Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Dans la parution N° 2792 du 13 au 19 juillet de Jeune Afrique, Blaise Compaoré est à la ‘’Une’’. Dans une interview accordée au journal, le Président du Faso aborde des sujets nationaux et internationaux. La crise au Mali, Laurent Gbagbo et la CPI, sommet de Washington auquel il participera en début août…
Concernant le Burkina, le président maintient toujours le doute, même s’il reconnait qu’ « Il faudra partir un jour ». La fin de son mandat et la modification éventuelle de la Constitution, Thomas Sankara ont été les questions nationales abordées. L’occupant de Kossyam ne s’est également pas montré tendre envers les cadres démissionnaires du CDP. N’occultant pas à dire qu’ils lui doivent leur passé glorieux.
Bien avant d’aborder les questions de l’heure, notamment le référendum, son avenir politique, l’opposition politique et bien d’autres sujets, le Président du Faso s’est d’abord exprimé sur des questions africaines et internationales.
La crise malienne, Laurent Gbagbo et la CPI
Pas de problème avec IBK ! S’il est vrai qu’il s’était dit qu’il soutenait Soumaila Cissé, concurrent d’IBK aux élections présidentielles maliennes passées, le chef de l’Etat affirme que cela n’a point entaché leurs relations « Nous en avions déjà parlé lors d’une rencontre à Nouakchott ». Sur la question de présence militaire française au Burkina, des dires du Président, cela s’explique en raison de l’intervention militaire au Mali. Et elle sera présente « tant que la situation l’exigera ».
Par contre, il affirme qu’il n’y a pas de base militaire américaine au nord du pays comme le font croire des rumeurs.
Après le Mali, des questions sur la Cote d’Ivoire. Réagissant aux charges pesant sur Laurent Gbagbo qui ont été confirmées par la CPI, « Que justice se fasse », c’est ce qu’affirmera le président Compaoré ; « Ni vous, ni moi, ni eux ne savons pas ce que la CPI prépare. Attendons donc la fin de la procédure avant de formuler ce type de commentaires » ajoutera-t-il en réponse à ceux qui parlent de justice partisane ou affirment que les ex-rebelles ou Guillaume Soro jouissent de l’impunité.
Contrairement à certains de ses homologues qui n’hésitent pas à indexer la Cour pénale internationale de justice partisane ou de juridiction qui ne s’attaque qu’aux affaires africaines, le président pense lui, que ce n’est pas parce que cette justice a ses limites comme ailleurs dans le monde qu’il faut tout remettre en question. « Balayons devant notre porte » affirmera-t-il. « Ce sont les Africains qui ont permis la création de cette cour. Sans nos voix, je ne suis pas sûr qu’elle aurait existé. Nous estimions que les crimes et les exactions commis sur notre continent ne pouvaient rester impunis. Or il faut bien le reconnaitre, nous ne sommes pas toujours en mesure de nous juger nous-mêmes ».
Relations internationales
Parlant toujours de justice, cette fois sur la garde à vue et les déboires de l’ex président français, Nicolas Sarkozy, celui qui affirme que leur dernier contact date de l’an passé soutient qu’ « avec la justice, mieux vaut attendre la fin du feuilleton avant de se prononcer ».
Le Président qui se rendra au sommet de Washington en début août ne craint-il pas de recevoir des leçons de démocratie compte tenu des positions de Barack Obama sur les nécessaires alternances au pouvoir ? « Je n’ai aucun problème à écouter les autres » dira-t-il ; « ce qui m’intéresse le plus, c’est ce que pensent les Burkinabè ».
Aussi s’il est vrai que son nom a été évoqué pour succéder à Abdou Diouf à la tête de l’Organisation internationale de la francophonie, Blaise Compaoré dit ne pas avoir les capacités requises pour ce genre de job. Ni le bon profil ; « Il faut une expérience que je n’ai pas. Je suis trop jeune… ».
Concernant la coopération Burkina-Chine Taiwan et si le Burkina est l’un des derniers pays africains à préférer Taiwan à Pékin, le Burkina ne regrette nullement ce choix fait depuis 20 ans selon le président : « Mon obsession, ce sont les partenaires qui nous permettent de nous développer ».
Référendum, révision de l’article 37, l’après 2015, les grandes questions sur le Burkina
En 2012, le Président dans une interview sur Jeune Afrique, quand on lui demandait s’il réviserait l’article 37, répondait que 2015 était loin. Deux ans après et à 16 mois du scrutin, toujours pas de décision, « je suis toujours dans ma réflexion, j’écoute les uns et les autres ». Aveu de sa part ? En tout cas le président n’exclut pas de s’arrêter après 2015, « il n’est d’ailleurs pas exclu, même si l’article 37 de notre Constitution venait à être modifié, que je m’arrête en décembre 2015, comme c’est pour l’instant prévu ». Il affirme également que ce n’est pas l’après pouvoir qui lui fait peur. « Ce qui me préoccupe, c’est ce que deviendra le Burkina, trouver la bonne formule, garantir la stabilité, ne pas voir détruit tout ce qui a été mis en place ».
Parlant de ses jadis « amis proches » qui ont aujourd’hui créé leur parti politique, le MPP, il montre une certaine indifférence, « ce n’est ni la première fois, ni la dernière fois que cela arrive, et j’y suis habitué ». En outre il affirme ne pas être inquiété par le fait qu’actuellement, les opposants n’ont jamais été aussi nombreux, actifs et soudés. « J’aurais pu être inquiet si, au sein des institutions, à l’Assemblée notamment, l’équilibre des forces avait été modifié. Avant le départ des dissidents, le CDP avait 70 députés, il en a toujours 70 aujourd’hui ».
Si les cadres démissionnaires du CDP avaient été qualifiés d’ « ingrats » en son temps par le Secrétaire exécutif national du CDP, Assimi Kouanda, cet avis semble être partagé par le Président. En effet, lorsque le journaliste qui lui demande, si avoir un ancien président de l’Assemblée, un ancien maire de Ouaga et son ex-numéro deux dans l’opposition ne changeait pas beaucoup de choses, le Président rétorque, « l’on se demande à qui ils doivent ce glorieux passé… ». Il ne se montrera pas tendre envers ses amis d’hier. « S’ils pensent réellement ce qu’ils disent de moi- et je remarque que leur ‘’lucidité’’ est pour le moins subite-, je préfère largement qu’ils aient quitté le CDP » ; « les Burkinabè ne sont pas amnésiques : ils les ont entendus dire des choses hier et le contraire aujourd’hui. Pas sûr que cela valorise leur parole politique ». Le divorce semble être consommé, surtout qu’à la question de savoir s’ils sont toujours en contact, il répondra : « absolument pas. Nous discutons par stades interposés ».
Le sénat sujet à polémique depuis des mois n’est plus qu’une question de temps, foi du Président Compaoré. « Son existence figure dans la constitution, donc il verra le jour. Il reste encore un certain nombre de discussions à mener et de points à régler ».
Dernières questions abordées avec le président Compaoré, celles sur Thomas Sankara. « Thomas Sankara est enterré au cimetière de Dagnoën. Certains en doutent, c’est leur droit, mais la justice, ici, est indépendante. », affirmera-t-il, réagissant à la question sur l’exhumation de la dépouille de Sankara qui a été demandée par sa famille.
Par ailleurs, l’ancien ami de celui qui est aujourd’hui adulé par la jeunesse africaine qui n’hésite pas à le qualifier de Che Guevara africain, affirme ne pas être gêné par ce mythe que forme son nom et sa personne en Afrique : « Pas le moins du monde. D’autres se souviennent qu’à son époque il n’y avait aucune liberté dans ce pays : ni de presse, ni d’association, ni d’entreprendre, ni syndicale, ni politique… D’ailleurs, les partis, nombreux, qui revendiquent sa mémoire et utilisent son nom n’ont jamais vraiment brillé. Il y a le mythe et il y a la réalité ».
Amélie GUE
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 14 juillet 2014 à 22:54, par cl En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Le masque tombe petit à petit ! On decouvrira toute l’horreur ! Mon Dieu !
Le 15 juillet 2014 à 09:25, par yeux ouvert En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Le philosophe Etienne Lamy disait ceci"Le grand art en politique, ce n’est pas d’entendre ceux qui parlent, c’est d’entendre ceux qui se taisent".Juste pour dire que vous qui êtes en train de parler le faite dans le vides,le plus important c’est de savoir lire dans les pensée de ceux qui se taisent.A bon entendeur salut
Le 15 juillet 2014 à 10:00, par le solitaire En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
"La règle d’or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu’une partie de la vérité et sous des angles différents",Ainsi disait Gandhi ;j’ai peur de l’avenir de mon pays et j’en ait la ferme conviction que beaucoup ne comprenne pas le soucis du président,mon souhait vraiment est qu’on arrive a comprendre a la fin.
Le 15 juillet 2014 à 14:52 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
C’est le bon sens renverse la tete sous ses pieds. C’est le president qui doit comprendre Beaucoup ou bien c’est Beaucoup qui doit comprendre le president ? De 1951 a 1987, il n’ etait pas president et il vivait. Il etait meme tres aime. Dites au president qu’ on ne nait pas president et qu’ on peut vivre une vie accomplie sans l’ etre, en ne l’ etant plus, meme apres l’ avoir ete pendant des decennies. S’ il met le feu a la baraque, le Burkina va regretter d’ avoir mis au monde un Neron. Neron est un tyran romain qui a tue sa mere Agrippa et qui a aussi cause l’ incendie de Rome. Pendant que Rome brulait, il jouait son violon (d’ Ingres).
Le 15 juillet 2014 à 19:56, par ZAK En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Un monsieur qui ne s’est jamais préoccupé que de son pouvoir et de son clan et qui, subitement, se soucie aujourd’hui des burkinabè et de leur avenir, c’est de la tragi-comédie !
