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« Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

Publié le vendredi 30 janvier 2015 à 22h44min

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« Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

La décision prise par les autorités de transition d’exclure les burkinabè vivant hors du pays du scrutin couplé présidentielle et législatives d’octobre prochain continue de faire des gorges chaudes. Le Président Michel Kafando a beau expliquer que ni les moyens, ni la logistique ne le permettaient à l’étape actuelle, certains continuent de crier à l’injustice. Depuis la France où il habite, Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE interpelle le Président de la transition et son Premier ministre. C’est dans la « lettre ouverte » ci- dessous.

Le vote est un droit civique fondamental dans toutes les démocraties. Selon l’International Institue of Democracy, 115 pays accordent le droit de vote à leurs ressortissants résidant à l’étranger. Les panafricanistes du siècle dernier ne concevaient le développement de l’Afrique qu’à travers son unification avec sa diaspora, ceci impliquant nécessairement la participation de cette dernière à la vie politique et économique des pays d’origine. Ceci dit, il est désormais de coutume dans la plupart des Etats démocratiques d’intégrer leurs diasporas dans divers scrutins, afin de respecter primo leurs propres normes constitutionnelles, mais secundo, d’inciter leurs ressortissants à l’étranger à participer au développement économique de leur pays d’origine.

En Afrique de l’Ouest, Ivoiriens, Sénégalais, Béninois et Maliens pour ne citer que ceux là, ne dérogent pas à ce principe constitutionnel. Force est de constater que le Mali dans des conditions de transition politique similaires au nôtre, sous la présidence de Dioncounda Traoré a tenu son pari en organisant une élection présidentielle libre, transparente, sans exclusive, prenant en compte les Maliens de l’étranger, respectant de ce fait leurs normes constitutionnelles.
Au Burkina Faso, depuis le 7 mai 2009 une loi a été consacrée par l’Assemblée nationale au vote des Burkinabé de l’étranger en ce qui concerne les scrutins présidentiels et référendaires et devrait entrer en vigueur pour compter de la présidentielle 2015. Depuis la mise en route de la transition politique qui dans son principe se veut inclusive, nous observons avec attention, mais surtout appréhension les mutations qui en découlent, en l’occurrence le débat sur le vote des Burkinabé de l’étranger. Serions-nous moins nantis en termes de capacités organisationnelles que Maliens, Ivoiriens, Béninois, Sénégalais, et autres peuples épris de démocratie, d’équité et de justice ? Pourquoi remettre en cause un acquis démocratique majeur qui émane de plus de deux décennies de lutte de plusieurs partis politiques et de personnalités de la société civile ?

Du Bien fondé du vote des Burkinabé de l’étranger

Le vote est par essence le premier droit civique commun à tout ensemble d’individus qui partagent la même citoyenneté. De l’histoire de la démocratie comme modèle par excellence de gouvernance, il a été observé des suffrages capacitaires, censitaires, mais jamais de suffrage discriminant selon le lieu de résidence.
Du reste, la participation des Burkinabé de l’étranger à la vie économique du Burkina est indéniable. Il est important de rappeler que la population du Burkina est estimée à plus de 16 000 000 d’habitants et le nombre de Burkinabé émigrés estimé à plus de 10 000 000. En d’autres termes plus d’un Burkinabé sur deux réside en dehors des frontières géographiques. Cette configuration démographique impose de nous une vision inclusive permettant de faire participer tous les Burkinabé sans distinction du lieu de résidence, au développement économique de notre patrie. Imaginons qu’au-delà des différentes transactions financières des émigrés à l’endroit de leurs familles restées au pays, l’Etat suggère leur participation à l’assiette fiscale par une contribution aussi symbolique soit- elle. Imaginons que cette contribution soit assujettie à la nationalité et donc, au renouvellement du passeport, à l’image du droit fiscal Américain. Imaginons par voie de conséquence que le budget de l’Etat soit multiplié par deux et permette d’instaurer une véritable protection sociale au Burkina. Le Burkina Faso est l’un des pays au monde qui comporte le plus d’expatriés par rapport à sa population intra muros et la vision du politique doit permettre d’intégrer cette diaspora comme véritable levier de développement économique.
Mais comment pouvons-nous toujours demander à nos compatriotes vivant à l’étranger de participer à la vie économique du pays si nous persistons à les exclure de la vie politique ? Le mérite du politique se mesure à sa capacité à imaginer pour le peuple un développement juste et équitable.

De l’illégalité de l’exclusion des Burkinabé de l’étranger

Dans un état qui se veut démocratique, l’arbitraire n’a pas de raison d’être ; pour ce faire il est impératif que les décisions politiques soient conformes à la loi fondamentale. A cet effet, rappelons les dispositions de notre code électoral en rapport avec le vote des Burkinabé de l’étranger :
-  Article 42. Loi n° 019-2009/AN du 07 mai 2009 – Art. 1. Le corps électoral se compose de tous les burkinabè des deux sexes, âgés de dix huit ans accomplis à la date du scrutin, jouissant de leurs droits civiques et politiques, inscrits sur les listes électorales et n’étant dans aucun cas d’incapacité prévu par la loi.
-  Article 17. Loi n° 019-2009/AN du 07 mai 2009 – Art. 1…. Hors du territoire national, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) prend les dispositions nécessaires pour l’organisation des scrutins référendaires et présidentiels dans les ambassades et consulats généraux du Burkina Faso.
-  Article 52. Loi n° 006-2012/AN du 05 avril 2012 – Art. 1. Pour justifier son identité, l’électeur produit l’une des pièces suivantes : acte de naissance ou jugement supplétif d’acte de naissance, Carte nationale d’identité burkinabé (CNIB). Pour les Burkinabè résidant à l’étranger, ils doivent être immatriculés à l’ambassade ou au consulat général et présenter la carte consulaire.
-  La charte de la transition stipule dans son article 22 : la participation des Burkinabé de l’étranger à l’élection présidentielle qui sera organisée sera conforme aux dispositions de la constitution et du code électoral.

Le vote des Burkinabé de l’étranger à l’élection présidentielle est inscrit dans la constitution depuis mai 2009 pour entrer en vigueur à compter de 2015. Il est donc une lapalissade de noter qu’une exclusion des Burkinabé de l’étranger devra nécessairement passer par une modification du code électoral et de la charte de la transition. Hors, si nous voulons être rigoureux avec nous-mêmes et surtout en phase avec notre moral, cette loi devra demeurer dans son état actuel. Pour mémoire, c’est une tentative de modification de notre loi fondamentale qui a été le corollaire direct des évènements de fin octobre 2014. Comment pouvons- nous défendre une chose et son contraire ? Pourquoi vouloir changer maintenant une règle éditée depuis 2009 pour laquelle opposition et société civile ont lutté depuis plus de deux décennies ?

De la faisabilité du vote des Burkinabé de l’étranger en 2015
Depuis l’entrée en vigueur de la loi pour le vote des Burkinabé de l’étranger en 2009, la CENI s’attèle à mettre en place le dispositif. Pour ce faire, elle a effectué au préalable différentes missions dans les Etats précurseurs en la matière pour s’enquérir de leur expérience. Ensuite, elle a ciblée 32 Ambassades et 9 Consulats généraux puis entamé l’installation de ses démembrements. Ainsi de Lomé à Abidjan en passant par Addis Abéba, de Paris à Washington en passant par Rome, la CENI a sillonné les différentes capitales où elle a procédé à l’installation de CEIAm (Commission Electorale Indépendante d’Ambassade) et de CEIc (Commission Electorale Indépendante de Consulat) tout en prenant en compte dans les différentes commissions des représentants de l’ex majorité et de l’ex opposition et de la société civile.

