Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Il n’y a plus de doute, les ponts sont définitivement coupés entre Blaise Compaoré et Salif Diallo. Entre le président et celui qui a été son bras droit pendant plus deux décennies, ce n’est plus un fossé, mais un abime qui semble croitre au fur et à mesure que le temps passe. Après son débarquement du gouvernement un certain 23 mars 2008, le même jour où les chrétiens fêtaient la résurrection de Jésus, alors qu’il était ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, de l’Hydraulique et des ressources halieutiques, on avait pensé à une simple brouille certes, sérieuse, mais à une brouille quand même, dont sont coutumiers les hommes politiques.
N’avait-il pas été, quelque temps après son limogeage du gouvernement, nommé ambassadeur à Vienne, c’est-à-dire représentant du président auprès de son homologue autrichien ? De retour de Vienne, il s’était fait très discret avant de réapparaitre sur la scène politique aux côtés d’autres camarades en rupture de band avec le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) pour créer, début janvier 2014, le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP).
Depuis, le premier vice-président de cette formation politique qui s’est ralliée à l’opposition ne rate aucune occasion pour prendre en grippe le président Compaoré. Au fil du temps, sa critique le chef de l’Etat s’est radicalisée au point de faire passer Maitre Sankara pour un enfant de cœur ! Expert en formules ciselées, il semble éprouver une sorte de jouissance à cogner l’adversaire.
Venu superviser la mise en place de la section France du MPP le 21 septembre à Paris, Salif Diallo s’est exprimé sur la situation nationale en tenant des propos d’une tonalité qui rappelle l’ambiance des AG des mouvements étudiants au temps forts de la révolution.
Voici retranscrits en intégralité, le discours introductif qu’il a prononcé à cette occasion et les réponses aux questions qui ont été posées à la direction du MPP. Verbatim.
Salif Diallo
Je voudrais vous dire que les militants des villes et des campagnes du Burkina à travers nos structures, comptent également sur la diaspora pour véhiculer notre programme et vos visions. Je voudrais transmettre ici et maintenant leurs salutations fraternelles et militantes et je voudrais également vous transmettre les salutations militantes du camarade président Christian Roch Kaboré qui n’est pas arrivé à Paris, parce qu’il a beaucoup de tâches sur le terrain ; il y a des rencontres prévues la semaine prochaine entre le pouvoir et l’opposition et avec d’autres camarades, il est entrain de préparer ces rencontres parce que nous savons que la période est très critique.
Maintenant pour vous dire en un mot ce qui se passe au pays, il y a 6 mois, un an de cela, les gens doutaient de la volonté de notre peuple à résister à l’imposture. Depuis le 23 août dernier [Date de la dernière manifestation dans les rues de Ouagadoudou organisée par l’opposition], personne, même dans le camp d’en face, ne doute que la majorité du peuple burkinabè est opposée au tripatouillage de la constitution ; c’est une évidence. Que ce soit dans les campagnes, dans les villes, au niveau des coutumiers, des religieux, syndicats, de la jeunesse, des anciens et des femmes, tout le monde est opposé à la confiscation de notre démocratie par un clan et par un homme, fut-il fort ! Aujourd’hui, la contradiction fondamentale de l’heure comme on le disait dans le mouvement étudiant, c’est entre Blaise Compaoré et le peuple ; et le peuple vaincra. La victoire de notre peuple, nous en sommes convaincus, est très prochaine, parce qu’un seul homme, quelque soit sa force, ne peut dominer un peuple, notamment le peuple burkinabè pétri de courage et d’intelligence.
Donc, nous sommes convaincus, quelque soit le temps que prendrait la nuit, le jour se lèvera et c’est très bientôt. Aujourd’hui, chers frères de la diaspora, il y a beaucoup de contre informations, beaucoup de propagande du camp d’en face, je ne parle même pas du CDP, parce que ce n’est plus un parti, c’est un club de soutien à un homme dit fort. Parce que dans un parti, il y a non seulement le programme, mais aussi, une direction, des débats ; mais là, c’est la volonté d’un seul homme. Il se lève le matin et dit, on va à droite, tous y vont. Le soir, il dit on va à gauche, ils y vont tous. Il tousse, ils s’enrhument tous. Non, et c’est pourquoi nous avons quitté le CDP, nous refusons la confiscation de notre pays par un seul individu et son clan et nous ne sommes pas nés au Burkina pour servir un clan ou une personne.
Nous sommes des Burkinabè et nous nous battons pour notre peuple et jusqu’à demain, c’est cette bataille qui vaudra la peine d’être menée. Donc, c’est vous dire, au Burkina aujourd’hui, l’opposition s’est retrouvée dans le cadre du Chef de file de l’opposition (CFOP) et des tentatives de division ont été menées tous les jours pour dire qu’entre le MPP et les autres, ça ne va pas. Ca n’a pas marché. De l’argent a été mis en mouvement. Rien ! Et après, ils se sont attaqués au MPP. Ils ont parcouru toutes les provinces avec de l’argent, et aussi curieusement que cela puisse se réaliser, à chaque fois qu’ils ont donné de l’argent à des vrais militants du MPP, ils nous ont ramené l’argent. Donc aujourd’hui, il y a des sections entières qui ont eu au moins pour trois mois de carburant venant du CDP qui ont tenté de corrompre nos militants ; ça ne marche pas. Et quand à ce niveau là, vous avez 2 ou 3 quidams qui ont faim, qui ont des intestins fragiles, mais vous ne pouvez pas avoir le peuple et la base du MPP. Ce qui fait la force du MPP, c’est que nous collons aujourd’hui aux aspirations réelles des populations ; sinon, on nous aurait tués depuis longtemps. Nous-mêmes aujourd’hui, nous sommes dans l’incapacité de déroger aux aspirations et à la demande du peuple.
La dernière trouvaille, ils ont dit qu’ils vont entamer un dialogue et je vais attirer votre attention sur ce point. Ils disent, dialogue, mais pas négociation ; nous disons que le cadre du dialogue doit être transparent au su du peuple, et s’il y a des propositions de dialogue, nous porterons cela en meeting au sein du peuple. Si le peuple dit qu’il n’y a pas négociation, on ne négociera pas ; parce que nous ne savons pas aujourd’hui sur quel point négocier si ce n’est l’alternance et la démocratie au Burkina. Si ces questions sont posées, nous sommes prêts à discuter. Ensuite, ils passent le temps à prôner la paix ; ils ont même créé une association le « Burkina Nouveau », qui je crois a fait la ripaille ici même hier à Paris. [L’association le « Burkina nouveau », créée par le ministre des Sports, Yacouba Ouédraogo, a organisé samedi 20septembre la nuit de la paix à Paris].
En vérité, nous nous connaissons ; quand ces messieurs préparent la répression, ou veulent amener la répression, ils font croire qu’ils sont pour la paix ; mais nous savons qu’ils fourbissent des armes. Ils ont commandé des tonnes de gaz lacrymogène, des voitures anti-émeutes et se préparent à faire la violence sur notre peuple. Mais, nous disons que quelque soit la quantité de matériels qu’ils vont acheter, des grenades anti-émeutes qu’ils vont acheter, notre peuple vaincra cela comme tous les peuples l’ont fait et nous sommes prêts au sacrifice comme d’autres camarades se sont sacrifiés. Nous n’avons pas peur de mourir sur les barricades pour la démocratie et il faut qu’ils en soient convaincus.
Nous savons que des menaces planent sur nos militants. Aujourd’hui, la plupart des militants du MPP qui ont des postes nominatifs ont été balayés ; directeur d’école, quand tu es MPP, on t’enlève ; chef de service médical, quand tu es MPP, tu es parti, il y a une véritable chasse aux sorcières, c’est la répression et nous savons que, plus les contradictions vont s’aiguiser, plus cette répression va augmenter. Mais au finish, nous savons que le peuple vaincra et ça, nous sommes convaincus comme le jour remplace la nuit, que ce régime anti démocratique, antisocial a terminé sa course, parce que le peuple a dit non.
Aujourd’hui, tous les secteurs qui ne sont même pas des secteurs militants ou partisans sont hostiles à une quelque révision de l’article 37 parce qu’on ne peut pas faire un référendum pour un seul individu. La constitution proscrit cela et on ne peut modifier la constitution pour faire plaisir à un clan. Nous l’avons dit surtout que c’est un engagement de leur part. En 2000, c’est eux-mêmes qui ont prôné la limitation du mandat présidentiel ; ça été avalisé, dit partout et donc, revenir sur ça, c’est trahir un engagement, c’est trahir notre peuple et c’est surtout se présenter en dehors du droit. Juridiquement, il n’y a rien qui prédispose à l’organisation d’un référendum ; c’est opérer un putsch, un coup de force et nous devons résister à cela.
Au point de vue économique, je n’ai pas besoin de vous décrire la situation. Le pays est confisqué par un clan. Toutes les sphères de l’économie sont contrôlées par un seul individu et son clan et ça, nous disons non. L’économie du Burkina actuel, c’est le labeur de tous les fils du Burkina et tous doivent avoir le même accès à une meilleure distribution de l’économie nationale. Si vous prenez aujourd’hui, que ce soit le secteur minier, le commerce général, l’agroalimentaire, ce sont les mêmes qui règnent en maitres, sans partage sur notre pays. Notre pays n’est pas un jardin privé, ce n’est pas la propriété privée de quelqu’un ; donc nous appelons notre diaspora à surtout expliquer cette situation là où elle se trouve.
Quant aux militants du MPP de Paris qui est un carrefour important, vous avez un rôle inestimable à jouer. D’abord, en termes d’information de nos compatriotes résidants en France ; mais aussi en termes de communication à travers la presse et les multimédias ; aujourd’hui, il faudrait que nos camarades du bureau qui sera mis en place s’organisent pour que l’information puisse aller à l’endroit de tous les Burkinabè résidant en France pour qu’ils prennent conscience des enjeux. Donc, nous disons que la bataille est multidimensionnelle et tous les compatriotes, quelque soit leur condition doivent jouer leur partition. Ici, il ne s’agit même pas pour le moment de prise de position et de savoir quel parti va gagner les élections, non. C’est une lutte pour la démocratie et vu la nature de cette lutte, nous voulons que les militants de Paris demeurent et soient solidaires des autres militants de l’opposition ; parce que c’est l’ensemble de notre peuple qui est en butte à cette imposture, à cette tentative de tripatouillage de la constitution.
