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Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

Publié le lundi 30 mars 2015 à 11h55min

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  Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

Par la présente, j’interpelle les autorités de la Transition, le Président Michel KAFANDO, le Premier Ministre Yacouba Isaac ZIDA, le Président du Conseil National de la Transition Chérif SY à jeter un regard des plus préoccupants sur la situation de la SN-SOSUCO.

En effet, c’est après le 2ème reportage de la RTB-télé du 26 mars 2015 sur la SN-SOSUCO, que j’ai décidé d’écrire surtout pour proposer des solutions à la mévente à laquelle fait face ladite société depuis un certain temps. Cette mévente est surtout due à certains importateurs usant de fraude. Récemment d’ailleurs, la presse faisait écho d’une quarantaine de camions saisis par la gendarmerie de Banfora le 18 mars 2015 et qui, jusque dans la soirée du 20 mars 2015 était toujours stationnés devant la nouvelle mairie. Cette fraude mine tout le secteur industriel national. Pour sauver la SN-SOSUCO, je propose deux solutions : l’une urgente et l’autre d’ordre administratif et ou législatif.

La première consiste à acheter le stock de mévente estimé à 32 000 tonnes d’abord pour éviter le dépôt de bilan à la SN-SOSUCO dès ce mois d’Avril 2015, ce qui engendrerait la perte de près de 10 000 emplois directs et indirects. Dans un pays à revenu faible comme le nôtre, l’Etat est le sauveur par excellence, ici à travers la Fonction Publique, l’Armée Nationale et pourquoi pas le secteur privé ?
Voici les calculs : si chaque fonctionnaire à partir de fin avril recevait 5 kg ou 5 paquets de sucre pendant 6 mois, soit 30kg de sucre multipliés par au moins 120 000 fonctionnaires, alors on aurait 3 600 000 kg de sucre sortis, soit 3 600 tonnes moins les 32 000 tonnes de stock , il resterait alors 28 400 tonnes à repartir entre tous les importateurs de sucre du Burkina puisque responsables de la mévente actuelle de la SN-SOSUCO et aussi pour PATRIOTISME industriel et commercial.

En chiffres : 1fonct x 5kg x 6mois : 30kg x 120 000 fonctionnaires : 3 600 000 kg / 1000 : 3 600 tonnes – 32 000 tonnes : 28 400 tonnes / Importateurs de sucre.

Et cela, sans compter l’Armée Nationale, le secteur privé, et même les retraités qui seraient probablement intéressés. On appelle ça PATRIOTISME pour ceux qui ont déjà oublié et ce patriotisme ne coûterait qu’environ 3000 fcfa par mois aux fonctionnaires pendant 6 mois, soit environ 18 000 f cfa pour sauver près de 10 000 emplois directs et indirects et avoir du sucre pour ses besoins ou le partager avec ses proches ou les plus démunis. Il va de soi que le Ministère de l’Economie et des finances supervise une telle opération à travers la Solde et d’autres aspects que je ne maîtrise point. Une idée m’est venue lorsque j’écrivais : chaque année, les fonctionnaires musulmans pourraient à l’approche du jeûne, solliciter une grande quantité de sucre et régler les frais par la Solde, mais ceci n’est qu’une idée.

La seconde solution est plus administrative et ou législative et concerne plus le Ministère du commerce et les Douanes qui doivent travailler de concert à faire respecter la législation en cours. Les textes existent, seulement ils ne sont pas appliqués, sinon il n’y aurait pas tant de fraudes au point de créer une mévente au niveau de la SN-SOSUCO et d’autres sociétés. Si la législation actuelle est molle, on pourrait la renforcer pour protéger notre socle industriel.

C’est ce que font les capitalistes de l’autre côté : le Président Obama a fait garantir plus de 1000 milliards de dollars pour l’Industrie Automobile et les Banques et Assurances à partir de 2009 pour protéger des centaines de milliers d’emplois ; nous n’avons ni les milliers de milliards de dollars, ni non plus des centaines de milliers d’emplois à protéger, mais nous avons juste quelques milliards de fcfa grâce à la participation de tous, pour sauver près de 10 000 emplois directs et indirects.

Pour finir, j’exhorte les autorités de la Transition à sauver la SN-SOSUCO, et surtout à protéger notre tissu industriel naissant et donc très fragile par une législation sévère mais juste ; il y va de notre stabilité à court, moyen et long terme.

