Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
A travers cet écrit, mon objectif n’est pas de prendre parti pour qui que ce soit, car l’intérêt de la nation doit primer sur nos intérêts partisans. Si le dialogue en soit n’est pas une mauvaise chose alors pourquoi pas élargir le champ des discutions pour trouver un vrai consensus avec l’ensemble du peuple burkinabé.
Aujourd’hui le pays est à la croisée des chemins et nous devrions trouver le moyen de rebondir car nous n’avons ni les moyens, ni l’intérêt d’une grave crise au Burkina.
Aujourd’hui tout se cristallise sur l’alternance ce qui n’est pas mauvais en choix pour permettre l’émergence de nouvelles idées.
Au niveau du parti au pouvoir, ils estiment que le peuple voudrait l’actuel président. Alors que les partis de l’opposition estiment représenter la grande majorité du peuple.
Tout ceci crée la cristallisation parce que le pouvoir est concentré entre les mains d’un seul individu. Pourquoi ne pas changer les règles du jeu pour répondre aux exigences du moment. A savoir la mise en place d’un régime parlementaire en lieu et place du régime présidentiel qui concentre les pouvoirs aux mains d’un seul individu.
De cette façon pour 2015, le Président Blaise Compaoré s’il le désire peut se faire élire comme Président et sera comme le ciment mais n’aura qu’un rôle protocolaire. Il pourra rester à Kosyam encore 2 mandats s’il le veut mais ça sera le premier ministre qui sera issu du parti majoritaire qui va diriger le pays. Il aura tous les pouvoirs sur l’armée et sur l’administration.
Si le premier parti n’a pas les 51% à l’Assemblée nationale alors il sera obligé de s’allier à d’autres partis pour gouverner. De cette façon on aura plus les yeux rivés sur un seul individu en qui nous remis notre avenir.
Aujourd’hui tous ceux qui sont autour de la table ont presque tous dirigé ce pays et sont presque tous responsables de là où se trouve le pays aujourd’hui. Il ne peut y avoir une vraie alternance que si la classe politique est profondément renouvelée.
Beaucoup aujourd’hui se sont rués soit à l’UPC ou au MPP par opportunisme, car voyant peut-être venir la chute du CDP.
Arrêtons un peu de ne voir qu’en dessous de nos nombrils. Nous savons aujourd’hui que des entreprises ont prospéré non pas par la qualité des services rendus mais parce qu’elles ont eu les faveurs au niveau des marchés publics.
Croyez-vous que si l’UPC ou le MPP arrive au pouvoir ceux qui se sont ralliés les premiers ou les commerçants tapis dans l’ombre et qui financent tel ou tel parti ne récolteront pas ce qu’ils ont semé ?
Aucun commerçant ne fait de l’aumône en donnant ses millions à un chef de parti pour s’attendre au paradis, disons le tout haut.
Ne soyons pas naïfs chacun s’attend à amasser plus qu’il n’a semé.
Notre pays n’a pas les moyens de laisser la corruption prendre le dessus.
Des pays comme le Nigeria sont corrompus, mais résistent parce que ce sont des pays avec d’énormes ressources pétrolières.
Nous devrions gérer le peu de ressources dont nous disposons avec sagesse et dextérité.
C’est pourquoi j’invite les négociateurs à ne pas négocier seulement en fonction de leurs intérêts partisans, mais de tenir compte de leur peuple.
Il est temps de passer d’un régime présidentiel à un régime parlementaire. Il en existe en Allemagne, en Israël où le président de la République est élu, mais il n’a qu’un pouvoir de représentation.
Que 2015 ne soit pas une fin en soi pour les négociations, car nous pouvons apprécier à sa juste valeur la décision de Son Excellence Blaise Compaoré d’instaurer un dialogue entre le pouvoir et l’opposition où il sera l’arbitre. Cela dénote de sa grandeur d’esprit, car il a même laissé l’initiative aux partis de définir le cadre des négociations. Pourquoi ne pas saisir l’opportunité pour apporter des amendements en profondeur pour approfondir notre démocratie qui tente de se frayer son chemin ?
