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Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

Publié le mercredi 10 décembre 2014 à 06h21min

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Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

Un mois à peine après l’enthousiasme qui a entouré le changement intervenu au Burkina Faso, de récentes décisions des autorités de la transition inquiètent de par leur portée pour l’avenir du pays. C’est pourquoi, le Collectif de la diaspora de France a jugé utile d’attirer leur attention sur certains manquements qui pourraient remettre à plat le processus de reconstruction.

En ces moments de l’histoire du Burkina Faso il est convenant de s’incliner sur la mort enregistrée lors des récents événements. Le Collectif compatit à la douleur des familles éplorées et leur témoigne toute sa sympathie. Les circonstances ont accéléré l’actualité et placé le pays au-devant de la scène pour une longue période. C’est pourquoi, l’intérêt de cette déclaration tient au fait la marche emprunté par la Nation est suivie par des millions de personnes. Des illustrations récentes présagent la gestion des affaires par le nouveau régime est marquée par des insuffisances qui interpellent.

Le pouvoir de la rue a imposé une nouvelle donne au BF depuis le mois d’octobre 2014. C’est un fait que la force de la masse prend souvent le dessus sur celle des individus. Seulement, à vouloir légitimer constamment cette puissance populaire, le risque de briser l’harmonie existante est trop grand. Ces dernières semaines les volontés de changement de système de gouvernance se traduisent par des manifestations dites spontanées dans divers sphères de la vie nationale afin d’exiger des démissions à des personnalités sous le prétexte de leur longévité à leur poste, ou encore en raison de leur incompétence. Le désir de ne pas contrarier la masse qui leur a offert de façon inespérée le pouvoir sur un plateau, explique les décisions des autorités actuelles qui limogent donc à tout va.

Cette approche est dangereuse dans la mesure où cette pression de la rue mal canalisée, peut vite déboucher sur des règlements de comptes cachés sous le manteau du nécessaire changement. L’exemple des difficultés de la Tunisie après le départ de Ben Ali est assez illustratif à ce propos. De même, l’observation active et attentionnée de l’actualité récente du pays démontre que la plupart des mises à l’écart n’obéissent pas toujours à l’orthodoxie en la matière et semblent être faites avec trop de spontanéité. L’argument du sabotage évoqué pour expliquer le limogeage de l’ancien Directeur Général de la SONABEL paraît trop gros. Tout comme les supposés contacts que semblent avoir préservés l’ex DG de la SONABHY avec certains anciens dignitaires du régime passent mal. La mise à l’écart de ces personnalités et bien d’autres n’a pas pour autant résolu les délestages à travers le pays, encore moins atténué les difficultés des consommateurs à avoir du gaz butane en toute période de l’année. La dissolution des conseils municipaux montre déjà ses faiblesses avec les difficultés de paiement auxquelles pourraient être confrontées certaines collectivités.

Du nécessaire dédommagement des propriétaires des entreprises saccagées

Ce propos du Collectif de la Diaspora de France ne vise pas à remettre en cause les aspirations de changement du peuple, bien au contraire. Il s’agit pour cette organisation d’en appeler au respect de certains préalables afin d’éviter de plonger dans l’arbitraire. Le plus urgent, c’est d’instaurer les mécanismes en vue d’engager dans des délais raisonnables le processus vers une réconciliation véritable où tous les enfants du BF auront droit de citer. Il est peut être prématuré d’évoquer l’idée de leur retour au bercail pour la paix des cœurs, mais il est indéniable qu’une bonne paix ne saurait se construire sans tenir compte d’eux.

Le pays est à reconstruire parce que l’euphorie de l’insurrection a porté un coup à l’économie nationale, même si les discours difficiles prétendent encore le contraire. Les nombreuses entreprises pillées et saccagées, les milliers de personnes mises de fait au chômage sont des situations qui en appellent à éviter de se lancer dans une chasse aux sorcières. Le regard envieux de certains de nos concitoyens sur des réussites les amène à oublier trop vite souvent que des fortunes se sont construites au prix de mille efforts, pendant de longues années. Il ne faut donc pas utiliser une pelleteuse pour racler le fond d’une casserole en vue de la rendre propre. Le Collectif recommande donc de procéder avec méthode et d’envisager d’associer les propriétaires de grandes entreprises à toute action de dédommagement pour leur permettre de relancer la fragile économie du BF qui dépend des humeurs des partenaires étrangers.

Les libertés de mouvement accordées à certains ex dignitaires ces derniers jours cadrent parfaitement avec l’esprit de cette déclaration. Notre but n’est pas d’allumer une quelconque mèche, mais plutôt de ramener les choses à l’endroit. Cette contribution au débat, nous la reversons dans la dynamique des nombreuses autres initiatives entreprises ça et là pour cimenter la cohésion sociale du Burkina que beaucoup de pays pourraient nous envier.

Même pays, même patrie, même combat !

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Vos commentaires

  • Le 10 décembre 2014 à 06:37, par YIRMOAGA En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Dédommagement des propriétaires oui, mais à qui appartiennent ces entreprises et au moment du sinistre, elles étaient n règle des impôts et taxes ? Chers de la diaspora, vous ignorez la politique intérieure. Ou parce qu’ils ont on trouvé refuse chez vous d’où la campagne d’intox ? Celui qui a pattes blanches peut bénéficier d’un accompagnent à mon avis

  • Le 10 décembre 2014 à 06:49 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Merci pour votre contribution voila un qui dit la vérité pour une fois mais la révolution
    N est pas raisonnable elle est spontanée

  • Le 10 décembre 2014 à 06:51 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Merci pour votre contribution voila un qui dit la vérité pour une fois mais la révolution
    N est pas raisonnable elle est spontanée

  • Le 10 décembre 2014 à 06:52 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Merci pour votre contribution voila un qui dit la vérité pour une fois mais la révolution
    N est pas raisonnable elle est spontanée

  • Le 10 décembre 2014 à 07:21, par ouedraogo En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    dans votre démonstration ;il ya des non dits . Mais votre distance vous fait ignorer beaucoup de réalités.Félicitons les nouvelles autorités. Faites attention à l ;usage de certains termes. LA "rue" ne peut pas opérer un choix.C’est le peuple qui s’ est révolté.

  • Le 10 décembre 2014 à 07:34 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Attention, ce collectif n’est pas représentatif de tous les burkinabè de la diaspora en France, c’est un collectif plutôt favorable à l’ancien régime déchu (d’où leurs "inquiétudes"), leurs lamentations et nostalgie voilée le prouvent, de même que l’absence des noms des signataires ou leurs responsables. Oui vigilance !!

  • Le 10 décembre 2014 à 07:37, par LE JUSTICIER MASQUE En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Je suis moi aussi inquiet de la tournure que tendent à prendre la gestion du pays. L’euphorie ambiante dans laquelle baigne les nouvelles autorités ne doivent pas leur faire perdre de vue qu’un pays ne se gère pas avec les humeurs

  • Le 10 décembre 2014 à 07:38 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Attention, ce collectif n’est pas représentatif de tous les burkinabè de la diaspora en France, c’est un collectif plutôt favorable à l’ancien régime déchu (d’où leurs "inquiétudes"), leurs lamentations et nostalgie voilée le prouvent, de même que l’absence des noms des signataires ou leurs responsables. Oui vigilance !!

  • Le 10 décembre 2014 à 07:39 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Attention, ce collectif n’est pas représentatif de tous les burkinabè de la diaspora en France, c’est un collectif plutôt favorable à l’ancien régime déchu (d’où leurs "inquiétudes"), leurs lamentations et nostalgie voilée le prouvent, de même que l’absence des noms des signataires ou leurs responsables. Oui vigilance !!

  • Le 10 décembre 2014 à 07:43, par MARCO POLLHO En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    A l’état actuel de gestion du BF, je pense humblement qu’il est important de miser sur le retour des patrons dont les entreprises faisaient vivre plus de mille personne. C’est dire donc que le processus de réconciliation annoncé ne doit pas se transformer en une chasse aux sorcières

  • Le 10 décembre 2014 à 07:44, par L’HOMME COURT En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Le pouvoir de la rue a effectivement démontré ses limites en Tunisie. Je salue cette coordination dont le message va contribuer à apaiser les cœurs et les rancoeurs. Je suis de ceux qui pensent que les entreprises mises à sac doivent être dédommagées. Au nom de la survie de milliers de salariés, c’est une urgence. Sinon les mêmes gens qui font pression pour les démissions à tout champ vont déchanter

  • Le 10 décembre 2014 à 07:44, par awa divine En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Y’a donc des burkinabé restés lucides !

  • Le 10 décembre 2014 à 07:45, par MOUNA En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Bravo pour cet appel. Que ZIDA et autres jouent un peu balle à terre

  • Le 10 décembre 2014 à 07:46, par Le peuple debout En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Ah bon ce collectif de cette France qui héberge nos bourreaux qui réclament déjà des endommagements pour ces gens ? Attend vous êtes des dignes fils du Burkina et vous aviez bien apprécier l’entêtement bovins de ces caciques du régime à spolier les ressources du pays pendant que la jeunesse croupissait dans la misère.Rassurez vous , nous ne sommes pas dans un pays hors la loi mais la responsabilité incombe aussi à cette ex belle mère nationale qui dit avoir plus de 1000 employer au chômage, ces mêmes employer dont les medias présentaient devant sa portent en sit in pour réclamer leur salaire. Le relèvement des DG de la SONABEL et la SONABY étaient plus que nécessaire vu la manière dont ces deux société étatique étaient gérées par Francois et ses copains. Nous sommes dans la dynamique d’un Burkina nouveau gage d’espoir pour tous ses fils et cela demande des sacrifices et bien sûr un épurement du système patrimonial instauré par Blaise Compaoré . Le peuple attend de la diaspora qu’elle accompagne cette dynamique.

