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Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

Publié le samedi 25 octobre 2014 à 17h21min

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Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

Les partis politiques de l’opposition ont appelé à une journée nationale de protestation le 28 octobre contre le processus de révision de la Constitution, notamment de l’article 37 relatif à la limitation du nombre de mandats présidentiels. Mais, manifestement, pour certains de leurs militants ou sympathisants, la date du 28 octobre ressemble à une éternité. Depuis le 23 octobre, des « manifestations spontanées » sont organisées dans plusieurs endroits de la capitale.

« Le 28 octobre là, c’est trop loin, on ne peut pas attendre ; c’est pourquoi depuis le 23 octobre, nous on manifeste ici pour dire qu’on n’est pas d’accord avec le référendum », tente d’expliquer un manifestant dans un brouhaha et une sorte de désorganisation, hier matin 24 octobre, aux environs de 10 heures à la sortie Est de Ouagadougou, où des jeunes avaient barré la route en y posant des troncs et en incendiant des pneus, contraignant des usagers à descendre sur le bas-côté et les automobilistes, soit à faire demi-tour, soit à patienter.

La veille, c’est-à-dire le 23, ils avaient déjà perturbé la circulation et annoncent qu’il en sera ainsi « jusqu’à ce que le président comprenne qu’on n’est pas d’accord ».

Quand la police anti-émeute arrive sur les lieux, les manifestants s’arment d’abord de projectiles, prêts à l’affrontement avant qu’un des leaders leur enjoint de les déposer. « Non, posez les cailloux, on va vers eux les mains nues et en l’air ». Ils s’exécutent. Puis entament l’hymne national. Commence alors un dialogue entre eux et le patron de la police, signe que les temps ont assurément bien changé. Les leçons des évènements de 2011 semblent avoir été tirées côté forces de l’ordre. On discute, la répression n’arrivant qu’en ultime recours. « Nous ne sommes pas venus pour vous réprimer ; on ne va pas utiliser les gaz lacrymogènes ; vous avez le droit de manifester et nous sommes là pour vous écouter et qu’ensemble, on trouve une solution pour que la circulation reprenne. On vous comprend, mais vous savez qu’on est dans une république et il faut respecter les droits des autres aussi. Vous avez montré que vous n’étiez pas contents ; les gens le savent maintenant ; donc il faut qu’ensemble, on enlève les troncs d’arbres pour libérer la route. Imaginez une ambulance qui transporte un malade à l’hôpital, vous voyez bien que ça pose problème ».

Les manifestants écoutent poliment leur interlocuteur, puis à la fin de son discours, tous se mettent à parler. Un d’eux arrive à s’imposer : « Nous avons longtemps manifesté pacifiquement, même sous la pluie. Mais nous voyons bien que Blaise Compaoré ne recule pas ; donc on change de stratégie. Ce que nous voulons est clair : retrait pur et simple du projet de loi sur la modification de l’article 37, seule condition pour maintenir la paix dans ce pays. Nous voulons qu’après 2015, on parle de Blaise Compaoré en disant, ancien président de la république. Il a dirigé mon grand-père, mon père et moi maintenant. Il n’est pas question. Il faut que ça change. Moi, j’ai eu mon bac en 2012 et je suis toujours en première année. Vous trouvez ça normal ? ».

Très calmement, le policier reprend la parole : « Alors, on fait quoi maintenant. Vous levez les barrières ou pas ? ». Les réponses sont désordonnées et contradictoires. « Oui, on va le faire, mais 13h », répond un », vite contredit par son voisin. « Ah non, à 14h ». Un troisième intervient : « Mais tu es qui pour fixer l’heure ? Si tu fixes l’heure tout seul, on s’en va, on te laisse seul et tu répondras seul ». Un autre dit que « ce sera comme hier. A 18h ». Un usager, visiblement excédé, vient leur dire de laisser les gens passer. Il est proprement rabroué.

En permanence au téléphone, le chef de la police bat en arrière avec son équipe. On tente alors d’interviewer un ou les responsables de la manifestation. « Il n’y a pas de responsables ici, c’est spontanée », répond celui visiblement qui a de l’ascendant sur les autres. « Si, on a des responsables, mais on les voit pas, ils ne sont pas là », rectifie un étudiant de Kossodo.

Avant de poursuivre la discussion, ils exigent de savoir qui est l’auteur de ces lignes, lequel décline son identité. « Ah oui, je le lis souvent sur Lefaso.net », confirme un autre étudiant.

