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Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

Publié le mardi 14 octobre 2014 à 00h23min

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Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

Le moment de déposer les arguments finaux est arrivé. Cette arrivée annonce, en démocratie, cette autre qui consiste à soumettre nos différends, nos divergences ou convenances politiques à des règles constitutionnelles. Comme le Président Compaoré vient de le dire à nos compatriotes résidants en République de Chine (Taïwan), pays natal du grand penseur et économiste du développement le Docteur Tsiang, c’est le moment amical et fraternel pour ne pas dire jubilatoire du débat démocratique qui arrive à son terme.

Ce moment-là, est à saluer car les Burkinabè et les institutions de la république ont administré, dans une sous-région où il n’est jamais sûr de rentrer tranquilles chez soi lorsqu’on est opposant après un meeting ou marche, la preuve de leur sécularisation en cours et par là même, le règne des droits et libertés. Est-il anecdotique de constater que nos institutions ont donné la preuve de leur efficacité et de leur force à l’occasion de deux tristes évènements : les explosions de Larlé et l’accident d’avion d’Air Algérie. Je salue nos forces de Police, de Gendarmerie et d’Armée qui, avec efficacité et précision, ont permis de retrouver les épaves de l’avion et nous ont donné des motifs de fierté, de fierté légitime et permis aux parents des victimes de commencer leur deuil. J’appelle cette efficacité opératoire et l’encadrement républicain des marches de tous bords sans brutalité de ceux qui représentent la puissance publique, le concretum burkinabè d’institutions décentes (touche de l’éthique républicaine).

Dans l’exacte mesure où nous sommes témoins de ce qu’est, donc, une institution décente, comment ne pas, dans la stabilité et la paix, le binôme stratégique, prélude à l’envol pour le développement, en appeler au sens patriotique et démocratique des uns et des autres, pour répondre à l’appel de la souveraineté populaire pour acclamer ce moment fraternel qui sonne à nos portes, celui que le démocrate accoudé sur ses convictions, attend, non point avec appréhension mais avec une assurance cinglante : celui du choix.

Les politiques n’ont plus de décisions

Je ne suis pas partisan des transactions politiques entre bonnes gens de la société politique. Pour autant, puisque gouverner, c’est dialoguer, j’ai salué l’invitation du Président du Faso, adressée à la classe politique pour des concertations. Il a accompli avec sagesse son devoir, comme toujours. Maintenant, ceux qui ont préféré les péri-phrases et les préalables, pour éviter d’affronter la réalité, leur destin, mauvaise habitude oblige ou –immaturité comme celle de la classe politique malienne qui a préféré les comploteurs de la démocratie au soldat démocrate ATT mettant ainsi la nation malienne en péril pour longtemps- se sont délesté de leur devoir de proposition, de dialogue, de nuance et pourquoi pas, de déplacement de virgule. Ce faisant, ceux-là ont renoncé à leur pouvoir discrétionnaire, puisqu’étant des élus ou des représentants d’une frange de l’opinion, leur contribution était nécessaire pour résorber le fait inédit de la polarisation des opinions qui, si l’on y prend garde, est susceptible d’être dévastatrice de la cohésion nationale.

Heureusement que le Burkina Faso est dans de bonnes mains. Les calculs et les rengaines revanchardes ont corrompu les initiatives de ces braves opposants, enfermés dans la sclérose du triptyque non. Ils ont renoncé à l’audace. Ils ne peuvent donc espérer ou vendre l’espoir comme les Présidents Ouezzin Coulibaly et Maurice Yaméogo au sortir de la nuit coloniale. Ni même la tempérance du Général –démocrate Sangoulé Lamizana. Dites-moi qui sont leurs modèles, je vous dirai s’ils sont sur les chemins de Kossyam ou ceux de Canossa. Nos opposants que nous nous sommes donnés peuvent-ils l’avoir fait pour accréditer une tempête spéculative dans un verre d’eau que certains philosophes tentent, avec des arguments tirés par les cheveux, de colmater les incohérences des ni, ni, ni. Comment donner une élégance argumentative, introuvable à une impossibilité de fonder son dire sur l’indicible. Le refus des opposants du référendum procède de cet état : l’impossibilité catégoriale de dire quelque chose sans être jeté dans le discrédit total.

Dire, c’est énoncer ou faire

Puisque dire, c’est énoncer ou faire (l’insurrection qu’on « rêvait » faire en janvier 2014 avec des marches rythmées par des démissions tout aussi « rêvées » au sein de nos institutions), émettre ou affirmer et soutenir dans une posture militante, en l’espèce. Or, lorsque les oppositions entonnent le ni, ni, ni, elles n’énoncent rien. Non pas qu’elles soient frappées par l’ineffable de leur faiblesse, mais précisément en ceci qu’elles ne sont point capables de sortir de celle-ci pour laisser croître leur puissance interlocutoire, qui n’est, certainement pas, dans les stades ou dans les rues. Leur faiblesse est attestée par l’indicible renoncement à éduquer, affirmer et à soutenir un processus populaire au moyen du discours positif. Seul le discours positif est la force interlocutoire qui met en selle l’espoir, comme une durée. Or en janvier, tout comme dans un article récent, le docteur Dabiré a écrit un texte, comme philosophe des intentions de tout le monde et des mécanismes démocratiques excepté de lui-même et aligné des contradictions. Tenez ! le Philosophe des « intentions du référendum » et par excroissance du peuple, le philosophe des « intentions explicites du président », le philosophe « du même président », le philosophe des « intentions illicites », cofondant légalité et illégalité avec une allégresse déconcertante, contraposant souveraineté de la loi et état de droit, mitterrandien avec « le coup d’Etat permanent », sankariste avec « la rectification permanente » et ouf, terminus légitimiste avec la « légitimation permanente ». Dois-je dire au docteur Dabire que le peuple, pas plus qu’un mécanisme constitutionnel comme le référendum ou le Président du Faso en tant qu’institution, n’ont point d’intentions. Ils sont tous au service de la libre régulation du jeu inter institutions dans la république. Par exemple le peuple n’a pas d’intention. Il a une volonté. On la mesure lorsqu’on l’interroge au moyen du référendum. D’où vient qu’un moyen, par exemple, un ustensile de cuisine a une intention ? Le référendum n’a pas d’intention. La bipolarité de l’opinion fait que le référendum, par essence, a une bivalence : oui et non pour que chacun librement choisisse la valeur qui lui sied. Lorsque cette volonté sortie des urnes est captée, dans la transparence et la justice, elle est dite volonté majoritaire ou expression de la volonté générale pour paraphraser Rousseau. Le vieux Kant, écrit dans les Fondements de la Métaphysique des moeurs : « la volonté n’est pas seulement soumise à la loi, elle lui est soumise de telle manière qu’elle doit être considérée elle-même comme législatrice et, de ce fait précisément, soumise à une loi dont elle peut se regarder elle-même comme l’auteur ». Introduction de Joël Lefebvre in Pour la Paix Perpétuelle, PUL, 1985, p.30. J’en conclue que cette volonté générale est à mille lieues de l’illégalité.

On ne revendique pas l’alternance, on la prépare.

Elle est une norme démocratique si et seulement si, l’on se détache de sa perception comme une mécanique mimétique que les démocraties libérales représentatives d’Occident nous font miroiter. Il faut sortir de ces sentiers battus pour construire et consolider le règne des libertés au service de l’agrandissement des lieux de la république, du Faso (communauté nationale, sentiment national et citoyenneté). Si vous renoncez à proposer quelque chose, c’est que vote option chérie reste l’histoire rêvée du grand soir. Lorsqu’elle ne se produit pas, le désemparement est la facture à régler. A votre corps défendant.

Et pourtant, il existe des valeurs démocratiques que la république par l’entremise du bon gouvernement, met à la disposition de toutes les forces sociales : les droits et libertés et singulièrement celle d’association (partis politiques et autres) dont l’ultime but consiste en la préservation de ces droits. Ces droits qu’on appelle, de façon militante, droits humains, le sont en raison de trois caractéristiques : naturels (dignité humaine), égaux (les mêmes doits pour chacun) et universels (appliqués partout). Thomas Jefferson, le rédacteur de la Déclaration d’Indépendance américaine de 1776, écrit à ce propos : « les gouvernements sont établis parmi les hommes pour garantir ces droits » Je suppose que les partis politiques d’opposition sont honnêtes. Ils attesteront ce faisant que lorsque le Président Compaoré dit que : « ce qui est important, c’est cette liberté et chacun doit pouvoir s’exprimer » c’est un fait établi et le gouvernement de notre pays, sous son leadership, garantit ces droits et libertés. Les philosophes qui viennent spéculer sur l’illégalité de notre Constitution, puisque dire que le « référendum est illégal », c’est dire que la Loi fondamentale l’est car en ces choses, s’applique la loi génétique certifie que les chiens ne font pas des chats. Je ne parle pas de l’envie de s’accoupler qui peut les tarauder, c’est animal. Le docteur Dabiré ne me contredira pas en prétendant, vu son obsession des intentions, que l’attirance entre le chien et le chat est une humaine intention. Je milite pour qu’on s’en tienne au débat démocratique et fraternel sur la Loi fondamentale (la modification est ouverte pour l’article 37 son maintien aussi ; le Sénat y est ; le référendum y est). Disciple de Wittgenstein, je me contente de décrire ce qui est sur la table. Vous voyez bien que l’alternance et les alternatives ne sont que des co-présences brumeuses des horizons que les marabouts et les sophistes qui ont une peur bleue des suffrages veulent sonder.

De l’alternance sans alternatives ?

