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Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

Publié le mercredi 8 octobre 2014 à 12h35min

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Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

Cette opinion sur le dialogue entre l’opposition et la majorité présidentielle devait être envoyée à lefaso.net pour publication depuis le samedi 4 octobre, mais j’ai eu un coup de barre qui ne m’a pas permis de la peaufiner dans le délai. Le Burkina Faso mérite aussi de pouvoir changer de président et nous voulons absolument vivre dans la paix mais aussi dans un système démocratique où la dévolution du pouvoir suit la constitution.

Un état de droit, c’est cette société civile dans laquelle se reconnaissent les citoyens après avoir tiré leçon de l’ amère expérience dans l’ histoire qu’ il n’est pas bon que l’ Homme soit seul en société, car dans ces conditions, l’ homme est un véritable loup pour l’ homme ; et on se mènera la guerre de tous contre tous. Le prix qu’ils acceptent de payer, c’est de limiter leurs libertés individuelles en les confiant au souverain afin que celui- ci soit garant de leurs vies, de leur bonheur et de leur sécurité.

La mobilisation citoyenne, plus que le « dialogue », fera la différence

Vous devinez, en filigrane, que cet acte d’aliénation des libertés au profit du souverain qui ne doit pas être un tyran contient en même temps les graines du refus républicain de l’arbitraire, quel que soit le masque sous lequel on voudrait camoufler l’arnaque qui est trop grosse pour passer inaperçue. Et ce refus ne peut être passif. Il est actif car la passivité ne changera rien dans le sens souhaité par la majorité du peuple. La citoyenneté, plus qu’un nom, est un verbe qui se conjugue à la voix active. Je veux dire que le citoyen réalise sa citoyenneté en agissant, pas en constatant seulement que la sphère publique n’est pas gérée comme elle se doit. Si la prise de conscience de la mise en place d’un pouvoir à vie est un très bon début, c’est ce que l’on fait de cette constatation qui est plus déterminant pour notre avenir et celui de nos enfants, car c’est ce qui fait bouger les choses dans le sens démocratique, pas une simple prise de conscience d’ une situation indésirable.

Dans l’Etat moderne, le souverain n’est rien quand il agit hors de la volonté générale comme la constitution, dans sa lettre comme dans son esprit. Je le répète, dans sa lettre comme (et) dans son esprit. Le « comme » ou le « et » sont inclusifs et valent tout leur pesant d’or ici. Les règles édictées par cette loi générale ou fondamentale que j’appelle constitution s’imposent à tout le monde. Il n’y a pas d’exception sauf à vouloir (re)-instaurer un état d’exception dont on est coutumier, et qui, d’ ailleurs, quelquefois, fait doublon avec notre démocratie inachevée actuelle. C’est pourquoi l’expression selon laquelle tous les citoyens naissent égaux en droits et en devoirs ne doit pas être seulement dite par acquit de conscience, comme une belle phrase, une formule incantatoire, du bout des lèvres. Tous les citoyens étant égaux devant la loi, même les présidents de la république (res publica veut dire Chose Publique, la chose de tout le monde) ne peuvent pas être plus égaux que les autres. Ni le génie du président, ni sa pondération, ni son flegme devant les situations stressantes, ni sa capacité d’ écoute, ni ses succès éclatants sur le plan du développement économique, même à supposer que ce soit le cas, ni le vide incommensurable qu’ il laisserait à son départ comme le pensent sans sourciller ni frémir d’ insincères laudateurs et inconditionnels d’ un pouvoir à vie d’ une autre époque, ne sauraient être invoqués comme Raison d’Etat suprême pour violer un quelconque article de notre constitution, surtout pas cet article fondateur de notre alternance démocratique. Ce serait tomber dans l’abîme de l’Etat de non- droit gros de tous les dangers, en plus d’être hors sujet.

Hors –sujet parce qu’ Il ne s’ agit pas d’ évaluer les acquis ou même les insuffisances d’ un homme d’ État qui a régné 27 ans durant, qui a modifié un article 37 limitatif des mandats présidentiels à deux à plusieurs reprises, dans le sens de pouvoir se faire élire indéfiniment ; qui a battu en retraite, quand à la faveur de l’assassinat barbare du journaliste Norbert Zongo et de ses trois compagnons, le peuple meurtri et dégoûté a montré une face jamais soupçonnée à travers une désobéissance civile massive et mémorable qui a secoué les fondements du régime ; qui a rétorqué à l’ opposition et à la société civile qui ne voyaient pas d’ un bon œil sa candidature à la présidentielle en 2005 avec la ritournelle facile : La loi n’est pas rétroactive. Dire que la loi n’est pas rétroactive, c’est affirmer qu’elle est au moins proactive. Si tel n’est pas le cas, qu’on nous dise alors ce qu’elle est. Au moment où la proactivité de cette même loi est arrivée à maturité, on demande de la remodifier encore. Tout de même ! Pour la rendre rétroactive maintenant ? Finalement, pour qui on nous prend ? A notre président à tous, Blaise Compaoré, jusqu’ en 2015, cette loi devra s’appliquer à lui et à lui- seul puisque je ne connais pas de burkinabè qui ait déjà épuisé ses deux mandats d’affilée. Elle n’empêche personne d’autre de se présenter à la présidentielle en 2015, qui ne soit déchu de ses droits civils. C’est pourquoi on dit qu’une éventuelle modification n’a aucun intérêt national. Un seul individu, quelle que soit son importance, ne peut constituer à lui tout seul un intérêt national.

Le Président Blaise Compaoré ne peut pas s’en dérober sans être perçu comme celui qui a razzié le pouvoir avec toutes les conséquences de désobéissance civile qu’il devra affronter. La « légalité de crise » qu’ il sera obligé de mettre sur place ne va pas calmer le peuple et il sera obligé de matraquer, d’ arrêter, de torturer et de tuer ses propres concitoyens pour conserver un pouvoir qui ne lui revient plus de droit mais qu’il a tenté de conserver par la ruse, puis par la force brute et brutale quand la ruse s’est révélée démodée, un pouvoir qu’ il aura perdu de jure mais aussi de facto car il devra être en concurrence dorénavant avec la rue chaude qui sera plus légitime que lui. Pour ça au moins, il n’est pas nécessaire d’avoir une boule de cristal pour le savoir. Le président reconnaissait depuis 2005 qu’il est astreint à faire ses deux mandats comme s’il venait d’être fraîchement élu puisque la modification de l’article 37 en 2000 sous l’impulsion du Conseil des Sages qui a fait un très beau travail, signait ipso facto son exclusion de la course après ses deux mandats en 2015.

Mais voilà que les connaisseurs voyaient partout des signaux inquiétants de refus de respecter la parole donnée, et qui plus est, de respecter cette constitution, notamment l’Article 37. On n’a pas toujours cru aux cris d’orfraie qu’ils poussaient, pensant à une collusion : Jusqu’ à une date récente où tous les indices de la familiarisation, de la patrimonialisation, et de la personnalisation du pouvoir étaient clairs, même pour les moins avertis. Le manque de volonté de transmission du pouvoir politique suivant les règles constitutionnelles est plus qu’évident. Raymond Carre de Malberg (Dalloz, Paris, 2003) définit l’ État comme un territoire sur lequel vit une population avec à sa tête la puissance publique. L’État de droit est simplement compris comme un Etat où le fonctionnement des pouvoirs publics est défini par des normes qui sont légales et qui doivent être légitimes et ces normes sont impersonnelles. Elles ne peuvent être taillées sur mesure. Quand elles le sont, la démocratie a besoin d’un autre nom.