Benjamin NABI
Vos commentaires
1. Le 30 septembre 2014 à 20:09, par LOUDEMAN En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Tu étais où quand Salif Diallo a eu à faire cette proposition de sortie du Grand Chef ??
il a été écouté ?????
2. Le 30 septembre 2014 à 20:21, par D.Aristide En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
bonjour je tiens a vous remercier pour le cours sur les régimes politiques. mais en parcourant votre écris je ne peux m’empêcher de soulever une confusion assez grave que vous faite entre le régime PRÉSIDENTIEL comme il en existe aux USA et le système dit PRESIDENTIALISTE comme le notre. Dans le cas du BF il ne s’agit pas d’un régime démocratique mais d’une dictature assoupie car la démocratie aux pays des HOMMES INTÈGRES reste VIRTUELLE..
3. Le 30 septembre 2014 à 20:31, par ELKABOR En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Cher Monsieur,
Votre proposition d’aller vers un regime parlementaire est fort louable. Mais laissez-moi vous rappeller qu’elle n’est pas une nouvelle trouvaille. En effet, cette proposition avait été faite par Salif Diallo afin d’éviter la "patrimonialisation du pouvoir" et lui avait valu d’être otracisé au sein du CDP et écarté de ses instances. Cette proposition ne peut plus plus être d’actualité aujourd’hui car une fois pour toutes, il faudra que nous apprenions à respecter les règles du jeux : le mandat de Blaise est terminé en 2015 et il ne sert à rien de vouloir lui faire jouer des prolongations de quelques manières que ce soit. Il devra aller faire valoir ses droits à la retraite à l’occasion de l’éléction de 2015. Si après cette élection, la classe politique a la lucidité de poser le problème de nature de régime, alors on avisera. Nous devons dorénavant avoir l’habitude de voir des anciens Présidents de la République intégrer la vie du Burkinabè Lamba afin que ceux qui nous dirigent comprennent que c’est une parcelle de notre pouvoir qu’on lui cède à un instant donné afin de présider à notre destinée. Si son mandat prend fin, il redevient un citoyen ordinaire que l’on va protéger ou poursuivre selon les actes qu’il aura posé pendant son exercice du pouvoir. Sinon, tout le monde jouera des pieds et des mains pour des mandats electifs, pas pour servir le peuple mais pour se servir : c’est ce qui explique actuellement que les tenants du pouvoir actuel bien que sachant la fin de leur mandat, s’accrochent désespèrement. Par ailleurs faut-il que Blaise soit acculé par des manifestations de rue qui ont renversé (ou équilibré) les rapports de force avant qu’il n’appelle au dialogue ? C’est trop facile de qualifier Blaise aujourd’hui de "grand d’esprit" après son appel au dialogue, moi je vous dis qu’il n’a pas d’autres choix vu le contexte national et international.
4. Le 30 septembre 2014 à 20:32, par Le Vigilent En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Monsieur Nabi, On ne peut pas changer de régime et passer a une Ve république tout simplement parce qu’un individu ne veut pas respecter la constitution qui a prescrit la limitation du nombre de mandats présidentiels. Nous devons nous soumettre a la loi fondamentale de notre pays et non pas a la volonté d’un individu, même si ce dernier proclame sur tous les toits qu’il serait l’"homme fort" seul capable de sauver le Burkina et y préserver la paix et la sécurité. A cette allure, le Burkina tournera en rond indéfiniment.
5. Le 30 septembre 2014 à 20:35, par la mer dans verre En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
la chose qui est très facile dans ce pays est d’aller au référendum car c’est laba que le peuple peut avoir son mot a dire sur ces choses qui lui concerne bien,sinon on ne peut élargie la discussion sans le peuple burkinabé.
il faut rappeler a ces gars que au delà de la constitution existe une loi qui prime est celle cette loi est bel et bien celle du peuple donc arrêter pour vous et allons au référendum pour que mon grand père qui est au village puisse décider de quelques chose dans ce pays.
6. Le 30 septembre 2014 à 20:42, par Faso biga En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
toujours dialogue dans ce pays,je pense bien que maintenant il faut que chacun prenne le temps de savoir que l’avancée de ce pays doit être dans les bras des citoyens et non de quelque d’autre.et comme nous somme dans une situation dans la quelle nous constatons que la classe politique n’est pas prête a vouloir libérer le cœur des hommes dignes comme nous,je pense bien que nous devons nous lever et organiser ce référendum nous même.