Le 16 juillet 2014 à 07:41, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Non, tout le monde ne peut comprendre "le soucis "du président car tout le monde ne peut accepter cette imposture qui frise le méssianisme.À moins que notre président Blaise Compaoré avoue par la même occasion que sa démocratie n était qu un vernissage ,une démocratie trompe l oeil.En effet,en acceptant aller à la démocratisation en 1991 ,Blaise compaoré, en mettant son mandat en jeu au terme de chacun de ceux-ci en 1998,2005 et 2010,pouvait être battu par son adversaire ,comme il en est arrivé à sarkosy,georges Bush père qui n ont fait qu un seul mandat et ce ,nonobstant la limitation des mandats présidentiels à deux.Alors,a-t-il une fois pensé durant ses différentes campagnes électorales précédentes son possible échec et subséquemment l avenir du pays entre les mains de son "tombeur" ? Comme on le voit bien,ceux qui clamaient que l alternance devrait se faire dans les urnes et non par un article de constitution ne croyaient même pas un seul instant,sauf ceux qui se laissent berner, à leur profession de foi.Un marché de dupe dirais-je !! On comprend pourquoi cette soudaine inquiétude parce que là ,les portes de la prolongation lui seront hermétiquement fermées au terme de ce dernier mandat en fin 2015.Si tant est que le programme de Blaise qui puis garantir la prospérité et la quiétude au burkinabè lui est chèr,qu il le transmette à son successeur à la tête du cdp et laisser le choix aux électeurs qui le compareront à celui des opposants en 2015 .Car,en démocratie ,le choix des dirigeants est fonction de ce qu ils proposent au peuple ;toute autre considération n est que baliverne.Au demeurant,s il y a lieu de de s inquiéter de l après BC,ce sont tous ceux qui s agglutinent au tour de lui ,défendant bec et ongle le maintient de Blaiso au pouvoir.Car, ayant répondu favorablement à sa conception de démocratie,une démocratie fondée sur le laisser-aller:corruption,impunité,concussion,gabégie...bref la malgouvernance.Ce sont ceux là qui ont des raisons de s inquièter de l après BC et non l avenir du pays qui serait mis en pointillé, pour la simple raison que tous les pays du monde,le Burkina y compris , ont toujours survécu à leur président ,les meilleurs comme les mauvais.Le motif de leur peur ? Peur de l avenement d une vraie démocratie.Celle basée sur une justice sociale,l équité devant la loi,la transparence,le respect du droit,bref le bon fonctionnement des institutions qui ne fait aucune place à l amateurisme,au favoritisme.Peut être que le président fait un clin d oeil à ces gens là:Vous m avez aidé à battir mon régime ,si je coule vous coulez !! Si seulement beaucoup pouvaient comprendre que ,comme nous l enseigne George Orwel "Le langage politique est destiné à rendre vraissemblables les mensonges ,respectables les meurtres et à donner l apparence de la solidité à ce qui n est que du vent." Non,nous ne tomberons pas dans ce piège,2015 terminus !!
Le 16 juillet 2014 à 11:27, par pour un monde bien meilleur En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Belle inspiration de votre part,en tout cas je suis ému de votre analyse et je suis fier de vous savoir nombreux vous qui êtes prêt a vous battre pour votre l’avenir du pays donc de vos enfant et vos petit enfants,je suis sûr que petit nous parlerons comme un seul homme,d’une même voix on dira"oui on va y arriver oui on a réussi".
Le 16 juillet 2014 à 15:02, par entre juge et parti En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Nous sommes tous des humains et c’est certains que chacun de nous peut se tromper a quelque part,faire une erreur est un acte humain et tu doit te réjouir de pouvoir le faire car car démontre que tu es u humain.Donc vous avez bien le devoir de comprendre que faire une erreur ne fait pas de vous une erreur,donc un peu d’indulgence envers les autorité car ils sont eux aussi des humains.
Le 9 août 2014 à 09:30, par 50ric En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
tres belle remarque.Que ceux qui ont des oreilles entendent et ceux qui ont des yeux voient.
Le 15 juillet 2014 à 10:25, par commando invisible En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Bien parler mon cher yeux ouvert je suis parfaitement d’accord avec toi sur ces propos de monsieur Compaore,j’ai moi même peur du lendemain du pays des hommes intègres et j’ai encore plus peur que le pouvoir ne soit dans la main de ces arrivistes,ce trio qui a déjà dévoilé ses ambitions quand ils étaient encore au pouvoir.
Le 16 juillet 2014 à 21:08, par viking En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
bien dit commando invisible.dans le temps un de ce trio fetait ses miliar pendan kelkin dotr mourait de faim ou mank de soin a yalgado.
Le 15 juillet 2014 à 09:44, par sans fetiche En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Blaise Compaore un grand homme politique qui a servi le pays des hommes intègres et une personne a qui le peuple se doit de lui faire des honneur même l’Après lui,tout le peuple Burkinabé a un devoir fondamentalement de reconnaissance envers ce monsieur,c’est pourquoi on se dit prêt a le soutenir pour une éventuel candidature.
Le 15 juillet 2014 à 15:57, par Derrida Deux En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Grand homme politique ou pas, la constitution lui dit de partir en 2015. S’ il ne peut meme pas respecter la constitution de son pays, ne nous force pas a voir une grandeur la ou il n’ y a meme pas une petitesse.On ne peut pas faire un grand politique avec une petite vision. Et une vision centree sur soi ne peut jamais etre une grande vision.
Le 15 juillet 2014 à 17:50, par revolution En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
mon ami ! un devoir comment ? il n’a qu’a aller en retraite et laisser le palais tranquillement ! personne ne lui à demander quoi que ce soit et il va juste récolter ce qu’il semé pendant 27 ans ! il n’est pas le 1er président et il ne sera pas le dernier ! merde mon ami !
Le 15 juillet 2014 à 18:54 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Tu es le plus idiot des burkinabé. Tu crois que personne ne peut faire ce qu’il a fait en 27ans ?
Le 15 juillet 2014 à 20:52, par wendpamga En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mon cher il faut évoluer mentalement car si ce n’est pas un voleur ou un fainéant tu ne pas vouloir une candidature de plus pour Blaise. Sachez que la monde evolue
Le 16 juillet 2014 à 11:37, par tchien chè En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
J’ai tant souhaiter voir l’Afrique uni pour une seule cause,quel qu’en soit nos différents je crois qu’on doit rester soudé quand vient le moment de le faire et ce moment se présente ainsi comme celui ci,je sait compter sur la bonne volonté et la compréhension de tout un chacun afin de montrer notre solidarité,vive le pays des hommes intègres.
Le 19 juillet 2014 à 18:50, par le Grand Sachem En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
grand homme que Madiba ?je pense qu’il ferait bon Grand sachem en reconstituant le royaume d oubritenga. Quant aux acolytes ne faisant que la politique du ventre et du bas ventre qu il sachent que 2015 c’est pour bientôt et le changement c’est maintenant.
Le 9 août 2014 à 09:39, par 50ric En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
je vous ovationne ;vous faites partie de ceux la qui réfléchissent avant tout.
ce qui me fait mal est que j’ai l’impression que le peuple a été victime d’une flatterie et de tromperie de la part de ces soit disant "arrivistes" ; ca fait très mal de le savoir ;on payera tous le prix fort pour cela ;les Libyens sauront nous consoler
Le 15 juillet 2014 à 09:46, par Nasser En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Un président de la république est celui qui dit j’écoute les Barack OBAMA et cie mais « ce qui m’intéresse le plus, c’est ce que pensent les Burkinabè ». OBAMA n’est pas Burkinabé à ce que je saches, il ne connait donc pas la réalité du Burkina plus que le Président. Blaise ne peut pas aller dire aux américains ce qu’ils leur faut. Donc que chacun garde sa place.
Le 15 juillet 2014 à 10:32, par gros bras mince En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Bien parlé Nasser,il y’a rien que le président des USA puisse apprendre a notre président concernant le pays des hommes intègres,le pays de l’oncle Sam demeure le pays de l’oncle Sam et le Burkina demeure le Burkina.Chacun chatouille où ça le gratte et le président Obama fera mieux de faire ainsi,je vous rappel que selon les statistique c’est la plus mauvais président des USA depuis les années 50.
Le 15 juillet 2014 à 15:07, par matyp & K’Emp En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Malheureusement, c’est là la preuve que vous êtes des ignorants. Ce n’est pas parce qu’on vit dans un pays qu’on connaît ce pays, ni parce qu’on en a la nationalité. Il faut, au préalable, s’intéresser au pays et, je crois que ce n’est pas le cas du Blaisot national, plutôt intéressé par son fauteuil et celui de ses acolytes.
Le 16 juillet 2014 à 01:19, par vérité no1 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Bien dit, ce n’est pas parce qu’on se balade avec la nationalité burkinabé qu’on doit obligatoirement connaître le Faso, lui gros bras mince, si on lui demande de citer le nom de 2 bons quartiers de Bobo, il ne pourra même pas, je ne parle même pas des sites touristiques.
Le 16 juillet 2014 à 11:22, par gros bras mince En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Je ne sait pas si tu es vraiment un des notre,tu es en train de me dire que le président Obama connait mieux le pays des hommes intègres que monsieur Compaore ;je te rappel que le président Obama n’a jamais été sur le territoire Burkinabé.Je t’invite a faire un effort de réflexion,le moindre qu’il soit et tu comprendra peut être que tu n’a rien compris.
Le 31 juillet 2014 à 18:25, par Cantiniquement Votre En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Obama connait le Burkina plus que Blaise Compaore et ses derrieres. Obama sait qu’ on est pauvre. Donc il envoie des milliards pour nous nourrir, pour construire nos routes pendant que Blaise saute d’ avion en avion et ses porodamba eux transferent les milliards voles dans les banques suisses et canadiennes dans des cantines.C’est comme un homme qui a le derrriere troue et qui s’ achete du parfum Yves Sainbt Laurent. Ca, il faut rire pour ne pas pleurer quand meme.
Le 15 juillet 2014 à 17:19, par mitibkieta En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
quand les USA donne des milliards (MCA) pour les burkinabés, quand l’OMS réunis les ministres africains de la santé à accra pour leur demander de réclamer que les présidents de la CEDEAO luttent contre EBOLA. vous pensez tjs que ces étrangers ne connaissent pas nos réalités et ne nous veulent pas du bien ???