DABIRE A. Angelin , citoyen très préoccupé
Email : angelindab@yahoo.fr

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Vos commentaires

  • Le 30 mars 2015 à 11:34 En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Merci mon frère, vraiment il faut qu’on trouve une solution pour sauver nos papa

  • Le 30 mars 2015 à 11:35, par vrai En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    YA UNE MAUVAISE POLITIQUE COMMERCIALE. IL YA DES MOMENT ON CHERCHE VOTRE SUCRE DANS LES BOUTIQUES EN VAIN. CEST COMME SI VOTRE SUCRE N EXISTAIT MÊME PAS SUR LE MARCHE. CEST BIZARRE CETTE MÉVENTE. BON YA LE MOI DE CARÊME MUSULMAN QUI ARRIVE, METTER EN PLACE UNE BONNE POLITIQUE ET PROFITER DU MOIS DE CARÊME OU LE SUCRE EST BCP CONSOMMER.

  • Le 30 mars 2015 à 11:37 En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Han bon donc comme ça on n’a qu’à tous devenir diabétique quoi ?

  • Le 30 mars 2015 à 11:55, par MKT En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Je ne comprends pas pourquoi cette mévente alors que le sucre de la SN SOSUCO est prisée dans la sous région.

  • Le 30 mars 2015 à 11:58, par SAMA En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Je suis d’accord, votre idée est pertinente sauvons notre entreprise SN-SOSUCO

  • Le 30 mars 2015 à 12:09, par Nabari En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Mon ami, on ne raisonne pas comme cela. Il faut bien protéger la SN-SOSUCO, mais il ne faut pas obligé les gens à consommer le sucre car ce n’est pas un produit indispensable. Mieux, il est déconseillé de nos jours de prendre trop du sucre au risque de maladies liées (diabète, etc.). Si la SN-SOSUCO veut sauver cette situation ne serait-ce que ponctuelle, qu’elle baisse les prix et elle verrait que ce stock ne fera même pas un mois. D’ailleurs tous veulent consommer le sucre de la SN-SOSUCO mais c’est son coût élevé qui fait fuir les clients vers le sucre importé.
    En attendant l’effectivité des solutions administratives ou législatives, que la SN-SOSUCO sache que c’est par ce que son prix n’est pas adapter à sa clientèle qu’elle n’arrive pas à écouler son sucre.
    Un autre aspect, la clientèle n’a pas accès au sucre de la SN-SOSUCO en détail comme le sucre importer où même avec 25 ou 50 F CFA, le petit écolier peut sucrer sa bouillie le matin avant d’aller à l’école.
    Bref, la SN-SOSUCO a sélectionné sa clientèle donc personne ne s’étonne du fait qu’il ait mévente.

  • Le 30 mars 2015 à 12:19 En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Mon frère Dabiré. tu as tout dit sauf l’essentiel. Dans tes propos ci-dessus, je cite" j’ai décidé d’écrire surtout pour proposer des solutions à la mévente à laquelle fait face ladite société depuis un certain temps. Cette mévente est surtout due à certains importateurs usant de fraude." en effet, on pourrait empêcher les gros importateurs de sucre de faire rentrer sur le territoire national pour un certain temps par exemple, afin, selon toi de faire face à la mévente. penses-tu qu’en adoptant cette alternative, ce serait la meilleure solution ? Je dis bien non, il faut combattre le mal par sa racine.
    tu as parlé de fraude.Certes, ces importateurs sont aussi en partie responsables de cette mévente. D’autre part, il se pourrait qu’il y ait des fraudeurs d’autres horizons au niveau de cette boîte. Pourquoi ne pas demander à l’ Etat d’y diligenter une enquête urgente afin de démasquer les fraudeurs et leurs acolytes et les punir à la hauteur de leur acte ? Sinon ta mesure proposée ne saurait faire grand échos tant que la structure elle-même n’est pas assainie. selon moi, cette enquête doit commencer par la haute hiérarchie en descendant. comme ça, on saura qui est qui réellement, et qui fait quoi. Car aux dires de certains, la sn- Sosuco est toujours manipulée par des éléments de l’ancien pouvoir dictatorial déchu de Blaise Compaoré. J’entends souvent le nom d’une certaine Mme Gnanou, une dame aux mœurs légères considérée comme le point focal des CDPistes, et qui n’hésite pas à faire descendre son jupon pour n’importe quel nouveau DG élu. D’ après qu’avec un tel pouvoir, elle peut décider qui on peut licencier ou pas.
    Donc les autorités sont interpellées.