Concernant le corps électoral de l’étranger, les différents ambassades et consulats disposent indéniablement de listes primitives sur la base des cartes consulaires qu’ils établissent. Cette base de données qui est susceptible certainement d’être enrichie, ne pourra jamais être exhaustive. Il incombe alors aux différents démembrements de la CENI à l’étranger de s’inspirer de cette base de données afin d’établir des listes valides et authentiques tout en respectant scrupuleusement les critères du code électoral. Il suffira dans ce contexte pour la CENI de s’imposer l’objectif d’avoir une liste électorale crédible plutôt qu’exhaustive, des Burkinabé de l’étranger.
Est-il absolument nécessaire de rappeler que la présidentielle de 2010 au Burkina avait mobilisé seulement 1 000 000 de votants sur plus de 16 000 000 d’habitants ? (Seulement 6 Burkinabé sur 100 étaient allés aux urnes). Ce faible taux d’enrôlement et de participation aux scrutins nous place au même niveau que les autres pays d’Afrique Subsaharienne ; elle n’a pas empêché la validation des résultats par les observateurs nationaux et internationaux puisque le suffrage universel reste paré aux yeux de tous comme le meilleur gage de légitimité du pouvoir. En tout état de cause, la crédibilité du scrutin ne reposera pas sur les taux d’enrôlement et de participation, mais sur la validité des listes. La CENI à travers ses démembrements installés à l’étranger est sans nul doute compétente pour mener à bien cette mission.

« Il n’y a qu’une seule façon d’échouer, c’est d’abandonner avant d’avoir réussi » Olivier Lockert. L’incapacité d’organiser une élection transparente à l’étranger relève aujourd’hui d’un axiome ; il s’agit d’une question de volonté politique et subsidiairement d’organisation.
L’exclusion des Burkinabé de l’étranger à la présidentielle de 2015, n’est pas seulement illégale ; elle est inopportune, dénuée de vision politique, et obsolète dans une démocratie. Par conséquent, nous appelons l’ensemble des forces vives de la transition à réviser leurs positions, leurs certitudes. « Ce n’est pas le doute mais la certitude qui rend fou » Nietzsche.
Enfin, les Hommes passent, mais l’histoire demeure.
Excellences, Monsieur le Président, Monsieur le Premier Ministre « MOI AUSSI JE SUIS BURKINABE »

Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE
Médecin Urgentiste
Délégué CSBE Ile de France

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Vos commentaires

  • Le 30 janvier 2015 à 23:17, par Yac En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Bien dit.
    Il va falloir que nous nous mobilisons pour défendre nos droits !
    Seule la lutte paie !
    Tout comme la "Violence engendre la violence, je dirais que la forfaiture engendre la forfaiture"
    Merci !

  • Le 30 janvier 2015 à 23:34, par NOOM-WENDE En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Aymar Wendyam, nous savons que toi aussi tu es burkinabè mais nous ne pouvons rien pour toi. Si tu y tiens vraiment reviens au pays tu vas te faire inscrire et voter. C’est simple comme bonjour. Quand il s’est agi de marcher contre le pouvoir Compaoré tu n’as point demandé à venir participer ou du moins en tant que vrai patriote tu n’es point venu à une de nos multiples marches de protestation. Tu étais là-bas mangeant dans le frais et rigolant sans te soucier des souffrances que nous endurions ici. Maintenant que nous avons tout fait et qu’il ne reste plus qu’ à manger tu cries que toi aussi tu es burkinabè. Si c’était le contraire je suis sur que tu n’allais point te signaler. Le temps est court et le travail pour vous faire participer est grand. Il n’y a pas que la France. C’est facile de parler comme chacun de vous le fait ou pense. Soyez patients et rendez vous pour 2020.

  • Le 30 janvier 2015 à 23:42 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    De tout coeur avec le principe de vote de la diaspora.Meme le Mali a pu le faire en temps de guerre. C’est vraiment le bon moment de changer les chose mais force est de constater que tous ces gars de la transition sont tous des requins a la recherche d’une victoire facile en excluant un partie consequente de leurs ressortissants. Nous nous ne nous laisseront pas faire.

  • Le 31 janvier 2015 à 01:09 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Doublement bien dit.Il ne reste au gouvernement de choisir entre garantir la victoire de X et rendre justice a Y.Inutile de repeter "vote des burkinabe de l,etranger est un droit constitutionnel "qui ne se negocie pas au meme titre que l,article 37 qui a accouche Mr Kafando et Zida ne parlons pas du CNT qui sont a majorite des ex- veilleurs de nuit dans nos quartiers peripheriques karpala......demander leur avis revient a rabaisser la culture constitutionnelle democratique pour la simple raison qu,Ils ont un probleme avec les 4 operations et pourtant Ils sont deputes du peuple depuis 16/11/2014.

  • Le 31 janvier 2015 à 02:15, par willy En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Moi aussi je suis burkinabé mais à l’aise avec le report car les dés étaient pipés d’avance pour le Canada. Je suis cependant à l’aise avec ton analyse sauf qu’on a eu un faux départ à considérer.

  • Le 31 janvier 2015 à 02:29, par pazougnam En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Je ne sais pas pourquoi cet intérêt soudain de la diaspora pour les votes. C’est comme s’ils votaient avant et maintenant on veut leur refuser ce privilège. Que celui qui veut voter prenne son avion et vienne se faire recenser au pays. C’est tout simple que çà. Durant 27 ans vous n’avez pas voté et personne ne bronchait. Cela ne vous a pas cependant empêcher de vivre là où vous êtes.

  • Le 31 janvier 2015 à 04:39, par Tapsoba®(de H) En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Mon frère vous dites bien que la loi a été voté en 2009 pour entrer en vigueur en 2015(y est -il inscrit la date de son application ?) malgré qu il y ait eu une élection présidentielle en 2010 ,une année après son entrée en vigueur ,sans que cela ne posât problème juridique et constitutionnel.C est dire qu il est encore possible de reporter son application au delà de 2015 sans que ça passer par modification des textes,alors arrêtez de nous divertir.Le ticket d avion le moins cher en basse saison (Octobre ) est de 500€ avec Tunisair,et d un peu plus de 1000€ avec AirFrance -KLM.Que celui qui fait de sa participation à cette élection de 2015 VITALE,qu il prenne son avion ,aille s inscrire sur les listes électorales à Ouaga 6 mois avant la date de l élection et y retourner tranquillement en octobre voter.Point à la ligne.

  • Le 31 janvier 2015 à 05:49, par Barry Filip En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Il faut lire les interventions au forum sur l’article de Zongo, de la diaspora de New York.... Tout ce qui est dit s’appliquent à ton article. Il faut venir au pays voter. C’st plus sur pour cette année. En 2020, le que le peuple mettra en place en 2015 travaillera à inclure la diaspora.
    Merci de votre soutien et de votre comprehension. Un pouvoir de transition ne peut pas régler des questions aussi complexes !

  • Le 31 janvier 2015 à 06:11 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Je partage en tous points avec dispositions constitutionnelles légales à l’appui le point de vue du Docteur Judicaël Compaoré. Je lui adresse mes sincères félicitations pour son courage à asséner ces vérités primaires à certains apprentis "sorciers" qui veulent "brûler" à nouveau notre beau pays en excluant sa diaspora alors que les organes de ce vote sont déjà en place. Les autorités de la transition doivent prendre leurs responsabilités car le pouvoir qui sera issu de ces élections ne sera jamais légal et légitime au regard de la diaspora burkinabè si cette diaspora n’y est pas associée. Je valide sans aucune réserve cette démarche courageuse, patriotique et démocratique du Docteur Judicaël Compaoré. Diaspo One.

  • Le 31 janvier 2015 à 07:40, par zakaria de paris En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Merci docteur pour votre analyse merci de nous défendre et votre analyse est juste et aucun argument sérieux ne peu être avancé pour nous empêcher de voter merci.