Aligner des ni, ni, ni, ne donnent pas la mélodie alternative encore moins la chanson du bonheur qui frappe à notre porte. Il s’ensuit que préparer l’alternance, c’est d’abord construire un leadership qui énonce quelque chose pour être audible mais aussi pour le consentement des citoyens et enfin pour être au service des artefacts de l’histoire. La fixation des sentiments de revanche ou d’impatience violentent la structuration de ces artefacts. L’historien Fernand Braudel les rappellerait à cette évidence : il ne faut pas croire à la « facilité » structuraliste qui conçoit le dépouillement de ces artefacts pour laisser s’épanouir l’histoire comme une universelle et univoque advenue évènementielle. Nous vivons un moment historique particulier au Faso. Il nous faut être à sa hauteur comme sujet historique global. Pour ce faire, il nous faut savoir que l’évènement ne résume pas que les récits vrais pour consacrer ou discriminer l’histoire. Il y a une globalité géopolitique en jeu. Il y a surtout, dans une Afrique en panne de bons dirigeants, la nécessité de trouver le mécanisme démocratique pour garder les meilleurs.

Le Président Compaoré est l’un des cinq meilleurs du continent selon des données américaines récentes. D’où la vacuité des arithmétiques des marcheurs, accessoirement, surtout lorsqu’on veut les gonfler pour se donner de la contenance. Il y a aussi que cette globalité porte sur le récit, la figure emblématique et la trace que l’évènement total laisse dans les mémoires. C’est un triptyque que Badiou dévoile : « Ce n’est pas la singularité du sujet qui fait valoir ce qu’il dit, c’est ce qu’il dit qui fonde la singularité du sujet » in Saint Paul, p. 56. Or donc, nos opposants ne pourront pas dire comme Bismarck en 1872, opposé au Pape Pie IX sur les valeurs de la laïcité, qu’ils n’iront pas à Canossa, si tant est que le ni, ni, ni est leur devenir.

Les oppositions ne disposent ni d’énoncé, ni de figure emblématique, ni d’évènement

Mes arguments finaux en faveur du référendum contraposent à l’enferment des oppositions dans la sclérose des ni, ni, ni, écho aux ni récit, ni figure emblématique, ni trace d’aucun évènement puisque la démission a été déclarée non-évènement par El Hadj Assimi Koanda, la sécularisation de nos institutions au service de la stabilité et de la paix. Le Burkina Faso est devenu un exportateur de stabilité que saluent tous les grands dirigeants d’ici ou d’ailleurs. Notre sous-région est tourmentée et elle a besoin de paix (islamo-terroristes, irrédentismes, coalisés pour le front du désordre, gouvernance chaotique ça et là) et ce n’est possible que dans la durée, ce que je nomme la continuité éclairée sous le leadership d’excellence du Président Compaoré. C’est à l’opposé de ceux qui se sont enfermés, volontairement, dans un cul –de sac- un lieu non discursif à partir duquel, ils ne peuvent plus dire l’indicible et ce à un double niveau : comme surgissement d’un discours nouveau incarné par une singularité prometteuse et la conversion de l’évènement référendaire comme révocation de leadership pour laisser une trace dans les mémoires. Je l’écrivais déjà après la marche-meeting de janvier 2014 où les rêveries insurrectionnelles étaient le lot quotidien des oppositions hétéroclites. Les RSS ont braqué l’opposition en y injectant ou de la surenchère ou de la suspicion, voulant se prévaloir d’une virginité de belle jument, tandis que leur départ soulageait le CDP.

La fatigue stratégique fut le chemin choisi par ces oppositions. Ainsi, la rengaine ni, ni, ni cache cette double absence, toute chose synonyme de double distanciation par rapport à l’évènement probable. Je suis fondé de dire que cette statique tautologique a comme terminus, le désemparement et les moues affadies qui ne sont ni paniques, ni tragiques. Aucun non-énoncé n’est un départ pour être un départ nouveau, a fortiori. Entonner des ni, ni, ni, c’est assurément, s’ouvrir à une errance des rues et du temps. Etre un bon citoyen, c’est participer au jeu démocratique et ainsi, pouvoir donner son assentiment ou son niet sur une question qui viendrait à nous être posée par les autorités compétentes en charge de notre sécurité et de la paix, premiers biens du citoyen ordinaire. C’est aussi comme notre Président vient de dire, c’est faire respecter le fait que « chacun doit pouvoir s’exprimer ». C’est le socle de notre démocratie. C’est le destin de liberté et d’égalité que la république nous demande de défendre dans la paix et la fraternité pour nous-mêmes et pour nos adversaires. Restons à l’écoute de nos élus. Le temps des décisions arrive.

Mamadou Djibo, Ph.D.
Philosophie

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Vos commentaires

  • Le 13 octobre 2014 à 14:54, par romeo toé En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    vive le referendum

  • Le 13 octobre 2014 à 15:00, par JOHN LE ROUGE En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Monsieur vient de retourner sa veste. Contre espèces sonnantes et trébuchantes ?

  • Le 13 octobre 2014 à 15:01, par faisons un effort de réflexion En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    vive le referendum , l’opposition ne saura et ne pourra jamais créer d’événement, car aucune des conditions d’un événement n’est présent dans leur rang , et surtout le manque de figure emblématique , longue vie au Président Blaise vive le referendum

  • Le 13 octobre 2014 à 15:08, par Peace for Burkina En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    La posture de mon illustre professeur le ministre Moussa OUATTARA me parait très peu enviable. Lui qui était jadis respecté, Descendre aussi bas dans les égouts avec les Salia et Ce. ça me fait bcp souffrirrrrrrrrrrr !!! M. Ouattara me fait atrocement pitié !!!
    merci

  • Le 13 octobre 2014 à 15:11, par grosso En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    La loi c’est le peuple , alors seule elle , peut remettre en cause une autre voire la loi , alors seul le peuple peuple remettre en cause , une autre volonté populaire antérieure, vive le referendum !!

  • Le 13 octobre 2014 à 15:14, par Dez En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    M. Mamadou Djibo, Vous même vous pouvez vous présenter en 2015 et diriger le pays en lieu et place de Blaise Compaoré qui est forcé de partir (Art 37 de la constitution).
    Si vous ne savez pas cela, vous pouvez mettre votre Ph.D à la poubelle et cessez d’écrire pour les NULS.
    J’espère que vous comprendrez ce français facile.
    merci.

  • Le 13 octobre 2014 à 15:23, par grosso En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Respect à monsieur Djibo ,toujours des analyses remplient de pertinence il y aura le referendum n c’est la conclusion

  • Le 13 octobre 2014 à 15:45, par faisons un effort de réflexion En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Dez, surement vous avez pas oublié que vous êtes Burkinabè aussi , vous pouvez également vous présenter au lieu et place de soutenir les opposants , voyez ça et proposez nous un programme. un peu de sagesse .

  • Le 13 octobre 2014 à 15:51 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Mr Djibo, vous fonctionnez comme un franc-tireur en embuscade. Prenez le courage un jour de lever vous-même un lièvre et traiter le sujet en bonne et due forme pour aussi susciter le débat. Cela vous grandit en lieu et place de cette posture de philosophe-sniper aux aguets. Pour votre stature, le rôle de répondeur automatique ne vous sied pas.
    Cordialement

  • Le 13 octobre 2014 à 16:22, par MEHDI En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Oui, vous pouvez dire ce que vous voulez. Nous ne sommes pas contre les principes d’un référendum, rappelez-vous, mais contre un référendum personnifié. Chacun est libre de faire ces choix, seulement personne ne doit faire un choix qui mettra en péril la paix. Ce n’est pas seulement les partis politiques ou leurs militants qui sont contre ce référendum, votre référendum là ; mais toute une génération d’hommes et de femmes qui ont vu leur rêve brisé par ce pouvoir fondé sur je ne sais quoi. Sachez donc que les temps ont changé et que nous userons de tout les moyens même de la violence légitime au prix de nos vies comme au Maghreb pour nous libérer de ce dictateur des temps nouveaux. Croyez moi...

  • Le 13 octobre 2014 à 16:28, par d8d8 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    mon cher grosso , eh calme toi ok ? toi tu dis seulement respect , moi je dis chapeau et grandeur , a monsieur Djibo pour , surtout ses mise aux points de certains s"écrits pétris de mauvaise foi , merci Djibo et courage à vous bientôt c’est la fin de la polémique avec le referendum

  • Le 13 octobre 2014 à 16:34, par Ivresse du Pouvoir En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Oui, moi je reste serein et impertubable : un referendum peut être forcé et truqué, mais un soulevement populaire ne peut pas être monté de toute pièce et il ne peut pas être contenu quand tous les ingredients sont reunis. Soyez tranquilles.

  • Le 13 octobre 2014 à 16:56, par tiendrebeogo.martin@yahoo.fr En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    bon vent a cet mr plein de sagesse et plein d’amour pour son pays merci pour votre contribution et ne vous decourager pas car ya des gens qui sont la pour des injures

  • Le 13 octobre 2014 à 17:01, par Gugurlu En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    - N’oubliez pas qu’on peut désormais faire le référendum, du moment que le voleur professionnel d’urnes a reprit service ! Al Capone des urnes !