Le 15 juillet 2014 à 19:44, par Indy En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
C’est simple si vous ne voulez pas qu’ils s’imissent dans les politiques des pays tres pauvres, ne tendez pas la main a l’occident pour les differentes aides que vous recevez des contribuables americains et europeens ! Refuser l’aide alimentaire, medicale, pharmaceutiques, militaires, les goudrons, ayez des compagnies nationales qui exploitent vos richesses etc...
Evitez aussi de les appeller quand vos cases bruleront...pourquoi faire le medecin apres la mort si on peut sauver le patient ! Reflechissez bien quand vous parler de politique internationale.
’’La main tendue a du mal a ne pas etre tendue’’
Le 16 juillet 2014 à 19:31, par Indy En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
C’est simple si vous ne voulez pas qu’ils s’imissent dans les politiques des pays tres pauvres, ne tendez pas la main a l’occident pour les differentes aides que vous recevez des contribuables americains et europeens ! Refuser l’aide alimentaire, medicale, pharmaceutiques, militaires, les goudrons, ayez des compagnies nationales qui exploitent vos richesses etc...
Evitez aussi de les appeller quand vos cases bruleront...pourquoi faire le medecin apres la mort si on peut sauver le patient ! Reflechissez bien quand vous parler de politique internationale.
’’La main tendue a du mal a ne pas etre tendue’’
Le 15 juillet 2014 à 09:52, par Le Consultant En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Le message de notre président est claire :
Je pourrais partir même si la constitution me permettra de rester en 2015 mais je me battrai pour changer cette constitution.
En langage de tous le jours :
Je me battrai pour avoir de la nourriture comme j’ai faim mais il pourrais que je ne mange pas si j’obtiens cette nourriture.
Le peuple n’est pas dupe !!!
Le 15 juillet 2014 à 10:38, par l’imbattable En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Monsieur le consultant juste te signifier que tu n’a rien compris du tout concernant son message et c’est justement la ruse du président,je t’invite a fouiller davantage dans ton maïs afin de comprendre un peu.COURAGE
Le 15 juillet 2014 à 15:00 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Relis plutot le consultant. C’est la meme chose qu’ il dit. Evitez les feux amis. Blaise n’ aime pas son pays. Ce que vous dites meme qu’ il a fait, il faut diviser par 27 et vous verrez que c’est ridicule.
Le 16 juillet 2014 à 11:46, par le clasheur En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Tu n’aura pas de pseudo toi,tu sait que tes propos sont ridicules et je te comprend car tu ne fait que écouter les uns et les autres sans chercher a savoir davantage,dans la vie il y’a des acteurs et des spectateurs et je crains fort que tu fasse parti du premier groupe,alors tu préfère te cacher derrière cette note démunie de connaissance et te faire toi aussi entendre.Je t’invite a sortir dans le monde des spectateurs pour rejoindre celui idéal,celui des acteur ou tu souffrira toujours de ton ignorance.
Le 16 juillet 2014 à 15:22, par chef de classe En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mon frère pourquoi parler a ce dernier c’est sûr qu’il est né de la dernière pluie,quelqu’un dit que le président n’a pas assez fait pour le pays je me demande si la personne vie réellement ici mais je te donne raison puisque tu n’a pas connu le pays des hommes intègres a l’époque.
Le 18 juillet 2014 à 15:10 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
On n’ as pas dit qu’ il n’a rien fait. Il n’a pas assez fait. C’est juste. Compare c qu’ il a fait a ce pays a ce qu’ il a fait de ce pays.Mais tu n’as pas l’ intelligent pour faire ce distingo subtil.
Le 15 juillet 2014 à 10:10, par ENERIQUE En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
il n’y’aura point de guerre au Burkina Faso,Blaise est un homme de paix pour cela ne vous inquiéter pas !s’il n’aimait pas la paix penseriez vous qu’il serait médiateur dans les pays Africains et notamment au Mali !de grâce ne voyez pas le mal partout !!!
Le 15 juillet 2014 à 10:40, par LUCKY LUKE En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Je trouve mieux pour toi CL,que tu t’asseyes la tête baisée,la queue entre les jambes que de te dire de telles béttises.Blaise était,Blaise est,Blaise demeurera notre président jusqu’à ce que lui-même,de sa propre initiative,décide de passer le témoin à un autre.Blaise for ever !!!
Le 15 juillet 2014 à 15:18, par Derrida Deux En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Vous ne reflechissez pas vraiment aux consequences de vos mots. Tout ce que vous dites sera retenu contre vous. Une question : Sommes- nous en democratie ou en royaute ? Pour vous dire la verite, l’ alternance est inscrite dans les choses. Si vous refusez l’ alternance sur laquelle on s’ est tous entendu, il y aura l’ alternance naturelle. Vous n’ y pouvez rien. Ne tentez pas le diable. Lui, il ne sait pas s’ amuser.
2. Le 14 juillet 2014 à 23:17, par Tapico En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
celui qui règne par l’épée périra par l’épée. Blaise veut détruire le pays mais Dieu aime le Burkina. l’esprit de la méchanceté rattrape toujours ce esprit,il verra le malheur de ses vifs yeux avant de mourir.
Le 15 juillet 2014 à 08:36, par Aigle blanc En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
C’est dommage pour toi Tapico,dommage que tu ne comprenne rien du tout,que tu ne comprenne pas que le président Compaore est soucieux de l’avenir du Faso et de ces habitant y compris toi quand le trio va s’en parer du pouvoir.Ce sont ses gars et il les connait tous par cœur,il sait de quoi ils sont capable et il craint que son pays ne tombe dans le chaos l’après lui.
Le 15 juillet 2014 à 10:15, par charifamed En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
c’est pluto toi qui ne comprend pas..meme toi,si reellement tu es Burkinabe,tu peut etre president.Et n’oublit pas que tu n’es pas le seul fils de ton papa.le Faso compte 17000000 millions d’habitants..Et notre cher Blaise n’est pas eternel..
Le 16 juillet 2014 à 15:16, par cogito ergo sum En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mon cher charifamed on na pas besoin d’aller loin a l’école encore moins a la Sorbonne pour comprendre que c’est pas permis a n’importe qui de devenir chef d’Etat,durant ton parcours scolaire est ce que une fois tu as été une fois chef de classe,t’es tu posé la question a savoir pourquoi,on ne devient pas leader par hasard et il y’a des gens qui ne sont pas née pour régner.N’a tu pas l’impression souvent que l’argent fuient certaines personne tandis qu’il en poursuit d’autre ?
Le 17 juillet 2014 à 16:39, par FutureBurkina En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
J’aime bien votre discussion et je pense que le Burkina Faso est à un point tournant crucial de son histoire et tout Burkinabé devrait y penser et faire un choix durable et visionnaire pour ce pays. Si nous manquons ce virage je crois que nous mènerons ce pays vers la ruine.
Je pense qu’il est important de méditer sur cette penser de savoir que "les hommes passent et les institutions demeurent" ; par consequent, il est fondamental que nous ayons des institutions fortes et non des hommes forts dans nos Etats. Quelque soit ses bonnes qualités comme le soutiennent certains ou les mauvaises pour d’autres, qu’en sera-t-il pour le burkina s’il s’en allait comme tout mortel ? Survivra-t-il ou pas ?
A mon sens nos Etats Africain sombrent dans le chao parce que nous n’avons pas d’institutions fortes mais plutôt des hommes forts. La Côte d’Ivoire de Houphouët Boigny, L’ex-Zaïre de Mobutu, La Centrafrique de Bokassa, et j’en passe. Par contre, là où des hommes de visions sont intervenus pour instaurer l’alternance, ces Etats ont connu des lendemain heureux, je cite le Ghana de Rawlings, Le Benin de Kerekou, le Mali de Amadou Toumani Toure (jusqu’à cette ingérence pour détruire ce pays). Aujourd’hui nous ne devrons pas être là à discuter de referendum si le Burkina avait des institutions fortes comme l’Assemblée Nationale, le Conseil Constitutionnel.
Que pensez vous si nous passons à des mandats présidentiels illimités et que nous héritons d’un mauvais dirigeant. Attendrons nous qu’il meurt pour s’en libérer et gérer les dégâts qu’il laissera ? Où compterons nous sur un coup d’Etat militaire ? Ou encore un soulèvement populaire ? L’un ou l’autre nous mènera dans un cycle infernal.
Nous sommes jeunes et je suis sûr Ambitieux, alors ne nous laissons pas aveugler par ces politiciens, mais plutôt soyons soudés et ayons de la vision pour ce pays à travers des idées qui construisent et non divisent. Aujourd’hui nous sommes sur Facebook, Twitter, Google, Yahoo et nous échangeons avec ce monde globalisé ; par conséquent, nous sommes sensés comprendre des choses que ces personnes ne comprennent. C’est maintenant que nous pourront jouer notre role pour un lendemain meilleur pour ce pays et tous ces fils et petits fils. Merci frère burkina.
Vivre le Burkina Faso.
Le 15 juillet 2014 à 17:02, par MOT DE PASSE En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Ouvre les yeux tapico,ne soit pas aussi borné.J’espère que tu ne penses pas réellement ton écrit sinon je te conseillerai de te contenter de lire les autres car tu fais vraiment honte.Pauvre déconard prends conscience que tu dois tout à ce président !
3. Le 14 juillet 2014 à 23:19, par Ka En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mr. Compaoré, vous aviez assez trompé votre peuple, mais votre peuple a mûri avec votre peau de caméléon, il sera très difficile pour vous de pouvoir tromper votre peuple en 2015 avec vos insinuations bidon. Vous, vous saviez qu’après la modification de l’article 37, la porte du pouvoir a vie vous est ouverte, et les charognards au gosiers larges qui sont vos complices et responsables de l’armée et du CDP ne vous laisseront pas partir vivant. Non Monsieur Compaoré, si vous avez 1% de sincérité en vous, respectez la lettre et l’esprit de l’article 37 qui interdisent un président du Faso comme aux Etats Unis de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs. A votre rencontre avec le premier représentant des Etats Unis qui est le président OBAMA, ce dernier a certainement été très franc avec vous concernant le fameux article 37 qui est pareil au 22 amendements qui limite à deux mandats la présidence Américaine. Dire que vous partirez après la modification de l’article 37, c’est de roulé votre peuple dans la farine comme a voulu faire votre ami GBAGBO au peuple Ivoirien. Vous aviez manqué votre parole au conseil des sages de notre pays, pourtant miroir de notre démocratie naissante. Blâmer encore le peuple en disant que vous quitterez le pouvoir après une nouvelle modification de l’article 37, est un manque de respect au peuple Burkinabé meurtrie par la corruption.
