Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Député du mandat « inachevé », Salam Dermé est aussi, depuis le dernier congrès de son parti, CDP, tenu en mars 2012, le premier responsable en charge de la frange jeune au sein du secrétariat exécutif national. Actif aux moments forts des tractations sur la question de l’article 37, Salam Dermé se veut plus discret depuis l’insurrection populaire qui a conduit à la chute du régime et mis fin à l’aventure de révision de l’article 37 de la Constitution. Quatre mois après, Dr. Dermé analyse, avec recul, le combat qu’il a mené, donne sa lecture de la transition en cours et projette l’avenir de son parti, le CDP, qui tient son congrès les jours prochains. Une instance décisive qui va décider de la « nouvelle orientation … » du parti …
Entretien !
Lefaso.net : Première parution publique après l’insurrection populaire, quels peuvent être les premiers mots ?
Salam Dermé : (Long silence). C’est difficile…, de trouver les premiers mots. Mais, les évènements politiques qu’a connus notre pays, les 30 et 31 octobre, qui ont conduit à un changement de régime et de fait, ont installé une situation de transition, ont été douloureux pour nous.
Mes premiers mots sont donc des mots à l’endroit des victimes de ces douloureux évènements. D’une part, ceux qui ont perdu la vie, je demande au Tout-Puissant, de les accueillir à ses côtés et je témoigne ma compassion aux familles de ces victimes. Ceux qui, à l’occasion de ces évènements, ont perdu leurs biens matériels, ont subi des dégâts matériels, je leur témoigne ma compassion et ma solidarité, tout en pensant que ce sont des évènements qui s’inscrivent dans le cours de l’histoire politique d’une nation. L’Etat burkinabè pourra, au moment indiqué, leur témoigner la solidarité de la nation toute entière.
A la jeunesse militante du parti, et en me référant à la déclaration que nous avons publiée le 1er novembre 2014, je tiens à la féliciter, une fois de plus, pour l’esprit de patriotisme, de tolérance dont elle a fait montre, en respectant les consignes qui étaient qu’il faut qu’on s’oriente vers la recherche de paix et de stabilité. Valeurs auxquelles je continue de croire. Notre pays n’a pas d’avenir, si ce n’est dans la paix et la stabilité, vue nos conditions naturelles, nous n’avons pas d’avenir, de perspectives pour cette jeunesse, pour ce pays, si ce n’est dans la paix et la stabilité du Burkina.
A la jeunesse burkinabè, je voudrais les inviter à être des acteurs de paix, des acteurs de la construction nationale. C’est vrai que la problématique actuelle du pays, quel que soit le régime, quel que soit le parti politique, c’est la question de comment nous arriverons à répondre aux aspirations de la jeunesse qui est largement majoritaire. Il se pose des questions cruciales d’employabilité, d’emplois, de formation professionnelle. Si vous regardez la pyramide des âges, vous étudiez la structure de notre population, c’est une préoccupation transversale pour l’ensemble de la classe politique. Je voudrais demander à la jeunesse, que dans son dynamisme, elle soit une jeunesse tolérante, qui cultive la paix et qui a conscience que, c’est dans la paix et la stabilité retrouvées qu’on peut construire ensemble le Burkina et faire face, progressivement, aux questions qui se posent à elle.
Lefaso.net : Avec le recul, qu’est-ce que l’initiative (révision de l’article 37), qui a conduit à l’insurrection, vous laisse comme analyse ?
Salam Dermé : Par rapport au projet de révision de l’article 37, à son contenu et à sa forme, vous êtes sans ignorer que plusieurs experts, qu’ils soient de l’opposition politique ou de la société civile, n’avaient rien trouvé à redire sur sa légalité et son respect de notre norme fondamentale qu’est la Constitution. Mais, peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre qu’il s’agissait, in fine, d’une question politique. Nous n’avons, probablement pas eu tous les éléments d’analyse pour changer de stratégie ou abandonner le projet. C’est ce que je me dis, avec le recul. Ce sont vraiment des « Si… ». Vous savez, avec les « Si », on referait vraiment le monde. Peut-être que les signaux que nous avions de la part de notre peuple, nous confortaient dans notre projet politique. Donc, ça a été probablement une grave erreur d’appréciation politique. Nous n‘avons pas eu certainement tous les indicateurs pour mesurer la popularité, la réceptivité de notre projet politique au sein de la population. Sinon, vous voyez, tous les spécialistes de la question constitutionnelle étaient d’accord sur la légalité de la révision. Et en démocrates convaincus, nous avions pensé que le peuple souverain trancherait démocratiquement la question.
Je me pose toujours ses questions-là... Et ça, nous aurons des instances, le Congrès à venir, qui vont apprécier profondément ces aspects (les causes, les tenants et les aboutissants). Nous allons en débattre pour tirer des leçons définitives.
Lefaso.net : Aviez-vous envisagé, dans vos stratégies, le scénario des 30 et 31 octobre et comment avez-vous vécu ces journées ?
Salam Dermé : Je ne peux pas dire que nous avons envisagé le scénario des 30 et 31 octobre. Dans tout combat, il y a des forces et des faiblesses. En analysant les faiblesses, peut-être qu’on pouvait intégrer ces paramètres. Mais, la politique, c’est aussi un domaine de la passion et de conviction. Si bien qu’on peut ne pas, à un moment donné, accorder importance à tel ou tel autre élément. Mais, enfin, je pense qu’au niveau de la capitale, ce qui est arrivé est arrivé. Nous ne pouvons qu’en tirer les conséquences.
Le 30 octobre, personnellement, et en tant qu’élu du peuple, député du CDP, j’étais, comme tous les autres députés, à l’hémicycle pour faire un travail parlementaire. Et, la suite, vous la connaissez. Nous avons pu être sauvés in extremis par les forces de sécurité et rendons grâce à Dieu de pouvoir vous parler en ce moment même.
Lefaso.net : Mais on dit également qu’au temps fort des débats, vous aviez, au cours d’une rencontre avec vos militants de base, déclaré que vous avez avec vous des armes !
Salam Dermé : A plusieurs reprises, et suite aussi à des questions de certains de vos confrères, je suis revenu apporter des démentis là-dessus. Et, sur des médias télévisuels, je suis allé même dire que c’est peut-être un lapsus de langage ou une question d’interprétation. Cela est loin d’être notre intention. Nous, nous croyons en la démocratie. Je suis même allé sur une chaîne télé de la place, Canal 3, jeter une boutade, en indiquant que nos armes-là, c’est le peuple. C’est juste pour dire, en toute sincérité, que ce n’est pas du tout ce que j’ai voulu exprimer.
Nous n’avons jamais soutenu une telle idée. Et nous demeurons toujours convaincus que c’est dans la démocratie, la conduite démocratique des affaires, que nos Etats parviendront à faire le bonheur de leur peuple. Je reste un démocrate convaincu et crois, de ce fait, que le pouvoir se prend par les urnes et se gère avec le peuple. Nous, nous avions une opinion et avons demandé, au regard des points de vue divergents, que le peuple puisse arbitrer.
Maintenant, nous ne pouvons que tirer les conséquences politiques puis nous réorganiser pour aller vers le peuple.
Lefaso.net : Certains estiment que le CDP ne doit plus chercher à reconquérir le pouvoir, à partir du moment où certains cadres de votre parti estimaient que sans Blaise Compaoré, aucune autre personne ne peut diriger le Burkina
Salam Dermé : Le multipartisme est l’un des principes sacrés et consacrés par notre Constitution. Et les partis s’organisent librement dans le respect des textes et leur action s’inscrit dans ce cadre (la charte des partis politiques, la Constitution, etc.). Je pense que la politique, qui est l’art de gérer la cité, doit pouvoir nous conduire, à chaque situation, et à chaque contexte, à nous adapter. Un homme politique, c’est celui-là qui a la capacité de s’adapter en fonction de son contexte politique, de la situation. Tout en respectant les principes fondamentaux de fonctionnement ; les principes d’organisation et de fonctionnement. Je fais partie de ceux qui disaient que Blaise Compaoré était mon champion mais je n’ai jamais nié que dans le CDP, il y a des cadres capables de gérer ce pays. A situation nouvelle, nous devons nous adapter et vous verrez que le CDP aura bel et bien un candidat, conformément à nos procédures. Et nous souhaitons que les choses se déroulent dans les normes démocratiques qui vont nous permettre de désigner notre candidat et aller aux élections.