  • Le 10 décembre 2014 à 07:46, par rayim En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    pure intoxication, si vous voulais tout comprendre revenez ici .
    Nous savons ce que nous avons bruler, On vivait comme des exclaves ici. c’est pas parce que vous avez des accointance avec le systeme blaise , que vous aller nous embrouiller ici.
    D’abord c’est signé de qui ?
    Un chiffon fait a ouaga par les ex bronze pour nous emmerder.
    EN AVANT POUR NOTRE MARCHE GLORIEUSE

  • Le 10 décembre 2014 à 07:48, par YAGMA MAMAN En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

     : La politique du « ôte toi de là pour que m’y mettes va finira par montrer ses limites. Les priorités du moment c’est la restauration du tissus économique en permettant aux entreprises saccagées de se relancer. A Kossodo, par exemple, je connais 7 familles dont les pères n’arrivent plus à nourrir leurs enfants depuis que les usines TAN ALIZ où ils travaillaient ont été détruites sous des prétextes que je conteste. Il faut aller dans ce sens comme l’indique ce collectif

  • Le 10 décembre 2014 à 07:52, par BETTIKA En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    C’est la voix de la sagesse que prône ce collectif. Ce message doit être pris dans le sens de l’apaisement.

  • Le 10 décembre 2014 à 07:53, par CLIO En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    DJAAA, ZIDA A PEUR DE LA FOULE. SI JE SUIS CONTRE MON DIRECTEUR, JE MONTE MES COLLEGUES, ON INVITE LA PRESSE, ET L E TOUR EST JOUE. SOYONS SERIEUX A LA FIN.

  • Le 10 décembre 2014 à 07:54, par LABEL VERITE En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Le risque de basculer dans l’anarchie est effectivement grand si les autorités de la transition ne mettent suffisamment de l’intelligence dans leurs réactions.

  • Le 10 décembre 2014 à 07:54, par Ben Hamed En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Quelle putaine d’entrepises avez-vous constituées avec votre sueur, bande de voelurs !?Que vous le voulez ou non on va "se regler les comptes". L’impunité, c’est fini. On ne tendra pas l’autre joue, ici c’est "Oeil pour oeil, dent pour dent".

  • Le 10 décembre 2014 à 07:56, par MONSTER En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    C’est une analyse que je partage. J’ai été choqué par la façon dont le DG de la SONABEL a été limogé et aussi par les arguments servis pour justifier cette mise à l’écart. C’est sûr que cette décision n’a pas été bien murie. Parce que ZIDA lui-même a avoué plus tard que cela n’a respecté aucune procédure légale. Si c’est ça la transition, pouah, je n’en veux pas.

  • Le 10 décembre 2014 à 07:57, par ouagadougou En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    franchement une très belle analyse il faut savoir pardonner a temps pour le bien être de tout le Burkina

  • Le 10 décembre 2014 à 07:58, par REVOLUTION MAN En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    L’observateur paalga du vendredi dernier a montré la galère des travailleurs des entreprises saccagées. Solutionner ces problèmes est plus urgent que se laisser guider par des foules hystériques et parfois manipulées. IL faut faire revenir les patrons qui employaient du monde grâce à leurs sociétés. C’est vital, sinon le chomage grandissant va se transformer en une arme redoutable fabriquée sur le terreau du banditisme.

  • Le 10 décembre 2014 à 07:59, par FRANCIS BREL En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Eh dieu, où va mon cher pays ? Il faut éduquer le public et lui faire comprendre que la transition n’est pas le désordre.

  • Le 10 décembre 2014 à 08:00, par ANITA COURAGE En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Le plus dur, c’est maintenant. Il faut éviter de verser dans le populisme et se concentrer sur les problèmes du pays. Laissons ceux qui s’agitent et qui veulent regler les ocmptes se prendre à leurs propres pièges. Je constate que le ministre BARRY a compris la leçon et annoncé la fin de la récréation. Attendons de voir

  • Le 10 décembre 2014 à 08:02, par LY En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Il est vrai que certaines prises de décisions peuvent être mal comprises. Mais la diaspora de France a donné de très mauvaises références. Les deux cas cités DG SONABEL et DG SONABHY sont illustratifs des nominations de complaisance ! Savez-vous dans quel contexte ces 2 personnes avaient été nommées par le défunt régime ! Leur limogeage a été certes faite de façon cavalière, mais est légitime. Doit-on remplacer un DG au moment où celui-ci donne d’excellents résultats financiers, pour le remplacer par un membre du clan des pilleurs de la République ? Je pense que loin du terroir la diaspora a eu dans ces exemples une mauvaise lecture ! La diaspora de France aurait évoqué la grossière erreur de la nomination de SAGNON Adama, où la décision de transformer hâtivement la date du 13 décembre, je comprendrais leur inquiétude ! Je suis d’accord avec elle que le pouvoir de transition doit légiférer après mûres réflexions et non sur des considérations populistes. C’est bien effectivement d’attirer l’attention des nouveaux dirigeants sur la nécessité de la vigilance, mais il est évident qu’ils ne peuvent pas ignorer dans une certaine mesure les exigences (si elles sont légitimes) de ceux qui les ont fait rois.

  • Le 10 décembre 2014 à 08:06, par Alex En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Chers compatriotes, votre contribution vient à point nommé mais il faut remarquer que certains dirigeants ont foutu la merde dans la gestion des institutions étatiques. C’est aussi une vérité et tout cela se sait, eux qui narguaient publiquement les gens d’être les protégés de tel ou tel dignitaire de l’ancien régime. Il y a eu trop d’injustice et trop de frustration dans notre pays et il est impératif de corriger l’ancienne méthode de gouvernance sinon on n’est pas sorti de l’auberge. Bon vent à vous, frères vivant en France.

  • Le 10 décembre 2014 à 08:08, par JO LE RAPIDE En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    VIVE CE COLLECTIF ! Je trouve que son avis est pertinent et permet de jeter un regard critique sur les premiers pas de la transition

  • Le 10 décembre 2014 à 08:12, par Kamélé En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Je suis contre toutes formes de dédommagement des soit disant victimes de l’insurrection des 30-31 octobre. toutefois si ces gens doivent être dédommager. ils doivent l’être comme ceux de l’inondation du 1 septembre 2009. A l’époque, ceux qui étaient aux commandes (aujourd’hui certains sont soit disant victimes des 30-31 octobre) avaient jugé nécessaire de construire des cases pour les victimes de l’inondation. ces cases ont été construites à Yagma avec les moindre équipement. Pour une question de justice sociale, si on tient à dédommager les soit disant victimes des 30-31 octobre, je pense qu’il faut leur constuire des cases à Yagma 2. or tous n’ont pas perdu à 100% leur maisons donc donner un pourcentage des cases de yagma à ces gens. s’agissant de la question de l’équipement, les victimes du 1er septembre (innondation) n’avaient aucune preuve de la quantité et qualité de leur équipement car l’eau avait emporter les reçus et les équipements. Pour les soit-disant victimes des 30-31 octobre, le feu à joue le rôle de l’eau. ça serait donc trop injuste de trouver une formule de dédommage différente de la formule des victimes de Yagma. Conclusion, au maximum, pour dédommager les soit-disant victimes des 30-31 octobre il faut leur constuire des cases à Yagma2.

  • Le 10 décembre 2014 à 08:12, par MAMA En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    je pense que (sans verser dans la polémique passionnée) Alizèta GANDO a sa place au pays pour aider nous les chomeurs de la transition. Elle a fait beaucoup pour moi et mes proches. Je suppose que d’autres ont aussi profité de ses largesses

  • Le 10 décembre 2014 à 08:14, par Le Patri-ote En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Drôle de Déclaration...Pas de signataires....

    Bonne journée

  • Le 10 décembre 2014 à 08:15, par CBB En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    SVP. Signez votre écrit.

  • Le 10 décembre 2014 à 08:15, par MAMA En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Ces inquiétudes sont fondées. Moi-même je me demande sur la base de quoi le PM chasse les gens. Mêmes s’ils auraient commis des impairs, il faut y mettre la manière pour éviter de plonger dans l’arbitraire.

  • Le 10 décembre 2014 à 08:18, par FASODEIN En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Le pouvoir de la rue, doit comprendre qu’il a fini de jouer son rôle. Place à présent à celui de la justice. Il faut suivre les règles pour ne pas créer d’autres frustrations

  • Le 10 décembre 2014 à 08:20, par MA RADIO En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Huuum, ce papier est un concentré de paroles sages qui en appellent à une réaction adaptée des nouveaux gouvernants. Le processus de réconciliation annoncé avec la mise en place d’un comité doit tenir compte des propositions formulées par ce collectif. Le BF ne saurait se construire si des frères sont hors du pays. Les difficultés de la Côte d’Ivoire à apaiser les cœurs est due à la non prise en compte de cet important préalable.

  • Le 10 décembre 2014 à 08:22, par Lallé En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    vive la chasse aux sorcières. Courage à Kafando et Zida. vous ne représentez pas la vraie diaspora mais pluto la section du Feu CDP. on ne laissera plus les voleurs à la tête de notre pays. bandes d’ignorants, non d’hypocrites plutôt.

  • Le 10 décembre 2014 à 08:34, par OUIDIGA Francis En réponse à : chers de la diaspora Burkinabé en republique Française !Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Bien chers concitoyens de la diaspora,je vous invitent à ne pas nous demander ce que vous demander,car vous sauriez que les Burkimbi n’ont pas saccager dans l’ignorance total les société & Entreprise,et ceux aussi qui furent victime par erreur,nous demandons tous au gouvernement de vérifier ’état de payement de leurs impôts et taxes si ces dernier sont à jour,nous sollicitons leurs dédommagement dans le cas contraire,....
    Pour votre inquiétude par rapport aux différent licenciements,ne vous en faite pas des enquêtes sont mener avant la prise d’une quelconque décision.sachez dans la Compaorose ont s’en foutait mal différentes plaintes des travailleurs et au contraire ils étaient mater.
    Salut à vous !

  • Le 10 décembre 2014 à 08:34, par Assane En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    N’importe quoi vous dites ! Le Burkina se construira sans l’apport de ces voyous qui nous ont plongé dans cette merdes ! tchrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !

