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Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

Publié le mercredi 17 septembre 2014 à 23h33min

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Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

Ainsi donc, cinquante-quatre ans après les indépendances, voici venu le temps béni de nos ancêtres où, Wênam aidant, le salut de l’Afrique viendra d’Amérique : et le Messie a un nom, Barack Hussein Obama. Mais peut-être assistons-nous à un de ces grands malentendus dont l’histoire de notre continent a le secret.

Si malentendu il y a, il a commencé le jour de l’élection de Barack Obama à la Maison Blanche, le sanctuaire du pouvoir de la première puissance mondiale. La seule superpuissance de la planète qui tient encore… La "Russie éternelle" n’est sans doute pas finie, contrairement aux apparences, mais son retour au statut antérieur d’alter ego des Etats-Unis d’Amérique pendant l’affrontement Est-Ouest n’est pas pour demain.

On s’en souvient. Obama avait créé l’évènement et son élection fut historique en 2008. Moins d’un an avant la consécration électorale, bien peu de monde croyait au pari du sénateur de l’Illinois. Surtout face à une adversaire-icône au sein des Démocrates, dont le seul nom, Clinton, est une institution aux Etats-Unis, comme Kennedy ou Bush. Et de fait, plutôt imprudemment, Hillary Clinton qui considérait Obama comme quantité négligeable avec un mélange d’assurance excessive et de condescendance, un adversaire dont elle n’allait faire qu’une bouchée, devait l’apprendre à ses dépens : rien n’est électoralement joué à l’avance dans une société aussi complexe que celle de l’Amérique... pourvu que les candidats soient de fortes personnalités et amassent des milliards pour leur combat. Comme quoi, la démocratie du dollar existe : il faut être naïf pour croire le contraire.

En tout cas, mal en prit à la First Lady des années de feu du président William Jefferson Clinton, dit Bill, et à John MC Cain le Républicain. L’exploit d’Obama était sans précédent et nul ne le contestera. La mobilisation dont il avait bénéficié allait bien au – delà de l’engagement des Noirs d’Amérique et des autres minorités ethniques, sociales ou à base économique en sa faveur : c’est là un des secrets du miracle américain, quand en Afrique, on en est encore à ergoter, y compris au Burkina, sur l’origine ethnique, nationale, régionale, de catégorie sociale – les castes – pour les candidatures à un scrutin, ou pour être le simple dirigeant d’un parti. L’Amérique nous aura alors donné la leçon.

Le nouveau messie a du sang africain (1)

Et puis voilà ! Il n’en fallait pas plus pour que l’Afrique, toujours incapable de trouver chez elle et en elle-même des valeurs qui, pourtant, y existent, soit tout entière aux pieds du nouvel élu. Le premier spectacle pitoyable et navrant que donna le continent, des classes populaires à certaines catégories de l’élite en passant par les médias, ce fut lors de l’investiture du nouveau président en janvier 2009. Les médias qui doivent nous éclairer, tombèrent sans recul dans le piège : on vit se déclencher une pluie d’articles, de commentaires et d’analyses, d’une rare sévérité, fustigeant non l’Amérique de n’avoir invité aucun chef d’Etat africain, mais paradoxalement les dirigeants du continent, de n’être que des moins que rien, indignes de considération, puisque pas un n’avait eu l’honneur d’être convié à la célébration-l’"inauguration" comme on dit aux Etats-Unis.

Le flot de qualificatifs peu flatteurs, voire irrévérencieux, dont on affublait des chefs d’Etat qui, aux yeux des commentateurs, n’arrivaient pas à la cheville de leurs homologues européens ou d’Amérique, était étonnant. Le plus surprenant est qu’aucun analyste ou commentateur, y compris parmi les plus en vedette, ne paraissait s’apercevoir qu’à cette cérémonie d’investiture, n’était non plus invitée aucune autre personnalité venue de l’extérieur, ni d’Europe, ni d’Asie, ni d’Amérique latine, ni même du Canada voisin ! Car tel est le protocole des Etats-Unis d’Amérique, l’investiture du président est une affaire strictement américano-américaine. Point. Encore faut-il quelque culture pour le savoir.
Il n’empêche. Le ton était donné.

Il reste que c’est à ce moment-là qu’a pris naissance cette incroyable propension des Africains à voir dans le Président Obama le sauveur de l’Afrique ! Ce que lui-même n’a jamais prétendu être. Ainsi donc, on attendait le nouveau Messie et cette fois-ci il a du sang africain. Qu’importe qu’il soit métis ; pour les Africains au sud du Sahara, c’est un Noir, un point c’est tout ; et c’est suffisant. Quelques signes de cet incroyable malentendu :

Tout d’abord, le sens même de l’élection d’Obama. L’arrivée d’un Africain - Américain - on disait autrefois un « Noir- Américain » ou un "Afro-Américain" - a été réellement un évènement historique, une révolution. Après tout, la lutte pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis n’a été couronnée de succès qu’il y a à peine une cinquantaine d’années. Mais si le sénateur de l’Illinois a déjoué tous les pronostics qui installaient Hillary Clinton à la Maison Blanche en 2009, soit dit en passant, c’est parce qu’il n’est pas n’importe qui. Sa carrure, son intelligence et son charisme ont été déterminants. La force des institutions américaines n’y est pas pour grand-chose. Un pantin, un inculte ou un médiocre, surtout s’il était sans un cauri ou un sou, n’avait aucune chance de réussir l’exploit d’Obama.

L’autoflagellation de nos élites

Quoi qu’il en soit, on allait assister plutôt médusé ou au moins dubitatif aux réactions des élites africaines, principalement la presse. Avec Obama, on allait voir ce qu’on allait voir : il allait changer, nul ne pouvait en douter, le cours de l’histoire de l’Afrique. Le continent noir serait couvert de milliards de dollars pour son développement et bien sûr, la vraie démocratie s’installerait sur le continent. On pouvait compter sur le président américain pour qu’il donne des leçons à tous ces chefs d’Etat, "minables", "corrompus", ces "kleptocrates prédateurs" qui vont à contre-courant de l’histoire et "contre les aspirations de leurs peuples". Obama, c’est certain, allait balayer toute cette racaille. L’heure de l’Afrique avait sonné, car le sauveur était arrivé. Le temps du renouveau du continent était venu ; le souffle venait de Washington et nul ne saurait lui résister.

Il y avait quelque chose d’hallucinant et de passablement pathétique dans cette vision naïve des évènements. Car elle traduisait surtout le degré atteint par nos élites dans l’autoflagellation - l’autodérision si l’on veut. L’évidence, c’est qu’Obama est un Américain et nul ne s’en plaindra. On eût plutôt dû admirer l’Amérique dont la société porte toujours les stigmates d’un esclavage qui aura duré plus de cinq siècles avec ses prolongements, et qui a produit un chef d’Etat dont les racines sont au moins à moitié noires. Dans son ouvrage à succès, l’Audace d’espérer, Obama rappelle lui-même qu’il est "Américain aux veines irriguées par le sang d’Afrique" (P. 103). Un autre exemple, celui de l’actuel ambassadeur des Etats – Unis au Burkina. Son nom est bien de chez nous, mais à quand un Koffi, ambassadeur du Burkina, un Ouédraogo, ambassadeur du Nigéria, un Kagamé, ambassadeur du Sénégal, un Dao ou un Kéita, ambassadeur du Kenya ?

On aurait du avoir de l’admiration pour le peuple américain, d’avoir su dépasser ses contradictions internes, souvent profondes. C’est cette dynamique américano-américaine qui est une force formidable pour l’Amérique. La leçon, c’est que l’avenir d’une nation n’est garanti que s’il trouve en lui-même les ressorts de ses ambitions et de la dynamique qui le porte, un peuple qui ne cherche pas ses repères ailleurs. Aucune nation, aucun Etat, aucun continent n’a dans l’histoire été développé par l’extérieur ou de l’extérieur, même quand l’apport de celui-ci est important.

Obama est président des Etats-Unis d’Amérique, élu par les Américains, pour les Américains et pour l’Amérique. Qu’importe que, comme chez tous les présidents américains, il y ait toujours cette part de messianisme à vocation ou à prétention universelle avec quelque condescendance. Le fait est que l’Amérique est admirable sur ce plan ; pour le reste, elle défend ses intérêts, et c’est légitime. Elle n’a aucune raison de défendre les nôtres ou de s’occuper de notre avenir. Pourquoi voulons – nous qu’une autre nation nous aime au point de vouloir faire notre bonheur ?

Au lieu de quoi, les Africains attendaient un superchef d’Etat de l’Afrique résidant aux Etats-Unis. Washington allait devenir la nouvelle capitale, la nouvelle Jérusalem, le centre nerveux des pulsions salvatrices du continent. C’est pourquoi, depuis six ans, toutes les déclarations du Président américain, même lorsqu’elles sont banales, deviennent des références philosophiques, sinon bibliques ou coraniques pour nos intellectuels, nos élites et, pour tout dire, l’ensemble de ce que l’Afrique compte de personnes comprenant anglais, français, portugais, espagnol ou arabe.