7. Le 30 septembre 2014 à 20:53, par femme integre En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Nous devrions gérer le peu de ressources dont nous disposons avec sagesse,avant que des gars qui n’ont ni point de départ ni point d’arriver nous donne des choses qui ne sont pas conforme au développement de notre cher pays.
et je pense bien que nous pouvons y arriver dans si chacun de nous se donne la conviction et la confiance a ce que la tenue du référendum se passe dans de bonne condition de la démocratie totale.tous simplement il faut dit OUI nous le pouvons.
8. Le 30 septembre 2014 à 21:04, par Ka En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Analyse et proposition d’un politique amateur et enfantin, ce procéder n’est même pas envisageable pour un pays qui veut un changement radicale pour son émergence et son développement. Adopter cet élargissement est mille fois retourner en arrière de l’histoire de l’avancer de notre pays par un président fantôme et complexe a Kosyam qui dictera ses lois et sa dictature. Avons-nous besoins de ce dialogue bidon dicté par une minorité égoïstes qui tiennent a un seul individu ? Ne jouons pas avec le feu en passant par des propositions à poudre d’obus, qui pourra détruire le Burkina que nous aimons tous. Une seule réponse du peuple Burkinabé a son représentant élu par le peuple : ‘’’’’’Respecte nos lois et ton serment constitutionnel et ta parole donné de quitter le pouvoir après tes deux mandats présidentiels.’’’’’’’’’
9. Le 30 septembre 2014 à 21:15, par waraba En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Arrêtons un peu de ne voir qu’en dessous de nos nombrils. Nous savons aujourd’hui que des entreprises ont prospéré non pas par la qualité des services rendus mais parce qu’elles ont eu les faveurs au niveau des marchés publics.
et cela c’est grâce a la bonne volonté de certaines personnes dans ce pays.donc pour le maintient de ces genres de choses pour les burkinabés je pense bien que nous devons etre a accepter ce que nos dit la constitution.....
10. Le 30 septembre 2014 à 21:44, par abiba En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
et si il y a des gens qui sont pour ce que l’article stipule je pense bien que nous devons être a accepter le référendum avant que cela soit appliquer dans le pays des hommes intègres sinon on ne pourra l’accepter si facilement.
et cela venait a ce réaliser qui sera le premier ministre ?je pense que sa ne sera pas un des ces opposants ohhhh
11. Le 30 septembre 2014 à 21:54, par le terrible En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
ah oui,ah oui,ah oui !!!c’et ma toute première fois de voir untelle diarhée verbale.quitter du regime presidentiel pour adopter un regime parlementaire c’est proprement quitter du bonheur pour converger vers le malheurs !le regime compaoré est l meilleur regime pour nou,pas question de le changer.
12. Le 30 septembre 2014 à 21:58, par le tché En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Connaissant les implications du regime parlementaire,j n souhaite pa qu nou l’adoptons.merci pour vos suggestions et inquiétudes et surtou pour la requète mais elle est rejetté.
13. Le 30 septembre 2014 à 21:58, par moussa 1er En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
dans notre pays le régime parlementaire ne pourra jamais prendre le dessus de le gouverne des burkinabés et je pense bien que celui qui a écrire cet article n’est pas aussi idiot pour nous faire par de ces genres de choses.car les burkinabé ne serons jamais prêt a opter pour cette mauvaise qui ne ferra que mettre l’image de notre président dans le mur.
donc allons au référendum pour savoir si nous on va passer ou pas.
14. Le 30 septembre 2014 à 21:58, par Saana En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
M Benjamin,
A travers vos ecrits, vous n’etes pas clair. ce n’est a cause d’une seule personne que le BF va changer son regime. Le Peuple a dit limiter le mandat il faut le respecter, c’est tout. Ni Blaise ni l’opposition ne va changer ce regime. Si sa marche pour certains pays pourquoi pas le notre. Le peulpe ne negocie pas avec les boullangers et les affames qui veulent s’accrocher au pouvoir pour sauver leurs estomacs.