  • Le 10 décembre 2014 à 08:35, par Ibrahima En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Je crois que la diaspora de la France ne sait pas réellement le problème du Faso. Vous savez les gens qui ont fait 27 ans au pouvoir vous pensez qu’ils peuvent connaître la réalité du pays ? Des gens qui doivent aller à la retraite mais on le garde pour réquisition comme c’est le plus intellectuel c’est pour quoi on demande l’alternance des gens qui sont nommés parce qu’ ils sont amis avec le pouvoir ou parentés si tu n’es pas ami ou parenté tu ne peux pas être nommé. On ne nomme pas par compétence mais par les 2 conditions et rein ne se faisait normalement. C’est parce que vous ne vivez pas au pays que vous ne pouvez pas comprendre. La vie au Faso était compliquée on ne dit pas qu’il ne faut pas nommer un parent ou un ami mais c’était trop donc les compétents étaient mis à l’écart donc vous voyez que durez au pouvoir on oublie tout et même la réalité du pays sinon votre Blaise devrait savoir depuis la première marche mais comme il ne connaissait pas la réalité et il se disait j’ ai géré ce pays depuis des années (27ans) j’ ai confiance à mes gars vous voyez et il se disait après Dieu c’est moi au Faso or il a oublié que le peuple souffrait de la pauvreté et de tous les maux que vous connaissez mais les clans de Blaiso vivaient à l’aise et sa propre famille se foutait pas mal du peuple est ce que vous de la diaspora vous connaissez bien la vie que menait le peuple avant le départ de Blaise ? Je vous demande de ne plus juger les faits sans connaitre le fond et la réalité.Je sais que vous aimez Blaiso mais Dieu aime aussi le peuple du Faso.

  • Le 10 décembre 2014 à 08:37, par Le citoyen En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Une contribution sans signataire !!! ???
    Pourkoi ?
    Plus de sérieux .

  • Le 10 décembre 2014 à 08:40, par Assane En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    C’est vous autres qui aviez poussé Blaise à cette mésaventure. Désormais, nous serons plus vigilants.

  • Le 10 décembre 2014 à 08:42, par Brotteaux des Illettes En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Oui au dédommagement mais après avoir réglé l’intégralité des impôts qu’ils doivent

  • Le 10 décembre 2014 à 08:52, par YAWOTO En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    La dissolution des conseils municipaux est la bienvenue, qu’est-ce que vous savez de la réalité que vivent ces pauvres populations avec ces conseils constitué de véritables voleurs ? S’il est vrai qu’il y a des conseils exemplaires, ils représentent une minorité !
    On ne peut pas faire des omelettes sans casser les œufs, ne portez pas de jugement hâtif quand on ne vit pas la réalité.
    Quand aux entreprises qui ont été pillé, la quasi majorité appartenait à des dignitaires de ce régime qui ont acquis leur fortune par la fraude, la corruption, et le non paiement des impôts, et par des faveurs indus. Avant de parler de dédommagement qu’on fasse un audit sur ces entreprises et qu’on fasse une évaluation des dégâts pour voir la réalité des faits, s’il est vrai que beaucoup sont au chômage et nous compatissons à leur malheur, il ne serait pas juste de se précipité dans un quelconque dédommagement sans y voir clair alors que le pays traverse une période économiquement difficile.

  • Le 10 décembre 2014 à 08:54, par Freeman En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Le "Collectif de la diaspora de France "... C’est qui ? Je constate que personne ne signe cette déclaration.
    Vous savez c’est pourquoi on vous dit qu’il faut des institutions fortes. Si les Directeurs dont vous plaignez le limogeage avaient été nommés dans le cadre d’institutions fortes et non du fait du prince (il se raconte que c’est des amis de François Compaoré), on n’en arriverait pas là. Et sincèrement, je suis d’avis que si les nouvelles autorités estiment que c’est des gens qui peuvent entraver leurs actions, il est normal qu’elles s’en débarrassent ; parce que après tout c’est au gouvernement que nous demanderons des comptes à la fin de la transition.
    Pour ce qui concerne le "dédommagement des propriétaires des entreprises saccagées", si j’ai bien compris le Premier Ministre, je pense que ce sera fait, ne serait-ce que pour maintenir l’outil de travail des salariés qui y évoluent. Mais dans un deuxième temps je pense qu’il faudra faire un audit de ces entreprises. A qui appartiennent-elles, comment ont-elles été créées, sont-elles à jour avec leurs impôts, etc Et s’il s’avérait après des investigations et des jugements que les propriétaires sont redevables à l’Etat, je pense qu’elles doivent être purement et simplement saisies et/ou liquidées. Sinon c’est trop facile !

    Dieu bénisse le Burkina !

  • Le 10 décembre 2014 à 09:02 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Ces gens qui se disent "diaspora burkinabè en France " sont des cdpistes notoires qui ne s’assument pas (pas de signataires, pas de noms, c’est louche).

  • Le 10 décembre 2014 à 09:04 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    C’est qui ce collectif des Burkinabè de France ? Au mojns un nom parce que ça sent le gaz ! Quelqu’un proche de l’ancien régime se cache derrière tout ça !

  • Le 10 décembre 2014 à 09:04, par ibrahimo En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    on ne peut pas faire d’omelette sans casser d’œufs. on voit bien que certains a force de rester trop longtemps hors du pays ont perdu le sens de la réalité du pays. Après 27 ans de mal gouvernance sous toutes ses formes, il faut un réel toilettage du pays afin de restaurer l’intégrité au pays. Le Burkina est un gros village où chacun sait qui est qui, qui était qui et comment est devenu qui, de ce fait il n’ya pas de réaction spontanée au Burkina, mais des réactions logique et raisonnée face à des prédateurs qui cherche à se déguiser en agneaux

  • Le 10 décembre 2014 à 09:05 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Sans SIGNATAIRE, n’est-ce pas le virus compaorose qui n’a pas pu avoir le chaos qu’ils prétendaient au pays qui se cachent derrière cet écrit ? Sinon, qu’ils nous mettent les signataires. Si ce n’était qu’à vous, on était toujours là avec la compaorose. Si le Burkina était vivable,pourquoi êtes vous réfugiez làbas ? Le BURKINA appartient à nous tous ici, on tirera notre pain ici.

  • Le 10 décembre 2014 à 09:07, par seydou En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    je comprend votre inquietude chers cmpatriotes.la dissolution des conseils municipaux est survenue suite a la fuite des responsables.dans ma ville par exemple,la residence du maire a été saccargée par les manifestants.celui ci a quité la ville pour une periode indeterminée.on assiste ainsi a des abandons d postes.pourqoi maintenir des autorités qui ont tendance a demissioner.De plus la question de sabotage evoqué par ZIDA,nous parait normal puisque chacun des burkinabés doit comprendre qu’il bosse pour le burkina et non pour lui mème.je vous confirme que la stabilité y est en ce qui concerne les delestages dans les grandes villes du pays.Aussi,le burkina nouveau doit ètr concu a l’exception des pro-compaoré.

  • Le 10 décembre 2014 à 09:12, par Bensalam En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    D’accord il faut éviter la chasse aux sorcières, les règlements de compte arbitraire, il faut relever l’économie et porter assistance aux entreprises sinistrés ainsi qu’à leurs travailleurs du même coup dans les nominations il faudra tenir compte de toute les couches sociales, les appartenances religieuses et ethniques de tels sortes que l’on ne puisse pas dire un jour que la transition a été géré par un groupe ethnique ou religieux car les compétences sont partout. Mais que ceux qui ont des comptes à rendre à la justice les rendent.

  • Le 10 décembre 2014 à 09:12, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    ’’Du nécessaire dédommagement des propriétaires des entreprises saccagées’’.

    - Alors cotisez et venez les dédommager !

    Oui pour certains mais non pour d’autres ! La belle-mère nationale, vous connaissez comment elle a eu sa richesse avec tous les monopole injustement accordés à elle sous le régime de la COMPAOROSE ?

    - Savez-vous comment elle pu avoir des sociétés comme SOCOGIB, AZIMO pour une bouchée de pain et sans concurrence ?
    - Savez-vous que tous les marchés qu’elle obtenait dans le BTP lui était accordé de gré à gré et que ses travaux ne finissaient jamais ou sont mal faits ?
    - Savez-vous aussi qu’elle accusait des retards dans ses travaux et n’étaient pas pénalisée et bénéficiait même de rallonges budgétaires ?
    - Êtes-vous sûrs qu’elle payait ses impôts ?
    - Savez-vous comment ses travailleurs étaient tyrannisés ?
    - Savez-vous que son usine de traitement des cuirs et peau pollue toute le quartier KOSSODO de Ouaga depuis au moins 15 ans et que rien ne se passe ? Les populations se sont plaintes jusqu’à laisser sans que rien ne soit fait. Je suis sûr que certains d’entre vous de cette diaspo de France ont dû inhaler ces odeurs à Ouagadougou avant de se retrouver en France, et dans ce cas, je vous conseille d’y faire des examens médicaux plus fiables pour vous rassurer sur votre état de santé !

    - S’il vous plait, allez vous faire voir ailleurs si vous n’avez pas autre chose à faire !
    - Plaidez plutôt pour une justice propre au lieu de plaider pour des rapaces ! Seule une justice juste doit reconnaitre et indiquer qui dédommager et qui il ne faut pas dédommager.

    Mes frères, ne vous laissez pas corrompre là-bas par Francois COMPAORÉ, sa belle-mère et leurs intermédiaires qui ont dû infiltrer déjà votre milieu, car ils sont tous là-bas à Paris. Et c’est où moi je ne comprend pas la France !! Elle abrite la pègre et elle rejette des soits-disants islamistes de Folembray !!!! Quel paradoxe !!!!

    - Du reste, frères de la diaspora, parmi vous il y a de nombreux éudiants qui, si on veut vérifier ont acquit malhonnêtement leurs bourses d’étude dans des condtions ténébreuses de favoritisme tandis que bien d’étudiants méritants sont dans les rues ici.

    Calmez-vous un peu !

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 10 décembre 2014 à 09:16, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    - MAMA si tu as bouffé avec ALIZET GANDO, alors tu es redevable à la Nation et donc à moi Yamyélé aussi car je suis un contribuable. Dans ce cas, je réclame ma part et tu dois me rendre ce que tu m’as prit par l’intermédiaire de ALIZET GANDO. Ce sont vous autres qui profitiez de ces gens !!!!