Le 15 juillet 2014 à 10:26, par DIALLO SITA En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
POURQUOI voyez vous le mal partout chère amis ?écouter une chose,moi je pense que Blaise quittera le pouvoir la tête haute et cela est sans discutions !pensez vous qu’il ne sait pas de quoi il parle ?pensez vous qu’il n’est pas un homme de parole ?tout ce que je sais est que vous tromperez jusqu’a la dernière minute !croyez moi !
Le 15 juillet 2014 à 20:33, par ZAK En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Si votre champion était un homme de parole, digne de confiance, ça se saurait !
Pour votre gouverne, je vous invite à consulter les archives des journaux ; vous serez édifié.
4. Le 14 juillet 2014 à 23:34, par Le Burkina D’abord ! En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Vraiment je pleure devant la honte des propos du Président fini !!
Attends qu’on te congratule au lieu de verser dans l’autocongratulation, la complaisance, la vantardise !!
Sankara serait vivant que le Burkina serait émergent et digne aujourd’hui. Loin des émergences imaginées et des espérances utopiques !!
Le 15 juillet 2014 à 10:15, par le clasheur En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mon frère tu connait rien de la politique,tout ce que vous savez faire c’est de porter des propos a la abruti qui montre a tel point t’es débile,tu nous fait vraiment chier mon mec,le président Compaore ce n’est pas ton camarade de classe alors mesure tes propos si tu a au moins un kbit de conscience,encore une fois de plus je t’encule.
Le 16 juillet 2014 à 01:44, par bemalia En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Je suis sûr que tu es un enseignant d’école primaire,prépare toi tu vas jamais avancer en catégorie c3,turesteras dans ta position et ton directeur n’ira pas à la retraite,stp n’inscrit pas tes enfants a l’école a cette rentrée parce qu’ils finiront par chômer,tout le monde restera a sa position,idiot si des enseignants ne partaient pas à la retraite tu allais rentré dans la fonction public,Salo tu n’a rien compris
Le 16 juillet 2014 à 08:25, par oeil En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Toi, tu as un problème. Tu ne réfléchis pas avec ton cerveau si tu en as un.
Le 15 juillet 2014 à 10:39, par na En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Le Burkina d’abord oui,mais avec un président comme Blaise !n’oubliez pas que chaque peuple mérite son dirigeant !
5. Le 14 juillet 2014 à 23:48, par Sidik En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
« il n’est d’ailleurs pas exclu, même
si l’article 37 de notre Constitution
venait à être modifié, que je m’arrête
en décembre 2015, comme c’est pour
l’instant prévu ».
Comme vous l’avez si bien dit, le peuple n’est pas amnesique. Vous avez beau utiliser des synthaxes confuses, des propos imprecis, des formulatios a multiples sens, vous ne parvindrez plus a duper ni le peuple burkinabe ni l’opinion internationale.
Supprimer le "meme si..." dans votre reponse et preparer tout simplement votre depart en 2015 car je ne souhaite pas que vous quitter le pouvoir ni comme tandja, ni comme gbagbo, encore moins comme mobutu ou kadhafi.
Le 15 juillet 2014 à 18:00 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
AAhh bon ! il offrait la gloire à ses proches au lieu de l’offrir au peuple ! Le peuple a compris qu’il faut qu’il aille chercher sa gloire lui-même. Certains de ses proches ont même parler de lait donc ceux qui sont toujours avec lui sont dans la gloire là ou coule le lait et pourquoi pas le miel aussi pendant que le peuple boit le fiel. La buvette de lait sera fermé en 2015.Monsieur le président c’est ceux qui sont toujours avec vous dans la buvette qui vous dénigrent par des propos qui disent comment vous gérez les affaires du pays, et pour ça ils ne sont pas honnêtes. S’ils veulent vous défendre qu’il le fasse dans la vérité. Mais on dit aussi que qui ne dit mot consent, apparemment on sent que vous avez très peu de marge pour parler. Votre faiblesse c’est de ne pas être expressif et de toujours laisser parler des gens à votre place et le peuple n’a pas soif de vous entendre parler non plus.
6. Le 14 juillet 2014 à 23:58, par Le citoyen En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Le président a été offensif et c’est bien car il ne parle d’habitude pas beaucoup. Je suis pour la continuité avec lui.Il est un leader charismatique et respecté .
Le 15 juillet 2014 à 11:10, par Le Doc En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Leader ou pas leader, " l’Afrique n’a pas besoin des hommes forts, mais des institutions fortes". On a vu des hommes forts en Afrique. Mais ils ont conduit leur pays où ? C’étaient eux qui étaient plus riches que leur pays.
Ils pensaient qu’ils étaient éternels. Mais Dieu n’est jamais pressé. S’il ne part pas, Dieu va le faire partir. Car c’est Lui le Seul Détenteur du pouvoir.
Quand votre leader aura la prostate, il va partir et çà, il n’y aura rien à faire. La justice Divine jugera ; Seul Dieu est le Plus Grand.
Le 15 juillet 2014 à 17:46 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
N’oubliez pas que Maurice Yaméogo avait voulu faire son passage en force mais il fut shooté lourdement par le peuple.Tout comme Blaise Compaoré,il fut prévenu mais semble-il,il disait à qui voulait l’entendre que la Haute Volta c’est sa natte.Il peut s’asseoir ou la plier quand il veut.Le 3 janvier 1966,patatras la natte lui a échappé.Voilà ce qui attend Blaise Compaoré s’il continue à prendre la frange consciencieuse des Burkinabè pour des cons car son escroquerie a assez duré.
7. Le 15 juillet 2014 à 00:04, par souley sandwidi En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Chapeau mon president
8. Le 15 juillet 2014 à 00:25, par Wendlarima TAO En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
toute chose a une fin.Blaise ne fera pas l’exception.QUANT AUX LIBERTES DONT IL PARLE, je n’oublierai JAMAIS QU’il ETAIT MINISTRE DE LA Justce Garde des Sceaux,numero 2 du CNR n’ayant aucun bien materiel.Alors De l’EXECUTION sommaire du Colonel Didier Kiendrebeogo et les 6 autres en passant par le licensement massif des enseignants quelle a ete l’oeuvre de l’aide dure conduite par Blaise ? Maan SUUGRI nous etions la au debut et nous sommes toujours la.
Le 15 juillet 2014 à 21:00, par Karlt En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Wendlarima TAO, tu etais la au debut, mais tu ne sera pas là à la fin.
Dommage pour toi
9. Le 15 juillet 2014 à 00:47, par Nzberdo En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Voici encore une interview truffée d’incohérence :
il se trouve trop jeune pour la francophonie. Non, tu n’es pas jeune, tu n’as seulement pas la culture nécessaire pour. En plus comment pourras-tu assister aux rencontres de la francophonie quand à chaque fois les jeunes te demanderont des nouvelles de Sankara ;
il dit que les démissionnaires lui doivent leur gloire passée. Que non, ils t’ont aidé à assoir ton pouvoir, la preuve voici qu’aujourd’hui ton CDP n’est plus rien, c’est quand même la preuve que c’est plutôt toi qui leur doit ton passé ;
il dit qu’ils se parlent par stade interposés. Non, eux te parlent avec le peuple dans le stade, mais tu leur parles avec un stade vide, sauf si tu as pris pour vrai le dernier montage du CDP sur le stade plein ;
il dit que même si l’article 37 doit être modifié il se peut qu’il s’arrête en 2015 comme prévu : ainsi donc tu sais que c’est prévu par la constitution ? le débat est clos alors. Par ailleurs, si c’est pour modifier et t’arrêter en 2015, laisse tomber, garde ces milliaires pour le nouveau président qui doit les utiliser pour le développement du pays. Surtout ne modifie pas l’article 37 par générosité pour le nouveau président, il n’en aura pas besoin ;
il dit la parole des démissionnaires n’a pas de valeur car ils se seraient contredit. Bah, si l’on doit s’amuser à relever les contradictions qui ont caractérisé ton régime de 1987 à nos jours, on en produirait des tomes ;
il dit qu’au temps de Sankara les libertés de presse, d’entreprise, etc n’existaient pas. Ah bon ? Comme tu es venu rectifier tout ça, comme se fait-il que Norbert Zongo se fasse tué pour avoir cru en la liberté de la presse ? S’agissant de la liberté d’entreprise, pourquoi les hommes d’affaires au BF qui ne sont pas de ton bord croulent tous (l’exemple de Rayis est là, pour avoir donné quelques billets à Boukary kaboré), pourquoi ta belle mère prend toutes les terres de ouaga ? pourquoi c’est toujours les mêmes qui accaparent les pans entiers de l’économie du pays. Ton Salif Diallo avait parlé de patrimonialisation de l’Etat, il a tout dit car il a dit que les richesses du pays sont entre les mains de ta seule famille. Pourquoi est-il crédible en le disant ? Parce qu’il est avec toi avant même que tu ne prennes le pouvoir.
je m’arrête là.
Le 15 juillet 2014 à 09:21, par Hama En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Tu n’as pas compris le sens de stade interposé que le président a évoqué !! Ce n’est pas le stade dans son 1er sens !!
Le 15 juillet 2014 à 17:40 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
HOP !HAMA LE LITTÉRAIRE
Le 15 juillet 2014 à 16:24, par Neekré En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mon frère, tu as tout dit. Rien a ajouter. Pouah !