    Grgurlu

  • Le 13 octobre 2014 à 17:02, par sow En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Merci Djibo , ce que les opposants n’ont pas encore compris , c’est la fait que chaque chose en son temps , ici les temps des discours et meeting sont révolus nous sommes aux temps des actes et bientôt tout serait clair comme de l’eau de roche la souveraineté populaire est indispensable à le démocratie

  • Le 13 octobre 2014 à 17:18, par Wibga En réponse à : solution pour sortie de crise au FASO

    Bonjour ,
    la solution de la crise politique au Burkina Faso est simple c’est comme dans les autres pays
    ou pendant, ou aprés les votes ya des problemes . Blaise aime tous ses freres , le Burkina est une seule famille , CDP , UPC , Sankariste , ADF /RDA et autre , tous , l’un dans l’autre mangeait ensemble , regardez ADF /RDA , vos oncles , vos grands parents , etaient du RDA , ADF , MLN . donc ya vraiment rien à gagner ni à perdre , Blaise reposes toi , et en 2020 , tu reviens on aura le temps de voir ce nouveau president , Hollande est un exemple , donc mes enfants et petits freres pas bagares . Que le saint d’esprit abrite tous les Burkinabe

  • Le 13 octobre 2014 à 17:21, par Goodman En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Les mêmes qui disaient oui au sénat et craient sénat partout crie aujourd’hui réfrendum et oui au référendum. D’autres ont dit le sénat sera mis en place parce que c’est dans la constitution, mais aujourd’hui, ils l’ont fermé. Donc retenez les leçons du passé, c’est la première leçon de vie même pour un enfant d’un an. Alors, à bon entendeur, salut

  • Le 13 octobre 2014 à 17:36 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Mais bonnes gens revenez sur terre, ok on vous suit : Blaise COMPAORE est l’homme providentiel et indispensable du BURKINA et de la sous région donc je vous suggère de faire un référendum adressé à DIEU pour exiger l’immortalité pour lui et on est sauvé ok ?

  • Le 13 octobre 2014 à 17:40, par vérité no1 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Mr Djibo, vous êtes la négation de la démocratie !!!!!

  • Le 13 octobre 2014 à 17:48, par SANKARA Salif En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    SI les textes ne parviennent plus a changer quel que chose,alors le peuple sera obliger de s’impliquer pour en finir avec les spéculations qui viennent de tous les bords !le peuple est fort plus que tous,alors nous sommes prêt pour le referendum !!!

  • Le 13 octobre 2014 à 17:54, par Tortue de type CDP En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Djibo, "si on t’envoie, il faut savoir t’envoyer"

  • Le 13 octobre 2014 à 17:58, par Coulibaly Karim En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Mr. Djibo l’appel à la souveraineté populaire est indépassable oui comme le soulèvement populaire. le soulèvement populaire est direct et sans ambiguïté. c’est ce qui peut arrivé aussi merci !

  • Le 13 octobre 2014 à 18:01, par TCHE En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    L’appel a la souveraineté est plus qu’une nécessité mais une urgence !seul le referendum nous sortira tous d’affaire,et amènera la quiétude et le calme !
    OUI au referendum !!!!!

  • Le 13 octobre 2014 à 18:17, par Safiatou. En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Vraiment la honte est devenue une mode au Burkina Faso. Blaise doit être fière maintenant.Il a réussi à transformer des burkinabè en des lâche dépourvu de dignité. SANKARA pleur dans sa tombe je suis sûr.

  • Le 13 octobre 2014 à 18:39, par tuenmavé En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Mr Djibo,
    Dans les textes du Reich de l’Allemagne d’Hitler, figurait la supériorité de la race arrienne sur les autres races. En vertue de cela, l’histoire nous enseigne ce qu’il est advenu au monde entier avec de telless dispositions. Ce qui est écrit actuellement dans la constitution burkinabè a été frauduleusement (certains députés qui l’on voté le récuse aujourd’hui) écrit pour autoriser un règne à vie qui menace en lui-même la paix. La révolte populaire vaut autant que le référundum. On verra qui de la révolte ou du référendum emportera la préférence du peuple burkinabè, comme expression de sa volonté populaire.
    A bon entendeur, salut !

  • Le 13 octobre 2014 à 18:39, par jeune conscient En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    J’adore mon pays,alors je dis oui au referendum
    je ne le fais pas ni pour le CDP,mais just par respect de la constitution et surtout pour la paix au Burkina Faso !
    tous ensemble disons OUI au referendum !!!!

  • Le 13 octobre 2014 à 18:41, par garkou En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Vous etes un bon philosophe. Dites seulement Referendum ou bien. Nous sommes 3e bon dernier pays au monde,classement du PNUD, personne n’en parle ! Avec un PhD, tu es le type de president que je choisirai, plus de diplome après ca.

  • Le 13 octobre 2014 à 18:42, par RV En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Blaise en fin stratège a conduit l’opposition vers l’imparable : le référendum !

  • Le 13 octobre 2014 à 19:01, par Filsdupays En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    M. Djibo, un peu d’humilité dans votre expression. Il ne s’agit là d’une démonstration de maîtrise de la langue de Molière mais plutôt d’une question de bon sens. Et c’est ce bon sens qui donne à l’homme toute sa valeur humaine. Pensez-y ! Le peuple burkinabé a soif d’un renouveau. Il le réclame pas par animosité pour l’hôte du palais mais par simple respect de la loi fondamentale. Est-il normal de changer une loi pour une personne, fut-il un président ou je ne sais quoi ? Est-il un supra burkinabé par rapport à vous et moi ? L’honnêteté intellectuelle dont vous faite montre devrait vous permettre de comprendre qu’une telle tentative est criminelle et suicidaire. Nul besoin d’être opposant pour comprendre ce qui se trame derrière une telle entreprise sadique. Un passage forcé outre les mesures restrictives renforcera la conviction des plus sceptiques du caractère machiavélique de cette option et le peuple opprimé saura vous le rendre au moment venu. Nul n’est indispensable sur cette terre à plus fort raison au pouvoir. Méditer un peu sur ceci Monsieur Djibo, Ph.D. Philosophie.

  • Le 13 octobre 2014 à 19:04, par JOCY En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Une fois de plus Djibo n’a rien pigé à l’article de DABIRÉ, et tant pis pour lui Mamadou, il va encore se prendre une raclée et une fessée publiques ! C’est sûr. Djibo tu n’es pas intelligent, tu cherches bagarre pour te faire ridiculiser pour rien !

  • Le 13 octobre 2014 à 19:04, par lePEUPLE En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    mr djibo, si la demission des rss a assaini le cdp comme vous le pensez, pourquoi pleurnichez vs autant ? pourquoi tous les gabarit du cdp s’en prennent regulièrement au mpp ? pourquoi ne convoquez vs pas votr renferendum ? tu es un intellectuel mal intentionné.

  • Le 13 octobre 2014 à 19:07, par YAMIS En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Oui, vous pouvez dire ce que vous voulez. Nous ne sommes pas contre les principes d’un référendum, rappelez-vous, mais contre un référendum personnifié. Chacun est libre de faire ces choix, seulement personne ne doit faire un choix qui mettra en péril la paix. Ce n’est pas seulement les partis politiques ou leurs militants qui sont contre ce référendum, votre référendum là ; mais toute une génération d’hommes et de femmes qui ont vu leur rêve brisé par ce pouvoir fondé sur je ne sais quoi. Sachez donc que les temps ont changé et que nous userons de tout les moyens même de la violence légitime au prix de nos vies comme au Maghreb pour nous libérer de ce dictateur des temps nouveaux. Croyez moi...

  • Le 13 octobre 2014 à 19:08, par yako En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Merci pour cette plume impecable et argumentative n,en deplaise aux jaloux.Les RSS sont un probleme pour le pays et non une solution.En effet,jusqu,en janvier l,affrontement (art.37 et senat) se faisait au sein des institutions lieux de souverainite x delegation et qui enrichissait notre democratie tout en secularisant les institutions.Mais depuis janvier la petite "rebellion"mmp qu,on peut qualifier de guerre des petites ambitions a foutu la merde x tout en jetant un discredit sur les memes institutions de la republique qu,Ils ont contribue a facon depuis 1991. D,ou mes reserves vis -a -vis de ces mecs Pleins de contradictions.Si on n,y prend pas garde ca risque de compromettre Tous les acquis de ces dernieres annees.

  • Le 13 octobre 2014 à 19:19, par jojo En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    olééééééééé référendum !!!! tellement bien dit et juste ! Bravo Dr Djibo !! Seul les imbéciles continuent de rêver à un maintien de l’article 37..... Désormais seul le peuple à son mot à dire et déjà nous entendons tous les sons du OUI au référendum avant le jour J.
    REFERENDUM OYEEE !!!!!!!!!!!!!

  • Le 13 octobre 2014 à 19:28, par Anti-referendum En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Monsieur Gjibo, la seule chose que je retiens de votre article est la déclaration suivante : "le Président Compaoré est l’un des cinq meilleurs du continent selon des données américaines récentes". S’il vous plait, pouvez-vous nous donner les références de l’étude qui a abouti a une telle conclusion ? Si le Président Compaore est aussi meilleur comme vous le dites, est-ce pour autant qu’il doit violer la constitution pour se maintenir au pouvoir ? Voyez vous monsieur, vous et moi avions eu la chance d’étudier dans les universités américaines, nous devrons être des repères pour nos frères plutôt que de les assombrir pour toujours. OBAMA est 1000 fois mieux que BC, mais il partira en 2016, lui qui a même eu le prix Nobel de la paix. Si BC était bon comme vous le dites, il devrait d’abord avoir ce prix, puisque c’est dans les médiations que les gens comme vous croyez faire de lui un grand homme. Il a tellement un passe sale, qu’il ne rêve pas a un tel prix. Pour finir, moi je suis un Ph.D (candidate), mais je ne souhaite pas revenir au pays faire ce boulot de ’griot’ que vous faites en ce moment après mon Ph.D, dans le cas contraire, je regretterais d’avoir réservé 5 années de ma vie pour obtenir ce parchemin nord américain. Je prend toujours du plaisir a lire votre professeur, Etienne Traore, car il mène toujours des réflexions pointues dans ses écrits, qui reflètent vraiment une certaine rigueur digne d’un académicien. Une fois de plus, please, quand on fréquente dans les grandes universités du monde on devrait chaque fois sortir du costaud, comme le fait souvent Touerouzou Herve Some, que je connais bien.

