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Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

Publié le vendredi 27 février 2015 à 01h45min

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Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

« Depuis quelques jours, la presse écrite, orale, et audiovisuelle fait échos de la mise sur le marché par le Groupe OBOUF de boissons gazeuses impropres à la consommation après une visite des autorités policières.

Par le présent communiqué, nous tenons à informer l’opinion nationale et internationale, ainsi que toute la population, les consommateurs, des faits suivants :

– Le PDG du Groupe OBOUF n’est pas en fuite mais il est en mission hors du pays depuis quelques temps. Il s’apprête à revenir dans son pays le plus tôt possible et se mettra à la disposition de la justice de son pays.

A ce jour, il n’a reçu aucune convocation des autorités de police ni d’une autorité quelconque. Cependant, il a des avocats régulièrement constitués dans le cadre de cette affaire.

– A ce jour, aucune inspection sanitaire, ni aucune analyse d’aucun laboratoire ne vient confirmer la toxicité des produits. La péremption de date ne signifie pas forcement que le produit concerné est impropre à la consommation et mortel.

– En outre, la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation.

– Au regard de ces faits, nous informons l’opinion nationale, internationale et les consommateurs que nous nous mettons à la disposition de la justice pour la manifestation de la vérité.

– Nous notons qu’étant dans un État de Droit où la présomption d’innocence est un droit acquis, par conséquent toutes allégations contraires n’engagent que leurs auteurs.

– Il convient de s’en référer aux textes de lois suivants pour comprendre les droits fondamentaux qui méritent d’être respectés dans le cadre de cette procédure :

– L’article 11 du code de procédure pénale dispose « sauf dans les cas où la loi en dispose autrement et sans préjudice des droits de la défense, la procédure au cours de l’enquête et de l’instruction est secrète. Toute personne qui concourt à cette procédure est tenue au secret professionnel dans les conditions et sous les peines prévues par les dispositions du code pénal relatives au révélations de secrets ».

– Cet article est la reprise de l’article 04 de la Constitution Burkinabé. L’article 41 de la loi n°15/94 ADP du 05 Mai 1994, modifiée par la loi n°33-2001 du 4 décembre 2001 portant organisation de la concurrence au Burkina Faso dispose « Les fonctionnaires et agents visés à l’article précédent sont astreints au secret professionnel sous peine de sanctions pénales en la matière ».

– L’article 1er de la Constitution du Burkina Fasodispose clairement : « Tous les Burkinabè naissent libres et égaux en droits. Tous ont une égale vocation à jouir de tous les droits et de toutes les libertés garantis par la présente constitution… ».

– L’article 4 de la même constitution dispose que : « Tous les Burkinabè et toute personne vivant au Burkina Faso bénéficient d’une égale protection de la loi. Tous ont droit à ce que leur cause soit entendue par une juridiction indépendante et impartiale. Tout prévenu est présumé innocent jusqu’à ce que sa culpabilité soit établie ».

– Ces droits fondamentaux sont repris par l’article 7 de la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples.

En tant que conseils du Groupe OBOUF, nous certifions que le premier responsable est en direction du Burkina Faso et se mettra à la disposition de la Justice. »

Maître Jean Charles TOUGMA
Avocat à la Cour
Maitre Yacoba OUATTARA
Avocat à la Cour

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Vos commentaires

  • Le 27 février 2015 à 01:30 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Et pourquoi alors effacer les dates de peremption pour mettre des nouvelles dates. Il ne faut etre l’avocat du diable mes freres Tougma et Ouattara. Il est illegal de changer la date de peremption d’un produit meme s’il n ya pas de risque de toxicite

  • Le 27 février 2015 à 01:44 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mon cher ami Tougma, la question n’est pas de savoir si le produit est toxique ou pas, impropre à la consommation ou pas. La question, c’est de savoir si oui ou non OBOUF a volontairement fait rentrer dans ce pays des produits périmés, s’il a effacé les dates de péremption et réimprimé de nouvelles dates et remis le produit en circulation. L’infraction est constitué dès lors que OBOUF use de tromperie. Le consommateur a le droit de savoir, et de choisir en connaissance de cause. Qui se risquerait à consommer des produit périmés même si on allègue qu’il n’est pas toxique ?

  • Le 27 février 2015 à 02:02, par Burkinbila En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ces avocats raisonnent comme des fruits d’avocats noircis et perimés et impropres a la consommation.

  • Le 27 février 2015 à 02:09 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Vous nous prenez pour des nez percés, et en plus vous êtes gonflés. Je comprends pourquoi il n’y a pas de justice au Faso parce qu’on ne peut rien espérer de bon avec ces crottés de merde.

  • Le 27 février 2015 à 02:12, par le moderateur En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    en plus vous vous foutez des burkinabè que vous intoxiquez ! si ces boissons ne sont pas impropres à la consommation, pourquoi ils changent les datent avant de les mettre sur le marché. savez vous ce que c’est qu’une date de péremption ? elle signifie que passée cette date, non seulement le produit (ici boisson) perd ses propriétés donc les effets pour lesquels on le consomme, mais pire il peut être toxique pour l’organisme. donc ce n’est pas seulement parce que la toxicité n’est pas prouvée que ces produits doivent être consommés ! savez-vous que le "caca" n’est pas toxique ? alors consommez-le mes chers avocats du diable. pourquoi vouez-vous défendre l’indéfendable ? allez voir dans le pays d’où est importée cette boisson, vous n’en trouverez pas de périmée sur leur marché.
    alors c’est le peuple mouton du BF qui mérite ça mes chers avocats à la bassecour ? excusez moi à la cour ? si vous n’y prenez garde peut-être qu’un de vous (ou vous 2) a déjà contracté son début de cancer ou je ne sait qu’elle maladie, qui va le tuer à petit feu dans quelques années. en tout cas je vous souhaite d’être les premières victimes de ces produits afin d’en déduire et de comprendre la colère des uns et des autres.

  • Le 27 février 2015 à 02:13, par biriki En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Cette phrase venant des gens dit de droit me fait allait me faire rire sauf que la situation est tellement tragique pour être drôle " A ce jour, aucune inspection sanitaire, ni aucune analyse d’aucun laboratoire ne vient confirmer la toxicité des produits. La péremption de date ne signifie pas forcement que le produit concerné est impropre à la consommation et mortel" Pourquoi donc n’avoir fait pas examiner les produits périmés par le laboratoire de santé dans un premier temps et dans un second temps, faire des publicités dans les médias pour dire ceci : nous avons des produits périmés, mais le laboratoire dit qu’on peut les consommer ? Ainsi on verra bien ce que diront les ligues des consommateurs ainsi que le ministère chargé du commerce. Mais non, obouf a plutôt engager des gens pour effacer au solvant les dates périmées pour en imprimer d’autres avec une machine commandée de la Tunisie pour cela. Obouf ayant falsifié les dates de péremption a déjà enfreint à la loi car le consommateur doit savoir tout sur le produit qu’il consomme et les dates de péremption font partie des informations qu’il doit savoir. Le délit de contrefaçon est donc constitué. Maintenant, il faut s’attaquer à l’autre chef d’inculpation : empoisonnement de tout un peuple, là le vrai débat commence. A écouter les niaiseries de ses avocats, on est content de ne point porter la robe noire...

  • Le 27 février 2015 à 02:22, par fasobiga gandaogo En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Pardon mes chers avocats on vous connais bien vous êtes des chercheurs d argent mais ne vous foutez pas des burkinabe je sais maître farama Prosper ne va jamais défendre ce sorcier

  • Le 27 février 2015 à 02:51 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je suis ulcere par cette mise au point. Le produit est perime mais personne n’a prouve qu’ il est toxique ? Savez - vous meme qu’ il y a des organismes qui peuvent meme avaler du poison sans en souffrir ? Attendez. Pourquoi meme on met la date de peremption des produits alimentaires alors ?Comment voulez- vous qu’ on verifie la toxicite de ces produits ?
    C’est perime mais ce n’est pas impropre a la consommation ? C’est francais que vous parlez ou bien le language de vautour ou de la hyene ? Nous les burkinabe, on ne mange pas les saletes, hein. Si c’est perime, c’est impropre a la consommation. Vous voulez un dessin pour comprendre ca ? Vous n’etes meme pas intelligents et vous voulez arnaquer les gens. fou mal kamp. N’ exposez pas votre illetrrisme a tout va. Le gout peut changer mais c’ est encore consommable. Pourquoi vous ne donnez pas ca a vos morpions a la maison ? Le gout d’ un produit a change et on peut toujours le consommer ? Quand le gout de la sauce MKZ chance, est-ce que’ c’est toujours bonne sauce ? On jette pas ? A pa !!!

  • Le 27 février 2015 à 03:39, par J En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Waouuh,ils sont qu’à même gonflé ces pseudo avocats de pacotille. Qu’ils tiennent ces propos dans leur foyer auprès de leur femme et enfants c’est leur problème mais qu’il n’osent pas venir dire que ces canettes ne sont pas impropres à la consommation,dans ce cas pourquoi cette société se donne t’elle autant de moyens pour effacer la date de péremption sur des canettes qu’ils ont dû acheter pour une bouchée de pain.

  • Le 27 février 2015 à 03:56, par ITS En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    On n’a pas besoin d’être avocat pour savoir que c’est de la falsification, c’est abuser de la confiance du consommateur ... Vous les avocats c’est l’argent vous cherchez, vous savez bien que vous ne donnerez pas ces produits à votre famille. Il faut savoir souvent, au nom du respect à la population et à votre intégrité de refusé de défendre certains dossiers. Honte à vous

  • Le 27 février 2015 à 05:10 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Cher maitres, que connaissez)vous en toxicologie pour affirmer que ces produits ne sont pas jugés impropre à la consommation ? On cherche aujourd’hui des détours pour blanchir OBOUF, surtout qd on sait que meme les labo peuvent être corrompus dans cette affaire et à n’importe quel prix. . Mais ne défendez pas l’indefendable. Le groupe OBOUF avait’il ddes preuves de non toxicité en mettent ces produits sur le marché ? Non. Pourquoi changer les dates s’il ne s’accusait de quoi que ce soit. Il fallait informer le public que ces produits sont périmés mais ne posent aucun problème de santé et on allait voir si cela allait passer. Chercher l’argent de facon éthique et responsable. Etre un avocat ne veut pas dire etre irresponsable. Il faut reconnaitre les faits et chercher la clémence que de vouloir se lancer dans des justifications cyniques.
    Savez-vous combien de personnes sont frappées de stérilité aujourd’hui chose que ces produits pourraient contribuer à provoquer, les cancers, et j’en passe ?
    Que la crainte de Dieu vous inspire dans votre metier.

  • Le 27 février 2015 à 05:24, par vérité no1 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    La date limite de consommation d’un produit doit être indiquée par le fabricant du dit produit. Tenez-vous bien, cette date limite n’est valable que si les températures d’entreposage respectent les normes, ce qui n’est pas le cas chez OBOUF ! Monsieur les avocats, préparez votre défense car elle est pour le moment poreuse. Il y a des produits où on a écrit : " A consommer avant le ....", le cas OBOUF ! Il y a également des produits où on a écrit : " A consommer de préférence avant le ...." comme le cas des denrées alimentaires sèches ! Les deux dates limites n’ont pas les mêmes conséquences. Dans le cas OBOUF, le mot préférence n’existe pas dans la date limite et le produit ne peut en aucun cas être consommé parce qu’il peut y avoir des bactéries indésirables dans le produit périmé ! Seule une boisson alcoolisée de 10 degré ou plus n’est pas concernée par la date de péremption. OBOUF est un criminel qui tire vers la catégorie genocidaire !!!!!!!

  • Le 27 février 2015 à 05:29, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ça c est le comble ! Pris la main dans le sac,ils nous sortent des sornettes.Comme si ceux qui défendent l indéfendable,gagne pain oblige,croient en ce qu ils disent.Sont-ils prêts à aller s acheter des produits, dont les dates de péremption sont expirées, dans un magasin parce que non toxiques et donc toujours consommables ? Pourquoi alors le besoin de falcifier les dates et en cachette de surcroit ? Même si l expert de votre client a expertisé ses boissons et avoir établi leur non toxicité pour le consommateur ,il est quand même pris en :
    - Flagrant délit de falcification de date de peremption
    - Importation frauduleuse de produits prohibés car périmés
    - Mise en danger de la vie des consommateurs Burkinabè en leur vendant des produits périmés
    - etc

  • Le 27 février 2015 à 05:31, par Yobson En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Vous voulez constatez les morts comme ont causees les dechet toxique de la Cote d’Ivoire enfin de vous rendre compte de la peremption de vos produits. M. les avocats vous avez les moyens pour vous acheter les boissons de meilleures qualites mais n’oubliez pas que vous avez des parents pauvres qui consommes ces liquides hors d’isage. Votre reaction est la mal venue et fait assez peur. Si nous devrons suivre l’argent jusqu’a avaliser la mort de nos parents publiquement j’avoue que je suis perdu. Mais que Dieu le tout puissant continu de proteger les burkinabe contres leurss ennemis

  • Le 27 février 2015 à 05:31, par Bily En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mes chers avocats on sait que c’est votre boulot mais faite le au sein du palais de justice et non dans les journaux . Vous aussi ,vous trahissez le secret de l’instruction quand vous dites qu’il est en direction du pays.
    Aussi les faits sont claires il y a flagrant délit ; il y a tromperie . Pourquoi les tunisiens n’en veulent pas ? Obouf ne peut pas dire qu’ils ne sont pas au couant du dépassement de la date de péremption ( puisqu’ils le change).
    soyons clair rien de doit plus être comme avant . Sur cette affaire il y a faute et tous les acteurs doivent être severement puni à la hauteur de leur forfait. Le Burkina n’est pas un dépotoir.

  • Le 27 février 2015 à 05:33 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Eh Allah ! On peut gagner sa vie en restant de bonne foi. DLC (date Limite de Consommation) ou DLUO (Date Linite d’Utilisation Optimale), je parie que ces deux avocats ne boiraient pas de ces breuvages et ne conseilleraient point a leur progeniture d’en boire.
    Pourquoi alors chercher a coup d’articles a prouver que la pratique du groupe OBOUF n’est pas illicite ?
    Le seul fait de vouloir changer la DLC ou la DLUO n’est-il pas repressible, messieurs les AVOCATS ?....
    Pourquoi changer ces donnees sur les contenants ?
    Pourquoi ne pas SIMPLEMENT EXPLIQUER aux consommateurs que meme aux dela de ces dates, les produis incrimines peuvent etre consommes sans danger ?
    Pourquoi ? Pourquoi ?.....
    Pourquoi c’est sous nos cieux a nous qu’il se passe toujours de tels actes et il se trouvent des gens pour les defendre ?
    Nous avons encore en memoire ces autorisations de deverser des produits toxiques dans la lagune ebrie et les consequences
    Messieurs les AVOCATS, ce n’est pas parce qu’on a choisit d’exercer le metier d’avocat qu’on cesse d’etre humain. Arreter de nous divertir en tentant de nous faire croire que consommer un produit perime (DLC ou DLUO) n’a rien de dangereux.

  • Le 27 février 2015 à 05:38 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Que raconte ces voyoux ! Pourquoi effacer les dates de peremptions ?

  • Le 27 février 2015 à 05:39 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Merci chers avocats. C’est simple. Il suffira de vous donner une quantité importante de ces produits pour que vous les consommez pendant une semaine et on verra la véracité de vos propos. Webmaster please.

  • Le 27 février 2015 à 05:45, par Sidpasata Veritas En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Il ne tient pas, votre argument selon lequel « la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation. »

    1- La perte de goût du produit que vous-même admettez est suffisant pour dire qu’il y a déjà altération du produit. En matière d’alimentation, le goût est essentiel : on a des préférence gustative qui font aimer ou détester un produit, littéralement, par dégoût ; même s’il n’y a rien à redire sur la toxicité. Le consommateur doit donc savoir que le produit qu’il achète après la date de consommation de préférence n’a plus le même (quant à la qualité) que celui mis en circulation par le fabriquant. Il ne pourrait donc pas s’en plaindre à ce dernier.

    2- Le fait de changer la fameuse DLUO est une fraude constituée, parce que le revendeur trompe ainsi le client en modifiant les informations sur la qualité (y compris gustative) produit que le fabriquant est tenu de mettre à sa disposition sur les étiquettes et emballages. La confection et la qualité de l’emballage et l’information sur la qualité du produit mentionnée sur les emballages et étiquettes sont de la tâches et de la responsabilité de fabriquant et non du revendeur. C’est donc une falsification si le revendeur se met à changer ces emballages, étiquettes et informations fournies par le fabriquant à l’adresse du client pour le bon ou le meilleur usage et/ou conservation du produit. C’est précisément parce qu’il sait qu’il n’a pas le droit de vendre un produit dont la DLUO est dépassée que ce commerçant s’est mis à modifier la date en question. Il y a aussi une infraction grave aux règles du commerce des produits alimentaires. C’est pour le vendeur une faute qui consiste à trafiquer indument la notice pour une bonne utilisation d’un appareil telle que prévue par le fabriquant.

    3- Quant à la toxicité, il faut dire que la modification du goût après la DLUO est un indice de l’altération du produit et sa possible toxicité. Si un consommateur avait des malaise ou un problème de santé suite à la consommation du produit après la DLUO, la responsabilité du fabriquant n’est plus engagée puisque le consommateur aurait alors pris sciemment des risques. Par la modification de la DLUO le vendeur fait prendre au consommateur un risque qu’il ignore parce que ce risque lui est frauduleusement caché par le vendeur qui a modifié l’information donnée par le fabriquant. On peut dire que ce vendeur indélicat a pris le risque d’empoisonner le consommateur, uniquement dans la but de gagner de l’argent. On peut l’accuser de mise en danger de la vie d’autrui. il n’est pas le fabriquant et il ne lui appartient pas de décider du caractère impropre ou pas à la consommation.

    4- Quant à votre sortie sur la question de la présomption d’innocence, vous vous trompez de sujet, car si l’affaire dite "des cannettes périmées" donne lieu à un procès, c’est aussi une fait de l’actualité qui concerne la santé d’un grand nombre de burkinabè et il y a pour le grand public un droit à l’information sur cette affaire sanitaire. Ce droit à l’information qui concerne la santé des masses prime sur le droit d’un particulier à la présomption d’innocence.

    J’espère que la justice se fera intraitable contre ce genre de profiteur qui n’ont aucun souci pour la santé des burkinabè et qui veulent utiliser la loi burkinabè pour échapper à leur responsabilité.