15. Le 30 septembre 2014 à 22:08, par ngaw En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
La question n’est pa pourquoi n pa changer les règles du jeu car l pouvoir etant concentré entre les mains d’un seul,mais la question doit ètre pourquoi changer une equipe qui gagne ?Est-ce opportun de remplacer un incontournabl joueur,celui là mème qui est capable de decanter la situation à tout moment pour vou offrir la victoire ?demander à josé morhino et il vou repondra non.d’ailleur,cher redacteur,tu di n pa prendr parti alors qu le contenu de ton articl montre clairement qu vou avez un parti pris !faites gaff sinon...ngaw !!!!
16. Le 30 septembre 2014 à 22:11, par tche gbe En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
sa ne sert a rien de nous demander d’accepter une telle chose dans le pays des hommes intègres car cela va atténuer l’image du gouvernant qui est censer de maintenir la paix et le développement que ce premier ministre qui sera présent.
la seule chose que nous devons défendre actuellement est la date de la tenue du référendum pour mieux trancher entre les burkinabés qui se disent toujours
17. Le 30 septembre 2014 à 22:16, par la lune En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Requète declarée irrecevable monsieur !!!
18. Le 30 septembre 2014 à 22:18, par vieux pere En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
pour le maintient de la paix et le développement continu dans le pays des hommes comme nous le voulons il faut ce genre de régime ne prenne pas le dessus dans ce pays car cela pourra mettre en cause l’unité nationale.
mais pour que cela soit toujours maintenu comme nous le voulons il faut que des personnalité comme vous et moi acceptions la tenue du référendum sinon on sera très étonner de ce qui pourrais nous arriver si jamais on laisse passer cela sous nos yeux.
19. Le 30 septembre 2014 à 22:23, par l’amazone En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
J me demande si ce Binjamin Nabi s’entend parler.le rève est permis à tous et c’est votre droit de rester connecter dan votr monde illusoire et plein de rève.Stop !arrèter de nous distraire car y a plus serieux que ça !!!
20. Le 30 septembre 2014 à 22:32, par burkinabé En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
vraiment je pense que cet article ne devrait pas être la pour que nous jetions un coup d’œil dessus.car il est très très vide comme information nécessaire pour les honnêtes citoyens du Faso même si il s’agit de la manière dont doit être organiser la politique du peuple burkinabé qui ne sont pas aussi d’accord sur cette manière de gouvernance...
21. Le 30 septembre 2014 à 22:38, par burkiibila En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Belle réflexion partisane, régime parlementaire d’accord mais pourquoi encore proposer Blaise comme président Héiiiiiiii . Ce n’est pas le seul homme qui peut gouverner ce pays quelque soit la nature du régime. Héiiii là ou tu es caché nous on dort la-bas depuis longtemps.
22. Le 30 septembre 2014 à 22:46, par cœur chaud En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
il faut que le président arrête ce dialogue avec ces gars et songer au choses sérieuses que de nous laisser écouter des choses que ces gars nous disent chaque matin et midi..
ce dialogue devait être entre le président et ces militants pour essayer de voir dans quelle mesure on peut vite libérer la tête de notre population par la tenue d’un référendum. et se mettre a chercher a dialoguer avec des gens qui ne pense qu’a eux seuls.
23. Le 30 septembre 2014 à 22:48 En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
si tu veux changer de régime, il faut forcément changer de république ? Est-ce la solution ou une fausse vraie solution ? Le plus simple serait encore de respecter la constitution pour qu’il y est alternance et la passation pour la 1ère fois entre 2 présidents depuis 54 ans d’indépendance. On aurait enfin fait un pas vers une véritable démocratie au BF. Mais, hélas, nos gouvernants, sont plus préoccupés pour faire des business sur le dos de la république que du développement pour le plus grand nombre.
24. Le 1er octobre 2014 à 00:58, par lefilsintègre En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
fallait mème pa écrire cet articl sans valeur et plein de bla bla bla !!!!
25. Le 1er octobre 2014 à 08:21, par youblobissan En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Une manœuvre au profit de qui ? Les intelligents voient déjà où tu veux en venir.