Lefaso.net : Une certaine opinion trouve également que le CDP et ses alliés n’ont pas tiré leçon de ce qui s’est passé, référence faite à certains propos de certains cadres de votre parti. Quel commentaire ?
Salam Dermé : Je pense que cela n’est pas juste. Le contexte ayant changé, la démarche du CDP s’adapte au contexte. Vous verrez qu’au niveau du parti, nous nous sommes adaptés ; nous avons mis en place un directoire, nous avons une feuille de route. Non, nous avons tiré leçon de tout cela. C’est pour cela sommes-nous en train d’amender notre mode de fonctionnement, d’organisation, que nous avons une feuille de route et que nous sommes à l’écoute de nos structures de base pour pouvoir envisager sereinement nos prochaines instances.
Certainement, il y a eu des écueils par rapport à la gouvernance du parti, même à notre communication, que nous devons revoir pour être en phase avec le peuple parce que, une fois de plus, je crois en la conquête démocratique du pouvoir et à sa gestion avec le peuple, si tel est que le pouvoir doit pouvoir aider à résoudre les questions existentielles des populations.
Lefaso.net : Quels sont les liens que vous entretenez encore entre vous, anciens élus du parti ?
Salam Dermé : Avant d’être élus, nous étions, avant tout, militants du parti. Du fait que nous n’exerçons plus notre mandat d’élu national, nous restons toujours dans les instances du parti et, dans ce cas-là, apportons toujours notre contribution aux actions de relance du parti. Avant d’être des députes, ministres, maires et conseillers municipaux, nous sommes des militants convaincus de l’idéal social-démocrate du CDP et à ce titre, dans la solidarité, nous nous employons à relever les défis électoraux à venir.
Lefaso.net : N’empêche que parmi vous, élus, il y a des départs ! On sait que la NAFA est dirigée par bon nombre de vos anciens élus (députés surtout) !
Salam Dermé : Il faut comprendre que nous sommes dans un contexte nouveau ; l’apparition d’un contexte nouveau. Pour caricaturer le paysage politique actuel, je peux le comparer à la période du « mercato » en football. Et puis, l’engagement politique est personnel. En fonction de mes convictions propres, je peux décider de telle ou telle autre démarche. Donc, dans un parti, c’est claire, même sans ce contexte, vous avez entendu et remarquer que ce n’est pas nouveau que des personnes quittent au CDP, des gens y entrent. Ce n’est pas propre au CDP, c’est commun aux partis politiques. L’engagement politique a pour point de départ, la conviction personnelle. Les réaménagements que nous avons opérés au sein du SEN qui a mis en place un directoire, qui agit sur le plan opérationnel en son nom, nous a permis, grâce aux rencontres avec nos structures, de comprendre que presque tous sont-là ; ce qui est important (la rencontre avec les députés, les maires et présidents de conseils régionaux….. ). Nous sommes donc satisfaits.
Lefaso.net : En tant que premier responsable de la jeunesse de votre parti, quelles sont les priorités actuelles ?
Salam Dermé : C’est d’abord, de redynamiser nos unions au niveau des secteurs, villages, arrondissements, communes et des provinces pour que les jeunes jouent un grand rôle dans la mobilisation des jeunes, dans la sensibilisation. Qu’elle puisse se lever pour mener le combat du parti. Ensuite, expliquer à tous les responsables de jeunes, la situation nationale, les rassurer en leur faisant comprendre que le combat politique est ainsi fait : il y a des hauts et des bas. C’est dans la foi militante, notre combativité que nous pouvons reconquérir notre leadership sur l’échiquier politique national. En un mot, se tenir prêt pour affronter le combat électoral à venir. Et ce, en intégrant à l’esprit, ce nouveau contexte (nous étions au pouvoir et aujourd’hui, nous n’y sommes plus) pour pouvoir contribuer aux questions de construction nationale.
Lefaso.net : Un autre son de cloche se fait pourtant entendre au sein de la jeunesse, notamment, avec le CRAC ; est-ce que cela n’est pas à fragiliser votre réorganisation … ?
Salam Dermé : La jeunesse, c’est la frange la plus dynamique, partout. C’est le lieu où vous trouvez un foisonnement d’idées, de tout. Je comprends donc l’attitude des jeunes qui s’organisent pour dire d’aller dans telle ou telle direction. Je pense que cela participe, dans le fond, de l’ensemble des leçons que nous devons tirer. Cela témoigne qu’effectivement, le parti devrait, plus que jamais, traiter avec beaucoup d’attention, de respect, les préoccupations de cette frange sociale, qui est la plus importante dans notre pays. Que leurs préoccupations soient prises en compte dans le fond, dans toutes les instances et organes de décision du parti. Mais, là où ça achoppe, c’est sur la forme qui est diamétralement opposée aux principes d’organisation et de fonctionnement de notre Parti. Parce que, pour ces revendications, comme nous avons pu échanger avec les porteurs de ce projet (qui l’ont reconnu), des espaces existent au sein du parti pour mener ce genre de débats que nous avons d’ailleurs coutume de mener. Nous avons échangé et je pense que les porteurs du projet ont compris que c‘est à l’interne qu’il faut porter ces analyses pour voir comment, dans l’unité et la cohésion, nous pouvons repositionner le parti.
Nous allons aller dans les instances du parti et les questions de gouvernance, de responsabilisation de la jeunesse, y seront prises en compte. Il ne saurait en aucun cas être du jeunisme car, un Parti a l’image de la société qu’il incarne, doit être un savant dosage générationnel. Laissez-moi vous dire que le CDP est le premier parti, sur l’échiquier national, qui a pris la résolution que ses organes seront désormais composées de 30% de jeunes et 30% de femmes. Et ça, nous avons été à l’avant-garde de ce combat. Je n’ai pas vu ça ailleurs. Mais cela n’est pas suffisant ; il faut qu’on aille au-delà de ces résultats et qu’on pousse encore loin au regard de l’importance démographique et la qualité de la jeunesse burkinabè. Je suis un militant, et je dis que les questions de parti se gèrent dans les instances définies à cet effet dans le parti. Nous avons les statuts et règlement intérieur qui décrivent les instances et les organes et, au niveau d’un parti, ces cadres existent pour permettre aux gens de contribuer par rapport à la dynamique du parti. Nous avons écouté ces camarades et nous les encourageons à pouvoir porter haut et fort, leurs contributions dans les instances du parti plutôt que de faire des actions solitaires.
Lefaso.net : Le Congrès se tient dans quelques jours, en tant qu’instance suprême qui doit décider de sa prochaine configuration et de la politique du parti, quelles sont vos attentes ?
Salam Dermé : Je suis plus que jamais convaincu, au regard de notre revue des troupes jusqu’à la base, que le potentiel du parti reste intact. Et pour moi, je reste toujours sur ma conviction que c’est dans l’unité et la cohésion, et en tirant leçon des évènements que nous avons connus, que nous allons, à l’issue de ce congrès, retrouver un CDP fort et conquérant. Ça, j’en ai la certitude. Dans l’unité, la cohésion, la solidarité militantes, et un CDP à l’écoute des bases, que nous allons repositionner le parti au sein des populations. Si nous arrivons à résoudre cette équation, je pense que nos chances sont réelles au niveau des compétitions électorales à venir. Et c’est ce à quoi j’invite tous les militants.
Lefaso.net : Faut-il comprendre qu’il faut un bon casting sur les hommes qui vont diriger le CDP ?