Le Dialogue entre l’opposition et la majorité présidentielle : Ce que je crois

Ceux qui pensent que comme le peuple est « divisé » sur la modification ènième de notre Article 37 qui se profile à l’horizon, il faille recourir à l’arbitrage du peuple, sont de mauvaise foi. On ne le dira jamais assez. Ils font exprès et c’est pourquoi il n’y aura jamais de dialogue sérieux avec des personnes de ce genre puisqu’ ils refusent de regarder dans le rétroviseur de notre pauvre Article 37 qui a un historique surchargé. Si notre comportement politique se moque de la légalité et la légitimité, nous pourrons aller à la consultation du peuple tous les dimanches ou tous les vendredis comme le font respectivement les chrétiens et les musulmans dans le cadre de leur foi, mais nous aurons tout sauf une démocratie, pas surtout quand des urnes courent le risque d’être confisquées et « gardées » chez des Zakaria, et cela, de façon impunie, comme s’ il y avait un vide juridique par rapport aux questions des fraudes électorales.

Je crois que ce dialogue ne donnera rien de bon, sauf à produire les retombées symboliques pour Blaise qui s’en sortira ennobli et même quelque peu anobli comme un homme de dialogue, un démocrate à l’écoute de son peuple, comme un héros donc, les autres étant les vilains. Le « dialogue » est la continuation de mes (visées) politiques par d’autres moyens(ruses), est-on tenté d’ ironiser. On aimerait bien être démenti par les événements car la cohésion sociale est une denrée rare et qui n’a point de prix. Malheureusement, pendant que les mots parlent de dialogue et de paix, les actes ont déjà suffisamment planté les graines des explications moins conviviales, graines de la discorde qu’on n’a eu de cesse d’arroser. Mes raisons sont simples. Nous sommes dans un scénario où 2 +2 font 4 mais Blaise convoque l’opposition et son parti et les encourage à s’entendre ; ses partisans affirment, pince- sans- rire, que 2+2 font 5. Même si je suis partisan du dialogue, je sais aussi que seul le dialogue sincère est une valeur. Aucune alchimie ne pourra objectivement réconcilier les deux parties. La ruse qui veut se faire passer pour dialogue est une non- valeur, même une contre- valeur. Sinon ce qui était simple était pour Blaise de sortir et de dire : « Peuple du Burkina, je vous ai compris ! », comme en décembre 1998, après les premières journées chaudes subséquentes aux tueries de Sapouy.

L’opposition se sait convoquée à une partie de perte de temps pour elle. Militairement, on appelle cette manœuvre la diversion. Ouvrir de petits fronts sans conséquence tout en massant le gros de ses forces sur l’objectif principal. En même temps, c’est un travail d’éclaireur car on pourra déceler lors des discussions le défaut de la cuirasse dans le dispositif de l’opposition, le jauger dans tous ses compartiments et voir comment mener les campagnes de dé-stabilisation en règle. Diplomatiquement, l’opposition ne peut refuser un « dialogue », même si c’est une idée de dialogue qui doit plus à la roublardise qu’à une préoccupation authentique de transiger avec l’autre. Ça ne passe pas bien dans l’opinion. Blaise le sait et il se peut que ce soit même une tentative de pousser l’opposition à l’erreur, piège qu’elle a su déjouer, en allant au dialogue, « leur » dialogue( Blaise et son parti, le CDP).

Les deux parties se sont donc retrouvées à la présidence qui tient lieu d’auberge espagnole où chacun est sûr de consommer ce qu’il aura emmené. Sans plus. L’opposition se trouve dans la situation où elle ne peut dire non, avec le risque d ‘ envoyer le mauvais signal à l’opinion nationale et internationale qu’elle n’est pas responsable. L’enjeu est de taille. Il s’agit de la paix et de l’unité de la nation. Sinon que je ne vois pas ce qu’on peut réellement négocier. Ce n’est pas que les clauses de l’Article 37 prêtent à confusion. Il n’y a pas un problème d’interprétation de l’article qui se pose. Tout est clair comme de l’eau de roche. Donc, honnêtement, qu’est-ce qu’on veut négocier ? Qu’est-ce qu’on va négocier ? Peut- être que je suis lent à comprendre et si c’est le cas, j’en saurai gré aux partisans de la modification d’éclairer ma lanterne. Si c’est pour répéter la même rengaine que la constitution l’ autorise, rendez- vous service à vous- mêmes en ne tenant pas compte de ma requête. Pour que je ne sois pas tenté de préjuger de votre capacité à réfléchir et à réfléchir par vous- mêmes.

Blaise Compaoré et le contrôle de l’initiative

Ce « dialogue » intervient aussi à un moment où les nerfs sont à fleur de peau, à force d’attendre le mot qui sauve du Président de la République qui est un fin stratège et un grand psychologue et qui sait se faire attendre, jouant avec nos nerfs. L’un dans l’autre, l’opposition qui est très mûre devra savoir aller à cette table munie de louches longues car elle pourrait se faire rouler dans la poussière, sachant ce que vaut la parole donnée chez ceux d’en face. Chat échaudé doit craindre l’eau froide. Si un aveugle dit : « Venez, on va se lapider », c’est bien certain qu’il est assis sur un gros tas de cailloux. Opposition, ne dites donc pas que vous avez la majorité du peuple avec vous. Marchez comme si vous étiez sur un champ de mines. Je sais que vous le savez déjà car vous regorgez, et d’expérience, et de talents, et d’intelligence, mais en le répétant, je renforce ce qui est déjà en vous.

Cela m’amène à la deuxième raison que j’emprunte à Audre Lorde, poétesse et activiste africaine- américaine. Elle aimait à dire que « ce ne sont pas les outils du maître qu’il vous faut si vous voulez démolir la maison du maître »( “The master’s tools will never dismantle the master’s house”). Oui, le mot est lâché. Aucun burkinabè honnête qui se soucie de l’intérêt général ne peut aller à l’ encontre de l’idée de démolir le projet à très haut risque de Blaise Compaoré de se représenter à la présidentielle après 2015. Qu’ il ait l’ élégance de laisser les autres appliquer aussi leur projet de société, pas pour 27 ans ou même 20 ans, mais juste pour 5 ans ou pour 10 ans au maximum.

Une question objective, appréhensible par tout citoyen sain d’ esprit, devient par des entourloupes une question de « selon », de « ta parole contre ma parole », une question qui n’ a plus rien à voir avec nos sens, la raison, qui a quitté donc le domaine empirique pour se compliquer dans le métaphysique où la parole de l’ une des parties (l’ opposition)sera toujours mise en parallèle avec la parole de l’ autre partie(la mouvance présidentielle) même quand celle-ci n’ a jamais eu d’ arguments pour défendre une position qui ne tient pas la route (ceci entraîne cela).

Après avoir été absent pendant des mois d’un débat si important, Blaise réapparaît, mais en situation de celui qui a le contrôle de l’initiative, en même temps qu’il en est le plus grand rentier. C’est lui qui convoque son opposition et son parti et leur dit de « dialoguer ». Il a certainement une longueur d’avance sur l’opposition, car cette invite au dialogue n’a pas eu lieu sous l’inspiration du moment. Elle a été pensée et réfléchie dans des officines spécialisées. Je suis sûr même que des simulations statistiques de plusieurs scénarios ont dû avoir lieu sur l’ordinateur. Quelle que soit l’issue de ce dialogue incertain, la question de morale politique reste entière. On ne marchande pas un article de constitution. On l’applique et on laisse la place aux autres, quitte à revenir plus tard, si le peuple le décide. Attention donc à l’indiscipline politique au plus haut sommet de l’État.

