement qu’aucun burkinabè ne gagnera si tte fois le pays s’embrasait......et puis, cette exclusion de x ou y donnera le sentiment que les entrants ne sont pas des rassembleurs donc pas dignes de diriger ce pays intègre. la population a pris ses responsabilité le 30 octobre et n’a besoin de personne pour parler a sa place. Elle réglera ses comptes avec tousdans les urnes. Encore mci Barry , jnemais tres sage. Soit béni.

  • Le 1er avril 2015 à 18:05, par bakkiba En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    c’est bien de savoir faire les analyses quand notre passee nous ratrappe ou etiez vous quand blaise decidait de modifier coute que coute l’article
    37 de notre constitution. c’bien de devancer l’iguane dans l’eau
    mais sachez que nous les vrais marcheurs des 28 au 31 octobre nous ne tolererons pas au cnt et a son excelence le presdent Kafando de laisser les coomplice de celui qui voulait terminer avec l’expression de la liberte a chez nous pays. rapidemenyt que soit poursuivi ceux a cause de qui nous connaissons les multiples difficultes de la vie aujourd’hui(eau electricite vie chere). a force de ne pensez qu’a son seul ventre on finit par oublier que l’egoisme est la source du mal profond qui creuse les fossees les plus profond entre les individus d’une meme nation.
    monsieur les constitutionnaliste souvenez vous et regrettez pourquoi voius n’avez pas ecrit au temps ou vous manger avec blaise compaore et soon cdp. nous seront plus long plusque un boa devant tout les bugrkjinabe non epris de justice et de paix durabl harro sur les ehontees !y

  • Le 1er avril 2015 à 18:25, par moussa ouedraogo En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Si cette loi est votée ,bonjour les dégâts et la guerre civile car des vandales sans personnalité ni légalité encore moins de légitimité ne peuvent prendre sur eux la responsabilité d’exclure des fils valeureux et démocrates de ce pays. Essayez et vous saurez que votre pouvoir n est autre qu’ un aveugle qui se vante après avoir tué un lièvre ,il oublie que c est dieudonné

  • Le 1er avril 2015 à 18:28, par MONZON En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    les Burkinabè ont hatent d’ expérimenter une crise sociale généralisée ,parce que celle du 30 et 31 octobre dernier était un feu de paille .la CNT n’ a pas été élue ...donc ne peut pas prendre de telle loi discriminatoire et xénophobique vis à vis des gens . De grace laisser cette tache au nouveau président qui sera démocratiquement élu.

  • Le 1er avril 2015 à 18:28, par Bouglass En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mr Barry doit avoir une dent contre le Président du CNT. Hormis cela, on ne peut justifier ce flash back exhumant la candidature malheureuse de mr SY ! Pourquoi s’en prendre au responsable du CNT qui ne peut à lui seul voter cette loi et qui n’en est même pas l’initiateur ?

    Que mr Barry vache mal sa rancoeur contre mr Sy. Plutôt que vous grandir, cette lettre ouverte vvous déshonore proprement.Je vous aurais apprécié si vous l’aviez adressée à tous les députés CNT. Mais quand la colére et la jalousie se rendent maîtres de vous, vous vous avilissez, n’est-ce pas ?

  • Le 1er avril 2015 à 18:36, par Alexio En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mr Barry etes vous l Avocat du diable ou non ? Exclusion un mot que vous emploiyez aujourdhui, alors que Blaise Compaore et son CDP avaient usurpes le pouvoir depuis apres que la Revoultion populaire a ete trahi par les memes faux revolutionaires. En decapitant tous ceux qui etaient acquis par la lutte heroique du peuple Burkinabe.

    En remettant l horloge a zero, en nettoyant l ecurie dans baignade de sang pour assoir sa politique de la mendicite et de dependance a sa personne. Appuye par un corp d elite,le RSP. Qui avait comme mot d ordre." Si tu fais on te fait et n y a rien". Donc une politique d exclusion pour tous ceux qui tous ceux ne voulaient pas danser la partition orchestrale qu il dirigeant depuis 27ans.