Rhétorique à effet tribunitien

Un exemple parmi d’autres. Il aura suffi d’une tournure discursive particulièrement bien faite, lancée lors d’une allocution à Accra en 2009, pour qu’elle soit reprise et quasiment chantée avec une gourmandise lamentable à travers le continent. "L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, mais d’institutions fortes" : comme si le sort des Amériques et du monde ne s’était pas joué de 1940 et 1945 entre les mains d’un Churchill, d’un Franklin Roosevelt, d’un Staline, d’un De Gaulle ; comme si la Chine aurait été ce qu’elle est sans Mao Tse Toung et Deng Xiaoping, ou encore l’indépendance de nos pays sans un Kwamé N’krumah ou un Léopold Sédar Senghor. Il faut faire attention à la rhétorique aux effets tribunitiens… Et cessons de jouer avec les mots : " homme fort", "homme grand","grand homme", « homme charismatique »… est-ce là le problème fondamental ?

Le sommet américano-africain, qui vient de s’achever à Washington, fournit l’exemple le plus désolant de l’infantilisation et de l’incurie qui sont devenues nos marques de fabrique : une "humiliation", a écrit avec justesse un journal de la place.
On peut se poser beaucoup de questions sur ce sommet qui a produit incontestablement des résultats positifs, mais qui s’apparente aussi à une pratique rappelant étrangement comment sont nés les "sommets des chefs d’Etat de France et d’Afrique", qu’on a fini par pudiquement baptiser "sommets franco - africains" – et non, significativement, "sommets afro-français".

Les questionnements ne s’adressent pas aux Etats-Unis d’Amérique, mais à l’Afrique. Toutes les puissances, à commencer par la plus grande de notre temps, mais y compris celles qui sont de rang moyen ou même simplement émergentes, ont de nos jours leurs stratégies de politique étrangère, avec une dimension mondiale. Celles-ci se déploient en direction des autres acteurs internationaux, en fonction des intérêts qu’on peut en tirer, et évidemment de leurs propres capacités ou de ce qu’ils représentent, souvent des "acteurs mous" du système international, tels que les pays d’Afrique. On connaissait les sommets du Commonwealth, la plus vieille formation multilatérale du genre, et les sommets France- Afrique. On connaît désormais les sommets Chine – Afrique, la TICAD afro – nipponne, les sommets Turquie –Afrique, Brésil – Afrique… Il y en aura certainement bien d’autres.

Tous ces sommets sont fondés sur une logique de base : ils ne sont pas le produit d’une initiative africaine, ou même d’une volonté partagée de coopérer avec ces puissances. Ils sont tous au départ, la traduction de la volonté univoque de la projection internationale d’une puissance étrangère, l’Afrique demeurant la cible, l’acteur – consommateur, ou le continent – client.

Il n’y a pas de philanthropie en relations internationales

Le schéma est donc toujours le même. Le chef d’Etat d’un seul pays, "convoque" ou "invite" - c’est selon - ses "homologues" africains. Ils y accourent tous. Tous ou presque : ceux qui n’y sont pas conviés, ont du mal à cacher leur dépit : - on a entendu Omar El Béchir du Soudan fustiger par une déception évidente, ses homologues du continent, d’avoir accepté de faire le pèlerinage de Washington sans lui ! En face de dizaines de chefs d’Etat africains donc, un seul homme. Aussi puissant soit – il, cela pose problème et soulève des questions. Où est la stratégie de politique internationale du continent dans tout ça ?

En tout cas, la stratégie est payante pour Obama et l’Amérique. Elle est légitime et quelque part, on est obligé de l’admirer. Car elle indique que ce grand pays a une vision. Ses dirigeants ont l’intelligence des faits et des situations. On ne peut décemment reprocher à l’Amérique de défendre ses intérêts et de construire son avenir. Car l’objectif principal des Etats – Unis est connu : il est économique et donc commercial. Le gouvernement américain ne s’en cache pas. Mais contrairement à d’autres, il annonce les couleurs sans états d’âme et offre des contreparties. Il n’y a pas de philanthropie en relations internationales.

S’il y a malentendu sur ce sommet, il se situe ailleurs, et il est né de la lecture que nous, Africains, faisions de la grand-messe de Washington. Ainsi, pour beaucoup d’Africains, et non des moindres, Obama avait "convoqué" les rois et chefs d’Etat d’Afrique pour leur donner des leçons – les "corriger" – leur indiquer la voie à suivre ; surtout les menacer, puis intimer l’ordre aux récalcitrants, de reprendre le droit chemin, entendez par-là, la voie américaine de la démocratie. Dans ces conditions, le contenu véritable du sommet, d’essence économique, passait au second plan dans l’opinion africaine.

Subséquemment, vu d’Afrique, ce sommet était uniquement destiné à exiger de quelques présidents, qu’ils renoncent à modifier les Constitutions de leurs pays, même si la décision devait être sanctionnée par le vote majoritairement favorable du peuple dans un pays. L’Amérique est évidemment le modèle, puisque les mandats y sont limités à deux depuis 1951. Il est vrai qu’aucun amendement de la Constitution aux Etats-Unis ne s’est fait par référendum.

On ne s’étendra pas ici sur le fond du débat ; tel n’est pas l’objet du propos de ce jour. On fera seulement observer, qu’à écouter certains commentaires, on devrait conclure qu’il n’y a pas eu de démocratie pendant plus d’un siècle et demi aux Etats-Unis, soit jusqu’à 1951 avec le 22e amendement à la Constitution, ni non plus en France jusqu’en 2008 ; il n’y en a pas non plus aujourd’hui en Allemagne, en Angleterre, en Espagne, dans tous les pays scandinaves et ailleurs où n’existe pas de limitation du nombre de mandats pour celui qui dirige le pays ou encore au Luxembourg où Jean Claude Junker a régné pendant dix-huit ans jusqu’en décembre dernier. Et puis, pourquoi en dehors des exemples étrangers, deux et pas trois ou quatre mandats ? Enfin une question : quelle différence y a-t-il entre deux mandats de sept ans et quatre mandats de quatre ans ?– Elle est de fait bien ténue.

Que l’on s’entende bien. Il ne s’agit pas se replier sur nous-mêmes ou de rejeter les apports extérieurs ; ceux-ci contribuent au dynamisme des sociétés, au développement et au rayonnement des cultures au sens large. Tout est dans ce qui est en jeu, dans le contenu des emprunts à l’étranger et surtout dans la manière ou dans les conditions dans lesquelles cela s’opère.

Le spectacle humiliant d’un continent

Il ne s’agit pas non plus de rejeter dans son principe la limitation du nombre de mandats. Elle peut faire partie des aménagements de la démocratie, mais non de ses fondamentaux. Cependant un tel choix doit être le résultat d’un consensus durable au sein de la nation et donc d’un débat interne à chaque pays. Si comme le préconise le Comité Interparlementaire de l’UEMOA, il faut tendre vers une harmonisation des systèmes, des régimes et des processus politiques dans notre sous-région, le débat sur ce type d’option deviendrait sous-régional.

C’est bien Obama lui-même qui l’écrit : "Dans le domaine des relations internationales, il est dangereux d’extrapoler à partir de l’expérience d’un seul pays. Par son histoire, sa géographie, sa culture et ses conflits, chaque nation est unique" (L’audace d’espérer. 2007 p. 283).

Ce qui est en jeu ici, c’est le spectacle humiliant et piteux de tout un continent où on exige de manière incantatoire et quasi obsessionnelle que les autres respectent notre souveraineté, notre identité, notre histoire et notre dignité, mais une Afrique qui demeure incapable, soixante ans après les indépendances, de trouver en elle-même les ressorts de ce qu’elle veut et doit être sur les plans économique, social, culturel, politique et institutionnel.

Cette réalité-là est inquiétante. D’où le malaise que beaucoup d’intellectuels ont cette fois-ci ressenti, en observant le spectacle désolant qu’offre notre continent.
La question ici n’est pas celle de la politique américaine en Afrique. Celle-ci est claire et cohérente. Et il n’est pas non plus raisonnable ou honnête d’affirmer qu’elle n’est pas bénéfique pour un pays comme le Burkina. Les performances que le MCA a réalisées au Burkina, et les bénéfices que le pays tout entier, y compris les populations jusqu’au fond des villages, des hameaux de culture ou des campements nomades, en tirent, en sont une belle illustration. Jamais dans l’histoire des relations américano – burkinabè, la coopération n’a porté des fruits aussi visibles qu’aujourd’hui. On doit le reconnaître.
Cette donnée ne réduit pas pour autant la part de malaise qui vient d’être mise en exergue.