  • Le 13 octobre 2014 à 19:30, par SOUMALA En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Pathétique...., vraiment pathétique ce Mr Djibo. Il y a deux jours de cela un ami m’avait averti en ces termes : Djibo va répliquer à Dabiré tu veras...c’est des co épouses, mais ils n’ont pas le même mari ; et moi d’ajouter qu’effectivement ces deux là ne jouent pas dans la même catégorie. L’autre là, n’ est philosophe que par le parchemin qu’il détient, vu ses réactions dénuer de toutes sagesses. Il verse maintenant et littéralement dans un militantisme "assimien"avec des arguments franchement farfelus du type : le Burkina Faso est dans de bonnes mains.... appeler au sens patriotique et démocratique des uns et des autres, pour répondre à l’appel de la souveraineté populaire .... et enfin "Le référendum n’a pas d’intention". Avouer Mr Djibo, que C’est tout cela qui fait une argumentation tirée par les cheveux, bien que, tout grand philosophe que vous prétendez, ne le sachiez. C’est peu de dire que lorsque le militantisme prend le pas, il dévient difficile de faire des analyses objectives. c’est le cas ici avec cette sortie vraiment malheureuse de Mr Djibo qui joue au pompier de service. La vérité, ne dit on pas, se suffit comme preuve d’elle même. De même, tout mensonge, aussi savamment monté que possible, ne fera que donner, à longueur de journée les preuves de sa fausseté.
    En ce moment précis (fin du mandant présidentiel en 2015), qui pourriez vous convaincre que la question "voulez vous, oui ou non que les mandats présidentiels soient limités au Burkina Faso" soit sans intention. Je dis personne, même pas l’imbécile du village qui vous voit arriver à découvert, votre masque étant tombé depuis bien longtemps. IL est tout aussi clair que la première question n’est pas différente de celle là " voulez vous que BC, continue à vous diriger après 2015". Voila pourquoi, mon cher grand filou sophe, le référendum est rejeté, non pas par ce que l’opposition craint quoique ce soit mais simplement, par ce que ce référendum n’intéresse qu’une seule et seule personne... Tchrrrr

  • Le 13 octobre 2014 à 19:30, par @lpha2014 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Le débat politique au Burkina est biaisé par la pauvreté et le taux d’analphabétisme de la population, qui n’a que faire des questions que se posent les politiciens de tous bords, et qui est essentiellement préoccupée par sa survie au quotidien. Cela augmente encore le niveau de responsabilité de nos "intellectuels". J’ai du mal quand je vois des intellectuels de haut vol proner le référendum. Franchement, je ne comprends pas que toutes les maneuvres de Blaise et de ses partisans pour y parvenir soient acceptées par certaines personnes. Je ne comprend rien. Pauvre Burkina !!!!

  • Le 13 octobre 2014 à 19:41, par D8D8 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Belle analyse nulle n’est sûre que le peuple ne veut pas de Blaise. s’il est vrai que la démocratie c’est le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple, cela signifie qui si le peuple veut qu’il se représente il n’y a aucun incontinent a cela. le blaiso a dit qui si le peuple veut qu’il se représente il le fera. alors allons au référendum si le peuple refuse qu’il se représente, alors fini Blaise. Mais en attendant c’est le peuple qui l’a mis au pouvoir et c’est ce meme peuple qui doit lui dire de quitter le pouvoir pas des groupes d’opposants

  • Le 13 octobre 2014 à 19:51 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    On est plus efficace pour être noté comme bon élève vis à vis de l’extérieur que de régler nos problèmes internes. Vous citez Larlé : les gens déguerpis attendent la suite pour être indemnisée... et pendant ce temps-là, les coupeurs de route s’en donnent à coeur joie. Que dire enfin de notre justice qui ne fait pas son travail pour les grands voleurs de la république comme Guiro et très rapide pour mettre en prison pendant 6 mois ou plus un simple voleur de poulets.
    Vous saluez le dialogue mais on ne dialogue pas si on ne peut rien négocier (dixit Assini Kouanda). Et, puis à quoi a servi le dialogue du CCRP en 2011 ? le pouvoir s’est renié en revenant sur ce qui n’était pas consensuel car ne l’arrange pas pour une présidence à vie.
    Vous philosophez sur le référendum sans vous demander s’il peut être applicable ou pas en 2015 (principe de non rétroactivité de la cour constitionnelle en 2005) ni de la question posée qui se résume à l’intérêt personnel d’un seul individu concerné sur 17 millions d’habitants.
    Osez dire qu’il est un des 5 meilleurs présidents du continent, c’est un peu vite aller en besogne si je le compare à Nelson Mandela qui n’a fait qu’un mandat ou à notre voisin Rawlings, lui aussi révolutionnaire mais qui a accepté de jouer le jeux de la démocratie et de son alternance. Pour ne citer que ces 2 derniers, je dirais simplement que Blaise est parmi les 5 premiers d’une classe de cancre et, c’est bien dommage ! que dire de la mal gouvernance qui gangrène totalement le pays et, des divers trafics qui transitent aujourd’hui par le Burkina Faso avec nos dirigeants. Idem pour les importations frauduleuses de toutes sortes de produits dangereux ou prohibés. Vous citez le cas du Mali mais nous sommes sur le même chemin de la dégénérescence si on se régénère pas fin 2015 avec une nouvelle équipe pour remettre un peu d’ordre dans le pays et, donner, un peu d’espoir à la jeunesse sacrifiée.
    Enfin, la stabilité et la paix du Burkina Faso n’est qu’apparente après la crise de 2011 qui a failli emporté ce régime et, qui, a déjà oublié les causes et est aujourd’hui encore plus arrogante. Sauf, que des pouvoirs qui durent trop longtemps se terminent toujours mal si on n’y prend garde. Blaise a encore 12 mois pour réussir son départ. L’histoire avec un grand H le regarde. Il sera jugé en grande partie sur cela, s’il sort par la petite porte ou par la grande....

  • Le 13 octobre 2014 à 19:55, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Nervosité et malhonnêteté intellectuelle quand vous nous tenez.Quand on fait recours à des références,il faut avoir le courage de les contextualiser à moins que l intention soit de berner les esprits moins avertis.En quoi la vérité de Lefebvre est-elle transposable au contexte Burkinabè d aujourd hui où la révision constitutionnelle en son article 37 est personnifiée (elle ne conserne que BC) au lieu d être générale i e impersonnelle ? Sinon pourquoi la révision ici et maintenant et non en 2016 ou 2017 ? Et avec ça on veut rivaliser avec un penseur à coup de concept.Prenez le texte de ce dernier qui coule de source,accessible à un bon élève de terminale et le vôtre ,c est le jour et la nuit.

  • Le 13 octobre 2014 à 20:09, par SANGENIS En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Voilà un ennemi de la République !!! C’est honteux !!!

  • Le 13 octobre 2014 à 20:19 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Autant le référendum est illégal, autant on est fatigué de ce régime. D’autant plus que son bilan n’est pas terrible- terrible. Blaise doit aller se reposer, répondre de ses actes et éventuellement conseiller ceux qui veulent de son expertise. 27 ans, c’est trop.

  • Le 13 octobre 2014 à 20:27, par Alexio En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    L alternance on la revendique pas,on la prepare. Que malhonnete intelllectuelle. Les textes prescrites noir sur Blanc. 2ans de presidentiable pour un President.
    Cette faillite seul le president est l endosseur. Il n apas confiance a son CDP.
    Sinon la fausse crise ne serait pas au rendez-vous. Epargner nous de nous divertir avec cette exposee philosophique.

  • Le 13 octobre 2014 à 20:54, par reconnaissance En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    rien a dire sur l’article de ce grand homme,Mr djibo je peux vous dire en toute sincérité que le peuple burkinabé vous soutiens dans ce que vous mener comme lutte pour que ce peuple puisse se libérer le cœur dans la légalité et non dans les empêcher de faire ce que la constitution demande.
    pour ce faire nous vous demandons de toujours nous laisser des article qui pourrons nous faire savoir que vous êtes dans ce pays et vous suivez ce que le peuple a besoin.et cela n’est rien d’autre que le referendum

  • Le 13 octobre 2014 à 21:01, par youssouf En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    oui et oui a tous ce que ce Mr vient de laisser comme requête du peuple,vraiment ceux qui connaissent la vraie valeur de notre constitution comme vous,et je pense bien que le référendum devrait être le bien venu dans ce pays pour que ces burkinabé aillent ce faire entendre dans les urnes du référendum et non laisser dans les bras de quelqu’un d’autre pour ce faire berner.

  • Le 13 octobre 2014 à 21:26, par Henri Konan Bédier En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Que dire face ce raisonnement d’un intellect supérieur ! M Djibo le grand M Djibo qui s’abaisse pour raisonner un esprit plat qu’est celui qu’anime nos opposants de mauvaise foi. Nul ne doute actuellement du bien fonder du référendum et nul ne doute aussi du haut fait du président du Faso. Cependant la raison pour laquelle le référendum est refusé est que nos opposant ne veulent pas mener de campagne dans le même quinquennat ! Et oui la raison pour laquelle l’opposition refuse le référendum est tout simplement économique !