Salam Dermé : C’est cela. Nous devons tirer leçons de tout ce qui s’est passé et, effectivement, dans les responsabilisations, mettre l’homme ou la femme qu’il faut, à la place qu’il faut, pour la bonne marche. Et, ce n’est un secret pour personne, pour les élections à venir, il faut véritablement être à l’écoute des bases pour responsabiliser les candidats qu’il faut pour remporter la victoire. Ça, ce sont des questions claires et nous avons un ensemble de directives qui peuvent nous permettre de procéder à l’identification des camarades pour responsabiliser par rapport à la gestion du parti dans les localités. Ça veut dire que nous devons améliorer de façon globale, la gouvernance du parti. Ensuite, il faut que la jeunesse voit dans le CDP, un parti d’avenir. Et cela se fait à travers la responsabilisation et la prise en compte de ces jeunes dans les instances et organes à venir. Il faut le faire, parce que tous les évènements qui sont survenus montrent la place prépondérante de la jeunesse sur l’échiquier politique et la stabilité dans notre pays. Je suis convaincu qu’un parti qui prendra à bras-le-corps les questions de la jeunesse sera le parti qui sera en phase avec le peuple. Et, on ne peut pas le faire sans que les intéressés eux-mêmes soient-là pour dire quels sont les problèmes et contribuer au solutionnement de leurs problèmes.
Lefaso.net : Trois mois maintenant que la transition politique est en marche, quel est votre regard sur le processus ?
Salam Dermé : Je dois remarquer que la transition a mis en place effectivement des organes qui fonctionnement et qui doivent conduire à l’organisation des élections en octobre prochain. Je dois remarquer aussi qu’un certain nombre de griefs sont reprochés çà et là à la transition dans la conduite des affaires. Mais, en réalité, gérer le pouvoir d’Etat, c’est également gérer des problèmes, c’est normal. C’est donc une transition qui se veut inclusive et que nous soutenons (nous sommes partie prenante) et nous souhaitons que les organes de la transition conduisent le processus à bon port pour que nous puissions réussir des élections équitables, transparentes, non contestées. En tant que parti politique, notre souhait est qu’effectivement, la transition soit conduite de façon inclusive parce qu’actuellement, nous sommes dans une situation où il n’y a ni majorité ni opposition. Donc, ce que nous souhaitons, c’est un traitement équitable de l’ensemble des forces politiques, que la sécurité soit assurée pour l’ensemble des forces politiques et que celles-ci puissent mener leurs activités dans le cadre républicain, dans le respect des textes en vigueur. Que chacun puisse mener ses activités librement et dérouler son programme dans le respect des textes en vigueur.
Nous demandons, au-delà de tout, au peuple, qui a su surmonter ces moments difficiles, parce que quand vous comparez avec les autres pays, généralement, ce sont des crises profondes... Mais, vous voyez que nous sommes en train d’en sortir. Ça veut dire qu’il faut louer la maturité du peuple burkinabè, il fait louer le patriotisme de tous les acteurs politiques, de la société civile. Moi, j’ai compris une chose : les Burkinabè aiment leur pays. Et je voudrais que ce patriotisme s’accompagne de la tolérance, de l’ouverture et de l’acceptation mutuelle pour qu’ensemble, en tant que fils et filles de ce pays, chacun puisse apporter sa pierre dans la construction de ce pays.
Lefaso.net : Votre avis sur les candidatures militaires à la présidentielle ?
Salam Dermé : Je crois que nous sommes dans une République et la référence reste la Constitution. Si vous partez consulter la Constitution, elle décrit bien qui peut être candidat à la responsabilité de Président du Faso. Pour moi, tous les citoyens, qui ont le sentiment qu’ils peuvent, à ce niveau de responsabilité, apporter leur contribution au rayonnement du Burkina, peuvent être candidats. Et ce, selon les critères y afférents. Je crois que tout ce à quoi nous assistons ne saurait être en dehors des lois et règlements. Le ciment de notre société, ce sont les textes et il faut qu’on les observe rigoureusement. Il ne faut pas qu’il y ait un discours d’exclusion. Les citoyens libres et égaux en droit doivent pouvoir compétir.
Lefaso.net : A vous la conclusion… !
Salam Dermé : Je voudrais, tout d’abord, vous remercier d’avoir tendu votre micro à ma modeste personne et saluer vos efforts pour le maintien de l’équilibre de l’information politique dans cette période transitoire pré- électorale. Nous devrons œuvrer à préserver les libertés chèrement acquises, en particulier la liberté d’opinion.
Notre pays vient de loin et je voudrais en appeler au sens de responsabilités de tous les acteurs de la vie nationale en particulier, les acteurs politiques et ceux dits de la société civile. Pour moi, nos différences et divergences politiques, loin de constituer des tranchées entre nous, fils et filles de cette nation que nous aimons, devraient de manière dialectique, en synthèse, être le fondement sur lequel nous construirons une nation toujours plus forte et prospère.
Ma conviction est que le Burkina de demain, qui adressera avec impact la problématiques jeunes, se construira selon un processus sans haine ni vengeance et en reconnaissant les acquis immenses engrangés sous le leadership du Président Blaise Compaoré.
Le peuple burkinabè est mur et nous, CDP, comptons tabler sur ces acquis incontestables pour reconquérir notre place de Parti leader sur l’échiquier politique national. Conscients que cette perspective ne peut se réaliser que dans l’unité et la cohésion au sein de notre Parti, nous prenons dans la lucidité toutes les mesures utiles et essentielles à cet effet. Merci !
Entretien réalisé par :
Oumar L. OUEDRAOGO
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 6 mars 2015 à 12:39, par YIRMOAGA En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Un long justificatif inutile Mr DERME. Vous ne seriez plus jamais un élu du peuple, vous, particulièrement sur une liste d’un parti, ce parti est voué à l’échec..Vous feriez mieux de vous investir à une activité autre que la politique. On compte pas sur la force d’autrui pour proférer des intimidations ? Voilà que vous cherchiez à vous justifier ?
2. Le 6 mars 2015 à 12:45, par Neekré En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Welcome back cher collègue Dr Dermé. J’ai lu l’interview et j’ai remarqué que vous pesiez et soupesiez les mots avant de les lâcher. C’est un acquis non négligeable de l’insurrection, c’est à dire le respect de l’autre sans arrogance. Cela dit, chaque fois que j’y pense, je n’arrive pas à m’enlever de la tête que la plupart des acteurs politiques viennent sur la scène pour des intérêts personnels, à la recherche de l’échelle la plus courte.
Il faut que en tant homme politique, vous puissiez donner l’exemple aux plus jeunes pour qu’ils se battent et gagner leur vie a la sueur du front. Moi, je n’oublierai pas comment vous avez parachuté au SPCNLS comme pharmacien pendant que vos promotionnaires étaient expédiés à coup de tirage au sort dans le Burkina profond. C’est ces genres de "petites injustices" qui révoltent et accouchent souvent des "30 octobre". Mon souhait est que vous puissiez tirer toutes les leçons, non pas seulement pour votre carrière politique, mais pour votre VIE de tous les jours.
3. Le 6 mars 2015 à 12:52, par BILI-BILI En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Au secours, SALAM DERME arrive ! Après la débandade du COMANDANT, on commence à ranger les armes, et maintenant on parle de paix !
4. Le 6 mars 2015 à 12:52, par Yelkayé En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Trop tard pour une telle analyse vous auriez pu nous faire l"économie d"une telle crise que notre pays vient de traverser Blaise était votre neymar nous n"avons plus besoin de politiciens de votre acabit guidés seulement par leurs intérêts personnels nous voulons une race nouveaux politiciens.A bon entendeur salut.
5. Le 6 mars 2015 à 12:59, par Yelkayé En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
On n"a pas besoin d"aller à la Sorbonne pour comprendre que la modification de l"article 37 était une question éminemment politique du bla bla bla toujours entrain de nous pourrir l"atmosphère vous n"avez encore rien compris comme toujours.
6. Le 6 mars 2015 à 13:03, par Burkimbila En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Ce n’est pas mieux ainsi. Honte à toi. Toi qui prenait Blaise pour DIEU. Ton champion, il est ou actuellement ?
7. Le 6 mars 2015 à 13:03, par vérité no1 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Les pourritures du CDP continuent de polluer l’atmosphère !!!!!
8. Le 6 mars 2015 à 13:10, par Burkinbi En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Bonjour,
Ce qui est sûr c’est que le mercato politique se fait majoritairement du CDP vers les autres partis politiques.
Le CDP est mort, de par votre aveuglement à considéré que sans blaise, le sanguinaire, plus personne ne peut diriger mon beau pays, le Faso !
Maintenant, soyez prêts à être de l’autre côté, dans l’opposition politique et à contribuer avec vos idées à l’ancrage de la démocratie dans notre Pays.
Nous sommes dans un temps nouveau avec un vent nouveau qui balayera toutes les pourritures d’où qui soient !
