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Situation nationale : La course au pouvoir

Publié le vendredi 20 juin 2014 à 02h14min

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Situation nationale : La course au pouvoir

La gravité croissante des responsabilités de Président découragerait tout postulant à ces fauteuils tant convoités. Des coups d’Etat par-ci, des mutineries et rebellions par-là alimentent les débats au quotidien. Le fauteuil présidentiel est devenu un banc présidentiel où chacun peut s’asseoir, se servir au lieu de servir le peuple.

On assiste aujourd’hui à une prolifération des partis politiques qui poussent comme des champignons, tous à la conquête du pouvoir. Chacun tient à être Président et veut s’y accrocher par tous les moyens. Pourquoi une telle ruée au pouvoir ? Faut-il forcement être Chef d’Etat pour participer au développement de sa patrie ? Tous ces prétendants sont-ils aptes à incarner la responsabilité inhérente à la fonction de Président ?

Les moments les plus redoutables dans un pays sont les périodes électorales. Chacun veut être Président. Et parmi ces prétendants, il y a bien des plaisantins, des fantaisistes et même des fainéants qui veulent seulement graver leur nom dans l’histoire du pays. Quand on n’arrive pas à gouverner sa propre famille nucléaire encore moins son village, pourquoi prétendre être à la tête d’un pays ?

Le bon dirigeant n’est pas celui qui draine un monde fou pendant ces périodes de campagne ou de pré campagne, période où tous les moyens sont bons pour se faire des voix, mensonges, fausses promesses, dénigrement de l’adversaire. On reconnait le bon maçon au pied du mur. Le bon dirigeant doit avoir pour souci premier l’épanouissement de la société toute entière. Il doit alors incarner les vertus suivantes : patience, humanisme, honnêteté, respect, modestie, indulgence, fermeté (sans être violent), souplesse (sans être lâche). Il doit également travailler à développer ces qualités en chacun de ses administrés.

De même, la vocation première du responsable est de servir tous ceux qui vivent sous son autorité sans privilégier un groupe aux dépens du reste de la société. N’est-ce pas le contraire que nous remarquons un peu partout dans le monde ? Le premier souci de nos leaders d’aujourd’hui, c’est de se remplir les poches, c’est d’assurer indûment l’avenir de leur famille avant de se préoccuper de l’intérêt du pays. A ce rythme, on assiste à un népotisme caractérisé, préjudiciable pour un développement durable.

Quand on est élu, on n’appartient plus à un clan donné mais à toute une communauté devant laquelle on a des comptes à rendre. Le responsable doit alors avoir pour slogan de se sacrifier pour son peuple au lieu de sacrifier le peuple pour des intérêts personnels et égoïstes.

L’engouement autour du fauteuil présidentiel, les carnages et tueries, laissent croire que ces farfelus luttent d’abord pour leur propre intérêt. A-t-on réellement besoin de mettre la vie de tout un peuple en péril au nom du pouvoir ? Ces prétendants n’ont aucune preuve de leur bonne foi et de leur capacité de diriger si ce n’est que le verbe, des paroles mielleuses, de grosses promesses, des projets de société faramineux souvent sans aucune expérience en matière de gestion des hommes.

Le peuple, souvent aveuglé se laisse berner par ces concurrents au nom du changement, de l’alternance. Oui, on a besoin de voir du nouveau, c’est normal. Mais faut-il réellement le changement pour le changement ? Avant de poser tout acte, il faut mesurer ses conséquences. Il faut accepter assumer ses responsabilités. Au nom d’une démocratie importée, on détruit tout pour reconstruire. Avant de revendiquer le pouvoir, il faut prouver au peuple de par des actes concrets ce qu’on est capable de faire. Les discours politiques sont très loin de la réalité. Il ne faudrait pas se laisser hypnotiser par ces discours creux et pompeux.

Même si on n’aime pas le lièvre, il faut reconnaître qu’il court. De tous ceux qui luttent farouchement aujourd’hui pour le fauteuil présidentiel en brandissant l’article 37, personne n’a la certitude de faire mieux que le pouvoir actuel. Ces crieurs publics qui chantent chaque jour pour le changement n’ont aucune preuve des capacités directoriales de leurs futurs candidats. Ils sont tous assoiffés du changement, de l’alternance pour l’alternance.