Celui qui parle le plus depuis notre arrivée sur les lieux nous interpelle : « Nous avons lu la déclaration de la France dans laquelle elle salue le rôle de médiateur du président Compaoré en Afrique de l’Ouest. Si la France a besoin de lui, qu’elle crée un poste de médiateur là-bas pour lui. Nous, on sait que la France défend ses intérêts, mais la domination coloniale, c’est terminée ».

Joachim Vokouma
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 25 octobre 2014 à 17:21, par Ka En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Un message très important pour la jeunesse Burkinabé qui lise mes messages : Je suis un farouche partisan de l’alternance politique et économique dans mon pays, et je souhaite qu’un jour cette alternance se passe dans la paix et dans le dialogue. Je demande les jeunes d’un quartier de Ouaga qui préparent l’irréparable, et qui ont dit qu’ils tueront un a un tous les députés connus pour les modifications de l’article 37, je leur dit dans ce message de s’abstenir de salir leurs mains comme le représentant du peuple Burkinabé, qui est dans la liste d’attente de la CPI. Oubliez cette liste. ‘’’’’’Oui l’avenir du Burkina vous appartienne mais pas dans le sang, mais dans la bataille avec des cerveaux : car en opposant la haine à la haine, la violence a la violence, on applique une vieille philosophie qui ne donne pas des bons résultats. Le président Blaise Compaoré n’est pas immortel, il est de la poussière et il retournera dans la poussière.’’’’’’ Vous pouviez vous exprimer par un soulèvement populaire, car la rue a toujours accouché de la vérité dans notre pays, mais pas les crimes.

  • Le 25 octobre 2014 à 17:23 En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Vous n’avez rîen vu d’abord. Pleurez, criez, marchez, chiez, appelez dieu,appelez les USA, appelez la FRANCE,....

    Rien ne va nous arrêter. Que croyez-vous ? Nous ne sommes pas des enfants de choeur pour accepter vos comportements d’enfant gâté. On a voulu négocier avec vous et vous avez fait le malin non ? Alors, subissez notre foudre dans le sens 1er du terme.
    Nous allons dicter la loi de la majorité. Et la minorité soit elle subit soit elle crève. C’est ainsi la démocratie lorsqu’on refuse de négocier avec celui qui a la légitimité populaire, la majorité parlementaire et la puissance de feu.
    Sachez au moins assumer vos responsabilités lorsque nous allons contre-attaquer physiquement. Nous utiliserons TOUS LES MOYENS qu’il faut. Je dis bien tous..
    Encore une fois vive la clairvoyance de son Excellence Blaise Compaoré. Vive l’ensemble du peuple du Burkina.

  • Le 25 octobre 2014 à 17:24, par vérité no1 En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    D’accord avec les manifestants, le 28 est très loin ! Il faut battre le fer pendant qu’il est chaud ! Je ne reculerai jamais face à la modification de l’article 37 ! Fin de citation.

  • Le 25 octobre 2014 à 17:34, par oued.ar En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Mes chers frères et soeures, ouvrez les yeux un peut svp, ne vous laissez pas berner comme par des manipulateurs, le futur c est la jeunesse, le chef de l état pense a nous et travail pour que se pays avance, soyons clair, se pays est cité de nos jour comme exemple en Afrique malgré le peux de ressources que nous possédons, méfions nous des gens qui vous disent de sortir et manifester, ses gens eux mêmes restent a la maison, ses ont leurs enfants dans les plus grandes écoles et plus chères hors du pays.Regradons un peut nos voisins,ce qui c est passé en cote d ivoire, mali,guinée,.
    Le burkina faso n as pas beaucoup de ressources comme ses pays, mes chères parents ne détruisons pas ce dont nous avions de plus cher’’’’’ qui est BURKINA FASO.

  • Le 25 octobre 2014 à 17:45, par sens En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    vraiment, ces gens la n’ont rien a faire ; bruler !! bloquer !! barrer !! c’est ca démocratie ?

  • Le 25 octobre 2014 à 17:47, par jackmani En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    La grève est un droit mais elle doit être fixé car si l’on grève comme dans une jungle aucun fonctionnaire ne se rendrait plus au bureau. Il est claire que l’autorité doit prendre un initiative afin que ce droit ne soit pas abusé. Il opportun en ce jour de montrer à la population que ce navire a toujours un capitaine a bord et que le laisser aller ne peut être tolérer. Vive la police Vive la CRS vive le BAD Allons pour la consultation populaire !