Nan lara, an sara.
La Patrie ou la mort, nous vaincrons !
9. Le 6 mars 2015 à 13:11, par Dool En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
L’Article 37 c ’était une question plutôt morale voire de moralité.
’’On peut changer donc changeons pour nos propres intérêts’’
Ils nous disaient le faire pour le peuple, alors le peuple a tranche.
L’opinion politique est libre, maintenant que ceux qui sont des Zozos écoutent ces gens la.
10. Le 6 mars 2015 à 13:33, par RAWA En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Vous les gars du CDP, vous êtes des malhonnêtes indécrotables. Jusqu’à maintenant, vous refusez d’accepter que vous avez chié sur toute la ligne. Je crois vraiment qu’il est des gens à qui il faut interdire toutes activité politique au faso
11. Le 6 mars 2015 à 13:36, par ditalao1612 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
arrête de venter autant ton cdp qui depuis un jour de 15 octobre 1987 et né dans le sang. de odpmt jusqu’au cdp vous nettes que des criminelles toi qui parle aujourd’hui faisait parti de ceux qui ont opter pour leurs ventre.si non en dehors de la malhonnêteté intellectuelle comment ont peut pensé que 27ans au pouvoir était démocratique et pire opportun de modifier la constitution pour y demeurer a vie.au moins je suis d’accord avec toi quant tu dis que les burkinabés aiment leurs pays mais sache que ce n’est pas pour cette raison que nous allons admettre dans les future listes les ex députe tripatouilleur que vous etes. trouvez de nouvelles têtes si non vous nous croiserez sur votre chemin
12. Le 6 mars 2015 à 13:39 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Vous dites que les signaux que vous aviez reçu du peuple vous confortaient dans la révision du 37, puis vous dites que c’est une erreur dappreciation. C’est que vous étiez sourds aux vrais signaux du vrai peuple qui ne se réduit pas aux seuls electeurs cdp, vous n’aviez vu que vos propres signaux, pas le ras-le-bol du peuple
13. Le 6 mars 2015 à 13:41, par Badra En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Langage emprunt de pondération et de courtoisie.. Vous voyez, même en politique, il faut cultiver l’humilité C’est important. Ce que nous avons vécu ne serait pas arrivé si les autorités d’alors avaient écouté et entendu les différentes sonnettes d’alarme et les clignotants de la colère du peuple. Vivement que " que plus rien ne soit comme avant et que chacun tire leçon de ce mouvement insurrectionnel", deuxième du genre dans notre pays.
14. Le 6 mars 2015 à 13:47, par wedaga En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
vous n’avez aucune compassion pour qui que ce soit. Vous saviez bien ce que vous faisiez. Persister seulement dans l’erreur, le peuple vous rendra bientôt la monnaie. Il a été assez patient et tolérant avec vous les membres du CDP ; mais vous confondez ces vertus à une incapacité à réagir voire à de l’idiotie. Eh bien, foncer et vous verrez !
15. Le 6 mars 2015 à 14:09, par Zebasonni En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Mr Salam Dermé n’est vraiment pas honnête. Il faut reconnaître que Blaise Compaoré voulais faire du forcing coute que coute, et il est très égocentrique. Je suis un ancien député CDP qui fait le témoignage suivant : dans la nuit 29, ce sont les députés Salam DERME et Segda Gérard qui ont demandé à tous les députés de montrer leur bulletin de vote coché OUI au voisin de gauche et au voisin de droite est-ce cela est démocratique ? Pourquoi vouloir violer le droit de vote secret au député , droit constitutionnel ? Ces deux diplômés sont indignes du grade universitaire. Je prie Dieu de ne plus jamais les avoir sur mon chemin dans la vie politique ou sociale. Ces deux ne font pas honneur au titre de docteur en pharmacie (Dermé, 10 ans pour obtenir un doctorat d’exercice) ou de professeur de physique (Segda, un prof sans équipe et sans laboratoire de recherche, il a actuellement honte de mettre pied à l’université par peur des regards !!).
16. Le 6 mars 2015 à 14:21, par Freud En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Mr Dermé, répétez mot par mot et commentez ce que vous avez dis à propos des armes. Là on verra si un démenti est possible...
17. Le 6 mars 2015 à 14:27, par yé ! En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Tu es un peu plus sage à présent. Continue comme ça et tu iras loin. Mais si les démons qui t’on habité récemment reprennent le dessus, tu te fracasseras sans plus de chance de rebondir jamais.
Retiens ceci Salam : l’humilité précède la Gloire, l’orgueil précipite la chute !
18. Le 6 mars 2015 à 14:37, par JULES LE ROI En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Tu la fermes DERME Salam ! OK ? Tu as bien dit ici que c’est vous qui avez les armes au CDP. Malgré vos armes et votre RSP, vous êtes devenus l’ombre de vous même maintenant. Si ton champion Blaise est un garçon, qu’il revienne ici et on va voir
19. Le 6 mars 2015 à 14:42 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
2 points : 1 - vous n’avez toujours pas compris qu’avant de demander pardon, il faut dire la vérité au peuple et reconnaitre qu’on ne peut indéfiniment modifier l’article 37 pour un pouvoir à vie d’une seule personne et de son clan affairiste ;
2 - Vous n’avez pas encore compris que votre arrogance passée vous a perdu et vous pensez que le Peuple a oublié les 33 morts par votre entêtement.
Petit conseil : virer les caciques du parti qui ont 30 ans de carrière politique car ce sont eux qui vous ont mené droit dans le mur. Mais, quand on est aveugle, on s’entête comme un certain Tandja car vous pensiez que cela n’arrive qu’aux autres.
20. Le 6 mars 2015 à 14:43, par Tox-sidnngannkom En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Après la pluie, le beau temps.
Ce docteur se rappelle avoir dit : "Si les gens refusent la modification de l’article 37, et ils veulent la guerre, nous sommes près, car nous avons les armes avec nous".
Maintenant, monsieur Dermé, reconnaissez-vous dans vos moments de délire politique avant les 30 et 31 ?
Vous êtes indigne de votre titre de docteur , car un intellectuel doit intégrer la morale dans la politique.
Vous faites honte, si vous êtes chef de famille.
Reconciliez-vous avec votre conscience si vous en aviez.
21. Le 6 mars 2015 à 14:45, par Le Pionnier En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
"Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique". Sans blague ??? Voila le type d’invidus qui dirigeaient le Burkina !
22. Le 6 mars 2015 à 15:07, par jaimemapatrie En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
TU MEN TU LA DI NOUS AVON LES ARMES.je ne conai pa ton niveau scolaire mai dan aucune langue synonime de peuple n’est = armes. tu voulai simplement dire que le RSP est avec vou.
fosse route ces dernier ont compri la strategi de votr blaiso et depui la mutineri de 2011 il atendai le moment pour le trahir.ce sont des jeunes petri d’idé sankariste qui y sont presentemen com bocou de jeune africain mem si ces dernier na save pa faire bon usage mai sa viendra avec le temp si toutefois il quite kossyam. JUSTICE AU MARTYR, PITIE QUE JUSTICE SOIT FAIT PITIE.
23. Le 6 mars 2015 à 15:09, par Sawadogo En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
<< Merci à Mr Dermé pour cette sortie mediatique.
De part ces propos, on peut dire que parmi les acteurs du couroux de notre peuple , il y a n’a qui sont toujours prêts à consoler.
C’est une sortie qui vient à point nommé d’autant plus que nous avions des craintes pour son sort surtout quand on suivait ses propos de bout en bout sur les chaines.Son silence temoignait non seulement une prise de
conscience mais aussi un espoir d’excuse.En ce moment précieux, nous n’ avons plus besoin de réciter ce que l’un ou l’autre à dit ,mais plutôt ce que chacun a tiré comme leçon.La douleur est de taille quand on pense aux victimes mais notre noble souhait est que cela ne se répète plus jamais dans notre cher Burkina.À tous ceux qui se sont sentis déroutés à un certain moment des événements, qu’ils rejoignent le rang pour un Burkina meilleur.
Toute fois, nous restons prêts.>>
24. Le 6 mars 2015 à 15:10, par Raogo En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
"Le ciment de notre société, ce sont les textes et il faut qu’on les observe rigoureusement."