L’Afrique de 2014 ressemble à s’y méprendre, la part du gap historique exceptée, à ce qui se passa à la clôture du Congrès de Berlin en février 1885. La différence est que cette fois-ci, le jeu est plus subtil et que les puissances candidates au partage du gâteau africain, à condition d’avoir quelque envergure internationale et des atouts en termes de puissance, sont plus nombreuses.

Quant à l’Afrique, elle continue plus que jamais à tout importer et à tout consommer, pourvu que les produits viennent d’ailleurs, de préférence d’Europe occidentale et d’Amérique du Nord ; absolument tout, y compris désormais les idées, les modes de pensée, la façon de s’exprimer et de prononcer les mots, les comportements, les systèmes et les régimes politiques … même la couleur de notre peau ! Ça alors ! A quand le réveil ? S’il advient un jour – et il adviendra fatalement – il risque d’être brutal et donc douloureux.

Mélégué TRAORE

Diplomate Docteur en sciences politiques

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Vos commentaires

  • Le 17 septembre 2014 à 18:35, par azato En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Papa Mélégué TRAORE Diplomate Docteur en sciences politiques je vous demande de mettre tout le reste de votre énergie sur la terre pour reste dans Histoire !!!
    quand on a rien a dire on se calme ! tout mes tous mes respects a vous Docteur !!

  • Le 17 septembre 2014 à 18:58 En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Merci Docteur pour cet excellent éclairage. Il vous faut écrire plus souvent...
    En tout cas je me suis bien délecté.

  • Le 17 septembre 2014 à 18:58, par Yameogo En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Faites vous un constat d’échec de votre carrière politique ? A qui la responsabilité de cette situation. Regardez les présidents qui ont été des plafonds de notre développement. Ils n’ont pas été à la hauteur pour nous engager dans des voies autres que celles connues qui consistent à tendre la sébile. Si vous tentez cette expérience d’indépendance, on "met un frein définitif". Alors, on fait quoi ? On suit le mouvement imposé par l’extérieur.

  • Le 17 septembre 2014 à 19:12, par serge En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    tout ce discours simplement parce qu’Obama a rappellé à l’ordre ceux qui veulent s’eterniser au pouvoir et dont vous vous faites le courtisan éhonté. le plus lamentable dans votre article c’est que vous vous decrivez vous meme. Vous faites partie des intellectuels qui font honte à l’afrique, incapables d’avoir des convictions, prets à lecher les bottes de ceux qui sont au pouvoir. Malgré ce que Blaise vous a fait, vous manquez toujours d’honneur. Finalement il a donc eu raison. Vous ne meritez en fait que cela, que l’on vous traite comme un moins que rien. Mais ne vous y meprenez pas. le peuple que vous pensez encore abuser par vos articles tendencieux et malhonnetes intellectuellement est assez mur. Et avec l’appui des gens de l’exterieur comme Obama qui aiment ce pays plus que malheureusement certains de ses enfants egoistes comme vous, le peuple se lèvera et vous reservera ce que vous meritez le plus, degager...

  • Le 17 septembre 2014 à 19:13 En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Tout ça pour dire qu’il faut modifier l’art 37 ? Tu aurais pu économiser ton énergie !

  • Le 17 septembre 2014 à 20:05, par Jeunesse En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Docteur, si tu étais un bon diplomate, tu allais demander tout simplement à ton idole Blaise de partir dans la paix de DIEU sans vouloir faire de belle leçon à Obama. Pourquoi tu n’es pas rester éternellement président de l’Assemblé Nationale ? Y’en a eu 2 présidents après ton passage. Vive l’alternance au Faso.

  • Le 17 septembre 2014 à 20:07, par ya woto En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Certains en prenant de l’âge voient également leurs facultés mentales diminuer raison pour laquelle on assiste à ces sorties hasardeuses de séniors qui s’ils avaient un minimum de bon sens n’oseraient pas étaler leur handicap sur la place publique...Vraiment cheveux blanc ne signifie pas sagesse

  • Le 17 septembre 2014 à 20:38, par Pang Kayé, La Wend Waoga En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Mr. Melegue, votre écrit à connotation diagnostique sur la situation de l’Afrique est vrai et même très vrai. Ne va pas penser que vous nous apprenez quelque chose de nouveau. Non et non. Même les paysans font les mêmes constats. Sauf que tout le monde n’utilise pas les mêmes tournures de phrases savantes comme vous pour le dire.
    De tous les constats que vous avez faits, le Burkina a eu, entre 84-87 sous Sankara, à dénoncer d’abord tous ces tares et surtout à proposer point par point les solutions possibles. Des solutions qui nécessitent d’engager des combats et de consentir des sacrifices. Churchill, Franklin Roosevelt, Staline, De Gaulle, Mao Tse Toung et Deng Xiaoping, ou Kwamé N’krumah ou un Léopold Sédar Senghor dont vous citez les noms n’étaient pas des voleurs, des corrompus, des lâches, froussards et des hommes sans vision.
    Apres Sankara vous n’avez pas eu le courage de continuer le combat pour un Burkina indépendant, libre et prospère en affrontant l’impérialisme et le néocolonialisme, tout simplement parce que ça pouvait conduire à la mort. Vous avez préféré déserter le champ de bataille pour aller rejoindre vos douces moities et parfois les minettes pour compléter.
    • Tu penses que si Sanakara était là il serait parti à un tel sommet ? Non ! Je vous le dis.
    • Tu penses qui si Sanakara était encore vivant « le spectacle humiliant et piteux de tout un continent » dont vous parler allait continuer d’exister (en tout cas pas pour le Burkina) ? Pas du tout.
    • Tu penses que si Sanakara était là encore au pouvoir « Une Afrique qui demeure incapable, soixante ans après les indépendances, de trouver en elle-même les ressorts de ce qu’elle veut et doit être sur les plans économique, social, culturel, politique et institutionnel » dont vous parler serait à conter avec le Burkina. Je vous dis également non
    • Tu penses que si Sankara était encore vivant et président, on aurait à consommer ce qui vient d’ailleurs sans distinguo ? Je vous dis également non.
    Et vous Vous voilà entrain de louvoyer sur la limitation des mandats avec des jongleries pas possibles.
    Apres 2015 nous allons vous montrer le chemin. Aux vieux qui n’ont rien compris entre 1987 et 2015 et aux jeunes qui aspire à la liberté et l’emploi que « tout ce qui sort de l’imagination de l’homme est réalisable par l’homme »
    La vache !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • Le 17 septembre 2014 à 20:57, par Frankestein En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Salut Papy, bravo pour votre analyse très approfondie et pertinente. J’aimerais savoir pourquoi attendre si longtemps pour cette réaction ?

  • Le 17 septembre 2014 à 21:03, par l’ange En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    JE SERAI D’AVIS AVEC SI SEULEMENT DES INTELLECTUELS (je dirai plutôt des lettrés) COMME VOUS AVAIENT LES COUILLES NECESSAIRES POUR DIRE LA VERITE AUX VAMPIRES QUI BOIVENT LE SANG DU PEUPLE DEJA MAIGRE. LE POUVOIR DU PEUPLE NE SAURAIT ETRE UN HERITAGE POUR UNE BANDE. A PLUS DE 70 ANS ON RESTE ACCROCHE A SA GESTION. FAITES PARDON VOUS AUSSI ET A DEFAUT D’AVOIR HONTE, AYEZ PITIE TOUT DE MEME.

  • Le 17 septembre 2014 à 21:23, par Digne fils du Burkina En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Si cheveux blanc correspondait à la sagesse, Melegué se serait caché pour finir ses vieux jours. Il n’est pas encore trop tard rentre dans ta coquille avant qu’il ne soit trop tard. Quand on est vieux, on apprend à lire les temps et à connaître les saisons. Rien ne pourra arrêter ce train du changement qui a démarré !

  • Le 17 septembre 2014 à 21:28, par CHEIKH En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    C’est vraiment dommage, que ce sage doyen ne se soit pas abstenu définitivement de ce genre de discours, qu’il pense être sa vérité.
    Car en effet, à ce stade de discorde populaire sur un tel sujet, il n’y a point ni d’équilibrisme, ni de choix personnel.
    Si bien qu’au lieu d’aboutir à une opinion de neutralité comme il le pense, voilà que patatras, il se proclame lui aussi et ouvertement comme un aveugle partisan du Chef de l’Etat.
    C’est quand-même grand dommage pour quelqu’un, que tout le monde prétendait quand même par son histoire, être un des grands brimés de ce régime. Mais hélas ! "Fatalité quand tu nous tiens" est -on tenté de déplorer.

