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Enrôlement biométrique : le président de la CENI appelle au respect des textes en vigueur

Publié le samedi 28 mars 2015 à 01h33min

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Enrôlement biométrique : le président de la CENI appelle au respect des textes en vigueur

Le président de la CENI ayant été informé que certains individus tentent de se faire enrôler en dehors de leur circonscription électorale, rappelle à tous les acteurs du processus électoral que conformément à l’article 48 du Code électoral, peuvent être inscrits sur les listes électorales :
- tous les électeurs qui ont leur domicile dans le village ou le secteur ou 
qui y résident depuis six mois au moins ; 

- ceux qui ne résident pas dans le village ou le secteur et qui figurent 
depuis trois ans au moins sans interruption au rôle de la contribution des patentes ou qui ont des intérêts économiques et sociaux certains et qui auront déclaré vouloir y exercer leurs devoirs électoraux ;

- ceux qui sont assujettis à une résidence obligatoire en raison de leur fonction ou profession ; 

Par ailleurs aux termes de l’article 59-3) du Code électoral applicable aux citoyens résidant à l’étranger, peuvent être inscrits sur les listes électorales en dehors des périodes de révision :
3) les Burkinabè immatriculés à l’étranger lorsqu’ils reviennent, à titre provisoire, dans leur circonscription d’origine au moins quinze jours avant le scrutin ;
La CENI informe ces citoyens qu’ils peuvent se faire recenser, dans le délai légal, à son siège à Ouagadougou.
Le Président de la CENI sait compter sur chaque acteur du processus électoral pour le respect strict de ces dispositions en s’abstenant de transporter des électeurs de diverses origines, susceptible d’être à l’origine de troubles pouvant mettre à rude épreuve la paix sociale si chère à notre pays.
Pour le Président et par Délégation Le Secrétaire Général
Dramane Ernest DIARRA
Officier de l’Ordre National

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Vos commentaires

  • Le 28 mars 2015 à 04:45, par SOMA En réponse à : Enrôlement biométrique : le président de la CENI appelle au respect des textes en vigueur