Bandes de ............... !
Vous étiez ou lorsque ce même peuple dans sa grande majorité vous disait de ne point tripatouiller la Constitution ?
25. Le 6 mars 2015 à 15:19, par Moi Le Patriote Parfait En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Je ne sais pas au nom de quel jeunesse toi tu parles et te réclames. La jeunesse CDP a craqué et vous demande de démissionner purement. Vous n’écoutez pas et vous les traitez de manipulés. Du reste, vous reconnaissez timidement l’échec de votre entêtement à modifier l’article 37 pour placer « Votre champion » puisse que vous reconnaissez que tous les éléments d’analyse n’étaient pas en votre possession pour changer de stratégie ou abandonner le projet. Maintenant que tout est claire libérez le plancher politique pour laisser la place aux jeunes que vous savez bien nombreux avec des aspirations socio professionnelles que vous n’avez pas été capables 27 ans durant de résoudre.
Il vous reste à demander publiquement pardon au peuple que vous aviez menacez de représailles avec ses propres armes. Heureusement la leçon est passée selon laquelle vous admettez que « nos armes-là, c’est le peuple ». Ce peuple là, qui vous a chassé du pouvoir en plein midi est toujours là et vous observe qu’allez vous venir leur dire lors de vos campagnes à venir ?
La sagesse vous commande de rester observateurs durant les échéances à venir pour apprendre à intégrer les réalités du peuple dans vos choix politiques. Votre nouvel entêtement vous coutera ce que vous cherchez.
26. Le 6 mars 2015 à 15:23 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Salam, je ne vous connaissais pas mais j’avoue que je suis bluffé par vos reponses et votre style. Vous n’etes pas du tout mauvais perdant. Belle interview.
27. Le 6 mars 2015 à 15:25 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Oh tout le monde est perdant parce que l,insurrection etait tarifee dont le gain reste celui des RSS les uniques beneficiaires sinon que le pays Burkina Faso en sort tres tres affaibli.Dommage,quand les querelles interpersonnelles deviennent un projet de societe alors il faut craindre le pire.
28. Le 6 mars 2015 à 15:37, par guimbo En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
trés belle analyse Dermé c’est ca aussi la force du CDP s’adapté par accomodation ou assimilation aux nouvelles exisence politique. c’est bien vous étes jeunes mais analyse propre et sans zéle. merci tu fais la fiété du parti
29. Le 6 mars 2015 à 15:38 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Ce monsieur est un cerf volant ; dixit Daniel CONFLAND (voir sa citation) il n’a pas honte !!! DERMÉ est inconscient, à la limite schizophrène paranoïde il a oublié ses dires...
30. Le 6 mars 2015 à 16:09, par eliane En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
""les Burkinabè aiment leur pays. Et je voudrais que ce patriotisme s’accompagne de la tolérance, de l’ouverture et de l’acceptation mutuelle pour qu’ensemble, en tant que fils et filles de ce pays, chacun puisse apporter sa pierre dans la construction de ce pays""".dixit salam dermé si cette déclaration est sincère alors on est ensemble pour la construction nationale dans la paix ,le respect du prochain ,la concorde et la justice autres temps autres moeurs, que le meilleur gagne
31. Le 6 mars 2015 à 16:15, par Ka En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Salam pourquoi fais-tu profil bas ? Toi qui a reconfirmer par la voie de François Compaoré ton Dieu que vous n’aviez pas peur de qui que ça soit, car le RSP est votre propriété, a Tampouy et a ailleurs dans les maquis on attendant que ton arrogances et ta puissance par François Compaoré. Quant à l’article 37 ne recommencez pas vos mensonges pour remuer la plaie. Je cite ‘’’ le collège de sages, véritable référence avait haussé le ton dans leur rapport du 30 juillet 1999, à la page 14 au titre des recommandations paragraphe 2.2.2.2 respecter les règles du jeu démocratique et accepter le principe de l’alternance politique tant dans le niveau des institutions que des partis politiques : et dans leurs propositions de solution finale a la page 16 au paragraphe 2.3.1, les sages dont vos alliés courent derrière aujourd’hui pour les respecter, ont dit ceux-ci : revenir sur la modification de l’article 37 de la constitution et y réintroduire le principe de la limitation à deux mandats présidentiels consécutifs, conforme a l’alinéa 164 alinéa 3 de la constitution, un point capitale rendu obligatoire par le texte constitutionnel de 1991 et confirmer par une parole donnée du président Blaise Compaoré votre Dieu. Dire qu’aucun magistrat n’a confirmer que l’article 37 est intouchable, ce sont des mensonges comme les habitudes du président Compaoré pour trahir le peuple, car notre professeur Ibriga Luc l’un de nos prestigieux agrégé de droit a confirmer que juridiquement Blaise Compaoré ne peut pas se représenter car la constitution dit qu’un président ne peut avoir 2 mandats successifs et ne peut pas rester au pouvoir lus de 10 ans : Et passer outre les prescriptions de l’article 37 ou vouloir faire un referendum bidon pour le modifier et s’éterniser au pouvoir, il risque d’encourir le désaveu populaire qui devrait le contraindre a démissionner. Salam l’église catholique vous a averti, et tu parles de Dieu aujourd’hui, les sages vous ont supplié de ne pas toucher l’article 37 qui est un arbitre entre le peuple et un président prédateur et vous les avez insulté comme des truands : A présent ce sont vos alliés mange mil qui retournent chez les sages comme chez le Moogo Naaba pour demander des pardons bidons a cause des enfants que vous aviez tué. Le peuple a demander votre mentor Blaise Compaoré de respecter sa parole au nom des sages, et vous vous avez pris Blaise en otage en le disant de vous faire voter, car vous aviez la solution qui sont les armes et l’argent pour les achats des consciences. Non faites-vous oubliez et laissez les familles des victimes pleurer leurs morts. Mettez vos larmes de crocodiles là ou vous savez car l’alternance politique et économique par les jeunes francs que toi et tes comparses se fera de gré ou de force sans vous. Revenez en 2020 et constater le labeur de la vraie jeunesse Burkinabé sans manipuler comme toi Salam et tes comparses, manipuler par des criminels égoïstes qui ne veulent pas que le Burkina avance, ils veulent seulement que se développent les crimes, les achats de conscience, la corruption a ciel ouvert. La modification de l’article 37 n’a rien de politique, mais de tripatouillage, et du banditisme des personnes qui pensent qu’a leur gosier en oubliant le peuple qui n’a pas un repas par jour.
32. Le 6 mars 2015 à 16:20, par B En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Salam Dermé tu es un grand. Je Suis d accord avec toi que le CDP est toujours fort.
parlant des armes dont fait cas le journaliste, ce sont des stratagèmes de l opposition qui prenait la majorité aux mots. C etait le cas avec Assimi Kouanda quand il a parlé de bruler les maisons de ceux qui menaçaient de bruler les leurs.pour vendre leur journaux certains quotidiens de la place ont ajouter le sel sans donner la vraie version. Tout ça pour discrediter l ex majorité. Et la suite on la connait. Ils ont eu ce qu ils attandaient : pillage , incendies de biens des dignitaires du CDP, incendie de L Assemblée , pillage d entreprises... Mensonges ( decouverte macabre chez François Compaoré ) ...
33. Le 6 mars 2015 à 16:40, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
SALAM DERMÉ alias ’’Hypocrite’’, tu n’a plus d’avenir politique dans ce pays ! Tu es foutu ! Va au village cultiver car si tu comptes sur la politique, sache que c’est fini pour toi. Tu t’es suffisamment discrédité. Basta !
Par Kôrô Yamyélé
34. Le 6 mars 2015 à 16:45, par Faso Burkina En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Monsieur Dermé, vous avez du mérite à exprimer vos idées. Mais simplifions les choses :
1-le projet de révision de l’article 37 était légal, puisque la Constitution n’a pas verrouillé cet article. Malgré ses contorsions honteuses, un type comme Roch Kaboré ne nous fera pas oublier qu’il a longtemps thésé sur le caractère "anti-démocratique" de la limitation du nombre de mandats.
2-On peut convenir que la révision était politiquement inopportune. Mais elle aurait pu passer à l’Assemblée par le fait de la majorité ; après tout vote, il y a des gagnants et des perdants. Mais c’est comme ça ; le système démocratique n’a pas trouvé mieux.