  • Le 30 mars 2015 à 12:22, par alimed En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Je pense que la SOSUCO doit faire beacoup plus de marketing pour son sucre dont la qualité est meilleure que la plupart du sucre importé. Moi je ne veux que consommer le sucre blond de SOSUCO mais j’ai du mal à trouver sur le marché à cause de sa mévente certains commerçants refusent de l’acheter. Pourtant ce sucre non seulement est plus économique et est de qualité mais à cause de sa couleur beaucoup de gens refusent de le consommer.

  • Le 30 mars 2015 à 12:34, par Filsdupays En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Vous parlez de 32000t, c’est énorme et depuis quand la SN SOSUCO a stocké ce sucre ? Le problème de la mévente est certes connu mais qu’est -ce que la SN SOSUCO fait pour décrier cette situation ? Si l’on met fin à la fraude tout le monde y gagne aussi bien le trésor que les travailleurs et la société. A moins que ce soit encore des personnes de la trempe de OBOUF avec leurs complices qui infectent le marché au détriment de l’intérêt général du peuple. Tout compte fait on appelle au gouvernement de la transition bien qu’il soit sur tous les fronts de voir ce qui est faisable pour sauver cette société qui donne beaucoup à la population des cascades et bien d’autres. Le cas de l’ex GMB est aussi à voir

  • Le 30 mars 2015 à 12:36, par Ismael En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Très belle proposition ! Il faut seulement le courage politique pour le faire. Je suis absolument d’accord avec tes propositions. Il faut que l’Etat reprenne en main cette entreprise, qui est le premier employeur privé du Faso.

  • Le 30 mars 2015 à 12:50, par guingraogo En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Contraindre les agents de l’État à acheter de force la production de la SOSUCO n’est pas une bonne idée. La contrainte n’a jamais donné de bons résultats.
    Je crois plutôt que l’Etat peut prendre des mesures de sauvegarde de ce secteur de l’économie nationale. Comment ? En instituant dorénavant une autorisation préalable d’importation (API) du sucre. Pour se faire, les besoins nationaux de consommation de sucre seront évalués, production nationale y comprise. Imaginons que les besoins nationaux soient de 200 000 tonnes de sucre et que le SOSUCO ne produit que 50 000 tonnes de sucre. Il ne sera autorisé que l’importation de 150 000 tonnes de sucre. Mais attention, il ne faut pas permettre l’importation de ces besoins supplémentaires sans que la production nationale ne soit écoulée. Comment procéder donc. Il faut dans ce cas diviser les besoins nationaux de 200 0000 tonnes de sucre en 10 lots de 20 000 tonnes par exemples. Dans chaque lot de 20 000 tonnes, il y a 5 000 tonnes de sucre de la SOSUCO et 15 000 tonnes de sucre à importer. Ces 10 lots seront soumis à adjudication (vente au enchères) par le ministère du commerce. Chaque commerçant importateur, en adjugeant pour un lot, devient ipso facto acquéreur de 5 000 tonnes de sucre de la SOSUCO qu’il doit enlever suivant le rythme de la production de la SOSUCO au risque de se voir suspendre l’autorisation d’importer.
    Une telle mesure est plus souple et permet de sauvegarder les 10 000 emplois directs et indirects que génère la SOSUCO.
    Le besoins mondiaux de sucre s’accroissant, l’État devra songer à créer d’autres entités dans d’autres régions. En son temps, le CMRPN du Colonel SAYE Zerbo avait envisager de créer une deuxième société sucrière dans le Sourou, la SOSUSOU. Mais, ce projet est resté lettre morte. Nous savons tous que si la Région des Cascades est ce qu’elle est aujourd’hui, c’est en grande partie grâce à la SOSUCO. Imaginons, ce qu’une société sucrière du genre peut faire pour la région de la Boucle du Mouhoun. Une telle société constituera un coup de fouet à l’économie régionale, une véritable transformation de l’économie régionale.
    Le même raisonnement peut être appliquée à la Région du Boulgou ou du Gourma. La création d’une telle entité dans le bassin de Bagré et dans celui de la Kompienga va transformer complètement les économie de ces régions. Au lieu d’importer, peut-être que ces quatre sociétés sucrière pourront à terme satisfaire le marché national. La satisfaction des besoins du marché national permettra une épargne de devises qui pourront être injectés dans d’autres secteurs. Nous créerons de l’emploi et combattrons par la même occasion le chômage dans notre pays.
    On me demandera, avec que moyen créer toutes ces unités. Aujourd’hui, l’État burkinabè s’est créé des charges budgétaires récurrentes qui n’ont pas d’effets durables sur la création d’emploi : je veux parler du programme social initié par le régime Compaoré qui consiste à prendre en charge sur le budget de l’Etat, 100 travailleurs sociaux dans chaque commune rurale, les VADS et balayeurs de rues dans les communes urbaines. Cette charge budgétaire a conduit à élever la charge salariale dans le budget de l’Etat à plus de 40% des recettes propres de l’Etat. Or, dans les normes de gestion, les charges salariales d’une entité ne doivent pas dépasser 33% de ses recettes propres, sinon, l’entité court vers la faillite. Je propose, par conséquent de mettre fin à ces programmes et d’utiliser l’économie budgétaire consécutive à la création de ces unités de production du sucre. En effet, les milliards de F CFA consacrés à ces programmes ne créent pas d’emplois durables, ce sont des emplois à temps partiel. En outre, l’impact de cette charge budgétaire dans le PIB est contestable. Or, une seule usine comme la SOSUCO a un impact certain sur le PIB : accroissement de la production nationale, diminution des importations donc amélioration de la balance commerciale de la balance des paiements, création d’emplois, donc distribution de revenus au niveau local, etc.
    Je pense que la transition et surtout le gouvernement qui sera en place après cette transition devra y songer. Sinon, le Burkina court vers une cessation de paiement. Ce qu’il n’avait pas connu auparavant.