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 10 décembre 2014 à 09:24, par sandokan En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Monsieur Mama, si tu savais d’où Alizèta Gando tirait ses richesses pour faire des largesses à un groupuscule dont tu fais partie, tu allais très vite changer de raisonnement. Demande autour de toi si quelqu’un peut t’éclairer à ce sujet. Pour résumer, saches que c’est par des privilèges injustes, des passe-droits qu’elle s’est enrichie sur le dos de tout un peuple, toi y compris. Ses largesses envers toi et les autres n’étaient que des miettes de ce qui devrait vous revenir de droit si les richesses étaient équitablement réparties.

  • Le 10 décembre 2014 à 09:30, par garikoi En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Merci messieurs de la diaspora, aucune realite du terrain, du pays. Sinon, vos histoires de dedommagement c’est tres facile, la vie c’est comme ca, et les gens n’ont qu’a s’ en prendre a eux memes. Il y a combien de DG, ministres et deputes du CDP qui ’ont pas eu leur domiciles et biens pilles ou saccages, de meme que les industries ou hotels ? Certes, il y a eu des victimes collaterales mais enfin ! Beaucoup de dignitaries roulent tranquillement au pays sans etre inquietes, il y avait la retenue dans leurs propos et comportement.

  • Le 10 décembre 2014 à 09:37, par YA-WOTO En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Moi YA-WOTO suis né dans ce pays et y ai vécu jusqu’à l’âge de 22 ans avant de quitter pour voir le monde. J’avais 17 ans lorsque le coup d’état du 4 aout ou la soit disant révolution est arrivée. J’ai vécu tous les moments fort de cette période. Aujourd’hui j’ai plus de 35 ans et ne me considère plus jeune.
    Mais je dirais ceci à tous mes jeunes frères qui veulent écouter. Ne te mêle jamais aux pilleurs, aux casseurs, à ceux qui brulent les biens des autres. Aucune preuve n’est établie et tu le regretteras amèrement lorsque tu te rendras compte que tu as détruits les biens de braves gens, d’honnêtes citoyens qui ont travaillé dur toute leur vie pour avoir ce qu’ils ont. Et s’il s’avérait que les biens de quelqu’un sont des biens mal acquis alors laisses l’état récupérer ces biens pour tout le peuple. Seul le travail te libèrera, passes ton temps sur les bancs, passes tes nuits à bosser car cela te rendra libre et partout où tu iras, comme l’a fait ton grand frère YA-WOTO on te respectera et tu réussiras.

    Vois-tu les enfants des privilégiés sont dans l’effervescence. Ils ont du temps pour lire Karl Max ou Lénine. Ils ont du temps pour rédiger de grands discours mais ce n’est pas cela qui te nourrira. Leur effervescence ne va pas durer longtemps. Ils réaliseront très bientôt les limites de leurs actions. Il ne faut t’associer à ces mouvements parce que tu vas te salir les mains et ruiner ainsi ta vie pour de bon. Travaille dur parce que tes parents n’auront pas de salaire lorsqu’ils seront âgés. Ne vois-tu pas la différence ? Les enfants des nanties ne connaissent pas ce que c’est que la souffrance, ils ont toujours tout eu gratuitement (éducation, bourse, etc..) et leur parents luttent pour conserver leur acquis. Ouvres ton œil et saches que seul le travail, la discipline et l’honnête sont des valeurs sures. Compaoré n’est qu’un des leurs. Te rappelles-tu de la révolution d’Aout ? On aurait voulu qu’après lui, il ait un vrai changement mais c’est le sous-groupe déçu de la révolution d’Aout qui est de retour aux affaires. Alors penses-tu vraiment qu’on pourra mettre de la lumière sur tous les crimes commis dans ce pays ?
    Tout ce que tu ferras, fais le par rapport à ta propre conscience. Fais-le de manière avoir la conscience tranquille. Tu n’as personne à rendre compte que ta conscience.

  • Le 10 décembre 2014 à 09:44, par l’ex immigré En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    pourquoi vous ne rentrez pas au pays pour que nous reconstruisons ensemble ? d’abord pourquoi vous êtes partis ?

  • Le 10 décembre 2014 à 09:45, par Zoewendé En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Veuillez publier ce post puisque vous avez censuré le premier, monsieur le webmestre. J’avais attiré votre attention sur cette "déclaration" non signée qui n’est autre qu’un tract anonyme. Une telle structure n’existe pas en France.

  • Le 10 décembre 2014 à 09:45, par Alass En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    merci pour la contribution.on sent en vous une main cachée de l’ancien régime Compaoré

  • Le 10 décembre 2014 à 10:11, par kisito En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Structure basée en France ? représentative de qui ??? allez vous faire foutre et parlez seulement !!!
    Faudrait déjà regarder les deals à l’Ambassade , au consulat et Maison du Burkina Faso à Paris de la rue Fessart où le ménage doit être fait.
    En tout cas merci pour les biens abandonnés par ces Racailles qui se terrent à Paris , ceux sont des voyous , maintenant vous connaissez le Droit. Quand des pères de familles n’avaient pas leur salaires que répondait cette Dame ?
    Pitié à ceux qui ont bénéficié de cet argent malhonnête et maudit.
    Ces voyous seront comme BC , ils erreront jusqu’à leur fin sans fouler ce sol Burkinabé.
    Merci pour les villas de Ouaga 2000 , sinon expliquez combien vous gagnez mensuellement, quelle banque vous prête 100 millions au Faso ?

  • Le 10 décembre 2014 à 10:11 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    bel article,sans appartenance ; J ai suivi les posts du collectif de la diaspora avant les évènement et je puis vous dire qu’il a été juste et impartial.C’est le seul collectif à avoir de l’imagination et surtout de la suite dans les idées sans prétention.

  • Le 10 décembre 2014 à 10:14, par ACHILLE DE TAPSOBA En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Messieurs soit disant Français on n’a pas de leçon morale à recevoir de vous. Si le départ de Blaise avec sa mal gouvernance de 27 ans vous fait mal tant pis :
    - En primo : Ces DG ont été promus à ces postes parce qu’ils sont proches des frères Compaoré et non leurs compétences. On nommait les gens à la tête du client pendant 27 ans. On va limoger les brebis qui ont soutenu la modification de l’ A37 et poursuivre en justice les gens qui ont bâti leurs fortunes sous fond de détournements et de corruption.

    - En secundo : DITES-NOUS SI LES ENTREPRISES TAN ALIZ (Alizeta Gando) PAYAIENT LES IMPÔTS ET LES TAXES PENDANT QUE SON BEAU FILS DÉTIENT L’ÉCONOMIE DU PAYS ?. Arrêtez parce que vous n’avez aucun argument pour défendre le faux et l’injustice .Beaucoup d’entreprises ne payaient pas des impôts et de taxes sous le règne des frères Compaoré parce qu’elles soutenaient Blaise dans ses bêtises pendant les campagnes présidentielles. Les taxes doivent payées pour permettre à l’économie nationale de vivre. On refuse de dédommager ces entreprises. Toutes ces entreprises appartiennent à ceux qui ont pillé la richesse du pays depuis 27 ans pendant que la population croupisse dans la misère la plus extrême.
    C’est pourquoi on a chassé Blaise du pouvoir le peuple était fatigué de cette mal gouvernance basée sur le copinage et le clientélisme. Personne ne vous écoutera. LAISSEZ LE GOUVERNEMENT DE TRANSITION TRAVAILLER ET QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE CE GOUVERNEMENT.

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA. AMEN
    PAIX ET JOIE A TOUS LES BURKINABÉS. AMEN.

    ACHILLE TAPSOBA
    Partisan inconditionnel de l’Alternance

  • Le 10 décembre 2014 à 10:21, par Matador En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Merci pour cette analyse. Espérons que les autorités sauront en tirer leçon pour réussir la transition dont le devenir du Burkina Faso en depend

  • Le 10 décembre 2014 à 10:34, par Lustre En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    La diaspora burkinabé de l’étranger doit savoir que :
    de la même façon qu’elle est prompte à réagir sur ce qui passe au Faso (et cela est normal),
    de la même manière que nous allons leur permettre de voter pour élire nos dirigent ici au Faso (et cela est aussi normal),
    il sera aussi normal de leur imposer des devoirs :
    Ici au Burkina nous payons tout l’UTS,
    chaque bonbon, pain, carburant ....... qu’un burkinabé vivant au Faso achète, paye les taxes et impôts . Il est normal que ceux qui veulent élire nos dirigent, pour nous diriger ici au Faso, remplissent leur devoir citoyen également en vers le Faso. (je sais bien que la diaspora contribue aussi au développement de l’économie a travers des transferts de fond vers le Faso, mais je pense que tout cela doit être bien formalisé.)

  • Le 10 décembre 2014 à 10:46 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    j’aime cet article ,et comme j’habite en france je puis vous dire que ce collectif est mature.il faut dédommager ses travailleurs(les particuliers et les opérateurs économiques )qui ont travaillé a lédification de l’édifice ;Pourquoi fadoul,satom’,BT,SOURBAT n’ont pas été inquiétées ? Satom(entreprise francaise) vient de signer un contrat de 66milliards avec le nouveau régime.Sourbat(entreprise tunisienne 70 milliards la semaine derniere pour des travaux publics).Une 1ere au Burkina.La belle mère n’a jamais eu un tel contrat au Burkina.Vous pouvez verifier mes propos.La route Nouna -Dédougou à été réalisé par la francaise Satom.Elle est en dégradation avancée et personne n en parle.N’existe t-il pas des entreprises Burkiabès capable de réaliser des ouvrages dans les règles de l’art ? Pourquoi faire appel à des étrangers ? Peut etre que nos entreprises manquent de compétences et cela serait une insulte à l’endroit de tous ses entrepreneurs qualifiés.

  • Le 10 décembre 2014 à 10:53, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    - YA-WOTO, c’est bien tout ton Salamalec. Dans ce cas adresse-toi aussi aux voleurs et aux coupeurs de route pour qu’ils cessent ce qu’ils font car ton enseignement est aussi utile pour eux !!!!