  • Le 13 octobre 2014 à 21:52, par sissilondres En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Monsieur DJBO, au-delà des attaques dirigées sans cesse vers les personnes de Monsieur E.TRAORE et de Monsieur C. DABIRE, on verra si la faisabilité de votre referendum est aussi facile que ça. A moins que les pays africains avec lesquels et par lesquels la constitution tire sa légitimité ne soient en complot contre la constitution et le peuple du Burkina et ne considèrent la stabilité régionale comme un intérêt national- ce qui n’est pas le cas-. A moins aussi de vouloir sacrifier un interet national sur l’autel régional ou inertnational.

    Apparemment vous nous dévoilez travailler quotidiennement avec le Président. Tout comme Salia ; le dialogue proposé n’était qu’une étape -parenthèse afin d’aboutir au GRAND PROJET. Il ne vous reste la date, les modalités de sa réalisation. On espère que dans le concret vous nous épargnerez le climat délétère qu’un tel évènement pourrait nourrir pour longtemps.

    Vous jugez Monsieur Dabiré d’obsédé intentionnel alors que vous êtes un obsédé de préjugés ; lesquels préjugés sont condamnés et condamnables dans le préambule de notre Constitution :" ENGAGE à préserver ces acquis et animé de la volonté d’édifier un État de droit garantissant l’exercice des droits collectifs et individuels, la liberté, la dignité, la sûreté, le bien-être, le développement,l’égalité et la justice comme valeurs fondamentales d’une société pluraliste de progrès et débarrassée de tout préjugé". Car vous préjugez des qualités des uns et des autres, et de là vous trouvez que celles de Blaise sont meilleures et de là vous décidez que sa décision d’un référendum est la bonne.Vous n’êtes pas seul malheureusement. Pourquoi une telle posture et position de votre part ?

  • Le 13 octobre 2014 à 22:03, par sissilondres En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Monsieur DJBO, au-delà des attaques dirigées sans cesse vers les personnes de Monsieur E.TRAORE et de Monsieur C. DABIRE, on verra si la faisabilité de votre referendum est aussi facile que ça. A moins que les pays africains avec lesquels et par lesquels la constitution tire sa légitimité ne soient en complot contre la constitution et le peuple du Burkina et ne considèrent la stabilité régionale comme un intérêt national- ce qui n’est pas le cas-. A moins aussi de vouloir sacrifier un interet national sur l’autel régional ou inertnational.

    Apparemment vous nous dévoilez travailler quotidiennement avec le Président. Tout comme Salia ; le dialogue proposé n’était qu’une étape -parenthèse afin d’aboutir au GRAND PROJET. Il ne vous reste la date, les modalités de sa réalisation. On espère que dans le concret vous nous épargnerez le climat délétère qu’un tel évènement pourrait nourrir pour longtemps.

    Vous jugez Monsieur Dabiré d’obsédé intentionnel alors que vous êtes un obsédé de préjugés ; lesquels préjugés sont condamnés et condamnables dans le préambule de notre Constitution :" ENGAGE à préserver ces acquis et animé de la volonté d’édifier un État de droit garantissant l’exercice des droits collectifs et individuels, la liberté, la dignité, la sûreté, le bien-être, le développement,l’égalité et la justice comme valeurs fondamentales d’une société pluraliste de progrès et débarrassée de tout préjugé". Car vous préjugez des qualités des uns et des autres, et de là vous trouvez que celles de Blaise sont meilleures et de là vous décidez que sa décision d’un référendum est la bonne.Vous n’êtes pas seul malheureusement. Pourquoi une telle posture et position de votre part ?

  • Le 13 octobre 2014 à 22:32, par L’enfant du pays En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Merci professeur pour cette clairevoyance des choses.cè dire juste et vrai que de dire que nos institutions au Faso ici fonctionnent bien,pour ne pas dire trè bien,notre président l’a rappellé en Taiwan et des illustrations données dan cet present articles en temoignent de toute leur force !!!malgré le gran boulot abatu par un président gran d’espri,nos opposants assomés par leur folle envie de goutter au champagne de kassyam refuse de s’incliner face à cela !!!!

  • Le 13 octobre 2014 à 22:37, par momo gabbana En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    "Est-il anecdotique de constater que nos institutions ont donné la preuve de leur efficacité et de leur force à l’occasion de deux tristes évènements : les explosions de Larlé et l’accident d’avion d’Air Algérie. Je salue nos forces de Police, de Gendarmerie et d’Armée qui, avec efficacité et précision, ont permis de retrouver les épaves de l’avion et nous ont donné des motifs de fierté, de fierté légitime et permis aux parents des victimes de commencer leur deuil"hum qui peut dire le contraire de cette verité si ce n’est aveugles !!!

  • Le 13 octobre 2014 à 22:42, par Laurentine En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Vérité no1 je vois que vous êtes aussi perturbé que vos employeur. De vous a moi entre celui qui appel le peuple a trancher sur la question une question d’ordre nationale et celui qui qui veut prendre la décision a la place du peuple qui est le plus antidémocratique. L’on ne référendum pas un référendum quand on manque d’arguments mais quand on manque d’argent pour mener les campagnes oui

  • Le 13 octobre 2014 à 22:51, par kone issouf En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Peace for Burkina au regard de ton cas il est claire qu’il ne s’agit pas de savoir lire et écrire pour dire que l’on est un savant ! Dire que Moussa Ouattara, ton idole est descendu dans la bassesses témoigne clairement de ton ignorance de la situation actuelle. Voila un QCM pour toi !
    Pourquoi l’opposition refuse t il le référendum ?
    Réponse 1 : Le manque de confiance que la majorité les octroie
    Réponse 2 : Le manque d’argument
    Réponse 3 : Le manque d’argent pour organiser la campagne du référendum et des présidentielles

  • Le 13 octobre 2014 à 22:54, par Le Sage En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Votre analyse sur l’opposition politique est vraiment inélégante. Je tenais à vous le faire savoir solennellement en espérant un changement dans vos prochains articles. Le Sage.

  • Le 13 octobre 2014 à 23:01, par kone Simon En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Pour d’abord parler de référendum il faut parler de campagnes et parler de campagnes engendre la construction d’un argumentaire solide pour convaincre le maximum de personnes. A y regard de plus près sur ce côté l’opposition n’ a pas fait long feu car depuis plus de deux décennies elle n’a réussi à changer le choix du peuple

  • Le 13 octobre 2014 à 23:12, par bon fils En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Le moment de déposer les arguments finaux est arrivé. et je pense bien que ce message passera dans la tete de tous les citoyens de ce pays pour qu’il se laisse aller au referendum pour faire la partdes choses entre les burkinabes qui sont divisert sur cette question de oui et de non sur cette question de la candidature de blaise

  • Le 13 octobre 2014 à 23:15, par kabore En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    M Karim sachez que le moutons qui sera égorgé pour la tabaski ne serait jamais consulter. Nul ne doute du soulèvement populaire qui est avant tout un droit cependant nul ne réfute les résultat qu’en plus de 25 ans l’opposition n’a réussi a avoir la majorité de son côté. Le soulèvement dont vous parlez tant peut aussi se faire pour-qu’il n’y ait plus d’opposants sur le territoire nationale

  • Le 13 octobre 2014 à 23:20, par femme integre En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable.et chaque homme politique de ce pays le sait très bien,car au delà de la loi existe une loi qui fait fonctionner cette loi et cette loi est bel et bien celle du peuple.et je pense que le moment est venu d’arrêter tous les discours dans les marche et service et aller au référendum comme nous le dit ce grand philosophe burkinabé.

  • Le 13 octobre 2014 à 23:28, par ouaga inter En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    dans la tête de ces opposants,ils se disent que le référendum n’est pas obliger.mais il faut qu’ils sachent aussi que cela est nécessaire dans la mesure ou le peuple est vraiment diviser sur cette question qui ne fait que prendre de l’ampleur dans ce pays, je crois bien que nous devons aller très vite au référendum pour faire la part des choses entre ces burkinabé qui sont aussi diviser de façon politique.

  • Le 13 octobre 2014 à 23:41, par sihda la sihda En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    la souveraineté est vraiment indépassable et chacun le sait très bien dans ce pays des hommes intègres et comme ce Mr est un homme qui veut vraiment la paix dans ce pays et aussi le bon développement je pense bien que son message sera bel et bien entendu par tous les burkinabés et vont accepter ce que le Mr veut nous inculquer.

  • Le 13 octobre 2014 à 23:41 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    L’opposition Burkinabe est le paradoxe d’elle meme.comment vouloir aller a des elect
    ions présidentielles organisées par le pouvoir en place ,et dans le meme temps refusée le référendum qui sera organisé par ce pouvoir ?
    Il prétendent que le peuple burkinabe dans sa grande majorité analphabete n’est pas en mesure de saisir de façon rationnelle la portée historique de cet évènement Ce qui se trame aujourd’hui au burkina n’est ni un conflit politique,ni juridique:mais un problème de personne.Donc épargner nous de vos états d’ames,de vos règlements de comptes.Eviter de prendre en otage le peuple que vous estimez incapable de faire lucidement son choix ...

  • Le 14 octobre 2014 à 00:40, par Gninlé En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    J’ai toujours du mal à lire ce M. Djibo, tellement il écrit mal. C’est indigeste ! Il ferait mieux, à défaut d’Etienne Traoré, de prendre des cours d’écrire avec M. Christophe Dabiré. De ce que pu glaner de son charabia sans queue ni tête, je pus dire :

    Bongo aurait dit à Kérékou, qui venait de perdre des élections, "comment peux-tu perdre des élections que tu as toi-même organisées ?". L’opposition burkinabè n’est pas naïve et sait que le référendum sera une vaste mascarade et un bourrage des urnes pour le oui. Mais certains philosophes burkinabè, tout philosophes qu’ils prétendent être, formés pourtant à l’esprit critique, sont naïfs, à moins qu’ils n’aient perdu tout esprit critique et renoncé à être philosophes, tout en se drapant du noble nom de philosophe. Sinon, comment comprendre qu’il puisse y avoir des philosophes burkinabè pour ne rien trouver à redire au pouvoir de Blaise Compaoré et même à le soutenir inconditionnellement ?