  • Le 25 octobre 2014 à 17:53, par jack En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Par cela il est claire que ceux qui crient contre la consultation populaire sont des ignorants ! Non seulement il ignore qu’une grève pour que cela soit pris comme grève se doit d’avoir un jour fixe et aussi médiatisé pour que les autorités dans l’intérêt de tous puissent prendre des mesures pour qu’aucun bien publique ne soit détérioré. La grève est un droit mais il ne faut pas en abusé

  • Le 25 octobre 2014 à 18:02, par Le Camarade En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Au regard des réactions non ratifier et surtout abusif il claire que les partisans du non utilise des animaux effervescent dans le but d’obtenir gain de cause ! Mais permettez moi de vous rappeler dans le respect des droits de tout un chacun l’on se veut de voir des vagues de protestation pacifique car a tous débordements l’autorités se verra dans l’obligation d’agir et nous en serons tous responsable ! La grève est un droit et non un devoir et a utiliser avec modération. Un homme averti en vaut 1000

  • Le 25 octobre 2014 à 18:39, par CEDRIC En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Visiblement le problème de chômage au Burkina n’est pas lié au manque d’emploi mais à la paresse des jeunes. Comment une personne sensé qui veut travailler peut dire que la date fixé pour la rencontre est trop loin il faut commencer dès a présent ! Un homme qui sait que si ne travail pas il ne va pas se faire renumerer ne peut agir de la sorte ! C’est les blancs qui le disent en Afrique on perd trop de temps pour des futilités au lieu de faire de l’argent ! Le 30= fin calvaire, fin des divertissements, fin des pitreries

  • Le 25 octobre 2014 à 18:48, par vérité no1 En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    @par sens, brûler, barrer, bloquer c’est ça la démocratie, oui c’est ça la démocratie ! S’ ils continuent de foncer aveuglement vers la modification de l’article 37, on va passer à l’autre étape de la démocratie qui consiste à percer les têtes vides !!!!!!!

  • Le 25 octobre 2014 à 18:51, par florence En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Arrêter de vous donner en public le président a été un peu plus claire sur ce sujet ! De mémoire d’homme on a jamais vue le Burkina se mêler de la politique française où américaine nos pas que leur politique est bonne mais par respect de la souveraineté d’état. Le parlement européens n’est en aucun cas le Burkina Faso et grève au parlement européens comme si elle était responsable de ce qui nous arrive reviendrai à renier notre indépendance mais aussi notre intégrité ! Les problèmes burkinabés seront résolu par les burkinabé

  • Le 25 octobre 2014 à 18:59, par Sofia voix de la verité En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Cher journaliste arrêté de « créer » la discrimination au sein du peuple. C’est tout le monde qui constitue le peuple quelque soit son bord politique. Que tu soit de l’opposition ou de la majorité, vous constituez ensemble le peuple. Arretez de traiter les uns du peuple et les autres du camps presidentiel comme si ne vont pas parti du peuple.

  • Le 25 octobre 2014 à 19:00, par albatroce En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Le MPP se limite devant le parlement européens ! Non Qu’ils partent même marcher sur la lune ils n’ empêcherons les événements de suivre leur. Cela n’est pas un passage en force mais le processus démocratique qui résulte immédiatement de nombreux dialogues infructueux. Non Non Non voici où cela vous a conduit mais maintenant ne pensez vous pas qu’il est temps de dire Oui Oui Oui ?

  • Le 25 octobre 2014 à 19:05, par Verdad En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    au lieu d’inciter le peuple a la révolte et a la violence, l’opposition burkinabè devrait encourager le peuple a aller au référendum pour que vos idéaux passe légalement.

  • Le 25 octobre 2014 à 19:14, par smaok En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Monsieur Barry est claire que pour vous le mot collaboration doit être redéfini ! Mais depuis puis on prend des menaces pour une collaboration surtout quand la soit disant collaboration est dans le but de satisfaire non pas les deux camps mais un seul ! Vous êtes comme cette bande de macaques radicales de l’opposition incapable d’argumenter a plus forte raison convaincre ne serait ce que cette bande de badaud qu’ils osent appeler militants. Visiblement vos intimidations ne marche qu’en famille ! allez vous masturber l’esprit ailleurs !

  • Le 25 octobre 2014 à 19:20, par tché En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Soyez responsables. Toute âme pétrie des droits humains et des droits démocratiques sait le choix qui vaille. Celui des urnes. Le temps du suffrage n’est pas celui des croque-morts.