    Pourquoi trop de cri de tendresse pour ceux la meme qui ont conduit le pays dans ce petrin ? Quel Democrates etaient-ils /Elles ?qQui a creer ces conditions dont nous soufrons aujourdhui ? Les memes bandits politiques avec leurs larmes de crocodiles apres avoir perdu les terrains politiques qu ils avaient laboures a leur guise avec une insolence du jamais vu dans un Etat de droit et de democratie que Barry reclame aujourdhui. Evidement
    apres que le CDP et ses acolytes n ont plus les rapports de force d antan avec lui.

    On na l impression a deja tourner la page de la revolution du 30-31Octobre en blanchissant les faux types qui n ont meme repondu a leur forfait. Les crimes non elucides,economques etc.

    Le President de cette transtion nous a assurer que Rien serait comme avant. Le Burkina Faso ne doit plus etre gouverner par ceux qui ont failli declancher une guerre intestine.

    Mr Barry vous n avez de lecon a rendre a personne pas moins ala cette transition.
    Quand Blaaaise etait au pouvoir on vous avait entendu ou bien lui ecrire pour le monopole du pouvoir avec ses score a la sovietique.

  • Le 1er avril 2015 à 18:39, par BF En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Je pense que la prophétie de Laurent BADO est en marche car avec le vote de cette loi je déjà l’ouverture des portails de l’enfer

  • Le 1er avril 2015 à 18:40, par OUEDRAOGO Tasséré En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Je voudrais tout simplement dire à ceux qui s’empennent au Président du CNT d’être modérer dans leur propos. C’est n’est pas le Président seul qui décide d’une lois c’est un vote donc l’indexé individuellement n’est pas réaliste.

  • Le 1er avril 2015 à 18:55, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    - On appelle ces gens du CNT par le terme de ’’Député’’ par abus de langage ! Ils ne sont en rien des députés. Personne ne les a élu pour qu’ils soient là-bas pour représenter le peuple ! Moi en tout cas parsonne ne me représente dans ce coglomérats de brouillons ! Ils ne sont en rien des députés !!!!

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 1er avril 2015 à 18:57, par beremwoudougou aristide En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Que la justice se mette en marche. Pas besoin vraiment de voter une loi.il ne faut pas qu’ils utilisent nos millions volés pour battre campagne.il y a déjà la loi sur le deli d’apparence. Que les décrets d’application soient vites pris. Le reste ne sera que justice. Le gouvernement de transition est attendu à ce niveau, mètre fin à l’impunité sinon jeter les bases.

  • Le 1er avril 2015 à 19:01, par adakanla En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    c’est maintenant qe le mot inclusion existe pour certain.Sous blèse compaoré on voulait exclure tous les autres burkinabè au profit de blaise.Héee petit frère ,frère de l’autre faut te calmer.Au reste tout les burkinabè moins agé que SY sont ses petits frères.Il represente le peuple et non OUAHIGOU.C’est maintenant toi tu es lucide.Nous on a faim,on mange pas gros français.Toi ,tu as de l’imagination et non la vision.Casse toi oui.

  • Le 1er avril 2015 à 19:07, par wendinmi En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Sy Chérif ne pouvait faire mieux. C’est ce qu’il est en réalité. La courte échelle a toujours caractérisé tous ces incapables. Allons tous devant le peuple. On verra qui est qui. Le peuple ne se laissera pas voler sa victoire chèrement acquise les 30 et 31 octobre.

  • Le 1er avril 2015 à 19:24 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mon frère votre analyse est pertinente mais c’est que notre pays s’ est engagé au pres de l’OUA a frapper d’inéligibilité tous les enemis de la démocratie

  • Le 1er avril 2015 à 19:25, par Danton En réponse à : Ce n’est pas Chérif Sy qui fait les lois au Cnt

    Monsieur Barry, vous semblez ignorer que les lois sont votées par une assemblée. Un seul individu ne peut être mis en accusation. Revoyez votre copie. Moi je suis de ceux qui pensent qu’un militaire, s’il veut compétir pour le poste suprême, doit se mettre en retraite de l’armée ou carrément démissionner. Que Dieu veille sur le Burkina Faso !