10. Le 15 juillet 2014 à 01:04, par Nzberdo En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
il dit qu’il se soucie de l’avenir du BF après lui : franchement, il ne manque pas d’aire ce Blaise. Ainsi dans sa tête, la légendaire paix et stabilité du BF sont ses attributs. Non, les burkinabè partagent ses valeurs comme devoirs de bon sens. Dit nous avant toi, est-ce que cette terre des hommes avait des soucis. Aucun, et au contraire, il en a eu avec toi.
Le 15 juillet 2014 à 08:48, par KADO En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
BIEN DIT CHAQUE CHOSE A SON TEMPS ET IL YA UN TEMPS POUR CHAQUE CHOSE.L’HEURE DU CHANGEMENT A SONNE ET IL FAUT DU NOUVEAU POUR UN BF ÉMERGEANT
Le 17 juillet 2014 à 12:06, par gongolomassoke En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
nzerbo regarde lis tous les messages et relis toi tu es inutilement betement virulent Blaise meme est plus calme que toi qui pense avoir la verite...evitons les exces inutile si non on va rendre la tache plus difficile et cequi prendront le pouvoir en 2015 .on pense se battre pour le changement mais l incivisme et la violence verbale qu’on institutionnalise va demeurer et tant pis pour le matricule de ceux qui pense que ca les rend service aujourd’hui...mais eux ils en ont encore pour combient de temps de vie ? ce sont nous qui allons nous manger ici tchrrr meme pas mali.
Vive le changement
non au pouvoir a vie
mais surtout non au militants moutons et inutilement violent
notre nombre est notre force
11. Le 15 juillet 2014 à 01:23 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Ouagadougou le 20 décembre 2015
Président du Faso : Rock Marc Christian Kabore
Premier ministre : Zepherin Diabre
Ministre des affaires étrangere : Salif Diallo
Ministres de la justice et de la reconciliation nationale:Benewende Sankara
Ministre des finances : Simon Compaore
Ministre de la famille et de l’action sociale : Sara sereme
Ministre de la culture:Laurent bado
Ministre de la santé : Emile Pare
Ministre de l’éducation : Gilbert ouedrago
ministre...
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Opposition en exil : CDP
Le 15 juillet 2014 à 10:12 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
AMEN !!!!! AMINA !!!!!
Le 15 juillet 2014 à 15:14, par Derrida Deux En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
C’est de l’ amusement, mais ce serait un gouvernement d’ union nationale tres fort. Tu as le sens du bon sens.
Le 15 juillet 2014 à 17:47, par burkinabè a Saint Louis En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
OUI,on en croit et on espère que ca arrivera.
12. Le 15 juillet 2014 à 01:24, par vérité no1 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
J’ai trop ri quand Blaise dit qu’il n’est pas en contact avec les démissionnaires et pourtant, il risque de chercher leur contact avec torche après 2015. Tandja avait dit qu’il s’ en fou de la CEDEAO et après c’est lui même qui demandait à la CEDEAO de voler à son secours car les "Ranger-Men" voulait qu’il vomisse ce qu’il avait mangé. La constitution ne sera pas modifiée, nous nous opposerons à toute tentative de viol constitutionnel.
13. Le 15 juillet 2014 à 01:52, par guimbo En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
vraiment le blaiso est complet dans sa politique. le peuple jugera les demissionnaires par leur parole d’hier. ex l’article 37 est anti-constitionnel signé ROCK . comment suivre un homme pareil qui change selon la direction du vent. il n’a méme pas d’idéal. ils verons méme si le blaiso s’arret en 2015 le peuple votera celui qu’il appelera à voté car au moins lui il est lucide. les RSS veront la monnaie sera rendu ils seront des piétres politiciens d’ici 2015.
14. Le 15 juillet 2014 à 02:24, par Insincerite En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Au temps de Tom Sank, il n’ y avait pas de justice, de liberte de la presse, etc ? Le temps de Tom Sank etait different du temps de Blaise ? Pourtant qui etait le ministre de la justice et n02 ?
Les lecteurs jugeront
15. Le 15 juillet 2014 à 03:05 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Le president a parler. Sa a pris du ten mais bon le message de force a circuler.Nice Mr President.
16. Le 15 juillet 2014 à 03:14, par Dykôutassou En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Et toi, A qui dois-tu ta "gloire" aujourd’hui si ce n’est à Thomas Sankara que tu as trahi au point d’anéantir toute sa famille ? C’est comme si j’entendais Mobutu en personne narguant son peuple : "....moi qui vous ai donné la démocratie...., moi qui ai fait de vous ce que vous êtes....C’est moi que vous avez trahi aujourd’hui ?".
Blaise,sache que tu dois plus aux démissionnaires et à tous ceux qui sont encore auprès de toi (et pour combien de temps encore !!!), qu’ils ne te doivent. Sans ces intellectuels, tu ne serais pas ce que tu es aujourd’hui. Lorsque tu as usurpé le pouvoir en 1987, que savais-tu faire ? Qu’aurais-tu pu faire sans ces intellectuels qui se sont mis à ton service et ont conçu tout, réalisé tout pour toi, pour ta gloire et celle de ta famille ? Il y en a même qui ont risqué leur vie pour toi. Je revois encore le pauvre Simon arpentant les murs de Gounghin, lui qui a osé braver les marcheurs contre l’ignoble assassinat de Norbert Zongo ! Et Salif dans ses missions risquées pour toi,rien que pour toi ! Et Rock ! N’ont-ils donc rien fait pour toi ? Si seulement tu pouvais reconnaître que tu leur dois plus qu’ils te doivent ! Tu leur dois ta gloire comme tu dois tout à Sankara. Et si tu penses qu’ils t’ont trahi, eux au moins n’ont tué personne ou si tu préfères, n’ont fait tuer personne en trahissant...
Je ne suis ni du MPP, ni proche des démissionnaires dont aucun ne me connaît du reste, ni même d’un quelconque parti politique. Je voudrais seulement que notre Président élève davantage son niveau de compréhension et de réflexion, pour plus de dignité et de respect.
17. Le 15 juillet 2014 à 04:52, par Sniper En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Que d’histoires. .... A nous faire dormir debout !
Le 15 juillet 2014 à 10:25, par commando invisible En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Sniper tu ne comprend rien du tout mon gars,le président du Faso s’inquiète pour votre avenir et vous ne comprenez rien a ça,c’est vraiment pas la peine, je ma demande si vous faites un effort de réflexion.
Le 15 juillet 2014 à 17:11, par Houston_Texas En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Chers concitoyens ! Permettez moi de vous exhortér a plus de maturité dans vos diverses perspectives sur la vie politique de notre cher patrie le Burkina. Que vous soyez fanatiques de Mr Compaore ou pas, comprenez que l’avenir de ce pays demeure dans la capacité de ses fils et filles à asseoir des institutions républicaines fortes qui puissent veiller au respect des textes réglementants la bonne conduite des affaires. C’est donc pour dire, que le citoyen burkinabé devra plutôt se pencher sur le respect des textes juridiques en l’occurrence la constitution qui stipule clairement la limitation des mandats présidentiels.
De mon humble avis le sommet de Washington augure la vision politique des États-Unis sur le continent africain. C’est être vraiment naïf que de croire que les Américains ne peuvent pas peser sur l’équilibre politique d’un autre pays. Bien que préclut par les lois internationales, ils arrivent toujours par exercer une influence énorme sur la vie politique des autres contrées. En conclusion apprenons à faire la différence entre nos passions individuelles et les objectives constitutionnelles.
Le 15 juillet 2014 à 18:39, par Houston_Texas En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Chers concitoyens ! Permettez moi de vous exhortér a plus de maturité dans vos diverses perspectives sur la vie politique de notre cher patrie le Burkina. Que vous soyez fanatiques de Mr Compaore ou pas, comprenez que l’avenir de ce pays demeure dans la capacité de ses fils et filles à asseoir des institutions républicaines fortes qui puissent veiller au respect des textes réglementants la bonne conduite des affaires. C’est donc pour dire, que le citoyen burkinabé devra plutôt se pencher sur le respect des textes juridiques en l’occurrence la constitution qui stipule clairement la limitation des mandats présidentiels.
De mon humble avis le sommet de Washington augure la vision politique des États-Unis sur le continent africain. C’est être vraiment naïf que de croire que les Américains ne peuvent pas peser sur l’équilibre politique d’un autre pays. Bien que préclut par les lois internationales, ils arrivent toujours par exercer une influence énorme sur la vie politique des autres contrées. En conclusion apprenons à faire la différence entre nos passions individuelles et les objectives constitutionnelles.
Le 15 juillet 2014 à 18:42, par Houston_Texas En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Chers concitoyens ! Permettez moi de vous exhortér a plus de maturité dans vos diverses perspectives sur la vie politique de notre cher patrie le Burkina. Que vous soyez fanatiques de Mr Compaore ou pas, comprenez que l’avenir de ce pays demeure dans la capacité de ses fils et filles à asseoir des institutions républicaines fortes qui puissent veiller au respect des textes réglementants la bonne conduite des affaires. C’est donc pour dire, que le citoyen burkinabé devra plutôt se pencher sur le respect des textes juridiques en l’occurrence la constitution qui stipule clairement la limitation des mandats présidentiels.
De mon humble avis le sommet de Washington augure la vision politique des États-Unis sur le continent africain. C’est être vraiment naïf que de croire que les Américains ne peuvent pas peser sur l’équilibre politique d’un autre pays. Bien que préclut par les lois internationales, ils arrivent toujours par exercer une influence énorme sur la vie politique des autres contrées. En conclusion apprenons à faire la différence entre nos passions individuelles et les objectives constitutionnelles.
Le 15 juillet 2014 à 20:46 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
C plutôt à toi de faire un effort de réflexion. Tout tes commentaires sur cet article sont d’un niveau tellement bas....
18. Le 15 juillet 2014 à 04:54 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mieux vaut etre un mythe que rien.Thom SANK vivra eternellement dans nos coeurs comme Mandela, Martin Luther King, le Che tandis que d’autres mourront eternellement
19. Le 15 juillet 2014 à 04:57, par Konan En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mr le president je salu votre intervention car vos reponses sont claires et nettes.bien parler Mr le president le peuple sera toujours avec vous
20. Le 15 juillet 2014 à 05:00 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Heureusement que l’homme est mortel et que le jugement dernier existe. Vraiment pas bcp de commentaire.