  • Le 25 octobre 2014 à 19:27, par felicite En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Depuis cette histoire de spectacles l’on se compte que les différentes section de l’opposition ne manifestent qu’aux Etats Unis et dans 4 pays Européens ; hors il est connu de tous qu’il y a des burkinabé partout dans le monde et que la somme des burkinabés vivant dans le reste du monde où l’opposition reste passive est supérieur a celle même qu’elle tient en considération ! Pire aujourd’hui l’on nous confirme qu’avec le partenariat avec l’ADF-RDA la mouvance aura plus de députes au parlement que l’opposition ! C’est de quel peuple majoritaire que l’opposition se réclame de son bord ?

  • Le 25 octobre 2014 à 19:29, par jeune diplomé En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Vou voyez maintnant ce que j vou ai tjrs dit,vos leaders,ceux la qui se pretendent opposants vou mettront devant le problème et fuiront vous laisser !!!ça vien juste de commencé.
    Si vou ètes malin dites oui o referendum et boycottez la marche du 28 !!!!

  • Le 25 octobre 2014 à 19:36, par L’amazone En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Au nom quoi les leaders politiques de l’opposition devraient parler pour près de 16 millions d’habitants alors qu’ils pourraient leur permettre de s’exprimer directement ? Pourquoi tant de mépris pour le peuple dans son ensemble ? Le peuple sait ce qu’il veut et qui il veut à la tête de l’Etat. Donc laissons le peuple faire son choix.

  • Le 25 octobre 2014 à 19:48, par francesco En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    La mu rail de chine est un endroit soigneusement aménager pour les marches mais l’opposition préfère foutre la merde là ou il ne s’y est pas ! Mais si vous voulez marcher il y a la muraille de chine les terrains de marche a aboudabi ainsi qu’a pékin et j’en passe. Mais on ne peut pas aller semer le foutoir là où les honnêtes gens veulent travail. Il faut qu’une halte soit poser à l’encontre de l’opposition. Avant c’était la consultation populaire maintenant comme tout se résume au parlement bon d’une pierre deux coups ont tranche définitivement sur la question a moindre budget en plus et surtout quand on est sûre que la majorité va passer avec ce choix décisif de l’ADF ! Merci de leur offrir sur un plateau d’argent cette victoire

  • Le 25 octobre 2014 à 20:06, par Franck En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Dans la vie j’ai vue des bluffeurs mais pas comme les jouisseur du MPP "Le vaillant peuple du Burkina est un peuple patient, tolérant mais ferme dans les décisions qui peuvent enfreindre la loi fondamentale, socle de son unité" mais si c’est le peuple qui prend en main son destin il n’y a de raison de parler de tolérance. D’ailleurs si le peuple en l’occurrence tout personne Burkinabé était fermant décider a ce que la constitution ne soit pas modifier il n’y aura pas de pour et contre le référendum dommage que l’on est pas fait le décompte pour savoir lequel des deux camps était majoritaire et partir directement aux parlements. Mais pour cela je tiens pour responsable l’opposition

  • Le 25 octobre 2014 à 20:17, par Faux faire attention En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Je vous assure que si dans le peuple il y a une minorité qui veut opprimer les droits de la majorité et qu’il y a nécessité pour l’armé d’agir alors elle agira car si la population, le peuple de décide de ce mettre les uns les autres en danger alors l’armé se voit léger le devoir de mettre de l’ordre dans tout cela. Non au laisser aller ! Non aux délires Oui à la démocratie Oui a l’utilisation des voies démocratique Oui a une armé plus républicaine !

  • Le 25 octobre 2014 à 20:37, par Alex En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    nous on ne veut que la paix

  • Le 25 octobre 2014 à 20:51, par tim En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    je trouve sincerement que la date du 28 est loin.il faut battre le fer quand il est chaud.faites des reunions dans vos quartiers et empecher les fuyards au cdp pour qu’ils ne fuit pas du burkina.

  • Le 25 octobre 2014 à 21:07, par Burkinabès En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Je ne suis pas affilié à un partie politique, mais j’ai honte et j’ai mal pour mon pays. Comment peut on dire à la jeunesse que l’avenir l’apparient et refuser de lui donner. C’est insultant et énervant tout simplement. Blaise Compaoré a pris le pouvoir à quel age ? Aujourd’hui, il ne veut toujours pas le remettre à la jeunesse, malgré 27 ans au pouvoir. Soyons sérieux un peu.
    Si la jeunesse dort, elle n’aura jamais d’avenir dans ce pays quand sa vieillesse.
    L’ADF RDA dit qu’elle a choisit la paix et la démocratie par ralliement au CDP. Dois je comprendre par là que dire non au président est équivalant à la violence et est antidémocratique. Bien vrai qu’il est arrivé au pouvoir par la violence et les armes, en 27 ans il n’a retenu que cela : la violence et la force.
    Les longs mandats se termine toujours par la violence et la force.
    Non au référendum
    Oui à la limitation du nombre de mandat à deux
    Vive le Burkina Faso
    Que chacun fasse ce qui dois faire et Que DIEU nous protège !