  • Le 1er avril 2015 à 19:42, par ditalao1612 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    AUCUN ANCIEN TRIPATOUILLEUR NE SIÉGERAS DANS NOTRE FUTUR ASSEMBLÉE

    l’auteur de cet écrit n’est un vrais burkinabe si non il devrait savoir que le général baba sy fut un homme intègre et que sheriff sy n’est que le reflet de son image.tu parles de l’échec de sa participation aux votes et surtout des 30 voies qu’il a eu comme si tu ne savait pas que la grande machine de tricherie qu’avait mi en place le cdp de blaise compaoré transforme tous les bulletin en cdp et ceux avant même les urnes.et tu oubli de parler du fait que ton blaise fut president avec moin de 10% des burkinabe en age de voter.voila que cela te plaise ou pas nous mettrons notre vrais démocratie en marche et il prendrons s’ils veulle le train en cour

  • Le 1er avril 2015 à 19:43, par Biisongo En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    La chute du Régime Compaoré a traumatisé plein de parasites... Cette loi sera votée et ça ne sera que justice !

    J’ai tenté de joindre ce fantôme de Barry sur le numéro qu’il a donné en vain.

  • Le 1er avril 2015 à 20:29, par terminator En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    ceux qui ont trahi l esprit de la constitution ne peuvent pas prendre part aux élections.il faut qu ils soient tous punis ce n est pas de l exclusion que de le faire mais un principe.on ne peut pas faire table rase ;la politique de l autruche ne rien voir .ils sont inéligible et le CNT doit se pencher sur cette question pour la paix dans le pays.leur participation va engendrer des affrontements aux conséquences imprévisibles durant la campagne électorale. la paix ; blaise et ses partisans l ont toujours chantes pour se maintenir au pouvoir .ceux qui ont étés en marge de l histoire brandissent la même trompette . Avec leur exclusion a la présidentielle ;seule alternative nous demeurerons en paix. sinon la transition sera responsable devant l histoire.

  • Le 1er avril 2015 à 20:35, par Nongba En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Merci un frère j’espère qu’il t’écoutera. S’il ne tenait qu’a certain on institueras les TPR, les licenciements et les dégagements pour propos antirévolutionnaires. Pardon Anti-CNT et anti-transition.

    On comprends bien la nostalgie de la RDP pour certains mais il y a plus de 30 ans maintenant. faut laisser ça on va avancer.

  • Le 1er avril 2015 à 21:11, par Mon pays En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Chercher plutôt a refermer les battants des portes de l’enfer qui se sont entre ouverte le 30 et 31 que de les ouvrir d’avantage.si non on ne parlera pas de formation Politique mais d’ou je viens et ou je vais rentrer.la paix au Faso.

  • Le 1er avril 2015 à 21:17, par revolution@@ En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    mr BARRY si tu as un probleme personnel avec ton parent SY ?lopinion publique na rien na voir ds ça.si non en ce qui concerne lexclusion de certains candidats SY na rien na voir ds ça.cest le peuple meme qui demande cela

  • Le 2 avril 2015 à 07:53, par PACO En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Rasmané BARRY, tu ne sais pas ce que tu veux. Il faut dire simplement à ton ami Blaise de revenir au non de l’inclusion. Pourquoi tenez-vous tant à faire passer vos beaux !
    Relis bien la charte. S’il faut exclure, il faut le faire et vite avant que le monstre e se relève.