    Voici un travail citoyen des jeunes d’une province du nord ,il suffit de faire ouvrir une information judiciaire !BIG UP à eux !DECLARATION LUMINAIRE DE LA COORDINATION DES OBSERVATEURS .BENEVOLTES DES ELECTIONS AU BURKINA
    Chers journalistes
    Comme à notre habitude,
    En 2012, nous avons participé à la sensibilisation pour un enrôlement biométrique massif des citoyens à travers nos 31points focaux dans les communes du Nord.
    Nous avons observé le déroulement pratique de cet enrôlement en 2012. Très tôt nous avons constaté des tentatives fraudes qui consistait à enrôler des enfants (mineurs).
    Nous avons attirés l’attention des autorités, des parents, sur ces fraudes qui mettent en danger l’avenir des enfants et décrédibilise le fichier électoral.
    Des communiqués, des écrits, et entretien avec les radios locales ont été faits.
    Ces interpellations ont permis de minimiser ces cas de fraude
    Cette année ,nous avons sensibilité les citoyens et observé le déroulement.
    Après avoir informé les démembrements de la CENI ,nous avons rencontrer des jeunes des 13 communes ,des secteurs et les secteurs spécifiques tels que les tailleurs ,le secteur informel ,les élèves ,un échantillonnage important de toutes les couches sociales
    Aussi nous participer à la sensibilisation citoyenne pour la mobilisation sociale pour l’établissement des actes Naissance gratuits et nous saluons à sa juste valeur les actions du gouvernement.
    Au niveau local l nous saluons la disponibilité du Gouverneur Nord, du Haut Commissaire Yatenga, des préfets de la province du Yatenga ainsi que tous les agents municipaux, départementaux et provinciaux
    Une mention particulière à la Présidente de la délégation spéciale de la Commune de Séguénéga et son SG qui ont sillonné les localités de leur commune pour la sensibilisation et ils étaient très actifs dans à la phase inscription de ces actes
    Le premier jour nous avons constaté quelques difficultés comme l’absence des feuilles de duplicata, l’absence de certains agents dans certain s bureau x. Un autre problème constaté est la cohabitation entre les agents enrôleurs et les services publics au niveau des sites d’enrôlement qui sont comme les écoles, les garderies. Il y aussi le problème des batteries qui se déchargent très vite et les pannes.
    Le constat général est le peu d’affluence des électeurs et une absence totale des délégués des partis au niveau des sites d’enrôlement, ce qui très grave car les élections se jouent en grande partie en ces moments
    Dans l’exercice de notre contrôle citoyen, nous avons constaté l’arrivée des cars venant de Ouagadougou transportant la plus part des jeunes.
    Ils aurait fait leur inscriptions au village de Somiaga, puis au secteur 5 de Ouahigouya ,les enrôleurs ont confirmé une affluence exceptionnelle ce dimanche 22 mars 2015 , il y avait un qui possédait une pièce d’identité d’un pays voisin autre que le Mali ;la RCI . BENIN, le TOGO qui a été refoulé par l’enrôleur. Félicitions et bravo à cet agent vigilant Notre héros enrôleur se nomme Savadogo Ismaël et répond au 61 1153 46 et au 75396840 numéro personnel .Il mérite encouragement
    Nous sommes inquiets de cela en ce sens que nous doutons du respect de l’article 48 qui dit ceci :Sont inscrits sur les listes électorales :1 tous les électeurs qui ont leur domiciles dans le village ou le secteur ou qui résident depuis six mois ;2 Ceux qui ne résident pas dans le village ou le secteur et qui figurent depuis trois ans au moins sans interruption au rôle de la contribution des patentes ou qui ont des intérêts économiques et sociaux certains et qui auront déclaré vouloir y exercer leurs devoirs électoraux ;3 ceux qui sont assujettis à une résidence obligatoire en raison de leur fonction ou profession .
    Nous interpellons tous les acteurs du processus démocratique pour assainir le fichier électoral local dans le strict respect du code électoral
    Nous remercions la presse pour ce rôle de veille permanent
    Nous nous réservons le droit de veiller à l’application de l’article 55 sur les procédures de contester en ses termes ;tout électeur inscrit sur une liste électorale peut réclamer l’inscription ou la radiation d’un électeur omis ou indûment inscrit dans les cinq jours qui suivent la publication de la liste électorale ..
    Tout responsable de parti, tout citoyen est une sentinelle de la transparence
    Pour cela, chaque citoyen, chaque OSC doit, dans la mobilisation pour l’enrôlement massif dénoncer toute pratique néfaste pour notre jeune démocratie
    Toutes les autorités sont interpellées pour des élections transparentes et équitables dans notre région et au Burkina Faso
    Nous sommes convaincus que les démembrements de la CENI ne se laisseront pas faire.
    Ainsi tout parti politique est prévenu et doit bien outillés ses délégués, de même que la CENI, le conseil constitutionnel, les observateurs nationaux et internationaux, la presse, les OSC
    Cette interpellation est conforme à la volonté de transparence du gouvernement, des partis politiques, des organismes nationaux et internationaux.
    Ces acteurs du processus électoral, la CENI en tête ont fourni d’énormes efforts pour des élections transparentes, équitables et apaisées.
    Nous félicitons la CENI dans la rapidité de résoudre toute difficulté signalée, remercions ses démembrements locaux pour leur disponibilité et leur dévouement.
    Pour des élections transparentes et équitables, je suis jeune, je m’engage
    Propositions de solutions aux difficultés
    Prolonger le nombre de jour pour les villages où il y a absences des enrôleurs
    Prévoir un nombre suffisant de batterie et accumulateurs d’énergie
    Prévoir plus les réservistes enrôleurs avec des kits.
    Prévoir des prises en charges des délégués des partis pour le contrôle dans les sites d’enrôlement comme le jour J des élections.
    Assainir le fichier local
    Les partis politiques et les OSC doivent nécessairement avoir des délégués au niveau des sites d’enrôlement
    Pour la COORDINATION DES OBSERVATEUR.BENEVOLTES
    Barry Ramané : Association Wend Viguili barryrasmane@ymail.com 71 22 31 00

    Immatriculations constatées : 11 HL 1923
    11PK 4177 Car
    Double cabine 11GKO583 Le Nom de la société .TWP

  • Le 28 mars 2015 à 04:50, par le parisien En réponse à : Enrôlement biométrique : le président de la CENI appelle au respect des textes en vigueur

    ce qui s’est passé

    Affaire de tentative d’enrôlements frauduleux : Que s’est-il passé à Ouahigouya ?
    L’affaire fait déjà couler beaucoup d’encre et de salive. Il s’agit de celle dite de tentative d’enrôlements frauduleux entrant dans le cadre des élections présidentielle et législatives du 11 octobre prochain. Les faits se sont déroulés le dimanche 22 mars 2015 dans la cité de Naaba Kango. Comment en est-on arrivé à cette polémique qui a fait monter la tension entre les partis politiques au Yatenga ?