  • Le 17 septembre 2014 à 21:46, par Yamleogbiiga En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    M Traoré,
    Merci de nous partager votre point de vue et analyse de la situation national.
    Je trouve cependant que ce point de vue de surprend aucun des lecteurs avisés du journal qui a publié votre analyse.
    Vous-même avez participé à créer la situation que nous connaissons de nos jour au Burkina Faso. Vous en avez été l’outil principal. Le pire dans tout ça est le manque de courage dont vous faites preuve, vous et tous ceux qui ont pillé le pays. Cette classe dite intellectuelle qui a préférer se nourrir la panse plutôt que donner un avenir à la jeunesse. Le pire je disais est que vous manquez de courage à vous opposer au courant qui vous a bercé. Le Burkina aurait-pu s’appuyé sur ses intellectuels pour sortir de sa situation mais les intellectuels préfèrent fuir leur responsabilité pour préserver leur "Pain". c’est cela qui est désolant.
    Si les bonzes du parti majoritaire avaient un peu de courage pour affirmer leur opposition claire à la modification de la constitution pour au moins donner une chance réelle à l’alternance, le Burkina serait aujourd’hui différent de ce que nous connaissons actuellement et se dissiperait la fébrilité pré-électorale n’aurait pas existé.
    Alors pour me résumer, je dis merci de l’analyse, je dis également que vous avez participé a créer ce que vous évoquez, je dis que 2015 est un point tournant dont vous avez l’entière responsabilité de tenir vos engagement envers le peuple. Si vous refusez de toute façon le peuple vaincra.

  • Le 17 septembre 2014 à 21:47, par la paix En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Obama, mon homme de rêve.

  • Le 17 septembre 2014 à 21:59, par RÉSISTANCE En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    De la longueur sans analyse, notamment sur la limitation des mandats ! Franchement si vous aviez pris la peine d’analyser un peu les choses, vous auriez remarqué que vous comparez l’incomparable, en plus que la question n’est pas de limiter ou pas les mandats, mais de respecter ce qu’on décide : les pays européens que vous citez ont au moins ce mérite de respecter les systèmes et règles qu’ils sont collectivement choisis et adoptés ! Voilà en quoi vous comparez l’incomparable. Et vous tombez également dans l’incohérence de tous ceux qui, comme Blaise Compaoré en personme, se sentent obligés de comparer l’Afrique avec l’occident, après avoir posé et clamé qu’ils ne sont pas comparables parce que différents !! Peut mieux faire...

  • Le 17 septembre 2014 à 22:03, par legran En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    quand je pense à tout ce bagage intellectuel que vous aviez, j’ai honte de nombreux soit disant intellectuel de mon pays.
    ex : vous même en première position melegué traoré, ensuite paramanga gnonli, arsène boyésen, assimi kouanda, tout ces haut cadre du cdp qui pensent que sans blaise compaoré le burkina sera rayé de carte du monde.
    juste quelques questions pour vous .
    - ne pouviez pas diriger ce pays ?
    - n’aviez vous pas la carrure d’un chef d’ état ?
    - pourquoi n’être vous pas restez comme président de l’assemblée, ou bien vous ne méritiez pas ?
    j’ ai honte, si vous ne le saviez pas, vous être des hommes fort vous pouvez diriger ce pays. prenez votre indépendance politique et vous resteriez dans l’histoire de notre pays notre faso pas celui des COMPAORE

  • Le 17 septembre 2014 à 22:07 En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Ce Mélégué veut quoi au juste ?Il dit tout et tout son contraire à la fois mais qu’il sache que si l’Afrique est dans un tel état piteux,c’est à cause des « hommes forts » dont Obama faisait cas car en parlant d’homme fort,il veut parler de ces dictateurs qui sont à la tête de nos Etats comme Blaise Compaoré.Alors monsieur Mélégué,nul besoin d’avoir de longs diplômes en diplomatie pour percer la pensée de Obama.C’est clair comme l’eau de roche,une évidence biblique sauf pour des gens de mauvaise foi comme toi que l’Afrique n’a pas besoin de ces dictateurs sans vergognes avec leur démocratie en carton mais des institutions fortes sinon explique moi comment se fait-il que ces dictateurs amassent des centaines voire des milliers de milliards de francs CFA au détriment de leur population miséreuse sans être inquiétés ?Comment se fait que les courtisans de ces dictateurs peuvent voler,piller,détourner les deniers publics en toute impunité sans être inquiétés ?Parceque la JUSTICE qui est la colonne dorsale de ces institutions dont faisait allusion Obama est aux ordres de ces dictateurs et de ses zouaves.C’est pour cela qu’en Afrique ces dictateurs peuvent braiser d’honorables individus et il y a rien puisque cette justice corrompue et aux ordres du ROI dira toujours que la justice suit son cours.Stp Mélégué,une fois de plus,arrête de nous saouler avec tes verbiages creux.C’est parceque tu es un courtisan de l’un de ces dictateurs africains que tu sors pour jouer au griot mais sache que si l’Afrique est ce qu’elle est maintenant,c’est à cause de ces dictateurs qui se prennent pour des hommes forts alors qu’en vérité ils ne valent rien mais comme ils savent terroriser leur peuple,ils se prennent pour ce qu’ils ne sont pas.Alors arrête de nous pomper l’air car même le virus ébola qui sévit maintenant en Afrique,ces dictateurs s’en fichent et il faut que ça soit encore les autres( USA,Europe)qui viennent se mouiller à notre place.A ce sujet d’ailleurs,tu trouves normal que des ministres d’un pays voisin fuient leur pays parcequ’il y a ébola ?Il faut convenir que c’est en Afrique qu’on voit des irresponsables pareils.En effet,la population peut mourir,crever,pourvu que ces délinquants de la république restent en vie pour continuer à manger en toute impunité d’autant que certains trouveront les astuces,même étant en cavale à l’extérieur à cause de ce virus ébola pour détourner les aides de ces pays étrangers que tu stigmatises avec véhémence parceque tout simplement Obama avait osé dire il y a de cela 4 ans que les dictateurs,à bas.D’ailleurs pourquoi en son temps,tu n’étais pas sorti pour nous divertir à ce sujet ?Parceque ton dictateur cherche à tordre le cou à notre constitution,alors tu cherches à te faire voir alors que le même Blaise Compaoré t’avait humilié proprement sur la place publique.Bref...monsieur Mélégué,ne panique pas car Obama ne viendra jamais mettre du sable sur vos haricots beurrés glissants mais c’est le peuple burkinabè qui s’en chargera.Non à un référendum au Faso pour permettre à un dictateur de rester au pouvoir à vie.La patrie ou la mort,nous vaincrons !

  • Le 17 septembre 2014 à 22:08, par Doubis En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Monsieur, Pang kaye,la wend moaga mes félicitations voilà un homme réfléchi vous avez engloutis tout l’écrit de monsieur Mélégué TRAORE la vérité rattrape le mensonge en quelques minutes tout ce que vous venez dire est honnête, claire, véridique et sincère.

  • Le 17 septembre 2014 à 22:11 En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Papa Melegué, vous avez tenté une analyse, mais j’espère que vous faites exprès juste pour tenter de semer le doute dans l’esprit des honnêtes citoyens car je refuse que le grand intellectuel et grand diplomate que vous êtes nous serve un plat de ce genre, Vous avez cité Churchill, Staline, Roosevelt, De Gaulle.....Ces hommes ont conduit le destin de leur peuple suite à des situations particulières ; Mao et Staline étaient les chantres du communisme, Qui dit communisme dit pensée unique. Si c’est que vous voulez au Burkina, il faut abolir le multipartisme, suspendre la constitution et faire votre truc. Autant donner raison au PCRV.
    Quand a De Gaulle, Churchill, Roosevelt, c’est la seconde guerre mondiale et ses grands enjeux qui a favorisé leur émergence. A situation exceptionnelle, il faut des hommes et des dispositions exceptionnelles. Pourtant le Burkina n’est pas en guerre et nous ne sommes pas en Etat d’Urgence.Vous auriez fait preuve d’honnêteté intellectuelle si vous aviez cité Mandela et sa gestion du pouvoir d’Etat. je vous aurai cru si en citant Senghor, vous aviez noté qu’il a quitté le pouvoir pour le céder a Abdou Diouf. Votre écrit aurait été rehaussé si vous aviez parlé de Rawling qui accédé au pouvoir au même moment que Blaise Compaoré, mais qui a eu l’intelligence d’installer une vraie démocratie. Vous ne l’avez pas fait, mais je citerai Mathieu Kerekou, Alpha Oumar Konaré,.....Il est temps que vous comprenez que cette histoire n’est pas seulement la propriété de politiciens. Les succès des marches meeting sont là pour l’attester, Mais si cela vous amuse, on peut continuer le jeu. Espérons seulement que vous ne direz pas un jour comme Paul Yao N’Dré : *nous étions possédés par le Diable". En bon entendeur, salut. Nan lara ansara

  • Le 17 septembre 2014 à 22:14, par le penseur Belekili En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Votre conclusion est plein de sens Monsieur ! A qui la faute ?

  • Le 17 septembre 2014 à 22:29, par N’gaww En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Docteur Melegué,
    C’est malheureux et profondément troublant qu’après tout ce que Blaise vous a fait vous le défendiez . Votre écrit sonne le glas du respect que des Burkinabè avaient toujours pour vous. Malheureusement Blaise n’a plus besoin de vous...
    Quand un vieil homme perd la sagesse et la dignité...