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 10 décembre 2014 à 10:53, par aff En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Bonjour Chers frères et soeurs anonymes de la diaspora. Juste vous dire que c’est votre attitude qui est plutôt inquiétante. Qu’avez-vous fait pour éviter la situation dans laquelle le pays est tombé ? Avant un quelconque dédommagement, nous allons nous assurer de comment et par qui ces entreprises inciviques et prête-noms ont été créées. Rassurez-vous, les honnêtes citoyens n’ont pas à s’inquiéter mais nos collègues qui ont des duplex, des magasins et des cars de transport n’ont qu’à préparer leur "mea culpa", naturellement après avoir remis au peuple et au fisc ce qui leur revient.

  • Le 10 décembre 2014 à 11:07, par bii-fangda En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    De la pure merde ces gens du collectif de la diaspora de France.Mesurée vos mots : "Le Collectif recommande donc de procéder avec méthode et d’envisager d’associer les propriétaires de grandes entreprises à toute action de dédommagement pour leur permettre de relancer la fragile économie du BF qui dépend des humeurs des partenaires étrangers." Vous êtes qui pour recommander ??? Vous n’avez pas d’ordre à donner à qui que ce soit. Ce sont ces même entreprises dont vous parlez qui tuaient au contraire l’économie du pays en ne payant pas les taxes et les impôts. C’est inacceptable. Quand on a rien à dire il faut éviter de se faire voir.la merde...

  • Le 10 décembre 2014 à 11:10, par Francis En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Soyons clairs sur cette question des indemnisations. Faut-il que le contribuable paie pour dédommager des gens qui se sont enrichis de manière illicite ? Avant toute indemnisation, il faut des enquêtes profondes sur comment le patrimoine a été accumulé. Si tout est propre, on indemnise. Si tout est sale on retire les biens qui restent.

  • Le 10 décembre 2014 à 11:17, par LE BOBOLAIS En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    LES GA, LE PEUPLE N’A PAS ATTENDU DES INGRATS COMME VOUS POUR ALLER ARRACHER SA LIBERTÉ, SA DÉMOCRATIE. VOUS AVEZ MIEUX FAIT D’ALLER VOUS BLOTTIR DANS LE PARAPLUIE DE LA LIBERTÉ ET DE LA DÉMOCRATIE QUE DES FILS DIGNE DE LA FRANCE ONT ARRACHES AU PRIX DE LEURS SANGS VERSES EN 1914, 1945 COMME NOUS L’AVONS FAIS ENTRE LE 30 ET 31 OCTOBRE 2014. SI C’EST COMME SA VOUS COMPTER CONTRIBUER A SOUTENIR NOTRE RÉVOLUTION, ALORS METTEZ VOUS A L’ÉCART DE NOTRE CHEMIN CAR NOUS PRÉFÉRONS MOURIR DANS NOTRE DIGNITÉ ET LIBERTÉ QUE DE VIVRE DANS L’OPULENCE DANS L’ESCLAVAGE SUR LA TERRE DE NOS ANCÊTRES AU 21 SIÈCLE. A BAS LES CAMÉLÉONS ÉQUILIBRISTES.

  • Le 10 décembre 2014 à 11:30 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Alors il faut d’abord indemniser les familles des victimes !? Je vis en france et ne me reconnais pas dans ce collectif anonyme. Manipulation. François Compaoré et sa belle mère pourraient aussi bien signer ce papier et se réclamer de la diaspora burkinabè en France (après tout ils vivent maintenant en france !)

  • Le 10 décembre 2014 à 11:31 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Alors il faut d’abord indemniser les familles des victimes !? Je vis en france et ne me reconnais pas dans ce collectif anonyme. Manipulation. François Compaoré et sa belle mère pourraient aussi bien signer ce papier et se réclamer de la diaspora burkinabè en France (après tout ils vivent maintenant en france !)

  • Le 10 décembre 2014 à 11:34, par l’éclairé En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Pas de dédommagement ! Il faut seulement prendre cet argent pour ravitailler les magasins du MENA en cantines scolaires. Aucun Burkinabe honnête n’a été pillé. Les populations ont indiqué tous ceux qui se sont enrichi impunément à travers ces pillages

  • Le 10 décembre 2014 à 11:37, par momo En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Il faut que les gens arrètent de se foutre du peuple.
    Si il est vrai que vous ecrivez depuis la farnce sachez que nous qui vivons au burkina faso voyons comment les choses se passent.ok !
    Il faut nettoyer et c’est ce qui sera fait,ne vous en faites pas.
    Si rendre la justice ne vous plait pas,sachez que desomais ici au BF rien ne sera plus comme avant.
    Nous sommes plus que jamais pret à tous pour que le changement s’opere de façon éffectif.
    LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS.

  • Le 10 décembre 2014 à 12:01 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France Par Gilbert Anthyme BAYALAt

    Ce collectif de la Diaspora existe depuis quand :
    - il n’a pas été capable de dénoncer les monopole aux détriment des commerçants honnêtes et de la population ! ;
    - il n’a pas été capable de dénoncer l’accaparement du tissus économique par le clan COMPAORE ;
    - il na pas été capable de dénoncer les assassinats perpétré par la famille compaoré et ses compères ;
    - il n’a pas été capable de dénoncer le pillage systématique des ressources du pays par cette même bande ;
    - il n’ a pas été capable de dénoncer la volonté de tripatouillage de la constitution ;
    - il n’a pas ; il n’a pas il n’a pas
    et aujourd’hui vous nous parler d’envieux, de dédommagement sans même parler de justice pour les morts des 30 et 31 octobre 2014 ;sans même parler de justice pour Norbert ; Justin ; Sankara ................. ; sans même parler d’indemnisation des parents de ces victimes morts pour la patrie
    C’est dommage et ce sont les mêmes . Donnez les noms ; prénom des signataires pour qu’on sache qui vous etes si ce n’et pas un secret

  • Le 10 décembre 2014 à 12:29, par LE VIEUX En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    C’est une déclaration du CDP. rien ne sera comme avant. Le Burkina se réconstruira autrement sans ses prédateurs du clan compaoré.

  • Le 10 décembre 2014 à 16:21, par wuroyiretian En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    De quels organisations ou associations est composé ce fameux collectif ? Il ne suffit pas de bien parler ou écrire bien français, il faut penser et vivre burkinabè. Votre article fait très curieusement abstraction de toute notion ou référence à la justice et saute très intentionnellement (ce qui vous dévoile et vous discredite) sur le "dedommagement" sans même proposer quelques pistes possible pour ce "dédommagement". Par exemple appel à contribution, journée de solidarité etc) et dire que la dispora française est prêtes à faire un geste dans ce sens puisque vous plaider pour ces entreprises ou biens honnêtement acquis (!!!!???)

  • Le 10 décembre 2014 à 17:20, par Ka En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Si François Compaoré et sa belle-mère Gando vous ont offerts les restes du denier public volé dans leur fuite pour appâter les Burkinabé de l’intérieur, c’est raté. Toutes les entreprises, villas, visées et saccagées ont été développé avec le denier public volé. Non ! S’il y a de l’argent de l’état pour donner a ces voleurs en fuite, qu’on donne cet argent aux familles des victimes du 30 et 31 Octobre 2014. Que ceux qui demandent des dédommagements justifient les provenances de leurs biens, et la vraie justice après l’injuste du régime Compaoré tranchera. Vous êtes en dehors de la réalité au Burkina, Gando et Compaoré vous donneront les détails comment en 27 ans, on peut voler son peuple et aussi le torturer et tuer.

  • Le 10 décembre 2014 à 17:29, par SOME En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Cette initiative d’un collectif prétendument de la diaspora de France a de quoi surprendre Je ne sais comment s’est constitué ce collectif et qui en est membres. Si ca existe même, j’en doute très fort. Alors je ne peux qu’être surpris des positions que ce collectif prend : de quelle légitimité se prévaut-elle ?

    Pire elle n’a même pas le courage de signer qui sont ces membres de ce collectif. Ce serait le moins à faire. Quelle malhonnêteté intellectuelle ! Il est trop facile de se lever un beau matin et de signer des papiers au nom des membres de la diaspora, faisant croire que telle est la position de tous les burkinabe de France. Mais la technologie de l’internet rend facile une telle manipulation.

    Pour ma part, je n’adhère aucunement à votre position. Elle est plus que contestable, elle est même réactionnaire et anti peuple. Il est trop facile de s’asseoir à l’extérieur là bas et de s’arroger le droit d’indiquer comment gérer le pays. Quand les gens se faisaient tirer dessus a ouaga et divers villes du pays, vous n’y étiez pas. N’importe qui peut s’asseoir n’ importe où et changer toutes les secondes de pseudo et inonder le forum de ses points de vue, aussi tordues soient-ils. Nous en tous conscients ! A tous les lecteurs : surtout ne prenez pas ces élucubrations pour la position de la diaspora de France. Il n’en rien du tout.

    Vous dites « Le pays est à reconstruire parce que l’euphorie de l’insurrection a porté un coup à l’économie nationale, même si les discours difficiles prétendent encore le contraire. Les nombreuses entreprises pillées et saccagées, les milliers de personnes mises de fait au chômage sont des situations qui en appellent à éviter de se lancer dans une chasse aux sorcières. Le regard envieux de certains de nos concitoyens sur des réussites les amène à oublier trop vite souvent que des fortunes se sont construites au prix de mille efforts, pendant de longues années. Il ne faut donc pas utiliser une pelleteuse pour racler le fond d’une casserole en vue de la rendre propre. Le Collectif recommande donc de procéder avec méthode et d’envisager d’associer les propriétaires de grandes entreprises à toute action de dédommagement pour leur permettre de relancer la fragile économie du BF qui dépend des humeurs des partenaires étrangers. Les libertés de mouvement accordées à certains ex dignitaires ces derniers jours cadrent parfaitement avec l’esprit de cette déclaration. » ce raisonnement est hallucinant pour une soi disant cohésion sociale et pour le bien être du Burkina. Et puis quoi encore. C’est vraiment nous insulter. Pendant qu’on y est dites nous que nous avons eu tort de chasser Compaoré, au moins c’est clair ! De quelle diaspora parle-t-on ? Au moins vous sortez du bois malgré les maquillages. Allez jusqu’au : dites que sous compaore c’était le paradis.