  • Le 30 mars 2015 à 14:55, par yacoul En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Merci à DABIRE pour avoir ausculter la situation de la SN SOSUCO qui est le 3ème employeur après l’État et la SOFITEX. C’est bien cette manière de voir . Le seul problème actuel de la Sucrière de la COMOÉ, c’est la fraude des importateurs de sucre. On peut importer le sucre mais y’a des conditions . Il faut fortement taxé les importations des produits qu’on produit déjà au Burkina comme le sucre ,l’huile .... et donner un seuil d’importation .
    Le sucre ne s’aurait se vendre moins chère que celui produit localement. Que nenni. cela cache ou la mauvaise qualité ou la faible taxation .
    A la transition,montrez nous que rien ne sera fait comme au temps de Blaise,montrez nous autre chose, Mr le president du CNT, Mr le Premier ministre,Mr le Président. Faites votre valeur ajoutée. SAUVEZ LA SOSUCO ..... SAUVEZ LES 10 000 EMPLOIS.... SAUVEZ DES MILLIERS DE FAMILLES QUI VIVENT GRACE A LA SOSUCO......

  • Le 30 mars 2015 à 15:40, par Sans Parti Pris En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Merci de partager avec nous tes préoccupations. Mais je propose qu’on ne permettent pas que les débats de groupes de discussions (communément appelé grins) soient propagées dans la presse. Nous sommes plus dans l’ère des communistes. Le fonctionnaire est libre de disposer de son argent et d’en faire ce qu’il veut. Comment voulez-vous le forcer à acheter du sucre s’il n’en pas besoin. Surtout pas pour acheter du sucre que quelqu’un a produit sans se poser de question comment il va vendre. N’oublions pas qu’il y’a quelques deux années seulement, le prix du sucre augmentait pendant le Ramadan parce que des blocages existaient, créant fictivement des pénuries. Les musulmans on payé le prix et personne d’autre ne s’est plaint. En résumé, cherchez d’autres solutions pour votre sucre. La concurrence profite au consommateurs.

  • Le 30 mars 2015 à 15:42, par Filsdupaysan En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Si le stock reste longtemps, je doute fort de la qualité de ce sucre. Il faut casser les prix et tout le monde va acheter. Avant la transition vous vendiez donc n’attendez pas que ce soit la transition qui trouve solution à ce problème.
    Au temps de BC on vous entendait moins mais depuis là, voilà

  • Le 30 mars 2015 à 16:27, par raogo En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Si c’est de la bonne qualité nous allons prendre mais nous avions remarqué que la couleur du sucre blond a changé il faudrait qu’on nous dise pourquoi il n’est ni blanche ni blond foncé

  • Le 30 mars 2015 à 17:02, par will En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Je ne comprend rien dans cette situation. Mevente de sucre à la SOSUCO or en certaine periode de l’année, on cherche le sucre en carreaux en vain. Je pense que la SOSUCO a une mauvaise politique de distribution qui explique cette situation. je ne consomme que le sucre en carreau de la SOSUCO, il n’ya pas très lomptemeps, il y’avait rupture de ce produits dans les commerce. Comment on peut encore venir parler de mevente ???????? Il ya des non-dit.