Donc, nous voudrons simplement dire aux femmes et aux hommes qui ont à cœur le changement dans notre pays de se tenir main dans la main dans la cohésion et l’unité de combat pour que demain, le Burkina se construise dans la paix et la cohésion. Nous disons que la paix au Burkina, nous la voulons et pour qu’il y ait la paix, il faut qu’il y ait la justice sociale et le respect des règles constitutionnelles. Ceux qui veulent allumer le feu au Burkina, sont ceux qui violent constamment toutes les règles y compris constitutionnelles ; donc chers camarades, le MPP est venu d’abord vous remercier et vous féliciter pour le travail qui est accompli à Paris en France et à aller de l’avant ; il faudrait que le bureau qui sera mis en place soit un bureau de rassemblement, très ouvert à l’endroit de nos compatriotes qui épousent la cause démocratique dans notre pays ; il faudrait faire table rase pour le moment de vos contradictions partisanes pour que tous les Burkinabè comme un seul homme puissent se battre ensemble pour éviter la révision de l’article 37 et les différents tripatouillages que les gens tentent d’opérer.
Les jours à venir, par communiqué, nous vous tiendrons informés de l’évolution de la situation. Nous disons que s’il y a une négociation, elle doit s’opérer sur la base des textes constitutionnels, sur le respect de la constitution actuelle et non, sur des intrigues d’appareil et de gouvernement qui vont saboter la lutte de notre pays, et là-dessus, le MPP est clair : nous n’allons pas accepter des compromissions pour que des gens puissent encore et encore rouler notre peuple dans la farine comme dirait quelqu’un. Nous ne sommes pas des boulangers [En référence aux propos tenus par feu Robert Gueï contre Laurent Gbagbo, qu’il accusait de rouler tout le monde dans la farine] et nous ne voulons pas qu’il y ait des boulangers chez nous. Donc, mesdames et messieurs, je vous laisse la possibilité de poser toutes les questions qui vous tiennent à cœur et nous sommes ensemble ce soir dans un même combat et nous sommes en tout cas disposés à vous écouter, à répondre à toutes vos sollicitations dans le cadre de nos moyens.
Question d’un militant MPP : « Vous avez aidé Blaise Compaoré à rester longtemps au pouvoir. Quel est le secret pour que nous puissions le récupérer ? »
Réponse : Nous avions dit quand on quittait le CDP que nous étions comptables du bilan positif et négatif de monsieur Blaise Compaoré. Nous l’avons quitté parce qu’il y a eu trahison. En 1996, quand nous mettions en place l’ODP/MT (Organisation pour la démocratie et le progrès/Mouvement du travail) nous sommes partis sur une plateforme social-démocrate et il était dit que nous allons travailler pour la démocratie au Burkina. Nous avons par la suite évolué avec d’autres partis jusqu’au niveau du CDP, et il était clair que notre plateforme, c’était l’alternance.
Monsieur Blaise Compaoré s’était engagé avec nous pour travailler à l’alternance dans notre pays et à la relève de la classe politique. Mais au fil du temps, nous avons compris que toutes les manœuvres visaient à instaurer un pouvoir à vie et nous le lui avons dit sans détour. Nous n’avons pas quitté et pour après lui envoyer des flèches par la fenêtre ; c’est devant lui qu’on lui a dit qu’on n’est pas d’accord parce que c’est lui qui a trahi la plateforme idéologique, politique et organisationnelle sur laquelle nous étions.
A partir du 5e congrès du CDP [Mars 2012], c’est devenu évident, parce que l’œuvre a consisté à détruire toutes les structures et à liquider tous les camarades qui étaient là en 1996 pour la création de la plateforme démocratique autour du pouvoir. Et c’est pour des raisons de conservation personnelle et clanique du pouvoir que ces manœuvres ont été entreprises, et nous n’avons pas manqué à maintes reprises de lui dire que nous ne sommes pas d’accord avec cette façon de gérer, et cette façon surtout de concevoir le pouvoir, comme un pouvoir personnel, autocratique. Nous disons et on le reconnait, nous avons manqué de vigilance parce qu’il a trahi tous les camarades qui, sincèrement étaient venus pour construire un Burkina nouveau, un Burkina de progrès et de paix sociale. Il nous a trahis et nous disons que nous avons manqué de vigilance et nous faisons notre autocritique là-dessus, parce qu’il y avait des signes avant-coureurs qui ne devaient pas nous tromper. Mais on s’était dit, quand même, il a passé militant et qu’il n’allait pas utiliser l’appareil d’Etat pour liquider tout nos acquis depuis la révolution jusqu’à présent. C’est quand nous avons vu que c’était impossible à l’interne de changer les choses que nous avons pris nos clics et nos clacs pour partir en plein jour.
Aujourd’hui, nous sommes aux côtés de ceux qui luttent pour notre peuple et nous allons contribuer à mettre fin au pouvoir de type personnel, à cette autocratie. Donc vous pouvez être sûr ; ce n’est pas nous qui avons des techniques, mais le peuple qui a la force et la conviction et nous sommes avec le peuple et tôt ou tard, cette situation anti-démocratique, de confiscation de tous les droits de notre peuple va s’arrêter. Donc d’un point de vu tactique et stratégique, nous sommes sur le terrain avec ceux qui se battent pour la démocratie, pour l’alternance et cela va arriver au Burkina Faso
Question d’un militant MPP de Bruxelles : Paris est un carrefour, Bruxelles aussi. Que compte faire le MPP pour aider les militants ou sympathisants qui n’ont pas les moyens de payer les frais pour la délivrance de la carte consulaire ?
Bien sûr, Paris est un carrefour, Bruxelles aussi l’est également, et moi j’étais à Bruxelles pour rencontrer des camarades du parlement européen et avec tous les partis socio-démocrates qui sont nos amis. Nous comptons sur les camarades MPP de Belgique pour donner de la voix à Bruxelles et je crois que cela est en préparation.
Quel est le programme politique du MPP ?
A notre premier congrès, on a arrêté un programme politique à orientation social-démocrate, et nous disons que ce qui est important dans notre pays, c’est la production, mais aussi la redistribution dans la justice des richesses à tout un chacun. Nous sommes un pays pauvre et nous ne pouvons pas accepter que 0,001% d’individus contrôlent 99,001% de nos richesses ; or, c’est ce qui se passe aujourd’hui. Nous disons non à cet accaparement des richesses par un clan minoritaire ; nous disons que le Burkina appartient à tous ses fils et nous devons travailler à ce que notre programme prenne en charge les préoccupations de la majorité des individus.
Question d’un militant MPP des Pays-Bas : La diaspora a le sentiment d’être considérée comme du bétail électoral et il est difficile de mobiliser les gens. Que comptez-vous faire pour changer tout ça ?
Nous disons que les politiques qui ont jusqu’ici été menées à l’endroit de la diaspora ont été des politiques démagogiques, et nous le disons haut et fort ! Il va falloir changer notre fusil d’épaule pour deux raisons : d’abord, sur la diaspora burkinabè, les statistiques ne sont pas fiables et on peut dire sans risque de se tromper, qu’il y a plus de 10 millions de Burkinabè à l’étranger aujourd’hui au minimum, et d’un point de vue économique, si la diaspora était organisée, soutenue, nous sommes convaincus qu’elle pourra contribuer pour au moins 5% du PIB. C’est pourquoi, je pense qu’au niveau institutionnel, au lieu de mettre des délégués à l’étranger, il faut créer une structure chargée du suivi de la diaspora comme par exemple un ministère chargé des Burkinabè de l’étranger ou un secrétariat d’Etat.
Il faut organiser un suivi de nos cadres à l’étranger. Il y a des pays africains où la diaspora amène des gens à investir dans leur pays chaque année avec l’appui du gouvernement. Il nous faut par exemple créer une banque de la diaspora où l’Etat burkinabè pourrait donner des garanties dans les pays où ils résident pour monter des affaires et réinvestir au Burkina Faso ; ça se fait ailleurs comme au Ghana où ceux qui sont aux USA investissent près de 100 millions de dollars par an dans leur pays d’origine parce qu’il y a une politique de suivi. Le Sénégal suit ses cadres à l’étranger et quand un Sénégalais a un poste à l’étranger, l’Etat enjoint à ce cadre de faire tout pour aider à recruter d’autres compatriotes. Au Burkina, les gens ont le sentiment d’être un bétail électoral en dehors des cartes consulaires où on arrache quelques sous misérables à nos compatriotes. C’est pourquoi, le MPP pense qu’à son avènement, il faudrait organiser un congrès des populations de la diaspora et déterminer les structures et les moyens d’action au profit de notre diaspora. Ce sera clair dans le programme de notre candidat. Mais nous attendons vos suggestions et contributions pour étoffer le programme de notre candidat.
Question : Il semble qu’il y a des députés qui épousent la cause du MPP. Qu’attendent-ils pour partir ?
C’est vrai, il y a des camarades qui épousent notre cause ; au départ, il faut être honnête, on leur a dit de rester tapis à l’assemblée en attendant ; c’est une question tactique. Peut-être qu’ils seront autre chose demain, mais je ne vais pas m’étendre dessus. Ne vous inquiétez, même au sein du gouvernement, il y a en qui viennent nuitamment nous dire, c’est parce qu’on n’a pas le choix. Aujourd’hui, toute personne d’honnête, qui a un minimum de patriotisme ne peut accepter ce qui est en train de se réaliser.
Question d’un militant sur l’insécurité qui planerait sur les militants MPP
Nous pensons que la meilleure solution pour nos militants à l’étranger, c’est la mobilisation et il faut rester connecté. Nous autres, chaque matin, on reçoit des menaces ; il y a des tentatives même sur certains d’entre nous, mais nous disons que cela ne peut pas nous empêcher de défendre nos convictions. Nous savons que s’il y a un patriote de tué, 10 naitront et au bout du compte, la victoire est au bout. Donc, il faut vous organiser, passer l’information entre vous et surtout ne pas vous isoler parce que là, vous êtes vulnérables. Et surtout faites attention aux manœuvres ; aujourd’hui je vois un tract qu’on est venu poser par là pour dire que Blaise, [Un tract a en effet été affiché aux abords du lieu de la rencontre rappelant les acquis du président Blaise Compaoré] …Non, Blaise Compaoré est fini. Ses acquis ? Quels acquis ? Ce sont les acquis du peuple burkinabè ; ce n’est pas Blaise Compaoré qui a fait les routes, les hôpitaux, c’est le travail et la sueur de notre peuple et nous étions là comme témoins, comme contributeurs. Seul, il n’aurait pas pu faire un km de bitume ; aucun homme burkinabè n’est indispensable ; il y a des lois et des règles ; peut-être même que si c’était quelqu’un d’autre, il aurait fait 100 fois mieux que ce qui a été fait, et nous disons qu’il est temps qu’il passe la main parce que nous ne sommes pas dans un royaume. Même dans les royaumes, il y a des règles de dévolution du pouvoir. Quand on dit le Tenkougri, chez les Mossés, quand tu violes ça, tu dois t’autodétruire ; or les gens, ils violent les Tenkougri et veulent continuer à manger, non ! Ce n’est pas normal.