  • Le 31 janvier 2015 à 08:04, par Thomas Bagre En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Si il y a quelque chose d’important que les burkinabé dans leur majorite refusent c’est l’injustice par le non respect des lois et règlements et je partage librement l’attitude et la reaction de Mr Wendyam sur le vote des frères burkinabés à l’étranger.
    À tous mes frères burkinabés ne soyons pas aussi amnésiques mais soyons justes, loyaux et surtout alerte pour le respect de nos lois, charte et autres règlements dans toute sa rigueur.
    Blaise a été chassé pour non respect de nos lois en voulant toujours rusé.
    Combien de burkinabé à l’interieur ont toujours pris part aux differents scrutins de vote, d’ailleurs très peu mais cependant valider et nous sommes toujours gouvernés par ces dits élus dont ils se réclament légitimes. Essayer au moins une fois à l’étranger et corriger en tenant compte de nos moyens, nos frères comprendront mais de grâce ne leur refusez pas le droit de vote que leur confère la constitution. Valider de façon consensuelle les listes à l’exterieur c’est d’ailleurs le travail de la ceni.
    Autrement il faut que la ceni montre patte blanche des ressources utilisées dans cette opération, si l’ancien régime était pour quelques magouilles que ce soit qu’elle le dise et que les dispositions soient prise pour corriger et faire rendre gorge ses responsables sinon la ceni actuelle est très disqualifiée pour organiser les élections présentes et doit être poursuivis.
    Respectons nos lois, évitons de voir nos intérêts égoïstes partisans et voyons l’intérêt de la nation sans exclusion et mieux notre vivre ensemble sera plus consolidé et durable cela aussi et surtout est de la responsabilité des autorités de la transition. Ne louvoyé pas avec la vérité et la justice en tout cas vous êtes avertis. Sans rancune

  • Le 31 janvier 2015 à 08:36 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Personne n’a dit que vous n’êtes pas burkinabè ; il est dit que les conditions actuelles ne permettent pas le vote de la diaspora.
    Donc ne vous échauffez pas ! Vous nous pompez l’air ! Si vous voulez revenez au pays, il manque énormément de médecins !

  • Le 31 janvier 2015 à 08:37, par Le peuple debout En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Personne ne vous as retirer ta citoyenneté burkinabè. Mais tout patriote sincère doit reconnaitre que cela n’est pas possible pour ces scrutins à venir au risque de gripper la transition. Les pays de la sous région que vous citez à savoir le Mali ; le Senegal ; la Cote d’Ivoire lequel des ces pays a connu une dictature militaire de 27 ans comme le notre ? Chacun de nos se rappelle de l’entêtement bovin de BC et ses sbires ( ambassadeurs et autres) à vouloir rester au pouvoir ?, chose qui a sérieusement détériorer le climat social. Ne pensez pas que les martyrs sont morts pour rien. Nous voulons un Burkina nouveau et nous ne pouvons accepté cette volonté malsaine du président et ses acolytes à vouloir revenir au pourvoir de si peu. Tout a été mis en œuvre pour saper la bonne marche du pays économiquement et militairement . En effet tout l’argent volé par BC et ses proches devrait servir aux populations meurtri dans la souffrance.Ce vote a venir doit être le plus transparent de notre histoire et vraisemblablement les conditions ne sont pas réuni pour le vote de la diaspora et personne ne mourra si ceux ne votent pas . Je suis aussi bien de la diaspora mais j’estime que c’est impossible . Vous êtes Médecin et vous savez que l’assistance en cas de maladie est un droit au Burkina mais est ce que ce droit est l’est réellement au Faso ? Le pays n’a pas besoin de ces gesticulations malsaines.

  • Le 31 janvier 2015 à 08:59, par waogo En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Certes nous sommes tous burkinabè et a ce titre nous sommes dignes de pouvoir voter .
    Mais question :était-on aussi acharné à vouloir imposer le vote des diasporas autant de Blaise COMPAORE ? Il faut laisser la transition conduire le pays sans arrières pensés .

  • Le 31 janvier 2015 à 09:08, par lyrique En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Dommage de lire cet article provenant d’un intellectuel , vous avez certes le droit de vote et personne ne vous renie ce droit , mais pensez vous que la transition avec le peu de temps qu’elle dispose puisse parer à cet état de fait ? La CENI a l’état actuel peux t elle le faire ? quelles sont les avantages et les inconvénients d’organiser ces présentes élections avec la participation les Burkinabè résidant à l’extérieur ? une analyse minutieuse et honnête nous fournira de plus amples informations pour la faisabilité de cet état de fait !
    Ayons pitié et une pensée pour ceux qui sont tombés mains nus lors de l’insurrection des 30 et 31 , le châtiment du tout puissant sera sans appel et Blaise compaoré s’en souviendra !!!!

  • Le 31 janvier 2015 à 09:10 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Bonjour Dr,
    Je suis parfaitement d’accord avec vous que le vote des burkinabè de l’étranger est un droit inaliénable. Cependant, il faut comprendre les enjeux actuels du pays et accepter le sacrifice demandé pour cette fois. Faire voter un (seul) burkinabè à l’étranger coûte actuellement combien ? Il faut bien qu’on y aille mais peut-on le faire actuellement ? Je ne pense pas qu’il faille durcir inutilement les débats sur ce sujet actuellement car à l’évidence, ce sera difficile pour notre maigre budget de supporter cela. Vous faites le parallèle avec les Maliens, Sénégalais, Béninois etc. Savez-vous combien leurs ressortissants de France (pour ne prendre que ce seul cas) font rentrer comme devise au pays ? Connaissez-vous le budget de ces pays ? Connaissez-vous actuellement l’état des finances du nôtre ? Ne pouvez-vous pas à titre individuel faire l’effort de venir voter (vous qui semblez en avoir au moins les moyens) et profiter échanger sur la question sur place ? Je pense que nous devons être réalistes et compréhensifs par rapport à cette situation, et éviter de profiter de cette période pour chercher à améliorer notre visibilité (je ne dis pas que c’est votre cas) comme veulent le faire certains responsables d’ONG, en prétendant œuvrer pour l’intérêt de nos frères à l’étranger (nous savons tous que beaucoup d’entre eux comptaient sur les financements prévus pour ces votes). Encore une fois, soyons compréhensifs car comme disent les ivoiriens : "tout près n’est pas loin".

  • Le 31 janvier 2015 à 09:33 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Mon ami si tu tiens à voter tu es médecin en France et tu as moyen de prendre l’avion venir voter et repartir en entendant que l’Etat puisse avoir les moyens de faire voter tous les burkinabè de la diaspora dans leurs pays de résidence.

  • Le 31 janvier 2015 à 09:35, par Dimathème En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    je suis d’accord mon frère mais on ne peut pas réveiller quelqu’un qui ne dort pas et c’est votre cas. En 2010, le régime Compaoré avait à la dernière minute annulé le vote des burkinabè de l’étranger et cela n’a choqué personne. En 2014, la CENI annonçait déjà les couleurs sur son incapacité à enrôler les burkinabè de l’étranger et cela n’avait pas choqué. Aujourd’hui chacun se lève et dit ce qu’il veut par ce que c’est la mode. Il faut être ici au pays, dans l’administration pour comprendre certaines choses. On se sert la ceinture pour régler certaines choses. Pas un seul organisme étatique ne fonctionne normalement. le budget est serré et là je sais de quoi je parle. déjà que le fonctionnaire en province était obligé d’attendre l’accord de Ouaga pour s’acheter de l’encre, il se trouve que son patron à Ouaga même a du mal à faire passer son budget car il faut le reconnaître, nous vivons une austérité qui ne dit pas son nom. Le tissu industriel non seulement est faible mais la plus part appartenait à des groupuscule de personnes et mieux, les bailleurs de fonds sont retissant. Ceux là même qui nous aidaient hier ont peur du changement donc ne versent plus un sou.

    Au lieu de crier en disant que vous êtes aussi burkinabè, faites quelque chose de positif, pourquoi vos ne vous organisez pas entre vous et commencer le recensement puis nous aider avec nos maigreurs en finançant par patriotisme les élections dans le pays où vous vous trouvez ? En ce sens que vous prenez en charge tous les frais liés à l’organisation de l’élection dans le pays en question.