On pourra ergoter sur le sexe des anges du matin au soir dans le cadre féerique et enchanteur de Kosyam, mais 2 +2 seront toujours égal à 4. C’est une vérité générale toujours vraie. Si le dialogue accouche d’un 5, le peuple réel doutera de l’opposition qui est son alliée objective jusque- là, parce qu’elle est en phase avec le peuple et ses aspirations à une démocratie réelle. Elle joue donc toute sa crédibilité ici en même temps qu’elle est dans le délicat rôle de se légitimer à tout moment car elle doit toujours savoir gérer « sa raison », montrer qu’elle n’est pas une organisation qui ne rêve que plaies et bosses, en même temps qu’elle doit se trouver les ressources pour contraindre le premier animateur de notre état à se soumettre aux règles qui fondent notre communauté de destin. Afin que l’État de droit soit un État qui se soumet au droit de l’État.

Touorizou Hervé Somé, Ph. D.
Sociologie de l’Éducation/Éducation Internationale Comparée
Maître de Conférences (Associate Professor)
Ripon College, Wisconsin
États- Unis
burkindi@gmail.com

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Vos commentaires

  • Le 7 octobre 2014 à 17:04, par d8d8 En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    il y aura le referendum un point c’est tout !!

  • Le 7 octobre 2014 à 17:12, par fidel En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Le peuple s’est toujours exprimé ouvertement lors des différentes présidentielles et je ne vois pas de raison que cela soit le cas encore une fois de plus. Dire que si Blaise se représente il y aura pas de changer de pouvoir alors cela veut dire une fois de plus que le peuple ne veut pas opter pour une autre personne. Blaise est le candidat que le peuple souhaite par excellence pour prendre sa tête alors pourquoi l’en privé. La démocratie ne veut pas dire que le pouvoir doit être changeant mais cela laisse savoir que le peuple a le plein pouvoir de décider de qui va le diriger.

  • Le 7 octobre 2014 à 17:15, par PRESIDENT FONDATEUR En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Merci Mr SOME pour vos riches contributions. Comme vous le dites si bien, « Ceux qui pensent que comme le peuple est « divisé »sur la modification énièmes de notre Article 37 qui se profile à l’horizon, il faille recourir à l’arbitrage du peuple, sont de mauvaise foi. On ne le dira jamais assez. Ils font exprès et c’est pourquoi il n’y aura jamais de dialogue sérieux avec des personnes de ce genre puisqu’ ils refusent de regarder dans le rétroviseur de notre pauvre Article 37 qui a un historique surchargé ». Je voudrais vous rassurez que nous en sommes conscients c’est pourquoi nous refusons de commenter leurs écrits car leurs rôles est d’essayer de nous distraire mais ils oublient que la faculté d’analyse de cette génération consciente est au-dessus de la moyenne. Ce combat est une lutte pour notre dignité et cela n’a pas prix.

  • Le 7 octobre 2014 à 17:15, par Le Patriote En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Belle analyse ! le peuple est prêt pour sa libération finale ! Nous savons également que toute chose à une fin ! C’est au Président de choisir la fin qu’il désire ! lui-même, il le sait qu’il n’est pas Dieu pour défier tout le peuple !

  • Le 7 octobre 2014 à 17:23, par réciproque fausse En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Vous voulez donc insinuer par là que vous êtes mieux placé que n’importe quel Burkinabé vivant sur le territoire même pour discuter de ces questions politiques monsieur Touorizou Hervé Somé,sûrement loin de frontière de votre pays vous n’êtes pas habilité a nous dicter des règles.Les Burkinabés savent a quoi ils peuvent s’attendre a prendre le risque de cette alternance dont vous parlez donc sachez bien que c’est le peuple qui décide de tout dans un Etat de démocratie et ce peuple veut comme président Blaise Compaore.

  • Le 7 octobre 2014 à 17:27, par cogito ergo sum En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Vous savez de quoi qualifie t-on un tel acte mon cher philosophe ?ce qui t’oblige a parler tout en condamnant sa pensée,ça s’appelle de la prostitution intellectuelle,vous savez bien que vous n’êtes pas en phase avec ce qui se passe et vous le dites quand bien même tout ceci dans le but de semer le doute dans nos esprits,ne nous sommes pas dupé et vous le savez,le peuple a choisi le président Compaore et si vous ça vous pose problème vous pouvez aller vous plaindre ailleurs,en tout cas pas sous nos toits !!!

  • Le 7 octobre 2014 à 17:28, par Ziem SOME En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Merci mon frère pour la qualité et le don de soi dans la réflexion à une période charnière de notre vie démocratique où il y a de ces pseudo intellectuels qui ne pensent qu’à leur ventre refusent d’admettre ce qui est vrai. 2+2 font bien 4 et non 5.

  • Le 7 octobre 2014 à 17:29, par Laure En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Cela me rappel un sujet de philosophie de ma dernier années au secondaire : l’alternance au pouvoir en démocratie est ce qu’est le vent pour le feu. Sans oublier que cette alternance ne devait pas être force mais plutôt une alternance libre mener par le peuple. Dans cette lancé vous conviendrai avec moi que peu de vent ne peut animé un feu et conduira inéluctable vers l’extinction de la braise cependant l’excès de vent aussi nui car elle peut éteindre la flamme. Il appartient à l’homme suivant les cas d’apporter la ventilation nécessaire pour harmoniser le feu. Ne disposant pas du même brasier l’on ne doit pas regarder comment autrui entretient son feu et essayer de faire pareil chez nous. A chaque problème sa solution, laissons le peuple prendre la décision. Allons au réferendum

  • Le 7 octobre 2014 à 17:30, par Passeck En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    RAS ! Claire, limpide et très objectif.
    Malheureusement le camp d’en face a perdu toute raison et nous glissons inévitablement vers un affrontement, si le président ne prend pas son courage à deux mains pour respecter la constitution, ce qu’il a juré devant des dizaines de millions de burkinabè et d’autres citoyens du monde, de respecter et de faire respecter. La valeur d’un Homme se juge sur le respect de la parole donnée, et ce n’est pas moi qui le dit !!!
    Le président Compaoré n’a pa encore compris que le peuple Burkinabè a changé depuis près d’une dizaine d’années, le peuple aspire à une vie meilleure qu’il ne trouve pas dans son présent projet de société, encore moins dans ceux passés. Blaise pense que le peuple fera encore des compromis (pardon, des compromissions) pour le permettre de poursuivre le pillage des ressources communes, la monopolisation de toute la sphère économique par une poignée de gens acquis à sa cause, au nom d’un prétendu PAIX, STABILITE. NON, NON et NON. Cela n’est plus possible car nous avons été dupés pluiseurs fois...On nous a déjà piétiner les testicules. Ce temps est révolu et nous sommes tous débout comme un seul Homme derrière l’opposition qui fait notre fierté.
    Si le refus du peule de laisser modifier l’article 37 doit nous conduire à des affrontements, puisque c’est ce que le parti au pouvoir tente de brandir, qu’on y aille, qu’on aille au charbon, qu’on tue nous tous afin que nous puissions aspirer à des lendemains meillleurs, afin que nos enfants puissent vivre dans un Burkina où il seront jugés sur leur mérite et non sur leur appartenance à un groupe, à une famille.