  • Le 2 avril 2015 à 08:43, par grader En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Grand Fère SY, ne nous amène pas à regretter Blaise Compaoré, personnage que je n’ai jamais aimé dans ma vie.tu as reçu combien pour dire ça les amis de blaise déguiser on n’en veut plus
    Malheureux du fera mieux de te taire les audits se chargerons du reste enfoiré

  • Le 2 avril 2015 à 09:07, par le gladiateur En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    beaucoup parlent de ce qu’ils ne connaissent pas ! Mon peuple meure par ignorance

  • Le 2 avril 2015 à 09:13, par Thomas En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Bjr à tous pour les débats bien nourris je voudrais tout simplement apporter ma contribution, il est vrai que le BF viens de loin mais nous tous aimons ce pays. C’est quoi l’Amour, la vérité, la justice, le pardon et la réconciliation ?
    Pour construire un pays nous avons besoin de tous ses fils tout en balisant et codifiant nos institutions en fonction de nos erreurs d’hier. Et Dieu Seul sait comment nous avons faillit à cause de nos ambitions démesurées, notre vanité, l’orgueil,la cupidité, notre boulimie, la haine et j’en passe. j’essaie de comprendre les uns et les autres complètement outrés avec des positions que chacun defend avec ses arguments et ses convictions. Mais audelà de tout ,nous sommes des croyants et pour repondre à ma question ci dessus, je demande à tous de mettre Dieu au centre de tout. C’est Dieu qui donne et reprend le pouvoir IL est Seul Maître Souverain du monde, donc tout pouvoir est un don divin, mais attention, IL le donne pour qu’il soit utilisé pour coordonner’et amener le bon vivre dans l’amour, la vérité, la justice,le pardon autrement IL le reprend pour un autre tout en permettant à tous de tirés tous les enseignements, les leçons’ les conséquences pour mieux diriger. C’est pourquoi je souhaite qu’on s’y inspire de ce qui peut nous unir que nous diviser. Celui qui est fort qui pardonne toujours, pas le faible." Ne me jugez pas sur mes succè, jugez moi sur le nombre de fois où je suis tombé et où je me suis relevé à nouveau"(Nelson Mandela)" le passé est un lien de référence et non un lieu de résidence" dépassons nos positions figées et cherchons le mieux pour une vie heureuse sinon les portes de l’enfer s’ouvriront et se qui va arriver arrivera.Que Dieu vous benisse en ce temps pascal et nous illumine.

  • Le 2 avril 2015 à 10:13, par yirmoaga En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    En lisant le texte , on comprend bien que c’est un garibout de Blaise Compaoré qui s’exprime. Nous ne sommes pas dupes. Avec des tournures " je ne jamais cautionné le régime de Blaise" pour nous berner. Notre capacité d’analyse de passe cela. Si on prend mot à mot, Shérif sy peut tripatouiller la constitution comme il le souhaite sans être inquiété puisque la prochaine constitution ne pourra l’interdire d’être candidat à une éventuelle échéance électorale. Si vous ne voulez pas qu’on sanctionne les tripatouilleurs de la constitution du temps de Blaise, on ne pourra jamais sanctionner quiconque qui aura des veillété tendant dans ce sens.

  • Le 2 avril 2015 à 11:22, par loi 13 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    mr barry merci pour votre point de vue car c’est votre droit.
    ceci étant sachez qu’il ya également des textes qui s’ils sont appliqués exclus d’office ces comédiens atteint de démangeaison mentale qui insultent l’intelligence du peuple notamment la charte africaine des droits de l’homme ratifiée par les mêmes individus mais aussi la charte de la transition qui dit que ceux qui soutenu ouvertement la modification de l’article 37 soit mis dans des toilettes publiques (façon de parler).
    Donc des milos qui veulent se présenter seul natama est présidentiable. de toute façon, ils veulent même être président de quel pays seul eux (des rigolos) le savent, allez servir le seul capable de diriger le BF (votre soit disant dieu) et laisser nous de grâce vivre en paix semeur de trouble.

  • Le 2 avril 2015 à 11:48, par l’ange En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    UNE QUESTION A MR BARRY : ENTRE L’EXCLUSION POUR LES EX-DIGNITAIRES DES ELETIONS D’OCTOBRE PROCHAIN ET LEURS EXTRADITION DEVANT LA COUR PENALE INTERNATIONALE, LAQUELLE PREFERE TU ? IL EST PLUS AISE DE PRENDRE SES DESIRS POUR DES PAROLES D’EVANGILE. A VOUS DE VOIR LE MOINDRE MAL.