21. Le 15 juillet 2014 à 05:08, par missome En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Parler est un art ! Cet grand homme qui marque positivement l’histoire du Faso reste lui même ! Felicitation pour cet brillant interview ( belle sortie médiatique) !
22. Le 15 juillet 2014 à 05:10 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Les demissionaires du CDP doivent leur passe glorieux a Blaise qui doit son present glorieux a Thomas SANKARA. Dans la vie c’est l’homme qui fait l’homme ; rien d’extraordinaire
Le 15 juillet 2014 à 09:24, par Le Sphinx de Pissy En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Dans quel intérêt modifier l’article 37 pour un mandat illimité et que BC ne se représente pas.
Il ne faut pas nous prendre pour des nez percés.
Le 15 juillet 2014 à 09:27, par patrie1 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
comme dit le CDP : c’est un non évènement.
Monsieur le président, vous savez comment faire pour que le burkina soit stable après vous en 2015. renforcer les institutions et partez. mettez l’article 37 dans les articles non revisables.organiser des elections libre et transparentes et prenner votre retrait. le peuple vous sera reconnaissant et votre mythe sera plus celebre que tout. mais sachez que tout le monde sait que c’est une stratégie de trahison qui se prepare. mais heureusement que le peuple a muri et comprend mieux vos jeux de dupe. nous sommes vigilants. toute chose a une fin comme vous le dite si bien.
23. Le 15 juillet 2014 à 09:21 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
« absolument pas. Nous discutons par stades interposés » est ce le président ou le militant cdp qui parle ?
24. Le 15 juillet 2014 à 09:21, par MONSIEUR BONHEUR En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mon président,l’article 37 sera bel et bien modifié et personne ne quittera !vous êtes notre président bien aimé et vous le resterez.vive le président !!!vive la modification de l’article37 !!!
25. Le 15 juillet 2014 à 09:23, par GO AWAY ! En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
QU’IL S’EN AILLE SANS MODIFIER LA CONSTITUTION, CE SERAIT ENCORE MIEUX ! Aucun burkinabè sensé n’imagine Blaise partir après avoir modifié l’article 37 ! Qu’il arrête de nous prendre pour des idiots.
26. Le 15 juillet 2014 à 09:47 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mr le Président, une question : pourquoi pensez vous que le pays connaîtra une crise après votre départ ? n’y a t-il pas des président avant vous qui ont diriger ce pays ? quand ils sont partis ( même ceux partis tragiquement)cela à t-il engendré des crises ? à ma connaissance NON. Avant vous le pays a existé, après vous le pays existera. Vous ne dépassez en rien ceux qui vont précédé, ayez du respect pour leur mémoire.
Par ailleurs quoique vous diriez sur Thomas SANKARA, son nom restera gravé dans l’histoire. C’est un héros et une idole pour la jeunesse africaine que vous ne serez jamais même si vous faites 90 ans de pouvoir.
27. Le 15 juillet 2014 à 09:49, par J’AIME MA PATRIE En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Il a du génie cet président.Personne ne fera sans doute mieux que lui car il est comme envoyé pour conduire le Burkina vers le bonheur suprême !!!tous derrière lui.
Le 15 juillet 2014 à 15:45 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
..vers l’abime sublime, surement.
Le 15 juillet 2014 à 20:22 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Pitié pour de telles sornettes. Quand plus de la moitié du peuple n’arrive pas à manger correctement 3 fois par jour, n’arrive pas à avoir un bon logement, n’arrive pas à se soigner, à éduquer leurs enfants, etc. Vous devriez avoir honte de vos dires car le Burkina est toujours dans les 3 derniers de la classe sur le développement humain et, ce, depuis que Blaise est au pouvoir.
28. Le 15 juillet 2014 à 09:50, par PRESIDENT FONDATEUR En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Parlant du trio RSS, BC dit : « Les Burkinabè ne sont pas amnésiques : ils les ont entendus dire des choses hier et le contraire aujourd’hui. Pas sûr que cela valorise leur parole politique » Mr le président, vous jurez à chaque investiture de respecter la constitution, vous avez jurez de respecter la proposition du collège des sages, au CCRP vous avez dit que les points non consensuels seront laisser en l’état. Alors de quelles paroles données parlez-vous ? Effectivement nous ne sommes pas amnésiques. On vous demande une seule chose, faite profile bas de votre ego en respectant notre loi fondamentale. Que c’est triste de tenir de tels propos vis-à-vis de son meilleur ami.l’Afrique pleur toujours le Président Sankara car il fait partie du cercle très fermé des immortels, chose que vous n’aurez jamais malgré les 27 ans au pouvoir. A l’extérieur, le BF se résume en son nom et les témoignages son légion.
29. Le 15 juillet 2014 à 10:37, par Spartacus En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
J’imagine un Barack Obama ou François Hollande s’accrocher au pouvoir par crainte du devenir de leur pays !D’ailleurs Hollande a dit qu’il ne se présentera pas tant qu’il narrive à baisser le taux du Chômage.Eh Afrique.
Le 15 juillet 2014 à 15:47, par BOSS En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
de 1960 à 1987 le burkina a eu 5 présidents en 27 ans. Et 1987 à 2015 soit 28 ans pour un seul president.
Le 15 juillet 2014 à 15:57, par YAWOTO En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Ce que Blaise ne réalise pas c’est qu’on le connais assez bien maintenant. Moi-même je pourrais refuser de mourir parce que je ne sais pas ce que va devenir ma famille après. Si transition difficile il y a ? Qui est à la base de cette difficulté ? Dire qu’on s’inquiète de la stabilité du Burkina après soit, c’est vraiment se moquer de 17.000.000 de personnes qui seraient incapables de trouver un parmi eux pour diriger le pays. Le Burkina n’a pas débuté en 87 et il ne finira pas en 2015 si Blaise n’est pas là.S’il choisi de semer la merde après lui pour satisfaire son égo en empêchant les autres d’hériter d’un pays gouvernable, il aura choisi une fin des plus déshonorant. Il n’aura rien apporté au BURKINA parce qu’il aura choisi d’emporter plus que ce qu’il apporté.
Le 15 juillet 2014 à 16:07, par Bam’s En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
L’administration est une continuité, telle que soit la personne qui sera au pouvoir demain au Burkina, il viendra avec son programme de société pour cinq ans renouvelable une fois. C’est la durée au pouvoir qui pose souvent problème. Nous avons des dignes fils et filles qui peuvent continuer les œuvres du président. La preuve il y a des projets et programmes du président Thomas Sankara qui ont été exécutés par le président Compaoré (exemple : l’aménagement de la vallée du Sourou, le barrage de Samandeni et biens d’autres. Regardons la vérité en face.
Le 15 juillet 2014 à 17:17 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Tout ce qui nous intéresse dans cet article est ceci : "il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 COMME PRÉVU" et j’allais même ajouter comme PRÉVENU.
Maintenant quand au :QUAND et surtout COMMENT ! c’est le plus simple : il a souvent traité cette question chaque fois qu’il fait des nominations ou admet des personnes en retraite, c’est de la même manière qu’il faut partir. Le COMMENT n’est pas plus que de s’arrêter comme il l’a dit. La malaise des burkinabè c’est n’est pas tant la modification de l’article 37, parce que modification ou pas modification le prochain président s’en chargera dans les tous premiers moments de son mandat pour que tout soit clair pour de bon. Le peuple veut que enfin le président s’arrête après cette carrière brillante et brûlante.
30. Le 15 juillet 2014 à 15:02, par Bengazi 2015 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mon président choisi le chemin le plus cour pour sauve aujourd’hui ou mourir demain par le plus long, pendre notre note se message.
Le 15 juillet 2014 à 16:55 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Se vendre est un art ! Se faire payer pour écrire est une prostitution dans le contexte actuel.
Le 15 juillet 2014 à 17:38, par tripoli En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
vous n’avez rien dit mon cher Bengashi.Si tu n’a rien à dire va te faire paitre !!!
Le 15 juillet 2014 à 18:32, par SAMCOOL En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Quand on change de gouvernement pendant 27 ans parce qu’on estimes souvent que les membres ne sont pas à la hauteur on pourrait aller plus loin en laissant d’autres faire aussi leur expérience de la gestion du pouvoir d’état. Quand on fait garder son petit frère par la sécurité présidentielle, on n’est pas exemple devant le peuple qui paye chaque jour les frais de l’insécurité. Quand une partie du peuple ne pouvait pas voter jusqu’à un passé récent et subitement on est soucieux de prendre cette préoccupation en compte dans un contexte de démission de poids lourds du parti majoritaire, on est en droit de ce poser des questions sur la prétendue pérennité du président COMPAORE.
moi j’ai une idée la dessus. Nos compatriotes de la RCI, du Mali diront que c’est BLAISE qui a ramené la paix dans ces pays et donc par devoir de reconnaissance vont voter en masse pour le CDP. Voila ma lecture du jeu du camp presidentiel actuellement.
Le 15 juillet 2014 à 21:52, par simple En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Pourquoi les présidents africains ne se référent-ils pas à leur service de communication avant de dire quoique ce soit ?
Le président Blaise vient de se faire découvrir alors qu’on sent l’interview bien organisée.
Mon président, on sent de l’adrénaline monté dans vos propos. Un pro en communication remarquera que la situation dans laquelle vous trouvé vous énerve énormément alors que je vous sais calme face aux situations difficiles.
Exemple : Quand on vous questionne sur les rapports que vous avez avec vos anciens camarades démissionnaires, vous auriez du répondre comme un président au dessus de la mêlée.
En conclusion, En vous lisant, je peux dire sans me tromper que la panique vous gagne à l’approche de 2015. Les blancs, ceux qui vous utilisent, vos soutiens réels vont vous lâcher.Les intérêts priment, Concentrez vous donc positivement sur votre peuple car c’est le peuple que vous avez dirigé depuis 27 ans . Ce peuple là, a une sympathie pour vous retenez le. Une Chose a ne pas confondre avec l’article 37. L’étau risque de se resserrer en 2015 autour de vous. l’excès de confiance nuit souvent. Et les jours passent vite et très vite.
remettez les pendules à l’heure.