  • Le 30 mars 2015 à 17:22, par DALLA En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    le nommé" sans parti pris" à propos de la SN SOSUCO raisonne comme étant un non burkinabé. Il ne connait pas cette unité de production où s’en moque t il exprès ? le " fils du paysan " n’a pas non plus un meilleur raisonnement ou proposition apte à sauver cette unité. Si cette unité mourrait on serait retrouver les assassins.....

  • Le 30 mars 2015 à 17:23, par Ilboudo Idrissa En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Une tel société n’a pas besoin qu’on lui trouve des solutions pour vendre son produit. J’imagine que la société a du engagé des cadres chargés du marketing et qui sont payé à la hauteur de leur grades. Quel est leurs rôles dans la boite s’ils n’arrivent pas à trouver des solutions a cette mévente ? Pour les fraudes évoqué, je suis bien contre cette pratique, mais il faut savoir que c’est parce que la SO SU CO n’est pas mesure de satisfaire la clientèle (coût et quantités) qu’on importe du sucre. Si le sucre importé est moins chère que le sucre produit au Pays ou si en campagne on ne trouve que du sucre importé, ne soyez pas étonné de votre mévente.
    Mr Dabiré, pour moi la solution peut être trouvé dans la boite. Si les responsable commerciaux ne sont pas à la hauteur de leur tache, il y a des jeunes diplômes qui sont au chômage

  • Le 30 mars 2015 à 17:35, par hervos one En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    le vrai problème c’est que d’une part il y a manque de nationnalisme et d’autres part on ne dit jamais qui sont les fraudeur des hommes d’Etat certainement .

  • Le 30 mars 2015 à 17:36, par DALLA En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    c’est l’égoisme et le clanisme qui sont rois au Burkina ? Au moment des regrettés Sangoulé, Saye et Sankara nous n’avons pas connu ces genres de situations où l’on semble torpiller les unités industrielles nationales au profit des importations d’aliments à la limite malsaine pour la consommation des burkinabè et cela pour être rapidement des milliardaires qui narguent le peuple .au moment opportun l’on saura séparer les patriotes des fossoyeurs de la nation quels qu’ils soient !!

  • Le 30 mars 2015 à 17:47 En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Je suis d’accord avec Alimed internaute 8. La SOSUCO et même la CITEX huilerie doivent revoir leurs politiques de marketing. L’année passée je voyais dans les presses des fûts d’huile et bidons en "pagaille" dans les cours et magasins des sociétés en question. Vos directeurs commerciaux ne savent pas risquer. Avec les fraudes et les huiles bizarres qui se propagent, voyez les différents DAF et SAF des services pour faire des propositions flexibles de vente. Moi je suis beaucoup intéressé car cela va me permettre de garantir mon alimentation ou même pouvoir poser plainte sur un commerçant sûr et qui va à son tour faire répondre le fabricant. Vous verrez que la fraude va se réduire graduellement. Depuis longtemps, je ne consomme que le sucre blond, mais souvent on en trouve même pas à la boutique du voisin ou l’alimentation d’à coté.

  • Le 30 mars 2015 à 17:49, par Le Commissaire En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Bonjour M. Dabiré.
    Pour apporter un remède à un malade ; Il faut au préalable diagnostiquer le mal dont il souffre. Ici c’est l’Etat lui même qui est à la base du mal dont souffre la SN SOSUCO. Si les informations à ma disposition sont exactes, vous et moi ne pouvons acheter directement le sucre produit par la SN SOSUCO. Il y a un monopôle que l’Etat a octroyé à une petite dizaine de commerçant pour l’achat du sucre produit au Burkina et l’importation pour combler les besoins du sucre (la production nationale ne représente que 20 à 25 % de la consommation nationale) . Alors qu’est ce qui explique cette situation de mévente ?
    1) Les commerçants autorisés par l’Etat, commande le sucre de la SOSUCO
    2) Le ministère du commerce leur délivre une autorisation d’importation proportionnelle à son bon de commande.
    3) Avec cette autorisation le commerçant peut importer du sucre qu’il va mettre sur le marché alors qu’il n’ a pas enlevé le sucre qu’il a commandé à la SN SOSUCO.
    Dans ce cas de figure même si vous voulez le sucre de la SOSUCO vous ne l’aurez car il n’est pas disponible dans les magasins.