  • Le 27 février 2015 à 05:48, par Epicure En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    "En outre, la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation". Tchié ??? Voilà le seul argument dont disposent ces deux soi disant avocats. Articles... articles... mon œil !!! Bandes d’affamés prêts à vêtir des costumes de vautours pour se faire de la bedaine. Vous croyez qu’être avocat procure l’immunité totale ? Essayez de défendre le diable, vous allez subir la colère du peuple. Articles..., articles..., gnamogoden filè dè.

  • Le 27 février 2015 à 06:02, par YIRMOAGA En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    A ce que l’on sache, OBOUF n’est pas fabriquant pour savoir la toxicité ? Il aurait dû commercialiser avec les date de péremption et s’en tenir aux normes prescrites par le fabriquant ? Normal que sa défense cherche à le défendre, nous sommes en état de droit, mais il y a la réaction du consommateur qui peut d’un moment à l’autre imposer sa loi ? le vindicte popul... ..? et là , ses avocats vont plaider comment ? La défense doit laisser le service ou l’administration d’OBOUF s’exprimer d’abord ?

  • Le 27 février 2015 à 06:02, par vérité no1 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    On doit empoisonner Boureima et ses avocats dans la même cellule ! Si le produit périmé ne nuit pas à la santé, pourquoi Boureima cherchait-il à modifier la date de péremption ? Il faut vérifier du côté des pharmacies !!!!!!

  • Le 27 février 2015 à 06:25, par arzouma En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mr l’avocat,
    Supposons que vous êtes intelligent :
    Expliquez nous si le stockage de vos produits canettes , tomates etc correspond aux normes d’hygiène et température ?
    j’ai vu ces hangars de tôles et ces camions contener où la température peu monter à 80 degrés !....
    vous ne nous empoisonnerez pas impunément

  • Le 27 février 2015 à 06:29, par yeriyoublobissan En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Est ce une obligation de répondre et d’étaler des idioties ? On paie un produit pour toutes ses valeurs et dès lors où ces valeurs ne sont plus les mêmes et le prix reste le même, il y a escroquerie ? Mais nous sommes au Faso où on mange la chair humaine pour les honneurs sur terre et le peuple est aussi ce qu’il est. Monsieur le directeur de communication. Je serais à ta place , j’accepterais perdre mon poste que de répondre par un communiqué pareil. Le peuple averti jugera. Et si ce peuple est dupe Dieu ne l’est pas et tranchera au jugement dernier .

  • Le 27 février 2015 à 06:33, par bassan juste En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Vous Tougma et Ouattara tous des avocats, si vous mangez entre les mains du pdg groupe obouf ou groupe de délinquants ça n’engage que vous. Ne brouiller pas les pistes de l’enquête. Comment commander des produits à consommer et vous vous permettez à modifier ses dates de péremption. Est ce que ces produits ont été fabriqués chez nous ? Vous devriez être entendus et déférés à la maison d’arrêt de ouagadougou pour complicité en attendant l’audition de votre pdg criminel. Regarder moi ces bandes de délinquants criminels organiser.

  • Le 27 février 2015 à 06:40, par Le Prince En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Messieurs les avocats, vous êtes dans votre droit : défendre l’indéfendable. Vos honoraires vous seront garantis à la hauteur du crime défendu. Dans aucun pays au monde des produits périmés ne se retrouvent dans les rayons des alimentations ou des pharmacies. Vous le savez vous et votre client qui voyage apparemment beaucoup le sait mieux que quiconque. Falsifier des dates de façon volontaire et massive sur des produits périmés afin de les écouler en abusant de la confiance du consommateur est tout simplement de la délinquance. Démocratie, liberté, présomption...ne signifient pas permis de tuer. Ce qu’a fait votre client est indigne d’un BURKINABE .Il cesse d’être à mes yeux un homme intègre c’est - à-dire un BURKINABE. Dans ce cas est-il encore concerné par tous ces articles que vous citez ? Les BURKINABE, les vrais, les patriotes qui aiment leur et son peuple suivent de très près cette
    affaire. Halte au divertissement !

  • Le 27 février 2015 à 06:44, par toega En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Attention à la rhétorique des rues publics ( l’autre facette d’une république bananière ).Vous êtes mal inspirés maîtres conseils, même le père fouettard ( sans cravache ) a n’en parlé, vs voulez lui faire une citation à comparaître ?

  • Le 27 février 2015 à 06:48, par Sans rancune En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Chers avocats, pour prouver vos allégations nous souhaitons que publiquement vous mêmes et vos familles (enfants et femmes) alliez dans un des magasins du groupe OBOUF consommer à satiété lesdites boissons et cela en présence de la population.

  • Le 27 février 2015 à 06:49, par LuckyRay En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Il aurait fallu que vous vous taisiez au lieu de raconter des bobards. N’attisez pas la haine. Si Blaise et François Compaoré étaient encore là, on n’aurait rien appris de ce qui se passait.

  • Le 27 février 2015 à 06:53, par Oeil de lynx En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    La loi protège aussi les délinquants surtout à col blanc. Cette sortie est un épouvantail agité pour faire peur au peuple. La crédibilité de nos autorités de la transition est en jeu dans cette affaire.

  • Le 27 février 2015 à 06:56, par Timbo En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je trouve scandaleux parce que vous (T et O) êtes payés de dire des contrevérités pareilles. Lequel d’entre vous sur la base de ce que vous avancez ira dans une boutique pour acheter de tels poisons pour son enfant ou sa femme enceinte ? Quand vous dites que la péremption ne signifie pas impropre à la consommation ;c’est combien d’années après ? 1, 3, 10 ou 20 ans après ? Vous débattre est légitime, vous êtes payés pour ; mais respectez le peuple sinon vous risquez d’être surpris

  • Le 27 février 2015 à 06:58, par Passakziri En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    En attendant de revenir sur cet écrit, je dis seulement : Soyons sérieux quant même !!!

    Passakziri

  • Le 27 février 2015 à 07:02, par patricia En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Apparemment les gens n’ont toujours pas compris la mentalité du peuple burkinabè !
    plus rien ne sera comme avant. Nous allons encore sortir.

  • Le 27 février 2015 à 07:08, par Un Grand consommateur En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    La date limite d’utilisation optimale (DLUO) mentionnée sur les cannettes indiquent la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre son gout après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation.
    Si vous êtes convaincus de ce que vous dites, alors informez nous les consommateurs ; aussi pourquoi changez-vous la DLUO si ce n’est pour cacher quelque chose de malpropre aux consommateurs ? encaisser et nous rendre malades est le but que vous recherchez. Si j’ai bien compris ce que vous dites, la DLUO indique la date de consommation de préférence ; pour une boisson à consommer de préférence avant fin 2012 par exemple, peut-être qu’elle ne devient pas impropre à la consommation avant fin 2013. Mais des années plus tard, soit en 2015, vous actualisez la DLUO de cette même boisson qui deviendra fin 2016 ; selon vos explications après 2016, cette boisson peut perdre son gout mais ne deviendra pas impropre à la consommation. Si après la DLUO de 2016 la boisson dans la cannette n’est pas consommée, vous changerez encore la DLUO et nous lirons peut-être 2020 pour la même boisson fabriquée en 2011. En conclusion, vous voulez mettre à notre disposition en 2015 et après 2016 des boissons que nous aurions du consommées avant fin 2012. Niin siin nin ka baaga n yetyé ( pas besoin de charlatan pour dire ce que vous voyez)

  • Le 27 février 2015 à 07:09, par zemosse En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    C’est votre "gombo" que de défendre l’indefendable:Obouf a ete pris en flagrant délit de tromperie de tout un peuple.Il vous faut démontré que ce n’est pas le cas.il ne faut pas comparer les conditions de conservation en Europe,Maghreb a celles du Burkina où la température peut atteindre 50 degrés ce qui provoque inéluctablement des réactions entre les produits se trouvant dans les cannettes et donner ce qui suit :
    - changement de goût
    - changement de couleur
    - diminution du taux des produits jugé utile pour l’organisme(sucre,vitamines)
    - apparition de gaz toxiques tels que, oxydes de carbone (très dangereux), oxyde d’azote
    Messieurs les avocats du diable,expliquez vous,sur ces faits scientifiques avérés

  • Le 27 février 2015 à 07:15, par WENDGOUDA En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Une question pour maître TOUGMA et OUATTARA : Avez vous déjà consommé ces produits ? Quel est votre réaction lorsque vous achetiez un produit et vous constatez que la date de péremption est dépassée ? Ne nous prenons pas pour des inconscients. Quelle honte de savoir que le soit disant TOUGMA vient du CENTRE EST !

  • Le 27 février 2015 à 07:15 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je suis choqué par les propos de ces avocats. Peut être qu’en droit même le diable mérite d’être défendu mais il faut faire attention à certains propos. Dites nous monsieur les avocats à quoi sert la date de péremption ? Lorsqu’elle est dépassée êtes vous capable de nous dire dans quel délai nous pouvons continuer de consommer vos boissons sans aucun problème ? Pourquoi certains pays se débarrassent de ces boissons à votre profit ? Une étude a t elle montré que les burkinabés sont immunisées contre la "toxicité de ces boissons" ? Je vous comprend messieurs les avocats, prenez votre gombo avec M. OBOUF mais par intégrité pour votre pays n’empêchez la vérité de paraître.
    Je profite lancer un appel à nos autorités, OBOUF doit être exclu dans le commerce des produits alimentaires. On doit vérifier la qualité du carburant qu’il nous sert dans ces stations. je suis convaincu qu’il y’a aussi un problème à ce niveau. Il y’a une station d’OBOUF à Bobo où le carburant est moins chers que dans les autres stations.

  • Le 27 février 2015 à 07:16, par halmafils En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    bien dit MR ces deux faux avocats conseils du groupe OBOUF VEULENT NOUS EMBROUILLER DANS DES ARTICLES OUBLIANT QUE NOUS TOUS ON A FAIT DROIT LE FORFAIT EST CONSOMME DES LORS QU ILS ONT CHANGER LES DATES DONC LA TRICHERIE EST CONDAMNABLE.CE CRIMINEL DE OBOUF DOIT ÊTRE PUNI A A HAUTEUR DE SON CRIME.TUER POUR S ENRICHIR C EST PAS SÉRIEUX POUR UN LADJI ENCORE QUAND IL PRIE IL DIT QUOI A DIEU ?Maitre TOUGOUMA COMME SON NOM DIT CHERCHE TRAVAIL POUR MANGER ET Mr OUATTARA VEUT DÉFENDRE POUR AVOIR DE L ARGENT C EST HONTEUX CE MONSIEUR NE DOIT MÊME PAS AVOIR UN AVOCAT IL FAUT LE SANCTIONNER DIRECTEMENT.

  • Le 27 février 2015 à 07:20, par zemosse En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    C’est votre "gombo" que de défendre l’indefendable:Obouf a ete pris en flagrant délit de tromperie de tout un peuple.Il vous faut démontré que ce n’est pas le cas.il ne faut pas comparer les conditions de conservation en Europe,Maghreb a celles du Burkina où la température peut atteindre 50 degrés ce qui provoque inéluctablement des réactions entre les molecules se trouvant dans les cannettes et donner ce qui suit :
    - changement de goût
    - changement de couleur
    - diminution du taux des produits jugé utile pour l’organisme(sucre,vitamines)
    - apparition de gaz toxiques tels que, oxydes de carbone (très dangereux), oxyde d’azote
    Messieurs les avocats du diable,expliquez vous,sur ces faits scientifiques avérés
    En Europe,les produits alimentaire dont la date de péremption est proche, sont retiré des rayons.Au Burkina on fait pire : on la prolonge impuniment pour réaliser des profit au detriment du bien être des populations.c’est criminel

  • Le 27 février 2015 à 07:24 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ok les gars vous êtes avocats et sûrement bien payés pour faire votre job, maiiiiis...... Lorsqu’on vous prend la main dans le sac on ne parle plus de présomption d’innocence messieurs, sur ce dossier ce n’est pas q’une petit quantité de marchandises périmées parmis un stock potable, c’est une quantité impressionnante doublée dune tromperie puisqu’il ya falsification des dates de péremption. Alors qu’est-ce que vous voulez défendre dautre qu’essayer de moderer la condanation de votre client ??? Il est au minimum responsable n’essayez pas de nous embrouiller avec des définitions de date de péremption ou des articles de la constitution pour kon laisse tranquille ce monsieur, d’ailleurs faites bien attention a ne pas provoquer les gens ki son tranquilles jusqu’à maintenant. D’autres ont goûté a la colère du peuple burkinabé alors qu’ils le pensait bête. A bon entendeur......

  • Le 27 février 2015 à 07:25, par kali11 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    honte a cette société ; pourquoi la date de péremption alors sur les produits si les dates inscrite sur les boites importe peu ? pourquoi le fabriquant l aie mis ? à combien de francs voulez vous sacrifier la population burkinabè ? soyons honnête à travers nos recherches de gains car il est difficile de construire sur du faux tot ou tard ça fini par vous rattraper

  • Le 27 février 2015 à 07:25, par Burkinabé En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je comprend bien que tu tiens à défendre ton client, pardon ton démon
    mais sache que tes argument ne sont pas fondés. Et puis tu connais quoi dans l’industrie alimentaire. Allez y vous faire foutre

  • Le 27 février 2015 à 07:26, par Burkinabé En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je comprend bien que tu tiens à défendre ton client, pardon ton démon
    mais sache que tes argument ne sont pas fondés. Et puis tu connais quoi dans l’industrie alimentaire. Allez y vous faire foutre

  • Le 27 février 2015 à 07:27, par MOI LE PATRIOTE PARFAIT En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    La Date Limite d’Utilisation Optimale (DALUO) N’est pas révisable à souhait aucune juridiction ne le prescrit. C’est un acte criminel prémédité. Mr les avocats votre sortie n’est pas opportune. Vous gagnerez à préparer de bons mémoires en défense sur l’aspect "nettoyage des anciennes dates échues et et impression de nouvelles date péremptoire sans rapport avec la nature du contenu" . On n’a pas besoin de vérifier dans un labo pour conclure que malgré le cafouillage de la date péremptoire le contenu est comestible. La constitution du faux et usage de faux bien prémédité demeure..

  • Le 27 février 2015 à 07:29, par sidnoma Y. TRAORE En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ne mettez pas le feu sur l’huile car vous prenez les consommateurs comme des" nez percés"pourquoi alors mettre une date de péremption sur un produit. la toxicité d’un produit ne se mesure pas en un jour dans un laboratoire.Moi j’appelle ça " tentative d’assassinat collectif

  • Le 27 février 2015 à 07:30, par Gandhi En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Où ces avocats ont ils étudiés leur droit ? Mais, ils sont incompétents ces avocats. Ce Obouf a dupé le client, vendu des produits impropres à la consommation ( ce qui relève des expertises de laboratoire) et falsifié des éléments qui permettent la traçabilité d’un produit. Ce sont des avocats inutiles. Ils n’ont qu’à défendre leurs gombos et se taire.

  • Le 27 février 2015 à 07:32, par kirmou En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    AVOCAT DU DIABLE pourquoi il change la date de peremtion alors ?

  • Le 27 février 2015 à 07:33, par PAK En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Malheureusement, seuls dans des pays assez pauvres et moins avancés comme le Burkina Faso qu’on utilise les arguments du genre " La péremption de date ne signifie pas forcement que le produit concerné est impropre à la consommation et mortel". Indépendamment des arguments juridiques, qui d’entre vous en tant que père de famille voudrait bien donner de la boisson périmée à son enfant de 5 ans sous prétexte qu’elle n’est pas impropre à la consommation. Les multinationales se félicitent toujours de tels arguments dignes des pays moins avancés. On a pas besoin d’être juriste pour savoir que mettre un aliment périmé sur le marché est une infraction tout comme la falsification des dates. Les éléments parus dans la presse sont le constat de la police accompagnée des médias. Et là également, quel que soit votre talent d’avocat, il est inutile de vouloir jeter de l’huile sur le feux en disant qu’ un produit périmé n’est pas forcement impropre à la consommation. On n’est pas plus averti que les firmes qui nous délivre ces produits avec les dates de péremption dans ce grand système marketing.
    Je vous conseille les arguments de forme (pour le moment) du genre les vices de forme à l’instar du Président du Faso qui s’invite dans le judiciaire en disant qu’un mandat international sera lancé contre votre client.
    Bien amicalement !

  • Le 27 février 2015 à 07:35, par Truman En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ça, c’est de la provocation !!! Je dirais même que c’est des foutaises aux yeux des consommateurs. Cette mise au point vous enfonce davantage.

  • Le 27 février 2015 à 07:36, par Le Mouhoun En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Chers maîtres, arrêtez de ces vous engager sur un terrain que vous ne maîtrisez pas. " outre, la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation." prenez le soin de faire un minimum de recherches avant une telle affirmation. Un simple étudiant en biochimie suffit pour vous prouver le contraire. Quelle analyse vous vous avez fait pour avoir la certitude que votre produit est non nocif. Le principe de précaution voudrait que faute d’informations suffisantes sur la dangerosité d’un produit, on s’en abstienne. C’est parce que le groupe O’bouf était certain d’avoir des avocats prêts à mettre de côté leur conscience pour les défendre qu’il s’adonnait à de telles pratiques. Mais nous verrons la suite.

  • Le 27 février 2015 à 07:39, par Larissa En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    ILs se foutent de qui ? Ils pourraient au moins avoir la descence de garder profil bas. Cette déclaration n’apporte que rage sur cette affaire.
    Je fouetterais volontier ce "monsieur" et en prime ses avocats afin qu’ils sache faire la différence entre la préservation de la vie humaine et le droit. Du reste, on ne conteste les droits de personne. On veut seulement que compte soit rendu pour ces actes hautement criminels.
    Cette affaire ne tombera pas dans le banal du quotidien. Il faut que chacun en soit averti.