    Ouahigouya, 22 mars 2015. En cette journée dominicale, la ville grouille de monde avec des mariages en cascade. Il était 15h passées, lorsque nous avons été alerté de la présence« suspecte » de 3 cars transportant des personnes, la plupart des jeunes. Notre informateur précise que lesdits cars sont en stationnement au niveau de la cité des forces vives. Aussitôt informé, nous nous y sommes rendu pour vérifier l’information. A notre arrivée, nous n’avons trouvé qu’un car et non 3. Il était rempli de jeunes gens, dont l’âge varie entre 18 et 30 ans. Ces voyageurs d’un soir ont occupé une villa cossue à la cité des forces vives. Nous nous sommes approché d’un des occupants pour satisfaire notre curiosité. Notre interlocuteur nous apprendra qu’ils sont à Ouahigouya, dans le cadre d’un mariage. Un autre, apparemment plus âgé, nous explique : « C’est un mariage qui se déroule à 16h à Gourcy. Nous sommes là pour nous désaltérer avant de retourner à Gourcy. » C’est lors de notre conversation qu’un deuxième car, d’immatriculation burkinabè, arriva. A son bord, un nombre impressionnant de jeunes. Un des voyageurs du car nous confie être là pour un mariage qui a lieu au secteur 5 de Ouahigouya. Immédiatement, nous nous y sommes déporté pour vérifier le déroulement dudit événement. Sur les lieux, une de nos sources nous apprend qu’il s’agit d’enrôlement. Nous voilà à l’école du secteur 5 où sont logés 3 sites d’enrôlement. Selon les 3 opérateurs de kits avec qui nous avons pu nous entretenir, la journée du dimanche y a connu une inscription massive. Chacun d’eux a laissé entendre avoir enrôlé une trentaine de personnes, alors que les jours précédents, ils ne dépassaient pas 5 personnes. A 16h 27mn, l’opérateur Ismaël Sawadogo totalisait 95 enrôlés et ses collègues Jean-Baptiste et Marcel Bationo, respectivement 91 et 99. Ces chiffres représentent les six jours d’enrôlement.
    Des cars loués à 450 000 F CFA

    A en croire Ismaël Sawadogo, une personne, détentrice d’une carte d’identité nigérienne, voulant se faire enrôler, a été purement et simplement refoulée. Aussi, au moins trois personnes enrôlées portent le nom Tassembédo. Ces témoignages nous ont été donnés en présence du président de la Commission électorale communale indépendante de Ouahigouya (CECI), Adama Ouédraogo. Alors que l’horloge marquait 16h 53mn, le secrétaire général adjoint du CDP/Yatenga arrive.