Sur le fonctionnement du MPP en France
Je voudrais simplement dire que le bureau qui est mis en place ne peut être solide que s’il est soudé à sa base ; donc les camarades qui sont désignés dans ce bureau doivent se déployer auprès des ressortissants et des militants ; c’est pourquoi dans chaque arrondissement de Paris, dans chaque ville de France, il faut que l’information circule, que vous ayez l’humilité d’aller à la base pour poser les problèmes et non se comporter comme des fonctionnaires, des bureaucrates attendant que le militants viennent à vous.
Vous devez également aller vers les autres sections européennes pour qu’en Europe, nous ayons une même dynamique ; la direction politique va rester en contact avec vous pour que le travail soit encore plus développé à l’endroit des sous-sections, parce que une section n’est valable que si vous avez des sous sections ; ça veut dire qu’il y a ait des sections et des sous sections dynamiques. Il ne faut pas attendre que les camarades de la direction de Ouaga arrivent pour courir convoquer les militants ; il faut que le parti ait une vie active ; il ne faut pas se comporter comme au CDP ; c’est un groupe de soutien au pouvoir et eux attendent que le chef arrive pour qu’ils aillent applaudir. Nous, nous, avons un programme à expliquer, des structures à mettre en place, une cause noble à défendre, donc nous devons aller vers les gens et je compte sur la nouvelle direction pour que vos propres attitudes puissent induire une force au parti ; c’est pour dire que si vous ne travaillez pas d’ici un an et on constate que la base de France n’est pas collée à vous, nous reviendrons ici faire une AG et demander aux militants de vous débarquer.
Nous sommes un parti démocratique et il n’y pas d’accointance ; ce n’est pas une chefferie traditionnelle qu’on vient nommer ; c’est un parti démocratique et il faut instaurer le débats démocratique au sein des militants parce que Paris est une vitrine et si les gens de Ouaga tiennent à leur référendum, Paris doit battre le record de mobilisation parce que vous avez la possibilité ici de montrer à toute l’Europe et à toute l’Afrique que les Burkinabè dans leur majorité sont hostiles au tripatouillage de la constitution et que le Burkina dans sa fraction française est contre le révision de la constitution. Il ne faut donc pas attendre des directives de Ouaga pour agir. […]
Je voudrais dire aussi, qu’une section, ce sont les finances et vous devez sensibiliser vos militants à des cotisations ; nous ne sommes pas un parti au pouvoir ; donc il, faut cotiser même si c’est 5 euros par mois ; il faut faire en sorte que le parti vive sur la base de ses cotisations et c’est en allant vers les militants que vous pouvez leur expliquer cela. Donc n’attendez pas que la direction vous envoie l’argent parce qu’on en n’a pas ; nous-mêmes on compte sur vous pour nous envoyer l’argent au pays ; faites en sorte qu’il y ait les cotisations.
Question d’un étudiant : Depuis 1966, l’armée est au pouvoir alors que ce sont les civils qui ont provoqué le soulèvement. Comment faire pour que les militaires retournent définitivement dans les casernes ?
Nous sommes un parti démocratique et sommes pour une alternance démocratique, le respect des principes démocratiques, on n’est pas des putschistes et nous disons dans notre programme que l’armée, les forces de sécurité, gendarmes, police, etc., doivent se soumettre au pouvoir démocratiquement élu comme cela se fait dans toutes les démocraties. Maintenant l’histoire du Burkina est là et c’est à notre peuple de tirer les enseignements et éviter que la démocratie ne soit confisquée par un corps habillé, un clan économique ou une ethnie.
Quelle est la position de la chefferie traditionnelle ?
Je ne vais pas m’assoir pour dire que tel ou tel chef nous soutient ; quand vous regardez le paysage politique aujourd’hui, je vous disais en introduction que toutes les couches sociales au Burkina sont opposées à la révision de l’article 37 ; l’église a fait son communiqué ; la communauté musulmane par ses canaux a pris position, l’église protestante a pris position ; les chefs traditionnels qui, d’habitude légitiment les pouvoirs en place ont pris leur distance et prône le dialogue ; elle n’est plus ce qu’elle était il y a 5,10 ans. Nous au MPP, nous enregistrons l’adhésion de beaucoup de chefs traditionnels dans toutes les provinces ; des fois, à nos AG, on croirait que c’est vraiment la cour d’un chef traditionnel de la contrée, tellement les bonnets rouges sont en nombre inqualifiable et c’est ce qui fait peur au pouvoir. Aujourd’hui, ni l’église, ni la mosquée, ni le temple, encore moins les cases des fétiches ne sont avec eux.
Mot de la fin et conclusion
Je vous remercie et vous félicite pour cette forte mobilisation et je voudrais particulièrement féliciter la sous-section de Paris qui était à la manœuvre pour cette AG. En quittant ce soir, j’ai le sentiment qu’ensemble, nous allons vaincre bientôt. Parce que c’est l’une des rares fois où je rencontre une fraction de la diaspora où l’unanimité soit opérée sur un sujet ; aujourd’hui, je n’ai pas entendu quelqu’un dire, l’article 37, il faut faire un référendum ; non, tous les Burkinabè dignes et intègres sont contre cette révision ; ça veut dire qu’il y a une prise de conscience grandissante au niveau de l’ensemble de notre peuple et ce qui se passe ce soir ici n’est que le reflet du sentiment à l’intérieur du pays ; et je tiens à vous féliciter et vous remercier cet après-midi, quelque soit votre contribution, elle est importante pour le changement au Burkina ; vous devez faire passer l’information, démasquer les tripatouilleurs, les combattre aux coins des rues de Paris, de Marseille et montrer à tous les niveaux que notre peuple aspire au changement démocratique.
Nous disons simplement que pour ce combat, il faut taire momentanément les questions de divergences idéologiques ça et là pour ne pas divertir le peuple et se concentrer sur la ligne de front qui est la non modification de l’article 37 ; et nous disons que le MPP est non seulement pour l’alternance, mais aussi pour la relève par la jeunesse ; et nous sommes conscients qu’au prochain congrès, nous devons passer la main à plus jeunes que nous ; et je voudrais inviter la section de Paris à voir dans cette perspective pour former la relève à Paris pour que demain, on ait des jeunes au Burkina qui reprennent le flambeau de la lutte. Ne faisons pas comme Blaise Compaoré, accroché depuis 28 ans au pouvoir, vieilli par le temps et qui s’y accroche. Le pouvoir à vie, ce n’est pas bien pour la personne en question, encore moins pour notre peuple et nous disons qu’il faut qu’il prenne ses congés sabbatiques ou ailleurs, qu’il aille se reposer parce que le peuple burkinabè a besoin de changement. Et s’il refuse et s’y accroche, le peuple se battra pour qu’il parte ; là aussi, nous sommes clairs. La lutte ne fait que commencer et en Europe, il faut que vous soyez de toutes les mobilisations, de tous les efforts pour qu’ensemble, on puisse changer le Burkina en un Etat démocratique, de liberté et de progrès.
Propos retranscrits par Joachim.Vokouma
Lefaso.net (France)
Vos commentaires
1. Le 26 septembre 2014 à 14:30, par L’Etalon Déchainé En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Mr Salif Diallo, je suis parfaitement d’accord avec vous que le Burkina Faso n’est pas le jardin privé d’un individu ou d’un groupe d’individus. C’est bien clair et net !
28 ans au pouvoir et on ne veut pas penser aux autres. C’est quoi ça, cette boulimie ? Et quand on parle, on vous qualifie de rebelle.
2. Le 26 septembre 2014 à 14:34, par Burkinbi En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Bonjour,
Merci Gorba. C’est clair comme l’eau de roche !
Le Peuple est fatigué de l’homme fort du 15 octobre !
Non au Pouvoir à vie !
Non à la révision de l’A37.
Non au SENAT !
Oui à l’ALTERNANCE.
Nan lara, an sara !
La Patrie ou la mort, Nous vaincrons !
3. Le 26 septembre 2014 à 14:50, par vérité no1 En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Bien dit Salif, le Burkina Faso nous appartient tous ! C’est Salif que le CDP craint, pas le MPP, ensemble luttons pour l’alternance !
4. Le 26 septembre 2014 à 15:12, par MPP partout En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
C’est propre ,
c’est nette,
c’est claire,
c’est sans bavure,
Voila un resumé que tout burkina patriote devrait se procurer. Invitez vos amis à lire cet article.
On appelera ça le discours de PARIS.
5. Le 26 septembre 2014 à 15:17, par PRESIDENT FONDATEUR En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Voilà un Mr que j’ai toujours apprécié malgré ses défauts, il faut reconnaitre qu’en tant que ministre de l’agriculture il a beaucoup fait. A travers cette conférence, je me rends compte que c’est une vraie bête politique et le perdre a été pour le CDP la descente aux trous. Il connait très bien le système et le président et c’est un atout important pour les opposants. Pour ce qui est des ministres qui se cachent nuitamment pour venir vous voir, attention méfiance car ce sont des taupes. Un bon père de famille assume et a le courage de ses opinions.
6. Le 26 septembre 2014 à 15:23, par MPP Victoire En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Merci grand camarade pour ces réponses dont la pertinence le dispute à la clarté. On sent une conviction, une vision et surtout une détermination, trois facteurs indispensables et complémentaires pour désactiver 27 ans de corruption et de favoritisme. Malgré les menaces nous sommes sereins parce le pouvoir c’est d’abord Dieu et ensuite le peuple à qui il délègue sa mission. Et quand le peuple parle tout bon démocrate doit s’incliner. Si le CDP veut montrer que le peuple est avec eux qu’il organise une manifestation en plein air comme l’opposition l’a fait le 23 août et on verra.
7. Le 26 septembre 2014 à 16:02, par le changement En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Salif, tu es un visionnaire !
Merci pour le franc parler !
Le peuple burkinabè s’éveille grâce à vos idées !
Si ce discours pourrait être traduit en langues nationales pour nos parents !
8. Le 26 septembre 2014 à 16:24 En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Tout observateur averti sait très bien que Salif survivra à Blaise dont le départ est plus que jamais inéluctable.