  • Le 30 mars 2015 à 18:06, par le nabiga En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    DABIRE pleure pas une société comme la sosuco qui refuse d’aller au pas de la globalisation économique. Les gens payent ce qui les attirent. Eux Ils sont là toujours avec leurs emballages aux couleurs ternes sans disignes attirant sans pub sans promo avec des directeurs de marketing qu’ils pays très chère croyants que le publique est obligé de prendre leurs produits ! Restez comme vous etent et sombrez . Ne nous angoissez pas !

  • Le 30 mars 2015 à 18:39, par Benoit En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    hé commercant de burkina, eux aussi ils veulent monopole. C’est fini le communisme. adaptez vous au marché ou disparaissez.

  • Le 30 mars 2015 à 19:08, par Robert En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Merci M DABIRE pour les propositions de solutions .Par ailleurs ,je dirai que la SN SOCUCO est elle même responsable de sa mévente.
    1-Les mêmes importateurs (concurrents de la SN SOSUCO) sont les grossistes pour la revente du sucre de la SN SOSUCO.Avant d’importer le sucre ,l’Etat leur fait obligation d’enlèvement d’un quota de tonne de sucre auprès de la SN SOSUCO en vue de protéger cette industrie. Or le grossiste importateur gagne beaucoup de bénéfice avec le sucre importé que celui de la SN SOSUCO.En conséquence ,le sucre produit au Burkina est acheté par les grossistes pour obéir à une réglementation d’importation du sucre en lieu et place de sa revente sur le marché. Conséquence 1:Le sucre de la SN SOSUCO est stocké dans des magasins jusqu’à épuisement du sucre importé avant d’être mis sur le marché ou lorsque le grossiste à besoin d’une nouvelle autorisation d’importation qu’il met le sucre de la SN SOSUCO sur le marché. Conséquence 2:La SN SOSUCO se retrouve dans une situation de dépendance absolue de ses grossistes pour l’écoulement de son sucre.
    Resultat:Le sucre produit par la SN SOSUCO est introuvable sur le marché national et pourtant la société dispose de stock important dans ses locaux.
    Solution 1:La SN SOSUCO doit repenser sa stratégie de distribution. Par exemple ,identifier des distributeurs dans les 13 régions ,dans 45 provinces, jusqu’au niveau secteur dans les principales villes du Burkina(Ouagadougou,Bobo,Koudougou,Kaya ,Ouahigouya....)
    Solution 2:Revoir ses prix de vente de façon à accorder une bonne marge aux distributeurs
    Solution 3:L’Etat peut lancer un avis de sélection pour choisir chaque année les grossistes qui devront importer le sucre de façon à s’assurer que les quantités importées ne vont pas nuir à notre industrie nationale ,créatrice de la vrai valeur ajoutée

  • Le 30 mars 2015 à 20:58, par integre En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Pour ma part je pense que l état doit faire quelque chose pour cette usine qui emploie bcp de burkinabés et contribue aux recettes de l état.A titre d exemple le Senegal a pris une mesure cette année pour interdire l’importation de l oignon parce que ayant produit beaucoup sur le plan nationale.
    Nous devrons protéger nos unités sinon je vois pas comment on pourrait se développer sans un tissu économique digne de ce nom.Sauvons la SN-SOSSUCO !

  • Le 31 mars 2015 à 08:06, par Alex SONOBI En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Oui il y a des emplois à sauver. L’autorité de l’État est sollicitée pour cette raison. Qu’elle sera l’apport de la SN-SOSUCO pour accompagner les efforts de l’État ? Pour ma part il y a absence des bases commerciales à la SN-SOSUCO qui est en faite une industrie productrice et non distributrice. Il faudra donc un recadrage de la politique commerciale et la définition d’une stratégie de communication et marketing qui ne ce limite pas faire des affichage urbaines en 4x3. Je suis prêt par patriotisme à une analyse de la stratégie actuelle et à la proposition d’une stratégie adéquate. Contacter moi 25 48 32 29

  • Le 31 mars 2015 à 09:59, par BAKIEBO Jacques En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Assez réfléchi passons à l’action, puis nous poursuivrons la réflexion. Honnêtement je réclame en vain le sucre de la SOSUCO à mon boutiquier sans succès. Ya t’il une stratégie mise en place pour assassiner nos industries ?. Ces importateurs, sont ils des burkinabè ?