  • Le 7 octobre 2014 à 17:30, par gros bras mince En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Vous ne comprenez toujours donc pas que le référendum est inévitable dans tel cas de figure,il ne s’agi pas de parler il faut arriver a convaincre l’opinion et je ne vois aucun argument qui puisse tenir pour le "non au référendum"

  • Le 7 octobre 2014 à 17:32, par NGaw En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Allons au référendum et arrêtons les discutions inutiles ! Juridiquement acceptable ou pas chacun l’interprète en sa faveur en fonction qu’il soit pour ou contre.il faudrait donc laisser le peuple s’exprimer !

  • Le 7 octobre 2014 à 17:34, par la fille du capo En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Mon cher Hervé Somé,ne pensez donc pas que c’est avec ces genres d’écrit que vous compter détourner le regard du peuple,ce regard qui juste et justifier par chacun de nous,c’est un regard fort et droit pour n’est pas dire que fou et droit comme foudroyant.Il est donc impossible pour vous de détourner ce regard,vous comprenez ?

  • Le 7 octobre 2014 à 17:34, par Laurentine En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Cet article est plus qu’une aveu de faiblesse ! Demander au président de se retirer pour garantir a votre candidat ne serait ce qu’une chance d’arrivé en finale des présidentielles montre clairement M Somé que votre candidat n’a même pas la considération du peuple souverain. Un homme armé qui tue un homme désarmé est plus qu’un lâche.

  • Le 7 octobre 2014 à 17:36, par NGaw En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Allons au référendum et arrêtons les discutions inutiles ! Juridiquement acceptable ou pas chacun l’interprète en sa faveur en fonction qu’il soit pour ou contre.il faudrait donc laisser le peuple s’exprimer !

  • Le 7 octobre 2014 à 17:37, par entre juge et parti En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Juste un vendeur d’illusion ce monsieur,il nous crois toujours dans les années 600 ou quoi ?Tachez de comprendre que rien ne peut contre la volonté du peuple comme vous le dite mais seulement vos verres sont en l’envers quand vous essayer de nous faire comprendre le contraire.

  • Le 7 octobre 2014 à 17:39, par GHETTO LOVE En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    De puis cette histoire de référendum certain se sont révélé de vrai conteur voir même de vrai historiens. C’est monsieur par enchantement veulent dire qu’ils n’ont pas de date de naissance mais que les autres en ont. 27 ans de pouvoir sans partage comme vous le dites mais toujours dans la consultations populaire n’est pas signe de royauté ni de monarchie mais de confiance. Ne soyez pas frustré si personne ne vous fait confiance dans votre vie !

  • Le 7 octobre 2014 à 17:41, par kaboré ludovic de tanghin En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Tous dans ce pays souhaitons une vie sans conflit dans ce pays que nous aimons tant .Faut -il ajouté qu’il est inconcevable que des personnes osent s’opposer au droit absolu du peuple qui n’est rien d’autre que celui de la libre expression .D’aucuns se lèvent se jouant l’avocat du peuple pourtant ce peuple là est à mesure de s’exprimer sans avoir recours à qui que ce soit .D’où la nécessité du référendum

  • Le 7 octobre 2014 à 17:43, par Ernesto DJEDJE En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    "Pour ça au moins, il n’est pas nécessaire d’avoir une boule de cristal pour le savoir"peut être pour les autres mais en tout cas pas vous,vous vous avez besoin de plus qu’une boule de cristal après de tel écrit cela est d’autant plus évident,vous ne voyez pas donc que vous êtes hors sujet !!!

  • Le 7 octobre 2014 à 17:43, par fidel dillo En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    les gros mots logue en plain air , libérez le passage ,le referendum arrive , il ne freinera pas vive le referendum

  • Le 7 octobre 2014 à 17:44, par D8D8 En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Les règles edictées par la loi fondamentale s’ impose à tous,par conséquent,sambiissi,la consultation populaire s’impose à tous san exception !!!on ne peux pa faire mieu,et il fo stoper tous ces verbiages inutiles sur une question déjà tranchée par l peuple.

  • Le 7 octobre 2014 à 17:45, par tché En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    C’est dans quelle démocratie ou l’opposition impose ses choix à un président démocratiquement et légitimement élu ? c’est la démocratie inversée chez nous, ou la minorité décide à la place de la majorité. Messieurs les démocrates de l’opposition burkinabè nous ne sommes pas au Gondwana, ici c’est le Faso et au Faso c’est la majorité qui décide des orientations politiques et démocratiques du pays. Chercher d’abord à être majoritaire à l’Assemblée Nationale avant de penser à imposer vos visions et opinions.

  • Le 7 octobre 2014 à 17:46, par ousseni ouédraogo En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Monsieur Some savez vous pourquoi les enfant confonde les historiens avec les vestiges du passé ? Non tout simplement parce que les historiens tout comme vous ne trouvez jamais les solutions aux problèmes pendant qu’elles sont toujours d’actualité vous préférez venir conter comment les solutions ont vue le jour après que le problème soit résolu. Le peuple a besoin d’homme pragmatique technocrate pas de rêveur ni d’historien !

  • Le 7 octobre 2014 à 17:54 En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Merci Mr SOME pour cette belle analyse. Que le SEIGNEUR vous bénisse pour cette lutte pour la vraie démocratie. Rien n’oblige de modifier la constitution. L’ équation est très simple : Mr Blaise doit respecter la constitution, tout le monde sera en paix. La constitution ne sera jamais modifiée à cause d’une seule personne nous ferons obstacle si toute fois il y a un passage en force. La mobilisation continue toujours avec plus de force et de détermination. Nul n’est indispensable pour son pays. Au Burkina, les compétences sont très nombreuses pour diriger ce pays qu’on aime. Le peuple ne va pas donner ce boulevard pour qu’il soit président à vie. Seule la lutte paie et offre de grandes victoires à un peuple en souffrance. Nous restons mobilisés et prêts pour la grande victoire.

    QUE LE BURKINA BÉNISSE LE BURKINA. AMEN
    PAIX ET JOIE A TOUS LES BURKINABÉS. AMEN

    NON AU REFERENDUM
    NON AU SÉNAT.
    NON A LA RÉVISION DE l’A37
    NON AU POUVOIR A VIE D’UN PRÉSIDENT
    VIVE LE PEUPLE BURKINABÉ
    VIVE LA DÉMOCRATIE A 2 MANDATS
    VIVE L’ALTERNANCE 2015

    ACHILLE TAPSOBA LE BOBOLAIS

  • Le 7 octobre 2014 à 17:54, par commando invisible En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Si c’est a cause du référendum que vous êtes en train de vous agiter comme ça,sachez que ce n’est pas la peine,le train est déjà en marche et d’en peu de temps nous irons nous affronter dans les urnes,vous ferriez mieux de vous préparez au lieu de rester là a écrire de telle sottises.

  • Le 7 octobre 2014 à 17:56, par l’immigrant En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Ma question s’adresse vraiment a ceux qui sont pour le referendum.Pourquoi vous y tenez ?est-ce parce que vous etes prets a bourrer les urnes pour que le "oui"passe ? et si le contraire se produisait au cas ou vous n’aurez pas le temps de tricher ?Pensez-y.Vous etes confiants mais le contraire peut se produire.Ne dites jamais jamais.Vos machinations ne marchent plus.

  • Le 7 octobre 2014 à 17:58, par Dèguè braisé En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    " Ni le génie du président, ni sa pondération, ni son flegme devant les situations stressantes, ni sa capacité d’ écoute, ni ses succès éclatants sur le plan du développement économique..."vous voyez à tel point cet homme est irremplaçable et incontournable pour le Burkina,on vous sera trè reconnaissant si vou enllévé tou simplma les "ni,ni,ni" !!!!!!!nous soutenons le président dan tous ses projets...