9. Le 26 septembre 2014 à 16:41, par Naaba Guesbé En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Respect et considération !
10. Le 26 septembre 2014 à 17:02 En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Tenons fermes, tenons bons, la victoire est si proche. meme blaise sait que sa chute en 2015 est inevitable. Vive l’alternance ! À bas le pouvoir à vie.
11. Le 26 septembre 2014 à 17:11, par vérité faso En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
vraiment ce Mr parle pour parler sinon il n’a rien de concret a dire au peuple burkinabé,si il était vraiment dans la colère comme nous le constatons il devrait appeler ces amis et de leurs dire de ne pas accepter l’appel du président,
donc ou qu’il soit il se tait et laisser ces camarade décider de ce que va devenir le burkina
12. Le 26 septembre 2014 à 17:13, par Verdad En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Salif veut juste tromper la vigilance des gens !!quand il était
dans le CDP en ce moment le Burkina était son jardin ou quoi ?Ce
n’est pas maintenant que tu va nous dire cela !
Toi et tes deux compagnons avez gérer le pays pendant plus de 20 ans
et vous voulez encore abuser du peuple !!
On n’est pas idiot !!!malgré ce que tu diras nous préférons continuer avec Blaise
au lieu de Roch !!!
13. Le 26 septembre 2014 à 17:16, par gawatchè En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Voilà un homme fort de la politique burkinabè, osé dire non et claqué la porte ; beaucoup caresse ce rêve au sein du cdp sans avoir les couilles de le faire !
14. Le 26 septembre 2014 à 17:17, par avion dans sac En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
tous ceux qui parlent dans les rues de Ouagadougou serons tous étonner de voir que le messie est toujours l’homme de la situation donc arrêter de dire du n’importe quoi sur cette déclaration de ce Gorbatchev qui est tout a fait en déclinaisons politique vis a vis de la réalité que vit ces camarade sur le territoire plu précisément a kossyam..
et il faut dit aussi a votre tonton que ce pays ne pas rester dans les bras des hommes eux qui ne sont pas du tous crédible aux yeux du peuple...sa serais une grosse surprise pour vous
15. Le 26 septembre 2014 à 17:21, par Moi Salif dit Goraba En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Ecoute si moi salif je parle ainsi c’est parce que j’ai construit mon ministère et Blaise ma pas laisser profiter donc je suis fâché je vais vous vendre les illusion dire ce que vous voulez entendre mais gars à vous si personne ne vote Blaise, Roch n’a pas la carrure pour diriger un pays c’est un gros bébé hollandais , quant à Simon à lui il a fini avec vol hein il m’a assurer qu’il veux 100 milliard car il est a 50 milliards
Oui Blaise est le seule qui peut diriger le pays
16. Le 26 septembre 2014 à 17:21, par toto En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Je suis pour le changement peut etre mais pas pour ceux ki ont voler et se remplir les poches et aujordhui ils se rebelle je suis desoler votre histoire de MPP jy croipa..,allez y voir voir dans les bancaires de ces gens avant de vous lever que MPP par si par la..certe on a besoin de changement mais de ceux ki se sont remplis les poches pendant 2 decenie pour revenir se remplir les poches
17. Le 26 septembre 2014 à 17:23, par la mer dans verre En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
voila un jardinier qui viens oser nous dire que le pays n’est pas un jardin..oui certes comme ce n’est pas un jardin c’est pourquoi toi et tes amis on va s’arranger a ce vous payer pour tous ce que vous avez fait au peuple burkinabé pendant tous ce temps.
et comme vous et vos camarade aviez bosser pour le pays sans toute fois penser un jour créer un petit emploi nous serons très heureux de vous voir dans les filets de le CPI pour vol contre le peuple...MPP va bientôt mourrir....
18. Le 26 septembre 2014 à 17:25, par Abdoulaye Mossé En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
en tout grace au MPP je suis devenu un petit quelqu’un , Salif je ne suis pas d’accord avec toi quand tu étais avec Blaise le peuple n’étais avec toi pourquoi tu n’a pas quitté depuis et c’est maintenant tu quitte , tu es trop louche d’ailleurs je le dit a Roch tout temps mais ce qui est sur moi je t’observe
19. Le 26 septembre 2014 à 17:25, par BF2015 En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Il faut dire que salif le renard veux s’amuser avec l’esprit de la diaspora !
Parlant de jardin privé et de démocratie,cela peut commencer par votre
parti en cédant le poste de président a une autre personne et vous retirer !
C’est vraiment honteux de la part de ce type !!
20. Le 26 septembre 2014 à 17:32, par Bibèga En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Quelle honte pour ce type !!!après avoir finir de se remplir les poche
on se retire et on veut tromper le peuple !On ne se laissera plus tromper
par vous autre.On peut voter pour tout les partis dans ce pays sauf le mpp !!!
21. Le 26 septembre 2014 à 17:38, par virus très virulent En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Effectivement le Faso n’a jamais été un jardin privé vue que toi salif tu étais à l’époque le seul ministre autorisé à prendre l’hélico présentiel pour tes déplacement à l’intérieur. Salif le super ministre de l’agriculture on a pardonné mais on a pas oublié
22. Le 26 septembre 2014 à 17:41, par Le Terrible En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Faut chanter ce que tu veux mais nous on croit au président Blaise
et c’est lui seul qui peut diriger notre pays actuellement !!!
Donc,que tu le veux ou pas ,nous voterons Blaise en 2015 !!
Avec cette attitude on sait que tu es capable trahir des deux compagnons
encore !!!
Peuple du Burkina,soyons vigilant car ce caméléons est capable de bruler
notre pays.
23. Le 26 septembre 2014 à 17:42, par jeune conscient En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
si ils veulent ils n’ont qu’a aller au bout du monde mais nous on ne va pas les suivre dans leurs histoires qui ne tiennent pas du tout.remarque du cote de l’opposition ;hier on nous montrait simon au Ghana,zep a New York et en France aujourd’hui c’est ce jardinier qui se trouve encore en France pour dire qu’il va faire un lavage de cerveau a la jeunesse diaspora.
vraiment ils ne sont que des tourneurs et non des hommes qui veulent le bon développement du pays.,,,,ce que est sur nous on va les laisser faire la bêtise...
24. Le 26 septembre 2014 à 17:43, par HORUDIAOM En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Il semble que le président COMPAORE est très rusé. Certains internautes et la presse internationale en ont souvent fait cas. C’est certainement ce qui lui a permis de rester 28 ans au pouvoir. Mais ce que les gens oublient d’ajouter, c’est que tous les présidents qui ont rusé avec leur peuple n’ont pas bien finis. Les exemples sont légion (on disait de SADDAM Hussein, Moubutu, Moubarak, Ben Ali, Kaddhafi, GBAGBO qu’ils étaient très rusés). Ceux qui ont eu la chance, ont échappé à la mort mais ont connu la honte et la déchéance ; les malchanceux ont connu une fin honteuse et tragique. Le temps est l’autre nom de Dieu et ce temps fini par faire défaut aux dictateurs. Aucune dictature n’a pu vaincre la volonté d’un peuple jusque là. La meilleure façon pour un président de quitter le pouvoir sereinement c’est l’application de la bonne gouvernance dans toutes ses dimensions, le respect de ses opposants, et de tous ses concitoyens. A force de ruser, tu as perdu tous tes amis politiques ; et ce n’est pas encore fini. Blaise, rend toi à l’évidence : les gens en ont assez et cette fois-ci ils y sont déterminés. Croyez-moi Mister Président, ça va être compliqué de faire du forcing comme d’habitude. Tirez en leçon et les conséquences. Amicalement
25. Le 26 septembre 2014 à 17:47, par amen ben sallah En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
J’ai toujours apprécié Salif Diallo pour son franc parlé.depuis qu’il était au CDP. C’est lui et ses camarade ki enraciné le CDP jusqu’au point de rendre COMPAORE UNIQUE et apprecié par son peuple. beaucoup sont trop attaché a Blaise non pas pour son travail mais pour sa personnalité. Salif est aussi responsable comme Blaise de la situation actuelle du pays. Revenir condamné des actes ou il était l’un des cerveaux ne fait pas de toi un innocent.une chose est de tombé,l’autre est de savoir se relevé.merci Salif pour l’éclaircissement de nos lanternes. Salif,ce que je dirai n’engage que moi, JE PENSE QUE L’IDEAL POUR LE BIEN DE TOUS LES BURKINABE,MAJORITE COMME OPPOSANT,SERAI DE SASSOIR AVEC BLAISE , LE PEUPLE POUR DES POURPARLER, ON NE CHASSE PAS UN PRESIDENT QUI A DURER AU POUVOIR,NEGOCIER AVEC LUI N’EST PAS UNE HONTE MAIS UN SYMBOLE D’humulité,car ELLE PRECEDE LA GLOIRE. Nous avons amèrement pleuré SANKARA, NE CHASSONS PAS BLAISE POUR LE REGRETE APR. SANKARA ETAIT INDISPENSABLE, BLAISE L’EST AUSSI.DONNONS UNE CHANCE A BLAISE POUR NOUS ACCOMPAGNER TJR MM SI CEST PAS EN TANT QUE PRESIDENT.
26. Le 26 septembre 2014 à 17:48, par kaboré ludovic de tanghin En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Comme il l’a si bien dit , le Burkina n’est pas la propriété privée de qui que ce soit mais une propriété collective dont la direction est donnée par le peuple à une personne qui s’entoure de collaborateurs afin de veiller à la bonne marche de cette propriété collective .Aussi faut-il ajouté que dans phase que traverse notre patrie , il est impératif de demander l’avis du peuple d’où le référendum ! Allons au référendum car le peuple a son mot à dire .
27. Le 26 septembre 2014 à 17:49, par salut du peuple !!!!! En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Salif,on le connait pour ce qui sort de sa bouche et je me rappel bien des propos d’un artiste qui dit que"les grands diseurs ne sont pas les grands faiseurs",c’est bien mais est ce que nous on mange les discours,quand vous étiez aux cotés de monsieur Compaore c’était le même son de cloche et maintenant vous voulez faire croire au uns et aux autres que vous êtes devenus savants.Nous ne sommes pas dupé !!!!!!!!!!!!
28. Le 26 septembre 2014 à 17:52, par sihda la sihda En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
laisse nos oreilles et yeux se reposer car tu nous fait mal,et si tu viens de te reveiler c’est mieux de patienter quelque minute avant de nous dire quoi que ce soit sur manière dont les choses sont dans ce pays des hommes intègre. et puis il est ou actuellement ou on parle de dialogue lui il se trouve a une millième de km pour nous une orientation politique.