    Mes chers compatriotes, internet n’est pas du tout un outil facile : la toute première qualité pour tirer profit d’internet, c’est de savoir que cet outil sert beaucoup à manipuler. Malheureusement ! Cette position n’est point du tout la position de toute la diaspora, mais de quelques énergumènes, si ce n’est même pas un seul individu. Qu’ils aient le courage de s’afficher et de dire qui ils sont et les membres de la diaspora pourront apprécier et dire ce qu’ils en pensent. Ne croyez surtout pas que ceci est une position consensuelle de tous les burkinabe de France. Si certains sont idiots, qu’ils ne prennent pas leur cas particulier pour une généralité. J’aurais aimé avoir à croiser le fer viva voce avec eux, dans un débat direct ; c’est préférable et plus honnête que de pondre lâchement un texte au nom des autres. On comprend alors que vous n’osez point signer votre torchon.

    Votre politique du ventre laquelle politique a justifié le saccage du pays et la patrimonialisation du pouvoir et elle a été rejetée de façon claire et nette par le peuple Cela vous énerve Tant pis pour vous. Si vous voulez vous mettre au service des hommes d’argent, faites le en votre nom. On est venu vous faire miroiter des évolutions au pays parce que vous arrivez de France... Pauvres C… Le peuple n’est pas de votre philosophie : vous ne voulez pas lire exactement ce que le peuple vous a donné comme leçon de philosophie de vie et de développement. Et vous étouffez de frustration dans votre exil pitoyable… C’est énervant à la fin. Vous êtes pire que la honte ! Vous démontrez qu’il est essentiel de faire un nettoyage aussi dans cette diaspora pourrie. C’est les rejetons de ces messieurs de la compaorose qui nous ont exploités pendant 27 ans pour envoyer ces pauvres gamins tout aussi pourris que leurs parents, étudier et vivre à l’étranger avec nos sous volés et qui maintenant pleurent leurs avantages perdus et veulent que l’on protège leurs intérêts. Ces gens signataires, ce n’est pas parce qu’ils ne vivent pas au pays qu’ils ne connaissent pas les réalités du pays : ils pleurent leurs avantages perdus. Vous n’êtes que des égoïstes ingrats. Cet écrit nous enseigne à nous autres que nous devons rester plus que vigilants et qu’il faut encore faire du nettoyage. Vous croyez influencer ainsi le prochain processus, vous vous trompez. Le peuple a changé. Bandes de gros…
    SOME (moi au moins je signe mes prises de position)

  • Le 10 décembre 2014 à 18:41, par le Pourvoyeur En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    votre contribution,Oui !mais vs etes qui pour decider ce que doit faire les 17millions de burkinabe a leur place,vous voyez mieux que nous ici ! bandes de laches et de valets de Francois et Alizeta,connaissez vous ou on appel place de la revolution ?venez labas chanter on va voir !N’importe quoi

  • Le 10 décembre 2014 à 19:13, par Ka En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Si François Compaoré et sa belle-mère Gando vous ont offerts les restes du denier public volé dans leur fuite pour appâter les Burkinabé de l’intérieur, c’est raté. Toutes les entreprises, villas, visées et saccagées ont été développé avec le denier public volé. Non ! S’il y a de l’argent de l’état pour donner a ces voleurs en fuite, qu’on donne cet argent aux familles des victimes du 30 et 31 Octobre 2014. Que ceux qui demandent des dédommagements justifient les provenances de leurs biens, et la vraie justice après l’injuste du régime Compaoré tranchera. Vous êtes en dehors de la réalité au Burkina, Gando et Compaoré vous donneront les détails comment en 27 ans, on peut voler son peuple et aussi le torturer et tuer.

  • Le 10 décembre 2014 à 20:54, par ALLASSANE DAO En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    DIASPORA DE FRANCE CONTINUER A FAIRE VOTRE "DJOSSI"COMME NOUS LE FAISONS AUX USA ET LAISSER LES GENS AU PAYS BALAYER CE QUI EST A BALAYER PARCE QUE TOUT ETAIT SALE ET NAUSEABONDE.

  • Le 10 décembre 2014 à 22:20, par Bon Coeur En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Ailleurs, la diaspora a contribué énormément au changement. Au Burkina, elle tente de décourager la bonne marche du peuple. Vous croyez que vous êtes plus clairvoyant que ceux qui amené le changement ? Être en France ne fait de vous plus intelligents que nous. Nous connaissons les risques.

  • Le 10 décembre 2014 à 23:16, par Gypsie En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Mr YA-WOTO vous avez quitté le pays à 22 ans soit 5 ans après 1983 et vous parlez aujourd’hui d’avoir plus de 35 ans dite que vous frôlez la cinquantaine (48). Le clan compaoré aura à rendre compte au peuple en plus de leur conscience.

  • Le 11 décembre 2014 à 00:16, par Zangul En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    C’est trop facile de s’asseoir derrière son clavier pour clamer "on ne dédommage pas, c’est l’argent volé au peuple, etc..." Demandez aux centaines de travailleurs de TAN ALiZ et de l’hôtel Azalai que L’Obs a rencontrés récemment, s’ils sont d’accord pour le dédommagement de leurs entreprises saccagées. Je dis bien dédommager les entreprises et non les supposés propriétaires. Il s’agit de sauver des unités qui produisent des biens et services et qui fournissent des emplois. Car, ne nous leurrons pas, le gouvernement de transition ne créera pas beaucoup d’emplois, surtout avec la méfiance créée justement chez les investisseurs nationaux et étrangers par les saccages.
    Cela n’empêche pas que, parallèllment, des enquêtes soient menées sur l’origine des fonds qui ont servi à créer ces entreprises. Si cette origine s’avère frauduleuse, l’Etat pourra toujours trouver les mécanismes appropriés pour sanctionner les indélicats.

  • Le 11 décembre 2014 à 00:26, par Faso Burkina En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Comme beaucoup d’autres, j’aurais aimé voir une signature claire à ce point de vue. Mais l’anonymat n’enlève rien à la qualité de l’argumentation de l’auteur ou des auteurs. Mais soyons justes : de moi-meme à "Koro Yamyele" en passant par les "Momo" et autres "Kisito", qui n’est pas anonyme sur ce forum ? Cela n’empêche pas que chacun exprime souvent des avis pertinents

  • Le 11 décembre 2014 à 10:34 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Vous les burkinabè vivant en France, comprenez une seule chose et la vraie.Tout ce qui vient de la France (idée, aide financière, matérielle, militaire, etc.) est vomi depuis l’assassinat de Thomas SANKARA par la jeunesse burkinabè. C’est votre Blaise qui narguait la France en la faisant comprendre qu’elle était aimée. Arrêtez donc de nous envoyer ces genres d’idées en provenance de la France car c’est un lavage de cerveau. En plus, vous êtes très loin de la réalités des burkinabè. Si ce pays vous importe, alors quittez la maudite France et rentrez au bercail pour qu’on construise ensemble le Pays. Moi,je n’ai jamais rêver une seule fois mettre mon pieds dans ce pays même si l’occasion me le permettait. Vous les africains de France,et d’europe qui subissez le racisme sans broncher, pensez vous que quelqu’un va venir lutter à votre place ? imitez un peu l’exemple des Noirs américains !

  • Le 11 décembre 2014 à 13:35, par Ka En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Si François Compaoré et sa belle-mère Gando vous a offert les restes du denier public volé dans leur fuite pour appâter les Burkinabé de l’intérieur c’est raté. Toutes les entreprises, villas, visées et saccagées ont été développé avec le denier public volé. Non ! S’il y a de l’argent de l’état pour donner a ces voleurs en fuite, qu’on donne cet argent aux familles des victimes du 30 et 31 Octobre 2014. Que ceux qui demandent des dédommagements justifient les provenances de leurs biens, et la vraie justice après l’injuste du régime Compaoré tranchera. Vous êtes en dehors de la réalité au Burkina, Gando et Compaoré vous donneront les détails comment en 27 ans, on peut voler son peuple et aussi le torturer et tuer.

  • Le 11 décembre 2014 à 13:42, par Ka En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Si François Compaoré et sa belle-mère Gando vous a offert les restes du denier public volé dans leur fuite pour appâter les Burkinabé de l’intérieur c’est raté. Toutes les entreprises, villas, visées et saccagées ont été développé avec le denier public volé. Non ! S’il y a de l’argent de l’état pour donner a ces voleurs en fuite, qu’on donne cet argent aux familles des victimes du 30 et 31 Octobre 2014. Que ceux qui demandent des dédommagements justifient les provenances de leurs biens, et la vraie justice après l’injuste du régime Compaoré tranchera. Vous êtes en dehors de la réalité au Burkina, Gando et Compaoré vous donneront les détails comment en 27 ans, on peut voler son peuple et aussi le torturer et tuer.

  • Le 11 décembre 2014 à 20:54, par Bance Ibrahim En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Moi je dirai qu’il faudrait effectivement dédommager. Avant tout qui doit on dédommager ? Qui a subi des dommages pendant 27 ans au détriment de Qui ? Posons nous les bonnes questions.
    Si il est avéré que ces gens se sont effectivement enrichis sur le dos du peuple, alors rendons à César ce qui est à César. Cela reviendrait à nationaliser les sociétés illicitement acquises à un franc symboliques au détriment du contribuable. Cette nationalisation permettraient donc à toutes ces braves personnes qui y ont travaillé depuis des années de maintenir leurs emplois et pourront donc continuer aux besoins de leurs familles. Ainsi donc le dédommagement aurait été pleinement accompli et justice serait rendue. Pour les petits commerçants honnêtes qui auraient été victimes des dommages collatéraux, ceux là mériteraient bien un coup de pouce de l’état pour pouvoir relancer leurs activités. Si c’est à cela fait allusion le collectif, alors le peuple qui s’est mis debout en octobre 2014 est d’accord.
    Restons unis et vigilants, il ne faut pas se laisser distraire par des réactionnaires anonymes poltrons.