  • Le 27 février 2015 à 07:43, par Bano En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Vous deux la vous avez obtenu vos diplomes la ou ? pourquoi falsifier les dates indiquées par les producteurs ? Quelle est l’intention ? c’est ca le problème avocats du diable prenez vous sous et circulé

  • Le 27 février 2015 à 07:45, par SOYONS_FERMES En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    C’est ici une menace au consommateur que le fameux Conseil adresse ? Nous devons consommer le produit même s’il est périmé ? De qui vous détenez que le produit périmé ne nuit pas à notre santé ? Du fabriquant ? Si le fabriquant a mis la date de péremption , il sait ce que veut dire péremption. Ou bien je ne comprend pas français. Sinon périmé veut dire impropre à la consommation et dangereux pour la santé. Et même si c’est le gout, le dégout (gout caca, ou d’œuf pourrie) peut tuer. Le fabriquant a fait son produit de sorte que le gout convienne au consommateur.
    Pourquoi alors entreprendre de changer les dates ? Y a quelque chose de louche à quelque part. C’est du vol, c’est un crime, c’est un acte illégal et répréhensible par la loi. Il ne faut pas que les autorités laissent passer de tels trucs sinon ces gens sont capables de nous vendre les déchets toxiques ici.

  • Le 27 février 2015 à 07:46, par Au Nom du Peuple En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ces avocats me donnent la nausée. Ils méritent tous la mort par pendaison comme sanction. Ils sont contre le peuple.
    Vive le Peuple !

  • Le 27 février 2015 à 07:50, par ZONGO En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    bien dit mes chèrs maîtres, vous devez quand même mériter votre salaire. Même si défendre un tel dossier n’est pas facile.
    Courage, la morale fou le camp quand on veut remplir son gosier au GONDWANA. J’imagine que vous étiez au courant de tout cela et que vous encouragiez votre ami OBOUF pour qu’il bouffe le pauvre peuple burkinabè. J’imagine que comme ces boissons étaient consommable c’est ce que vous donniez à vos enfants chaque matin ?
    Que Dieu vous garde

  • Le 27 février 2015 à 07:50, par Le Bougre En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Il ne faut pas être si assoiffé d’argent et se mettre à dire des non sens chers avocats. Vous êtes Burkinabé avant tout et vous avez vos familles ici dans ce pays. Donc tous consommateurs ! Votre acte va créer un précédent terrible car en argumentant ainsi vous aller ouvrir la porte à toutes sortes de fraude sur des produits alimentaires. Allez y dire vos sornettes dans les mêmes pays qui fabriquent ces produits et vous verrez comment la loi vous traitera. Camarades, restons vigilant contre tous ces vautours de la république ! Un mot à l’endroit de la ligue des consommateurs, elle devrait se saisir de cette affaire et faire savoir enfin son utilité au peuple.

  • Le 27 février 2015 à 07:52, par Suyélé En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mes chers juristes et avocats de obouf, écoutez, je ne voie vraiment pas de lien entre tous ces articles que vous alignez (sur "révélations de secret", "secret professionnel", "organisation de la concurrence au Burkina", "Burkinabé naissent libres et égaux", ....), c’est ce qui donne le droit à votre client obouf de vendre des boissons périmées aux populations ? Je ne comprends vraiment pas le sens de cet argumentaire. Toxique ou pas toxique c’est pas ça notre problème, pourquoi c’est vous qui devez décidez de ce qui est impropre à la consommation pour les autres ? Pourquoi votre client falsifie les dates de péremption ? Quelle est son intention ?
    Vous êtes tout simplement dégoutant avec un tel argumentaire, autant que votre client.
    Que ce délinquant vienne vite et que la justice fasse son travail !
    Y en a marre de tous ces fossoyeurs du peuple.
    Affaire à suivre

  • Le 27 février 2015 à 07:53, par kankélétigui En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mes chers avocats de diable, ne pensez pas à vos panses !! pourquoi mentionnes t’on des dates de péremption sur des produits ? pourquoi le groupe OBOUF réimprime de nouvelles dates !! ne soyez pas de complices de criminels !! si jamais avec de tels arguments vous échapez à la justice ! sachez que la justice du peuple existe ! s’en se référer aux différents articles que vous évoquez ! rien ne sera comme avant !!!! mettez vous cela dans vos crones et vos panses !!!

  • Le 27 février 2015 à 07:53 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Bravo chers maitres, seulement vous oubliez que modifier la DLUO est une tromperie de la clientèle car celle en voyant la date mentionnée sur l’emballage s’attend a jouir de toutes les caractéristiques nutritionnelles et organoleptiques du Produit. Sur le plan alimentaire on ne doit pas donner des informations erronées car cela relève de la santé publique. Ces produits étant la plupart des cas acides il peut y avoir une interaction entre le produit acide et les constituants de l’emballage et entrainer une migration des constituants, ceci n’étant pas aussi permis par la réglementation internationale. Vous remarquerez qu’en fonction des types de matériaux d’emballage (métalliques, plastiques) les DLUO ne sont pas les mêmes.

  • Le 27 février 2015 à 07:54 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Les dates réécrites illégalement, elles indiquent quoi exactement ? Que la consommation est acceptable et sur quel base scientifique et éthique ? arrêtez de justifier injustifiable, c’est fini pour cet entreprise.

  • Le 27 février 2015 à 07:56, par nivac En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je pense qu’il faut éviter de vous amuser avec la santé des citoyens. La question est de savoir si oui ou non le groupe OBOUF a intentionnellement falsifié les dates de péremption pour pouvoir écouler ses produits. La question de la toxicité devra permettre à nos autorités de prendre les dispositions nécessaires pour en atténuer les effets sur la santé des pauvres populations. Mais en attendant, le retrait systématique de tous les produits incriminés du marché s’impose.

  • Le 27 février 2015 à 07:58, par BILI-BILI En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Maître Jean Charles TOUGMA
    Avocat à la Cour
    Maitre Yacoba OUATTARA
    Avocat à la Cour.
    Bande de faux types , vous vous foutez de qui ! ? Quand il s’agit de défendre des gens comme les OBOUF , ils s’agitent comme des poux , comme ils savent y’a l’argent dedans ! On s’en fout de votre "gros gros français" et de vos termes juridiques ! Ici la question est plus humanitaire que juridique. Pour votre honneur, sachez que ici , les marchandises saisies ne sont pas des appareils électro ménagers ni des motos , mais il s’agit des produits destinés à la consommation , pour vos frères et sœurs Burkinabés .Donc la question est plus que juridique ! Il s’agit d’un criminel qui a vendu son âme contre l’argent qui est pris sur les faits ! Comment donc des Burkinabés comme vous, ont-ils un courage pour défendre un tel criminel ? Et tout ça, à cause de l’argent ! Chers avocats, vous êtes méchants.

  • Le 27 février 2015 à 07:59, par COMPAORE En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Comme " La péremption de date ne signifie pas forcement que le produit concerné est impropre à la consommation et mortel", Je propose simplement que ces boissons soient mises à la disposition des avocats et leur famille, du PDG de OBOUF et sa famille pour consommation. Avocat de diable que vous êtes ; c’est comme cela que vous avez induit blaise en erreur et il se trouve en belle famille aujourd’hui.

  • Le 27 février 2015 à 08:00, par Le maître En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ces avocats doivent subir la même peine que le groupe comme complices.En fait ces avocats savaient qu’il y avait génocide .Donc qu’on les inculpe pour non assistance à population en danger

  • Le 27 février 2015 à 08:02, par Danton En réponse à : Des avocats alimentaires !

    Chers maîtres, ne défendez pas l’indéfendable juste pour vos estomacs. Dieu est justice.

  • Le 27 février 2015 à 08:02, par Le maître En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ces avocats doivent subir la même peine que le groupe comme complices.En fait ces avocats savaient qu’il y avait génocide .Donc qu’on les inculpe pour non assistance à population en danger

  • Le 27 février 2015 à 08:05 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    IL s’agit ici de fragrant delit ,on a pas besoin de convocation pour ça.qu’il se rende immediatement à la justice.une question es ce que loi autorise de falsifier les dates même si le produit n’est toxique ?.

  • Le 27 février 2015 à 08:07 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    il use de tromperie pour remettre les produits sur le marché donc faut pas que ses avocats use de mots pour rendre ce "crime" légal.
    On verra à son retour, si jamais il revenait, ce que la justice fera.
    Comme l’a dit la ligue des consommateurs, cette affaire criminelle doit pas rester dans les oubliettes, si non la population se fera justice.
    C’est indigne d’un burkinabé.

  • Le 27 février 2015 à 08:07, par Manitu En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Si c’est cela le mémoire en défense, M. Obouf ferait mieux de changer d’avocat. On l’accuse de falsifier des informations pour vendre ses produits vous parlez de quoi ? Il fait du faux et de l’usage de faux. En plus, sur des produits alimentaires. Il vient de se condamner là...

  • Le 27 février 2015 à 08:08, par joe En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Vraiment avocat même c’est dure quoi.
    c’est votre travail mais sachez ici que le crime est commis.

  • Le 27 février 2015 à 08:08, par tingsaba En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    C’est vous les juristes la qui mélanger chaque fois les choses. C’est vous qui avez blaguer Blaise pour l’article 37 avec vos termes juridiques. S’il ya date de péremption c’est pas pour rien. Donc si vous ne voulez pas que le peuple vous et votre Obouf la qu’on vous face ce que on a fait pendant le soulèvement des 30 et 31 il faut continuer à vouloir justifier ce qui ne l’est pas. A bon attendeur salut

  • Le 27 février 2015 à 08:08 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Vous voulez nous donner des cours de droit ? On en a pas besoin, comment les gens peuvent vouloir défendre l’indéfendable de cette façon, à la limite je dirais que c’est une insulte à notre égard. Ça serait juste quelques canettes, on pourrait pourquoi pas lui accorder une circonstance atténuante. Des millions de canettes, et vous osez ouvrir votre gueule de bouche. Pauvre de nous Burkinabé

  • Le 27 février 2015 à 08:10 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Monsieurs les avocats Tougma et OUATTARA il ne faut pas énerver les populations en plus de l’empoisonnement de masse que le Groupe OBOUF fait. Vous risquez d’en faire les frais, non content de nous tuer vous insulter notre intelligence, prenez les canettes, buvez avec à vos femmes et enfants alors ! Désormais demander les produits périmés et fouiller les poubelles pour en consommer. Ne vous ravisez plus jamais à nous sortir ses niaiseries monsieur s les avocats.

  • Le 27 février 2015 à 08:10 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    « Tous les Burkinabè et toute personne vivant au Burkina Faso bénéficient d’une égale protection de la loi. Tous ont droit à ce que leur cause soit entendue par une juridiction indépendante et impartiale. Tout prévenu est présumé innocent jusqu’à ce que sa culpabilité soit établie ». Maîtres, le Président du Faso a t-il la même protection en droit que le citoyen lambda ? Est ce que l’affaire DsK, Picstorus, affaire des déchets toxiques en Côte d’Ivoire ont attendues leur dénouement avant d’être débattu publiquement ? Le droit d’un individu prime t-il sur celui du peuple ?

  • Le 27 février 2015 à 08:10, par Moïse En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Dans tous les cas il faut que justice soit rendu.

  • Le 27 février 2015 à 08:12, par désiré En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ce sont ces manières de se foutre du peuple qui animent les gens à se rendre justice. Maîtres c’est votre gombo mais mettez le ballon à terre.

  • Le 27 février 2015 à 08:13 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Avocat dèh euh, vous voulez transformer mensonge en vérité. mais ça la ils faut laisser tomber

  • Le 27 février 2015 à 08:13, par Mon avis En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mes chers avocats, je ne sais pas si vous méritez vraiment que l’on vous appelle AVOCAT. Parce que le métier est tellement noble que je n’arrive pas à croire que des individus d’un niveau aussi bas puissent l’exercer.
    Vous dites ceci :"la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les canettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation".J’aimerais dans ce cas vous posez quelques questions simples :
    - Sachant bien que dans le cas présent, la DLUO coïncide avec la date de péremption inscrite par le fabriquant, pourquoi avez-vous tenu à le commercialiser ?TENTATIVE D’EMPOISONNEMENT
    - Pourquoi vendez-vous un produit "dénaturé au même tarif que le produit dans son état initial ?ESCROQUERIE
    - Pourquoi alors effaciez-vous les dates du fabriquant en prenant le soin de les remplacer par des dates (choisies sur aucune base scientifique) que vous inscriviez en lieu et place ?FAUX ET USAGE DE FAUX
    Sur la base de ces simples questions, et conscient du nombre de burkinabé qui ont consommé ces boissons par excès de confiance, votre client est passible du paiement d’une amende de 100 milliards de FCFA et de la prison à vie.

  • Le 27 février 2015 à 08:13, par Harmony En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    et en plus ils nous prennent pour des idiots ! bravo a vous ! le fait que ça puisse nuire à la santé ou pas est une autre histoire qu’on pourra vérifier ! mais en attendant c’est clair que vous avez tromper le peuple en inscrivant de fausses dates de péremption sur ces produits ! A TOLOOO !!!!!????????

  • Le 27 février 2015 à 08:13, par Beton En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Pathétique maitre,vous êtes.

  • Le 27 février 2015 à 08:14, par Joseph En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Monsieurs les avocats Tougma et OUATTARA il ne faut pas énerver les populations en plus de l’empoisonnement de masse que le Groupe OBOUF fait. Vous risquez d’en faire les frais, non content de nous tuer vous insulter notre intelligence, prenez les canettes, buvez avec à vos femmes et enfants alors ! Désormais demander les produits périmés et fouiller les poubelles pour en consommer. Ne vous ravisez plus jamais à nous sortir ses niaiseries monsieur s les avocats.

  • Le 27 février 2015 à 08:16, par Anonyme En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Monsieurs les avocats,vous dites qu’un produit périmé ne veut pas dire impropre à la consommation.je penses qu’ il faut connaitre la date de péremption pour savoir l’intervalle de temps auquel le produit pourrait être consommé au delà de sa date de péremption ;mais si cette date de péremption est falsifiée,que devient le consommateur que vous et moi nous sommes ?
    En falsifiant les dates des produits périmés,quelle est l’intention du commerçant ?
    Donc s’il vous plait Monsieurs les avocats agissez non pas seulement en tant qu’avocat mais également en tant que consommateur sur cette affaire car la santé du peuple burkinabé en dépendra.

  • Le 27 février 2015 à 08:16, par Passeck En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Quelle platitude ? Vous aurez mieux fait de vous taire que de nous prononcet une lithanie d’articles qui n’ont rien à voire avec le fond du probleme. Des produits censés être périmés en 2011/2012, et vous nous mettez ça sue le marché en 2015, et vous ne trouver pas mieux que de nous dire que les dates sont indicatives. Vous êtes des avocats, vous aurez dû consulté un nutritionniste avant d’ecrire ces bidonneries. Ne vous foutez pas du peuple après tout ce qui est déjà fait. Vous même avocats, si vous persistez dans vos conneries, devez être poursuivi pour complicité d’empoisonnement ou d’incitation à la consommation de produits périmés.

  • Le 27 février 2015 à 08:16, par Marcus En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    "A ce jour, aucune inspection sanitaire, ni aucune analyse d’aucun laboratoire ne vient confirmer la toxicité des produits. La péremption de date ne signifie pas forcement que le produit concerné est impropre à la consommation et mortel."
    Il faut attrapper ces avocats et leur faire ingurgiter chacun une bonne dose de fanta périmée.
    Chers maîtres, nous sommes en droit de la consommation, et c’est décevant de vous lire, affirmant de telles inepties. Ce sont des esprits plus intelligents que le vôtre qui ont trouvé la nécessité d’instituer les dates de péremption et exiger qu’on s’en tienne à cela sans autre forme de procès. Si vous n’êtes pas à la hauteur pour comprendre cela, ayez l’honnêteté de rabattre votre caquet.
    Je comprends, votre réaction, que le niveau du débat judiciaire soit bas dans ce pays.
    Réfléchissez avant de parler, c’est ce qu’on nous enseignait alors qu’on était que des enfants.

  • Le 27 février 2015 à 08:17, par JOELLE En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    DE QUI VOUS VOUS FOUTEZ ?N’AVEZ VOUS AUCUNE CONSIDERATION POUR L’ESPECE HUMAINE ?NON SATISFAIT DE NOUS EMPOISOINNER VOS PRODUITS PERIMES VOUS AVEZ LE KILO DE NOUS DIRE QUE C’EST PRODUITS NE SONT PAS IMPROPRE A LA CONSOMMATION.SI VOTRE CONCIENCE NE VOUS DERRANGE PAS ALORS VOUS ME FAITES PITIE.DIEU NOUS SAUVERA.

  • Le 27 février 2015 à 08:17, par PK En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Il faut se rappeler certains faits. En France comme dans l’UE certaines substances avaient été indexées comme toxiques. Il s’agit notamment du bisphénol A qui est aussi présent dans les boites de conserves, et canettes. Cette interdiction a pris effet en début 2011. Or le fait que certaines canettes remontent à 2011 doit nous interpeller. Les canettes contiennent ils cette substance qui du reste est très sensible à la chaleur ? De même toute altération de gout dénote un changement de la composition. Quand on achète Coca Cola c’est aussi pour son gout et non uniquement pour son design. Si le gout change, ce n’est plus du Coca cola que l’on a acheté. Dans ce cas, il y a tromperie. cette affaire doit donc se baser sur des faits concrets. Par exemple le Bisphénol A est impliqué dans certains cas de diabète de type 2 et certains cancers. La loi est là pour protéger le consommateur de ces fléaux.
    Merci

  • Le 27 février 2015 à 08:17, par HiKoDi En réponse à : Affaire OBOUF !!!

    Je pense que se pays est truffé de vampires qui sont entrain de sucés le sang de la population, c’est sur que vous avez l’argent de vous sortir de toutes les situations calamiteuses qui ce mettrons sur votre chemin, m’est rassuré vous un jour mordrez les doigts encore pire pour ceux qui vous défendent. Mais c’est incroyable, des personnes qui se disent burkinabé avec leur famille au Burkina réagissent de cette façon ! Dieu vous rendra la monnaie de votre pièce !!!

  • Le 27 février 2015 à 08:18 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    – A ce jour, aucune inspection sanitaire, ni aucune analyse d’aucun laboratoire ne vient confirmer la toxicité des produits. La péremption de date ne signifie pas forcement que le produit concerné est impropre à la consommation et mortel.

    – En outre, la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation.

    Merci intervenants de 1:30 et 1:44.
    Ces avocats devraient essayer de se sauver eux-même au lieu d’essayer de sauver ce groupe OBOUF.
    Vu ces deux points que vous-même avez cité, ci-dessus, cela veut dire que volontairement OBOUF a trompé la vigilance du consommateur en changeant la date initiale de péremption pour mettre une autre date. Ce qui veut dire que volontairement vous prolongez la date de consommation de préférence. Tout en sachant aussi les conditions (température, pression, soleil, ...) dans lesquelles, ces produits étaient exposés, on imagine un peu les réactions chimiques qui ont pu se produire pour donner autre chose. Même si le labo national ne détermine pas de toxicité, OBOUF est coupable de falsification et mise à disposition du consommateur de faux. Juste pour de petits sous, vous empoisonnez des millions de burkinabè adultes et surtout enfants. Honte à vous.