29. Le 26 septembre 2014 à 17:56, par la voie du peuple En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
ehhh il va aller mentir encore a mes cousins de la France que c’est eux les meilleur leader du pays or que chacun de nous connait la vérité dans ce pays,
a vous aussi mes cousins de l’autre cote faite attention a ce que le mec va vous dire sinon il risque de abnuler sans que vous ne sachiez.
30. Le 26 septembre 2014 à 17:59, par toto En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
C’est du propre ! j’en suis fière !
31. Le 26 septembre 2014 à 18:04, par toto En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
SI TOUS LES PARTIZANS ET LES MEMBRES DU MPP VOULAIT LE CHANGEMENT FALLAIPA KIL LAICE PENDANT 28 ANS AU POUVOIR BLAISE...ILS ON FINIT DE SE REMPLIR LES POCHES ILS SONT MILLIARDAIRES POUR CEUX DU MPP KIL LE SAVE PAS...LEURS ENFANTS SONT DANS LES PLUS GRANDES UNIVERSITES AU USA ET ROULENT DANS DES VOITURES QUI ATTEIGNE LE MILLION DE DOLLARS AU CAS VOUS NE LE SAUREZ PAS...DONC ARETE DE NOUS FATIGUEZ AVEC VOTRE CHANGEMENT...LES PARTISANZ DU MPP LA MEME SIL SONT PAS ALLE A LECOLE YA UN MINIMUM KAN MEM...DES MEMES TETES QUI SONT MILLIARDAIRES ET AVEC LEURS ARGENT ILS VIENNENT VOUS TOURNER LA TETE..LE BURKINABE EST VRMNT KON IL REFLECHIIPA TROP
32. Le 26 septembre 2014 à 18:08, par ACHILLE DE TAPSOBA En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Bien dit Mr Salif DIALLO et merci C’est ça qui est la vérité. On aime tous ceux qui sont du côté du peuple et qui partagent les souffrances du peuple. Nous défendrons la constitution par les moyens. Le flambeau de la démocratie ne doit pas s’éteindre à cause d’un clan. La soumission n’est pas la meilleure solution seule la lutte paie et offre de grandes victoires pour un peuple en souffrance.
QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA. AMEN
PAIX ET JOIE A TOUS LES BURKINABÉS.AMEN
NON AU REFERENDUM
NON AU SÉNAT
NON A LA RÉVISION DE L’ A37.
VIVE LE PEUPLE BURKINABÉ
VIVE LA DÉMOCRATIE A 2 MANDATS
VIVE L’ALTERNANCE 2015
ACHILLE TAPSOBA LE BOBOLAIS
Partisan inconditionnel de l’Alternance
33. Le 26 septembre 2014 à 18:10, par Alias En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Cette déclaration mérite une traduction et diffusion en langues. Il est claire. Les questions et les réponses pertinentes.
34. Le 26 septembre 2014 à 18:10, par solution faso En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
qui crois vraiment a ce gars avec ces amis ?car si il a eu le courage de bien vouloir de trahir quelqu’un par ce que de couper les herbes de son jardin tout seul,je pense bien que ce gars sera capable de faire une chose très très surprenante au peuple burkinabé et ils vont se cogner les tête maintenant.
si c’est pour aller bavarder de MPP je pense bien que cela ne sera pas une bonne chose pour vous et votre parti.
35. Le 26 septembre 2014 à 18:11, par zarata En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Les actes de M Diallo nous laisse présager qu’il va transformer le Faso en jardin privé D’abord ça sera Blaise ensuite Roch et puis quoi la fille de Simon ensuite quoi le fils de Zéphirin puis celui de Roch la fille de Blaise ......... la liste Ainsi on aboutira a un cercle fermer de gouverneurs et nous aurons un jardin privé qui ont eu le même prof. Vive la consultation populaire
36. Le 26 septembre 2014 à 18:12, par kaboré ludovic de tanghin En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
la démocratie ,c’est le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple ! c"est dans cette veine d’idée que l’on doit se mettre pour comprendre que le référendum n’est pas mauvais mais le reflet de la volonté du peuple ! Tous ceux qui sont contre le référendum , s’opposent d’une manière une d’une autre à la légitimité du peuple !
37. Le 26 septembre 2014 à 18:17, par Le revolutionnaire En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
La vraie révolution viendra et vous allez payer. Nous ne voulons pas la guere au pays la politique c’est la paix ce sont les idées. Comme vous aussi Monsieur Salif vous avez changer accepter que le pR2SIDENT 2VOLUE AUSSI LAISSEZ LE PEUPLE DECIDER ; jE PROPOSE QU4ON FASSE LE REFEREMDUM EN FAISANT ALIGNER LES GENS SUR TROIS FILES / LE OUI LE NON ET L ABSTENTION LES GENS VONT S ALIGNER ET ON FAIT LE COMPTE EN MOINS DE 30 MINUTES. LA ON VERA QUI REPRESENTE LE PEUPLE. L ASSEMBLË NATIONALE DOIT MODIFIER LE CODE ELECTORAL POUR QU ON PUISSE VOTER EN S4ALIGNANT ; LE VOTE COMMENCE A 8 HEURES ET A 9 HEURES C EST FINI ON FAIT LE COMPTE ET A 10H ON A LES RESULTATS
38. Le 26 septembre 2014 à 18:23, par la solution En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
pourquoi on laisse passer des discours de ce Mr pour nous les internautes ont prennent part en lissant même,mais je ne pourrais voir cela sans tout fois dit quelques sur ce Mr qui a vraiment causer du tort a tous ces burkinabés qui l’on connu depuis les année 80.
car il a ete a la hauteur de plusieurs malheurs de ces burkinabés et ce qui me fais le plus mal est que aujourd’hui il veut revenir nous dire que c’est lui l’homme de la situation...
il se trompe lui même car nous les vrais burkinabé le connaissons déjà.
39. Le 26 septembre 2014 à 18:28, par Django tom En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Salif sache que le peuple n’est pas celui que tu crois,on est bien au courant de ce que vous avez pu faire sous l’ombre du président Compaore,vous êtes mal placés pour nous dire ce dont les Burkinabés ont besoin,tachez de comprendre que la politique ce n’est ni le champs,ni le domicile de quelqu’un.Allez y donc vous reposer car on sait vraiment de quoi vous etes capables.
40. Le 26 septembre 2014 à 18:31, par DIANE En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Après lecture de cet article,je pense Salif n’a fait que nous racontés
ce qu’il faisait quand il était au CDP.Pour toute ces raisons aucun jeune
de ce pays n’ose accorder du crédit a leur parti.Puisse que c’est ce qu’ils
veulent venir faire encore a la population comme ils l’ont fait dans le passé.
41. Le 26 septembre 2014 à 18:31, par CDpiste En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Politiquement il n’ya pas 2 Salif Diallo au Burkina...Je ne sais pas comment Blaise n’a pas tout fait pour eviter de l’avoir contre lui...Il faut que le peuple reste vigilant... On voit le presi dire qu’il n’ ya pas eu entente entre l’opposition et la majorité(majorité qui n’est autre que porte parole de Blaise), et annoncer un referendum anticonstitutionnel(selon plusieurs juristes)..Et là on proclame les resultats que l’on veut en disant que le oui l’a emporté....Y’aura des protestations dans la rue, mais je pense qu’il vaut mieu prevenir que guerir... Pas de referendum du tout...Et la vie continuera sans mort d’homme...
42. Le 26 septembre 2014 à 18:38, par qui fait quoi En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
ce Mr vraiment il ne connait pas ce qu’on appelle la dignité en politique et je pense bien qu’il faut lui inculquer cela même si il estime qu’il n’est plus un enfant de 18ans car sa façon de réagir ne répond pas du tout a ce que nous voulions voir sur la scène politique burkinabé...
cependant il faut lui et ses amis du MPP se préparent a accueillir la CPI pour répondre a tous les actes commis a la nation burkinabé....je suis sur que ces gars vont périr a jamais.
43. Le 26 septembre 2014 à 18:42, par electron 1er En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Je sait que petit a petit,lentement mais sûrement le mpp va disparaître de la scène politique,j’en ai la ferme conviction.Parce que tout ce que vous avez eu a construit sur du sable,un jour ou l’autre ça va s’écrouler,le mpp a été mise en place a partir de bases qui sont assez fausses donc quand c’est comme ça il est impossible que cela se termine bien.
44. Le 26 septembre 2014 à 18:55, par amadou En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Rien à dire c’est propre
45. Le 26 septembre 2014 à 19:02, par le gueteur En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
au lieu de te permettre de dire des choses qui se sont derouler dans passer je pense bien que que tu devais bien faire de faire un roman et l’intituter la vie de Gorba au CDP que de nous chaffer les oreilles avec ces genres de choses.
et je peux meme vous dire que ce gars n’est pas en france mais plutot a niamey ou il a rassembler un certains nombre de jeunes pour nous faire croire que lui il est en france en train de faire une orientation politique..
un seul conseil pour lui"ne pile pas ta banane mur avec du mil"
46. Le 26 septembre 2014 à 19:04, par gros bras mince En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Qui ne connait donc pas Salif au pays des hommes intègres,c’est un homme qui s’est fait remarquer croyez moi mais de la plus mauvaise des manières,pendant longtemps sur la roulettes du cdp et l’ombre de son excellence monsieur Blaise Compaore il s’est cru tout permis et a commis des actes qui a l’époque a ternie l’image du président,et on a remarquer que depuis sa démission sans objet et non fondé tout va a merveille au sein de du parti,ce qui porte a croire que c’est lui même Salif qui préparait les faux coup sans l’avis de sa hiérarchie.
47. Le 26 septembre 2014 à 19:11, par BILI-BILI En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Même si on ne l’aime pas, il faut reconnaitre que gars est "une bête politique" ; à lire son interviews, je sent qu’il a toujours quelque chose d’important en lui. Et l’avoir comme adversaire n’est pas "une mince affaire". ça, il faut que les gens le sachent !
48. Le 26 septembre 2014 à 19:14, par la fille du capo En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Si y’a un homme qui est très mal placé pour parler mal a ce régime,ou pire encore proférer des injures je crois que c’est vous Salif.C’est ce même régime,ce même amis d’hier qui a fait de vous ce que vous ne pensiez pas être et vous avez un devoir fondamentale de reconnaissance envers le président et si tu ne va pas le faire,ne gâte pas son nom.