    Vive le Birkina Faso, vive la révolution d’octobre 2014, honneur au peuple.
    La patrie ou la mort nous vaincrons.
    I. Bance

  • Le 11 décembre 2014 à 20:59, par Bance Ibrahim En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Moi je dirai qu’il faudrait effectivement dédommager. Avant tout qui doit on dédommager ? Qui a subi des dommages pendant 27 ans au détriment de Qui ? Posons nous les bonnes questions.
    Si il est avéré que ces gens se sont effectivement enrichis sur le dos du peuple, alors rendons à César ce qui est à César. Cela reviendrait à nationaliser les sociétés illicitement acquises à un franc symboliques au détriment du contribuable. Cette nationalisation permettraient donc à toutes ces braves personnes qui y ont travaillé depuis des années de maintenir leurs emplois et pourront donc continuer aux besoins de leurs familles. Ainsi donc le dédommagement aurait été pleinement accompli et justice serait rendue. Pour les petits commerçants honnêtes qui auraient été victimes des dommages collatéraux, ceux là mériteraient bien un coup de pouce de l’état pour pouvoir relancer leurs activités. Si c’est à cela fait allusion le collectif, alors le peuple qui s’est mis debout en octobre 2014 est d’accord.
    Restons unis et vigilants, il ne faut pas se laisser distraire par des réactionnaires anonymes poltrons.

    Vive le Birkina Faso, vive la révolution d’octobre 2014, honneur au peuple.
    La patrie ou la mort nous vaincrons.
    I. Bance

  • Le 11 décembre 2014 à 21:08, par Bance Ibrahim En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Moi je dirai qu’il faudrait effectivement dédommager. Avant tout qui doit on dédommager ? Qui a subi des dommages pendant 27 ans au détriment de Qui ? Posons nous les bonnes questions.
    Si il est avéré que ces gens se sont effectivement enrichis sur le dos du peuple, alors rendons à César ce qui est à César. Cela reviendrait à nationaliser les sociétés illicitement acquises à un franc symboliques au détriment du contribuable. Cette nationalisation permettraient donc à toutes ces braves personnes qui y ont travaillé depuis des années de maintenir leurs emplois et pourront donc continuer aux besoins de leurs familles. Ainsi donc le dédommagement aurait été pleinement accompli et justice serait rendue. Pour les petits commerçants honnêtes qui auraient été victimes des dommages collatéraux, ceux là mériteraient bien un coup de pouce de l’état pour pouvoir relancer leurs activités. Si c’est à cela fait allusion le collectif, alors le peuple qui s’est mis debout en octobre 2014 est d’accord.
    Restons unis et vigilants, il ne faut pas se laisser distraire par des réactionnaires anonymes poltrons.

    Vive le Birkina Faso, vive la révolution d’octobre 2014, honneur au peuple.
    La patrie ou la mort nous vaincrons.
    I. Bance

  • Le 11 décembre 2014 à 21:44, par le professeur En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    FOUTEZ NOUS LA PAIX.ON VOUS VOYAIS VOUS PRESSANT POUR TENDRE LA MAIN AU PRESIDENT DECHU LORS DES SES PASSAGES EN FRANCE.AU MOMENT OU LE PEUPLE SOUFFRAIT LE MARTYR VOUS N’AVEZ A AUCUN MOMENT INTERPELLE LES AUTORITES D’ALORS.DES VOIX SE SONT ELEVES POUR CONDAMNER, POUR AVERTIR. LE CLERGE PAR EXEMPLE. MAIS VOUS ;VOUS ETES TOUJOURS TUS. ALORS TAISEZ-VOUS ;

  • Le 12 décembre 2014 à 00:03, par MAM En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Si vous êtes sincères dans votre démarche et voulez le bien du Burkina, pourquoi un si fort message à l’endroit des dirigeants de ce pays, donc à ce peuple, sans signature ?
    S’il vous plait, veuillez vous identifier d’abord car il y va de la crédibilité de ce que vous avancez. c’est trop facile d’écrire, même en tant qu’individu et faire croire ensuite que ça provient d’un groupe. par ailleurs, sachez que le remplacement des DG est ce qui est le plus normal pour une équipe qui se veut homogène pour travailler. c’est dans quel pays vous avez déjà vu des dirigeants laisser à leur poste des responsables de grandes sociétés en qui ils n’ont pas confiance de la fidélité. est ce qu’au pays où vous êtes, bien que plus avancé dans la démocratie, vous voyez des anciens responsables du temps de Sarkozy toujours à leur post ? acceptez que c’est comme cela ; tout gouvernement doit composer son équipe de travail surtout quand ça survient après un désaveux de la population vis à vis du régime qui était en place. où étiez vous quand l’injustice se faisait dans ce pays, se manifestant par des assassinats (Norbert Z., David O., ....) et de la gabegie avec patrimonialisation des secteurs économiques du Pays ?
    MERCI

  • Le 12 décembre 2014 à 01:02, par Goama Moaga Zohstice En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    La chasse aux sorcieres, c’est pas mauvais. Ce qui est mauvais, c’est chasser celles qui ne sont pas sorcieres. Or tous ceux qu’ on a brules les maisons et les societes qui pourrissaient notre cadre de vie et polluaient nos eaux, dites moi qui n’ est pas sorciere. Vous voyez, parce qu’ on est bon et on a pas jeter ces sorcieres dans le feu maintenant des achetes sortent de leur trou pour dire de ne pas chasser les sorcieres. Si elles sont sorcieres, on va les casser pian.
    On a pas bruler non plus pour rembourser apres.Ce qu tu as trouve facile part aussi facile. Combien d’ annees ces messieurs ont mis pour devenir miliardaires ? Vous aussi. Faut pas nous enerver encore, deh ! Si on les dedomage on brule encore. C’est pas conplique- la. Ils n’ ont qu’ a aller voir les assurancs pour se faire dedomager. Et le peuple qu’ ils spoliait depuis, lui, qui va le dedommager ? Vous connaissez seulement quelques familles ou il y a le chomage a cause des magasins brules. Mais les 3/4 des jeunes choment parce que les memes ont instaure un regime politique et economique vampirique qui suce le sang du peuple depuis 1990. Ca ne vous dit rien ? Toi monsieur qui parle au nom de la diaspora- la, contente- toi de donner ton sale cul en france la- bas. Vous autres pareils- la, vous ne reculer devant rien. Ne te mele pas de quelque chose que tu ne comprends pas. Zida, allez, a rtchengue. Fonce solment !!!

  • Le 12 décembre 2014 à 01:54, par SOME En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Cette initiative d’un collectif prétendument de la diaspora de France a de quoi surprendre Je ne sais comment s’est constitué ce collectif et qui en est membres. Si ca existe même, j’en doute très fort. Alors je ne peux qu’être surpris des positions que ce collectif prend : de quelle légitimité se prévaut-elle ?

    Pire elle n’a même pas le courage de signer qui sont ces membres de ce collectif. Ce serait le moins à faire. Quelle malhonnêteté intellectuelle ! Il est trop facile de se lever un beau matin et de signer des papiers au nom des membres de la diaspora, faisant croire que telle est la position de tous les burkinabe de France. Mais la technologie de l’internet rend facile une telle manipulation.

    Pour ma part, je n’adhère aucunement à votre position. Elle est plus que contestable, elle est même réactionnaire et anti peuple. Il est trop facile de s’asseoir à l’extérieur là bas et de s’arroger le droit d’indiquer comment gérer le pays. Quand les gens se faisaient tirer dessus a ouaga et divers villes du pays, vous n’y étiez pas. N’importe qui peut s’asseoir n’ importe où et changer toutes les secondes de pseudo et inonder le forum de ses points de vue, aussi tordues soient-ils. Nous en tous conscients ! A tous les lecteurs : surtout ne prenez pas ces élucubrations pour la position de la diaspora de France. Il n’en rien du tout.

    Vous dites « Le pays est à reconstruire parce que l’euphorie de l’insurrection a porté un coup à l’économie nationale, même si les discours difficiles prétendent encore le contraire. Les nombreuses entreprises pillées et saccagées, les milliers de personnes mises de fait au chômage sont des situations qui en appellent à éviter de se lancer dans une chasse aux sorcières. Le regard envieux de certains de nos concitoyens sur des réussites les amène à oublier trop vite souvent que des fortunes se sont construites au prix de mille efforts, pendant de longues années. Il ne faut donc pas utiliser une pelleteuse pour racler le fond d’une casserole en vue de la rendre propre. Le Collectif recommande donc de procéder avec méthode et d’envisager d’associer les propriétaires de grandes entreprises à toute action de dédommagement pour leur permettre de relancer la fragile économie du BF qui dépend des humeurs des partenaires étrangers. Les libertés de mouvement accordées à certains ex dignitaires ces derniers jours cadrent parfaitement avec l’esprit de cette déclaration. » ce raisonnement est hallucinant pour une soi disant cohésion sociale et pour le bien être du Burkina. Et puis quoi encore. C’est vraiment nous insulter. Pendant qu’on y est dites nous que nous avons eu tort de chasser Compaoré, au moins c’est clair ! De quelle diaspora parle-t-on ? Au moins vous sortez du bois malgré les maquillages. Allez jusqu’au : dites que sous compaore c’était le paradis.

    Mes chers compatriotes, internet n’est pas du tout un outil facile : la toute première qualité pour tirer profit d’internet, c’est de savoir que cet outil sert beaucoup à manipuler. Malheureusement ! Cette position n’est point du tout la position de toute la diaspora, mais de quelques énergumènes, si ce n’est même pas un seul individu. Qu’ils aient le courage de s’afficher et de dire qui ils sont et les membres de la diaspora pourront apprécier et dire ce qu’ils en pensent. Ne croyez surtout pas que ceci est une position consensuelle de tous les burkinabe de France. Si certains sont idiots, qu’ils ne prennent pas leur cas particulier pour une généralité. J’aurais aimé avoir à croiser le fer viva voce avec eux, dans un débat direct ; c’est préférable et plus honnête que de pondre lâchement un texte au nom des autres. On comprend alors que vous n’osez point signer votre torchon.