  • Le 25 octobre 2014 à 21:16, par Burkinabè En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Je ne suis pas affilié à un partie politique, mais j’ai honte et j’ai mal pour mon pays. Comment peut on dire à la jeunesse que l’avenir l’apparient et refuser de lui donner. C’est insultant et énervant tout simplement. Blaise Compaoré a pris le pouvoir à quel age ? Aujourd’hui, il ne veut toujours pas le remettre à la jeunesse, malgré 27 ans au pouvoir. Soyons sérieux un peu.
    Si la jeunesse dort, elle n’aura jamais d’avenir dans ce pays quand sa vieillesse.
    L’ADF RDA dit qu’elle a choisit la paix et la démocratie par ralliement au CDP. Dois je comprendre par là que dire non au président est équivalant à la violence et est antidémocratique. Bien vrai qu’il est arrivé au pouvoir par la violence et les armes, en 27 ans il n’a retenu que cela : la violence et la force.
    Les longs mandats se termine toujours par la violence et la force.
    Non au référendum
    Oui à la limitation du nombre de mandat à deux
    Vive le Burkina Faso
    Que chacun fasse ce qui dois faire et Que DIEU nous protège !
    Amen

  • Le 25 octobre 2014 à 21:35, par Dabatata En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    oued. ar, tu sais, il y a 27 ans les jeunes de l’époque se disaient ça ou se faisaient dire : l’avenir vous appartient. 98% d’entre eux n’ont pas vu ou su quand est-ce que ou comment cet avenir s’est retrouvé derrière eux ; sans le savoir, j’insiste. Dors ici. Le reveil te sera douloureux

  • Le 25 octobre 2014 à 22:56, par sam En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    il y a des non Burkinabe qui interv1 dans le deba par example le numeno 2. web master tu doit pas accepter des commentaire de la soit

  • Le 26 octobre 2014 à 00:47, par konan En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Ces bandits de manifestants doivent ètre puni car tout se passe dans l’egalité que ce soit la modification de l’article 37 ;la mise en place du Senat ; l’organisation du referendum sont tous autorisés par la constitution du burkina faso

  • Le 26 octobre 2014 à 01:02, par Kreezo En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Tous les moyens deviennent bons quand l’etat de droit est baffoue pour satisfaire la politique pouvoiriste egocentrique d’un individu et cela s’appelle de la dictature ! Mes chers moralistes, puis-je vous referrez a la prise de la bastille ? Ne sentirez-vous pas plus moralistes en exhortant le peuple a se tenir debout pour jeter au fond de l’abime la delinquence politique de tous ces rapaces politiques qui ne font que miner pour des decenies l’avenir d’un pays deja exsangue et sous perfusion economique a cause des sangsues que votre morale a aider et meme enjoint a se perpetuer ? La lachete est aussi un crime et votre morale a appeler a la retenue releve de la couardise et accentue votre complicite avec l’ogre !

  • Le 26 octobre 2014 à 06:05, par SAMA N En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    En fait il faut que la France crée un poste de Président de l’Afrique de l’Ouest pour Blaise Compaoré.car il ne peut pas être président a vie au BF juste parce qu’il aide à la stabilité de la sous région.Et les Burkinabé dans tout ça ?

  • Le 26 octobre 2014 à 06:36, par valentin Kabore En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Concitoyens, concitoyennes, que la paix du Seigneur soit toujours avec nous, amen.

  • Le 26 octobre 2014 à 06:57, par YIRMOAGA En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Je suis contre la violence OUI ? Mais je suis contre la trahison, la malhonnêteté, l’inconscience dans le sens de l’égoïsme ? Si les députés optent pour la modification de la constitution dans le sens de lever le verrou de l’A37 pour le maintien de SEM BC, Alors, j’adore la violence comme réplique à ces tares cités plus haut. VIVE l’alternance.Plus tôt est mieux dès ?

  • Le 26 octobre 2014 à 11:49, par Medio En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    @Ka
    Combien de Burkinabé sont morts parce que Blaise les trouvaient gênants ?
    Combien a t’il tué parce qu’il voulait le pouvoir ?