26. Le 1er octobre 2014 à 08:38, par youblobissan En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
L’alternance ne concerne pas seulement les dirigeants et les leaders politiques , mais aussi les opérateurs économiques. L ’ UPC ou le MPP viendra avec ses opérateurs économiques. C’est comme cela dans tous les pays du monde, monsieur NABI. Le renard passe passe , chacun a son tour.
27. Le 1er octobre 2014 à 10:48 En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
TON PARTI PRIS EST TELLEMENT FLAGRANT ; TU ES UN PARTISAN AVEUGLE PAR TES INTÉRÊTS PRIVES ; SINON POURQUOI C’EST A LA FIN DU MANDAT DE BLAISE QUE CE PROBLÈME ARRIVE ; ET COMME TU ES GUIDE PAR SON INTESTIN TU NE TROUVE RIEN A DIRE QUE DE PROPOSER UN RÉGIME PARLEMENTAIRE AVEC 2 MANDATS POUR BLAISE. TA CONTRIBUTION EST NULLE ;
28. Le 1er octobre 2014 à 11:56, par explosifs criminels En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
M. Nabi, vous surestimer le president. S’il était grand d’esprit, on n’en serait pas dans cette situation d’impasse. Il joue le rôle ici de pompier pyromane. Le burkina ne va pas disparaitre s’il quitte le pouvoir. Qu’il s’en aille. Est-ce que c’est difficile ça ?
29. Le 1er octobre 2014 à 12:04, par avion dans sac En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Humm toi Benjamin NABI là où tu regardes là nous on est déja calé là bas depuiiis on t’attendais mais tu viens trop tard la soupe là même ne suffit plus hoo donc le boss essaie de rattraper ça avec un peu de maggi et beaucoup d’eau mais comme les ingrédients se font rares donc le gout insipide là a du mal à passer mais on va faire comment c’est mieux que les boyaux vides où bien donc viens seulement même si c’est une cuillerée à café là tu vas avoir pour toi aussi...tchrrrrrrr on peut même plus grossir tranquille dans ce pays là
30. Le 1er octobre 2014 à 12:24, par Sogly. En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
tu me fais pitié. Ton article nul.
31. Le 1er octobre 2014 à 12:33, par bebiscool En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Mr Nabi,avec respect je voudrais connaitre ton niveau d’etude ?tu crois que les gens sont tous idiots ou quoi ?
32. Le 1er octobre 2014 à 13:11, par Dalay Lama En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Trop tard. Cette proposition avait déjà été faite, il y a plus de quatre ans par le visionnaire et animal politique Salif DIALLO qui déjà voyait venir la crise ; mais les borgnes politique avait décidé autrement. Maintenant, tout est gâté. C’est trop tard et le peuple ne plus réculer.... Il avance INNEXORABLEMENT vers la victoire. Dans tous les cas, nous connaissons ceux qui vous ont envoyé. Dites leur seulement que c’est devenu CAILLOU.
33. Le 1er octobre 2014 à 13:51, par bintoa En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Juge et arbitre ? Vous savez très bien que le CDP ne peut prendre aucune décision sans s en référer au président ! Pourquoi en Afrique les présidents refusent de partir au terme de leur mandat ? Il faut toujours les faire quitter le pouvoir par la force et déconstruire le peu qu ils ont pu faire. Vraiment dommage !!!
34. Le 1er octobre 2014 à 16:26, par Bagrox En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Les negociations doivent s,articuler autour de lʹinterêt et de lʹaspiration du peuple Burkinabè.cette aspiration est la non dynastisation de notre pays.Mais Mr,pourquoi vous etes obsedé par lʹidée selon laquelle Blaise Compaoré est Dieu sans qui le peuple ne peut vivre ?Est il necessairé de tout inventer pour qu‘il reste president à vie ?la solution est simple que le changement de regime dont vous parler.QUE BLAISE RESPECTE L.ARTICLE 37.