  • Le 7 octobre 2014 à 18:03 En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Encore merci Professeur

  • Le 7 octobre 2014 à 18:03, par francesco En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    j’ai beau cogité je n’arrive pas a comprendre ce discours sans tête qui début comme à l’accoutumé par un cours d’histoire puis sans transition on aboutit à une conclusion dérisoire. Monsieur Somé 1+1 n’a jamais été à 11 dans notre monde ! Et puis quand on est en tore il faut savoir demander le pardon

  • Le 7 octobre 2014 à 18:03, par Commandant guéreuss En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Négociation ou pas ! nous irons au référendum car le président a tendu la main pour trouver un terrain d’entente mais vous avez refuser .sachez qu’il n’y a pas de négociation possible avec des rebelles .Le référendum ou rien

  • Le 7 octobre 2014 à 18:07, par Yeux ouvert En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Touorizou Hervé Somé, vous pouvez garder votre opinion pour la république du Gondwana. Mais au Faso, c’est la majorité parlementaire qui décide des voies politiques à suivre pas la minorité.

  • Le 7 octobre 2014 à 18:14, par vérité no1 En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    @yeux ouverts où fermés, de quelle majorité tu parles ? Reviens sur terre très rapidement. Bel écrit professeur, rien à ajouter.

  • Le 7 octobre 2014 à 18:20, par electron 1er En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Ne dit-on pas que la démocratie c’est le choix du peuple par le peuple et pour le peuple ?La seule personne personne habilité a dire au président de quitter c’est le peuple et c’est ce même peuple qui veut montrer qui va aller voter pour dire oui ou non au référendum,franchement je ne vois pas en quoi cela pose problème ?

  • Le 7 octobre 2014 à 18:26, par Le berge En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Le pouvoir est au peuple, ou bien aviez vous oublié la définition du mot démocratie. La démocratie c’est l’exercice du pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple. Alors pourquoi refuser au peuple son exercice du pouvoir. Seul le peuple est souverain. Alors au référendum pour que le peuple souverain s’exprime dans la liberté et dans la fraternité.

  • Le 7 octobre 2014 à 18:46, par Tifis En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Mr en Ph D, vous philosophez, la réalité est autre. On dit très souvent que quand les dogmes, les théories et la réalité se croise c’est la réalité qui l’emporte. La réalité est qu’une partie du peuple burkinabè veut un référendum sur l’article 37 de la constitution et l’autre partie n’en veule pas. Il faut bien un moyen pour départager les deux camps et ce moyen est prédit dans constitution et c’est au président du Faso d’en décider du moyen à utiliser pour départager la classe politique.

  • Le 7 octobre 2014 à 18:48, par Burkinabé que toi En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Nous sommes dans un Etat de droit et dans tel cas tout le monde devra se plier aux verdicts des urnes et empêcher le peuple d’aller faire son choix ne fait pas parti des règles du jeu établie. Évitons les tracasserie et les discours inutiles qui pourront mettre en péril l’unité et la paix sociale et allons au référendum !!!!

  • Le 7 octobre 2014 à 18:52, par Commandant guéreuss En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    chers opposants vous pouvez toujours courir , faire de chandelles , équilibre-fessiers ,en un mot la gymnastique mais le référendum sera la dernière épreuve avant la présidentielle de décembre 2015 .

  • Le 7 octobre 2014 à 18:56, par Atito En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Vive le référendum pour la démocratie. Vive la démocratie pour la paix. Vive la paix pour le bonheur des citoyens.

  • Le 7 octobre 2014 à 18:56, par faris En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Yeux ouvert Somé est entrain de négocier pour sa candidature soutenu par le président actuel. Il sait bien que sa femme n’a pas confiance en lui a plus forte raison le peuple. Le seul problème c’est que ce monsieur s’y prend mal. Vraiment pahtétique de son vivant l’on dira qu’il n’avait pas de matière grise

  • Le 7 octobre 2014 à 18:57, par 100 parti En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    C’est le peuple qui détient les clefs de cette issu,empêcher le peuple d’aller se décider ne résous pas le problème,en tout Etat de cause il faudra laisser le peuple aller faire son choix,c’est le seul choix qui s’offre a nous pour que cette crise de dégénère pas.

  • Le 7 octobre 2014 à 19:00, par Nguess En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    mais mister,où etiez vous ?l’actualité à évoluer et on est plus au stade de dialogue !!!olala,ne me dites pa que vou etiez che les "amazones" au point d’oublier votre article.ah,les filles de joie quand tu nous tiens !!!!!!!!

  • Le 7 octobre 2014 à 19:05, par vérité no1 En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    @Tifis, la réalité est que personne ne veut le référendum !

  • Le 7 octobre 2014 à 19:06, par un mot aux commentateurs ! En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Eviter de dire ’’nous’’, ’’on’’, et tous ces mots qui emportent tout le monde dans vos écris. Dites plutôt ’’je’’ car l’avis est partagé. Et à ce que je sache le monde en général et un pays en particulier ne s’est jamais construit grace à l’intelligence d’un seul homme avec petit ’’h’’. méditez en bien !!!

  • Le 7 octobre 2014 à 19:06, par Ernesto DJEDJE En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    " Quand le singe voit un beau fruit dans l’arbre et qu’il ne peut s’en saisir, alors le singe dit que le fruit est pourri" nous enseigne une sagesse Africaine,vous pouvez traiter de tout le nom le référendum mais le plus important est qu’il ait lieu et il aura lieu !!!

  • Le 7 octobre 2014 à 19:33, par panga En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    VRAIMENT INADMISSIBLE POUR TOUTE PERSONNE ( CDP, FEDAFBC, ASSOCIATIONS AFFILIEES AU CDP, LES PARTIES DE LA MOUVANCE......) QUI VEUT UNE PRESIDENCE A VIE POUR BLAISE PAR LE TROUPATOUILLAGE DE LA CONSTITUTION.

    ET SI BLAISE N’EST PLUS ON MODIFIE LA CONSTITUTION POUR REVENIR A DES MANDATS LIMITES OU ON FAIS QUOI ?

    VRAIMENT SI CE N’EST UNE DECADENCE INTELLECTUELLE ET UN ESPRIT DE JE M’EN FOU DE L’AVENIR DU PAYS (BURKINA FASO) ON NE PEUT COMPRENDRE CES GENS QUI VEULENT ORGANISES UN REFERENDUM POUR MAINTENIR BALISE AU POUVOIR.

    LES BURKINABES DOIVENT SE DECIDER DU SORT DE CES GENS QUI NE PENSENT QU’A LEUR VENTRE ET NON L’AVENIR DE LEUR FRERES ET DE LEUR DESCENDENCE.

    DE TOUTE FACON LE PEUPLE INTEGRE EST PLUSQUE VIGILANT.