    Si l’état va continuer à compter sur les taxes et impôts internes, on ne pourra guère organiser les élections à l’étranger.

    Fier d’être burkinabè

  • Le 31 janvier 2015 à 09:37, par WENDPACONTYé En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Sincèrement .....si Monsieur Compaoré tient a voté qu’il paye son billet et rentre au pays.
    trop facile de travailler loin du pays et d’être exigeant à ce point !!!

    s’il me dit que le billet pour rentrer voter coûte cher ....il aura compris les difficultés du pays à organiser des élections pour les burkinabés de l’étranger

    ps : je précise que je suis Burkinabé de l’étranger et que Monsieur Compaoré est un élément opportuniste du CDP.

  • Le 31 janvier 2015 à 09:40, par matyp & K’Emp En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Stp Judi, pas toi aussi. Bon, ça ne m’étonne pas aussi, la main du CDP est toujours derrière...

    Je ne sais pas si tu suis les actualités, mais dans le présent contexte, le vote des étrangers est impossible à gérer, si l’on s’en tient même aux dires de la CENI. Alors pourquoi insister comme si ce que le Burkina a traversé ne te fait rien ? Ah mince, j’oubliais que tu as soutenu bec et ongles la modification de l’article 37, la goutte d’eau qui a fait débordé le vase insurrectionnel au Faso.

    Tu cites des articles qui datent de 2009, alors qu’il y a eu des élections après cette date, et aucun de la diaspora n’y a participé. Est-ce que ça a posé un problème ? En fait, j’ai l’impression que c’est le même esprit que pour l’article 37 qui t’habite toujours, malgré la mauvaise expérience que ceux qui finançaient vos activités en France ont vécu. Il faut savoir tirer des leçons de l’histoire, au lieu de s’enfermer dans un entêtement, en invoquant la constitution outre mesure sans aucune référence à l’esprit du texte et au contexte. Tu parles encore de légalité, comme si c’est la loi qui avait créé ce pays. C’est, encore une fois, une histoire de légitimité et j’ai l’impression que toi, tu n’as toujours pas compris ça.

    Tu appelles les forces vives à abandonner leurs certitudes, certitudes sur quoi ? Que les élections à l’extérieur vont être une catastrophe ? Voyons, sois honnête avec toi-même. Nous sommes en période de crise, Blaise est resté 27 ans sans faire voter un de la diaspora, la transition n’est là que pour moins d’une année et aucun Burkinabé de l’étranger n’a jamais voté à l’étranger. Penses-tu que nous, les Burkinabés, souhaitons bâcler notre rendez-vous électoral ? Il n’y aura de bricolage cette fois-ci, pas d’élection en demi-teinte : les bricoleurs ont été virés du pays.

    Vraiment j’ai l’impression que beaucoup qui sont au CDP ont des problèmes sérieux dans la tête. Ils persistent à vivre dans une dimension parallèle à la nôtre, complètement déconnectés de la réalité...

    Autre chose, pour finir, tu te rappelles de comment se sont passés les élections des délégués burkinabés en France ? C’était la vrai pagaille, non ? Tu sais bien que beaucoup qui t’ont élu n’habitaient pas dans les départements concernés par ces votes. Même toi tu n’y habitaient plus. Vous avez, avec ton équipe, réussi à faire voter des gens qui étaient de passage en France, à l’image de mon pote qui avait un visa d’un mois, visas pris pour venir participer au mariage de sa soeur en Belgique. Je passe sur les autres irrégularités, tellement il y en avait. Et ça, les amis, c’était juste pour les élections des délégués CSBE, en France (pays dont la culture démocratique est nettement plus assise que dans nos contrées, qu’en RCI par exemple). Si vous avez pu commettre ce bordel ça à l’époque, pour si peu, alors, pour les présidentielles, je n’ose pas imaginer ce dont vous serez capable. Et surtout si c’est en RCI que ça se passe...

    De grâce Judi, la prochaine fois que tu vas écrire, essaie de proposer des techniques pour aider nos urgentistes au Faso. C’est par là que tu nous montreras que tu es vraiment Burkinabé, au lieu de tenir un discours qui ne s’embarasse pas de la situation que vit le pays.

  • Le 31 janvier 2015 à 09:53, par Nanga En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    M. Compaore. a lecture de votre article, je suis d’avis avec vous. Cependant, je me demande ou etions-nous, nous les Burkinabe de la diaspora lorque le regime precedent ce la coulait douce pendant pres de 30 ans ? Je suis aussi de la diaspora, mais tout comme moi, nos compatriotes sont d’avis que nous ne pouvons pas exiger de la transition ce que nous n’avons pas pu obtenir en 27 ans meme si nous aimerions apporter notre pierre pour la construction du Burkina Faso nouveau. Est-ce que les raisons qui ont prevalues aux multiples reports du vote des burkinabe a l’etrangers ont trouvees solutions ? Cherchons la solutions pour payer nos dettes au lieu de continuer a creuser le fosse. Je ne suis l’avocat de personne mais il faudra que l’on tienne compte du fait que la transition a pris sa fonction avec des caisses a la limite vide. Alors SVP, arretons de demander ce que nous avons passe des decennies a quemander. Aidons la transition a mener a bien les choses. S’il plait a Dieu nous pourrons voter lors des scrutins a venir. LA TANSITION NE PEUT PAS FAIRE CE QUE NOUS N’AVONS PAS PU FAIRE EN 27 ANS. C’est juste mon avis et ma contribution pour une meilleur entente. Merci

  • Le 31 janvier 2015 à 10:14 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE
    Nous ne sommes pas contre le vote des burkinabé de la diaspora,objectivement ceux des autres pays dont la France peuvent voter mais qu’en sera t’il de ceux du Ghana et particulièrement de la Cote d’Ivoire et qui constituent à eux deux plus de 95% de cette diaspora ? —Ou il y’a un cafouillage dans la délivrance des cartes consulaires —Et qu’ à dessein le régime précédent avec à sa tête son ambassadeur,ces chefaillons et les leaders burkinabé de la CI à la solde, ont travaillé à "moutonner"cette masse de burkinabé des profondeurs de ce pays, analphabètes et coupés la plupart du temps des réalités de leur bayiri ?
    — Ou l’ex président y réside après service rendu au président OUATTARA

  • Le 31 janvier 2015 à 10:17, par Burkimbila En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Arretez moi ces inepties. Les conditions ne sont pas réunies pour que vous votiez. Ce qu’on n’a pas pu faire en 27 ans, ce n’est pas en 12 mois qu’on pourra le faire

  • Le 31 janvier 2015 à 10:31, par zakaria de paris En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Monsieur matyp Kemp est un aigri et un monsieur téléguider du MPP vous avez soutenue et voter un candidat à l’élection CSBE et votre défaite vous ait resté à travers la gorge je comprends vous étiez ou quand on organisait les élections CSBE. Il est bien beau de raconter n’importe quoi quand on n’a pas des preuves mais le Docteur est arrivé premier aux élections CSBE et nul ne pourra le lui enlever. Lui au moins parle a visage découvert et assume ses conviction vous vous étes comme un rat qui est dans les égouts et sort le soir pour foutre la merde.

  • Le 31 janvier 2015 à 10:39, par Guillaume En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Mr matyp kemp meme si monsieur judicael est du cdp il défend une cause noble et il l’exprime j’espère qu’un jour quand vous aller avoir les couille ou quabd vous allez grandir vous pourrez defendre vos idees a visage découvert. Merci docteur au moins ca vous ne pouvez pas le lui enlever continuer nous la jeunesse du Burkina on veut des hommes comme vous.