J’admire votre calme en tout cas
Conseil d’un spécialiste en communication
Le 15 juillet 2014 à 23:29 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Les cimetières sont pleins d’Hommes indispensables. C’est tout.
Le 16 juillet 2014 à 07:53, par Revons toujours En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Comme d’habitude c’est hors du Burkina que le président parle aux burkinabè
Je trouve que c’est un manque de respect à notre égard. Depuis janvier on fait marches et contre marches et ensuite meeting et contre meeting et il ne dit rien.
Si il s’inquiétait vraiment pour nous, il l’aurait dit depuis longtemps. On n’a pas besoin d’une date particulière pour parler à son peuple encore moins par journal interposé (surtout de l’extérieur). Ce monsieur la se fout de nous
31. Le 15 juillet 2014 à 15:09, par KPENW En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
TIENS ! DONC IL SAIT TRÈS BIEN QUE C’EST PRÉVU DANS LA CONSTITUTION POUR 2015 ! SUPER !
MONSIEUR LE PRÉSIDENT, LA QUESTION DE L’APRES POUVOIR EST EGALEMENT RÉGLÉE PAR LA MÊME CONSTITUTION : LE CITOYEN FRAPPE PAR LA LIMITE DE 02 MANDATS CONSÉCUTIFS, ORGANISE UNE ELECTION PRÉSIDENTIELLE A LAQUELLE IL N’EST PAS CANDIDAT, ET UN AUTRE PRÉSIDENT VIENT CONTINUER LA GESTION DU POUVOIR VERS L’OBJECTIF DE DÉVELOPPEMENT DU BURKINA FASO.
32. Le 15 juillet 2014 à 15:17, par KPENW En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
MAIS POURQUOI PARLE T-IL TOUJOURS UNIQUEMENT DEPUIS L’EXTÉRIEUR ? A PART LES DISCOURS DU 5 AOÛT ET DU 31 DÉCEMBRE (QUI NE SONT JAMAIS PLUS LONGS QUE L’HYMNE NATIONAL SANS LE 2E COUPLET), NOUS N’AVONS JAMAIS L’OCCASION DE L’ENTENDRE A PARTIR DU BURKINA FASO !
NE POUVAIT-IL ACCORDER CET INTERVIEW A L’OBS OU A L’ÉVÉNEMENT, OU POURQUOI PAS UNE CONFÉRENCE DE PRESSE A LA HOLLANDE CHAQUE 100 JOURS ?
33. Le 15 juillet 2014 à 15:42, par YVES En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Une question à Blaise Compaoré : vous vous demandez à qui Rock Salif et Simon doivent leur passé glorieux ? Et vous même à qui vous devez votre passé et présent glorieux ? Attention à votre futur.
Autre chose, vous vous inquiétez de "voir détruit ce qui a été mis en place" Monsieur le président vous n’êtes pas le seul Burkinabé qui puisse diriger le pays ; avant vous on a eu des chefs d’état et après vous on aura bien d’autres. Moi je pense que c’est en voulant vous éterniser au pouvoir que tout sera détruit. PARTEZ TRANQUILLEMENT EN 2015 ; ne plongez pas notre cher pays dans un chaos par votre entêtement, vous et votre clan.
34. Le 15 juillet 2014 à 15:53, par Un Promotionnaire de Ravaillac En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Blaise, pour ceux qui ont fait le College Moderne de Ouagadougou avec leprofesseur d’ histoire Dakuo Nonza qui est devenu inspecteur comme directeur, est un grand bagarreur, passif agressif qui n’ aime pas perdre meme quand il a tort. Nous on l appelait Ravaillac. C’est un personnage romanesque qui etait tres violent. Je ne sais pas si ce n’est pas nous ses promotionnaires qui avons fabrique le monstre parce que en tant qu’ africain, il parait que les noms, ca te suit toujours. VCher president et cher promotionnaire, il faut laisser votre ego de cote. Il ne s’ agit pas de votre fierte ici mais du bonheur de tout le peuple. Vous avez tort mais vous voulez insister parce que pour vous, c’est comme si vous allez perdre, ce que vou n’ avez jamais admis.
35. Le 15 juillet 2014 à 16:06, par DAO En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Dire qu’il a peur de ce que le pays va devenir après lui montre clairement qu’il a échoué.
Sait il quand est ce qu’il va mourir ?
Je croix que ce Monsieur est perdu, il ne reste qu’il se fait appeler Empereur.
Dommage.
36. Le 15 juillet 2014 à 16:09, par pangyawend En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
De quel peuple parle compaoré blaise ?
Celui-là qui n’a ni eau ni benga encore moins l’école et la santé.
OBAMA doit parler parce que c’est bel et bien les oncles maternels de OBAMA de concert avec les français qui l’ont installé pour peu que blaise accepte dire la vérité.
Ceux qui l’ont mis la-bas estiment que le travail pour lequel il a été placé est terminé.
37. Le 15 juillet 2014 à 16:33, par ologbana En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Merci webmaster, c’est bien ce que tu fais !
38. Le 15 juillet 2014 à 16:54, par sissi En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Parle-t-on d’un pays, de ses institutions d’un peuple ou de personnes qui passent par le temps alors que l’état est l’entité qui doit s’inscrire dans la durée ?
Revenons à la réalité, respectons nos vivants et mêmes nos morts. Monsieur le Président Mitterrand disait à ses successeurs : "Je crois aux forces de l’esprit et je ne vous quitterai pas." C’est aussi ça l’unité d’un pays. Un lien historique entre les générations de dirigeants pour consolider le lien social.C’est ce que les européens comprennent pas démocratie.
39. Le 15 juillet 2014 à 17:34 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Quand : à la fin de ce mandat en 2015. Comment : en respectant l’article 37 de la constitution dans sa version d’après 1998 !
40. Le 15 juillet 2014 à 18:39, par Verité 1ère En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
"ce qui me préoccupe,c’est ce que deviendra le Burkina, blablabla....M. le président, croyez vous à l’immortalité ?un jour le pays devrait fonctionner sans vous et c’est 2015.Ce qui me préoccupe moi, c’est "que deviendra le Burkina si l’article 37 est modifié" ?n’occultez pas ce côté !aurevoir en 2015 et on verra le reste !cordialement, Verité 1ère !
41. Le 15 juillet 2014 à 18:50, par Dikiélté En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
En ce qui concerne le référendum, notre Président est un grand stratège et celui qui se laisse piéger par ce qu’il vient de déclarer, cela le regarde. Ce qui est sûr il ne partira pas aisément.SINON LA BONNE FORMULE POUR GARANTIR LA PAIX SOCIALE C’EST DE PARTIR TRANQUILLEMENT ; Monsieur le Président, vous avez fait rentrer THOMAS SANKARA dans l’histoire, sortez de l’histoire sans casser la baraque. Il ne faut pas que l’histoire retienne de vous comme étant un casseur de baraque à la fin de votre mandat.L’image que j’aimerais garder de vous, c’est celle du Père de Djamila soucieux de l’avenir, du bonheur de son peuple et du Burkina Faso, en quittant tranquillement le pouvoir avec honneur et dignité.Que DIEU fasse tomber les écailles d’aveuglement des yeux de nos dirigeants et qu’il leurs donne la sagesse et l’intelligence de nous diriger convenablement et de conduire notre pays "à bon port". QUE DIEU GARDE LE BURKINA FASO EN PAIX.
42. Le 15 juillet 2014 à 18:54, par ZADANE En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Gouverner n’est pas une tache aisée, surtout de nos jours. Ceux qui jugent, qui apprécient ont ils les mêmes éléments que ceux qui gouvernent ? De plus en plus, les Gouvernants sont la risée des gouvernés (vive le Président, à bas le Président). Certain peuple ont assassiné son Président, qu’il est prêt aujourd’hui a ressuscité s’il en avait la possibilité. Certains dirigeants exposent aussi le peuple en ne leur disant pas la vérité des faits. Tout se joue comme si l’objectif suprême est d’accéder au pouvoir et que tout le reste ne compte pas. Pour le cas du pays des hommes intègres, le camp du pour et celui du contre, cherche le même résultat : le pouvoir. Il est dit par ailleurs que pour départager, le moyen légal : c’est le referendum. Le mode de vote : c’est oui ou non. Permettez à chacun d’aller faire son choix. Le résultat du referendum guidera un autre choix du peuple burkinabè : celui du nouveau Chef de l’État. On compare le Faso aux États Unis ou à la France, on oublie que chaque peuple fait sa démocratie. La Chancelière allemande est à son troisième mandat, n’est il pas un pays développé ? Si la démocratie est vraiment le choix du peuple et pour le peuple, laisser le peuple dire le dernier mot dans la sérénité.
43. Le 15 juillet 2014 à 21:05, par abdoulah abdoulah En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Un homme de pardon et de tolerance est celui là même qui est capable de pardonner et montrer de la tolérance pas seulement envers ses amis et ceux qui partagent son point de vu mais aussi evers ses ennemis et ceux qui ont des points de vue différents.
Blaise Compaore n’a en aucun moment ni dit du bien ni accepter que l’on dise du bien de Thomas Sankara même mort.
Mais si lui pense que les démissionnaires du CDP lui doivent tout, peut être plus que leur parents qui les ont donné naissance et les envoyé à l’école et aussi le dur labeur accompli par ces derniers depuis les bancs de l’école jusqu’aux différents postes qu’ils ont eu à occuper en prenant en compte tous les risques que ces gens ont pris durant ces années à ses côtés, alors celui qui n’est pas reconnaissant,c’est bien le président lui même.
Nous avons besoin au Burkina Faso d’une nouvelle vision politique, pas cette politique de règlement des comptes et sans pitié envers ses ennemis et de cantonnement de ceux qui ne partagent le même point de vu que le votre.