49. Le 26 septembre 2014 à 19:14, par Dire En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Si tous les burkinabés pouvaient comprendre ce message, ce serait une bonne chose. Je ne sais pas vraiment pourquoi des gens trouvent toujours à dire ? C’est sûr que se sont des gens qui ne lisent même pas les articles. Ils sont payés pour envoyer du n’importe quoi sur les forums et de noyer le débat. Pourtant dans la ville de Ouaga on ne voit jamais quelqu’un se lever pour dire qu’on veut blaise.
50. Le 26 septembre 2014 à 19:20, par le woudy En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Salif est un faux type tout fait,il ne perd rien pour entendre,le peuple est en phase d’observation et au moment venu lui et tout les autres qui veulent mettre en péril l’unité et la paix qui règne dans ce pays seront mise sur le banc de touche une fois pour de bon.
51. Le 26 septembre 2014 à 19:28, par yeux ouvert En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Un véritable va t’en guerre ce monsieur,il est tellement fan de kalachnikov,il veut transformer notre pays en jungle et ainsi s’adapter a son environnement,si ce n’est le cas pour de telles propos.Mais mais mais s’il s’est hasarder a essayer on va lui monter que le Burkina n’est pas la parcelle de son cousin ni de son oncle.
52. Le 26 septembre 2014 à 19:34, par tche gbe En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
a DIRE,je parie que celui la c’est un bon a rien aussi comme certaines personnes qui sont dans ce pays pour soutenir aveuglement des gens qui savent pas d’ou ils viennent et ne s’aurons jamais ou aller,
je vais te dire que ceux qui écrivent ne sont pas idiots comme toi qui ne sait pas ce qu’il veut.
tu sais combien coûte l’achat de méga ?combien coûte un ordinateur ?
donc arrête de jouer avec les gens....bonne digestion
53. Le 26 septembre 2014 à 19:39, par changeons En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Merci Dr Salif. Ton discours est claire et plein de sens. Le camp arrogant et essoufflé d’en face manque cruellement d’arguments et ne sait faire que utiliser l’argent du contribuable pour corrompre. Que Dieu aide le Burkina !!!
54. Le 26 septembre 2014 à 20:11, par Vodka En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
cher ami « changeons » n’abusez las car salif n’a le grade
de Docteur !!!
55. Le 26 septembre 2014 à 20:22, par MPP Victoire En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
C’est malheureux que des jeunes qui auraient pu être dans des bureaux pour servir le pays acceptent masquer leur désœuvrement dans un sale boulot qui consiste à tirer à boulet rouge sur tout ce qui vient du grand MPP des grands Roch, Salif et Simon et de tous les militants amis et sympathisants de notre parti. Heureusement que la platitude de leur propos qui cachent mal leur impatience de passer à la caisse de la honte permet de les identifier immédiatement. J’invite donc les internautes consciencieux à ne pas prêter attention à ces délires de quidams aux intestins fragiles.
MPP Victoire
56. Le 26 septembre 2014 à 20:30, par MPP Victoire En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Aucun esprit sincère ne peut mettre en doute ces propos aussi cohérents que véridiques. Sauf bien sûr ceux qui doivent justifier pour ne pas dire défendre leur salaire.
57. Le 26 septembre 2014 à 20:49, par SERVAL En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Rupture de BAN, pas de BAND
58. Le 26 septembre 2014 à 20:55, par sans fetiche En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Depuis l’avènement de certains parti comme le mpp sur la scène politique on a remarqué que que le climat dans lequel régnait les acteurs politique a connu une nette détérioration et le cadre dans lequel tout se passait a disparu et fait place a un dialogue de sourd,un jeu de ping pong ou chacun renvoie la balle a son adversaire,il faut que ce parti là disparaisse totalement de la scène politique.
59. Le 26 septembre 2014 à 21:07, par Bibèga En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
L’heure n’est pas au gros mot Mr SALIF !c’est le Burkina est devenue un jardin c’est vous qui avez planté les plants et fertilisé le sol,Nous ne sommes pas amnésiques ?salif vous aviez contribuer a semer la merde dans ce pays et a cette allure personne ne peut vous faire confiance.je répète ON NE PEUT PAS VOUS FAIRE CONFIANCE !nous avions besoin de jeunes et non des vieux malades !
60. Le 26 septembre 2014 à 21:17 En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Encore lui Salif Diallo. Ce Mr qui faisait la courbette chez le PF juste pour faire des "je retiens" sur les commissions. En plus pour plaire au président, ce lécheur de cul "Pardon succeur de jus de cul" s’est cru dans l’obligation de faire des choses. Comme on a vu qu’il ne pourra jamais rassembler et etre un leader, on ne l’a pas fait monter donc il est boule. C’est pas lui qui disait avant de se faire remercier qu’il sera 1er Ministre.
Il est tjrs obsede par ca. les autres cherchent a etre President et lui il joue tout le temps les second roles.
61. Le 26 septembre 2014 à 21:23, par zena En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
JE demande a tous les Burkinabés de se souvenir de qui est Salif en réalité,ce monsieur a contribuer a plongé le pays dans la merde et dans l’anarchie,il a contribuer a masquer et a protéger Blaise !a un certain moment il n’avait plus de poids au CDP,c’est ce qui a conditionné son départ !il ne peut pas revenir aujourd’hui pour nous raconter des bla bla !on sait qui tu es SALIF,alors met un peu d’eau dans ton vin !
62. Le 26 septembre 2014 à 21:30, par Konan En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Si et si seulement Salif savait ce qui’ il dit ’lui un bon a rien comme ça qui après 27 de profit sans réel preuve de travail et qui continu a vouloir occuper ce qu’ il ne mérite pas .ose parlez ainsi honte a lui.vive le peuple vive le président Blaise COMPAORE
63. Le 26 septembre 2014 à 21:44, par DJO En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
wahi il faut que salif prenne la tête du MPP. apparemment cé lui la tete pensante dans ce groupe. on sent kil est rester lomgtemps au cote du president Blaise Compaoré.
64. Le 26 septembre 2014 à 21:50, par Verdad En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
TU n’a pas besoin de nous le dire le Burkina est loin d’être un jardin !mais tous ce que nous savons c’est que c’est un pays de paix et bon a vivre !un pays qui n’a plus besoin des vieillards comme SALIF,SIMON et ROCH !ce qui nous intéresse actuellement c’est le dialogue ; la paix !
65. Le 26 septembre 2014 à 22:09, par yirmoaga En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Je vs tire mon chapeau’ fils du pays .il est avec quand c’est pour construir et n’est pas avec quand c’est du diabolique. Pourquoi il va se sacrifier pour un pouvoir a vie.?soutien gorba la vie est ainsi faite. Ta vie est comblee. Laisse les laches suivrent’ la fin est pour 2015. Si sem bc s’entete’ il va precipiter le pays dans l’impasse et personne ne sera a l’abri.? Surtout les gourous d’ojod’hui.? Merci gorba
66. Le 26 septembre 2014 à 22:33, par Thom depuis Bengué En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Je suis déçu des burkinabè. Salif, Salif !
Vous êtes tous des id.....Je comprend pourquoi Blaise vous gouverne pendant toutes ces années. Des gens comme Salif qui ont passé plus des 2/3 de leur vie avec Blaise et vous pensiez que ce sont vos sauveurs. Franchement, je ne reconnais plus le pays des hommes intègres de Thom Sank. Vous êtes tous des farfel....
Je suis sûr que Sank est en train de se remuer n fois dans sa tombe.
Un peu de respect pour son âme.
67. Le 26 septembre 2014 à 22:42, par Le maitre En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Koro Salif .Toujours direct .Tu nous manque à . Poura.Merci pour ta constance que Dieu te protege.D ailleur à cause de ton franc parler L eternel veillera sur toi.Proph. Ezekiel.
68. Le 26 septembre 2014 à 22:43, par l’amazone En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
vieux loup là quitte laba,moi j ne parle pa tro gro francais mais j sai o moins que toi comme ça la,tu n peu meme plus convaincre une mouche.laisse nou tirer l’air maintenan et va prendre ta retraite dan ton village pour te reposé !!
69. Le 26 septembre 2014 à 22:46, par Nirèhankoua En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Il y vraiment des gens qui ne vont jamais rien comprendre jusque dans leur tombe ! Vous pensez vraiment que Salif (je ne le connais pas personnellement ni ne l’apprécie particulièrement) ne sait pas ce qu’il dit lorsqu’il affirme que "Blaise est fini" ? Allez plutôt demander à Blaise ce qu’il en pense.
Et puis, en quoi, les anciens compagnons de Blaise l’ont-ils trahi ? Et lui Blaise par qui vous respirez aux point même d’oublier vos géniteurs, qu’a-t-il fait à Sankara, Lingani et Zongo Henri pour ne citer que ceux-là ?
Les burkinabè sont vraiment d’une autre planète. Savez-vous ce qui fait la différence entre votre Blaise que vous croyez fort et les autres qui selon vous ne peuvent pas diriger le Burkina ? C’est parce que lui a les armes. Il n’a aucun charisme (encore faut-il savoir si vous savez ce que c’est le charisme). Que les armes changent de mains un jour et vous comprendrez. Si vous ne me croyez pas, quel est le civil aujourd’hui dans son entourage (aussi instruit soit-il) qui a plus de pouvoir qu’un militaire (homme armé). C’est vraiment pitoyable ?
Et quand à chaque rentrée des classes chacun, même les intellectuels de haut niveau luttent de toutes leurs forces pur que leurs enfants soient au Prytanée militaire, on est définitivement convaincu que la culture du militaire (la force des armes et non de l’intellect) a encor de beaux jours au Burkina. Et dire que ce sont ceux-là même qui se plaignent des militaires qui "se croient au-dessus de tout, confisquent le pouvoir au mépris des civils.....". C’est bien vous qui les y aidez non ? Que font actuellement ces "intellectuels" qui labourent actuellement le champs de Blaise et ne veulent pas qu’ils qu’ils quittent le pouvoir. Ils sent disent inférieurs aux militaires non ?
Tiens ! l’autre l’autre jours en suivant accidentellement "Faso acadmy" j’ai vu de petites fillettes qui rêvent d’être militaires...... Évidemment, c’est leurs droits..... L’apologie du militaire n’est-ce pas ?
70. Le 26 septembre 2014 à 22:52, par Laguna En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Aaaah ,ingratitude quand tu nous tiens. Mr Diallo ce tableau que vous avez peint du Burkina est faux. Et si vous dites le contraire ,alors vous en êtes comptable. Ce qui est clair et net ,nous irons au référendum .