  • Le 7 octobre 2014 à 19:38, par wendyam En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    J’ai lu avec intérêt le document de Monsieur. Le problème avec nos intellos c’est parce qu’ils sont déconnectés de la réalité et se laissent aller à des théories qui cadrent pas toujours avec le terrain. Oui à la DEMOCRATIE. Mais pourquoi voulez-vous Monsieur le Sociologue une Démocratie sélective. Si l’article 37 fait partie de la Loi fondamentale dont le respect s’impose à tous pourquoi refusez-vous d’appliquer ces dispositions reférendaires au motif que ce scrutin profiterait à un individu dont l’intérêt ne saurait être considéré comme national. Qui vous dit que le peuple burkinabè ne considère pas l’intérêt de Blaise comme son intérêt ? aucun instrument ne vous permet de l’affirmer sauf opposition à l’homme où à tout le moins à son maintien à la tête de l’ETAT. Si tel est le cas alors vous vous allez contre l’intérêt de ce peuple au nom de qui vous prétendez parler. ce qui est une imposture.

  • Le 7 octobre 2014 à 19:42, par Rhidock En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    je ne me fatigue de vous lire a chaque fois q’un écrits de vous apparaît sur le faso.net. Vous êtes un intellectuel complet en atteste la lucidité et la perspicacité de vos analyses. toute personne censée comprendra qu’un dialogue de ce genre n’a aucune chance de succès. négocier la sortie de Blaise Compaore serait logique mais remettre en cause la constitution afin de permettre a cet individu de s’éterniser au pouvoir ne saurait être question d’aucun compromis. merci mr Some et continuez a nous éclairer et a dénoncer la dérive de ce régime.vive l’alternance.

  • Le 7 octobre 2014 à 20:05 En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    si vous avez les couilles solides alors donnez la date du référendum on va voir qui est peuple et peuple.

  • Le 7 octobre 2014 à 20:19 En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Je constate que le professeur a raison quand il avance que ceux d’en face n’ont point d’arguments a lire attentivement les posts des va-t-en au référendum. Le probleme fondamental est l’homme est-il celui qui doit réfléchir ?
    1- Quelqu’un a fait un raisonnement
    2- On doit raisonner ou contre-raisonner, a la limite applaudir ou pleurer mais pas faire hi-han comme des anes.
    IL EST DONNE A L’HOMME SEUL DE REFLECHIR ET AUX ANES SEULS DE BRAIRE.
    Alors, etre ane ou homme, faites vos jeux.

  • Le 7 octobre 2014 à 20:29, par sihda la sihda En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    si on continuai de te barrer la route pour ne pas que tu laisse passer ton article était encore plis mieux,car tes écrits ne sont que des histoires et non ce qui reflète de la réalité.
    sur cette question de référendum il faut que tu sache que c’est le peuple qui décidera et non les animaux et si le peuple veut un référendum je ne vois pas en ou le problème se pose.cependant,ceux que tu estime au temps n’étaient pas avec celui que tu prêtant voir dans toute les modification de la constitution ?
    ce référendum nous allons l’organiser et voir si le peuple ne veut plus encore de la candidature de Blaise.

  • Le 7 octobre 2014 à 20:37, par avion dans sac En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    le titre de son article ne dit pas la vérité mes chers internautes,comment il peut se permettre pour parler ainsi de notre très beau pays.le Burkina a toujours ete un pays de paix et de développement,et si on a des individus qui vienne nous écrire des histoires comme celui de ce Mr vraiment il mérite une sanction.
    maintenant concernant le fond de son article il lui dire que le Burkina est un pays de droit dans le pays ou il se trouve,que ce que doit primer dans de pareil circonstance c’est l’application de loi en passant pas le respect de la constitution burkinabé.

  • Le 7 octobre 2014 à 20:59, par la mer dans verre En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    que ce Mr arrête de nous donner laisser des messages comme ce qu’il vient de laisser sur faso.net. un écrit dont le contenu ne nous enseigne rien de nous mais ne fait que chauffer nos oreilles avec cette histoire que le référendum est l’intérêt d’un seul individu.mais la il faut lui dire que c’est le peuple qui ira se prononcer dans les urnes et non se lever et dire que c’est un tel qui a remporter les élections du référendum. et comme nous somme dans un pays ou le droit doit primer je pense bien que cela doit être appliquer dans un délai très bref,pour libérer le peuple sur cette question de référendum.

  • Le 7 octobre 2014 à 21:27, par django tom En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    salif doit comprendre que le peuple burkinabé sait ce qui est bon pour lui .Il n’a pas besoin d’un avocat auto-proclamé qui vienne lui dicté ce qui est bien pour lui .arrêtez de vous déguisez en ange pourtant vous êtes des avocats du diable qui ne cherchent qu’à satisfaire des désirs personnels .

  • Le 7 octobre 2014 à 21:35, par who are you ? En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Naturellement les intellectuels veulent abuser de l’ignorance des moins instruits quoi !! Monsieur le PhD je m’inscrit en faux la définition que vous avez donnez au terme Etat de droit. Thomas Hobbes disait : A l’état de nature l’homme est un loup pour homme , il voudrait sans doute énoncer le fait que l’homme entant qu’animal , représente un danger pour son semblable , ce danger venant du fait de la volonté de chaque individu de dominer son prochain .Face à cette menace que chacun représentait pour l’autre ,l’homme trouva la nécessité de se mettre en groupe pour pouvoir faire face aux menaces aux dangers extérieurs d’où la naissance de la société , cette société s’érige au fil du temps en Etat pour plus de structure . Mais l’Etat diffère de l’Etat de droit , L’Etat c’est un territoire , une population et un pouvoir central ainsi les empires sont dans dans la forme des Etats .L’Etat de droit lui , selon les mots de Hans Kelsen : "Etat dans lequel les normes juridiques sont hiérarchisées de telle sorte que sa puissance s’en trouve limitée".De cette définition du juriste , on peut en déduire les éléments qui caractérises l’Etat de droit .Ce sont en effet,la hiérarchie des normes ; La séparation des pouvoirs ; l’égalité , la soumission de l’Etat et la responsabilité des gouvernants face à leur actes et décisions .C’est ça l’Etat de droit , votre énoncé ne donne que l’historique du regroupement social . De l’incitation au désordre , cher monsieur , l’évolution d’une société ne saurait passé par sauts brusques , il faut donc un processus Madeleine Grawitz ne dira pas le contraire car la société évolution en fonction de la compréhension des individus qui la compose or toute recherche de compréhension est assortie d’une démarche scientifique .Ainsi que vous dites aux citoyens qui ne savent rien du processus de réclamation des libertés sans toute fois les dire le comment et dans quelles conditions vous inciter a l’anarchie, Monsieur le PhD sociologique votre démarche est erronée , cordialement

  • Le 7 octobre 2014 à 23:04, par 2015 : la fin de l’aventure En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Ce qui me fait honte, c’est de vouloir gaspiller plusieurs dizaine de milliards pour un référendum à cause d’un seul individu sur 17 millions d’habitants. Alors, que la moitié de la population vit toujours dans la misère depuis 27 ans de pouvoir solitaire de Blaise Compaoré et de sa famille et comparses. Les lendemains sont incertains et si le scénarii à la sauce nigérienne se reproduisait, Blaise se serait fait hara kiri tout seul. Mais, comme il ne veut pas appliquer à lui-même les bons conseils qu’il a donné à d’autres présidents, il ira s’écraser totu seul contre son mur de la honte.

  • Le 7 octobre 2014 à 23:10, par l’espoir En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Et, si demain, Blaise meurt d’une crise cardiaque, est-ce à dire que le CDP n’aura pas de candidat valable ? Ces forumistes cdpistes me dégoutent de plus en plus ! Vous n’avez pas honte les CDP ou lampiste de service de cautionner Blaise Compaoré qui aura à ce jour exactement passé la moitié du temps depuis notre indépendance (54 ans) comme président ! et pour quel résultat, toujours avant dernier sur l’échelle mondiale du développement humain et, on ose encore nous casser les oreilles avec l’émergence.