  • Le 31 janvier 2015 à 10:40 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    arrêtez pour vous là, que celui qui tient à voter prenne son avion et vienne voter

  • Le 31 janvier 2015 à 11:17 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    J’ai lu tous les commentaires suite à l’article du Docteur Judicaël COMPAORE et je voudrais répondre à tous ces internautes qui critiquent cet article du Docteur Judicaël COMPAORE.

    - 1. @ Noom Wendé intervenant n° 2 : je conteste formellement ses allégations fantaisistes. Même si on n’a pas participé matériellement à l’insurrection populaire, il n’en demeure pas moins qu’on reste burkinabè et qu’on a le droit élémentaire de vote et surtout de s’exprimer sur le fasonet. Je loue le courage du Docteur Judicaël COMPAORE et l’histoire s’en souviendra qu’il a défendu le droit de vote des burkinabè de l’étranger.

    - 2. @Pazougnam intervenant n° 6 : La lutte pour le vote des burkinabè de l’étranger ne date pas de l’article du Docteur Judicaël COMPAORE mais de longue date pour se voir consacrée dans la Constitution en 2009. Donc arrêtez de raconter du n’imprte quoi si vous n’avez même pas lu l’article. Ne pas avoir participé à l’insurrection ne vous déchoie pas du droit de vote et encore moins de la qualité de citoyen burkinabè.

    - 3. @ Tapsoba de Hollande et à Barry Filip. Vous êtes tous deux de mauvaise foi et de moralité douteuse pour le simple fait que vous n’avez même pas compris le sens de l’article. C’est la défense de l’intérêt général des burkinabè de la diaspora et pas la défense individuelle car ni le Docteur COMPAORE, ni certains burkinabè de la diaspora n’ont pas attendu votre mot d’ordre à la con pour s’inscrire déjà sur les liste électorales au Burkina et ont déjà voté aux législatives et à l’élection présidentielle de 2010. Vous n’êtes pas sérieux surtout Tapsoba de Hollande qui s’est proclamé militant UPC alors que l’UPC est pour le droit de vote des burkinabè de l’étranger en 2015.

    - 4. @ Thomas BAGRE : Qui est vraiment un ignard et surtout qui ignore tout de la CENI car la CENI est déjà prête et a mis en place tous les démembrements. Acroire vraiment que ce thomas bagre n’a pas lu l’article avant de réagir. Est-ce étonnant dans un débat ou la passion et la folie prime sur la raison et la sagesse. Soyez béni, Docteur COMPAORE.

    - 5. @Dimathème : tu es peut-être fier d’être burkinabè, mais tu n’as pas les atributs car le burkinabè est toujours compatissant et aime les autres burkinabè. Si c’est une question de prendre le billet pour la plupart des gens de la disapora, ce sera plus facile pour certains burkinabè de l’intérieur comme toi qui n’a jamais dépassé la frontière de Bobo.

    - 6. @ Wendpanontyé : c’est l’internaute le plus négatif et le plus satanique. En quoi l’appartenance de Monsieur Judicaël Compaoré au CDP éventuellement peut lui dénier sa qualité d’écrire un article et surtout sa volonté de ne pas accepter que le droit de vote de la diaspora soit éludée ? Vous êtes pire que le régime de Blaise Compaoré qui lui, quand même laissait la liberté d’expression. A ce rythme là, nous nous acheminons vers une guerre civile. Le respect de la Constitution notamment sur le droit de vote n’a rien à voir avec la possibilité pour chaque membre de la diaspoora de payer son billet pour aller rendre visite à sa famille ou voter au Burkina.

    - 7. @Matyp & K’emp : Vous incarnez la haine par essence et la revanche parce que vous avez sûrement été un candidat malheureux à l’élection du CSBE. Mais sachez qu’à l’intérieur du CSBE, il n’y a aucun avantage. Il n’y a que des problèmes....Je vous compare au Ministre de la Communication porte parole du Gouvernement Frédéric NIKIEMA qui a dit arrogamment que tous ceux qui ont soutenu la modification de l’article 37 ne peuvent pas participer à la commission de réconciliation. Ce type-là veut, dans ces conditions se réconcilier avec qui en disant cela ?
    Sinon, comment, non seulementil se trouve des gens qui ne défendent pas les intérêts de la diaspora, mais en plus ceux qui la défendent courageusement sont attaqués injustement. Le Tout Puissant voit tout et vous récompensera à la hauteur de vos malfaisances.

    En conclusion : l’heure est à l’unité de la diaspora pour défendre notre droit de vote. Dire que le nombre de burkinabè en RCI fera que Blaise Compaoré qui est refugié à Yamoussokro va revenir au pouvoir est un chantage macabre au droit de vote de la diaspora. Ce qui est sûr, quelle que soit la position des uns et des autres, quelles que soient les attaques dirigées à l’encontre du Docteur Judicaël Compaoré, l’histoire a toujours donné raison à ceux qui se battent pour leurs libertés et leur dignité. La patrie ou la mort, nous vaincrons irrémédiablement. La vérité et la justice ont toujours triomphé du mensonge et de la méchanceté de ceux qui sont caché derrière leurs claviers pourris. L’intègre partisan inconditonnel de l’alternance et du droit de vote des burkinabè de la diaspora.

  • Le 31 janvier 2015 à 11:30, par leregard En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Je comprends que les burkinabè vivant hors du pays aspirent à voter. C’est un droit. Mais je suis surpris par cette flambée soudaine alors que la loi a été votée depuis des années sans avoir jamais été appliquée et il ne s’est trouvé personne ou presque personne pour crier si fort son droit au vote. Bien sûr l’insurrection est passée par là et toutes les revendications se multiplient avec chacune plus d ’exigence que les précédentes. Je voudrais demander aux burkinabè vivant hors du pays, d’accepter que pour les élections en fin de transition, elles acceptent la situation. Tout est en équilibre instable. Par ailleurs, je serai heureux de voir les burkinabè vivant hors du pays, à proposer une loi afin qu’ils paient des impôts dans la pays. C’est aussi l’autre face de la médaille. Au droit est opposé le devoir.

  • Le 31 janvier 2015 à 11:44 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Comment ça rentrer pour voter ! N.importe quoi.
    Ce n’est pas parce que nous ne sommes pas au pays, que nous devons être écarté de notre droit fondamental le vote. La diaspora à les mêmes droits que les nationaux sur place. Alors qu.ils fassent en sorte en y mettant tous les moyens pour que les burkinabé de l.exterieur puissent avoir leur mot a dire. Ceux qui sont actuellement au pouvoir ont défendu ce principe si je m.en souviens bien
    arretons de tourner les gens tout est possible d’ici octobre 2015.
    Blaise est parti en 2 jours

  • Le 31 janvier 2015 à 11:54 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Matyp et k´emp, pour toi la c.est aigreur.
    va régler tes comptes ailleurs qu’ici avec qui tu veux.
    Toujours la a critiquer quand les autres agissent pour un changement de notre pays. Toi tu fais quoi ? Derrière ton écran la, tu crois que tu vas changer quelque chose. Apporte tes idées, réfléchi et agit
    merde

  • Le 31 janvier 2015 à 12:31, par matyp & K’Emp En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    @Guillaume & @zakaria de paris : vous m’avez donc reconnu ? Je ne défend donc pas mes idées à visage découvert, sinon j’aurai pu prendre un pseudo quelconque (et le comble, c’est un gars qui utilise 2 pseudo qui me découvre lol). Ce n’est pas grave, vous pouvez m’insulter comme vous voulez, mais vous n’avez rien vu encore. Mon objectif en tout cas est atteint. Le discours que j’ai tenu ici ne vous est pas étranger puisque je vous ai toujours dit de vive voix ce que je pense. Et je vous le dit une fois de plus : vous vous êtes trompés de camp depuis le début et vous persistez dans l’erreur. On ne pourra construire le pays que sur la base de la vérité alors, disons nous les vérités. Sortez de votre myopie sélective où tous ceux qui ne sont pas d’accord avec vous sont du MPP.