3-Sauf erreur, notre Constitution ne mentionne pas les saccages de biens publics et privés comme mode d’expression politique, surtout quand ils sont commandités par des "responsables" politiques.
4-Si ce qui s’est passé les 30 et 31 octobre est une insurrection, on peut y trouver la justification de la violence utilisée, l’objectif étant de remettre totalement en cause l’ordre établi. Mais dans ce cas, il n’y aurait pas de "faveur" pour tous ces gens qui ont parfaitement incarné le régime déchu, de Kafando à Zida en passant par Roch, Simon, Salif, Zéphirin et autres Ablassé.
5-Conclusion : par leur déroulement et leurs conséquences politiques immédiates, les évènements des 30 et 31 octobre ressemblent davantage à un coup d’Etat qu’à une insurrection. Monsieur Dermé, vous l’avez pas dit, mais moi je le dis pour vous.
Courage et bon vent à tous ceux qui croient réellement en la démocratie
35. Le 6 mars 2015 à 17:05, par TIENFO En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Comme le dirait les membres de jury de Faso Academy, « enfin vous chantez la bonne note et la bonne gamme. Vous êtes maintenant dans le tempo ». Ce n’était pas aussi compliqué que ça. C’est déjà un grand d’avoir compris même si c’est à retardement. En effet, les vraies et uniques en campagne politique c’est le PEUPLE rien d’autres » monsieur DERME. C’était juste la bonne note qu’il fallait comprendre et chanter pour arriver à terme de votre mandat en 2015. Vous auriez eu le temps nécessaire de vous mettre à l’abri des « problèmes que vous connaissez actuellement et connaitrez bientôt ». Vous auriez pris les précautions idoines vous couvrir de « Ebola politique burkinabé ».
Sachez que l’humilité précède la gloire et l’orgueil précède la chute. C’est une vérité implacable et connue de tous. Et c’est seulement avec les événements des 30 et 31 octobre 2014 que vous du CDP avez fait l’amère expérience avec vos pléiades d’experts en tout. Quel gâchis. Comme on le dit, il n’est jamais trop tard de toujours bien faire. L’essentiel n’est pas de tomber mais de pouvoir se relever.
36. Le 6 mars 2015 à 17:08, par Alexio En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Mr Salam, je ne vous connais pas. Mais a vous lire suis tres decourage de vos propos inlolents d un homme politique qui avait la potentialite de devenir peut etre un ministrable du regime decu. Il faudrait que vous quittiez l eau froide pour savoir que l eau chaude existe ou existant avant que les rapports de forces tournaient a votre defaveur. Vou demandiez quel Dieu pour qu il recoivent a ses cotes tes freres burkinabe qui ont succombes par l abus de pouvoir de votre parti clanique le CDP ? Chose grave que vous mentionnez la perte materielle qu a provoker l insurection. Le materielle peut etre renouvellee, mais pas les ames perdues par la lachete des militaires teleguides dont l instrumentalisation na pa escompter le but espere de son manipulateur Blaise Copmpaore etsa garde pretorienne.
Vous preconisez que les armes etaient avec vous pour mater tous ceux qui etaient contre votre sale besogne. Le tripatouilage, qui n a pas eu lieu grace a la determination du peuple pour une noble cause et juste. L alternative pour avancer notre democratie qui d alleurs etait une democratie de facade.
37. Le 6 mars 2015 à 17:14, par JULES LE ROI En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Internaute 32:B
Tu me fais pitié. Tu es misérable !
38. Le 6 mars 2015 à 17:15, par lecritique En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Blaise avait les armes. C’est juste qu’il ne voulait pas partir avec des morts ( en plus !) sur la conscience.
39. Le 6 mars 2015 à 17:19, par fasoen En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
je répète que l’initiative du cdp était illégale, car elle violait un des caractères cardinaux de la règle de droit : le caractère IMPERSONNEL ! comment cette initiative PERSONNELLE peut-elle être légale ? aucun juriste ne m’a encore contredit !
40. Le 6 mars 2015 à 17:27 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Raogo voulait certainement dire "bande de pedes" a ne pas confondre avec homosexuels. Entre l’ homosexuel qui est une personne comme toi et moi et le pede qui est un criminel, ya pas match. Je dis pian, les Segda, les Derme ont eu un comportement de pedes le 29 octobre. Regardez- moi des enfoires zeles comme ca. Ilsse disent meme intellectuels. intellectuels de mon c.. ouais !!
41. Le 6 mars 2015 à 17:33, par wedaga En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Après avoir lu le témoignage de l’internaute 15, Salam Dermé et Segda Gérard doivent être arrêtés pour atteinte à la souveraineté de l’État. Après avoir contribué à assassiner nos frères ces 30 et 31 octobres 2014, Dermé a encore l’audace de nous parler de son CDP. Oubien il méprise le peuple, oubien il est vraiment tourmenté par le démon de régner qu’il réfléchit avec son ventre pour nous chier ces tonnes de caca. Docteur(?), vous dites compatir à la douleur des familles de nos frères martyrs et demandez même au Tout-Puissant de les accueillir à ses côtés. A supposer que vous connaissez réellement Dieu. La seule chose qui nous intéresse, c’est de vous voir vous repentir sincèrement. Le reste ne vient pas de vous. Nous n’avons pas non plus besoin de vos sentiments ou larmes de crocodile. Si vous gagnez l’occasion pour bousiller le peuple, vous n’allez pas hésiter, parce que vous êtes formaté par le régime de Blaise pour ça et rien que pour ça. Le chien peut-il changer sa façon de s’asseoir ? Merci de nous informer que le CDP veut revenir aux affaires ; nous allons nous préparer pour vous accueillir !!!
42. Le 6 mars 2015 à 17:36 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Belle analyse. Le cdp inquiete actuellement parce que lex majorité reprendra sa chose. Courage et a bientôt pr reprendre cr son nous a volé
43. Le 6 mars 2015 à 18:33 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
"Peut-être que les signaux que nous avions de la part de notre peuple, nous confortaient dans notre projet politique. Donc, ça a été probablement une grave erreur d’appréciation politique. Nous n‘avons pas eu certainement tous les indicateurs pour mesurer la popularité, la réceptivité de notre projet politique au sein de la population. " Quelles lamentables contradictions !
44. Le 6 mars 2015 à 18:57 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Est)il sincere ce Derme ? Jouit-il de ses facultes ?
45. Le 6 mars 2015 à 18:58, par Cancre Docteur Pourri En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »Toi tu est la honte du Burkina nous ne savons pas comment tu as pu obtenir ton diplôme de docteur en pharcie ou bien c’est le CDP qui a intervenu pour toi.
46. Le 6 mars 2015 à 19:02, par bissongo En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Pour une information saine de nos lecteurs, nous publions les propos (tenus en mooré) de l’honorable député Salam Dermé diffusés sur www.youtube.com
« C’est ceux que les gens détestaient parmi les sympathisants du Président Blaise Compaoré qui ont quitté le CDP. Le CDP est désormais pur... Le référendum aura bel et bien lieu… et cela n’est un secret pour personne. Si les gens ne veulent pas de la démocratie, on va revenir à ce que l’on sait. Aussi, les armes, c’est nous qui les possédons au Burkina et personne d’autre. C’est parce que nous voulons la paix pour ce pays que nous sommes enclins à suivre les procédures… »
47. Le 6 mars 2015 à 19:06, par justicier assoiffé En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
internaute 34 toi tu es qui ?
48. Le 6 mars 2015 à 19:17, par mogomamogowelé En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Je pensais qu,on allait nous epargner de ses gens car nous n,avons pas finis le deuil de nos martyrs que des types sales nous disent autres choses.je te conseille si vous êtes malin toi et alpha yago cachés vous d,avantage car nous allons nous occuper de vous.tu n,a pas honte un docteur qui descend bas jusqu,a ce point,a cette allure je me demande si tu peux exercer ta profession encore.
AJe crois que des gens comme vous n,allaient pas echapper à notre justice après nos etats genraux.