  • Le 27 février 2015 à 08:21, par BILI-BILI En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    C’est lamentable ! "périmé ne veut pas dire toxique" , chers avocats, vous êtes méchants ! Franchement les cinq doigts vont faire perdre la dignité de certaines personnes.
    On pouvait comprendre si c était même des avocats étrangers qui raisonnaient de la sorte.
    Si vous êtes forts, défendez les dossiers Norbert Zongo et Sankara .

  • Le 27 février 2015 à 08:22, par SIID NOOMA En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Messieurs les avocats !!!!!
    1. Corrigez d’abord votre phrase :« Depuis quelques jours, la presse écrite, orale, et audiovisuelle fait échos...et si je ne trompe pas c’est :« Depuis quelques jours, la presse écrite, orale, et audiovisuelle FONT échos...
    2. Votre client OBOUF est en mission et il y a une affaire grave qui touche ses affaires dans son pays et il n’écourte pas sa mission pour rentrer et si c’était une affaire touchant sa propre famille ?
    3. Et depuis le 19/02/2015 que cette affaire est portée à la connaissance de la population et c’est maintenant que vous AVOCATS vous réagissez, vous étiez où ?
    4. Vous dites : A ce jour, aucune inspection sanitaire, ni aucune analyse d’aucun laboratoire ne vient confirmer la toxicité des produits vous non plus vous n’apportez pas la preuve que ces produits sont propres à la consommations.
    5. Et la présence de cette machine qui falsifie les dates vous n’en parlez pas !!!!!!!!

    Messieurs les avocats, préparer vos preuves pour défendre votre client à la justice afin qu’à la fin du procès vous recevez vos honoraires (millions) mais n’essayez pas de nous distraire. on se connait tous.

  • Le 27 février 2015 à 08:23, par Consommateur mécontent En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    il y’a des avocats qui défendent l’infendable. Garder ces propos lors de votre playdoirie. Quels sont les critères qu’OBOUF utilisent pour changer la DLC ou la DLUO. Est-ce que vous avez une autorisation écrite de Fanta ou Coca Cola ou autres pour apporter des modifications sur ces cannettes ? Si oui tant mieux, sinon vous faîtes de la contrebande.

  • Le 27 février 2015 à 08:23, par Bernadette En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Vraiment dommage pour ces avocats. Ce paragraphe écrit par ces messieurs dénote d’une malhonneté de leur part. En effet voici ce qu’ils écrivent :

    "En outre, la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation."

    Cherchez l"argent mais en ne défendant pas l’indéfendable. Comment pouvez vous dire qu’après la DLUO, le produit peut perdre son goût mais ne devient pas impropre à la consommation ?
    Alors dites pourquoi on doit indiquer la date de péremption ? Qu’un analphabète tienne un tel raisonnement, je peux le tolérer. Mais que des intellectuels de votre niveau tiennent un tel langage, c’est vraiment dommage.
    De grâce, respectez la santé des autres et ne ternissez pas l’image des honnêtes avocats.

  • Le 27 février 2015 à 08:24, par Rakiis Sida En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Les articles de lois que vous énumérez s’appliquent également aux consommateurs que nous sommes ! En Europe, les scandales les plus médiatisés sont ceux sur l’agroalimentaire : Viande de cheval, farine animale, vache folle etc... Un peux de tenue Me Tougma ! Gardez vos arguments pour les audiences à venir.

  • Le 27 février 2015 à 08:24, par Francky En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    S’il était honnête, il allait faire analyser les cannettes au laboratoire nationale et demander une autorisation pour changer les dates au lieu de le faire clandestinement. Mr les avocats, attention le peuple vous suit, les articles que vous citez là on les connaît. Alors....

  • Le 27 février 2015 à 08:24, par BLUCO En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Que deviendrait le produit après la falsification de sa date de péremption surtout si le groupe OBOUF à délibérément reconduit sur deux ans la nouvelle date sans autorisation du laboratoire national ni du fabriquant. Je pense que même si les analyses ne révèlent pas de toxicité au jour d’aujourd’hui, il y a lieu de voir quel effet les produits à date falsifiée auront sur la population à l’horizon 2016 ..... et quelle sera leur toxicité durant la nouvelle période de validité.
    je sais que les deux pauvres avocats sont payés avec l’argent mal acquis mais de grâce......

  • Le 27 février 2015 à 08:25, par geny En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    C’est de la diversion pure et simple !
    OBOUF a-t-il oui ou non importé des produits périmés ?
    Quelle est la valeur de la date de péremption ?
    C’est tout simplement criminel ce qu’il a fait, et cela pour des motifs scandaleux et ignobles : s’enrichir pour en plus narguer le pauvre citoyen lambda.
    OBOUF n’a pas à s’excuser. On n’a pas besoin de ses excuses hypocrites qu’il nous sert parce qu’on l’a pris la main dans le sac. Il doit juste payer... à la hauteur de son forfait.. et avec lui toutes les personnes complices.

  • Le 27 février 2015 à 08:26, par Nobga En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ces avocats sont entrain d’enfoncer leur client, pas plus ! Si les propres ne sont pas impropres à la consommation, qu’ils laissent les dates de péremption telles quelles.

  • Le 27 février 2015 à 08:27, par Sheiky En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ils préparent les esprits pour une IMPUNITÉ. C’est sûr que OBOUF est en train de travailler depuis l’extérieur pour préparer le terrain avant de rentrer au Pays sans être trop inquiété. La technique est de trouver un bouc émissaire ou un coupable de faible valeur pour blanchir le Principal Commanditaire.
    Pour moi c’est clair, tout ce qui touche à l’alimentaire et la santé ne doit souffrir d’aucun compromis. Aucun argument juridique ne peut effacer le risque et les effets d’une cupidité morbide sur une population déjà fragile dont la santé et la pitance relève quotidiennement de la Volonté Divine. C’est UN des véritables tests de la Transition pour Kafando et son acolyte Zida. Pour ceux qui ont bien connus certains dossiers dans le passé et leur dénouement (sans vouloir les citer), on se demande si vraiment RIEN NE SERA PLUS COMME AVANT. Pour le moment, on a été bien médiocrement servis par nos dirigeants de cette Transition.
    Que DIEU sauve le FASO.

  • Le 27 février 2015 à 08:28, par TIENFO En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ah les avocats. Les jeux de mots. On vous comprend. Faites votre boulot et prenez vos honoraires. Moi j’estime que votre communication est claire. Il y a acte illégal. C’est comme si vous disiez qu’en circulation, le non-respect du code de la route n’est pas un délit s’il n’y a pas eu accident mortel. Éviter d’être ridicule à la limite dans cette affaire nauséabonde de cannettes périmées. Le véritable problème du Burkina se situe au niveau de sa justice. C’est cette justice à plusieurs vitesses qui a été à l’origine de toutes les calamités à l’origine des événements des journées des 30 et 31 octobre dernier. L’expression consacrée étant : « on fait et y a rien ». Heureusement que le président Blaise et clan constitué essentiellement d’ « avocats » et de « juges acquis » en ont appris à leur dépend.
    J’espère que le groupe OBOUF fera aussi l’amère expérience. Vivement que les états généraux de la justice tant attendus accouchent d’un « bébé » digne de nos espoirs. Plus rien ne sera plus comme avant. Et ça vous le savez bien chers avocats et il est temps d’en tenir compte dans la défense de vos clients. Aucun procès ne sera plus conclu à l’avance autour d’un verre de « bon vin » avec ses effets de rires à gorge déployée. Je suis pleinement d’accord avec vous quand vous avancez les termes de l’article 1er de la constitution. « Tous les Burkinabè naissent libres et égaux en droits. Tous ont une égale vocation à jouir de tous les droits et de toutes les libertés garantis par la présente constitution… ».

  • Le 27 février 2015 à 08:31, par abass En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mes frères avocats, avec tout le respect que j’ai de votre métier, vos texte de référence sont vraiment bien indiqués pour punir le groupe Obouf. Il ’y a d’abord flagrant délit, l’acte posé n’est plus une question de concurrence, c’est un crime que ce Groupe et peut être vous associés avocats avaient commis. Dieu seul connais la quantité de ce poison que votre client et vous même êtes entrain de protéger. individuellement combien de canette votre client vous donne pour chaque fête, et que vos visiteurs, vos parents directs et indirects, toute votre famille, des collègues, nous tes voisins de quartiers et surtout les amis de tes enfants, ont tous consommer, je pense que tous les burkinabé devraient porter plainte contre ce criminel de OBOUF. NOUS ALLONS DEMANDER au laboratoire de lister les maladies qui peuvent derivées de la consommation de ces poisons avant de déposer notre plainte.

  • Le 27 février 2015 à 08:32 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    MAIS VOUS vous entendez parlez ?????? être les avocats du diable ne signifie pas nous sortir des sornettes comme raisonnement. c’est pas toxiques ?? le gout a changé ? justement est ce que le consommateur en achetant ce produit périmé qu’obouf a certainement eu à vil pris et qu’il revend au prix normal aux consommateurs ceux ci savent de prime abord que le gout d ce qu’il achète a changé du fait qu’il est périmé ?? êtes vous les fabricants des produits que vous vendez ou expert scientifique pour savoir que les produits périmés ne sont pas toxique ? et même si à quoi rime de changer les dates alors !!!!!!!!!!! fallait les y laisser et donner le libre choix (comme nous naissons égaux) aux consommateurs de choisir ce qu’il consomme

  • Le 27 février 2015 à 08:37, par POUTINE En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    bjr chers internautes

    A ces deux avocats je dis :
    N’insultez pas l’intelligence du peuple

    POUTINE , LA RUSSIE AVANT TOUT

  • Le 27 février 2015 à 08:38, par Le disjoncté En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Regardez moi ces avocats acquis et corrompus, ils étaient eux même au courant de ce que fait le groupe OBOUF puisqu’ils mangent ensemble et sen foutent de la santé du peuple. Si non pourquoi ils n’ont pas dit à OBOUF que empoisonner le peuple est un crime, et maintenant on commence à sortir des articles qui protègent le criminel.
    "A ce jour, aucune inspection sanitaire, ni aucune analyse d’aucun laboratoire ne vient confirmer la toxicité des produits. La péremption de date ne signifie pas forcement que le produit concerné est impropre à la consommation et mortel".

    – "En outre, la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation". Vous êtes ridicules, si vous voulez défendre votre client, défendez le mais évitez d’insulter la conscience du peuple, c’est ça qui à emporter le CDP et ses acolytes

  • Le 27 février 2015 à 08:39, par Oun du Faso En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Donc vous pensez que les fabricants de ces produits ne connaissent rien en denrées alimentaires ou autres et c’est un passe-temps ou un loisir pour eux de mentionner des dates de péremption. Pourquoi falsifier les dates ? c’est criminel ! Cher avocat, il ne faut pas nous divertir. il a commis plusieurs infractions. Les tests de ces produits périmés permettront ou pas aggraver sa sanctions.

  • Le 27 février 2015 à 08:40, par Warrior’s En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Chers Maîtres. Vous semblez étaler des dispositions constitutionnelles que vous ne maîtrisez pas. Les faits sont là et auncune disposition constitutionnelle ne dit qu’un citoyen a le droit d’Oboufuser, d’empoisonner l’autre. Naître libres et égaux en droit signifie, au sens de notre Constitution, que : ’’il est garanti à tout Burkinabè des libertés et des droits que le citoyen est libre d’exercer ou non, mais dans le respect des libertés et des droits de l’autre". La présomption d’innocence, d’accord. Alors, dites-nous les motivations du Groupe OBOUF à changer les dates. Falcification de date : juridiquement contreindiquée. Mais "le changement de goût des produits arrivés à expiration" dont vous faites cas dans votre écrit peut vous condamner vous-mêmes Conseils de OBOUF. Depuis combien de temps consommons-nous vos produits périmés et falcifiés ? Quelle est le niveau de dangerosité et de toxicité de ces produits ? Quels effet sur l’organisme humain ?
    Je vous rappelle aussi que les informations qui sont données par les agents ne sont pas secrètes. Vous voulez dire qu’il y a violation du secret professionnel ? Revisitez vos cours de droit, les obligations de morale professionnelle et vous comprendrez que vos éléments de défense ne tiennet pas la route. Les populations que vous empoisonnez doivent être informées de vos dérives assassines. Vous êtes pris en flagrant délit de fraude, de falcification voire de contrefaçon et vous étalez vos platitudes sur le net. Arrêtez vos conneries.

  • Le 27 février 2015 à 08:43, par Oun du Faso En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Donc vous pensez que les fabricants de ces produits ne connaissent rien en denrées alimentaires ou autres et c’est un passe-temps ou un loisir pour eux de mentionner des dates de péremption. Pourquoi falsifier les dates ? c’est criminel ! Cher avocat, il ne faut pas nous divertir. il a commis plusieurs infractions. Les tests de ces produits périmés permettront ou pas aggraver sa sanctions.

  • Le 27 février 2015 à 08:46, par Kabaco En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Me Tougma, est-ce que vous êtes sérieux en déclarant que "la péremption de date ne signifie pas forcement que le produit concerné est impropre à la consommation et mortel". Je suis étonné qu’un avocat fasse l’étalage de ses carences dans le domaine sanitaire. Je suis d’accord que le groupe Obouf soit votre client et que vous le défendiez mais de grâce épargnez-nous de vos inepties car vous aggravez son sort auprès de l’opinion publique Maître. Je vous conseille de rester dans le domaine législatif au lieu de vous hasarder dans ce que vous ne maîtrisez pas.

  • Le 27 février 2015 à 08:48, par MALIK TRAORE En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mr Tougma et Mr Ouattara, je doute de votre probité morale. Vous êtes aussi de la santé en disant haut et fort que ces produits ne sont pas forcement impropre à la consommation ?
    Je suppose que vous êtes chefs de famille, et que dirons demain vos enfants en lisant ces propos. Je pense que la prochaine révolte de la population ciblera les avocats et les magistrats inconscients. En réalité, les problèmes du Burkina qu’on connait aujourd’hui provient en grande partie des ces deux groupes.

  • Le 27 février 2015 à 08:49, par Objectivité En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Vraiment, quand on veut défendre le diable c’est toujours comme cela. On trouve des arguments à dormir débout. Consciencieusement vous mêmes n’allez pas consommer un produit dont la date de péremption est dépassée. Le fabricant a-t-il écrit sur les boîtes que le produit peut être consommé après la date de péremption ? Donc n’allez pas chercher des risques pour des populations inutilement. Avez-vous contacté le fabricant qui vous a donné l’autorisation de vendre ces produits ? C’est le fabricant qui vous a dit de changer les dates qui étaient sur les boîtes ? Si oui, le fabricant va répondre également.
    Quand on parle de justice les gens pensent qu’il faut passer par des contorsions pour avoir raison. C’est pourquoi les populations ont tendance à se faire justice. Ce n’est pas par des vomissures comme cela qu’on va défendre un fait aussi avéré ! Si des gens sont impliqués même les plus hautes autorités, dénoncez-les et justice sera rendue. C’est tout. Soyons toujours objectif dans ce que l’on fait.

  • Le 27 février 2015 à 08:51, par Burkibila En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Cet avocat est aussi criminel que son patron. Ils méritent tous la prison a vie.
    Nous peuple du Burkina on fera la justice dans cette affaire, si la justice ne fait rien.
    La révolution continue brave peuple du Burkina

  • Le 27 février 2015 à 08:52, par Burkibila En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Cet avocat est aussi criminel que son patron. Ils méritent tous la prison a vie.
    Nous peuple du Burkina on fera la justice dans cette affaire, si la justice ne fait rien.
    La révolution continue brave peuple du Burkina

  • Le 27 février 2015 à 08:53, par Hermino En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Comme les produits périmés ne sont pas toxiques, les avocats et OBOUF lui même n’ont qu’à se les partager et se purger avec.

  • Le 27 février 2015 à 08:55, par AS En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Bonjour,
    Le groupe OBOUF pourra être accusé de plusieurs choses :
    - tromperie des consommateurs. Personne n’achètera en connaissance de cause une boisson dont la DLUO est dépassée au même prix que celle dont la date n’est pas dépassée. En ma connaissance ces boissons n’étaient pas vendu moins chères que les autres.

    - Faux et usage de faux s’il est avéré qu’il a volontairement effacé les DLUO et en imprimer d’autres

    - Délit pour avoir importé volontairement des boissons dont la DLUO est dépassée

    L’argumentaire des Avocats ne tient donc pas. Il ne s’agit pas ici de savoir si un produit dont la DLUO est dépassée est impropre à la consommation ou pas, c’est le travail des experts de faire des tests après coup pour s’assurer de la toxicité ou non des boissons. Il s’agit ici d’une tromperie aggravée des consommateurs.

    A bon entendeur salut.

  • Le 27 février 2015 à 08:55, par biggest En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    je vois que ces avocats ne sont pas digne de leur metier. c’est normal de défendre une cause mais pas de cette façon. OBOUF aurait pu être défendu s’il ne falsifiait pas les dates de peremption. il peut y avoir des amateurs de ce qui est périmé a leur risque et péril. Je ne vois pas pourquoi des avocats peuvent vouloir défendre une cause aussi grave de cette manière. Je crois qu’il est rentré maintenant au pays le PDG. Sinon la transition va surgir.

  • Le 27 février 2015 à 08:55, par NIKIEMA JEAN-BAPTISTE En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mes chers maitres,vous êtes entrain de jouer avec la vie de millions de citoyens. Le patrons à reconnu son forfait et demande pardon au peuple et vous dites qu’il n’est pas sur que ses produits sont périmes ?Un produit périmé en 2012 et qu’on a essayait de nous les faire consommer en 2016 et vous nous dites que ce n’est pas sur qu’il soit périmé ?Cherchez d’autres bases de défense

  • Le 27 février 2015 à 08:58, par Adamou En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    je trouve que vous feriez mieux de vous taire respectez les consommateurs :
    primo disposent t’il d’un labo pour attester de la non toxicité ?
    deuzio est il légal de procéder de la sorte ?
    tercio pourquoi changer les dates si cela ne temoigne pas d’une volonte manifeste de tromper le consommateur
    Enfin respectez nous taisez vous présumés innocents ,mais ya t’il une seule choses declaree dans la presse que vous infirmez ?
    Vous nous dites mon client est tricheur certe mais le produit peuvent ne pas etre toxiques.
    Qu’il rentre car le respect des Burkinabes prime sur toute mission.On est ou la ?