  • Le 31 mars 2015 à 10:44, par zakis En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Situation très désolent quant on voit le nombre d’employés qui pourraient se retrouver sans emploi. Mais l’arbre ne doit pas cacher la forêt. La SN-SOSUCO est une entreprise nationale qui a une histoire. Vous n’ignorez pas qu’à la création de cette société ce sont des milliers de burkinabè de surcroit des paysans qui ont céder leur terrain et en contrepartie devait voir leur fils travaillés dans la chaîne de production. Et voilà que pour des raisons politiques la société a été privatisée et bradée à vil prix et passée à des amis tel que le groupe IPS dont le représentant est le machiavel de Mamadi SANO et le président du conseil d’administration BARRO Djanguinaba ; au détriment d’opérateur économique de bonne foi. Alors ces derniers étaient mécontent. Pire le même Barro importe du sucre et narguait les autres. Le transport est assuré par le m^me barro qui engrangé chaque mois près de 16 millions. De plus les recrutements et nomination se faisait à la tête de la personne et de surcroit il faut être du clan barro et sano alors on a fait que recrutés des incompétents et des repris de justice. Nous prensons l’exemple du chargé de marketing qui n’est rien qu’un ex magasinier du groupe SOBA de Barro et la DRH qui a déjà fait l’objet d’emprisonnement j’ai nommé gnanou sali. C’est dire que le problème est profond et a besoin de solutions adéquates. Tout d’abord il faut que l’Etat reprenne la société et organiser une autre opération de privatisation car nous n’allons pas acheter le sucre pour enrichir un groupe d’individus. Malgré cette mévente nous assistons à des passations de marchés au gré et à la remise chaque mois de chèque a Barro qui n’arrive pas à exécuter son contrat convenablement. Lors de l’insurrection la DRH ancienne prisonnière a vu sa villa incendié parce qu’étant trésorière de l’écart au pouvoir cdp ; tenez vs qu’une autre villa a été rénové à coût de millions pour cette dame qui continue de faire des rencontres politique dans ladite villa. Tout juste après la cirse Mamadi sano est venu puiser des fonds sans que rien ne se passe. Vous voyez chers dirigeants de la SN-SOSUCO ne nous fatiguez pas avec une situation qui a été créée et orchestrée par vous mêmes. J’invite de tout coeur la haute cours du contrôle de l’état d’envoyer un audit et la vérité triomphera au grand jour et clouera les becs de tous ces intriguants.

  • Le 31 mars 2015 à 11:21, par DEB BIE En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    La SN SOSUCO est une société privée appartenant au groupe Agan Kan et Barro Djandjinaba. L’Etat a cédé ses actions à ces privés étrangers et nationaux. Du reste cette privatiation n’a pas été bien pensée et aurait du faire appel à un actionnariat populaire comme le Sénégal a fait pour la privatisation de sa société de téléphone SONATEL. Mr DABIRE, vous avez vérifier qui est le Président du Conseil d’administration (PCA) de la SN SOSUCO ? C’est un protégé de ladji Djandjinaba en l’occurrence Mamadi SANOH par ailleurs PCA d’Air Burkina. Vous avez vérifier son niveau de formation pour être à la tête de la gouvernance de telles grandes et complexes sociétés ? La gestion est une science et n’importe qui ne peut être gestionnaire. Les résultats actuels de la SN SOSUCO émanent en grande partie de la mauvaise gouvernance surtout au niveau commercial et financier qui nécessite des connaissances pointues pour pouvoir imaginer des politiques stratégiques et opérationnelles de gouvernance permettant d’anticiper sur le futur. C’est finalement pour vous dire Mr DABIRE, que je ne suis pas d’accord avec votre proposition et si cette proposition était imposer par l’Etat du Burkina, je serai le premier à m’y opposer farouchement car dénudé de tout sens car il s’agit ici d’une société privée. A bon entendeur, salut !

  • Le 31 mars 2015 à 12:25, par Burkindi En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Juste une question :
    Etes vous sûr que le sucre contenu dans les cartons est réellement celui produit par la SN-SOSUCO ? Allez-y voir d’abord.

  • Le 31 mars 2015 à 13:17, par Franck En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    La vraie solution :
    Consommons ce que nous produisons et taxons fort le sucre à l’importation.
    C’est comme cela que les économies saines fonctionnent, partout dans le monde .
    Mais je crois que cette devise : " Consommons Burkinabè " appartient déjà à l’Histoire du Faso, il suffit de se la remémorer .