    Je ne sais pas de quelle jeunesse vous parlez, mais si c’est celle qui a mis fin à l’emprise de Blaise sur le Faso, je doute fort qu’elle soutienne Judi et cie, surtout concernant le vote des Burkinabés de l’étranger - qui bizarrement n’est demandé que par les anciens membres du Front Républicain. Merci de lire les commentaires des autres internautes au lieu de vous attardez sur le mien, vous comprendrez de quoi je parle.

    Bon courage en tout cas pour votre obstination. Le peuple saura reconnaître les siens.

  • Le 31 janvier 2015 à 12:36, par GEORGES En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    TOI TU ES BURKINABE C’EST VRAI
    TOI TU ES DU BUREAUX POLITIQUE CDP EN FRANCE C EST VRAI
    TOI TU ES DE CEUX LA QUI N A JAMAIS VOULU QUI BLAISE QUITTE LE POUVOIR
    TOI DELEGUE CSBE. .. CE QUE TU DIS N CONCERNE QUE TOI
    ON T A VU DANS LES MEETING AVEC TON MENTOR LUC ADOLPHE TIAO
    C’EST PAS UN MOYEN POUR EXISTER. VU QUE LE CDP TE PAYAIT DES BILLETS TOI ET TON FRERE SG CDP POUR LES CONGRÈS A OUAGA. ILS PEUVENT VOUS PAYER DES BILLETS POUR VENIR VOTER.
    IL FAUT ARRÊTER CETTE EXCITATION INUTIL ET RESPECTER LES BURKINABE.
    NOUS SAVONS CE QUE VOS ETIEZ. ET LE PRÉSIDENT NI LE PREMIER MINISTRE NE PAS TON CAMARADE. ET TU NE PAS INTELLIGENT QUE CEUX QUI ONT DIT QUE LE VOTE NE PAS POSSIBLE. VOUS AVEZ JOUÉ UN JEU CDP. VOUS A AVEZ PERDU. LA VIE CONTINU.

  • Le 31 janvier 2015 à 12:46, par Médecine ufr santé. Le petroleur En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Ah le frère Joel Compaoré sg cdp en France est mort et le consin Judicael Compaoré reprends le Flambeau. En attendant la nièce Djamila.
    Ah la dynastie rêveuse des compaore.
    Comme dit Djibril Bassolé , faut quitté dans ça.
    Judicael c est gâté. Gâté même pour vous tous

  • Le 31 janvier 2015 à 12:57, par MOI LE PATRIOTE PARFAIT En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Docteur Wendyam. On te comprend en tant que Burkinabè. Mais le pouvoir de Blaise a mis 27 ans pour préparer le scrutin de la diaspora.Il n’a même pas achevé qu’il a fuit. Si les listes électorales de la diaspora de tous les pays ne sont pas disponibles on ne peut pas faire voter la diaspora de France et laisser celle de Lybie par exemple .Toute la diaspora mérite le même traitement. Si votre revendication est fondée elle doit être empreinte de discernement. Si vous n’êtes pas au courant aussi sachez qu’en Côte d’Ivoire il se préparait une vaste mascarade de fraude sur les listes. Partout ou il y a des listes établies pour le vote de la diapora Burkinabè, ce sont les pays ou une vaste campagne de fraude à la sauce "Toukguili" était en préparation. Là ou il n’y avait pas d’enjeu, des listes n’ y ont tout simplement pas été établies. Gouverner c’est prévoir voilà pourquoi c’est risquant . Prend ton avion who ??? et vient voter au Faso on t’attend.

  • Le 31 janvier 2015 à 13:05, par Pasek Taale En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Je suis désolé mais se sont les vrais patriotes qui ont chassés la compaorose du pays. Mon frère si tu te sent burkinabè,rentre au pays te faire inscrire sur la liste pour voter

  • Le 31 janvier 2015 à 13:07, par Yamm En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Toi au moins en tant que CSBE tu a le courage. Ils sont passés ou tes collègue qui défendaient becs et ongle le vote des burkinabé de l’étranger ?
    Courage on est ensemble.

  • Le 31 janvier 2015 à 13:09, par Yamm En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Bravo pour ton courage. Les CSBE pensent seulement à mouiller leurs gosier. Ils sont tous passés où ?
    Bravo

  • Le 31 janvier 2015 à 13:09, par sank En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    LA DIASPORA DOIT SE CONTENTER DE RAPATRIER LES MILLIERS DE MILLIARDS QUE BLAISE ET SON CLAN NOUS ONT VOLE. CEUX QUI SONT RESTER AU PAYS S’OCCUPERONT DES PRÉSIDENTS MAL ÉLUS.

  • Le 31 janvier 2015 à 13:11, par LY En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Arrétez vos connerie la… Le pays n’est pas en guerre. Nous n’avons pas mis COMPAORE à la porte pour reculer de 50ans. Donc OUI au vote des Burkinabé de l’étranger.
    C’est quoi cette mascarade la.

  • Le 31 janvier 2015 à 13:13, par Edgar En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    MATYP nous sort de ses théories…. Nous sommes dans quel contexte ? Peut-etre un contexte de coup d’Etat ?
    Et le CDP a quoi à voir dans ça ? Quitte dans ça !

  • Le 31 janvier 2015 à 13:14 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Merci docteur compaore les burkinabé on besoin de gens qui ont des principes
    comme vous des chevalier de la démocratie prés a tous pour que la démocratie triomphe

  • Le 31 janvier 2015 à 13:15, par Edmond En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    La transition bah qu’il assume leur rôle point barre. Ils ont pris le pouvoir donc qu’elle gère en incluant tous les burkinabé.
    Nous voulons voter point final.
    Qu’il se debrouille.

  • Le 31 janvier 2015 à 13:25, par Togssida En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Mon cher docteur personne ne vous refuse le droit d’etre burkinabe et sache que le droit ne se limite pas a participer aux elections vous qui aimez tant votre pays sachez qu’il y a un manque cruel de medecins et docteurs au Burkina Faso pourquoi es-tu en France ? Je me dis que c’est pour fuir la malgouvernance des gouvernants se ton pays le BF et profiter des opportunites de vos pays d’accueil .Nous n’allons pas accepter que de votre lieu d’eldorado vous voter des dirigeants pour nous gouverner et vous vous etes a distance sans inquitude venez vivre les realities du pays avec nous comme cela vous voterez a. Tout moment.

  • Le 31 janvier 2015 à 13:54, par Ka En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Oui avec un nom comme le vôtre personne n’ignore que vous êtes parenté ou plus proche de l’ex-président Blaise Compaoré, Venez voter en 2020. Faire voter la diaspora dans une élection préparée par une équipe de transition sera un danger pour une alternance politique apaisé. Deux raisons s’imposes ‘’’’le délai est très court, un ex-président très rusé avec toute la caisse de l’état l’extérieur pour les achats de conscience.’’’’ Ceux qui persistent pour les votes de la diaspora sont de mal foi, et qui veulent préparer un tripatouillage électorale. Si en deux mois tous les ambassadeurs placés par la famille Blaise Compaoré rentrent au bercail, je serai pour un vote de la diaspora. Que tout Burkinabé qui est pour l’alternance politique et économique de notre pays bien aimé, comprenne les soucis des responsables de la transition, et rentre dans sa commune d’origine pour voter.

  • Le 31 janvier 2015 à 14:48 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Moi je tiens à voter et à être candidat, donc je prendrai mon avion en temps opportun et on se retrouvera là-bas au Burkina Faso. J’en connais (Ibriga, Shérif, Soma etc etc et plein d’autres sectaires) au Burkina Faso qui sont de l’intérieur et qui n’ont jamais construit une seule case dans leur village. N’en parlons pas d’un dispensaire. Diaspo One.

  • Le 31 janvier 2015 à 14:52 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    matyp & K’Emp est le plus con des intervenants. Comment voulez-vous que nous puissions construire collectivement le Burkina Faso. Même s’il y avait un demi-con comme cet intervenant (e) c’est un demi con de trop. Ce qui est éfarant c’est qu’il ne comprend rien à rien. Le Citoyen.