Abdoulah abdoulah
44. Le 15 juillet 2014 à 21:27 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Excellence le President, pourquoi vous torturez meme votre peuple mentalement ? Dites simplem,ent que vous n’ allez pas modifier la constiotutioon et c’est fini ! Vous faites peur a tout le monde . Il n’ y a pas celui qui n’a pas peur meme vous.Parce que quand ca va chauffer, on ne sait jamais qui est le plus fort. Vous savez que vous n’ avez pas raison mais vous voulez faire un passage en force. Dieu n’est pas du cote de ceux qui abusent de leur force. Ali sla mine al hamdullilah ahaa.
45. Le 15 juillet 2014 à 21:54, par Spartacus du Burkina En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Je pense en toute sincérité que notre président doit abandonner cette culture du flou qui n’honore pas sa personne et au delà le pays.Cette vision de sa part de vouloir montrer au peuple burkinabè et le monde entier qu’il est le seul être indispensable capable de nous gouverner est un déshonneur lancer à l’opinion internationale sur le peuple burkinabé .Quand on veut être le père d’une nation,il y’a des sacrifice à concentir,et dire qu’après 28 ans de règne notre président ne voit aucun individu dans son rang encore moins dans l’opposition pour continuer son œuvre ???C’est tout simplement dommage pour le pays et même si ses propos étaient avérés la responsabilité lui incombe.Je pense que c’est juste des aberrations pour justifier une envie éternel de rester au pouvoir,sinon il y’a bien Mr le président ne ce reste qu’une parmi les 17000000 qui peuplent ce pays.Je penses vivement que tu sortira grand de tous ces manœuvres ,pour toi même et pour le bonheur du Burkina tout entier.Merci.
46. Le 15 juillet 2014 à 23:11, par castro En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
quand on s inquiete reellement pour le devenir de son pays ,on doit eviter de donner des reponses ambigues a des questions aussi claires et sensible comme celles ci.disons le,le president a peur de l apres 2015 pour lui meme ,pour sa famille et pour son entourage.mais quelque soit la longueur de la nuit le soleil finira par apparaitre.
47. Le 16 juillet 2014 à 01:55 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Le President a dit que seul le point de vue des Burkinabe compte. Nous ne pensons pas que ce soit le cas puisqu’il ne clarifie toujours pas sa position. Il ecoute d’autres pas les Burkinabe. Sans etre un inconditionnel du MPP, nous ne pensons pas que le President soit la personne la plus indiquee pour nous parler de fidelite, il a surtout lache en cours de route ses amis les plus fideles ( TOM SANK etc...)
La demission des trois n’est apparemment pas un non evenement.
Le Burkina sera toujours le Burkina meme encore plus fort dans 50 ans .
48. Le 16 juillet 2014 à 06:24, par castro En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
combien de dirigents ont cédé leur fauteuil a la fin de leur mandat dans ce continent ?le president du faso veut dire que ces dirigents ne s inquiettaient pas du devenir de leur nation.
49. Le 16 juillet 2014 à 17:27, par @LE DUC@ En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Si le ridicule pouvait tuer les hommes politiques !!!
Le 16 juillet 2014 à 18:29, par sing En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
on dirait que les reactions des cdpistes passent ça fait plus de 5 jours je réagis tous les jours mais mes réaction ne sont pas diffusés ou bien MR PARE a donné des instructions en faveur des jeunes cdpistes j’ai essayé en parlant du bien du président ça n’a pas tardé à apparaitre ne devenez pas comme l’opinion ou sidwaya les gens fuiront.Sur burkina 24 toutes mes réactions passent pourkoi ça changé chez vous ?
Le 17 juillet 2014 à 21:45, par la chanceuse En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
mon chez en Afrique surtout au burina les hommes politique encore faut-il les appelés ainsi ! Moi je dirai plus tôt les politiciens se préoccupent peu de ce qui les rendent réticulent. Existent-ils seulement des hommes capables de nous faire sortir de se cauchemar ?
50. Le 16 juillet 2014 à 17:52 En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
c’est quoi tout ca ? que dieu sauve burkina et toutes ses enfants.
51. Le 16 juillet 2014 à 20:07, par mountuan TRAORE En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
C’est énervant lefaso.net, je ne sais pas pourquoi vous avez censuré mes deux posts. J’ai simplement dit que le président mentait quand il évoquait la période révolutionnaire.
52. Le 16 juillet 2014 à 22:17, par Houston_Texas En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
A lire de pres la reaction d’un bon nombre d’internautes sur cet interview du president Compaore, l’on se rend compte que ses partisans et detracteurs ont tendance a perdre le sens du debat a caractere objectif. Qu’est ce que cela veut dire ? Un debat a caractere objectif fait la distinction entre les sensibilites individuelles ( eg : je n’aime pas la tete de ce monsieur...) qui sont le plus souvent sujet aux emotions, et le dialogue argumentaire qui s’appuit sur une certaine logique de raisonnement base sur des faits ecrits ou empiriques. Dans notre context-ci qui s’articule autour de la modification de l’article 37 et par extrapolation la creation du senat, l’analyse de tout Burkinabe devrait s’articuler autour de la stricte application des textes constitutionels (notamment l’article 37) qui exige la limitation des mandats presidentiels. Ceci veut dire que independamment de mes sensibilites personelles envers la personne de Mr Compaore (c’est dire l’aimer ou le detester), je ne dois point perdre de vue le caractere objectif de la constitution qui vise a promouvoir le bien commun de tous les burkinabe. L’esprit de la constitution burkinabe est de creer et promouvoir l’interet collectif, mais surtout pas chercher a nourir les ambitions claniques et egoistes d’un groupuscule d’individu assoife de pouvoir. Sous tous les cieux, vous verrez que ces indvidividus acquis aux velleites de leur ego perdent le sens du raisonnment logique, donc capable de toute forme de mechancete pour assouvir a leurs besoins. Certes l’objectivite est une grace qui n’est pas donnee a tous car elle transcende les inclinaisons emotionelles du sujet pour atteindre l’universel, c’est a dire la verite juridique.
Sans aucun doute, le sommet de Washington en debut Aout sera l’occasion pour le maitre de la maison blanche de raisonner les fanatiques au pouvoir a vie. C’est etre vraiment naif que de penser que les Americains n’ont aucun poids sur les instances decisionelles d’une autre contree. Bien que preclut par les lois internationales d’agir de la sorte, ils arrivent tout de meme a asseoir leur suprematie diplomatique, technologique et militaire sur ceux qu’ils jugent hostile a la promotion de la democratie. Quiconque doute de cela, pourra verifier les archives de certains pays comme la Libye de kaddafi, l’Irak de Saddham, la Syrie de Bachar ou l’Iran de l’Ayatollah Kameini. COncitoyens, le sens de la patrie, de l’honneur et de l’integrite se doit de demeurer la tache de tout burkinabe. Ces valeurs-ci batissent une nation, lui forgent un caractere. Mais les individualites mal eclairees etouffent le futur d’une nation, laissant comme legacie la malediction des generations a venir.
Le 19 juillet 2014 à 00:05, par Le Patriote En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Voila,ces bien di.tou le mond est conscient du danger qu presente le maintien du president compaore au pouvoir,y compri lui.il va partir,il le sai.
Le 20 juillet 2014 à 16:09, par kafe En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
cet homme me surprend avec cet interview. Mon ami tu veux t’accrocher jusqu’à quant ? Tu ne dira pas qu’aujourd’hui qu’ils t’ont trahit. je suis pas d’accord, ou est Thomas Sankara ? qui l’a trahit c’est bien toi Blaise Compaoré. Aujourd’hui tu nous parle de trahison. Mon Ami faut pas trop te mettre nu devant tout le monde ; quel cinéma ? Lasse les RSS, et si tu veux préparer quelqu’un autre comme ton remplaçant au sein du CDP fait le maintenant. si non en voulant avancé tu va cogner ton front. Ton "Sénoufo"(d’aprés les Ouagalais pour dire charlatan) est entrain de te mentir. IL veut remplir ses poches. Il peut toujours te préserver de tout danger mais pas ton fauteuil après 2015. Comme je peux pas te le dire en face c’est un moyen de te le dire Blaso.Demande à Wade il a trop fait confiance à son "Sénoufo" il est ou maintenant ? En bon entendeur salu.
Le 31 juillet 2014 à 18:32, par Le Jamboree En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Le peuple est inwackable. Faut poas vous laisseer berner par ce senoufo qui a le cerveau mais reflechis avec sa pense. Il aime trop l ;’ argent et les petites filles. Il peut meme pas etre un mystique car les mystiques ont d’ abord une vie reangee. C’est un Raspoutine qui sait mystifier. Nous, en tant que scout, on l’a deniche. Scout toujours, Pret.
53. Le 28 juillet 2014 à 11:36, par Don de Dieu En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Mr le président, vous dites que l’après vous préoccupe ;Trouver la bonne formule. De grâce, n’en faite pas une préoccupation.Quittez librement le pouvoir il y aura des gens mieux que vous qui sont en mesure de gérer le pouvoir tout en respectant la constitution comme ’Sacrée’. Comme après Mon président Thomas Sankara vous avez géré sans problème. Aujourd’hui il y a des intellectuels mieux que vous qui peuvent nous garantir une démocratie meilleure. Quittez le pouvoir ça fait 27 ans.
54. Le 7 août 2014 à 07:09, par l’integre En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
27 ans à apprendre à la plupart des burkinabès à devenir des corrompus et des voleurs, combien d’années leur faudra-t-il pour devenir intègre ? voilà ma préoccupation
55. Le 3 septembre 2014 à 13:58, par Ibra Lory En réponse à : Blaise Compaoré dans Jeune Afrique : « Il n’est pas exclu, même si l’article 37 de notre constitution venait à être modifié, que je m’arrête en 2015 comme prévu »
Merci pour les différentes interventions je tien seulement à prier les grands intervenants de ne pas tenir rigueur les propos injurieuse des jeunes qui sont recrutés juste pour vous insulter et vous décourager si vous prenez soin de lire leurs propos ils n’ont même pas d’expression fiable ni d’orthographe conséquent c’est des jeune qui n’ont connu que Blaise et leur parent l’allaient rien devenir d’eux même saurait été la grâce politique. Courage éclairez le monde que le seigneur vous protège.