  • Le 27 février 2015 à 09:04, par MARE En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    C’est vraiment dommage que de vouloir défendre une cause aussi sale que celle-là. Mais comme il faut bien vivre, je vous (les avocats du fraudeur) encourage à affuter bien votre argumentation, car en face vous aurez également des avocats qui défendront la cause des populations dont vous et vos n’appartiennent certainement pas.

  • Le 27 février 2015 à 09:04, par justicier assoiffé En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    je n’ai mème pas le temps de répondre a des insanités d’avocats des causes perdues. il faut ètre malade pour prétendre defendre un tel dossier macabre.
    c’est la colère de Dieu qui s’abattra sur ces OBOUF et complice.tchourrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !

  • Le 27 février 2015 à 09:08 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    des avocats impropres à la consommation et toxiques pour la justice burkinabè

  • Le 27 février 2015 à 09:19 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Au lieu de s’en prendre au diable et à ses avocats faisons embargo sur tous les produits obouf et large diffusion chacun en direction de son village pour préserver nos pauvres parents ignorants et innocents surtout en ces temps de funérailles mariages et autres cérémonies. A OUAGADOUGOU le message est passé sauf ceux qui veulent se suicider. Pitié pour les détaillants de ces produits qui avaient déjà fait leur approvisionnement .

  • Le 27 février 2015 à 09:20, par way En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Quelle honte pour ces soit disant avocats ! Pourquoi les Burkinabè ont perdu leur intégrité ? Hier nuit à la RTB, c’était pareil ; chaque structure invitée (douane, laboratoire national, ministère du commerce) cherchait à se couvrir. Les faits sont déjà avérés, aillez au moins le courage de reconnaitre que vous avez tors et cherchez à dédommager les victimes. Vous, avocats, vous accepterez jamais consommer ces boissons. C’est votre rôle de démontrer que la couleur noire peut être blanche mais faites attention à certaines affaires. On n’a pas besoins que vous nous récitez ces articles.

  • Le 27 février 2015 à 09:23, par M’gouakou En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    La constitution est les autres textes de droits ne donnent-ils pas de droits aux consommateurs ? Dans quels cas vous devez également les opposer aux articles que vous citez pour essayer de nous faire avaler la couleuvre. La défense est un droit pour un justiciable mais les hommes de droit que vous êtes doivent bien choisir les articles de défense pour ne pas paraître comme des avocats du diable. qu’est ce que vous en savez sur la DLUO. Ne vous aventurez pas sur un domaine qui n’est pas le votre. Pour une affaire aussi dangereuse que celle là, le silence sert mieux que ces genres de réactions.

  • Le 27 février 2015 à 09:24, par Benaocyn En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Dans plusieurs affaires de ce genre, j’ai suivi des avocats, comme les signataires de cette mise au point, développer des théories et thèses, et quand je suis rentré, j’ai passé la nuit à prier le bon Dieu afin qu’il éloigne de toute ma progéniture l’envie de devenir avocat. Messieurs les avocats, ce qui s’est passé s’appelle crime contre l’humanité. Ces boissons périmés ont été distribuées dans des grandes surfaces, des petites et grandes boutiques, à travers tous le territoire national, consommées par des burkinabé et des non burkinabé. La solidarité dans le malheur est louable, mais celle dans le mal est exécrable.
    Vous dites : "
    A ce jour, aucune inspection sanitaire, ni aucune analyse d’aucun laboratoire ne vient confirmer la toxicité des produits. La péremption de date ne signifie pas forcément que le produit concerné est impropre à la consommation et mortel ... En outre, la DLUO mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation"
    VOILA LE GENRE DE PERSONNES QUI ALLUMENT LE FEU A TRAVERS DES DÉCLARATIONS PEU RÉFLÉCHIES DE CE GENRE, FEU QU’ILS SONT INCAPABLES D’ÉTEINDRE.
    "Nous notons qu’étant dans un État de Droit où la présomption d’innocence est un droit acquis, ... ". Sans blague : prendre quelqu’un la main dans le sac et parler de présomption d’innocence ! Ici, ce sont les circonstances qui peuvent être présumées atténuantes ou aggravantes. Pour le cas spécifique du Burkina, certains faits, certaines pratiques militent même en faveur d’une loi sur "LA PRÉSOMPTION DE CULPABILITÉ"
    " L’article 11 du code de procédure pénale dispose .... la procédure au cours de l’enquête et de l’instruction est secrète..." J’ESPÈRE QUE LA LOI VA DISPOSER AUTREMENT ICI. COMMETTRE CE GENRE DE CRIME ET PARLER DE SECRET D’INSTRUCTION !
    Heureusement les avocats des causes justes, de la veuve et de l’orphelin, des pauvres sans voix que le genre OBOUF empoisonne pour de l’argent, ces avocats-là donc, m’ont amené à revoir mon souhait pour mes enfants. Que Dieu guide ceux qui choisiraient cette profession, vers et dans la défense des causes justes et nobles.

  • Le 27 février 2015 à 09:28, par YAAKO En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Hey allah ! Avocats, A l’impossible nul n’est tenu. Cette mise au point laisse perplexe plus d’un. Surtout quand vous empruntez l’échelle de l’hyène pour défendre l’indéfendable. "Ça sent mais ce n’est pas pourri" dit l’hyène. "C’est périmé mais ce n’est pas toxique" dit les avocats.
    Bonne gens, si la morale a foutu son quand, qu’allons nous faire avec tous les articles dont ils font allusion ? Au secours !

  • Le 27 février 2015 à 09:32, par le découragé En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    peuple Burkinabè, attendons un mois pour voir la réaction des autorités et de la justice.si rien n’est fait, sortons massivement comme lors de l’insurrection et montrons aux autorités comment elles devaient agir.les les voleurs, les criminèls, les complices et leur marchandises (poison) doivent partir en fumer. accordons les un delai de un mois encore.

  • Le 27 février 2015 à 09:34, par Tardivement En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ces avocats font leur travail, ils ont étudiés et été formés pour ça. C’est un sujet qui va les occuper. Ils mangent dans ça. Comment ils vont faire ? C’est leur droit de défendre une affaire à eux confier. Maintenant, c’est l’issue qui compte. S’il ont des d’arguments, ils vont atténuer les peines de ce Groupe.

  • Le 27 février 2015 à 09:41, par VERGES En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    "NE MO AUDITUR TURPIDINANEM ALEGNANS" autrement dit "nulle ne peut se prévaloir de ses propre turpitude" ; le seule fait d’avoir effacer les date de péremption pour en apposer de nouvelles constitue un délit ; et vouloir s’en prévaloir aux motifs que la date limite de péremption indiquer ne signifie rien , n ’a pas de sens et ne saurait tenir la route ; dans quel but répondait l’apposition de nouvelles date de péremption sur les canettes ? n’étais ce pas dans le but de mettre lesdits produits sur le marché local ? et quelle est la quantité de ces cannettes déjà déversé sur ce marché ? depuis ce matin dans des quotidiens de la place des commerçants affirme déjà détenir ces cannette provenant du stock incriminé qui serai dans leur magasin a Ouagadougou et demande même des dédommagement....WAIT AND SEE....

  • Le 27 février 2015 à 09:42, par C En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Il y a lieu de vérifier si ces deux avocats étaient au courant de l’activité de leur client consistant à modifier les dates de péremption ou pas. Tout porte à croire qu’ils sont complices et ont peut être contribué à la mise en place de ce système. Ils semblent s’y connaître en toxicité et auraient pu conseillé le PDG d’OBOUF qui lui, n’a pas fait l’école aller loin comme on dit.

  • Le 27 février 2015 à 09:43, par ouedraogo En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Maître Jean Charles TOUGMA et Maitre Yacoba OUATTARA ne sont-ils pas des enfants de NABA KIIBA ? Il y a des traits qui ne trompent pas.

  • Le 27 février 2015 à 09:46, par burkindi En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    je suis vraiment choqué par ce qui s’est passé. Quand les enfants des ces avocats du diable mourront de cancer et d’insuffisance rénale, ils comprendront enfin qu’un produit alimentaires périmés est impropre à la consommation. Continuez à vous justifier car ce qui importe pour vous c’est les feuilles.

  • Le 27 février 2015 à 09:48 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    C’est ça l’image de notre justice. On est prêt à piétiner le pauvre pour de l’argent. ils ne sont pas les seuls. Combien de cabinet d’avocats pataugent dans cette merde. Que Dieu vienne à notre secours

  • Le 27 février 2015 à 09:49 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    N’importe quoi, vous faites honte à la nation entière, vous, avocats du diable.
    peut-on savoir où vous aviez fait vos études ? quels diplômes avez vous pour vous permettre de défendre l’indéfendable ? prouvez à la population que ces poisons, pardon ces boissons, ne sont pas toxique en les consommant devant tout le monde.

  • Le 27 février 2015 à 09:49, par Benaocyn En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Dans plusieurs affaires de ce genre, j’ai suivi des avocats, comme les signataires de cette mise au point, développer des théories et thèses, et quand je suis rentré, j’ai passé la nuit à prier le bon Dieu afin qu’il éloigne de toute ma progéniture l’envie de devenir avocat. Messieurs les avocats, ce qui s’est passé s’appelle crime contre l’humanité. Ces boissons périmés ont été distribuées dans des grandes surfaces, des petites et grandes boutiques, à travers tous le territoire national, consommées par des burkinabé et des non burkinabé. La solidarité dans le malheur est louable, mais celle dans le mal est exécrable.
    Vous dites : "
    A ce jour, aucune inspection sanitaire, ni aucune analyse d’aucun laboratoire ne vient confirmer la toxicité des produits. La péremption de date ne signifie pas forcément que le produit concerné est impropre à la consommation et mortel"
    En outre, la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation"
    VOILA LE GENRE DE PERSONNES QUI ALLUMENT LE FEU A TRAVERS DES DECLARATIONS PEU REFLECHIES DE CE GENRE, FEU QU’ILS SONT INCAPABLES D’ETEINDRE.
    "Nous notons qu’étant dans un Etat de Droit où la présomption d’innocence est un droit acquis, par conséquent toutes allégations contraires n’engagent que leurs auteurs". Sans blague : prendre quelqu’un la main dans le sac et parler de présomption d’innocence ! Ici, ce sont les circonstances qui peuvent être présumées atténuantes ou aggravantes. Pour le cas spécifique du Burkina, certains faits, certaines pratiques militent en faveur d’une loi sur "LA PRESOMPTION DE CULPABILITE"
    L’article 11 du code de procédure pénale dispose « sauf dans les cas où la loi en dispose autrement et sans préjudice des droits de la défense, la procédure au cours de l’enquête et de l’instruction est secrète. Toute personne qui concourt à cette procédure est tenue au secret professionnel dans les conditions et sous les peines prévues par les dispositions du code pénal relatives au révélations de secrets »." J’ESPERE QUE LA LOI VA DISPOSER AUTREMENT ICI. COMMETTRE CE GENRE DE CRIME ET PARLER DE SECRET D’INSTRUCTION !
    Heureusement les avocats des causes justes, de la veuve et de l’orphelin, des pauvres sans voix que le genre EBOUF empoisonne pour de l’argent, ces avocats-là donc m’ont amené à revoir mon souhait pour mes enfants. Que Dieu guide ceux choisiraient cette profession, vers et dans la défense des causes justes et nobles.

  • Le 27 février 2015 à 09:52, par Benaocyn En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ah, j’allais oublier. Messieurs les juges, quand le procès va commencer je vous supplie d’ordonner qu’il soit servi trois repas par jour au Conseil d’OBOUF et aux personnes impliquées dans ce crime, repas composés essentiellement de leurs produits périmés. Et ce, pendant toute la durée du procès. Les avocats défenseurs d’OBOUF vont bien BOUFFER pour bien défendre le groupe ’ONBOUFFE pendant que la population se meurt de maladies inconnues’

  • Le 27 février 2015 à 09:56, par Mba Yeongo En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Au secours. Moi je voudrais qu’on m’aide à qualifier ma plainte contre ces avocats qui se sont rendus complices de tentative de duperie et d’intoxication alimentaire. Sauvez Obouf et noyez-vous, car on n’a pas l’intention de vous laisser continuer dans ces logiques criminelles pour le consommateur. Y a-t-il un barreau, un ordre des avocats pour rappeler ces brebis galeuses à l’ordre ? De quel droit provoquent-ils le consommateur abusé ? Juste ciel. Je lance un appel au consommateurs de tous bords pour déposer plainte, non contre Obouf, mais contre les avocats Tougma et Ouattara. Secouons-nous pour réserver une suite judiciaire à ces provocateurs de la défense diabolique !

  • Le 27 février 2015 à 09:57 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    L’article 1er de la Constitution du Burkina Faso que vous évoquez concerne aussi les rapports d’OBOUF a à l’endroit des autres Burkinabés « … Tous ont une égale vocation à jouir de tous les droits et de toutes les libertés garantis par la présente constitution ». Messieurs les avocats, lorsque j’achète les produits incriminés, je le fais aussi pour leur goût. J’ai le plein droit de me plaindre parce qu’OBOUF n’a pas respecté mon droit à consommer un produit de mon goût. De plus, vous mettez l’accent sur la forme de la procédure, c’est bien, n’empêche que le problème de fond c’est qu’il existe bel et bien une volonté de tromper, de duper, de s’enrichir au détriment de la santé et de la vie d’autrui.

    Par ailleurs, en évoquant l’article 41 de la loi n°15/94 ADP du 05 Mai 1994, modifiée par la loi n°33-2001 du 4 décembre 2001 portant organisation de la concurrence au Burkina Faso, vous semblez bien plus préoccupés par la place qu’occuperont vos concurrents que par les questions de santé et de vie des millions de Burkinabés.

    Pour terminer mes chers avocats, je ne comprends pas ‘‘gros français’’ mais étymologiquement périmer du latin « perimere » veut dire (« détruire »). En cuisine, puisqu’il s’agit d’un produit alimentaire, périmer veut dire devenir impropre à la consommation. Affaire à suivre !

  • Le 27 février 2015 à 09:58 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF


    Soyons sérieux ; il ne faut pas que Obouf s’amuse avec la vie des citoyens ; les dates de péremption sur les produits ne sont pas que des simples écritures, c’est un moyen de prévention et d’alerte . Je peux déjà imaginer ce que ces deux avocats projettent à l’ issue de cette affaire : construire des duplex et etc au détriment de la santé des populations ; Si vous estimez que ces boissons ne sont ni nuisibles ni mortelles pour les consommateurs, je pense qu’il faille laisser le choix aux consommateurs de prendre la décision de les payer en connaissance de cause et en toute conscience. Pourquoi changer alors la date de péremption ? N’est-ce pas un moyen de tromper le consommateur sur la qualité du produits ?
    N’est-ce pas un moyen de s’enrichir illicitement ? N’est-ce pas un moyen de nuire volontairement à la santé des populations ? N’est-ce pas un moyen de vous moquer de l’ignorance de certains consommateurs ? N’est-ce pas un moyen de montrer que notre laboratoire national de santé public ne fait pas son travail comme il se doit ? N’est-ce pas un moyen de montrer que la Ligue des consommateurs n’est pas compétente ? N’est

  • Le 27 février 2015 à 09:58, par Sidbewende En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Chers avocats soyez serieux. Nous vous comprenons. Il faut justifier vos honoraires vis a vis de votre client. Mais j’espere du fond du coeur que vous n’etes pas convaincu de ce que vous dites . Si c’etait le cas je crois que vous aussi vous devriez etre surveille de tres pres .Si vous etiez au courant des agissements de votre client c’est que vous aussi vous avez un serieux probleme. Nous avons tous des droits certe mais votre client a t il le droit de falcifier des dates de peramptions de produits alimentaires qui peuvent nuire a la sante des populations. Meme vous vous avez consomme de ces cannettes. Prennez votre argent et mourrez avec nous.Si vous dite qu’aucun laboratoire n’as prouve la toxicite de ces produits alors pourquoi vous ne faite pas le contraire en donnant des resultats qui nous rassurent. Dans tous les cas des echantillons ont ete envoye pour analyse. Nous attendons avec impatience ce resultats.
    Blaise est responsable des nombreux problemes dans ce pays. Votre client portera la responsabilite du probleme de sante publique de ce pays. Vive la richesse d’un individu au detriment de la sante de millions de personnes si l’on considere les autres pays ou ce criminel est implante. Vous defendez un homme qui vous tue a petit feu. Quelle tristesse ?!!!

  • Le 27 février 2015 à 10:00, par youssouf OUEDRAOGO En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    laissez-vous dedelirer . les produits COCA en Afrique , mm si ç fabriqué aujourd’hui ; ce sont des TOXIQUES. Renseignez vous svp, mes chers...........et laissez d’aboyer car, si Nous avions compris SANKARA de ’’ CONSOMMER BURKINABE, et PRODUISONS CE QUE NOUS CONSOMMONS’’ Cela n’allait plus plus arriver. On valorise ces produits Gazeux importés au detriment de Notre Cher BISSAP. très, tres , très.................je ne sais pas quoi quaifier car ç doux dddddddééééééééééé !

  • Le 27 février 2015 à 10:03, par un Indigné En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    "Nous notons qu’étant dans un État de Droit où la présomption d’innocence est un droit acquis, par conséquent toutes allégations contraires n’engagent que leurs auteurs.Il convient de s’en référer aux textes de lois suivants pour comprendre les droits fondamentaux qui méritent d’être respectés dans le cadre de cette procédure " :
    Cependant, ces avocats oublient que dans ces même textes de lois, le droit à la vie est aussi mentionné, en l’occurrence dans la constitution qui est la loi fondamentale.
    A les lire, ils souhaitent qu’OBOUF tue des innocents pour qu’eux gagnent leur pain. que c’est criminel ça. A mon avis l’ordre des avocats doit retirer le droit d’exercer le métier à ces 2 bandits de grands chemin. Que Dieu vienne à notre défense. Amen

  • Le 27 février 2015 à 10:04, par par un grand consomentaire En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    on sait ce qui se passse il faut que la justice fait son travail on ne peut pa admettre qu’une societe met en peril la vie de tout un un pays et n’est pas etre poursuivit.les avocats meme si vous cherché largent refflechissez un peut ne raisonnez pa comme des encephalopate au moins vous avez ete a l’école e je pense que vous avez apris beaucoup .