  • Le 17 septembre 2014 à 22:43 En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Mais pourquoi ce Mélégué n’avait pas dit à son homme fort de ne pas aller au sommet USA-Afrique ?C’est parcequ’il est parti se faire humilier par un simple secrétaire d’Etat américain que ce courtisan griot vient nous sortir des propos de Monsieur Obama qui date de 2009 pour nous divertir.Si ton Blaise Compaoré était vraiment un homme fort,il n’allait pas aller à ce sommet mais comme c’est un dictateur,il a couru comme un gamin pour aller plaider sa cause auprès des Américains se croyant incontournable,indispensable au Burkina et dans la sous région.Mal lui en a pris.Les dictateurs n’ont pas leur place dans ce bas monde.Donc que cela te plaise ou pas monsieur Mélégué,l’Afrique a plus besoin des institutions fortes que des dictateurs comme ton Blaise Compaoré.Le changement c’est maintenant et 2015 n’est pas loin.Ton dictateur dégagera bel et bien de gré ou de force avant ou en novembre 2015 avec sa horde de mécréants dont tu fais partie.Tchurrrrrrrrrrr

  • Le 17 septembre 2014 à 23:03, par devis En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    merci pour ce eclaircissement papy

  • Le 17 septembre 2014 à 23:36, par Le sage En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    No comment ! À vos plumes.

  • Le 17 septembre 2014 à 23:57, par El_monstro En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Triste fin de vie. Voila un intello qui a décidé d’utiliser sa panse pour vivre au détriment de sa tête. On a pensé qu’au soir de sa vie, ces dits intello du système, à défaut de se rébeller, allait se rétirer doucement de la plolitique et témoinger progressivement pour l’histoire (à l’exemple de Adama Fofana). Humiliés, traumatisés ; ils ne retiennent de Blaise que la peur qui les habite alors que le temps qui passe nous confirme que son fameux blaiso ne fut au mieux qu’un simple militaire chanceux et opportuniste et au pire l’un des dictateurs lugubres sans dessein et sans culture.... J’aurais préféré que ce type dans ce vacarme de bas niveau au moins se taise pour se préserver. Un conseil, révisionner Mobutu Roi du Zaïre pour mieux comprendre l’entêtement humain.

  • Le 18 septembre 2014 à 00:00, par Moud En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Hé Dieu ! Après toute cette longue traversée du désert qu"ils" vous ont imposé, vous avez encore le courage de défendre Blaise ? Et votre amour propre dans tout ça ? Ou peut-être c’est comme disent les mossi, "si tu ne peux rien contre le voleur, vaut mieux l’aider à trimballer ses colis". Sans doute ! Mais dans ce cas précis, personnellement je pense que tonton MELEGUE gagnerait à se taire.

  • Le 18 septembre 2014 à 00:32, par Africain En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Ainsi donc pour Mélégué Maurice Traoré (deux prénoms occidentaux, aucun prénom africain), la dignité de l’Afrique consiste à défendre (à mots à peine voilés) des dictateurs qui veulent rester au pouvoir jusqu’à leurs morts.

    Ce qui est pathétique avec les dictateurs africains et leurs griots, c’est qu’ils ne découvrent la dignité de l’Afrique que quand l’Occident commence à parler de leur pouvoir. Humilier les Africains en envoyant des policiers français les contrôler 5 fois avant qu’ils ne prennent l’avion à l’aéroport de Ouaga, c’est normal. Vendre les intérêts de nos pays, c’est normal. Accueillir des bases militaires clandestines sans débat démocratique, sans même informer le peuple, c’est normal. Mais quand on s’attaque à votre pouvoir personnel, là on découvre la nécessité pour l’Afrique de défendre sa souveraineté et sa dignité. Pathétique !

  • Le 18 septembre 2014 à 02:43, par Africain En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Ainsi donc pour Mélégué Maurice Traoré, la dignité de l’Afrique consiste à défendre (à mots à peine voilés) des dictateurs qui veulent rester au pouvoir jusqu’à leurs morts.

    Ce qui est pathétique avec les dictateurs africains et leurs griots, c’est qu’ils ne découvrent la dignité de l’Afrique que quand l’Occident commence à parler de leur pouvoir. Humilier les Africains en envoyant des policiers français les contrôler 5 fois avant qu’ils ne prennent l’avion à l’aéroport de Ouaga, c’est normal. Vendre les intérêts de nos pays, c’est normal. Accueillir des bases militaires clandestines sans débat démocratique, sans même informer le peuple, c’est normal. Mais quand on s’attaque à votre pouvoir personnel, là on découvre la nécessité pour l’Afrique de défendre sa souveraineté et sa dignité. Pathétique !

  • Le 18 septembre 2014 à 04:59, par louis En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Bonjour M. Melegue,
    Vous avez fait la un bel écrit. Ça alors. C’est vraiment très bien écrit pour un diplomate. La question qui me vient tout de suite en tête est :qu’est ce que ce monsieur a fait pour que les choses changent en Afrique. Les autres peuvent dire qu’ils n’ont pas eu accès au pouvoir pour façonner les choses en Afrique et changer les mentalités. Mais pas vous. Vous avez été diplomate, ministre des enseignements supérieurs, (la crème de la crème ), président del assemblée député et que sais je encore. Vous êtes au pouvoir depuis près de 30 ans. Et c’est maintenant que vous venez nous sortir ça. Vous venez ici d étaler tous vos échecs et j’en honte à votre place. Savez vous qu un fils de paysan aujourd’hui comme vous n’a aucune chance de faire des études superieures ? Vous faites partie justement de ces intellectuels qui ont été fossoyeurs de l’Afrique. Vous ne méritez aucun respect de la jeunesse. Vous et votre générations ont échoué à apporter à ce qu’on attendait des independances. Vous faites pitié. L histoire ne retiendra rien de bon de vous en Afrique si après 30 ans de pouvoir vous voulez modifier les constitutions et rester ad vitae. Vous devez vite dégager le plancher pour donner la chance à d autres d essayer de nettoyer votre merde. Vous pouvez imaginer combien juste entendre quelqu’un de votre génération nous enrage. Nous sommes conscients qu’après ce que vous avez fait les choses seront dures mais laissez souffrir et trouver peut une solution aux problèmes que vous n’avez resolus.

  • Le 18 septembre 2014 à 07:06, par bangrenoma En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Tu parles beaucoup. Pour ou contre le referendum ?

  • Le 18 septembre 2014 à 08:41, par SAMBA En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    S’il est vrai que des milliers d’africains sont récemment repechez dans les océans entantant de trouver leur bonheur dans l’hexagone alors Obama chef suprême en ces lieux peut bien en être un donneur de leçon.point !!!!!!! Évitons le verbiage et passons au concret !!!!!!!,,

  • Le 18 septembre 2014 à 09:10 En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    L’Afrique en général, et le Burkina en particulier est malade de ces intellectuels à la sauce Mélégué qui passe leur temps à ne rien dire et à caresser dans le sens du poil le pouvoir en place pour continuer à manger sa part du gâteau. Avec votre âge, certains soit disant intellectuels devraient s’abstenir de parler pour ne rien dire et croire que le Peuple est idiot.

  • Le 18 septembre 2014 à 09:10, par toto En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Ce qui est décevant, c’est que nos sages qui ont toujours la mémoire aussi vive s’évertuent à défendre l’indéfendable et conduisent de ce fait, le pays des hommes intègres dans le précipice, et notre président bien-aimė à Dagnoen.

  • Le 18 septembre 2014 à 09:58, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    D intégration africaine et l occasion faisant le larron,ce fait est si rarissime que je ne puis m empêcher de souligner ici.Un jour en fouillant, dans mes heures perdues dominicales, sur internet,je suis tombé sur un article du site haacbenin.org daté de mars 2013 relatif à la diplomatie beninoise.Dans cet article,il était question de la nomination d un nouvel ambassadeur du Bénin en Lybie et qui était-il ? Ousmane OUEDRAOGO qu il s appelle.

  • Le 18 septembre 2014 à 10:06, par Yirmegnan En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Dans la barbe de ce vieillard GÎT la BETISE !

  • Le 18 septembre 2014 à 10:10, par XCO En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Si les sommets ne sont pas, dites-vous, le produit d’une initiative africaine, pourquoi les pays africains (ou certains d’entre eux) ne les refusent pas, tout indépendants qu’ils sont ??? C’est qu’ils ont aussi quelque chose à y gagner ! Il y a des intérêts de part et d’autre, c’est ce que vous oubliez en tant que diplomate !!

  • Le 18 septembre 2014 à 10:10, par XCO En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Si les sommets ne sont pas, dites-vous, le produit d’une initiative africaine, pourquoi les pays africains (ou certains d’entre eux) ne les refusent pas, tout indépendants qu’ils sont ??? C’est qu’ils ont aussi quelque chose à y gagner ! Il y a des intérêts de part et d’autre, c’est ce que vous oubliez en tant que diplomate !!