    Il tient des propos inamicaux aux opérateurs de kits et dit avoir été informé d’une fraude massive en préparation dans cette école. Mis au courant du nombre d’enrôlés du jour, Barou Ouédraogo monte au créneau pour demander à Ismaël Ouédraogo et à ses pairs de faire preuve de vigilance. Dans le même temps, nous avons joint au téléphone le commissaire de la CENI pour le Nord, Philomène Saba, qui a confié avoir été alertée d’une vague massive d’enrôlements dans ce bureau. Des véhicules ont-ils convoyé des gens depuis la Côte d’Ivoire pour se faire enrôler à Ouahigouya ? Nous ne pouvons rien confirmer. Toujours est-il que nous sommes entré en contact avec le PDG des 2 cars. Celui-ci, répondant aux initiales de Y.G, reconnaît avoir loué ses deux véhicules à 450 000 F CFA pour la seule journée du dimanche. « Ils sont venus me voir et m’ont dit qu’ils voulaient louer mes deux cars pour un mariage à Ouahigouya. Je suis commerçant et je ne pouvais vérifier leur destination. C’est par la suite que des gens m’ont appelé pour dire que ce sont des politiciens. J’ai souffert en Côte d’Ivoire pour avoir mes cars et je ne m’y connais pas en politique », nous a confié le propriétaire des cars. A écouter les militants de l’ex-parti majoritaire, ces véhicules auraient été envoyés par des « gourous » du MPP depuis la Côte d’Ivoire, afin d’obtenir l’enrôlement de ces jeunes à Ouahigouya. « Faux ! », a rétorqué Mamadou Ouattara que nous avons rencontré dimanche soir à son domicile. « Nous sommes étrangers à ces cars et nous ne sommes mêlés ni de près ni de loin à ce qui se dit. Si ces cars viennent de la Côte d’Ivoire, on peut d’ores et déjà imaginer les commanditaires. » Dans le même ordre d’idées, une structure se réclamant de la société civile menant des activités bénévoles pour les élections au Burkina Faso, a convoqué lundi soir la presse pour une conférence. Les conférenciers, Sawadogo Tasséré dit Tass Tass et Abdramane Barry ont révélé qu’un car transportant des étrangers a été vite détecté le dimanche dans le village de Soumiaga. Aux dires des conférenciers, une quinzaine de personnes se sont fait enrôler. Alerté, Abdramane Barry s’est déplacé sur les lieux et a pu vérifier les informations. C’est en pleine conférence que les journalistes ont reçu une autre information qui met en cause une enseignante prise en tentative de fraude. Lorsque nous sommes arrivé à la gendarmerie, cette dame était gardée par les pandores. Ces derniers se sont refusés à tout commentaire. Une autre dame que nous avons croisée sur les lieux, nous a dit être la sœur de l’interpellée. « Elle est victime de sa naïveté ; elle aurait pu éviter ce qui lui arrive. C’est une histoire d’actes de naissance... ». Mais elle sera immédiatement stoppée dans ses explications par un monsieur qui, selon toute vraisemblance, a des rapports familiaux avec la dame en question. Aux dernières nouvelles, nous apprenions que la dame a été libérée pendant que l’enquête se poursuivait. Quant aux fameux cars qui font polémique actuellement, les forces de l’ordre sont à pied-d’œuvre pour tirer l’affaire au clair.

  • Le 28 mars 2015 à 04:58, par La Renne En réponse à : Enrôlement biométrique : le président de la CENI appelle au respect des textes en vigueur

    Merci à la CENI pour son communiqué et Bravo à cette structure de veille pour son combat citoyen
    Enrôlement au Yatenga : des observateurs bénévoles dénoncent des irrégularités

    La Coordination des observateurs bénévoles des élections au Burkina Faso a, au cours d’un point de presse tenu le 23 mars 2015 à Ouahigouya, dénoncé quelques imperfections constatées lors de l’enrôlement biométrique dans le Yatenga.

    L’enrôlement biométrique en vue de la révision exceptionnelle des listes électorales ne s’est pas fait sans difficultés au Yatenga. Manque de feuilles de duplicata, absence d’agents dans certains bureaux dès le premier jour de l’enrôlement, problèmes de batteries, pannes d’appareils, etc. sont autant de maux que la Coordination des observateurs bénévoles des élections a relevés sur le terrain. La coordination s’est exprimée à travers une conférence de presse, le lundi 23 mars 2015. Selon l’un des conférenciers, Tasséré Savadogo, le hic c’est que trois cars en provenance de Ouagadougou ont convoyé, dimanche 22 mars, des jeunes à Somiaga, périphérie de Ouahigouya, et au secteur n°5 de la ville pour se faire enrôler. A Somiaga, la situation a intrigué les habitants qui se sont opposés à l’inscription des visiteurs. A en croire M. Savadogo, la coordination, dans l’exercice de son contrôle citoyen, a saisi la Commission électorale provinciale indépendante (CEPI) du Yatenga pour l’en informer. Ces informations ont été confirmées par le vice-président de la CEPI, Hippolyte Ouédraogo. Pour lui, le code électoral autorise tout Burkinabè à s’enrôler là où il le désire mais pour ce cas, il convient d’être prudent. "Quand des gens que vous ne connaissez pas viennent en masse chez vous pour s’enrôler, il y a lieu de s’inquiéter. L’objectif de ce genre de pratique, c’est de fausser les issues des scrutins", a-t-il indiqué. A ce qu’il dit, quand les esprits ont commencé à se chauffer, les visiteurs indésirables ont pris la clé des champs avant de se retrouver au secteur n°5 de Ouahigouya pour la même opération. Les conférenciers ont renchéri en soulignant que parmi eux, un jeune qui détenait une pièce d’identité nigérienne a été refoulé par l’opérateur de kit. Après avoir fait des propositions en vue de minimiser à l’avenir les difficultés, ils ont appelé les populations à la vigilance afin de garantir aux futures élections une véritable transparence. Pour leur part, ils disent ne pas baisser la garde pour dénoncer tout cas suspect.