  • Le 31 janvier 2015 à 14:53, par KEMP En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    KEMP arrête d’être un mauvais perdant… Tu es jaloux du docteur au quoi ? Qu’est ce ce que le MPP ne disait pas pour le vote des burkinabé de l’étranger. Maintenant j’aimerai les entendre tous ces vieux la qui sont sans convictions à ton image d’ailleurs qui n’hésitait à danser devant l’ambassade au son du djembé. Tu t’érige en donneur de leçons toi ? Mais ou te-crois-tu ?C’est le monde en l’envers ! Vous entubez la diaspora et maintenant pour défendre leurs causes c’est le néant. Vous accusez le CDP. Avez-vous toujours aussi peur du CDP ? Heuuu mon pas toi quand même. je crois que tu a un peu profiter non ?
    Alors OUI pour le vote des Burkinabé de l’étranger.
    Courage Docteur. Tu soutiens une cause noble.

  • Le 31 janvier 2015 à 15:03, par Tinguinbiga En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Au tant du regime de BC, les arguments officiels utilises pour refuser le vote des Burkinabes de l’etranger tournaient autour des questions techniques et financieres. Tres peu de gens prenaient ces arguments au serieux. C’etait plus ou moins clair que le regime a l’epoque redoutait un eventuel vote sanction des Burkinabes de la diaspora, surtout ceux de la Cote d’Ivoire qui representent de loin la plus forte communaute de Burkinabes de la diaspora. Apres la crise ivoirienne et le role que BC y a joue, le regime a probablement senti que le vote des Burkinabes de Cote d’Ivoire lui serait favorable.

    Le probleme est qu’aujourd’hui, la transition nous ressort les memes arguments : questions financieres, techniques et temps, etc. Mais dans le fond, on a l’impression que c’est tout comme sous l’ancien regime : on redoute comment les Burkinabes vivant en Cote d’Ivoire vont voter, alors on reporte la participation des Burkinabes de la diaspora aux elections. On risque de reproduire l’ancien regime si on commence les methodes de cet ancient regime.

    Je suis a l’exterieur et je ne me suis pas inscrit sur la liste pour voter : c’est mon choix. D’autres Burkinabes (que je connais) se sont inscrits sur la liste pour voter, c’est aussi leur choix. Je souhaie qu’on respecte leur choix.

  • Le 31 janvier 2015 à 15:09, par Ka En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Merci Felix de prendre en considération mon message : ‘’’Bravo a la diaspora Burkinabé qui avait soutenu sans réserve le refus de modifier l’article 37 et le referendum Bidon. Je voudrai que nos compatriotes sachent que les responsables de la transition a sa tête Kafando et Zida ont fleuré le danger qui viendra des votes de la diaspora Burkinabé en Côte d’Ivoire dont Koutaba (bizzrarement toujours en poste !) a déjà fait sa campagne avec des achats de conscience, et certain Kiema (dont le frère fait la propagande de la candidature de Djibrill Bassolé en 2015) a reçu un budget énorme pour jouer le blé Goudé a la maison du peuple avec des jeunes assoiffé d’emploi et qui n’ont pas un repas par jour. Je félicite l’intelligence et la maturité des responsables de la transition de permettre tous les partis politiques de se relever pour que l’opinion internationale ne crie pas a la discrimination Surtout des partis politiques avec la jeunesse en prime pour l’alternance politique et économique d’un nouveau Burkina. A toute la diaspora vous êtes invité pour les élection de 2020 qui sera une élection sans tripatouillage. Merci de votre compréhension.’’’’

  • Le 31 janvier 2015 à 15:10, par revelateur En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Dr wend yam , on dirait bien que vous digerz mal le faite qu’on est chasser le CDP dont vous faite parti du pouvoir . quand c’etait le cdp vous ne voyez pas e problemes a ce que les etrangers ne votent .pas dr ne soyez pas............. laissez la transition travailler .et si vous tenez a votre vote prennez votre avion et venez votez c’est votre droit

  • Le 31 janvier 2015 à 16:33, par inoussa verite USA En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    C’est interessant d’observer l’intransigence de certains burkinabe de la diaspora a vouloir voter pour les elections a venir. Ils ne l’ont pas exiger du temps du dictateur BC. De quoi parle ce faux docteur faux intellectuel qui n’a pas eu les couilles pour denoncer la tentative de modification de l’article 37 ? La verite est que ce faux docteur est un militant cdp qui tente de faire renaitre Le monstre BC qui avait déjà mis en place Le vol des voix de la diaspora a travers les diplomates en place

  • Le 31 janvier 2015 à 17:24, par tinbila En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    les martyr de l’insurrection son mort pour que nos lois soit respecté donc arrêter le votes des burkinabé de l’étranger est un acquis pas une demande si le premier acte fort de la transition est de ne pas respecter la charte qu’elle même a rédigé ou allons nous mercis beaucoup docteur pour votre courage. maintenant les malhonnête serons la de la même manière on peut tous défendre mais il faut rester lucide le monsieur à été élus délégué CSBE et j’ai suivie cette élection avec beaucoup d’internet et c’était une des élection les plus transparente et qui à vus la participation de près de 400 à 500 francilien. qu’il une deux personne d’une autre région qui vote cela ne change rien au résultats et le docteur COMPAORE avait un des programmes les plus abouti.

  • Le 31 janvier 2015 à 18:06, par LE PATRIOTE En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    C’est du déjà entendu... s’il vous plaît, aidons la transition à organiser des élections transparentes pour une fois au Burkina Faso. Ce qui n’a jamais été selon les propos des politiciens qui étaient dans l’ancien régime.
    Monsieur le Dr Compaoré, par amour pour votre patrie, ayez l’humilité de reconnaître les contraintes objectives d’organisation du vote à l’étranger après l’insurrection contre le Régime de Blaise Compaoré.
    Arrêtons de distraire le peuple et réfléchissons au quotidien sur les moyens à déployer pour avoir des institutions fortes et stables pour enrayer les maux qui miment notre société depuis 27 ans. La corruption, la banalisation de la vie humaine, les crimes économiques .....

    Docteur , s’il te plaît, soit plus réaliste. Moins de théorie.

    Merci de nous avoir rappelé ce que nous savions déjà sur votre identité.

  • Le 31 janvier 2015 à 18:18, par Philly En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Tous ces guellards de la diaspora ne sont pas tous des Burkinabe. Quand le peuple se faisait tirer dessus par le RSP du dictateur Compaore qu’as tu fais ? Je vis aux USA et jai participé a la mise en place de la CENI á New York. Franchement cette structure ne peut superviser les elections de façon transparentes et credibles, parceque seydou Bouda a tous fait pour placer ces hommes. Point barre.

  • Le 31 janvier 2015 à 18:58, par Ka En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Merci Felix de prendre en considération mon message : ‘’’Bravo a la diaspora Burkinabé qui avait soutenu sans réserve le refus de modifier l’article 37 et le referendum Bidon. Je voudrai que nos compatriotes sachent que les responsables de la transition a sa tête Kafando et Zida ont fleuré le danger qui viendra des votes de la diaspora Burkinabé en Côte d’Ivoire dont Koutaba (bizzrarement toujours en poste !) a déjà fait sa campagne avec des achats de conscience, et certain Kiema (dont le frère fait la propagande de la candidature de Djibrill Bassolé en 2015) a reçu un budget énorme pour jouer le blé Goudé a la maison du peuple avec des jeunes assoiffé d’emploi et qui n’ont pas un repas par jour. Je félicite l’intelligence et la maturité des responsables de la transition de permettre tous les partis politiques de se relever pour que l’opinion internationale ne crie pas a la discrimination Surtout des partis politiques avec la jeunesse en prime pour l’alternance politique et economique d’un nouveau Burkina. A toute la diaspora vous êtes invité pour les election de 2020 qui sera une election sans tripatouillage. Merci de votre compréhension

  • Le 31 janvier 2015 à 21:37, par Hélène Daross En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Monsieur ,en tant que intellectuel, ne jetons pas de l’huile sur le feu. Pensez-vous que le pays doit s’embraser parce que les burkinabé de l’extérieur ne votent pas, par faute de moyen de surcroit . Il faut que s’arrête toutes les manipulations qui ne nous grandissent pas. Considérez l’intérêt du plus grand nombre ,usez d’un discours critique d’accord mais apaisant.je vous prie.