  • Le 18 septembre 2014 à 10:19, par ZZZ En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    "Quant à l’Afrique, elle continue plus que jamais à tout importer et à tout consommer, pourvu que les produits viennent d’ailleurs, de préférence d’Europe occidentale et d’Amérique du Nord ; absolument tout, y compris désormais les idées, les modes de pensée, la façon de s’exprimer et de prononcer les mots, les comportements, les systèmes et les régimes politiques … même la couleur de notre peau ". Il faudra mentionner que vous êtes comptable de cette situation. J’ose croire que vous avez conscience qu’il s’agit d’un constat d’échec pour vous ! Le reste, un développement intéressant mais sans grande portée.

  • Le 18 septembre 2014 à 10:20, par WARA En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Ainsi donc,cinquante-quatre ans après les indépendances,voici venu le temps béni de nos ancêtres où,Wênam aidant,le salut du BURKINA-FASO viendra du CDP:et le Messie a un nom BLAISE COMPAORE, Melegue, pense à ton peuple, chaque chose a une fin, en bon entendeur salut..........s’il te plait sois en phase avec ton peuple ici et maintenant point.

  • Le 18 septembre 2014 à 11:20, par Blablabla En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Arrêtez moi tout ça là et décrétez le referendum là chacun va faire son choix ça va finir. Kéchia on peut plus travailler ?!!!!!!?????? tchrrrrrrrrrrrrrrrrr

  • Le 18 septembre 2014 à 11:21, par richo En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Moi je na sais pas si en trois ans, Sankara a pu se construire une maison. J’aimerais bien savoir où pour déposer des gerbes de fleurs de temps en temps. Pourtant en trois ans, il nous a permis d’avoir une maison (1200 logements, cités An II, An III, An IV A et B) dans les provinces aussi. Mais lui-même, je ne sais pas. Regardez ce qu’un simple directeur réalise une année après sa nomination. Après des gens comme Mélégué, sortent pour faire des analyses et nous dire des bobards. Moboutou était plus fort que Blaise, parce que le Zaïre était et reste immensément riche. Pour s’être pris comme très très très fort, il a fini par énerver Dieu et les ancêtres. Il est parti comment ? Comparaison pour comparaison, Alexandre le GRAND était très très très fort. Avant sa mort, il disait " en mettant mon corps dans le cercueil, faites en sorte que mes mains restent dehors et visibles. De cette manière, mon peuple saura que suis venu au monde les mains vides, et je repars les mains vides". Ses voeux ont été respectés. A la mort de Alexandre le GRAND, lorsqu’on amenait son corps au cimetière les mains vides, le peuple jetait des fleurs sur tout le parcours du cortège. En fait, il était vraiment GRAND, mais pas fort. Comme disait un philosophe, " la plus belle leçon que je tire de l’histoire, c’est que très peu d’hommes tirent leçons de l’histoire" ; Seuls DIEU et le TEMPS sont forts. Le reste n’est que vanité, même nos doctorats en sciences politiques

  • Le 18 septembre 2014 à 11:26, par Evelyne Kiswensida En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Le propos est certes vrai, mais il n’est pas juste. Il n’est pas juste car Mélégué est en train d’objectiver avec cynisme des désirs égoïstes. Inutile de glisser sous un manteau de vérité, la confiscation du pouvoir de tout un peuple, en la faveur d’un seul homme. Blaise compaoré n’a pas attendu d’être élu pour prendre le pouvoir et il y est depuis 27 ans. Si votre propose (Mélégué) est vrai, il est surprenant que vous occultiez le fait qu’aucun des hommes (dits) forts que vous vous évoquiez n’a battu le record de longévité au pouvoir comme Blaise Compaoré. Et si votre propos peut être vrai, il ne l’ai pas dans l’absolu. Il n’est point de honte en effet à copier chez l’autre ce qu’il y a de positif. Autrement dit, copier n’est pas singer. Vous ne pouvez pas nier, Monsieur le pseudo africaniste (tout défenseur du continent noir que vous paraissiez être), que le fait de limiter les mandats au Burkina Faso soit démocratique. Cette limitation est l’apanage de la république. Du reste, le peuple ne peut renoncer à sa liberté (en confiant le pouvoir à vie à une personne) et subséquemment se vanter d’être une démocratie.
    Quel dommage !

  • Le 18 septembre 2014 à 11:38, par Yirmegnan En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Eh Oui ! "Dans la barbe des vieillards Gît parfois la Bêtise". Que Dire de ces intellectuels qui ne courent que derrière leurs propres intérêts. Monsieur Mélégué, qu’aviez vous apporter de plus à Notre Pays comparativement à Tom Sank ! Essayez de rentrer Glorieux dans l’histoire en cultivant la Sagesse.

    Web Master prière de laisser passer mon message !

  • Le 18 septembre 2014 à 11:54, par bawala En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Ah ! TONTON qui t’a encore poussé(forcé) dans cette erreur ? . Ils n’ont pas pitié de toi hèèèè !!!

  • Le 18 septembre 2014 à 12:06, par Pang Kayé, La Wend Waoga En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Je suis amère et même très amère quand je lis la publication de Mr. Melegue parce que ce dernier qu’on nous voyons son histoire est le prototype de l’intellectuel petit bourgeois, refusant le combat, prêt à toutes les compromissions au nom des intérêts égoïstes que Sankara avait sévèrement combattu dès 1983. Ils étaient tous bien heureux qu’il trépassât et les masques sont tombés depuis lors.
    Mr. Melegue, "le spectacle humiliant et piteux de tout un continent" dont vous parlez est d’abord votre propre cas et celui de vos compagnons du CDP et de ses affidés. On a courtisé vos femmes vous n’avez pas bronché. On vous a enlevé de vos postes sans vous informer au préalable, vous n’avez pas été en mesure de vous plaindre. On vous a menacé de prison parce que corrompus et voleurs vous avez gardez le silence. Et aujourd’hui vous avez le courage de faire des écrits pour soit disant nous donner des leçons sur comment l’Afrique peut avancer dans la dignité. Et Dieu seul sait que vous êtes capables de vous révolter et de dire non. D’ailleurs même à qui s’adresse votre écrit ? Si c’est pour la jeunesse Burkinabè elle n’en veut. Vous les intellectuels vous avez accepté votre propre humiliation chez vous d’abord pourquoi vous refuseriez l’humiliation des occidentaux.
    Vous parlez d’une Afrique « toujours incapable de trouver chez elle et en elle-même des valeurs qui, pourtant, y existent, soit tout entière aux pieds du nouvel élu ». Ça c’est vrai parce que vous vous avez refusé d’être ces valeurs, ces messies-sauveurs pour nous pour « n’être que des moins que rien, indignes de considération », de « ces chefs d’Etat, "minables", "corrompus", ces "kleptocrates prédateurs" qui vont à contre-courant de l’histoire et "contre les aspirations de leurs peuples". »
    Ne vous en faites pas, 2015 es là comme une malédiction pour vous. J’ai un conseil à vous donner : négociez maintenant les portes de sorties pendant que vous avez encore les pieds sur terre, le regard vif, la force de la parole, avant que le peuple ne décide de votre sort. Ne pensez pas que après ce sera facile. Et surtout ne faites pas le malin.

  • Le 18 septembre 2014 à 12:09, par leader En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Epargner nous de ce genre d’élucubration....

  • Le 18 septembre 2014 à 12:13, par SY En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    MERCI A TOUT UN CHACUN DE DIRE DE CE QU’IL PENSE APRÈS SA LECTURE DE CET ÉCRIT DE SON EXCELLENCE MAURICE MELEGUE TRAORE. SEULEMENT IL FAUT SAVOIR QUE NOUS AVONS BESOIN SOUVENT CES GENRES DE COURS POUR SE CULTIVER. MOI FRANCHEMENT J’AIME QUE CEUX QUI ONT DES SAVOIRS, PUISSENT LES EXPOSER POUR NOUS. EN PLUS JE NE COMPRENDS PAS POURQUOI NOUS PRENONS OBAMA COMME UN SAINT PLANÉTAIRE ? CE QUE VOUS ACCUSEZ AUX AUTRES PRÉSIDENTS, SACHEZ QUE BARACK OBAMA A FAIT PAREIL. JE PRENDS LE CAS DE LA LIBYE, OBAMA A JOUE UN RÔLE TRÈS IMPORTANT POUR LA CHUTE DE KHADAFI. ET POURTANT KHADAFI, N’EST AUSSI CRUEL COMME L’OCCIDENT LE QUALIFIE. KHADAFI EST UN HOMME QUI LUTTAIT POUR L’AFRIQUE ET QUE JE POURRAIS LE COMPARER AUX KWAME NKURMAH, PATRICE LUMUMBA, CAPITAINE THOMAS SANKARA, ... J’EN PASSE. ALORS DEMANDEZ A OBAMA POURQUOI NELSON MANDELA A REFUSE DE LE RECEVOIR QUAND IL ENTAIT EN AFRIQUE DU SUD ET SOUHAITERAIT LE RENDRE VISITE ? C’EST A CAUSE DE LA LIBYE. DONC MES FRÈRES ET SŒURS, ARRÊTONS DE FAIRE DES HISTOIRES INUTILES QUI NE NOUS AMÈNENT AILLEURS.