  • Le 2 avril 2015 à 11:49, par ANDY En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Merci pour cet écrit plein de bon sens. Personne ne soutient le régime déchu ni le CDP et allies. Mais pour une personne qui réfléchit il faut être contre l’exclusion de qui que ce soit en se basant sur des lois. Nous avons déjà vu les conséquences de telle lois en cote d’Ivoire. Laissons le peuple souverain choisir a moins que nous n’avons pas confiance a ce même peuple qui a risquer sa vie pour chasser Blaise et son régime.

  • Le 2 avril 2015 à 12:00, par le citoyen En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mr BARRY, à vous lire pour toute personne ayant une capacité d’analyse et de discernement , sait que vous n’êtes pas neutre et par conséquent si vous avez quelque chose à vous reprocher soyer prêt et laisser le Président du CNT tranquille car c’est pas lui seul qui vote les lois. Si tous les députes du CNT approuve la loi sa passera , et au contraire aussi sa ne passera pas.Quant vous dite qu’il n’a pas été élu, qu’il a été choisi pour toute personne connaissant OHG sait comment les élections se passait ;

  • Le 2 avril 2015 à 13:07, par Un patriote africain En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Il n’est point le moment ici que des renégats d’hier se présentent à nous à travers des vomissures comme cet écrit pour essayer de nous apitoyer sur le sort des sanguinaires et impityables d’hier d’un système qui n’a reculé devant RIEN et je pèse bien mes mots ; le système de blaise compaoré d’hier et de depuis que lui blaise était ministre de la justice dans le CNR de Feu Thomas Sankara (Paix à son âme que le miséricordieux veille sur lui et tous ceux qui sont épris de paix et de justice, AMEN), blaise n’est pas quelque chose qu’il est facile de qualifier (si un lecteur veut bien me comprendre, je ne trouve pas un mot de vocabulaire dans le genre du vivant pour le qualifier ; c’est à cet effet que je parle de chose le concernant) ; il vous souvient que cette chose appelée blaise compaoré sous le CNR à prétendu que des gens complotaient contre la Révolution burkinabé à cette époque et iul les a fait fusiller sur la place de la révolution ;
    il vous souvient que blaise compaoré à fait exécuter combien de camarades compagnons de lutte de la révolution sous la rectification après bien entendu sa forfaiture d’éliminer Thomas Sankara (je veux évoquer ici , Feux Henri Zongo et Jean-Baptiste Lingani que les âmes de toutes ces victimes reposent en PAIX).
    Comme le dit l’adage, le bourreau a si peur du couperet s’il venait le moment de lui appliquer ce que lui il prend plaisir à faire aux autres.
    C’est en réalité cette situation que vivent les déchets du système compaoré.
    Il faut pour l’Afrique entière, que la page blaise compaoré et l’ensemble de tout son système soit tournée à jamais, car trop de mal a été fait aux africains.
    Arrêtez donc de pleurnicher car telles sont les réalités qu’ont connus les peuples africains sous blaise compaoré (pas seulement les burkinabé, mais au-délà du Burkina Faso, blaise a commis beaucoup de tords au peuple africain dans son ensemble).

  • Le 2 avril 2015 à 13:32, par Bagnoumankè Sanou En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Merci pour la réflexion monsieur Barry. Seulement je me demande pourquoi le président du CNT porte l’ écharpe. Il n’est pas élu par le peuple aux élections législatives. De ce fait il n’a pas droit à l’écharpe. Et puis nous sommes en phase de transition, il n’est le président du CNT et non le président de l’assemblée. Attention à la dérive ??????????????????