  • Le 26 octobre 2014 à 12:47, par El_monstro En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Juste une contribution pour mieux améliorer la lutte. La révolution, ça ne se programme pas, ça se déclenche instantanément suite à un évènement. Cas de la Tunisie et partout ailleurs. En respectant ce gouvernement par des protestations en différé, le CFOP rentre dans leur schéma. Les réactions doivent être spontanées et au coup par coup. Imaginez qu’après le fameux conseil extraordinaire, tout le peuple était dans la rue, ces mêmes ministre allaient de nouveau siégés pour ce dédire.... Même la population de Kaya, après le lapsus volontaire du Ministre Jérôme sur le changement de la fête d’indépendance de kaya au profit de Ziniaré l’a très bien compris. Résultat, c’est le 1er ministre lui-même qui démentait son confrère....

  • Le 26 octobre 2014 à 13:25, par konan En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Si le 28 est loin commencer à courir car le 30 la loi sera votée par nos députés de la mojorités donc ceux qui veulent marcher on vous interdit pas c’est votre droit mais l’article 37 sera modifié par la voix du peuple burkinabé.Vive le referendum et OUI A LA MODIFICATION DE L4ARTICLE 37

  • Le 26 octobre 2014 à 14:04, par electron 1er En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Quand il s’agi de manifestation on ne peut pas dire que ce n’est pas permis mais qu’on respectes ce qui est écrit dans les textes,il ne faut pas qu’on se flatte,quiconque qui va outrepasser la loi sera mater,claire et net.

  • Le 26 octobre 2014 à 14:38, par le panafricain En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    HALTE à la VIOLENCE ! laisser tomber ça échouer .la violence ne fera pas partir Blaise .Vous ne ferai que mettre la vie des burkinabés en danger .Laisser les honnêtes citoyens vaquer librement à leurs occupations .

  • Le 26 octobre 2014 à 15:05, par Faux faire attention En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Pour le CFOP il faut d’abord faire du bruit en occident avant de le faire ici. Chaque l’on se rabat sur la communauté internationale et l’on veut qu’elle décide à notre place ! En aucune années nous avons le burkinabé participer a des élections au français ni britannique ni américain ! Le Burkina Faso a un président et non un gouverneur ! Vive le président burkinabé qui sait ce que veut dire la souveraineté

  • Le 26 octobre 2014 à 15:07, par Tiramakan Ouattara En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Message important que tout Burkinabè doit lire !
    Les fonds prévus pour la construction des centres d’isolement et l’équipement de protection des médecins au Burkina pour contrer EBOLA ont été détournés par le régime vampire de Blaise Compaoré. Les medecins et le personnel soignant sont sans équipement de protection, à la merci d’Ebola. En réaction, les medecins se sont donnés pour mot d’ordre légitime de quitter leurs postes au cas où un seul cas d’Ebola survient. Imaginez un instant les urgences, les hôpitaux du Burkina sans medecins ! C’est la catastrophe assurée pour la population. Ainsi donc Blaise et sa clique de vampires ont osé détourné les fonds prévus pour contrer Ebola livrant l’ensemble de la population du Burkina aux risques d’une mort affreuse ! Honte aux assassins du peuple !

  • Le 26 octobre 2014 à 15:08, par le panafricain En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Aucune stratégie aussi performante qu’elle soit ne peut empêcher la modification de l’article 37 .La seule et unique manière c’est de battre le président blaise aux élections de décembre 2015 en ayant un projet de société qui soit à la hauteur :Laisser tombé car la modification de l’article 37 se sera sans attacher la loi burkinabé .ne soyez pas aigri et soyez des adversaires de taille et non des lâches qui optent pour la violence !!!! Halte à la violence !!!

  • Le 26 octobre 2014 à 15:11, par tché En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Soyez responsables. Toute âme pétrie des droits humains et des droits démocratiques sait le choix qui vaille. Celui des urnes. Le temps du suffrage n’est pas celui des croque-morts.