  • Le 31 mars 2015 à 15:10, par Thadita En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Moi je ne consomme que le sucre de la SOSUCO mais j’avoue que pour en trouver souvent, c’est la croix et la bannière car toutes les boutiques n’en ont pas. Je partage tous les avis y compris celui lié au manque de marketing de la SOSUCO, mais à l’heure actuelle nous pouvons sauver 10 000 emplois. Allons lançons la campagne, un ménage - un paquet de sucre SOSUCO par mois et ce sera déjà un pas dans la bonne direction car l’on reconnaît plus de valeurs nutritives et de vitamines au sucre roux qu’au sucre blanc dont beaucoup raffolent.

  • Le 31 mars 2015 à 18:50, par m’ned songo En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    mois je dirais pour contribution qu’il faut que la SN-SOSUCO se dote d’un service marketing très efficace avec les moyens qu’il faut. leur sucre est ce qu’on préfère sur le marché mais il arrive qu’on en trouve même pas. un service marketing avec une équipe jeune et dynamique sera très efficace !

  • Le 1er avril 2015 à 10:28, par DEP En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Quand la SOSUCO nexistait pas le sucre etait importé et coutait bon prix(15 carro à 5frs) le paquet à 75frs. pour implanter la sosuco, la population etait informée que le sucre coutera moins cher encore et quil yaura boulot. SOSUCO est venu et le prix grimpe, grimpe comme singe dans l’arbre. SOSUCO a eu monopole un temps donné et là le prix vole. coma fair et ya pas bon salaire au pays. Ya pas longtemps quelqun avait monopole de riz ici et il saignait les gens ( le sac coutait 20mil à 25mil frs). Pays emergent c’est pays là ou ya concurence. Tu as vu sonabel et onea là, ils font malin ho ! ya pas concurrent. SOSUCO na qua trouver moyen pour vendre son sucre partout (etats unis, france, codivoir, et........) pour gagner dolar, euro, cfa, etc....
    quan ça va le gens boufe bien et oubli letat, mais quan ça va mal on veut que letat regle tout.
    meme les routiers veulent que letat paye le permis E pour eux et ils vont travailler ailleurs.
    Pauvre Etat.

  • Le 1er avril 2015 à 15:08, par Issa En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Cette mévente est plutôt liée au mauvais montage institutionnel. Pourquoi la SOSUCO doit produire et revendre a SODISUCRE qui revend ensuite aux clients ? La SOSUCO ainsi doit ajouter son bénéfice, de même que Sodisucre. Ce qui fait que le prix de vente revient très cher même si le sucre est produit localement. Tout cela parce qu’on veut le propriétaire de Sodisucre (le PDGP national) se fasse de l’argent. Maintenant tu propose que les fonctionnaires l’aident ? pour quelle raison ? A t’il payé les impôts ? Qu’a t-il fait des bénéfices si ce n’est financer la campagne du CDP. Soyons réalistes. Pour sauver la SN-SOSUCO, il faut permettre a la SOSUCO de vendre directement ses produits, sans intermédiaire.

  • Le 6 avril 2015 à 09:36, par REVEILLEZ VOUS En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Vous n’avez rien compris, la BRAKINA était le grand consommateur du sucre de la SN SOSSUCO et depuis 2011 , la BRAKINA se sert par la SUCAF depuis la RCI.
    Vous n’aviez pas dit que les travailleurs de la SODIBO BRAKINA exagèrent lors de leur grève.
    Vous comprendrez la noblesse de leur lutte après fermeture définitive de BRAFASO qui devait sauver la SOSSUCO et de la SN SOSSUCO elle même.
    Dans un pays, étrangers fera des enfants des nationaux ce que veut les dirigeants.
    Vous allez comprendre tous , mais plutard. Car la plupart des burkinabés ne sont pas trop éveillés pour comprendre vite. ON EST TOUJOURS Colonisés.

  • Le 7 avril 2015 à 12:27, par sam En réponse à : Industrie : Il faut sauver la SN-SOSUCO !!!

    Moi je pence que ce problème est surtout du à une chaireter des produits fourni par la société . Il fo savoir que le sucre de la sosuco est 2 Foix plus cher que les sucre des pays voisin. Je ses que vous aller me dire que certain de ses pays on un débouche maritime. Mes prenon le cas du Mali. Il son aussi enclave que le Burkina mes leur sucre est moins chère que la notre. Il y’a aussi la gestion gabegique de la société elle même. Autant de facteur à signale. En tous cas personne n’a interai que la société ferme les porte......

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