    L’honneur des philosophes burkinabè serait de soumettre le pouvoir de Blaise Compaoré à une vraie critique philosophique, à la lumière et à la rigueur des concepts philosophiques, c’est-à-dire en toute objectivité. Or, voilà un pouvoir qui ne manque pas d’aspérités et d’angles d’attaque d’où qu’on le regarde et qui pourtant bizarrement trouve des philosophes pour le défendre. Vous remarquerez que M. Djibo ne convoque jamais dans ces interventions le moindre concept de philosophie politique. En est-il même seulement capable ?

    La pire insulte qu’on puisse faire à quelqu’un qui se réclame de la postérité d’un Socrate, grand pourfendeur de l’ordre établi jusqu’à sa condamnation à mort, c’est de ne pas avoir d’esprit critique, d’être un hagiographe du pouvoir politique en place et pire d’être assimilé à un griot. Encore que traiter M. Djibo de griot, c’est faire insulte aux griots, car eux au moins ne prétendent pas être philosophes. Alors, que M. Djibo ne marche pas sur leurs plate-bandes. A chacun son métier, et les vaches seront bien gardées...

  • Le 14 octobre 2014 à 00:45, par ouedraogo En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    pourquoi certaines personnes dans ce pays ont ci peur du référendum ?or pourtant c’est la seule chose qui pourra mieux trancher entre les burkinabés et aussi apporter ce que nous appelons paix durable.et je pense bien que nous devons noua lasser aller a ce référendum pour permettre au peuple souverains de ce prononcer sur cette question de la candidature de Blaise.

  • Le 14 octobre 2014 à 00:48, par Gninlé En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Juste une remarque : à quelques rares exceptions près (et encore "wait and see" !), dans tous les pays africains où un homme s’est maintenu au pouvoir par la force et la ruse pendant plus de vingt ans, ça a fini en guerre civile... Vérifiez par vous-mêmes... A bon entendeur, salut !...

  • Le 14 octobre 2014 à 00:56 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Pardon, Dr, Djibo, vous etes vraiment au serieux ou bien vous vous ete rendu compte que vous avez fait fausse route et pour ne pas vous desavouer, vous persistez dans la betise. Honnetement, je veux me persuader que vous persistez sur cette voix, juste par defi et par bravade. Sinon votre doctorat en philo ou votre DEA en philo ou meme votre Licence en philo n’ aura servi que pour dire que vous avez fait l’ecole sans que cela vous aide a vous eclairer et a ecliarer les autres. Je croyais que la philosophie pouvait aider son homme a s’ emanciper et a aider les autres a s’ emanciper, pas a s’ asservir et tenter, vainement et heuresuement d’ ailleurs, d’ obscurcir et d’ asservir les autres. En tant que quelqu’ un qui a du faire au moins un jour de philo, respectez vos professeurs et les livres que vous avez lus. Ne leur faites pas honte.

  • Le 14 octobre 2014 à 01:07 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    "Nos opposants que nous nous sommes donnés peuvent-ils l’avoir fait pour accréditer une tempête spéculative dans un verre d’eau que certains philosophes tentent, avec des arguments tirés par les cheveux, de colmater les incohérences des ni, ni, ni. Comment donner une élégance argumentative, introuvable à une impossibilité de fonder son dire sur l’indicible. Le refus des opposants du référendum procède de cet état : l’impossibilité catégoriale de dire quelque chose sans être jeté dans le discrédit total."

    Vous comprenez ce francais venant d’ un docteur en philosophie ? Ah ! La phoulosophie a fait de nous des litterateurs avant meme que nous ne meritions d’ avoir le bon niveau cinquieme en grammaire. Et mieux ce flibustier n’ a meme pas le courage de designer nommement " ses philosophes ". Sachent que ceux que tu veux traiter avec mepris n’ ont meme pas le temnps perdre aun individu sans personnalite comme toi.

  • Le 14 octobre 2014 à 01:10, par Daou En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    J’ai beaucoup hésité à m’adresser à l’auteur de cet article au titre accrocheur, mais au contenu courtisan. Rien de plus ! Aussi permettez-moi, Mr Djibo, sauf votre respect, de vous dire que vous confondez la marche théorique de l’histoire des nations, ces réflexions ou spéculations que des penseurs et des philosophes politiques ont laissé à l’humanité et à son universelle pensée et dont chacun se sert comme bon lui semble, selon ses fins ultimes, avouées ou non, avec ce que les peuples font de leur propre histoire. Les vraies ruptures ont été rarement légalistes dans l’histoire des peuples. Les exemples sont légions. Mais je comprends que ce côté-ci de l’histoire ne vous intéresse, puisqu’il s’agit pour vous de faire poursuivre ou de participer à l’œuvre grandiose commencée, voilà presqu’une trentaine d’années, par le grand bâtisseur...BC
    A vous lire, je m’interroge sur ce qui semble une naïveté de votre part consistant à croire que la souveraineté du peuple burkinabè se trouvera réhabilitée par un jeu référendaire, fut-il de bon aloi. L’invitation au dialogue hier était mort-née pour qui sait observer la scène nationale et se passer de spéculations politiciennes. J’espère me tromper aujourd’hui. Mais si demain ce n’était pas le cas, je souhaite que vous me pardonniez mon impertinence actuelle à votre égard.
    En somme, ce que vous tentez vainement de faire voir n’est qu’une nième redite de tous les supporters d"’un légalisme républicain" censé sauver notre peuple du désastre, mais qui en réalité ("vous aimez tant le réel qui se déroule sous yeux") étouffe paradoxalement ce que vous appelez de tous vos vœux, la démocratie. Puisque vous semblez y être très attachée, je m’étonne que vous ne preniez, à aucun moment le soin, d’éclairer nos lanternes sur ses postulats, ses mises en œuvre et ses leçons d’histoire passées et actuelles (dans le lointain ou proche espace). Tout est mis au profit dans vos démonstrations pour l’inéluctable référendum (théories politiques, raccourcis historiques, auxquelles se mêlent confusions de rôles (les députés, devraient se mettre tous en colère en vous lisant puisque vous les identifiez comme "représentants de l’opinion"), les éloges, à qui vous voudrez, les sondages venus du pays de l’Oncle Sam (Oh que fait-on celle du peuple régulièrement exprimée ? ) et tout ce ronronnement finit dans cette proposition dont je m’interroge sur sa teneur souveraine : "le référendum ou rien". En effet, avec une telle proposition vous nous sortez du sempiternel "ni ni". Mais ce faisant, l’"autocratie démocratique" revient en force ; ce qui n’est pas de nature à restaurer la souveraineté populaire.
    Enfin, sachez que pour notre pays et les peuples qui l’habitent, en ce temps dont la gravité semble encore faire défaut dans votre réflexion, les épisodes des supercheries démocratiques sont bel et bien révolus. La souveraineté que vous appelez de vos vœux ne se réalisera qu’en dépassant ce piège cousu de fil blanc, votre référendum.
    La pensée et l’écriture -que vous semblez fort apprécier- ne se contentent pas de dire le réel comme s’il était seul capable de changement. Dès lors que vous vous en servez, elles se révèlent à vous, comme ce qui permet d’emblée d’aller au-delà de ce réel, pour inventer du nouveau, par l’imagination. Le peuple est en capacité d’imaginer, d’inventer, pour lui-même, cet avenir. Là est sa véritable souveraineté, politique, philosophique, historique.

  • Le 14 octobre 2014 à 02:08 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Djibo, vous etes libre de vous signaler au bon souvenir de votre employeur qui vous utilise comme il veut et malgre ca vous dites que vous etes docteur en philosophie. Ou est la reflecxion d’ un docteur en philosophie ? Respectez la douleur des familles eplorees dans un accident dont ils ne comprennent rien trois mois apres l’ evenement. Depuis combien de temps des boites noires retrouvees tardent- elles tant de livrer leur secret et on veut nous faire boire l’ eau par les narines ? Ou est la rapidite des forces armees burkinabe sinon que cette rapidite en rajoute a la suspicion de tout ce qui entoure cet" Accident" qui a ebranle meme ceux qui ne connaissaient pas personnellement les victimes ? Moi je te dis la verite : Toi aussi tu prends l’ avion non ? Respecte la memoire des disparus et ne fais pas pleurer les parents une centieme fois.

  • Le 14 octobre 2014 à 06:12 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Moi aussi je suis d’ acord. Seul le referendum va precipiter la revolte populaire du peuple trop patient qui dure qui dure. Blaise lui- meme connait. C’est pourquoi il fait beaucoup attention a ses blaguer- tuer qui ne sont que des tas d’ intintins greles et d’ estomacs de python. Blaise n’ est pas bete ! Quand on va lui donner Maga Taper est-ce que c’est vous qui va repondre devant FatouBen Yassida de CP1, pardon, de CPI ?