  • Le 28 mars 2015 à 05:24, par zamandambparatsida En réponse à : Enrôlement biométrique : le président de la CENI appelle au respect des textes en vigueur

    mon cher président, tout démarre des opérations d’établissement d’acte de naissance qui est une source de fraude. ce n’est pas seulement la fraude électoral, mais cela permettra non seulement à des délinquants de changer leur identité et aussi à d’autres de se naturaliser burkinabè.
    comment vous pouvez comprendre qu’en une semaine plus de 2000 jugements soient rendus dans un tribunal départemental.
    la responsabilité est de l’État mais aussi des partis politiques qui ne forment pas leurs militants et attendent les périodes électorales pour mettre la pression sur le gouvernement pour que leur militants puissent avoir des actes. monsieur le président, faites un tour dans un tribunal de grande instance quelconque du pays et vous en saurai d’avantage : trop de doublons d’acte de naissance. un appel est lancé au ministre de la justice d’interpeller tout le gouvernement sur le sujet.

  • Le 28 mars 2015 à 07:11, par EINSTEIN En réponse à : Enrôlement biométrique : le président de la CENI appelle au respect des textes en vigueur

    merci a la ceni pr ns informer sur la loi.du temps de blaise les gourou du cdp residents a waga ou bobo bref ailleurs se faisaient enroles dans leur village ds le but d etre la pr forcer(moralement et financierement) les parents paysans a voter pour leur parti.je puis espere que la aussi on va mettre fin a ces pratiques ou les directeurs et oprateurs economiques pouvaient en une soiree vider leur caisse pr venir acheter les conscienses de nos pauvres paysans.

  • Le 29 mars 2015 à 16:49, par moussa ouedraogo En réponse à : Enrôlement biométrique : le président de la CENI appelle au respect des textes en vigueur

    Monsieur de la CNI ,ouvrez l oeil et surtout le bon car le MPP s en fout de vos communiqués .ils ont toujours triché dans leur vie pour obtenir tout ce dont ils ont besoin et ce n est pas cette fois qu’ ils feront le contraire .il semblerait que mêmes des milices sont en train d être créés pour brûler le pays au cas ou il ne passerait au premier tour .Q Allah sauve le Burkina Faso .

  • Le 30 mars 2015 à 08:35 En réponse à : Enrôlement biométrique : le président de la CENI appelle au respect des textes en vigueur

    « l’article 48 du Code électoral, peuvent être inscrits sur les listes électorales :
    - tous les électeurs qui ont leur domicile dans le village ou le secteur ou 
qui y résident depuis six mois au moins ; 

    - ceux qui ne résident pas dans le village ou le secteur et qui figurent 
depuis trois ans au moins sans interruption au rôle de la contribution des patentes ou qui ont des intérêts économiques et sociaux certains et qui auront déclaré vouloir y exercer leurs devoirs électoraux »
    Monsieur le président de la CENI, l’alinéa 2 de cet article doit être purement et simplement supprimé pour avoir un fichier électoral digne. Je suis une personnalité de l’Etat, et je repars m’enrôler dans mon village soit disant que j’y ai un intérêt social. C’est une manière d’influencer mes parents paysans à voter pour mon parti. Si bien que l’assemblée nationale étaient bourrée d’individus qui ont quitté leur province d’origine il ya des décennies, ignorant les réalités de ces localités et se prétendant les représenter. Si nous voulons des vrais représentants du peuple, une seule condition pour être électeur ou éligible pour les burkinabè de l’intérieur « ceux qui ont leur domicile dans le village ou le secteur ou 
qui y résident depuis six mois au moins ». Elle permettra d’éviter les maires ou députés fantômes.

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