49. Le 6 mars 2015 à 19:21, par terminator En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
comme vs n avez jamais eu honte de vous même je vous conseille d allez travailler au lieu de rechercher la facilite comme députe .depuis quand Achille tapsoba fatou diendere etc sont députes. des députes a vie quoi qu ont ils apportes au pays sinon que de préserver leur avantages soit disant que c est pour le pays. vous croyez qu on développe le pays en passant toute sa vie a l hémicycle. certains internautes parlent de reconnaissance des acquis de Blaise. quel acquis ? a t il reconnu les acquis de son prédécesseur sankara qui avec ses 4 années lui dame le pion avec ses 27ans.vous n avez jamais milite pour le pays mais pour vos intérêts a travers votre soutient a un clan familiale.sinon vous convenez avec moi que 27ans ce n est pas 27jours .si rien n interdisait le referendum, rien ne l autorisait non plus les mandats sont limites a deux point barre ; c est du français et pire au profit d une famille de criminel sanguin et économique etc.allez y au diable que Dieu vous maudisse tous et bénit le Burkina .
50. Le 6 mars 2015 à 21:06, par lebattant En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
pour je ne m’en prends a ces gens là qui reviennent nous dire qu’ils avaient raison ou ils ce sont trompé.
Le faite qu’ils sont déjà libre cela prouve que nous ne sommes pas encore sortie de système de Blaise avec son petit frère et autres qui voulait un Burkina a eux seuls.
Jusqu’à présent qui peut nous dire qu’il y a eu justice après le départ de Blaise ?
Même pas ceux qui sont morts pour la révolutions et on nous parler des dossiers de 19900 quel honte !!! Avec les boissons périmé vous aurez pas de justice car ils contrôles toujours la situations du pays ces gens là.
JE SUIS VRAIMENT NAVRÉE POUR LA RÉVOLUTION CAR NOTRE EST BUTE EST RATER
51. Le 6 mars 2015 à 21:42, par B En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Internaute 37 : Jules le roi. C est la liberté d expression que le régime de Blaise Compaoré qui me permet de m exprimer. La pitié c est toi et tes anti démocrate .vive le CDP
52. Le 6 mars 2015 à 21:54, par barka En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Les gens ne savent que médire. Qui parmis les jeunes, parmis ceux qui crient aujourd’hui pouvaient mieux faire que Dr Derme. ? Il a contribué comme il,peut à l’animation politique du pays. C’est un jeune courageux qui n’avait que de bonne volonté à faire avancer positivement les choses. Il a osé c’est un vrai garçon. Bonne chance pour la suite, bonne chance pour ta carrière politique. Tu fais parti des vrais jeune du pays.
53. Le 6 mars 2015 à 21:58, par L’Indien En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Salam Dermé,
Je ne sais pas comment tu as eu ton doctorat mais tu ne mérite pas qu’on t’appelle Docteur. Oui j’oubliais, tu as eu ton doctorat quand Alain Yoda était ministre et mahamoudou compaoré DGPLM ; dc il y a eu toute la magouille pour que tu soutiennes et ait ton doctorat. Piètre Burkina, et dire que le pays avait des gens de ta trempe comme député.
54. Le 6 mars 2015 à 22:18, par MOREBALLA En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Un, demander en premier lieu aux militants du CDP qui, avaient eu le courage de dénoncer la les visés monarchique du régime, et ce depuis les années 2005. Ces téméraires militants du CDP ont été mis en quarantaine, marginalisés et même traqués de tout part afin de donner une leçon à d’autres qui oseront avoir la même démarché de non mouton de tabaski du CDP. Dr Dermé, rappelez vous de la convention des jeunes du CDP en 2005, convention au cours de laquelle vous aviez été porté au sein du bureau national au détriment de jeunes méritants. Dr Dermé, à vous écouter , vous n’avez ni honte, ni piété de vous de vous même et autant envers les autres. La décence est de reconnaître ses propres errements et en toute humilité demander pardon pour les écarts de langage. Revenons en, où se trouve votre fief, même votre mentor n’a pas d’assise au plan de la popularité. En temps opportun, face to face, nous nous dirons les quatre vérités, demain c’est juste à zéro heure.
55. Le 6 mars 2015 à 22:24, par noaga En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
soyons sérieux. comment des gens qui reconnaissent eux mêmes leur myopie politique peuvent ils vouloir encore le pouvoir. C’est grave, des carents incapables de prévoir que la révision de l’article 37 les conduit droit dans le précipice veulent gouverner ce pays. Je propose qu’on les mette en stage d’observation pendant 10 ans avant de faire la politique. Dermé tu sais que tu n’ai plus jeune. Donc quitte dans ça. Va vendre ta boutique et tu vas gagner un peu un peu.
56. Le 6 mars 2015 à 22:25, par Béryl ENZO En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
"Le chien ne change pas sa manière de s’asseoir". Salam ton nom est beau mais tes idées te font honte. Prends conseils au près de ton frère Hyacinth kafando de Boulsa : la hauteur prépare la chute.
57. Le 6 mars 2015 à 23:23, par Zebasonni En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
A l’internaute 41 ; je suis l’internaute 15. Ne t’en fais pas je vais publiquement dénoncer Mr Segda Gerard et Mr Salam Dermé pour que cela serve de leçon aux diplômés qui vendent leur dignité en politique et qui sont "nombriliques". Je préfère ne pas utiliser leurs titres de Dr ou Pr car à mon avis, ils ne les méritent pas. Je vous dis que lorsque ce sont ces diplômés qui ont osé dire cela et non pas une autre personne, j’avais honte !!!honte !! et j’ai même coulé les larmes, Allah est mon Témoin. Dieu est grand, et ce qui n’a pas été payé sur Terre, Dieu s’en occupera Incha Allah.
Entre autre, il faut rappeler que Dermé n’a rien appris à l’assemblée durant son séjour car il a préféré se transformer en griot de Blaise et du CDP. Autrement dit, il devait savoir que la révision de la de l’article 37 était anti-démocratique (même si son ancien MENTOR Mr Rock KABORE a été malhonnête en 2010 en disant que l’article 37 était révisable et antidémocratique) et injuste pour les griefs suivants :
La violation de l’article 161 de la constitution en ce qui concerne la procédure de la révision. Le gouvernement ne devait pas endosser le conseil des ministres du 21 octobre. C’est dommage qu’aucun ministre n’est attiré l’attention du gouvernent sur le fait que cela n’engageait que Mr Blaise Compaoré et non l’ensemble du gouvernement.
La violation de l’article 168 de la constitution car le peuple burkinabè proscrit toute idée de pouvoir personnel.
La violation des articles 10 (alinéa 2) de la charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance qui stipule : Les Etats parties doivent s’assurer que le processus d’amendement ou de révision de leur Constitution repose sur un consensus national comportant, le cas échéant, le recours au référendum.
La violation des articles 23 (alinéa 5) de la même charte qui stipule : Tout amendement ou toute révision des Constitutions ou des instruments juridiques qui porte atteinte aux principes de l’alternance démocratique.
Le refus de l’alternance tant que souhaité par le constituant originel lors des consultations électorales du 02 Juin 1991 qui limitait les mandats à deux !!!
58. Le 7 mars 2015 à 01:32 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Salam, il faut arrêter de distraire les gens. Tu oublie qu’on a les enregistrements de tes propos et que cela a circulé partout. Vous vous êtes cru suffisamment puissants, mais le peuple a mis en échec votre projet lugubre. A ta place j’aurais quitté l’arène politique simplement.
59. Le 7 mars 2015 à 05:30, par PACO En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Ce monsieur est un monstre. Voila quelqu’un qui pense que la politique, c’est l’affaire de revirement selon les intérêts. S’il vous plait, il devra avoir l’humilité de se taire après tout ce qu’il a fait pour mettre le feu au Burkina.
Liberté d’opinion, Oui, mais pas d’insulte à la conscience du peuple !
Si lui et ses complices continuent à dénigrer le peuple, cela veut dire que la paix n’est pas pour demain dans ce Faso.
Nous ne sommes pas les champions du pardon dans ce monde !
60. Le 7 mars 2015 à 06:24, par sidbale En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Que Dieu ait pitié de votre âme.Vous parlez de stabilité comme si vous et votre parti n’êtes pas responsables de l’instabilité récente que le BF a vécue. Vous étiez bien informés que la modification de l’article 37 était la zone rouge à ne pas franchir et plongerait notre pays dans cette situation et vous ne vous êtes pas résignés. Si la honte tuait....