  • Le 8 octobre 2014 à 01:12, par Zereson En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Je voudrais rappeler à ceux qui sont assis sur leur conscience que Blaise Compaoré n’est pas arrivé démocratiquement au pouvoir.Le jeudi 15 Octobre 1987 à 16h c’était pas des élections qui ont eu lieu mais une haute trahison où le PF Tom Sank a été assassiné.Les 27 ans de règne de BC datent de ce jour.
    Tout ceux qui demandent d’aller au référendum que cela est impossible à l’heure actuelle eu Faso.Je ne vois pas qui peut risque sa vie en allant s’asseoir dans un angle mort avec une urne que ya référendum.La personne ne sortira pas vivante de ce lieu.

  • Le 8 octobre 2014 à 03:39, par vérité absolue En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    choisissez la date du referendum et verrez que les frontières seront à des années lumières pour vous. bandes de voleurs au pouvoir vos jours sont comptés, amusez vous avec le feu du peuple nous vous avons dans nos viseurs.vous allez le regretter très amèrement.
    dans moi je veus la position de ADF RDA.

  • Le 8 octobre 2014 à 04:04 En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    @r Dèguè braisé, quand est-ce que vous allez comprendre que le Professeur ne dit pas que votre dieu est un genie ? Moi, quand quelqu’ un m’ insulte, je sais. Mais vous au CDP, il faut vous interpeller et vous dire d’ attendre,que vous allez insulter et maintenant quand il insulte vous savez maintenant qu’ il vous a insulter. Vous en comprenez pas vite, hein ! San pa zala, zanan wouman rawa. Le monsieur n’est pas en train de vanter les merites de ton chef. Il dit seulement que ca ca vient de vous les militants zeles. Faut montrer trop votre analphabetisme comme ca.

  • Le 8 octobre 2014 à 07:30, par Moussa En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    LA LOI N’EST PAS RETROACTIVE :
    Meme si le verrou de l’article 37 sautait aujourd’hui, Blaise Compaorene peut pas etre candidat !!! La Loi n’est pas retroactive !!!. Il a deja beneficie de ce principe quand ca l’arrangeait en 2010 et le Peuple pacifique du Burkina Faso a dit oui. Cette fois-ci il ne peut plus en beneficier. Le people pacifique du BF dit non. Non signifie NON. et OUI signifie OUI. Cette fois-ci c’est NON NON et NON a la candidature de Blaise Compaore en 2015. Qu’il revienne en 2020 s’il veut.

  • Le 8 octobre 2014 à 07:45, par l’espoir de lendemains meilleurs En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    La vérité va bientôt arriver. Si la loi devient rétroactive par un coup de baguette magique demain avec le conseil constitutionnel, le Peuple saura se lever pour dire NON et les chasser du pouvoir comme d’autres présidents usurpateurs du pouvoir à vie. Et, il aurait un doigt accusateur sur les potentiels tueurs du juge Nébié qui dérangeait beaucoup par ces positions comme un certain Zongo en 1998.

  • Le 8 octobre 2014 à 10:40, par l’enfant du pays En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Je dis Oui au REferendum. c’est une gaz de paix, de stabilité et de l’avancement de la démocratie dans notre pays.

  • Le 8 octobre 2014 à 11:58, par je veux un changement En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Vous me faites honte tous ceux qui me dises que un être humain est irremplaçable. Est-ce un éternel ? Il faut nous dire que vous plaidé pour votre propre intérêt égoïste wèè.Mais je vous garantie que vous aurez tous aux lèvres un jour que si je savais. Parce que nous sommes presque sous l’horizon du changement .

  • Le 8 octobre 2014 à 14:37, par oued En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    il peut mettre qui il veut dans sont CDP et revenir prendre son fauteuil en 2020 c est plus intelligent sinon il gagne rien en grandeur en modifient des article

  • Le 8 octobre 2014 à 16:43, par Tchefari En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    On sent une réaction en chaine des journalistes CDP suite à al réunion de Ziniaré, cela ne peut pas empêcher la réalité de se produire.

  • Le 8 octobre 2014 à 17:07, par Gnamnati En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Je pense tout simplement que la tenue d’un réfurendum finira pas diviser notre pays pour toute son histoire parce que tout simplement, aucun camp n’acceptera les résultats. Donc, soyons sages et sachons ce que nous voulons pour notre pays. Personne ne pourra encore diriger ce pays si le réferendum est organisé à cause des nombreux mouvements de contestations qui vont mettre la paix et la cohésion sociale en péril. Si vous voulez, essayez voir ! Blaise et sa compagnie vont fuir et vous laisser avec vos problèmes ! Restons hommes intégres et laissons les choses en l’état !

  • Le 8 octobre 2014 à 18:29, par KANKOUN En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Le Burkina est riche des ses filles et fils. Oui, c’est une vérité vraie et Monsieur SOME en est un exemple parmi temps d’autres. En tout cas pour ma part, je reconnais la valeur de l’homme intègre et la pertinence de son argumentation dans cette analyse de la situation nationale. C’est pourquoi il est étonnant de voir certains burkinabè au XXlème siècle penser qu’il n’y a que Blaise COMPAORE, le seul capable de diriger ce pays. Cette catégorie de personnes en cour d’arguments ne font que nous chanter le mot PAIX comme si on était en guère, pour justifier le maintient de Blaise au pouvoir au delà de 2015. Haba ! Yaa-ya boing. On est oùuuu làaaa ? Ils ont tout essayé jusqu’à présent, ils n’ont pas encore réussit à pousser l’opposition dans l’erreur (marches, meeting sans casses...) qui leur serait profitable. Après des tapages médiatiques et comme le temps joue en leur défaveur, c’est pour finir par dire à l’opposition de venir on va dialoguer parce qu’on ne s’entend pas. On va dialoguer sur quoi ? Ou encore, On ne entend pas sur quoi ? La patrie ou la mort, nous vaincrons. Merci camarade.

    KANKOUN

  • Le 8 octobre 2014 à 19:16, par rapugumpanga En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    belle analyse mr somé . la modification de l’article 37 de la constitution va engendrer la violation de toutes les lois dans ce pays. la désobéissance civile et la violence sera la réponse a cette violation . le pays sera dans un désordre total. Blaise compaore partira en 2015 de gré ou de force.

  • Le 8 octobre 2014 à 19:29, par ERAS En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    LES JURISTES ONT BIEN DIT QUE "LE REFERENDUM DOIT ETRE L’OBJET DE CONSENSUS POUR QUE LE P.F APPELLE LE PEUPLE AU REFERENDUM." A BON ATTENDEUR SALUT !