  • Le 2 avril 2015 à 13:43, par wawei En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Mon cher ami, c’est vrai que ce n’est pas bien d’exclure certaines personnes de la vie politique mais il faut que vous sachiez une chose : quand des gens ont gouverné un pays pendant 27 ans et nous laissent un tel résultat que faut-il faire ? : 1) est-il imaginable, concevable qu’après 27 ans nos enfants dans beaucoup de zones continuent d’aller à "l’école " sous des paillotes ?2) est-il normal qu’après 27 ans nous n’arrivons pas à fournir de l’eau potable à nos populations de manière permanente ? 3) est-il normal après tant d’années de règne nous en soyons encore à ces balbutiements au niveau de notre réseau électrique ? 4) est-il normal que nos opérateurs économiques soient si malhonnêtes pour nous vendre des produits périmés ? et après toutes ces bêtises on trouve toujours des gens pour soutenir le clan de Blaise ; quand même ! c’est vraiment embêtant et on se posent des questions. Ce que la transition doit faire, et je crois que beaucoup seront d’accord avec moi, c’est d’arrêter ceux qui nous ont mis dans cette foutue situation ; vous prenez l’exemple d’un monsieur comme Salif L. KABORE, est-il normal que ce type-là qui est plongé jusqu’à la moelle dans le trafic de l’or et qui est à l’origine de la commande de cette foutue machine de KOMSILGA, vienne se pavaner à Ouagadougou ? ou encore Jerôme BOUGMA,ou Kafando, l’ancien ministre du commerce sans cursus universitaire qui a certainement avalisé beaucoup de bêtises dans ce pays au profit du clan Blaise, favorisé la fraude des gens comme OBOUF, corrompu notre système économique, etc...On n’a pas dit d’exclure tout le monde mais il y’ en a pour lesquels des sanctions doivent être prises. Prenons le cas de Gilbert Noël, pensez-vous que ce monsieur par qui le scandale est arrivé peut se présenter encore devant le peuple pour un suffrage quelconque ? soyons raisonnables ! C’est vrai que SHERIF ne doit pas avaliser des lois scélérates pour se venger, mais quand même certaines poursuites doivent être faites à l’endroit de certains modificateurs de l’art. 37 tels que ce vaurien- en- chapeau de Diemjoda qui n’a aucun programme que de supporter en grand opportuniste certains thuriféraires du régime COMPAORE. Ressaisissez-vous, membres de la Transition pour atténuer l’aigreur du Peuple.

  • Le 2 avril 2015 à 13:52 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    M Barry, ne perdez pas votre temps a ecrire a Sy. C’est le peuple qui, depuis le 30 octobre, decide de l’orientation et des conditions de conquete et de gestion du pouvoir d’Etat. Reunissez tous ceux qui pensent comme vous et allez nous attendre a la place de la revolution d’ou est nee la trasition qu’animent Sy et les autres dont nous avons accepte les mandats. Nous viendrons laba vous repondre.

  • Le 2 avril 2015 à 14:37, par yac En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Franchement dit je pense que la vraie démocratie est enfin entrain de s’installer au Burkina Faso. Les forces en présence se dessinent et les affrontements commencent déjà à travers les médias et les réseaux sociaux. Ce qui veut dire qu’on a pas besoin d’une unité spéciale de l’armée (super armé) pour faire valoir ses convictions et son idéologie. Moi j’encourage tout ce qui veulent exclure les anciens membres du régimes et tout ce qui ont soutenu Blaise ; d’aller jusqu’au bout de leur lutte. Ne reculé pas parce que la démocratie est un vrai combat d’idée et de conviction. Si les autres étaient à votre place, ils auraient fait plus que vous et sans pitié. En matière de pouvoir il n’y a pas de place pour la pitié et les pardons... pardons. Vous avez vu ce qui c’est passé en Côte d’Ivoire avec les gens de Alassane. Restez fort et convaincu parce que un jour le peuple vous jugera. C’est le point de vu d’un simple citoyen

  • Le 2 avril 2015 à 15:15, par BILI-BILI En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Après avoir chanté le refrain "article 37 hoyyéé —37hoyyéé " , ils ont encore trouvé un slogan : maintenant c’est "INCLUSION hoyéé ..." ! La loie d’EXCLUSION sera adopter PIAN !!! et aucune mouche ne va broncher ! Laissez le pauvre CHERIF en paix !
    . Internaute 37-JUSTE ....si vous êtes vraiment "garçon" , sortez marcher à la place de la nation ; on va vous montrer qui a mis eau dans coco ! Vous pensez que vous allez pillez ..tué..durant 27 ans , et on va vous laissé facilement comça ? La vie est facile dèh !!!