61. Le 7 mars 2015 à 07:40, par Bourzanga En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Ha Salam waa ! Je suis déçu et je reste sur ma faim. La révision de la constitution une question politique ? En clair pour vous ce qui s’est passé c’est le fruit des manigances de vos ennemis politiques ! Vous estimer que Blaise avait le droit de nous diriger jusqu à sa mort ! Vous nous dites aujourd’hui que tous les juristes s accordaient pour dire que l’article 37 était modifiable. Je vous demanderai de n’en citer qu’un. Dans tous les débats qui ont précédé votre chute je n’ai jamais un juriste vous cautionner. Vous sembler prendre conscience qu’il faut pondérer les propos mais au fond je ne vois aucun veritable regret ni surtout aucun sentiment de responsabilité dans ce qui s’est produit. Votre parti ne saura avancer si vous continuer ainsi. Il d’abord nettoyer la plaie avant le pansement. Vous sembler faire le contraire. Le CDP doit se dire la vérité et reconnaître qu’il a manqué de couille pour dire au champion de libérer la.place. Tant que vous serez la à nous faire prendre des vessies pour des lanternes vous ne reverrez plus jamais Kosyam !
62. Le 7 mars 2015 à 10:10 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Tu l’as ferme. Tu n’as jamais eu honte Partisan de la courte échelle. Tu pense qu’on ne sait que tu comptait sur le RSP pour réprimer et contenir la marche du peuple ?
Par ailleurs, tu pense qu’on a oublié les fortes sommes qui ont été detournées (plus de 40 000 000) en ta faveur pour aller faire l’économie de santé après ton doctorat à l’UO ?
Tu pense qu’on a aussi oublié le poste qui a été monté de toute pièce par le ministre à la DGPML dès ton retour ?
Enfin et ton parachutage au SP/CNLS, un recrutement qui a été monté de toute pièce par le SP/CNL même en lisant les termes de référence de recrutement tes collègues savaient que toi qu’on visait.
Tu doit être radié par l’ordre des Pharmaciens pour complicité de fraude, favoritisme, corruption, incitation à la haine et à la guerre civile réactionnaire.
63. Le 7 mars 2015 à 10:28, par abou En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
soutien total on revient aux affaires très bientôt les jaloux vont maigris
64. Le 7 mars 2015 à 11:06, par Gringo En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Le pardon est sans doute un sentiment d’une noblesse inégalée mais il ne peut être accordé sans conditions ; autrement il devient nuisible pour celui qui le donne.
"c’est une erreur d’appréciation, on n’a pu se tromper et patati et patata" ça fait mal de l’entendre car c’est la preuve que ces damnés n’ont tiré aucune leçon et sont prêts à recommencer si l’occasion leur était encore donnée.
Mr Dermé, à votre place je me ferai oublier pendant au moins 5 ans si je ne tourne pas définitivement dos à la politique : vous êtes pitoyable !
Le CDP aura son candidat... Non, Blaise est toujours vivant et c’est lui et lui seul votre candidat.Bandes de malfrats !
Si vous ne savez pas ce que le mot honte veut dire, trouvez un candidat pour les prochaines échéances et vous verrez que si "la sorcière a oublié, la mère de l’enfant elle n’a pas oublié"
Dire que ces gens ont présidé à notre destinée pendant 27 longues années !
Merde, vous vous prenez pour qui ? bandes de larbins !
65. Le 7 mars 2015 à 13:45, par vérité no1 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Basta ! Son of bitch ! You are done !!!!!!
66. Le 7 mars 2015 à 16:24 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Dire que l’expression "Nous avons les armes..." signifie "nous avons le peuple" est une escroquerie intellectuelle. Un universitaire s’exprime sans ambiguïté surtout lorsque le terme "armes" est employé. C’est dire que vous êtes de très mauvaise fois. En réalité, vous faisiez allusion au RSP. Je reste convaincu que si l’insurrection avait échoué, de centaines d’opposants à votre projet aurait subi les pires punitions de leur vie. Sans oublier les représailles qui allaient s’abattre sur les fonctionnaires (allusion à la fameuse réquisition complémentaire du 1er Ministre L.A Tiao). M. DERME, si vous avez un plan B diabolique pour empêcher l’ex CFOP de conquerrir le pouvoir, la jeunesse vous conseille de l’enterrer sans délai, car à la moindre occasion, elle ne vous loupera pas et c’en serait fini définitivement pour votre carrière politique et votre CDP. Vous n’aurez que votre laboratoire pour analyser vos produits pharmaceutiques. Nous allons frapper fort dans le troupeau si bien que les moutons se disperseront à tout jamais.
67. Le 7 mars 2015 à 16:27 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
dire que c’est un père de famille qui parlait ainsi honte à tw en plus un docteur en pharmacie vraiment tu fais pitié.
68. Le 7 mars 2015 à 16:42, par ZAPATA En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : «
Dr Salam
tu n’aimes pas ton peuple , tu voulais utiliser les armes que le meme peuple ta confié pour assurer sa securité contre lui , .je sais pas ce que la jeunesse du CDP attend pour te retirer leur confiance .
69. Le 8 mars 2015 à 16:51, par ELKABOR En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
"Peut-être que les signaux que nous avions de la part de notre peuple, nous confortaient dans notre projet politique. Donc, ça a été probablement une grave erreur d’appréciation politique. Nous n‘avons pas eu certainement tous les indicateurs pour mesurer la popularité, la réceptivité de notre projet politique au sein de la population. "
Mensonges grossiers !!!Tu es un politicien à l’esprit bien tordu toi ! Vous qui, Blaise ou le CDP ? Donc tout ce que vous organisiez avec nos sous en Perdiem et autres commissions pour sortir de la crise politique n’était que la poudre aux yeux ? Le collège des sages ne vous avait-t-il pas bien averti du danger de modification de l’Article 37 ? Combien de fois avons-nous organisé des marches gigantesques à Ouagadougou et partout dans le pays pour nous faire entendre dont le dernier était le 29 novembre 2014 où de memoire d’homme, on n’a jamais vu pareille mobilisation au Burkina Faso ? Et Blaise qui a réuni les partis politiques pour une discussion à Kossyam sur les solutions à trouver à la crise, ce n’était pas politique tout cela ? Donc tu ments Dermé ! Blaise était entété, obnibulé par le pouvoir, imperméable à toute idée de quitter le pouvoir en 2015. Certains de vos camarades politiques ont même dit que nous pouvions marcher sur nos têtes que cela ne changera rien à votre décision de modifier l’article 37. De toutes les facons nous sommes toujours là, tu as remarqué que le peuple ne s’est limité qu’aux biens. Si vous pensez que cela ne constitue pas un avertissement sérieux, recommencez et vous verrez jusqu’où nous irons la prochaine fois. Le Burkina Faso est pour nous tous, c’est d’ailleurs pour cela que tu peux parler encore aujourd’hui, mais si vous vous decidez à tout prendre pour vous et vos familles seulement, alors nous allons tout vous retirer et vous chasser.
70. Le 9 mars 2015 à 21:01 En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
En plus il se fout de la société civile car il dit : "les organisations dites de la société civile".
Les cibals peuvent bien te régler les comptes. attention lascar !!!
Si vous n’aviez pas bien apprécié les signaux pourquoi avoir interner les élus du peuple comme des moutons de PANURGE ?
En même temps vous avez contribué à détruire la carrière politique de tous ces députés qui fuient le peuple pour leur panse et qui se font interner pour voter une loi qui va détruire le peuple qu’ils sont sensés représenté.
QUELLE HONTE.
71. Le 11 mars 2015 à 16:50, par NulNestIndispensable En réponse à : Salam Dermé, secrétaire national chargé à la jeunesse du CDP : « Peut-être qu’avec le recul, on peut comprendre que la révision de l’article 37 était, in fine, une question politique »
Au moins vous remerciez le Vrai Tout Puissant qui vous a donné la possibilité de vous remettre en cause. Seul Dieu est le Tout Puissant. Malgré ses 27 ans de pouvoir, votre champion n’a pas pu devenir Tout Puissant malgré ses milliards, son RSP, ses députés, ses financiers, ses juges, ses policiers, etc.