  • Le 26 octobre 2014 à 15:16, par fidel En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    A ce que j’aurai entendu les écoles et université aurait fermé tout simplement parce que l’opposition veut pousser le pays à l’instabilité juste pour avoir gain de cause ! Pour quelle peuple l’opposition se bat quand on sait bien que les dates des différent examens sont fixer de façon sous régionale ! Déjà avec un programme relativement long que l’on arrive généralement pas a achever en année normale se voit maintenant écourté de 6 jours ! Et puis quoi demain 2 mois ! Mes frères opposants arrêtez de nuire à l’avenir de nos enfants, pendant que les votre à l’extérieur du pays ne risque pas gros les notre c’est toute leur vie qui peu en pâtir

  • Le 26 octobre 2014 à 15:19, par kaboré ludovic de tanghin En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    il serais mieux pour la jeunesse consciente de se mettre au travail au lieu des politiciens qui ma foie ne se soucis que de leur compte en banque .Ces derniers utilisent la jeunesse comme un bouclier .Ils appellent la jeunesse à descendre dans la rue pourtant toute leur vie politique ,ils n’ont jamais rien fait pour la jeunesse et c’est quand il s’agit de bien garnir leur compte ils savent que la jeunesse existe .S’il vous plait ne nous parlez d’intérêt national car nous savons que c’est pour votre propre cause !!!

  • Le 26 octobre 2014 à 15:27, par Kindo En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Soyons sérieux allons au référendum ! et point c’est tout nos enfants de ne vont pas risquer leur vie pour que les votre viennent tout simplement prendre les règnes du pays par ce qu’à cause de votre lutte ils vont perdre beaucoup de temps et ne seront plus qualifier (ou du moins pas le requit pour les hauts postes) Non Non et Non a la désobéissance civil ! Oui aux votes des députes ! Oui au retour à la normale

  • Le 26 octobre 2014 à 15:31, par Lum En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    La démocratie c’est pas la violence. On veut la démocratie pourtant on ignore les fondements de la démocratie. Il n’y a de violence dans la démocratie. Il n’y a pas le mot changement ni alternance dans la définition du mot démocratie. Le changement et l’alternance ne sont que des conséquences des consensus trouvés entre les citoyens pour permettre un changement de direction à la tête d’un pays. Mais tout ça dépend d’abord de la volonté du peuple de ce pays.

  • Le 26 octobre 2014 à 15:43, par Henri Konan Bédier En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Tout le monde ne peut pas être d’accord sur un point c’est pour cela le droit de montrer son mécontentement s’y est cependant cela doit se faire dans les règles de l’art chose qui n’est pas le cas ici ! L’opposition est devenu un poison pour le peuple burkinabé incapable d’organiser des manifestations pacifiques et conforme pour une question de sécurité des citoyens les centres éducatif ont été fermés ! Nul ne doute que la grève est un droit mais cependant cette dernier doit être bien faite ! Non au grève qui risque de mettre en péril notre avenir et celle de notre progéniture ! Oui au retour a la normale

  • Le 26 octobre 2014 à 15:55, par kaboré ludovic de tanghin En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    l’upc ne peut que taper poto avec toutes ses stratégies pour bloquer la modification de l’article 37.le T G V de la modification de l’article est déjà lancé .Tout débris qui se trouvera en face se heurtera au train .Vaux mieux pour eux se mettre à l’écart et préparer leur campagne électorale prochaine .C’est mieux pour tout le monde !!!!!!!!

  • Le 26 octobre 2014 à 16:41, par kaboré ludovic de tanghin En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Ces gens ont raison d’approuver la modification de cet article car ils savent que la méthode adoptée pour sa modification est légale et sans faille pour ne pas dire irréprochable .Nos opposants s’excitent pour des raisons qui ne sont pas fondées .Notre jeunesse doit prendre conscience pour ne pas hypothéquer leur avenir en s’adonnant à l’appel barbare de l’opposition et de la société civile "tube digestif"

  • Le 26 octobre 2014 à 16:57, par Karim zongo En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Pourquoi l’opposition pense qu’il y a une différence de peuple ici au Faso, vous semez la discrimination, la ségrégation entre les citoyens de ce pays et vous voulez que tout le monde vous suivre. Non, il faut d’abord être rassembleur avant de pouvoir rassembler tout le monde pour son combat. Ceux qui sont avec l’opposition sont le peuple et ceux qui ne partagent pas l’opinion de l’opposition ne vont pas parti du peuple, ils ne sont pas citoyen de ce pays, tout cours ils ne sont plus burkinabé. Ils sont de quelle nationalité alors ? Vous ne pouvez pas semer la discrimination entre le peuple et vouloir que tout le monde soit avec vous. Il faut plutôt chercher a convaincre ceux qui ne sont pas avec vous.