    Votre politique du ventre laquelle politique a justifié le saccage du pays et la patrimonialisation du pouvoir et elle a été rejetée de façon claire et nette par le peuple Cela vous énerve Tant pis pour vous. Si vous voulez vous mettre au service des hommes d’argent, faites le en votre nom. On est venu vous faire miroiter des évolutions au pays parce que vous arrivez de France...Pauvres C… Le peuple n’est pas de votre philosophie : vous ne voulez pas lire exactement ce que le peuple vous a donné comme leçon de philosophie de vie et de développement. Et vous étouffez de frustration dans votre exil pitoyable… C’est énervant à la fin. Vous êtes pire que la honte ! Vous démontrez qu’il est essentiel de faire un nettoyage aussi dans cette diaspora pourrie. C’est les rejetons de ces messieurs de la compaorose qui nous ont exploités pendant 27 ans pour envoyer ces pauvres gamins tout aussi pourris que leurs parents, étudier et vivre à l’étranger avec nos sous volés et qui maintenant pleurent leurs avantages perdus et veulent que l’on protège leurs intérêts. Ces gens signataires, ce n’est pas parce qu’ils ne vivent pas au pays qu’ils ne connaissent pas les réalités du pays : ils pleurent leurs avantages perdus. Vous n’êtes que des égoïstes ingrats. Cet écrit nous enseigne à nous autres que nous devons rester plus que vigilants et qu’il faut encore faire du nettoyage. Vous croyez influencer ainsi le prochain processus, vous vous trompez. Le peuple a changé. Bandes de gros…
    SOME (moi au moins je signe mes prises de position)

  • Le 12 décembre 2014 à 08:34 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    DONNER MOI LE NOM D’UN OPPOSANT TOMBER DANS L’INSURRECTION ? SAIS QUE NOS ENFANTS QUI SONT MORT SAIS OPPOSANT QUI ONT ÉTÉ LES ASSOCIER DE COMPAORE ALORS RÉCONCILIONS NOUS TROUVONS DU TRAVAIL A NOS ENFANTS

  • Le 12 décembre 2014 à 10:31, par Justicierrrrr En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Une question ; quels chefs d’entreprise ont été chassé et par qui ? Bien vrai quelques entreprises ont été saccagées, mais personne n’a chassé les responsables. Au contraire, ces chefs d’entreprise -qui ont brimé le peuple avec la bénédiction de la compaorose- ont décampé bien avant que la situation ne dégénère.

  • Le 12 décembre 2014 à 10:35, par lewil En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Bonjour. Vous, vous faites semblant d’être un peu sages, mais on vous voit très bien. Vous vous cachez derrière un soit-disant collectif. On sait que vous êtes proches du CDP. Identifiez vous clairement, c’est sans rancunes mais il faut actuellement que les Burkinabé aient le courage de se dire la vérité pour ne plus avoir à vivre les situations des 30 et 31 octobre 2014. Dites à vos gens là pour qui vous plaidez, les françois compaoré, alizeta gando et autres....qu’ils peuvent revenir faire un compte rendu des 27 ans de vol des ressources du Burkina Faso. Et là on verra. Je reviens un peu jouer balle à terre pour vous dire, les compatriotes ne sont pas morts pour que les choses ne changent pas au Burkina. Le changement doit sonner chaque jour dans la tête de chaque Burkinabé comme les cloches appellent les fidèles à la prière. Je crois même que le Gouvernement actuel est très patient. Vous parler de la SONABEL et de la SONABHY, qu’en savez-vous ? Des entreprises de l’Etat utilisées par Blaise et sa famille comme les leurs. Si vous ne savez pas, nous nous connaissons à Ouagadougou. Le peuple Burkinabé veut seulement arrêter une situation devenu invivable à cause de la caporalisation des ressources du pays. La preuve, la peuple à nettoyer son pays juste après l’insurrection. Ne pensez pas que le peuple ne sait pas ce qu’il fait ou ca qu’il veut. Désormais toute autorité qui s’amuse trouvera le peuple sur son chemin, et cela n’attendra plus des décennies comme ce fut le cas avec blaise. A bon entendeur.......

  • Le 12 décembre 2014 à 11:05, par Lamine Soré En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Chers frères et sœurs du côté de la France,

    Votre texte est digne d’intérêt et montre combien nos frères qui vivent hors du Faso sont soucieux du BIEN de leur pays. Cependant, il faut noter la nature singulière du mouvement qui a fait partir Blaise Compaoré et, sans être réducteur, ne pas comparer le contexte du Burkina avec celui de la Tunisie.
    En effet, c’est une insurrection qui a fait partir Blaise. Or en de pareille situation le pouvoir se trouve dans les mains du peuple et donc, son exercice doit nécessairement en tenir compte en toute circonstance. De ce fait, les anciens dignitaires sont certes des fils et filles du Faso, mais ils ont commis beaucoup d’errements quand ils étaient aux commandes. Et des voies éclairées leur avaient averti mais ils ont tourné le dos à tout raisonnement et tout changement.
    La situation actuelle est vraiment propice pour rompre avec les pratiques mafieuses de l’ancien régime qui baignait dans la corruption, les crimes économique et politique, l’impunité en tout genre, la mal gouvernance, le pillage organisé des ressources du pays, etc. Certes, il ne faut pas encourager les règlements de compte, mais tout ceux qui sont impliqués dans des pratiques condamnables doivent rendre compte sans cesser d’être des burkinabè ; les ressources pillées doivent être recouvrées ; les crimes commis et connus doivent faire objet de justice ; plus jamais, le Burkina ne devra être comme un capital privé ; le peuple doit être respecté et considéré comme seul détenteur du pouvoir.
    Si justice n’est pas rendue, si des responsables des sociétés d’État en exercice peuvent toujours continuer à envoyer de l’argent, en toute impunité, aux dignitaires en fuite, je crois que nous sommes entrain de créer le terreau à une autre insurrection, plus violente et plus difficile à maîtriser.
    Chers frères et sœurs de la diaspora, n’oubliez jamais que toute contribution de vous doit aller le sens de la consolidation de la bonne gouvernance et l’instauration d’un État de droit véritable. Nous sommes au pays et pendant 27 ans nous avons subi et vécu des comportements inacceptables sur les plans moral et du droit.
    En conclusion, tous ceux qui ont commis des crimes doivent au nom de la loi être poursuivi, ce qui est différent de la chasse à l’homme. Et tous ces voleurs et pilleurs de la caisse de l’État burkinabè réfugiés en France et ailleurs doivent être renvoyés au Burkina pour qu’ils rendent compte. Et vous, chers compatriotes de la diaspora devez y contribuer !
    Vous êtes en France : est-ce-que vous pouvez pratiquer en toute impunité la corruption, tuer des êtres humains et circuler comme si de rien n’était, envoyer de l’argent à quelqu’un qui est poursuivi par la justice sans vous exposer aux mêmes sanctions que lui, ..............?
    Chers compatriotes s’il vous plait, défendez ce qui est défendable sur le plan de la morale et aussi du droit.
    Rejoignez nous dans la construction d’un Burkina nouveau ! Nous y croyons et nous sommes convaincus que nous ferons mieux que nos frères tunisiens.
    Pourquoi nous croyons en notre capacité de construire un Burkina nouveau ?
    Parce que les valeurs qui fondent le Faso et qui sont connus, à savoir l’humilité, la modestie, l’intégrité, la dignité plus que tout autre chose, la vérité, la justice, la solidarité et l’entraide mutuelle sans tambour battant, etc, existent toujours et peuvent être toujours partagé et canalisées au centre des nouveaux chantiers.
    Au lendemain de la fuite de Blaise, le même peuple, sans distinction d’age qui œuvré à l’insurrection populaire, est sorti pour nettoyer et balayer les rues et ruelles de la ville de Ouagadougou, dans un élan de solidarité et de citoyenneté !
    Vous trouvez ce comportement où ?

    Que Dieu vous bénisse et vous enrichisse abondamment pour qu’en retour vous apportez la contribution tant attendue de vous dans la construction du Faso nouveau !

    Courage au gouvernement de transition, au CNT, et tous les organes de la transition !

    Que Dieu bénisse le Burkina Faso !

  • Le 13 décembre 2014 à 21:24, par KaderGg En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    N’importe quoi !! Dites-le à F. Hollande !

  • Le 13 décembre 2014 à 22:45 En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Cet article est totalement contreproductif pour la diaspora burkinabè en France. L’auteur ou les auteurs auraient pu le signer de la nature de leur collectif si on sait qu’en France, les collectifs pillulent dont le plus célèbre est le collectif des sans papiers. Je ne vois vraiment pas la nécessité de signer un tel article du "collectif de la diaspora burkinabè en France". Je ne me reconnais nullement dans cette déclaration aussi hasardeuse que provocatrice. Alors je demande aux internautes de ne pas faire un amalgame car la diaspora burkinabè en France est beaucoup plus consciente que les termes de cette déclaration sournoise, hypocrite et lâche. Chacun doit pouvoir être à même de s’identifier à son écrit. Bark Biiga de la diaspora burkinabè en France..

  • Le 14 décembre 2014 à 15:06, par Bance Ibrahim En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Merci aux autorités de la transition en rendant justice par la nationalisation des enterprises d’état illicitement acquis au franc symbolique. J’espère que plus rien n’arrêtera la machine mise en route pour lutter contre l’injustice et l’impunité. Que Dieu Donne la force aux autorités de transition pour mener á bien la difficile mission que le peuple leur a confiée.
    La patrie ou la mort nous vaincrons.
    I.Bance

  • Le 14 décembre 2014 à 21:00, par Adolph Hitler En réponse à : Transition politique au Burkina : Les premières inquiétudes de la diaspora burkinabè en France

    Ce COLLECTIF DE LA DIASPORA BURKINABE DE LA FRANCE qui ne signe pas son écrit n’est rien d’autre qu’une bande de voyous. Pourquoi vous avez fuit le Faso pour aller chercher mieux ailleurs ? C’est parce que la vie est dure ici je suppose ! Et vous défendez ceux qui sont à la base de tout cela ! Apparemment vous ne savez pas qui vous êtes ni ce que vous voulez ! C’est dommage ! Suis d’accord avec vous quand vous demandez de dédommager ces vampires. Oui, envoyez vous même les fonds et venez les dédommager vous même car nous savons que ce sont vos parents et surement que c’est eux qui vous ont envoyé la-bas et vous entretenaient avec l’argent qu’ils nous ont volé. Le peu que ces MAFIOSOS nous ont laissé dans les caisses de l’état doit nous servir pour autre chose. Heureusement que le document n’est pas signé, sinon on vous ravirait votre nationalité. N’énervez pas les BURKIMBI avec vos bétises

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