  • Le 1er février 2015 à 04:46, par Rassagl-yé En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    ce n’est pas tard mon ami
    arranges toi pour venir faire de petites vacances au pays et participer
    Quand il s’est agi de marcher contre le pouvoir patrimonial des Compaoré tu n’as point demandé à venir participer
    Je n’ai jamais lu ta réaction dans le forum des internautes pendant les périodes chaudes au pays
    et subitement tu deviens chauvin, un patriote. qui veut cultiver part au champ
    Si tu y tiens absolument reviens au pays tu vas te faire inscrire et voter.

    C’est facile de parler comme chacun de vous le fait ou pense.

    J’aurai préféré qu’un médecin généraliste de 33 ans vienne servir son pays le Burkina Faso même si c’est dans les cliniques privées pour aider à réduire les taux de mortalité maternelle et infantile au lieu d’aller servir à l’étranger pour son intérêt individualiste et se réclamer patriote. c’est ça ton devoir et ton patriotisme.

    bonne journée mon frère

    Webmaster, please, un supporter qui ne part pas au stade et un un joueur ne peuvent pas avoir la même façon d’analyser un match.

  • Le 1er février 2015 à 10:38, par ATTA En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Si en 27 ans de pouvoir,les autorités de l anciens régime n ont pas pu organiser le vote de la diaspora,n imputer pas cette faute a la transition.Et arrêter de nous pomper l air.

  • Le 1er février 2015 à 10:44, par Mira En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Un article reste un article. Nous avons refusé qu’on modifie l’article 37 de notre constitution et à présent vous vouliez qu’on change l’article qui stipule que tout burkinabè résidant à l’étranger peut participer au vote présidentiel. C’est ça la démocratie ??? Si on se laisse faire tout ce qui arrivera sera parce que sa arrange tel ou tel parti. Nous avons demandée la démocratie autant la pratiquer véritablement. Les multiples voyages de la CENI ont servi à quoi ? Ya sûrement une base qui est là qu’on unisse les différents partis pour s’assurer que les choses se passent bien. La diaspora contribue beaucoup à l’économie du Burkina nous ne devons pas les exclures de ce droit qui est légitime et légal.

  • Le 1er février 2015 à 10:55, par Mira En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Un article reste un article. Nous avons refusé qu’on modifie l’article 37 de notre constitution et à présent vous vouliez qu’on change l’article qui stipule que tout burkinabè résidant à l’étranger peut participer au vote présidentiel. C’est ça la démocratie ??? Si on se laisse faire tout ce qui arrivera sera parce que sa arrange tel ou tel parti. Nous avons demandée la démocratie autant la pratiquer véritablement. Les multiples voyages de la CENI ont servi à quoi ? Ya sûrement une base qui est là qu’on unisse les différents partis pour s’assurer que les choses se passent bien. La diaspora contribue beaucoup à l’économie du Burkina nous ne devons pas les exclures de ce droit qui est légitime et légal.

  • Le 1er février 2015 à 14:59, par Ka En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Oui avec un nom comme le vôtre personne n’ignore que vous êtes parenté ou plus proches de l’ex-président Blaise Compaoré, Venez voter en 2020. Faire voter la diaspora dans une élection préparée par une équipe de transition sera un danger pour une alternance politique apaisé. Deux raisons s’imposes ‘’’’le délai est très court, un ex-président très rusé avec toute la caisse de l’état l’extérieur pour les achats de conscience.’’’’ Ceux qui persistent pour les votes de la diaspora sont de mal foi, qui veut préparer un tripatouillage électorale. Si en deux mois tous les ambassadeurs placés par la famille Blaise Compaoré rentrent au bercail, je serai pour un vote de la diaspora. Que tout Burkinabé qui est pour l’alternance politique et économique de notre pays bien aimé, comprenne les soucis des responsables de la transition, et rentre dans sa commune d’origine pour voter.

  • Le 1er février 2015 à 18:31 En réponse à : QUE DIT LA CENI ?

    Sur le plan de la legalite, le vote des Burkinabe de la diaspora est pret. Plusieurs choses sont legales, surtout au Burkina, mais elles sont lettre morte. Tout est simplement question de moyens, ou quelque fois de mauvaise foi. J’ose croire que le non vote des Burkinabe de la diaspora peut etre du au fait les choses ne sont pas en place. Dans ce cas, la seule structure qui peut mettre fin a ce debat, c’est la CENI. Elle a depense des sommes importantes a organiser des voyages a travers nos ambassades pour preparer la participation des Burkinabe de la diaspora aux elections. Si elle est prete ou pas a faire participer les Burkinabe de la diaspora aux elections de cette annee, qu’elle nous le dise sans ambiguite. Car son silence est en train d’empoisonner le climat socio-plotique. Le peuple a le droit de savoir ! Plus tot nous saurons, mieux ca vaudra.

  • Le 1er février 2015 à 19:25, par Un autre fils du pays des hommes intègres En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    L’idée du vote des Burkinabés de l’extérieur est une cause juste. Mais c’est regrettable que les mêmes qui n’ont rien fait hier pour que ce vote ait lieu le réclament aujourd’hui.
    Sachons raison garder chers amis. La loi de 2009 n’a jamais fixé sa date d’application pour 2015.
    En 2010 et 2012, nous Burkinabés de l’extérieur n’avons pas voté et cela n’a choqué personne.
    Soyons un peu plus honnêtes. Ne demandez pas à un régime de transition de faire en une année ce que vous n’avez pas pu faire en 27 ans.
    Le vent à changer de direction, c’est difficile à digérer pour qui avait des avantages particuliers, mais ainsi va la vie.

  • Le 2 février 2015 à 06:02 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Mr le révélateur et autres, c’est un droit aussi de voter de l’étranger. Et je pense que la transition peut travailler a ce que ce droit soit respecter d’ici octobre. Enfin,arrêter vos histoires de partis politique, ça n.a rien a voir. Les burkinabé de l.exterieur restent des citoyens à part entière sans forcément appartenir à tel ou tel bord politique

  • Le 2 février 2015 à 10:28 En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Vous êtes malhonnête car le docteur à toujours défendu le vote des burkinabé de l’étranger cf son programme pour les élections CSBE et cela sur le faso.net mais comme vous êtes de mauvaise foi vous ne voulez pas le voire ou reconnaitre qu’il défendu le votes des burkinabés de l’étranger sous Blaise compaore. j’admire des gens qui sont constant et qui on des convictions beaucoup quitte le cdp pour aller à la soupe lui non et il n’a jamais caché sont attachement au CDP. merci a tous les démocrate et nous vous soutenons Docteur.

  • Le 4 février 2015 à 10:28, par anonyme En réponse à : « Moi aussi je suis burkinabè », dixit Dr Wendyam Judicaël Aymar COMPAORE

    Au lieu de nous endormir avec vos histoires de patriotisme à la con, revenez au pays pour exercer votre droit qui vous tient tant à cœur.C’est trop facile de critiquer les autorités de la transition, si en 27 ans de règne de votre president, vous n’avez pas votez, c’est pas en moins d’un an que vous allez le faire.Sa sert à rien de nous mèttre la pression, c’est pas les autorité de la transition qui refuse votre vote, c’est la jeunesse burkinabè, celle la meme qui à chassé BC du pouvoir.

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