  • Le 18 septembre 2014 à 12:30, par oueder En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Mes respects à Papa Mélégué Traoré pour cet article que je trouve très long sans courage de dire ouvertement ce que l’on pense et aussi avec des questions que vous-mêmes n’apportez pas la réponse. Vous auriez dû puiser de très proche de chez vous pour mieux nourrir votre article sans être aussi long. Sans rien apprendre des Etats-Unis d’Amérique nous sommes une société à tradition orale dans laquelle la parole donnée est très sacrée. On n’avait pas besoin de signer sur papier mais la plupart du temps les gens s’accordait à ne plus revenir sur ce que soit-même a juré ou a dit tout simplement. Vous n’aviez qu’a puisez cette source africaine pour avoir la sagesse de comprendre que même si la velléité des uns et des autres à construire une démocratie qui leur son propre ou favorable ne leur donnera pas la légitimité de gouverner. Cet article ne nous apprend vraiment pas grand chose de vous mais nous renseigne beaucoup de choses sur vous.

  • Le 18 septembre 2014 à 12:42, par best of best En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Merci Dr Mélégué pour votre écrit.
    Après avoir défendu le président COMPAORE pendant plus de 3 décennies il est temps pour vous de vous repentir et rentrer dans l’histoire. Alors cessez de d’enfoncer le clous, dites sagement à votre idole de ne pas tenter un passage forcé en 2015 sinon......

  • Le 18 septembre 2014 à 12:50, par SANOU En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Mr Mélégué reconnait implicitement son échec en tant que dirigeant africain. Ses enfants peuvent entrevoir l’héritage qu’il les a légué.

  • Le 18 septembre 2014 à 13:15, par Gengnien En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Docteur Melegué TRAORE, je vous ai lu avec beaucoup d’admiration. Quand j’étais au Lycée de Réo en 1996, vous étiez ministre des enseignement de BC et vous etes passé dans notre classe suite aux émeutes au lycée en cette même année. vous avez étez ensuite président de l’AN toujours du meme BC. A dire que vous n’avez pas d’ambition. Hilary Clinton que vous citez dans votre ecrit était bien positionnée pour etre elu mais le jeu de la concurrence a permis à Obama de la dépasser dans les urnes. Qu’en est il ici ? Au sein du CDP, vous ne pouvez meme pas positionné un candidat à meme de remplacer BC. A qui la faute ? Et puis qui a fait le choix du rgime democratique actuel ? C’est vous. A ce que je crois en 1991, c’etais vous, aujourd’hui c’est encore vous. A qui la faute dites vous ?

  • Le 18 septembre 2014 à 13:16, par un burkinabé qui veut comprendre En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Mr Melegue. vos propos sont pleins de sens pour votre génération. Qu’avez-vous fait ? Que retiendront vos enfants, vos petits-enfants sur l’ancien président de l’Assemblée Nationale ? Qu’avez-vous fait pour perpétuer le " Consommons Burkinabè" ? Vous qui étiez ministre de l’enseignement supérieur ? Que retenons nous sur ce que vous avez fait pour améliorer le système éducatif ? Vous n’avez fait qu’ accompagner le système.... Revenons sur l’article 37. Le CDP et sa soit disant majorité peuvent trouver des arguments en béton pour la modifier. Mais a quel fin ? Est-ce pour l’intérêt de la nation ? ou d’une personne , d’un clan ? La réponse sincère à cette question détermine votre personnalité.
    Vous avez l’âge d’un grand père et l’éducation que nous avons reçu ne nous permet pas d’avoir des propos discourtois à votre égard, mais sachez que vous avez contribué à endurcir le système. Je sais , c’est pas de votre faute vous dirai. Et vous ajouterai même que si nous étions à votre place , nous aurions fait pire. C’est pas grave.
    Merci tout de même pour le jeu d’écriture pour nous convaincre. C’était beau votre écrit. Nous n’avons pas eu 18 de moyenne au Bac comme vous , mais on sait tout de même lire entre les lignes.

  • Le 18 septembre 2014 à 13:27, par Passeck En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    En voici un Mr comme tant d’autres, qui a bossé gratuitement du CP1 à l’université, qui a eu l’occasion d’amaser des diplômes et qui pense aujoud’hui être le plus intelligent à travers des écrits bidons. Vous n’avez pas de leçons d’histoire à nous donner cher Melegué !
    Ce n’est qu’en 2008 que la limitation de mandats a été consenti en France, dites vous. Dans le même temps, depuis 1960, lequel des présidents français, malgré ce état de fait, a exercé le pouvoir d’Etat plus de 20 ans.
    Respecter votre titre Monsieur Mélégué, car en matière de gouvernance politique, même dans la gestion du pouvoir traditionnel, il ya des fondamentaux universellement partagés. N’est-ce pas ?
    Nous qui pensons qu’avec la chance que vous avez eu, vous pourriez être utile à la jeunesse que vous avez contribué à sacrifier. Mais je suis complètement assomné de lire votre article. Vous nous donnez une fois de plus la preuve que nous jeunes d’aujourd’hui, nous sommes abandonnés à notre sort et nous ne pouvons compter que sur nos propres forces.
    Sil le ridicule tuait !

  • Le 18 septembre 2014 à 13:31, par Kayélé En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Bonjour chers tous !
    Avec cet écrit, M. Mélégué m’enlève toute l’estime que j’avais pour celui qui fut un "brillant" de sa génération.
    J’aurai pu apprécier cette tribune si elle n’était venue à cette période précise ; telle que, elle est loin d’être désintéressée et à mon avis son but est de créer le trouble dans la tête des gens. C’est qui explique que l’auteur lui même ne peut pas être clair, il reste très flou et très évasif sur chaque grand point.
    Les gens ont tout dit de ce qui devrait enlever en Mélégué l’envie et l’obligation (envers Blaise et le cdp !) de telle sortie de presse ; mais bon les gens de ce genre restent ce qu’ils sont.
    Pour conclure, si c’est pour qu’on accepte ce que leur gang veut, c’est rater. Nous sommes encore nombreux des Intellectuels qui peuvent lire entre les lignes, qui ne sont pas léthargiques, qui croient encore en l’Afrique de demain par nous mêmes pour peux que la racaille dégage et qu’on occupe la place pour travailler. A demain, nous croyons !

  • Le 18 septembre 2014 à 13:49, par siidnooma En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Mélégué Maurice Traoré. Rappelez-vous lors de la crise du printemps arabe. Dans une de vos interview vous avez soutenu que cette révolte ou cette crise ne pouvait pas arriver en Afrique subsaharienne, parce que notre culture était différente de celle des arabes. qu’en plus, nous n’avions pas la même langue. Qu’avec notre mosaïque ethnique et nos multitudes de langues, on ne pouvait pas se mobiliser comme un seul peuple. Qu’en outre, le niveau d’éducation et d’alphabétisation était faible chez nous, que les moyens modernes de communication n’étaient pas aussi développés comme dans le Nord et j’en passe....
    J’étais personnellement écœuré quand je vous ai lu. C’était comme si les noirs ne pouvaient pas se dresser contre l’injustice...Quelques mois plutard survint la crise militaire DE 2011. Laquelle crise a contraint Blaise Compaoré, votre mentor à fuir le palais qu’il ne veut pas quitter en 2015. je ne sais pas ou était Mélégué en ce moment. Juste un rappel.

  • Le 18 septembre 2014 à 14:53, par alerte226 En réponse à : Que faites-vous pour que nous consommons et pensons Burkinabè ?