35. Le 1er octobre 2014 à 19:12, par Naboho Lassina En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Vraiment nous sommes fatigués , la seule solution sage devra venir de Blaise lui même,il faut qu’il libère le peuple réel pas le peuple imaginaire ;il lui suffira de dire j ’exerce mon dernier mandat présidentiel et je voudrais une porte de sortie honorable, pour moi et ma famille ainsi son problème sera étudié avec délicatesse. merci
36. Le 1er octobre 2014 à 20:20, par avion dans sac En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
quand ils comprendrons que notre pays n’est pas un lieu ou chacun vient faire ce que il veut ou quand il veut.ce régime dont cet article stipule ne sera jamais appliquer ici au Faso donc n’essayer même pas de parler de cela a qui que ce soit par ce que nous ne vous laisserons pas continuer sur ce volet.
37. Le 1er octobre 2014 à 20:31, par la mer dans verre En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
si on doit élargie le cercle de la discutions je pense que on doit passer la parole au peuple que de permettre a certaines personnes de venir nous dire promulguer des histoires qui n’ont ni tête ni queue.pour que nous puisons donner la parole a des personnalité qui ne connaissent pas la vrai valeur du développement.
38. Le 1er octobre 2014 à 20:53, par Arnaud parqueu En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
si tu vois les gars en train de parler ainsi,c’est le président qui leur donne le temps.sinon que nous on a avaient décider que notre président donne très rapidement la date de la tenue du référendum que de passer son temps a discuter de rien avec ces gars.
mais une chose est sur c’est que même si la date traîne elle sera dictée un de ces jours et chacun s’aura comment s’en prendre de ces dispositions.
39. Le 1er octobre 2014 à 21:01, par femme integre En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
il y a d’autre qui parlent de l’article 37 sans trop la connaitre,il faut bien te cultiver de façon intellectuel avant de nous parler de la non modification,
si certaines personnes prenaient la peine de bien vouloir lire entre les ligne je pense bien que cet article a ete bel et bien écrit par ceux qui mettent dans vos tête que la modification n’est pas légal,et aussi ils parlent pour parler sinon ils ne savent réellement ce qu’ils disent sur cette modification de l’article.
40. Le 1er octobre 2014 à 21:16, par vieux pere En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
ceux qui ne savent pas ne s’aurons jamais ce qu’ils ne connaissent pas du tout dans leur vie de burkinabé. l’alternance ne se fait comme enlever de l’eau dans un puis,mais plutôt avec une idée et une préparation de vague de personne a pouvoir bien diriger le pays des hommes intègres et des personnes qui ne pense qu’a leur bas vendre.
41. Le 1er octobre 2014 à 21:33, par jeune conscient En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
A Kossyam, cher professeur, il n’y a pas de poussière soulevée pour y convoyer vos balayeurs favoris ou tous les frontistes. Les urnes attendent toutes les clientèles,et c’est a cela qu’il faut appeler les uns et les autre a pouvoir dire ce qu’ils pensent de la prochaine du grand Mr dont vous avez aussi peur que jamais,
nul n’est senser ignorer la loi et surtout la constitution du pays.appliquons la et acception la.
42. Le 1er octobre 2014 à 23:59, par mr yameogo En réponse à : Dialogue politique : Et si on élargissait le cercle des discussions.
Je remercie beaucoup le Gouvernement d’avoir donner la chance a certains VADS (Volontaires Adjoins de Securite de regagner la Police Nationale a travers un concours (concours ouvers au VADS pour le recrutement de 200 policers Assistants), cette decision est salvatrice de la part du gouvernement car nous les VADS on se croyaient oublier par l’Etat mais Je lance un appel au Premier Ministre de bien vouloir allege les conditions de participation a ce concours c’est a dire ramener l’age max a 35 ans par exemple au lieu de 25 ans et de ne pas tenir compte de la taille par exemple car ces deux conditions penalise la majorite d’entre nous puisqu’on a ete recrute sur la base d’aucune de ces 2 conditions.Par exemple dans notre commissariat nous sommes une cinquantaine mais seulement 6 VADS pourrons prendre part au text vue que certains meme n’ont pas ete a l’ecole et remplissant les 2 conditions d’age et de taille par contre d’autres sont titulaire du BEPC ou + mais sont penalise par les 2 conditions car beaucoup d’entre nous ont 30ans et +.Merci !!!