71. Le 26 septembre 2014 à 22:55, par Nirèhankoua En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Il y vraiment des gens qui ne vont jamais rien comprendre jusque dans leur tombe ! Vous pensez vraiment que Salif (je ne le connais pas personnellement ni ne l’apprécie particulièrement) ne sait pas ce qu’il dit lorsqu’il affirme que "Blaise est fini" ? Allez plutôt demander à Blaise ce qu’il en pense.
Et puis, en quoi, les anciens compagnons de Blaise l’ont-ils trahi ? Et lui Blaise par qui vous respirez aux point même d’oublier vos géniteurs, qu’a-t-il fait à Sankara, Lingani et Zongo Henri pour ne citer que ceux-là ?
Les burkinabè sont vraiment d’une autre planète. Savez-vous ce qui fait la différence entre votre Blaise que vous croyez fort et les autres qui selon vous ne peuvent pas diriger le Burkina ? C’est parce que lui a les armes. Il n’a aucun charisme (encore faut-il savoir si vous savez ce que c’est le charisme). Que les armes changent de mains un jour et vous comprendrez. Si vous ne me croyez pas, quel est le civil aujourd’hui dans son entourage (aussi instruit soit-il) qui a plus de pouvoir qu’un militaire (homme armé). C’est vraiment pitoyable ?
Et quand à chaque rentrée des classes chacun, même les intellectuels de haut niveau luttent de toutes leurs forces pur que leurs enfants soient au Prytanée militaire, on est définitivement convaincu que la culture du militaire (la force des armes et non de l’intellect) a encor de beaux jours au Burkina. Et dire que ce sont ceux-là même qui se plaignent des militaires qui "se croient au-dessus de tout, confisquent le pouvoir au mépris des civils.....". C’est bien vous qui les y aidez non ? Que font actuellement ces "intellectuels" qui labourent actuellement le champs de Blaise et ne veulent pas qu’ils qu’ils quitte le pouvoir. Ils se disent inférieurs aux militaires non ?
Tiens ! l’autre l’autre jours en suivant accidentellement "Faso acadmy" j’ai vu des fillettes qui rêvent d’être militaires...... Évidemment, c’est leurs droits..... L’apologie du militaire n’est-ce pas ?
72. Le 26 septembre 2014 à 23:32, par Digne fils du Burkina En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
S’ils s’entêtent ils s’auront qui a mis l’eau dans coco, khadafi l’a su avant de partir !
73. Le 26 septembre 2014 à 23:44, par DIALLO SITA En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
C’est les RSS qui veulent détruire le pays le Burkina que Blaise Compaoré à construit comment il va détruire ce qu’il a construit , à toute la jeunesse consciente arrêter de suivre bêtement les politi-Chien sa vision tel que le RSS , le mouvement des postes perdus #MPP est sans vision est parti née par frustrations crée par des frustrés des bbs gâtés , tous des émotionnel !OUI au referendum
oui
oui
oui
oui au
REFERENDUM
74. Le 26 septembre 2014 à 23:54, par Lumière En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
GORBO tu es très loin d’être le faiseur de roi !tu es un grand voleur impliqué dans des affaires louches et dans des trafics pas catholiques !figurez vous que ses enfants au USA vivent comme des pacha,pendant que papa se réclame honnête !tous sauf toi SALIF !tu es un assassin !vive le pouvoir de Blaise et a bas les traites !
75. Le 27 septembre 2014 à 02:22 En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Je n’ai pas de parti politique mais il faut dire que rares de politiciens burkinabés ont le carisme de ce Monsieur. Il faut que les burkinabés apprennent à pardonner et à accepter les excuses. Si même Blaise présentait ses regrets et excuses un jour, acceptez. Le pouvoir est fini et il a raison. Ce n’est pas une histoire de MPP, du CDP ou de l’UPC. C’est fini, les dernières cartes de la négociation ne changeront rien, pas de modification de la constitution. Detestez Salif mais il a raison. C’est fini !!!
76. Le 27 septembre 2014 à 08:31, par Kamélé En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Question d’un militant MPP : « Vous avez aidé Blaise Compaoré à rester longtemps au pouvoir. Quel est le secret pour que nous puissions le récupérer ? » Ce camarade commet la même erreur que beaucoup de nos journalistes. Il ne faut jamais demander à quelqu’un son secret mais on peut lui demander quelle est sa technique ou sa façon de faire. Car, par définition, le secret est « ce qui ne doit pas être dit ou montré, ce qui doit être caché. Une fois qu’on dit son secret il ne s’appelle plus secret. Ce qui me fait dire que « le secret est secret parce que secret ». autrement dit ce qui fait qu’on appelle quelque chose « secret », c’est son caractère « caché ».
Salif Merci à toi. Aujourd’hui le Burkina FASO a besoin essentiellement et seulement de la justice sociale. C’est ça qui nous manque depuis le 15 octobre 1987.
77. Le 27 septembre 2014 à 08:44, par Ka En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Salif, bon combat comme ce fut les années de gloire dont toi, Simon Ludovic Tou le capitaine, aviez fait connaitre votre représentant qui est Blaise Compaoré, un représentant incontestable du parti CDP et président du Faso a l’intérieur et l’extérieur du pays des hommes intègres, vous étiez les sous-marins infatigables du régime Compaoré qui a fait de nous la fierté du continent : La nouvelle équipe incapable des noms comme Yoda, acille, assami, François, détruisent tout dont vous aviez construites et regretteront des vrais souches d’homme politique que vous êtes. Votre vieux navire le CDP s’écroule totalement au péril de son représentant qui était entouré par une bonne équipe que vous étiez, surtout avec des actions concrètes et des bonnes actions entrepris par l’intermédiaire du même représentant aujourd’hui aveuglé par des égoïstes qui ne pensent qu’à leur gosiers et non ce qui est mieux pour le peuple meurtri par la corruption a ciel ouvert. Faites revivre votre fougue de faire le Burkina un pays émergeant dont la jeunesse sera l’acteur principale et non un individu qui veut s’éterniser au pouvoir et retarder l’avancement d’un Burkina que nous aimons tous. L’avenue Ste Honoré et le Bd Haussmann vous appartienne pour faire comprendre a la diaspora Burkinabé en France que le moteur de l’alternance dans notre pays est en marche. Je remercie personnellement J. Voukouma de sa neutralité dans ses reportages malgré sa situation délicate pour s’exprimer autrement. Que le MPP fasse revivre le rêve des Burkinabé comme l’équipe de Roc, Salif, Ludo Simon, et autres qui ont réalisés les 6 engagements de leur programme de l’élection présidentiel ‘’’’1998 a 2006’’’’ dont nous louons tous le changement radicale dans notre pays.
78. Le 27 septembre 2014 à 09:51, par lwal En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
BIEN DIT.CE QUE LE POUVOIR DE COMPAORE NE SAIT PAS C’EST SON VERITABLE ADVERSAIRE.L’OPPOSITION POLITIQUE BURKINABE PEUT TOUJOURS SIGNER DES ACCORDS AVEC SON POUVOIR SI ELLE LE DESIRE ; LA SOCIETE CIVILE,LA VRAIE CHASSERA CE DICTATEUR DU POUVOIR.C’EST UNE QUESTION DE SEMAINEs..................
79. Le 27 septembre 2014 à 10:00, par Calmos En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
J’ai lu avec beaucoup d’intérêt cette sortie de Salif qui met en relief la nécessite de l’alternance au Burkina Faso. Pour être sincère, c’est un Mr que je n’appréciais pas du tout. Mais j’avoue que j’ai commencé à le porter à cœur depuis son interview-rupture lorsqu’il était à VIENNE. Depuis, j’admire son courage. Il est un révolutionnaire et j’adhère entièrement à son combat actuel.
80. Le 27 septembre 2014 à 10:49, par TAIWAN En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Maintenant l’histoire du Burkina est là et c’est à notre peuple de tirer les enseignements et éviter que la démocratie ne soit confisquée par un corps habillé, un clan économique ou une ethnie.
Nous disons simplement que pour ce combat, il faut taire momentanément les questions de divergences idéologiques ça et là pour ne pas divertir le peuple et se concentrer sur la ligne de front qui est la non modification de l’article 37 ; et nous disons que le MPP est non seulement pour l’alternance, mais aussi pour la relève par la jeunesse ; et nous sommes conscients qu’au prochain congrès, nous devons passer la main à plus jeunes que nous ; et je voudrais inviter la section de Paris à voir dans cette perspective pour former la relève à Paris pour que demain, on ait des jeunes au Burkina qui reprennent le flambeau de la lutte. Ne faisons pas comme Blaise Compaoré, accroché depuis 28 ans au pouvoir, vieilli par le temps et qui s’y accroche. Le pouvoir à vie, ce n’est pas bien pour la personne en question, encore moins pour notre peuple et nous disons qu’il faut qu’il prenne ses congés sabbatiques ou ailleurs, qu’il aille se reposer parce que le peuple burkinabè a besoin de changement.
MILLE RESPECT POUR CETTE BONNE VISION.
81. Le 27 septembre 2014 à 11:10, par omar En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
merci le neveu. c’est clair
82. Le 27 septembre 2014 à 11:39, par Le paysan En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Salut Prési !
Que Dieu et les manes de nos ancêtres vous donnent toutes les forces pour continuer le combat. Que vivement vos idées qui sont celles du MPP et de la jeunesse patriote triomphent. Vos jeunes camarades croient en vous et vos deux grands camarades présidents pour que notre peuple retrouve sa dignité dans la liberté pour mener le vrai combat du développement.
Nous restons mobilser derrière vous pour le combat final. Avec ou sans dialogue, le peuple triomphera. Ouvrez l’oeil et le bon au cours de ce nébuleux dialogue qui nous est servi avec une gentillesse de l’hyène envers son " cousin" le bouc.