  • Le 27 février 2015 à 10:04, par Badra En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Regardez-vous maintenant dans un miroir après un tel raisonnement truffé de platitude. Je vous pleure chers avocats du diable. N’allons pas chercher loin le diable. Les voilà. La Constitution ne prône pas, en aucun de ses articles le faux et l’usage du faux, l’escroquerie et le mensonge, etc.... C’est bien de cela qu’il s’agit : effacer les dates de péremption et les remplacer par de nouvelles dates pour tromper les consommateurs sur la qualité des produits vendus. Au Qatar par exemple (événement impossible de se réaliser là-bas tant la question alimentaire est une question hautement stratégique et scrupuleusement suivie avec la plus grande attention), vous et le responsable de OBOUF seriez déjà entrain de méditer votre sort en prison avant qu’une sanction exemplaire ne tombe. Comment défendre un tel dossier, il y a la déontologie dans tous les corps de métiers quand même.

  • Le 27 février 2015 à 10:04 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Quelle genre de mission Oubouf peu bien aller faire a l’esterieur du paye ? les missions sale comme affaire de cannette, ne vous foutez pas mal des gens. vous met la vie des gens en périls et vous racontez de la salade, vous, les avocate, je sais que vos poches sons remplie actuellement des million pour le défendre mais si vous ne faite pas attention vous n’aller pas bouffer ces millions on va les utilise pour vos fine-railles n’es port quoi. est que vous aviez crie la vie et vous les enlevé comme - sa Dieu vous punira sévèrement nous somme pas des moutons même les montons on du respect qu’il Lesse ces salle mission et qu’il rentre, c’est par ce qu’on vous a laisse que vous raconter des épilepsies vous n’aller pas sans-ortie comme-sa. même si la justice terrestre ne fait pas son bouleau , la justice de Dieu est la et il bien plus claire, en un clin deuil seulement et c’est fait.

  • Le 27 février 2015 à 10:07, par SIDNOMA En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    BALIVERNE ! Pauvres avocats ! Vous défendez mal votre client. Il ne suffit pas d’aligner des articles pour gagner un procès. Ressaisssez-vous.

  • Le 27 février 2015 à 10:08, par Maiga En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    faut il en rire ou pleurer non mais vous nous prenez pour qui allez y défendre votre criminel de client devant la barre pas dans les journaux n’importe quoi vous faites honte a votre profession et même a votre pays trouvez autres arguments vous faites votre job ok mais mais montrez a l’opinion que vous n’êtes pas la par hasard c’est périme mais pas impropre a la consommations des intellectuels de surcroit des avocats qui s’exprime ainsi ahhh sid ya yelle

  • Le 27 février 2015 à 10:08, par Consommateurs En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Vous les Avocatiers de OBOUF là ! Vous n’allez pas arrêté de parler PATAPATA comme ça. C’est du sérieux là ! Pourquoi avoir tricher ?

  • Le 27 février 2015 à 10:20, par Mohamed KABORE En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    le silence n’a jamais fait de mal à personne alors .....! Il semble important de rappeler à aux sieurs Avocats de ne pas mettre de l’huile sur le feu. Ils vont finir par envenimer la situation avec ce genre de propos. vous n’êtes pas sans savoir que la soif de justice du peuple est à un point ou’ toutes choses pourrait allumer un brasier et pour conduire à divers types de manifestations et des casses. le simple faites que vous évoquez ces clauses de la jurisprudence montre que vous avez un fond de dossier qui vous permet d’avoir une certaines clémence de la cour pour vos clients mais cela ayez au moins un minimum d’humanisme gardez le silence sur votre affaire cela vous serait préférable.
    Ils ont abusé de la confiance des consommateurs, pratiquer le faux et usage de faux, peut être même atteint à la santé du peuple vous aussi un minimum de respect je vous implore de vous taire à la fin et de Nous laisser continuer à rêver d’une Justice dans notre Pays
    Qu’Allah nous vienne en aide.

  • Le 27 février 2015 à 10:22, par yamsoba En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    ces amateurs viennent de se condamner en reconnaissant la falsification des dates de péremption. si l’etat accepte prendre l’argent contre un procès sur le dos des insuffisances renales des gens, je suis sûr que les patriotes ferons ce qu’ils ont à faire

  • Le 27 février 2015 à 10:24, par jys En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mrs OAUTTARA et TOUGMA, dites-moi, quelle sera votre réaction si vous vous présentez dans une pharmacie avec une ordonnance et le pharmacien vous vend un médicament périmé et vous dise que "c’est périmé mais ce n’est pas toxique". Achèterez-vous ce médicament pour votre enfant ? Faites attention ; c’est à cause de vous autres que les états généraux de justice se justifient !
    A mes collègues pharmaciens, nous avons deux potentiels avocats pour nos péremptions : ils se proposent de défendre l’indéfendable ces avocats toxico-péremptologues !

  • Le 27 février 2015 à 10:25, par Le justicier En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je suis très très indigné par le comportement de ces soit disant "Avocats". Il ne faudrait pas avoir le ventre plus gros que les yeux. OBOUF vous a envouté ou quoi, ou bien repartez remettre vos diplômes à qui de droit. Leur attitude devrait les faire rayer du Barreau.

  • Le 27 février 2015 à 10:27, par GYG En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mes chers avocats, pourquoi mettre de l’huile sur le feu ?
    J’espère que vous avez mis vos familles en lieu sure.

  • Le 27 février 2015 à 10:31, par SIDZABDA En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Menteurs !
    On va vous gérer avant OBOUF. Vous n’avez rien à dire même, sinon vous n’allez pas parler des articles qui dit protéger qui que ce soit. Corrompus avocats

  • Le 27 février 2015 à 10:31, par L’expert En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je pense que ces avocats doivent être sur le banc des accusés en tant que complices. Avec ces propos qu’ils tiennent, ce sont eux surement qui auraient induit en erreur le Groupe OBOUF en leur rassurant sur la faisabilité d’un tel crime. Ils se prennent pour les chargés de communication du Groupe OBOUF apparemment sinon s’ils avaient été un peu intélligents ils auraient pu occuper leur temps à préparer leur défense pour le procès à venir, c’est devant les juges, qu’ils doivent défendre leur client au lieu de s’aventurer sur un terrain qu’ils ne maîtrisent pas du tout et face à toute une population qu’ils veulent narguer, vraiment honte à ces avocats.

  • Le 27 février 2015 à 10:39, par Jus En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mrs les avocats, faites gaffe à vos propos impudiques. Yaa ya bouin !!!!!

  • Le 27 février 2015 à 10:42, par Nobila En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Cette doit être au contraire portée à la connaissance du grand publique puisqu’il était la première victime.Peur être il ya bien longtemps l’on en consommait et on en mourait. ces avocats ne peuvent pas prétendre connaître le droit.je suis particulièrement remonté à l’idée que j intoxiquais mes enfants avec mon propre argent et pendant ce temps des milliards coulaient à quelque part.

  • Le 27 février 2015 à 10:43, par Le connaisseur En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Dans certains pays on vous fusillera , Cher avocat-associés du diable , vos enfants consomment t’ils ces boissons ? Votre Metier est noble mais s’il vous plait quittez dans ça , le Jacques vergès et compagnie du Burkina . Est ce que vous avez mesuré la portée de ce crime , il s’agit de millions de canettes donc des Burkinabès qui sont concernés ,

  • Le 27 février 2015 à 10:44, par Vision Parfaite En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je viens de piquer une crise après lecture de la déclaration de ces avoocats en noires qui défendent un saint... SVP venez me sauver avec une cannette pardon avec un serum... Je vous félicites car vous etes la fierté pardon la honte des hommes intègres.
    Vous etes capable de transformer la vérité en mensonge et le mensonge en vérité. Mais DIEU est GRAND. Le peuple burkinabè vous laisse avec BOKO HARAM...

  • Le 27 février 2015 à 10:46, par les ratons sont de retour ... En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Chers Traites euh Me que diriez vous d’un petit changement de régime alimentaire par exemple consommer ne serais ce que pendant 1petit mois les produits périmés de votre client et après vos 1mois de régime on en reparle ok ?
    avocat sans foi ni loi un peu de pudeur quand même même si on dit que la morale a foutu le camp ce n’est pas une raison pour vous encourager la prostitution des avocats et vous laisser sodomiser sans gêne par le 1er venu pourvu qu’il vous graisse le fion ..tougma et ouattara vous n’emporterez pas vos millions en enfer ttchrrrrrr

  • Le 27 février 2015 à 10:46 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je savais que les avocats défendaient des causes(même si elles ne sont pas toujours nobles) mais après avoir lu la déclaration de ces deux, je pense qu’il faut ajouter les titres de Chimistes-Biologistes-nutritionnistes à ces deux avocats( les seuls à avoir cette qualification au Burkina, une nouvelle classe des avocats).On ne vous demandent pas d’aider les juges ou magistrats pour faire leur travail en reconnaissant de go qu’il a tort mais tout de même , un peu de retenu.

  • Le 27 février 2015 à 10:47 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    A ces soi-disant avocats, lorsque l’un de leur proche parent tomberait malade, qu’il leur donne des médicaments périmés avec des dates falsifiées. Ils se foutent de nous ces gars-là. C’est un poison qu’ils nous ont fait ingurgiter pendant longtemps. Il doivent payer pour ça. Connaissent-ils les conséquences des pates de tomate avariées ? Obouf doit payer à la hauteur de son forfait.

  • Le 27 février 2015 à 10:48, par YA YALEM En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Chers avocats,
    vous avez vu là où l’entêtement a conduit blaise et les siens
    vous avez vu ce qui est arrivé gilbert et les autres supporteurs de blaise dans le diable
    Donc, faites attention !!!

  • Le 27 février 2015 à 10:57, par NONGKOUNI En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Souvent j’ai du mal à comprendre les avocats.Le peuple veut comprendre pourquoi effacer les dates de péremption pour réimprimer de nouvelles dates ?Si c’est dans l’intention de tromper le consommateur, les juristes parleront de dol.Chers avocats du groupe OBOUF,on attend de vous les raisons de ce dol et en même les conséquences que cela peut entraîner.

  • Le 27 février 2015 à 10:57, par choquée En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je demande à tous les indignés et patriotes de mettre ensemble obouf tougma et ouattara et de les forcer à boire les jus périmés pendant 1mois ensuite on les purge avec ça et à la fin ils pourront bien défendre leur diable ..c’est juste pour permettre à ces avocaillons de tester réellement les bienfaits des produits vitaminés de leur client

  • Le 27 février 2015 à 10:58 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mais, on est où là ? C’est incroyable ce que je vois là !!! Vous nous prenez pour qui cher avocats ? Puisse que le délais péremption dépassé ne dit pas que le produit est impropre à la consommation, bien, approvisionnez vous et faites en ce que vous voulez, nous on en veux pas. C’est vraiment désolant de voir des prétendus intellectuels tenir de tels propos.

  • Le 27 février 2015 à 11:05, par Ninja Choc En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Qu’est-ce qui vous étonne chers internautes ? Avocat c’est pas quelqu’un qui a coeur wooo !!! c’est caillou qu’il y a à la place ! j’ai hâte de voir l’issue de cette affaire ! Oui, on est dans un Etat de droit...donc la présomption d’innocence doit être respectée. OK Ok ! mais Etat de droit où on piétine les droits des consommateurs vous en dites quoi ? chers "avocats des clients sales"

  • Le 27 février 2015 à 11:16, par Light En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Vous n’avez pas honte ? Comment. des gens qui se reclament du droit peuvent reagir de la sorte ? N’avez Vous pas encore compris que ce dossier n’est pas defendable ?avezc Vous deja oublié l’article 37 ? rectifiez vos. ecrits pendant que Vous le pouvez .si non les demons de la revolution ne vont pas Vous rater. mettez de cotes vos articles .a bon entendeur salu

  • Le 27 février 2015 à 11:26 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    DLUO,DLUO et puis quoi encore ? Les produits ne sont pas toxiques jusqu’à quelle date ? j’imagine que ces avocats diront jusqu’à consommation, puisqu’on ne sait pas combien de fois on peut modifier la date. Pauvres NEGRE !

  • Le 27 février 2015 à 11:29, par franchement En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    vous ne faites pas honneur à votre corps. franchement si en tant qu’ avocat vous n’avez que ces arguments pour la défense de ce démon, je suis content de ne point porter cette robe noire. honte à vous carrrrrrrisaa........

  • Le 27 février 2015 à 11:36, par zongo En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Ce qui est sur on verra si plus rien ne sera comme avant : dans le cas contraire la population se fera justice OBOUF basta............

  • Le 27 février 2015 à 11:39, par Le modéré En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Par écrit ces Avocats ne font ni honneur à leurs formateurs ni honneur à leurs écoles qui j’en suis sûr sont des meilleurs écoles avec de bons formateurs. L’argument développé ici ne tiendra pas devant aucun tribunal. Il est confirmé que la société OBOUF a trompé et était encore prête à tromper le consommateur en changeant les dates de péremption. Un appareil et quelqu’un commis à cette tâche ont bel et bien été trouvé sur les lieux. Pourquoi changer les dates si le produit n’est pas impropre à la consommation ? Si le goût est altéré après la date de péremption et OBOUF met le produit à la consommation, cela n’est-il pas une mauvaise publicité pour les marques de boissons ou les brasseries ? C’est à dire que les ennuis d’OBOUF peuvent ne pas se limiter au Burkina. Faites attention Maîtres car vous risquez de créer des ennuis plus gros à votre client.

  • Le 27 février 2015 à 11:40, par Rastafou En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Que l’autorité arrête ces foutus avocats qui jouent avec la vie des burkinabè, où est -ce que ces ci ont fait leur école.Un individu se permet d’intoxiquer tout un peuple et des chercheurs d’argent facile se permettent de s’exprimer ainsi

  • Le 27 février 2015 à 11:41, par Douce En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Avocats verreux. Si j’etais Ministre de la justice j’allais les deshabiller. C’est de la haute complicite. C’est comme si on arrete un terroriste avec une bombe pret a se faire exploser dans un marche et un soit disant avocat trouve le moyen de justifier son acte. Article... Article ??? Que vaut la liberte de ce PDG malhonnete face a celle de plus de 17 millions de citoyens ? Franchement je envoeux plus a ces 2 malades qu’a OBOUF lui meme.

  • Le 27 février 2015 à 11:41, par joe En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    OBOUF cherche avocat, ca la ce n’est pas bon avocat, ces avocats la vont plus t’enfoncer, ils n’ont pas argument pour te défendre.
    Le peuple burkinabé a changé y a longtemps

  • Le 27 février 2015 à 11:47, par Yelsolemde En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mr les avocats Tougma et Ouattara, si dans la recherche de votre pittance quotidienne vous etes appeles a avancer des arguments torpilles et contre nature pour votre malbouf, alors les croc-morts et les laveurs de cadavres valent mieux que vous car ils font du travail utile a la societe. Memes les prostituees vous devanceront au paradis car elles gagnent leur du plus sainement que vous. En realite, vous n’etes pas seulement les avocats du diable, mais les diables aux robes d’avocats.

  • Le 27 février 2015 à 12:01, par gringo En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    On aura tout vu dans ce pays ; je n’ose pas croire que ce sont des avocats qui s’expriment à travers cet écrit ; ces avocats-là n’ont pas fait "droit" mais "gauche".
    Une règle de bienséance veut que quand on a rien à dire, on se taise.
    L’ordre des avocats devrait protester et désavouer publiquement ces confrères médiocres qui en réalité ne sont que des escrocs.
    "En outre, la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation."
    POURQUOI DONC LA CHANGER ?
    En plus d’être médiocres vous êtes tristes et vous faites honte à votre race. Conseils du groupe OBOUF ? c’est à croire que vous avez toujours été payés à ne rien faire et sans doute que c’est vous qui êtes par vos mauvais conseils responsable du crime de cette société car il s’agit bien d’un crime qui va passer aux assises et pas en correctionnel.

  • Le 27 février 2015 à 12:05, par zongo10 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Avocats, ce n’est pas tous les dossiers qu’on défend. vous allez avoir votre argent mais votre réputation ????
    je me rappelle une fois que j’ai bu ces canettes la.
    OBOUF n’ a pas le droit de prendre une seconde de ma vie

  • Le 27 février 2015 à 12:05, par CBB En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Il y a lieu de vérifier si ces deux avocats étaient au courant de l’activité de leur client consistant à modifier les dates de péremption ou pas. Tout porte à croire qu’ils sont complices et ont peut être contribué à la mise en place de ce système. Ils semblent s’y connaître en toxicité et auraient pu conseiller le PDG d’OBOUF qui lui, n’a pas fait l’école aller loin comme on dit

  • Le 27 février 2015 à 12:05, par Da Gnouy Yé En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Si les avocat jugent que ces produits à dates expirés ne sont pas forcement toxiques, ils peuvent organiser des séances de test avec les membres de leurs familles qui vont en boire aux yeux de tous les burkinabès. ça pourra rassurer les consommateurs.

    Aussi, faut-il que le Groupe OBOUF camouffle ces boissons dans des entrepôts pour secrètement effacer les dates et les changer. Si ça ne pose pas problème comme le disent ces avocats, pourquoi ne pas les vendre comme tels aux burkinabès tout en les informant par campagne publicitaire que leurs dates ont expiré ?

    Prenez nous un peu au sérieux et arrêtez de vous faire du blé en détériorant la santé des citoyens burkinabès.

  • Le 27 février 2015 à 12:16, par pourquoi vouloir le casser ? En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    franchement pourquoi vouloir casser le ga à tout prix. nous consommons ces boissons depuis longtemps mais rien. je suis d’accord avec les avocats, l’essentiel est que ces boissons ne soient pas toxique. Si vous mettez les bâton dans les roues vous mettrez ses employés à la porte et la hausse du nombre de chômeur. ce n’est pas la peine de vous acharner sur ce Monsieur parce que c’est pour lui que vous avez vu. cherchez toujours et vous verrez que tous les produits importés que nous consommons sont périmés (lait, thé, nescafé, huile,.... même les friperies que nous portons ça peut donner des problèmes de peau).

    NB : C’est tout simplement mon point de vue.