  • Le 2 avril 2015 à 16:13, par Citoyen En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Tu as raison d’avoir peur car la peur a changé de camp. Vous vous êtes réfugié sur ce mot "paix" pour piller les ressources du pays et les Burkinabè ont préféré la "guerre" pour vous faire partir. Si on doit vous exclure, on le fera et on attendra de pied ferme votre réaction. Nous n’avons plus besoin de cette "paix" dont vous chantez chaque fois pour endormir les consciences.

  • Le 2 avril 2015 à 17:21, par RAWA En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    La rancune fait souvent du mariage amoureux un mariage malheureux, quant à Shériff SY, il fera d’un Burkina émergent un Burkina de malheureux.
    Ce n’est pas parce qu’il y a effectivement des différences entre les hommes qu’il faut conclure à la suprématie des uns et à l’infériorité des autres. Il ne faut pas confondre différence et inégalité.
    Vous passez le temps à médire Blaise COMPAORE, a lui traiter de voleur, d’assassin !
    Pourtant en quelque moi de petit pouvoir vous avez fait pire que lui, vous avez apporté un mot, jusque-là inconnu des Burkinabé.
    Vous avez apporté le mot #EXCLUSION#

  • Le 2 avril 2015 à 18:16, par L’alternateur En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Ecoutez cette pensée de Rousseau . Le plus fort n’ai jamais assez fort s’il ne transforme sa force en droit et son obéissance en devoir . C’est là un fondement de l’état de droit ; Alors Mr Sy ; vous qui aviez accédé au perchoir d’une assemblée d’insurgés ; prenez une grande décision pour la postérité afin que les enfants de vos enfants ne vous renient à jamais . Je vous rappelle l’histoire de Naba Boukary Koutou dans le royaume mossi . Lisez là et vous prendrez une décision très sage . Pas d’exclusion sinon il y aura expulsion. Vous qui êtes un accident de l’histoire , car n’eut été ces événements , être à la tète d’une assemblée d’insurgés était impensable dans votre pensée . Si vous êtes manipulés alors démissionnez car exclure un citoyen serait synonyme de vous exclure de fait de la nation et de la république

  • Le 2 avril 2015 à 18:47, par KIRIKOU DE BURKINA En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    JOUEZ L’EXCLUSION, MESSIEURS DU CNT, ET VOUS VERREZ...

    PLUS AUCUNE FORCE DE L’ORDRE NE PEUT TIRER SUR UNE QUELCONQUE FOULE.

    NOUS PRENDRONS DONC TOUT EN OTAGE, ET CE SERA UNE SECONDE RÉVOLUTION.

    ET LE C.N.T., ET LA PRIMATURE, ET.... JUSQU’À CE QUE LA CHARTE D’INCLUSION SOIT RESPECTÉE. ET ON METTRA TOUT À PLAT... VOUS AVEC.

  • Le 2 avril 2015 à 19:43 En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    ATTENTION ! NON a la politique de l’exclusion ! Tous les burkinabés ont les meme droits ! Il faut pas détruire ce qui nous reste de notre État avec ce genre de decision...EN TOUT CAS on vous observes de tres pret (les jeunes) nous sommes descendu dans la rue pour vous occasioner une place au pouvoir, et nous descendrons quelques heures apres l’adoption de ce projet de loi. NOUS ALLONS DESCENDRE DANS LA RUE POUR DEBARQUER CES OPPORTUNISTES DEPUTÉS CNTISTES QUI SAPPRETE A DIVISER LE PAYS SUR PAPIER...

  • Le 3 avril 2015 à 09:58, par charles En réponse à : Lettre ouverte à Shériff Sy, Président du CNT : "N’érigeons pas nos peurs, nos convictions ou nos désidératas en textes de loi"

    Burkina faso d’aujourd’hui = exclusion = xénophobie = guerre civile.

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