  • Le 14 octobre 2014 à 08:44, par Sidpasata Veritas En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Tout le monde est d’accord pour dire que nous avons besoin de la stabilité politique. Et voilà comment Mr Djibo le dit à sa manière : "Dans l’exacte mesure où nous sommes témoins de ce qu’est, donc, une institution décente, comment ne pas, dans la stabilité et la paix, le binôme stratégique, prélude à l’envol pour le développement, en appeler au sens patriotique et démocratique des uns et des autres, pour répondre à l’appel de la souveraineté populaire pour acclamer ce moment fraternel qui sonne à nos portes, celui que le démocrate accoudé sur ses convictions, attend, non point avec appréhension mais avec une assurance cinglante : celui du choix." Oui stabilité et paix est un binôme stratégique.
    - Mais le drame, c’est que tous ceux qui réclame le référendum contre le respect l’article 37 de la constitution nous disent que "préserver la paix et la stabilité" c’est "garder Blaise au pouvoir, coûte que coûte". C’est vraiment dramatique que la paix et la stabilité de tout une nation dépendent du sort d’un seul individu, au point qu’il faille tout faire (même contre l’esprit de la constitution ; un peut de légalisme suffirait) pour modifier la constitution et la jurisprudence du conseil constitutionnel pour que cet homme indispensable reste au pouvoir.
    - Quand est-ce qu’on peut parler de stabilité politique : c’est quand les hommes peuvent se succéder à la tête des institutions sans qu’on soit obliger de changer les lois ou la constitution. Cela veut dire que dans ce cas, l’homme qui est à la tête de l’institution peut démissionner, tomber malade ou même mourir sans que le pays soit ébranlé.
    - Quand est-ce qu’on parle d’instabilité : c’est quand on change les hommes à la tête des institutions en modifiant tout le temps les lois ou la constitution. Le pire de l’instabilité c’est le coup d’état qui efface tout et on recommence à zéro. Quand on modifie la constitution tout le temps comme au BF, c’est une forme d’instabilité de la loi fondamentale. Quand on change trop souvent les hommes qui sont à la tête des institutions sans qu’ils achèvent leurs mandats (les obliger à démissionner, destitution ou mort fréquentes par exemples), c’est une autre forme d’instabilité.
    - Quand est-ce qu’on parle d’immobilisme : c’est quand les mêmes personnes sont à la tête des institutions de l’État pendant trop longtemps. Ils ne veulent pas partir et on arrive pas à les faire partir. Il devient soit la cause des mésententes et de conflits politiques dans la nation, mais il refusent le changement. C’est le cas actuel du BF avec Blaise qui est à la fonction présidentielle depuis 1987. Tous les arguments sont bons pour ceux qui défendent cet immobilisme qu’il confonde à la stabilité. LES DÉFENSEURS DE L’IMMOBILISME VOUS DISENT TOUJOURS QUE SI ON OSE CHANGER, TOUT VA TOMBER. C’est souvent un mensonge pour faire peur à ceux qui ne voient pas leur tricherie. Et si cela se trouvait être vrai, ce serait alors la preuve que le système manque de stabilité, et qu’il vaut mieux changer avant que ça devienne plus grave.
    Mr Djibo raconte de mensonges en oubliant que les burkinabè ne sont pas naïfs comme ils le pense lui ! Quand lui et Blaise parle de liberté au BF, ils n’osent pas dire que maintenant, à Ouaga comme partout en province on se fait attaquer en plein jour dans les villes et villages : l’insécurité est telle que les bandits ne se contentent pas seulement de "couper la route" ils viennent à domicile vous demander de rendre gorge. Il est même déjà arrivé que les forces de sécurité (deux gendarmes) qui accompagnaient un car de transport en commun se fassent confisquer leurs armes par de bandits mieux armés. QUITTE LES USA MR DJIBO ET VIENS VIVRE CELA AVEC NOUS POUR POUVOIR MIEUX DÉFENDRE LA POSITION DE TON SAUVEUR DE LA NATION ! TU POURRAS VRAIMENT COMPRENDRE ET MIEUX EXPLIQUER SI C’EST LE REFERENDUM OU QUOI D’AUTRE QUI EST PLUS URGENT !

  • Le 14 octobre 2014 à 09:13, par CHRIS En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Bjr,
    Triste de voir que le contribuable Burkinabè a payé la formation de certains de ses fils qui se dressent aujourd’hui contre ses intérêts. Bon dieu, comment peut-on tomber aussi bas ? On tente de justifier l’injustifiable ; ce qui me choque dans tout ça, c’est que ces genres d’individus croient que leur diplôme suffit à combler leur malhonnêteté intellectuelle. Blaise est l’envoyé de Dieu, il est tout pour le Burkina selon vous, mais le problème est que tout simplement, après 28 ans au pouvoir, on lui ordonne d’aller voir autre chose, c’est ce que dit la loi. Tout le reste est escroquerie intellectuelle ; mais restez sereins mes frères , GAME IS OVER.
    LA PROPHETIE EST EN MARCHE

  • Le 14 octobre 2014 à 09:47, par chabanne En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Il vous faut un peu de réalisme. Nous sommes une population de près de 17 millions d âmes. Notre pays a 64 ans.Le président Blaise Compaore totalise a lui seul 28 ans de pouvoir.Vous vous n avez nullement envi d être président ?pas même un parent ou un ami ? Le peuple est éternel !

  • Le 14 octobre 2014 à 10:14, par SING En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    c’est la honte de la nation ce Mr djibo.Voilà pourquoi il est déconseillé le plagia pour obtenir un PhD.Voyez vous le résultat que cela occasionne ?

  • Le 14 octobre 2014 à 10:14, par SING En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    c’est la honte de la nation ce Mr djibo.Voilà pourquoi il est déconseillé le plagia pour obtenir un PhD.Voyez vous le résultat que cela occasionne ?

  • Le 14 octobre 2014 à 10:22, par l’éclairé En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    depuis le début je savais que ce Monsieur était de ceux qui bavardent dans le vide. Il a besoin d’un cours en droit constitutionnel pour comprendre que c’est Blaise qui tire sa légitimité de la constitution et non le contraire. Et puis j’ai honte quand le titulaire d’un Ph. D avoue que Blaise est indispensable au Burkina. Que ceux qui sont carrents ne pensent pas que tous les Burkinabé sont pareils

  • Le 14 octobre 2014 à 11:01, par Mange et ferme la bouche En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Monsieur Mamadou Djibo, avec votre diplôme s’il vous est difficile de comprendre que votre peuple a besoin de changement, le Burkina a commis une grave erreur en vous envoyant à l’école car vous risquer d’embraser votre pays. Mettez vos connaissances en pratique pour le bonheur et pour la paix. Ne poussez pas le Président à commettre l’irréparable. Pensez aux enfants, aux femmes, aux veuves, aux orphelins, aux cœurs brisés...

  • Le 14 octobre 2014 à 11:02, par Le Burkina d’Abord En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Bel écrit par les mots et les tournures mais un fonds d’une inconséquence notoirement écœurante , un chiffon dirais-je !! L’intellectuel c’est quelqu’un qui met son intellect au service de ses concitoyens !! Malheureusement, d’un ai blafard, vous conjuguez votre énergie et votre poitrine de colibris avec condescendance pour vous moquer de vos concitoyens en nous disant que seul Blaise est ce qu’il y a de mieux pour lui et par conséquent, il faut que le peuple entérine son projet de règne à vie !
    Je remarque que vous les usurpateurs, chantres du referendum connaissez le peuple aujourd’hui !! Et quand par le référendum le peuple aura validé la forfaiture, le déni de démocratie, l’abus de pouvoir, vous rangerez ce même peuple aux oubliettes, et dans vos tours d’ivoire vous siroterez vos élixirs honteusement et arrogamment ! Vous savez bien que Blaise n’est pas démocrate ! Vous savez bien combien de familles ont été endeuillées pour que Blaise assoit son pouvoir !! Nul besoin de dire des noms puisque vous êtes témoin de l’histoire ! Si la philosophie doit servir à tromper, à supplicier, à défendre l’indéfendable et à cautionner la forfaiture et la dictature, l’autocratie et le règne à vie dans un système dit démocratique, je l’appellerai "bêtise" et vous êtes docteur de la bêtise !
    Que Blaise appelle au référendum enfin !! Nous aviserons !

  • Le 14 octobre 2014 à 11:07 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Ce Monsieur fait honte. ridicule, honte à tous ceux qui prônent le referendum.

  • Le 14 octobre 2014 à 11:31, par gnamnati En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Je pense que le contribuable burkinabé a perdu de l’argent en payant les études des gens comme ce monsieur qui n’a aucun sentiment patriotique.
    De vrais tubes digestifs, mais ils ne savent pas que Blaise les connait et lui, il sait ce qu’il l’attend si il ose franchir le rubbicond. EHEEE ! N’GAWO !!!

  • Le 14 octobre 2014 à 11:35, par ELKABOR En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Vous venez de nous administrer la preuve que "l’Afrique a mal a ses intellectuels" comme vous !. Vous n’êtes ni pragmatique ni réaliste dans vos analyses que vous tentez de soutenir avec un ramassi de citations d’illustres phylosophes dont vous semblez n’avoir pas compris l’essence de la pensée. Cela se voit que vous ne vivez pas au Burkina Faso et avez oublié son histoire récente. Aucun démocrate ne saurait être contre le référendum. Ici il s’agit plutot de l’opportunité de son organisation avant le terme légal du mandat de Blaise Compaoré. Nous quittons donc le champ phylosophique pour le champ purement politique. Ce faisant, tout le contenu de votre écrit n’est que phraséologie et démonstration de maniement de langue, pour l’apologie d’un homme et de son système. Je vous renvoie à notre Constitution, que vous pouvez lire et relire, vous ne trouverez nulle part où il est mentionné un impératif calendaire pour son organisation. Dans le contexte actuel, organiser le référendum avant le terme du mandat de Blaise Compaoré s’apparenterait à un "délit d’initiés" des tenants actuels du pouvoir. Même si Blaise Compaoré était le premier des cinq meilleurs dirigeants, le garant de la stabilité, le champion de ce tout ce que vous voulez, il est indécent et inélégant de tripatouiller la loi fondamentale pour son maintien au pouvoir après 27 ans. Alors un peu de patience pour attendre après 2015, pour le référendum car selon le titre de votre écrit l’"appel à la souverainété populaire est indépassable".