  • Le 27 février 2015 à 12:24, par Djakasanpoue En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    "La péremption de date ne signifie pas forcement que le produit concerné est impropre à la consommation et mortel"
    Une telle affirmation indique la moralité de leur auteur.
    Ces gens devraient être rayés du barreau de l’ordre des avocats

  • Le 27 février 2015 à 12:25, par wilibali En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Courant 2013-2014, les techniciens du ministère du commerce ont fait des descentes dans plusieurs commerces de Ouaga et bobo où ils ont on se rappelle encore, saisis plein de produits jugés alors impropres à la consommation, parce que les délais de consommation dépassés. Voilà qu’aujourd’hui deux avocats de pacotilles tentent de nous prouver le contraire. je crois qu’ils font parti de ceux pour qui l’argent n’a pas de couleur. ils ne font certainement pas la fierté de leurs femmes et enfants, et encore moins de tout le corps de la justice. puisse ALLAH le miséricordieux mettre un peu d’humanité dans leur cœurs, car ils en ont vraiment besoin. AMENNNN !!!!!!!!!!!!

  • Le 27 février 2015 à 12:31, par Rimpayade En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Vous souvenez vous des affaires de lait contaminé en Chine. Les coupables de ces forfaits ont été passés par les armes. Obouf et ses avocats doivent y réfléchir

  • Le 27 février 2015 à 12:32, par wilibali En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Courant 2013-2014, les techniciens du ministère du commerce ont fait des descentes dans plusieurs commerces de Ouaga et bobo où ils ont on se rappelle encore, saisis plein de produits jugés alors impropres à la consommation, parce que les délais de consommation dépassés. Voilà qu’aujourd’hui deux avocats de pacotilles tentent de nous prouver le contraire. je crois qu’ils font parti de ceux pour qui l’argent n’a pas de couleur. ils ne font certainement pas la fierté de leurs femmes et enfants, et encore moins de tout le corps de la justice. puisse ALLAH le miséricordieux mettre un peu d’humanité dans leur cœurs, car ils en ont vraiment besoin. AMENNNN !!!!!!!!!!!!

  • Le 27 février 2015 à 12:37, par lajumelle En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    messieurs les avocats, le groupe OBOUF a été pris en flagrant délie de falsification de date de péremption de boisson en cannettes. Ces cannettes sont vendues sur la place du marché avec les consommateurs sans qu’ils ne soient informés que la date de consommation de préférence est dépassée. Ces deux arguments ne sont-ils pas suffisants selon vous pour inquiéter la population ? c’est vrai que vous bouffez dans ça mais de grâce !!! C’est souvent mieux de se taire que de parler ! Éviter d’attirer des ennuies au groupe OBOUF car vous même savez "que plus rien ne sera comme avant" ! C’est vrai que tous les burkinabè naissances libres et égaux en droit selon la constitution mais cette liberté de droit s’applique également à la vente des produits alimentaires de qualité et à la consommation de produit alimentaire dont on connait toutes les informations possibles. en d’autres termes, OBOUF est libre de vendre les produits périmé et la population est libre de consommer des produits sains, non périmés. Si OBOUF falsifie les dates, il trompe la population et l’oblige à consommer ces produits. Vous comprenez pourquoi tant d’écrits sur le sujet ? je veux juste vous informer qu’en dehors de vous deux, personne n’apprécie le comportement de ce groupe.

  • Le 27 février 2015 à 13:07, par Sandra En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    c’est du fouettage de gueule ou quoi ? " En outre, la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation". Prenons le meilleur des cas de cette phrase. c’est la perte du goût. Et c’est nous qui sommes habilité à consommer des produits qui n’ont plus de goût. Messieurs du groupe OBOUF, c’est du fouettage de gueule clair. Et puis ce qui me fait mal, c’est des produits qui n’ont plus de goût et vous continué à les vendre au même pris. Nous exigeons d’avoir des produits de qualité et à pris réduit. Si vous ne pouvez pas le faire, laissez la place à ceux qui ont ces capacité tout simplement au lieu d’empoisonner les gens.

  • Le 27 février 2015 à 13:13, par TYDE En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Hey ALLAH !!!, de grâce, chers AVOCATS, épargnez-nous vos sornettes de justifications. Vous insultez l’intelligence de tout un peuple. MESSIEURS LES AVOCATS, CONSOMMER LES PRODUITS PÉRIMES DE VOTRE CLIENT AVEC VOTRE FAMILLE. Mais laissez le peuple se défendre contre votre tentative d’assassinat collectif.

    Merci à l’internaute 78 pour ces questions pertinentes à ces apatrides d’AVOCATS. Même sans faire le droit ; il y a que l’infraction est visiblement constituée. Vous êtes avec votre client des criminels démasqués, vous méritez la prison à vie avec travaux forcées.
    PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT
    NAN LARA, AN SARA

  • Le 27 février 2015 à 13:14, par barboza En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Les avocats de OBOUF, argumentent déjà en se résignant. Ils nous parlent de la présomption d’innocence, je ne savais pas qu’une convocation ou l’ouverture d’une information judiciaire était synonyme de culpabilité ; pour dire que le fond tient la forme en l’état. Revenons à l’argument que je qualifierai de farfelu par les avocats. Je suppose qu’ils sont d’avis que le fait de falsifier les dates sur les cannettes constitue en elle même une infraction. En outre, il prétend que seul le gout change. Le gout n’est il pas un élément qui pousse un consommateur à faire son choix donc du dol. Ensuite, si c’est vrai que après la date de péremption leurs produits ne sont pas toxiques, qu’ils nous apportent les preuves à fortiori ; c’est à dire avant la découverte des stocks. Sinon si se sont des preuves à postériori, c’est dire qu’à leur niveau ils n’avaient rien fait pour savoir si après péremption ses produits étaient nuisibles ou non ! à la suite, erreur grossière, et étant donné que dans le domaine alimentaire le risque sanitaire est très élevé. Ce manque de rigueur qui peut mettre la santé de tout un peuple en danger est un acte criminel. La sanction doit être à la hauteur du forfait. Tout a changé.

  • Le 27 février 2015 à 13:22, par Kaya Youlou En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Soit, messieurs les avocats. Péremption de date ne veut pas dire intoxication. Je propose que chacun de vous consomme, si ce n’est déjà fait, une canette de ses boissons périmés. Comme ça vous allez vous mettre sur le liste des candidats au cancer d’ici la fin du procès pour lequel vous êtes engagés d’office.
    Ne prenez pas les consommateur pour des imbéciles. Dans la constitution où est-ce qu’il est écrit qu’un burkinabé au nom de l’intérêt personnel doit empoissonner les autres ?

  • Le 27 février 2015 à 13:23, par OUATTARA Badioré En réponse à : Affaire de boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Un avocat qui défend un tel dossier, surtout avec de tels arguments, accepterait-il de défendre et surtout avec quels autres arguments, un citoyen Lamda victime d’une telle pratique, dans un autre dossier similaire ?
    Il y a urgence que notre tissu judiciaire se spécialise dans des domaines comme la santé afin de vite et bien délibérer pour des raisons de santé publique.
    Comment peut-on parler de nécessité de secret professionnel quand les pratiques de ceux qu’on veut défendre, mettent en péril la vie de toute une nation ?
    Les choses ne changeront jamais si les sacrifices nécessaires pour le changement ne sont pas constamment consentis ; faisons donc l’humainement nécessaire et Dieu s’empressera de s’occuper du divinement utile.
    L’Espoir est permis, mais "NI AN LAARA, AN SAARA". Les pacifiques paroles de l’illustre Professeur disparu sont plus que jamais d’actualité ; les intégrer dans notre vécu quotidien, ces paroles,s’il plait à Dieu, préserveront notre pays d’autres inutiles casses du squelettique arsenal de développement à notre possession.
    Cordialement !
    OUATTARA Badioré

  • Le 27 février 2015 à 13:46, par Bernard Luther King En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Merci dejà pour votre mise au point. Mais d’ores et dejà on peut affirmer sans risque de se tromper que :
    - OBOUF a bel et bien vendu ou servi des BOISSONS PERIMEES (2eme tiret de la mise au point. Ce qui pose probleme pour OBOUF, c’est d’en demontrer la TOXICITE. Peu importe la toxicité, il y a FALSIFICATION INDENIABLE. Vous le reconnaissez dans le 2eme point (2eme tiret).
    - Vous parlez de DLUO : De plus il faut qu’on sache que la comestibilité d’une boisson n’est pas extensible à l’infini et qu’après l’DLUO, il faut un jour jeter les canettes en question. IL s’agira donc de voir si OBOUF n’a pas fait ABUS dans l’extension des DLUO.
    - Depuis quand DURE cette falsification ? Etes-vous à votre 1ere fois ou à votre nieme fois ?
    - En tout etat de cause, si c’est pas parce que c’est en Afrique, vous aurez tous les milles problèmes pour vous REHABILITER. Car dans le doute, qui pis est en matière de Santé, on S’ABSTIENT : de tous vos produits desormais.

    Cordialement.

  • Le 27 février 2015 à 14:01, par desolé En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    on est où ???? Y a t-il quelqu’un dans le pays ??? je pense plutôt qu’on a des gens dans les concessions.

  • Le 27 février 2015 à 14:02, par jeanmailton En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    je comprend votre préoccupation messieurs les avocats. mais j’ai deux questions à vous poser .
    - la première question : nous savons tous que la date limite d’utilisation qui est mise sur les produits ou la date de consommer de préférence avant est indiquée par le fabricant qui assume l’entière responsabilité des dégâts causés par le produit s’il a été utilisé dans les conditions d’utilisation de stockage et de date de consommation indiqués. Dans le cas ou ces dates ont été falsifiées que serait la réaction des firmes productrices. Obouf les amène à continuer de porter la responsabilité de ces produits en cas de toxicité après la date que ces firmes elles même ont indiqué ne plus être responsable de la consommation de leur produits. puisque si vous consommer un produits après sa date de péremption le fabricant n’est plus responsable de ce qui vous arrivera. 1er niveau de fraude envers le fabricant
    - la 2eme question est la suivante. nous savons tous que la date limite d’utilisation optimale ne signifie pas que les produits ne sont plus consommable. mais cette date ne doit être falsifié par personne puisque cela augmente le risque d’intoxication. si un produit x devait se consommer avant fin janvier 2015. Après fin janvier 2015 le fabricant n’est plus responsable devant le client qui l’aura consommé. si cette date à été prolongé pour fin janvier 2016. elle trompe le client et le fabricant. Et le risque d’intoxication devient grand. en exemple certains médicament peuvent être utilisée 3 mois après la date indiqué date de péremption. mais si cette date est frauduleusement prolongée de deux ans à l’insu du soignant qui ne prend pas le risque de les utiliser même après la période de trois mois dont je parle. il se retrouvera entrain de les utiliser pour soigner ses patient pendant 2 ans après la date de péremption. j’espère qu’aucun d’entre vous deux n’oserait se faire soigner par un tel médicament.
    je suis d’accord que le groupe Obouf jusqu’à sa culpabilité après un procès est présumé innocent mais je pense que vous étes aller loin dans ces histoire de DLUO. Cultiver vous d’avantage ne prenez pas les gens pour des tarés. Cette phrase de votre texte est ridicule de gens de votre qualité " En outre, la DLUO (Date Limite d’Utilisation Optimale) mentionnée sur les cannettes indique la date de consommation de préférence. Le produit peut perdre de son goût, après cette date, mais ne devient pas impropre à la consommation".
    même si le produit n’est pas impropre à la consommation à partir du moment ou le fabricant dit ne plus être responsable devant toute personne qui l’aurait consommé après cette date. cela est très grave. En plus vous reconnaissez qu’il perd son goût ce qui peut faire perdre au fabricant son marché............ DUPE DU CLIENT ET DU FABRICANT

  • Le 27 février 2015 à 14:19, par Le CITOYEN En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    On doit lui retirer sa nationalité ce monsieur et l’interdire à vie d’exercer la profession commerçant car il voulait tuer la majorité des burkinabè donc ennemi des BURKINABÈ. Quand à deux avocats ( fruits) pourris ils ne doivent exercer la profession d’avocat

  • Le 27 février 2015 à 14:27, par patriciano En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Messieurs les avocats, vos propos ou plaidoiries sont si injurieux en l’encontre du peuple Burkinabè que je me demande si c’est de la cervelle de mouton qui se trouve dans vos têtes ?
    Dire qu’un produit périmé depuis 2011 n’est forcement pas toxique est un autre crime que vous ajouté à la longue liste d’accusation de votre cher bon démon de client car quelqu’un qui, pour de l’argent est prêt à empoisonné tout un peuple est un démoniaque. Savez vous que ce démon de Ouedraogo Boureima est pire que ces criminels de guère de partout dans le monde ? Car ces dernier commettent leur forfait au vu et su de tous alors que le groupe OBOUF le fait de manière sinueuse à l’allure d’un sorcier maléfique noir qui la nuit tombée, à l’insu de tous prend l’âme de sa victime qui meurt a petit feu sans qu’on ne détecte cliniquement la cause de son futur décès. Messieurs les avocats du ... surement que vous avez l’information comme quoi les effets de toxicité de ces produits sont lent et pas forcement détectable aux premières analyses que vous vous dépêché de venir étaler vos tares et votre absence d’humanisme pour défendre l’indéfendable même si tout être humain a droit à la justice. Je finirai en vous invitant de bien vouloir a partir d’aujourd’hui ne consommé que vous et vos familles au su de tous, ces produits à "présomption toxiques"(j’espère que cette dénomination vous convient) pour que nous croyons à votre bonne foie.

  • Le 27 février 2015 à 14:36, par Jeunedame seret En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Messieurs les ÂNESvocats ; vous faites votre travail ? A vos risques et périls ? Vous êtes pauvres ; mais ne ternissez pas votre image ; ne compromettez pas votre future. Pourquoi le goût a changé ? Est-ce que ce changement s’arrêtera ? Changer pour le meilleur ou le pire ? Pourquoi ne retourne-t-il pas ces boissons de nouveau goût à la source ? A-t-il consulté un laboratoire pour le choix des nouvelles dates ?.... Si OBOUF est au courant d’un changement de goût du produit et n’informe pas le consommateur, c’est qu’il sait que c’est toxique et invendable. Donc ARNAQUE ; ASSASSINAT EN SÉRIE ; SILENCE MEURTRIER ; FAUX ET USAGE DE FAUX ; ESCROQUERIE ; VOL.

  • Le 27 février 2015 à 15:02 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    S’il faut être avocat pour défendre le diable, je préfère encore être un mendiant pour gagner ma vie.

    le humble

  • Le 27 février 2015 à 15:43, par of En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    a vous les avocats du diable. eviter d’envenimer la situation avec vos article et vos defense de tube digestif. quand on tombe malade pour intoxication on ne lis pas des acticles de la contitution pour payer les produits a la pharmacie ou la mort ne lit pas la constitution pour faucher les vies.

  • Le 27 février 2015 à 16:25 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    "Ce serait beau,l’honnêteté d’un avocat qui demanderait la condamnation de son client" Jules Renard.Donc ces minables avocats sont dans leur sale rôle

  • Le 27 février 2015 à 16:33, par moriba En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    A ce que je sache, le Groupe Obouf n’a pas la licence Coca Cola pour se permettre d’antidater les produits de la Compagnie Coca Cola.
    Messieurs les avocats dites nous puisque c’est vous les plus <>, pourquoi il y’a des dates limites de consommation sur les produits.
    On constate que vous n’avez pas d’argument pour defendre votre client afin de vous remplir les poches avec de l’argent sale obtenu sur le dos des Burkinabes qui de plus plus sont exposes aux maladies cardio vasculaires. Faites un tour dans les hopitaux pour savoir que la population jeune du Burkina Faso souffre de plus en plus de maladie liees a l’alimentation.
    Messieurs les avocats, avec de tels arguments allez y convaincre la FIRME COCA COLA que vous pouvez quand bon vous semble changer la date que eux ils mettent sur leurs produits.
    Je ne suis pas juriste pour savoir le bon mot qu’il faut utiliser mais je demaderai a la FIRME COCA COLA de poursuivre le groupe Obouf pour faux et usage de faux sur leurs produits.
    A cause de vous et votre boureau de patron, le monde entier voit d’un mauvais oeil les produits de la Compagnie COCA COLA au Burkina Faso.
    Si vous connaissez plus que COCA COLA, creeez donc votre propre firme de produit alimentaire on va voir.
    Vous etes des avocats donc des hommes de verbes qui sont prets a se remplir les poches meme en defendant le faux. D’apres Patience Dabani << ON VOUS CONNAIT>>.
    Vous etes des avocats et non des specialistes en agro-alimentaire.
    Assassint que vous etes.

  • Le 27 février 2015 à 16:37, par Marie En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Le toupet de ces gens laisse sans voix !
    Leurs arguments sont hallucinants. Donc pour eux la date de peremption est juste une decoration. Et ils ne fremissent meme pas de soutenir que la date de peremption est d’une date preferencielle qui n’a rien a voir avec la toxicite du produit. Donc dans le monde entier, c’est par pur plaisir que la reglementation exige une date de peremption sur les produits de consommation ? On devrait commencer par les condamner pour de tels propos. Ceci prouve qu’ils s’adonnent a de telles activites criminelles depuis des lustres et n’en rougissent meme pas.
    C’est tout simplement ahurissant

  • Le 27 février 2015 à 16:46 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Quelqu’un disait qu’il y a deux choses que l’on ne trouvera jamais sur la route :
    - La sueur d’un cantonnier
    - L’honnêteté d’un avocat.
    Je vous laisse juger de la moralité douteuse de nos 2 avocats pourris.Tchurrrrrrrrrrrrr

  • Le 27 février 2015 à 16:52, par kay ayoulou En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Soit, messieurs les avocats. Péremption de date ne veut pas dire intoxication. Je propose que chacun de vous consomme, si ce n’est déjà fait, une canette de ses boissons périmés. Comme ça vous allez vous mettre sur le liste des candidats au cancer d’ici la fin du procès pour lequel vous êtes engagés d’office.
    Ne prenez pas les consommateur pour des imbéciles. Dans la constitution où est-ce qu’il est écrit qu’un burkinabé au nom de l’intérêt personnel doit empoissonné les autres ?

  • Le 27 février 2015 à 18:13, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Un regret :

    On aurait du garder la constitution suspendue le temps de régler certains cas vraiment graves comme celui de ces gens qui se cachent derrières les articles de loi pour tromper, voler, empoisonner et vouloir s’en sortir sans sanction malgré tout.