Vive le Burkina Faso
83. Le 27 septembre 2014 à 12:19, par Belco En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Mon président Blaise COMPAORE, Ministre de la défense, président du conseil supérieur de la magistrature, ancien militaire. Je ne sais pas comment vous avez fait pour perdre à vos cotés un grand homme comme SALIF DIALLO ? vous avez perdu énormément, il n’y a pas actuellement autour de vous quelqu’un comme SALIF. Peut être Achile , mais là encore, lui aussi trop théoricien. Vraiment, la fin du régime est proche. SALIF, jusqu’à demain vous êtes un grand politicien, je vous félicite pour ce discours qui éveille les consciences, n’en déplaise à vos détracteurs. Ceux la qu’on a payé pour réagir négativement sur vous par rapport à l’article, je vois qu’ils manquent sérieusement d’intelligence, et d’argument pour vous salir. Je vous respecte pour la qualité du discours, et la qualité des réponses aux questions. Vous êtes un grand et vous demeurez grand. On a flatté mon Blaiso, par ces histoires de FEDA BC, Tanties et Tonton de Blaise, Fondation et autres, voila la galère qu’ il gère maintenant seul. A vrai dire ces affamés n’ont pas fait du bien à Blaise. Comme conseil mon BLAISO, il faut profiter de ce dialogue que vous avez initiez vous même, pour vous approchez plus du peuple réel et négocier une bonne sortie en 2015 et laissez tous ces faux amis qui ne vous veulent que du mal. oui c’est encore possible mon Blaiso, et vous le mériter. Laisser toutes ces histoires de modification et de referendum et declarer une élection ou vous n’allez pas participer, ni proposer de dauphin. Quand ca va tourner au vinaigre après 2015, ce seront les mêmes qui feront toute sorte de faux témoignage sur vous. On les connait. Attention, je vous prie de négocier seulement votre sortie honorable en 2015. D’autres présidents n’ont pas eu cette occasion qui se présente à vous depuis le 23 septembre 2014.
84. Le 27 septembre 2014 à 13:35, par ouedassi En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
2015 pour les burkinabè sonne le départ du chef de l’Etat, Blaise Compaoré, parce que la constitution ne lui permet plus de briguer un autre mandat. Mais selon les bruits qui nous parviennent des couloirs du palais de Kossyam, l’actuel locataire n’entend pas prendre sa retraite de sitôt.
Selon des sources généralement bien informées, Blaise Compaoré serait arrivé à réunir à nouveau les anciens bonzes du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) autour de lui, afin qu’ils le soutiennent pour un autre mandat à la tête de l’Etat burkinabè. Ainsi donc, Roch Marc Christian Kaboré, Simon Compaoré, Juliette Bonkoungou pour les plus connus travailleraient à faire accepter une autre candidature de celui-ci en 2015.
Il se dit aussi dans les coulisses que l’aboutissement du Front républicain répondrait à cela. Sa création entendrait évoluer vers un pacte historique des hommes politiques qui permettrait à Blaise Compaoré de faire un dernier mandat. Mais parmi les anciens un seul se détache du lot depuis Niamey. Salif Diallo aurait dit au président il y a quelques semaines de cela qu’il avait intérêt à renoncer à la présidentielle de 2015 et qu’il ne le soutiendrait pas pour cette entreprise.
On connaît l’homme pour son franc parlé et ses positions tranchées. Il ne serait pas allé de main morte pour mettre en garde Blaise Compaoré quant au risque de déstabilisation de la paix sociale s’il persévérait. Mais l’homme serait resté droit dans ses bottes et il multiplierait les concertations pour mettre sa stratégie en place. La photographie officielle qu’il a montré aux burkinabè en serait une illustration de sa détermination à ne pas partir en 2015.
Selon toujours les mêmes sources, il serait déterminé à rester et il va user de tous les moyens pour ça. Mais ce qui est clair, le plus grand de ses stratèges le lâche et il est sûr qu’il ne sera pas le seul parce que c’est une entreprise périlleuse. La jeunesse burkinabè ne se laissera pas priver du bonheur de connaître un autre président et de passer à autre chose en refermant définitivement l’ère Compaoré. Par Djimité Ouédraogo ; miroirbf
85. Le 27 septembre 2014 à 13:42, par doudouno le cobra En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Tu es mal placé pour tout ce que dit.Toi, Roch,Simon remboursez nous d’abord les milliards que vous avez volé avant qu’ont parle.
Vous pouvez tromper les petits gens ; mais nous les éclairer.
86. Le 27 septembre 2014 à 14:34, par BA Yaya Moctar En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Merci le Grand Salif, un Grand est un Grand ! je te respecte pour tes connaissances en politique.
Qui dit le contraire, depuis qu’il a été débarqué du CDP, le CDP ne s’est plus jamais retrouvé !!!no comment !!!!
87. Le 27 septembre 2014 à 15:38, par Phillband En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Sij, etais mr COMPAORE qui dit qu, il aime son peuple et que le peuple a besoin de lui, je fais comme SARKOZY et me preparer au campagne a venir pour l, emporter haut les mains.
88. Le 27 septembre 2014 à 16:30, par l’immigrant En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
M Lumiere,tu ne fais pas honneur a ton pseudo et je pourrais t’appeler "tenebre".il faut etre moderé dans tes propos car tu pourrais etre poursuivi pour ce que tu dis.il t’a volé combien ?quand et ou ?Tu crois que ceux qui ont volé au cdp peuvent crier haut et fort qu’ils ne sont pas avec blaise ?ce sont des gens comme vous qui ne jurez que par blaise.tu as peur du lendemain et tu te bats corps et ame pour que blaise reste au pouvoir !!!!
tu dis que les enfants de Salif vivent comme des pachas aux Etat-Unis ?toi tu es ou pour le savoir ?aux Etats-Unis ?sinon tu ments !!!!!Et puis,si ses enfants vivent comme des pachas aux Etats-Unis,sache que c’est pour tes enfants qu’il se bat et non pour les siens(car ils sont deja aux Etats-Unis).Voila pourquoi tu dois laisser ton orgueil de cdpiste et aller vers le "sauveur de tes enfants".logique,non !!!!!!!
89. Le 27 septembre 2014 à 20:27, par adamakouanda198 En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Ecoutez ne comparer pas Salif à maître B Sankara, Maître n’a jamais retourné sa veste pour quoi que ce soit.
quand Salif parle de confiscation de pouvoir par un clan, ne faisait-il pas parti de ce clan donc le peuple se souvient et se souviendra toujours de vos agissements aussi envers certains de vos opposants quand vous étiez au pouvoir. Donc les comptes à rendre ce ne sera pas entre seulement Blaise et le peuple, vous serez aussi concernés. Puisque à son 2ème mandat vous auriez dû vous opposés au tripatouillage des textes de la constitution en son temps. A vous écouter vous étiez visionnaire en ce moment là aussi.
Aussi, ces Députés qui viennent vous voir nuitamment ils savent de quoi Salif est capable quand il se fâche avec quelqu’un.
Seigneur JESUS vient en aide à notre PEUPLE, vient par TA FORCE brouiller les plans de satan. Le BURKINA FASO est un PAYS que TU as BENI .
Comme d’ailleurs n’a pas de même je terminerai en disant à Salif et sa suite ; on vous a aussi trop vu, laissez la place aux jeunes car le PEUPLE BURKINABE regorge de Jeunes potentiels qui peuvent le conduire.
90. Le 28 septembre 2014 à 00:54, par koumsaga En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
je respect le courage de ce monsieur. cest honteux de voir des burkinabè qui puissent pas dire ce quil pense juste pour leur tube digestif. Vive lalternance !
91. Le 28 septembre 2014 à 12:32, par pengd En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Ah, Sacré Salif, voilà quelqu’un s’est autoproclamé docteur et soutient que le référendum est anticonstitutionnel. Tous ceux qui sont assis devant toi n’ont rien à foutre de vos pitreries. Si Blaise tient aujourd’hui un jardin privé c’est vous étiez le jardinier de service. Tout ce qui se passe actuellement dans la pays tient une seule phrase " la calebasse de lait qui n’est plus à la portée du lépreux (Salif Diallo) doit être renversé avec son contenu pour personne n’en profite". Salif Diallo tu es le spécialiste des mensonges et tu as l’art d’infester son entourage. Le Burkina de paix se construira sans vous MPP. Nous savons que la position de ZEPh à la tête du CFOP vous empêche de dormir. Mais ZEPh a grandi ! Il saura tirer le meilleur profit de la situation en négociant avec Blaise Compaoré. Le MPP est la pire des choses qui puisse arriver à notre pays, un rassemblement d’égoïstes.
92. Le 28 septembre 2014 à 13:02, par Manglé En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
C’est fantastiques comme discours et comme échanges clairs et limpides. GORBA, tu es un homme. Que DIEU fasse que tu aies longue vie pour que tu enseignes tes valeurs aux jeunes burkinabé.
Bravo, bravo.
93. Le 28 septembre 2014 à 16:17, par Math En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
C’est un grand homme ce Monsieur !
Il ya toujours des hommes sur cette terre qui donne du sens à notre patrie "pays des hommes intègres" où la parole donnée reste sacrée !
Bon vent au MPP
94. Le 29 septembre 2014 à 13:35, par Ka En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Je confirme Math, c’est un grand homme, le peuple burkinabé doit le remercier pour les rectifications de certaines choses qui ont freinés le président Complexe Blaise Compaorè dont le pays allait être a feu et sang, a cause d’une belle mère égoïste, c’est un vrais fils de OUAYOUGUIYA.
95. Le 29 septembre 2014 à 20:29, par MPI En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Le MPP a des propos assez sucres, nous attendons de voir les resultats avant de confirmer le pouvoir effectif du peuple. Le peuple en mouvement ne se laissera pas exploiter. Courage, et bonne lutte pour le peuple. Le programme est attirant, ou sont les hommes de valeurs ? Faites nous voir. Courage.
96. Le 29 septembre 2014 à 20:33 En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
Blaise artisan de la paix, ne devient pas fossoyeur de la paix
puisse le seigneur te combler de clairvoyance pour te permettre de t’inscrire sur le registre des grands hommes que sur celui des hommes forts car tes proches ne te disent pas la vérité. permet aux burkinabè de faire deux marchés pour faire une comparaison s’il le faut. Ait confiance en un dauphin de ton parti et soutien sa candidature car après 28 ans tu dois pouvoir compter sur quelqu’un pour ta relève. Sinon tes amis vont s’interroger sur le mobile de leur lutte et de leur fidélité car dans votre cheminement les co équipiers doivent avoir l’espoir de la relève. N’occasionne pas le déluge mais au contraire préserve la paix en te mettant à côté. le peuple te sera reconnaissant
97. Le 30 septembre 2014 à 13:56, par Le véridique En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
RRREEESSSPPPEEECCCTTT !!! Que Dieu bénisse Salif Diallo.
98. Le 2 octobre 2014 à 11:43, par LE PANAFRICAIN En réponse à : Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
bien dit mr salif.on a pa besoin d’aller a l’ecole pour comprendre k’un seul individu n doit pas gerer tout un pays pdt ces longues annees e ki demande encore un LEENGA pour terminer des chantiers kon n voit meme pas.ds tout le CDP il n’ya personne pour la relève ? c’est honteux pour vs au cdp.trop c’est trop !ns voyons les memes ki s’enrichissent ici et les pauvres ki restent tjrs pauvres.on a trop ecouté ici e rien a changé.