  • Le 14 octobre 2014 à 11:44, par Ali le sabre En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Belle analyse ! Je souscris pour l’essentiel aux arguments. A mon avis au lieu de continuer à nous tirer dessus et à nous insulter (c’est l’objectif réel de l’opposition) il faut passer à l’étape démocratique suivante de nos échanges qui est le recours au suffrage universel. Puisque chacun est convaincu qu’il parle au nom du peuple eh bien écoutons-le pour une fois. C’est tellement simple que j’ai peine à comprendre que certains en veulent tant, juqu’au principe même du référendum.

  • Le 14 octobre 2014 à 11:46, par article1 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    il faut que les gens arrête cette manière de penser. un Diplome ne vaut que sa personne. le dernier d’une prestigieuse université americaine ne sera pas forcement le premier a l’UO. on a des promotionnaire qui ont eu la chance de poursuivre leur étude a l’exterieur et sont aujourd’hui des grands diplomés mais on se connait.ce n’était pas les meilleur en classe. ce temps a revolu M.DJIBO. c’est dans ces filiaires sans avenir et en voie de disparution que vous pouvez etre orienter a l’exterieur et voila la cause de toute la miser de l’afrique. vous faites des études dans des branches sans impact réel dans la vie. du n’importe quoi.ce que vous semblez etre fière de porter c’est des gens qui ont fait des études utiles qui ont conçu ça.

  • Le 14 octobre 2014 à 12:34, par leprince En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Que achacun prépare sa carte d’électeur, le reférendum aura lieu. Le vrai peuple, pas la foule va décider. alors tous au référendum et le débat est clos.

  • Le 14 octobre 2014 à 17:08, par Mavoix En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Très long écrit je dirai. Mais c’est très loin d’être une bonne analyse. Tout ce qu’on peut retenir de cette récitation (puisque tous les écrits du philosophe que vous êtes deviennent de la répétition) est que votre philosophie n’apporte rien comme contribution depuis que vous écriviez. C’est honnête pour vous de reconnaître que vous n’êtes pas assez intelligent pour gérer le Burkina au vue de vos analyses mais il faut aussi reconnaître que des gens plus intelligents et démocrates que Blaise existent au Faso. Je dis bien Blaise parcequ’il est votre référence puisque le Burkina disparaîtra avec lui selon vous. Rassurez vous que cela n’arrivera pas (si c’est ce que vous voulez) puisque les vrais intellectuels démocrates ont déjà anticipé les choses. La prochaine fois que vous réciterez encore il faudra nous expliquer (si vous en êtes capable) ce que vous appelez un bon président parceque c’est relatif.

  • Le 14 octobre 2014 à 17:13, par Thomy En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    PITIE A CEUX QUI BAILLONNENT LE PEUPPLE

  • Le 14 octobre 2014 à 18:33, par BURKIPOKA En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Moi je n’ai pas lu tout son texte mais ce que j’ai à dire c’est : "non au referendum personnifié (Blaise Compaoré)" "non à la modification de l’article 37" "non au Sénat" un point c’est tout. Pour ça, on n’a pas besoin de trop de parole, tout le monde sait aujourd’hui que le referendum c’est pour une seule personne (Blaise Compaoré) vivement que 2015 arrive. On dirait que les problaisismes sont contre leur géniteur, vous même qui parler au hasard et beaucoup, beaucoup comme ça vous pouvez être candidat si vous ne le savez pas. Mais les gens n’aime pas les gens, vous voulez le pousser et le mettre dans la merde quoi et après retourner votre veste. On se connait au Faso maintenant. YA YA BOIN ?????????????????

  • Le 14 octobre 2014 à 18:44, par BURKIPOKA En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Je te promets de te voter si toi même tu es candidat en 2015 mais pas ton Blaiso

  • Le 14 octobre 2014 à 21:08, par Tororoso En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Hé, tu fais pas pardon ! Toi aussi

  • Le 14 octobre 2014 à 21:16 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Des mots, rien que de gros mots. Le francais est plus qu’ un assemblages heteroclite de maux. Il est un art aussi, Djibo. Avec des mots simples, communs, on peut faire de la musique poiur transmettre un message. Tu ecris tres mal. Tu ne m’ impressionnes pas a ton style guinde.

  • Le 14 octobre 2014 à 22:53, par CHEIKH En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    A vrai dire, il existe trois catégories d’intellectuels à savoir :
    - Ceux qui s’engagent systématiquement aux côtés du peuple, dont ils se sentent issus.
    C’est de cette catégorie que relèvent le philosophe Dabiré et bien d’autres, dont les paroles sonnent toujours vraies pour l’éternité et brillent comme de l’or, car éternels eux-mêmes, jamais ils ne disparaîtront de la mémoire des hommes.
    - Ceux qui préfèrent vivre et mourir dans le silence et la neutralité, sans trop faire de bruits
    - Et enfin ceux qui comme le rêveur Djibo, choisissent de mettre leur prétendue science infuse, au service du mal, en s’érigeant en thuriféraires professionnels devant l’éternel .
    Et pour s’en convaincre, il suffit de les observer dans leurs envolées tendancieuses et biaisées vis à vis des lois, et les paroles creuses et flatteuses qu’ils émettent pour leur bon plaisir.
    Mais quant à nous, nous retenons que l’article 37 de notre constitution est légal.
    Par conséquent, tout ce qui contribuera à modifier cet article est illégal et illégitime, y compris le référendum.
    Nous considérons que même sa modification par référendum sera peine perdue, du fait de son effet non rétroactif, et applicable seulement aux futurs autres dirigeants de ce pays.
    Nous estimons aussi, qu’au regard de la charge d’histoire, liée à cet article 37 maintes fois modifié de notre constitution, personne au monde ni en Afrique, ne peut prétendre s’exprimer valablement sur la question en toute neutralité, sans scruter le passé.
    Assurément pas Niamsi, ni Djibo, ni aucun burkinabè de l’étranger, non au fait de nos réalités.
    Nous craignons enfin, que l’heure de ce référendum forcé, ne sonne prématurément le glas pour tous les laudateurs et autres prêcheurs dans le désert

  • Le 14 octobre 2014 à 23:25, par ORAN En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Je demande à Lefaso.net d’arreter de nous bourrer avec les ecrits de M. Djibo. il ne contribue en rien à la vie democratique. Je ne lis plus mais ses longs ecrits nous fatiguent pour rien. Il ne comprend meme pas ses propres ecrits. Pardon, ne nous mettez plus ce type en face de nous.

  • Le 14 octobre 2014 à 23:26, par cerf volant En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Le référendum aura lieu pianh,avec ou sans l’avis de l’opposition,qu’ils sache que la minorité ne va pas faire cette vérité parce qu’ils ne sont pas habilités tout simplement a le faire,il faut tenir compte de la vois de tous et si il n’y a pas de référendum vous êtes bien contraints a suivre les décisions et les vœux de la majorité,c’est ça la démocratie.

  • Le 15 octobre 2014 à 00:59, par sidzabda2012 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Une diarrhée de mots dans un désert d’idée ! où a tu mis l’article 163 de la constitution ? écoute là si tu a triché pour obtenir tes diplôme lacunaires il y a toujours des braves étudiants à l’UO ! Où a-tu vu là où on négocie un fonctionnaire en fin de carrière d’aller à la retraite ? c’est de la tautologie voir même une constipation verbale

  • Le 16 octobre 2014 à 18:50, par Citoyen révolté En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Analyse trop soporifique. Ce Monsieur utilise des qualificatifs qui le qualifient lui-même déjà. C’est vous qui gâtez le nom des intello Burkinabè. Quelque soit la grandeur d’un homme, sa classe politique d’appartenance, son intelligence, son rang dans notre société, dès qu’il se met à défendre le referendum dans le cadre actuel du Burkina, il devient ridicule et pathétique. Souvenez-vous en Cote d’Ivoire après les élections présidentielles de 2010 et le coup de force de Gbabo à vouloir coute que coute conserver son fauteuil, il invitait de partout des juristes de renom (du Sénégal, de la Cote d’Ivoire etc) pour défendre ses droits soient disant légitimes et légaux ; mais il est où aujourd’hui ? Donc arrêtez de nous divertir en essayant par tous les moyens de défendre l’indéfendable. L’heure c’est l’heure. Allez-vous-en.

  • Le 17 octobre 2014 à 09:09, par Le bon En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    C’est honteux de la part d’un intellectual de votre trempe. Vous faites prevue d’une malhonneteté intellectuelle si saisissante que celà donne envie de vomir. Comment induire en erreur le president Compaoré et attiser les feux de la désunion en incitant au referendum. pourquoi voulez-vous brûler ce pays, en sachant que la paix reside dans une seule phrase du président Compaoré : "je laisse la constitution du pays en l’état si celà est le prix à payer pour la paix et la stabilité d’un pays pour lequel je me suis donné pendant plus de 30 ans".
    Dieu vous le rendra au centuple.

  • Le 19 octobre 2014 à 08:05 En réponse à : Situation nationale : L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable

    Tu as vraiment etudie la philosophie, Djibo ? Je ne vois aucune demarche philosophique dans ta demarche. meme un griot s’ y prendrait miuex. Parce que lui au moins sait ce qu’ on appelle dignite.

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