    Un grand "balayage" (citoyen ou pas) aux niveaux économique, politique et criminel, avant de revenir à l’ordre constitutionnel. On aurait alors eu la paix pour quelques années !

    Occasion ratée, mais s’ils continuent, on va encore sortir pour ça..

  • Le 27 février 2015 à 18:42, par Avocats Mangeurs de Charogne En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    (N.D.L.R. : L’avocat n’était pas si voleur, ne chargeant que 100$ pour un testament...)

    L’autre jour une avocate raconte à un ami : « Je viens de terminer un casse-tête et ça ne m’a pris que cinq mois ».

    « Cinq mois ? », son ami demande. « C’est pas mal long pour un casse-tête. »

    « Pas du tout », explique l’avocate. « C’était écrit 6 à 12 ans sur la boîte. »

    Un avocat se retrouve devant la Cour municipale dans le cadre d’une cause impliquant des billets de stationnement...

    « Votre Honneur, ma cliente plaide coupable. Mais je demande votre clémence. Elle n’a pas les moyens de payer les amendes, vu qu’elle ne fait pas un gros salaire...

    - Elle fait quoi dans la vie, votre cliente, Maître ?

    - C’est ma secrétaire juridique ! »

    Un reporter d’une chaîne de télé bien connue a effectué un excellent reportage sur une poursuite de plusieurs centaines de milliers de dollars, intentée par un simple citoyen bafoué dans ses droits par une grosse corporation. Voulant faire un suivi de l’affaire afin d’informer les téléspectateurs, il cherche à reprendre contact avec l’homme en question. Il finit par le retrouver sur le coin d’une rue, vêtu en haillons et quêtant pour gagner sa pitance. Éberlué, le reporter lui demande : « Mais, que vous est-il arrivé ?!? Avez-vous perdu votre cause ? » Et l’homme de lui répondre : « Oh non ! Nous avons gagné... »

    Deux amis discutent ensemble...

    « Tu sais, j’ai l’impression que tout ce dont mon avocat est intéressé, par rapport à ma cause, c’est de faire de l’argent sur mon dos.

    - Ah oui ? Et qu’est-ce qui te fait croire ça ?

    - Bien... Sur son dernier compte d’honoraires, il y avait entre autres ceci : « Pour m’être réveillé en pleine nuit et avoir pensé à votre dossier : 25 $ (...) Pour avoir marché sur le trottoir et, ayant cru que c’était vous de l’autre côté, avoir traversé la rue pour vous parler de votre cause : 50 $" »

    Le juge de la Chambre de la famille dit au défendeur dans une cause de pension alimentaire : « Monsieur Tremblay, j’ai analysé toutes les données de cette cause très attentivement. En conséquence, j’ai décidé d’accorder à votre ex-épouse 775 $ par semaine. »
    Sur ce, le défendeur lui réplique : « Comme c’est généreux de votre part, votre Honneur ! J’ai justement décidé de lui envoyé moi-même de l’argent, de temps à autre... »

    Éthique et tac...

    Un défendeur dans une poursuite civile impliquant des centaines de milliers de dollars dit à son avocat :

    « Si je perds ce procès, je serai ruiné !

    - La cause est maintenant en délibéré, répondit l’avocat. C’est dans les mains du juge...

    - Mais y a-t-il quelque-chose à faire ?, rétorqua le défendeur. Je sais pas, moi, je pourrais envoyer une boîte de cigares au juge pour qu’il penche en ma faveur...

    - ABSOLUMENT PAS ! Le juge Marsouin est très sévère en ce qui concerne l’éthique professionnelle. Il ne badine pas avec ces choses-là. Vous risquez de perdre votre cause et de m’envoyer en pâture au Syndic du Barreau ! Ne lui envoyez rien, ne lui parlez pas, n’essayez même pas de lui faire un clin d’oeil dans le stationnement du Palais de Justice ! Compris ? »

    Quelques mois plus tard, le juge rendit jugement en faveur du défendeur. Tout heureux pour son client, l’avocat l’appela pour lui annoncer la bonne nouvelle et lui dit :

    « Tiens, je vous l’avais dit que vous auriez gain de cause, hein ? Vous n’aviez pas besoin d’envoyer ces cigares au juge dont vous parliez...

    - Oh, mais Maître, je les ai envoyés finalement !

    - QUOI ?!? Vous avez fait ça ???

    - Oui, mon cher, pis vous seriez mieux de reconnaître que c’est ça qui nous a fait gagner !

    - Je comprends pas...

    - Ben, c’est pourtant simple : j’ai envoyé les cigares, mais avec la carte d’affaires de l’avocat de la partie adverse ! »

    Sur ce, l’avocat éclata de rire et s’exclama : « Mais vous êtes ABSOLUMENT G-É-N-I-A-L !!! »

    Qu’arrive-t-il si on donne du Viagra à un avocat ?

    Son ego se gonfle !

    Qu’est-ce qu’on obtient si on enterre 100 avocats dans le sable jusqu’au cou ?

    Pas assez de sable pour finir l’ouvrage ! (N.D.L.R. : variation autour d’un même thème... )

    Un avocat de la Nouvelle-Orléans avait établi pour son client un dossier de demande de prêt immobilier.

    Il lui était demandé de joindre le certificat de propriété du terrain qui servait de caution au prêt. Ce que fit l’avocat en remontant après plusieurs mois d’effort jusqu’en 1803. L’office de prêt au reçu du dossier écrivit à l’avocat pour le féliciter de son travail mais lui fit remarquer que le certificat ne remontait pas à l’origine et qu’il lui fallait pour délivrer le prêt un document antérieur.

    Réponse de l’avocat : Comme doit le savoir un employé d’administration de l’état où se trouve la propriété en question, la Louisiane fut achetée à la France en 1803 date à laquelle remonte le certificat.

    La France avait obtenu cette terre de l’Espagne dans un échange contre un domaine en Italie pour le Duc de Parme le beau-frère de Charles IV roi d’Espagne en 1801. L’Espagne avait pour sa part reçue ce territoire de Louis XV roi de France à la suite de la guerre de 7 ans pour éviter de le céder au roi George III lui aussi roi de France.

    La France possédait ce territoire en ayant empiété sur le territoire que l’Espagne détenait par droit de découverte par un certain Christophe Colomb capitaine de navire appointé par la reine d’Espagne. La reine d’Espagne, très pieuse mais prudente s’était fait confirmé ses titres de possession sur ce domaine par le Pape, avant de vendre ses bijoux pour affréter des navires.

    Or vous le savez, le Pape est le représentant sur terre de Jésus Christ, le fils de Dieu. Dieu comme chacun le sait ici a crée le monde et donc aussi la Louisiane et le petit bout de terrain qui vous occupe. ET MAINTENANT ! VOUS L’ATTRIBUEZ CE PRET !!!

  • Le 27 février 2015 à 19:26, par Nick En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    1280 tonnes, cela revient a environ 3.500.000 cannettes. C’est vraiment Malsain ; 1280 tonnes de boissons perimees. C’est suffisant pour que 20% de la population ait au moins une cannetter de boissson perimee. Pendant combine de temps voudriez vous faire ecouler ces boissons ?. Et plus le temps passait, plus c’est boissons devenaient de plus en plus toxics. Non seulement le consommateur perdait son argent, mais il pouvait aussi perdre sa vie. Chers consommons ce que nous produisons et produisons ce que nous consommons. C’est la seule maniere d’etre un peu plus sur de ce que que consommé. et peut etre aussi la seule maniere d’eviter des cancers et autres maladies don’t on aura pas les moyens pour soyer

  • Le 28 février 2015 à 01:16, par Passakziri En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    chers avocats,
    Tout à été dit par les internautes. Le bon sens vous aurait recommandé le silence. Vos explications blessent simplement l’intélligence des consommateurs. Puisque vous semblez nous dire que tout était fait dans la légalité, alors expliquez nous pourquoi alors vous trouvez nécéssaire de changer les dates mentionées sur les canettes. Si ces produits se laissent conserver au dela des dates mentionnés sur ces canettes, il faudra aussi nous préciser sous quelles conditions car j’imagine mal que ces produits soient conservables sous nos temperatures pour une très longue durée. Au pôle nord, peut-être qu’ils se laisseraient conserver 10.000 ans. Au Faso, sous une temperature à l’ombre de 40°C par moment, sûrement pas. Puisque le consommateur paye pour savourer ces produits , il mérite au moins qu’on lui vende le produit comme il est décrit. Je puis vous dire que si les dates de peremptions étaient restées originales, peu de consommateurs allaient acheter ces produits. Leurs vendre des produits manipulés est on ne peut plus claire, du vol. Certains soit disant opérateurs économiques protégés de l’ancien régime ont passé leur temps à nous empoisonner progressivement comme OBOUF, sans être inquiétés par complicités, mais les autorités et les populations elles mêmes doivent vraiment prendre aussi leurs responsabilités. Au lieu de passer le temps à nous passer des Pubs de Cube Maggi, il faut venter le bon soumbala, sans produits chimique. C’est notre seule chance de nous en sortir un jour ; Dans le cas contraire, attendons 10 ou 20 ans pour subir les effets de ce que nous consommons bêtement aujourd’hui ( Cancers, hypertension, crises cardiaques , accidents cérébraux ,vasculaires etc.) ; Ca sera la debandade si ca ne s’arrête pas.

    Une parenthèse :
    Arrêttons aussi en passant de prendre les mauvaises habitudes comme l’utilisation des pesticides dans nos culture qui prend une tournure désagréable. Les européens l’ont compris et cherchent à consommer naturel (biologique,organic). Pendant ce temps, nous nous nous courrons aveuglement vers ces bombes. Moi en tout cas, je ne mange plus du sésame venant du Burkina depuis qu’on encourage l’utilisation abusive des pesticides dans ce domaine.

    Passakziri

  • Le 28 février 2015 à 10:37, par WendGuudi En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Tu n’as pas besoin de tous ces textes et lois pour nous dire que Obouf le droit de s’enrichir sur la santé de la population la mienne y comprise. comme le dit couramment, on n’a pas besoin de charlatan pour croire ce que les yeux voient.

  • Le 28 février 2015 à 10:57 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Comme quelqu’un le dit :moi je sais des avocats comme maître Farama,ou maître Sankara ne defenderai jamais ces genres de dossiers.ça c est le gombo de petits avocats.

  • Le 28 février 2015 à 10:59, par DJIBI En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Mais pourquoi changer la date mise par le fabricant ? Donc ce groupe s’y connaît mieux ? Pourquoi n’en fabrique t-il pas ? D’ailleurs le gout fait partie des critères pour le client et changer la date normale de garantie de ce gout vous semble t-il honnête ? On peut donc vendre aux burkinabè ce que les tunisiens ne veulent pas. Je reconnais certes le droit de défense à tout burkinabè et n’en veux point aux avocats qui sont dans l’exercice de leur métier mais je n’arrive pas à justifier l’acte reproché au groupe.

  • Le 28 février 2015 à 12:23, par burkindi En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUFc’est ça le probleme du Faso. Après avoir intoxiqué une population,vous lui débitez des inepties pareilles.

    c’est ça le probleme du Faso. Après avoir intoxiqué une population,vous lui débitez des inepties pareilles.C’est dans quelle constitution on permet d’intoxiquer une population et de se moquer d’elle après. Et dans tout ça vous parlez d’impunité. Comment peut-on faire confiance à la justice avec des acteurs qui se permettent d’invoquer la constitution pour défendre des criminelles de cet accabit ? Chers mètres,pardon maitres je sais que c’est trop vous demander de défendre le pauvre, vous le ferez pas parce que la politique de la panse dépasse tout le reste chez vous mais un seul jour de votre misérable vie,pensez aux pauvres et défendez les. Défendez pour une fois la vérité.

  • Le 28 février 2015 à 12:39, par tienmi En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    C’est quoi cet avocat forain ? S’est-il trompé de rôle ou porte-t-il une double casquette ? OBOUF n’a-t-il pas un service de communication ? Si oui, qu’il en existe chez OBOUF, Je conclu donc que Maître TOUGOUMA fais du surzèle, car il est hors jeu là !
    A part cela je pense que lorsqu’on est pas en train de tricher avec le consommateur on doit lui laisser la liberté de choisir ce qu’il veut consommer et non lui en imposer par le truchement de fausses dates de péremption ou de dates de consommation de préférence ! Je vous en prie Maître, ne nous prenez pas pour des ignares parce que, tout simplement, vous, vous êtes allé dans une école de Droit. Sans être allé à cette école, nous savons tous ce que sais que : Faux et usage de Faux. Votre client, selon les éléments, à notre connaissance, est tout simplement un faussaire pour ne pas dire un criminel. Taisez vous donc si vous n’avez rien de mieux à dire. Des sortie du genre que vous venez de faire sont tout simplement révélateurs de votre ignorance du rôle que vous êtes sensé jouer auprès de votre client !

  • Le 28 février 2015 à 12:48, par WendGuudi En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Honte à vous, les avocats de ce sale dossier. c’est de l’argent vous chercher dans ce dossier criminel ? Il faudra des sanctions exemplaires à ce chasseur d’argent qui tire sur tout ce qui peut bouger, même empoissonner ses frères et sœurs pour s’enrichir.

  • Le 28 février 2015 à 16:15, par Mang Biiga En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Arretez Mrs les avocats : Le fabricant a un laboratoire. Il a teste les produits pour determiner la date de peremption. On a plus besoin d’un autre labo et changer la date marquee par le fabricant est un crime.

  • Le 28 février 2015 à 16:46, par Les Eculucubrificadabrations de Moi Goama En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Moi Goama, je me mefie de ces professions mais je n’ ai pas le choix. Ils sont partout cales, pour mon propre malheur. Je me mefie de l’ avocat qui emploie un language de fous et dans un francais du 11 eme siecle pour nous emberlificoter. Comme s’ il etait le plus intelligent. Il parle un francais bizarre que son prof a la fac meme qui est plus fort que lui ne parle pas. Pourquoi ? Je me mefie du philosophe qui coupe les cheveux en quatre au lieu d’ aller droit au but. Comme s’ il reflechissait pour l’ univers. Si dans une discussion, tu es d’ accord avec lui, il va revenir en arriere pour te contredire. Pour nous enturbanner l’ esprit. Je me mefie du docteur qui ecrit les longues ordonnances que je n’ arrive pas a lire mais que son complice de pharmacien lit en 2 secondes. Pour nous escroquer dans leur association de bienfaiteurs devenus des malfaiteurs troueurs de nos poches, dans la maladie.Je me mefie du banquier qui me donne des releves que je ne comprendrai jamais. Et donc, je me soumets a son verdict parce que tchogo dans tchaga, il va m’ egorger. Tous ces messieurs - la se comportent comme s’ ils n’ ont jamais fait la cour a une femme. Quand vous parlez a une femme pour lui conter fleurette, c’est ce language amphigourique - la que vous utilisez ? Si elle ne comprend pas que vous voulez dire qu’ elle ressemble a une rose sans epines, qu’ elle est la rose elle- meme et que tout ce que vous dits , c’ est dans la glace de son ame que vous avez vu miroiter ca, comment elle va vous choisir et laisser tomber son Jules ? Quittez dans ca. On a tous fait l’ ecole et si vous etes honnetes, on peut comprendre ce que vous voulez dire. Merci de vous faire comprendre parce que ce qui est blanc est blanc, ce qui est gris est gris et ce qui beige est beige. Ne me dites pas que le beige, c’est une couleur monochromatique plurichromatique qui scintille entre le blanc et le gris. Compris ? Perime, c’est perime. On s’ arrete la. Pas besoin de prouver que c’ etait toxique ou pas. Vous voulez amener le debat sur un autre terrain ? N’ est-ce pas ? Yacou, dans tous les cas, c’est toi qui es musulman et qui se cache boire son whisky dans coca apres tu suces bonbon et orange. Moi je suis feticheur et je bois mon dolo dans calebasse et ma biere dans verre, pas d’ alcool dans mon selidaga, encore ma sacree calebasse chez Daframousso a Bolomakote ! Donc je crains moins meme les saloperies des Obouf que vous. Vous etes avocats, et vous cherchez l’ argent pour vivre votre faux standing social mais de grace, respectez- vous en faisant semblant de defendre juste un peu la verite. Les soeurs font voeu de chastete. Les pretres font voeu de celibat. Et les avocats ? C’est voeu de rejet de la verite ?Faut pas donner l’ impression que la profession d’ avocat, c’est rejeter d’ abord l’ existance de la verite et qu’ il faut chercher a gagner une discussion coute que coute en utilisant des mots et en les agencant d’ une certaine maniere. Vous allez faire ca apres vous allez courir devant les eveques, les naabas pour faire vos mea culpabilises.

  • Le 28 février 2015 à 17:57, par vérité no1 En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Je crois que l’Etat doit sévèrement punir ce binôme de pseudo-avocat pour plusieurs raisons !
    Primo, ils ne connaissent rien en ce qui concerne les lois sur les produits alimentaires,
    Secondo, ils ne sont pas patriotes car entre l’argent et la patrie, le choix devrait être clair,
    Tertio, ils mentent comme ils respirent.

    Bande d’escrocs !!!!!

  • Le 1er mars 2015 à 10:07, par adakanla En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    voyez-vous ! cet écrit est quelque provocateur.Des gens de votre trame ne devraient pas faire d’ecrit pareil dans des circonstance touchant la vie des citoyens.Nous somme d’accord avec la presomption d’innocence.Est-ce pour autant ,au nom de cette meme presomption,des individu s’adonnés à des exercices pécuniaires mettant d’une manière ou d’une autres ses freres dans des situation très inconfortables.S’il n’existe aucune suspicion de la toxicité de ces produit pourquoi effacé les fameuses date de peremption ? La question que j’ai le droit de me poser est de savoir combien d’obouf existe t-il au burkina ?

  • Le 1er mars 2015 à 14:37, par BARRO Ibrahima En réponse à : Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

    Chers burkinabes, ne compliquons pas les choses avec ses avocats là. Dès aujourd’hui et ce jusqu’à la fin du jugement (cloture de ce dossier), que l’on serve les boissons saisies aux membres des familles de ces avocats et surtout du PDG de OBOUF. Qu’ils soient obligés de boire et l’on saura d’ici là ce que ca vaut que d’empoisonner le peuple.
    Ca aussi c’est une autre facade de Blaise COMPAORE : son entourage. Et dire qu’il ya des inconscients qui continuent a le supporter. Un pays de .................................

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