  • Le 26 octobre 2014 à 17:00, par kaboré ludovic de tanghin En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Ces gens ont raison d’approuver la modification de cet article car ils savent que la méthode adoptée pour sa modification est légale et sans faille pour ne pas dire irréprochable .Nos opposants s’excitent pour des raisons qui ne sont pas fondées .Notre jeunesse doit prendre conscience pour ne pas hypothéquer leur avenir en s’adonnant à l’appel barbare de l’opposition et de la société civile "tube digestif"

  • Le 26 octobre 2014 à 18:06 En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    JESPER QUE NOUS AVONS DES BONS GOUDRONS DONC NOUS AVONS INTERET À LES PROTEGER ET NOUS MANIFESTER TOUT SIMPLEMENT EN FAISANT DES BARRAGES DE MARRÉE HUMAINE SINON APRES LES MANIFESTATIONS ON AURA BESOIN DE CES GOUDRONS POUR CIRCULER CAR LE BLAISO SE DEPLACE ACTUELLEMENT EN HELICOPTERE

  • Le 26 octobre 2014 à 18:11 En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    N’ayons pas peur c’est au combat qu’on gagne. il n’ y a pas de développement sans sacrifice. quand les gens disent qu’il y’a un risque que ça dégénère et qu’on connaissent la guerre comme ce qui s’est passée en Cote Ivoire ou au Mali actuel ! c’est faux, c’est une manipulation de notre intelligence. C’est pas la même chose chez eux le problème est beaucoup plus ethnique, azawad... mais ici la cause est bien différente ce n’est qu’un individu qu’on veut chasser. A la limite c’est comme le printemps arabe tunisien. Alors mes frères ne faites pas encore une fois la honte à la peau noire.

  • Le 26 octobre 2014 à 18:18, par Achille De TAPSOBA En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Ces gens ont raison d’approuver la modification de cet article car ils savent que la méthode adoptée pour sa modification est légale et sans faille pour ne pas dire irréprochable .Nos opposants s’excitent pour des raisons qui ne sont pas fondées .Notre jeunesse doit prendre conscience pour ne pas hypothéquer leur avenir en s’adonnant à l’appel barbare de l’opposition et de la société civile "tube digestif"

  • Le 26 octobre 2014 à 18:21, par Matador En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Inconscience quand tu nous tiens... J’ai pitié pour cette race de jeunes

  • Le 26 octobre 2014 à 19:02, par Ka En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Le printemps burkinabé a pris son chemin, sauf la rue fera partir un caméléon et un menteur qui veut s’éterniser au pouvoir. Lors d’une manifestation scolaire, Blaise Compaoré le meneur nous disait à l’époque que la rue était l’endroit où on obtient ses revendications car le gouvernement ne tuera pas tout le monde. Blaise a peur de la rue. Tous les soulèvements populaires au Burkina ont eu des bons résultats à commencer par le père d’Hermann Yameogo Chasser du pouvoir. Peuple Burkinabé, rappelez-vous de ce 15 Décembre 1998 après l’assassinat de Norbert Zongo, les élèves les étudiants par milliers dans la rue, s’en prennent au régime Compaoré, la société civile, les syndicats, pendant un mois ont pris un bras de fer contre le régime sanguinaire, des manifestations, des grèves, au bout d’un mois et un jour, Blaise Compaoré accepte avec la solution finale du conseils des sages de quitter le pouvoir après ses deux mandats, et de respecter la lettre et l’esprit de l’article 37 qui interdisent tout président de Faso de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs rendu obligatoire par la constitution de 1991. Le peuple ne peut pas avoir confiance a un président qui ment comme il respire, sortons et chassons celui qui nous trahi a tout moment.

  • Le 26 octobre 2014 à 19:05, par ZOUNG En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    Son BAC depuis 2012 et toujours en première année si se n’est pas un vaurien et un délinquant .

  • Le 27 octobre 2014 à 09:06, par fasopanga En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    ce matin toutes les voies etaient barrées. J’ai tourné jusqua finir le peu de carburant que javais. Je suis contre le pouvoir a vie mais javoue que ce matin jai eu une haine viscérale contre ces manières incultes de bruler le goudron et privé certains citoyens d’une liberté principale (celle de se déplacer).

  • Le 27 octobre 2014 à 10:59, par breh En réponse à : Manifestation à Nioko : « Le 28 octobre-là, c’est trop loin »

    que tous les acteurs se souviennent qu’il yora un apres tout ca,et en ce moment la,il yora pas de pardon,chacun sera recompenser ala hauteur de ses implications.le president est accculee certes,mais qu’il pense a l’apres.....est il vraiment pret a tous juste pour rester president ?je pense que la grandeur reside en pouvoir s’effacer pour un interet superieur,LE PAYS,LES VIES HUMAINES...................ca na rien d’une faiblesse

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