    Vous dites que l’Afrique continue de tout importer et de tout consommer pourvu que les produits viennent d’ailleurs, vous qui êtes aux affaires depuis longtemps, qu’est-ce que vous avez fait pour que nous consommions et mangions Burkinabè ? Les séries télé qui véhicules de valeurs morales basses pervertissent les citoyens avec la complicité de l’Etat qui utilise notre argent pour nous servir des choses qui ne sont pas bien pour nous. Notre indépendance agricole est menacée par les O G M dont le but est de nous rendre dépendant des fabricants. Vous êtes à l’assemblée, êtes-vous auteur d’une quelconque proposition de loi pour la préservation de notre culture, de notre identité et de nos valeurs ? Tout le monde sait que le développement de l’Afrique n’est pas pour demain car l’Afrique ne s’appuie pas sur son identité et sa culture. Dites moi ce que vous faites. Merci

  • Le 18 septembre 2014 à 16:24, par Gédéon En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    M.M. Traoré, par rapport à la question sur les "institutions fortes" et les "hommes forts", nous disons qu’au Faso, nous avons besoin d’hommes simplement intègres, instruits comme Obama, suffisamment charismatiques comme ceux que vous avez cités, en grand nombre pour former des institutions solides, destinées à construire une Nation du XXIe siècle. Pas plus que cela.
    Si vous décrier le comportement de nos intellectuels, c’est parce qu’ils sont incapables d’être constants et consistants. Comment comprendre des intellectuels qui sont incapables d’accepter que s’il y a ou s’il y a eu la guerre en Libye, au Zaïre (Congo Braza),en Côte d’Ivoire etc... c’est parce que des gens ont voulu déifier les président à un certain moment de leur règne ? Le mal de l’Afrique ce sont ses intellectuels. Mais comment se développer sans intellectuels ? On en forme, et ils deviennent corrompus, malade du pouvoir, fourbes, menteurs, cupides, voleurs etc... Aucun moyen de les arrêter parce qu’il n’y a que de pseudo institutions avec des présidents avides de pouvoir qui se disent forts, alors qu’en réalité, ils expriment la faiblesse même. C’est vraiment dégueulasse.
    Mélégué lui même confond tout et tombe dans le sophisme. De grâce, comment comparer la politiques des peuples avancés et évolués avec des pays à près de 80% d’analphabètes ?
    Des démocraties vieilles de deux siècles ne peuvent être assimilées à celle qui sont très jeunes d’Afrique.
    Ces vieilles démocraties savent ce qu’elles font. Les pays d’Afrique subsaharienne naviguent à vue. Instruisez le peuple, élevez le niveau d’instruction à 90%. C’est cela notre défi. Après cela, demandez au peuple de faire des choix éclairés et vous verrez.

  • Le 18 septembre 2014 à 17:09 En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Je vous avais toujours dis que ce monsieur n’ est pas serieux. C’st un monsieur accroche a ses interets comme une mouche maconne accrochee a ses femmes. Depuis le scoutisme moi je connais ce monsieur qui n’ a jamais aime Dominique Millogo, un jeune dynamique qui a ete dynamite, ah ce brillant prof d’ Histoire- Geo au LOC. Mais c’est Dieu qui est fort.

  • Le 18 septembre 2014 à 17:43, par sidpayété En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Mr Traoré, vous étiez les ténors de l’ODP/MT en son temps, rectificateurs de la révolution d’Août. C’est maintenant que vous ouvrez l’œil. ce sont exactement ces mêmes valeurs que feu Thomas Sankara défendais. Vous aviez assisté à son assassinat sans mot dire et aujourd’hui vous vous transformez en donneur de leçons ! C’est vous grands intellectuels qui aviez contribué à la perte de ces valeurs. Mais vous avez toujours le droit de vous révolter aujourd’hui encore car il n’est jamais pour bien faire.

  • Le 18 septembre 2014 à 18:39 En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Mr Melegue, le constat que vous faites est simplement le constat d’échec des 27 ans de pouvoir de Blaise Compaoré et de vous même. Comment expliquer qu’en un quart de siècle, votre homme fort en soit toujours à se rendre aux "convocations" a Washington ou à Paris. Que le Burkina en soit toujours à tout importer ?
    DeGaulle, churchill, Mao et autres auxquels vous voulez comparer Blaise Compaoré ont transformé leurs pays en moins de temps. Et ne me parlez pas de ressources naturelles, parce que plein de pays développés en sont dépourvus.
    Toute cette gymnastique pour parler de l’article 37. L’Afrique est en retard à cause des pseudo intellectuels qui préfèrent leur ventre aux intérêts de leurs peuples.

  • Le 18 septembre 2014 à 18:55, par ACDBETISE En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    QUE DE CONFUSIONS ET MENSONGES MONSIEUR ! En france le mandat présidentiel a toujours été limité à 2 maximum : d’abord 2 x 7 ans (et seul Mitterrand a fait 2 mandats de 7ans !!), puis 2x5 ans depuis 2009 (par Chirac) jusqu’aujourd’hui ! Vous n’êtes même pas capable de parler de ce que la Constitution burkinabè a copié : passer de 7 à 5 ans et renouvelable une fois. Ne racontez pas d’histoires derrière vos titres et fonctions !

  • Le 18 septembre 2014 à 19:05, par terra seydou En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    ah attention mon cher ami anonyme ; pour vous rappeller que le regrette MR DOMINIQUE MILLOGO est plutot prof d" anglais a eté proviseur du lycée ouezzin une seule annéé si je ne trompe,PAR CONTRE UN AUTRE MILLOGO a enseigne histoire geographie au loc,mais était paul millogo bien sur je ne contredit pas le reste de votre message, car de MELEGUE je n’en sais rien du tout

  • Le 18 septembre 2014 à 19:26, par changeons En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Si ce monsieur pouvait lire tous ces messages, il allait la clouer.

  • Le 18 septembre 2014 à 23:19, par OS En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Inqualifiable cet écrit. Avec le respect que mon éducation m’impose pour ce Monsieur qui a l’age de mon pere, je m’en voudrais de trouver autre chose a dire en plus de tout ce qui a été dit dans les autres commentaires, mais il se prend pour qui ? Il croit pouvoir égarer qui ?. Il a simplement rate l’occasion de se terrer comme il aurait du le faire il y a bien longtemps. Cette intervention a fini de me convaincre de la difference qu’il y a entre être instruit et être intellectuel, le premier étant celui de faire des etudes peu importe sa longueur et le second regroupant l’instruction mais aussi l’education dans sa globalité (Morale, dignite, honneur, estime de soi etc.). Bref, pas trop étonnant, si on a pas pu défendre sa propre famille comme il se doit, comment peut on efficacement défendre une pseudo-cause national perdue d’avance, suivez mon regard. Excellence M.M. TRAORE, vous aurez du laissez ces genre de propos aux nouveaux zeles qui s’attendent aux strapontins on les comprendra mieux eux (on est de la meme generation), que de descendre vous meme en dessous du niveau zero de la morale et de la dignite que doit revendiquer un diplômé de votre age !!! Finalement vous avez choisi de tout perdre avec Blaise COMPAORE ? Il aurait eu raison de vous faire subir tout ce qu’il vous a fait subir comme humiliation et degradation !!! Les mots me manquent. Bonne suite Monsieur, mais la jeunesse se fera son chemin sans vous parce que vous avez choisi de vous complaire dans le dédains et le mépris du Chef de Gang des COMPAORE.

  • Le 19 septembre 2014 à 14:51, par activiste En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Melegué est terriblement désespérant. il as trop déçu.
    finalement plus personne ne voudra de lui ; ni le CDP, ni l’opposition.

  • Le 19 septembre 2014 à 15:14, par Déindé En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    M. Mélégué, on ne peut que vous féliciter pour la qualité de votre écrit, en sa forme savamment sophiste. Mais au fond, c’est maïs. Car tout ce que vous racontez comme trouvaille intellectuelle, LE PEUPLE le connait dans sa langue et le vit depuis longtemps, au moins depuis 1987.
    Je vous dois surtout le reproche de n’être pas courageux. Comment alors la jeunesse peut-elle suivre quelqu’un comme vous ? Vous n’avez pas d’idéal digne à défendre. Ce qui révolte encore plus, c’est que vous voyez le chemin, mais vous faites toutes les contorsions inimaginables pour ne pas le suivre.
    Je suis plutôt convaincu que cette période critique du Burkina est une revanche d’abord personnelle que l’Histoire vous sert sur un plateau, pour retrouver votre dignité sauvagement bafouée depuis la date que vous connaissez, par ceux-là mêmes que vous vous obstinez à défendre : BC et son CDP. Vous ont-ils wacké ?
    Franchement, il faut penser à la dignité de votre famille, si la vôtre ne vous dit plus rien.

  • Le 19 septembre 2014 à 18:47, par somed En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    pauvre de lui on lui tout pris, sa femme, sa place de president de l’assemblée maintenant c’est son intelligence qui est en train de voler en eclat. tel est le prix de la compromission

  • Le 19 septembre 2014 à 20:15 En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Cette sortie hasardeuse de son ci-devant "Excellencissime" Mélégué Maurice Traoré est à contrario le plus lourd coup de gourdin asséné par erreur à son ami Blaise COMPAORE et à lui-même . Tu te croyais Grand comme le croit Blaise de sa personne. Mais vous n’êtes rien.

  • Le 23 septembre 2014 à 09:56, par la flèche En réponse à : Situation nationale : L’Indépendance, Obama et nous

    Mon docteur, faut dire ça à Blaise. Sankara l’avait dit tout ce que vous dites. Ne disait-il pas d’inventer notre présent et notre avenir propre à nous ? L’autre a décidé d’arrêter ce beau processus un certains 15 Octobre 1987, date du naufrage collectif des hommes intègres d’Afrique. Merci

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