  • Le 8 octobre 2014 à 20:39 En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Franchement quand je lis certaines réactions j’ai envie de pleurer à chaudes larmes. Des intellectuels (ou qui se disent tels) qui écrivent comme des enfants au CE1. Ils sont accrochés aux ailes d’un seul individu comme des chauve-souris sur un arbre parce que tout simplement celui-ci leur laisse la latitude et tout le privilège de piller le peuple et c’est sur le dos de ce même pauvre peuple qu’ils s’appuient pour se maintenir au pouvoir.
    Sachez que tout à une fin. Vous pensez que Blaise est un Dieu pour vous, qu’il est irremplaçable, mais vous oubliez qu’il n’est pas né président. Il l’est devenu et comment ? Si vous pensez que la vie que vous menez est un paradis, faites un tour à l’extérieur et vous vous rendrez compte que votre pays est devenu une poubelle au bout de 27ans de règne de votre messie. Et ce qui me fait le plus mal dans tout ça, c’est que je me rends compte que vous de la majorité êtes devenus comme des moutons qui broutent là où ils sont attachés ; sinon c’est vous qui devriez être les premiers à vous battre pour l’alternance parce que parmi vous il y a aussi des hommes et des femmes capables de diriger au lieu de vous focaliser sur un seul individu (serait-il créateur du parti), autour de qui vous être prêts à tout. Vous ne savez pas, il partira bon gré mal gré. De toute façon vous avez usurpé des même ruses pour le maintenir au pouvoir en 2010 avec vos histoire rétroactivité. Mais cette fois-ci le même peuple dont vous chantez le nom tous les jours vous montrera le chemin à suivre. Je sais que les gens se réveillent petit à petit et vous aurez du mal à les endormir à nouveau. Ce que vous ne savez pas, ce que votre Blaise même va vous laisser en cours de route sous la pression du peuple conscient. Car le peuple ne saurait élire quelqu’un indéfiniment, alors ce même peuple avait déjà tracé la voie à suivre par celui-ci. S’il quitte cette voie, il rentre directement dans l’herbe ; et ce sera dommage et pour lui, et pour son pays. J’espère qu’on en arrivera pas là. Vous aussi de la majorité, aidez-nous à vous aider. S’il vous plait n’induisez pas ce brave monsieur en erreur. On sait qu’il est venu de façon peu honorable, mais permettez-lui une sortie honorable quand même.

  • Le 8 octobre 2014 à 21:24, par LeGrandSalfo de 1erGaou n’st pas Gaou En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Tu as raison, Tchefari. Les journalistes de Ziniare, tous dotes de tablettes, sont en boule. Ils onr decide de tomber sur SOME a bouches raccourcies mais ils n’ ont pas d’ arguments, toujours pas d’ arguments. C’est pas partout on peut mener des discussions.

    Le Grand Salfo de 1er Gaou n’est Pas Gaou.C’st 2eme Gaou qui est zingnare.

  • Le 8 octobre 2014 à 21:29, par C.Z. En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Merci, merci Some. On s’est bien connus a Nouna et je suis tres content de voir que tu n’as pas varie par rapport a tes points de vue percutants. Tu es vraiment un homme de conviction. Tu as de la suite dans les idees. Tu peux avoir tord mais j’ ai du respect pour des hommes cette trempe.
    Moi je sers presentement hors du pays aussi. Encore une fois merci pour tes contributions nombreuses et aussi significatives les unes que les autres.

  • Le 8 octobre 2014 à 21:48, par l’espoir de lendemains meilleurs En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    A quoi sert le référendum aujourd’hui ? à rien, puisque la loi n’est pas RETROACTIVE à moins de passer en force par un "genre de coup d’état constitutionnel". Seulement, nous sommes en 2014/2015, le peuple aujourd’hui par sa jeunesse n’est plus le même qu’en 1987. Donc, on ne risque qu’une instabilité pour les beaux yeux d’un seul individu sur 17 millions de burkinabè. Est-ce que le jeux en vaut la chandelle ? NON.

  • Le 8 octobre 2014 à 22:18, par Gninlé En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Monsieur Somé, merci pour votre contribution.
    Que la bêtise de certaines réactions ne vous décourage pas.
    Ces gens n’ont pas conscience de leur esclavage.
    On comprend qu’on ait pu dire sous d’autres cieux
    que les Noirs sont des esclaves par nature.
    Il est de notre devoir de forcer les burkinabè à être libres !

  • Le 8 octobre 2014 à 23:18, par C.Z. En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Francesco, tu ne vois pas que ce discours de haut vol n’est pas fait pour des individus qu’ on utilise comme des kleenex comme toi ? Un ecrit a toujours sa cible. FaUt pas avaler noix de coco, deh ! Tu es sur de ton anus ? sI CA VA DESCENDRE, CA PEUXT NE PAS SORTIR. NGAW ! Ce texte est ecrit pour ceux qui ont le courage de faire tourner leur tete. Tu vois, tu es presque le meme individu qui ecrit les memes choses pour dire que le Professeur raconte es histoires, qu’ il est historien. Tu as quoi contre l’ histoire, toi ? Tu sais, les dictateurs n’ aiment pas l’ histoire et les historiens. Ils mettent en lumiere tous les evenements qui ont concouru a la mise en place des dictatures et cela arme les populations pour les futurs dictateurs et leurs larbins comme toi. C’est grace a l’ histoire que toi et ton parti et son president n’rrivent pas a mettre sur place le senat depuis plus d’ un AN. ET C’EST ENCORE GRACE A L’ HISTOIRE QUE VOUS AVEZ PEUR DE NOUS FIXER UNE PETITE DATE POUR VOTRE REFEREN-BOEN ?

  • Le 8 octobre 2014 à 23:35, par Douda Dou En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    @Who are you, vous pouvez apprendre d’ abord le francais avant de contredire ce que vous n’ avez meme pas compris ? On sent que c’est votre cours de droit mal assimile que vous tentez de recopier ici. Vous etes partisan de Hobbes ? C’est votre droit. Mais sachez qu’ aucun democrate ne va epouser les conclusions qui decoulent de la these de Hobbes. Connaissez- vous la difference entre Hobbes et JJ. Rousseau ou John Locke ? Pour Hobbes, le fait que le souverain quarantisse nos vies deja est suffisant. Meme s’ il devient un tyranneau, il faut faire avec car on pourrait avoir pire.Un petit conseil : Les democrates citent Locke et Jean Jacques Rousseau pour supporter leur argument democratique. Pas Hobbes. Hobbes n’et pas un democrate. Vous avez appris le dou da mais en tant que messager presse qui se met en route avant meme de bien comprendre le message, vous etes parti sur la tangente en oubliant que le dou da n’ est pas suffisant car il est neutralise par le dou, le troisieme element qui complete la boucle, mais ca aussi, c’est trop fort pour votre esprit cre-pus-cu- laire.

  • Le 9 octobre 2014 à 04:58, par Tampy Ran En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Wendyam, apres avoir raconte n’ importe quoi, vous n’ avez pas honte de jouer au faux type ? Vous osez dire ces betises devant votre fils de 8 ans ? Mais il dira que Papa est un con. Dans ce cas, vous ne pourrez meme pas vous facher car il a trouve le mot doux pour vous qualifier.

  • Le 9 octobre 2014 à 05:03, par Roger Belem En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    Quand nous on parle, on dit on prle mal.Mais Blaise ne peut plus se presenter. S’ il veut modifie la constitution pour le faire, on va lui montrer qui a mis l’ eau dans l’ oeuf ou bien qui a mis l’ eau dans noix de coco. Ya quoi meme ? 27 ans au pouvoir comme s’ il etait le plus intelligent des burkinabe. Essaye solment , tu vas vois que petit marteau casse gros cailloux.
    On est fatigue mainant.

  • Le 9 octobre 2014 à 05:05, par Argument Kabeyi En réponse à : Le Burkina Faso, un État qui déroge au droit de l’État ?

    messieurs les CDPistes, tout le monde sait que vous n’ avez pas d’ arguments mais faites un effort. Ne racontez pas des blablabla on dirait que vous n’ avez meme pas pase plus de deux ans a l’ cole. Vous n’ honorer un parti sans etre capable de soutenir de faon polie et coherente un debat.

    Sinon on vous dira dans la rue que vous n’ avz pas d’ ARGUMENT.

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