On me dira, 27 ans au pouvoir c’est trop. Félix Houphouët-Boigny a fait 33 ans au pouvoir, Mouammar Kadhafi a régné pendant 42 ans, Ahmed Sékou TOURE, 26 ans. Qui de nos prétendants actuels au pouvoir peut rêver un jour mieux faire que ces héros aux couronnes d’or ? Même si après ces présidents, ces pays ont connu des troubles inédits, cela s’est exacerbé par la main-mise de ces dinosaures cyniques et pervers qui transforment le fauteuil présidentiel en un banc présidentiel où chacun espère avoir une place assise. A cela s’ajoute la main-mise de l’extérieur qui, dans l’ombre choisit son dirigeant selon ses intérêts.

Si le peuple tient au changement pour le changement, il sera victime de sa propre machinerie. L’homme idéal n’existe pas, encore moins un président infaillible qui incarnerait tous les vertus d’un chef d’Etat. Chaque membre de la société doit donc apporter sa pierre pour l’édification de la nation en exerçant une influence ou une action morale réconfortante et constructive dans son milieu et aussi loin que possible.

Les pays qui ont vécu des troubles avaient un niveau de vie acceptable. Notre cher pays, le Burkina Faso qui peine à entrer dans la sphère des pays émergents n’a pas intérêt à vivre une crise sociale. Cet élan pour assurer le développement du pays est à encourager et à perpétrer. Toute action allant dans le sens de déstabiliser les forces vives de la nation doit être combattue avec la dernière énergie. Le peuple ne demande qu’une chose, le bien être social et l’épanouissement de la nation toute entière. Ces hommes politiques qui s’illustrent dans leur médiocrité sont prêts à mettre le pays à feu et à sang au nom de l’alternance. On lutte pour le peuple en l’utilisant comme un bouclier. Quel sens donner à une telle insurrection si ces opposants qui réclament le pouvoir resteraient dans de telle confrontation ? On ne fait que pousser le peuple dans le champ des tractations tout en étant gardé et armé jusqu’aux dents.

La bataille pour la conquête du pouvoir doit se faire entre conquérants. La force de l’argument doit prévaloir sur l’argument de la force. Le peuple ne demande qu’à respirer à pleins poumons sans être étouffé sous le poids d’une course effrénée pour le pouvoir.

Karim KABORE
Intendant au Lycée Départemental de Poura-Mine
abdoulkaka@yahoo.fr

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Vos commentaires

  • Le 19 juin 2014 à 15:34, par BATI En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Je suis surpris d’une telle analyse d’un intendant de Lycee. Mon cher ami évite de nous empester avec une analyse qui met en exergue ton incapacité et ta médiocrité résiduelles. Tu devrait plutot que consacrer à travailler de sorte à ce que nos enfant n’écrivent plus de bêtisiers telles illustres les perles du BEPC 2014.

    Tu as encore du chemin. tu as bien commencé ton analyse mais à lire ton texte l’on sent déjà de quel bord politique tu es. il n’est pas donné à n’importe qui de mener une telle réflexion politique. Pour ta gouverne quand tu écris de telles choses soit conséquent et juste dans tes propos.

    • Le 19 juin 2014 à 17:39, par electron 1er En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      vive le referendum

      • Le 19 juin 2014 à 20:21, par le solitaire En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        La course au pouvoir n’est pas une course de vitesse et il ne faut pas confondre non plus vitesse a précipitation,en politique il faut se hâter lentement pour arriver vite.C’est une question d’argumentation et non d’injure,surtout dans ce pays on a remarqué que l’opposition a chaque fois qu’elle s’annonce c’est pour dire du mal du pouvoir et ça ce ne s"appelle pas faire de la politique et c’est vraiment regrettable,et si ça continue comme ça je ne vois pas cette opposition pouvoir renverser la tendance.

      • Le 19 juin 2014 à 20:28, par la vie d’un sage En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        Contrairement a ce que d’aucun pense moi je crois qu’il y’aura rien au pays des hommes intègres a l’horizon 2015,il ne faut pas que l’on arrête d’intoxiquer le peuple et faire peur a d’autre personne.

      • Le 19 juin 2014 à 21:11, par la fille du capo En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        Le président Compaore a été élu par les Burkinabés et jusque là le peuple le préfère plus que tout autre parce qu’il fait nettement l’affaire des Burkinabé,pourquoi voulez vous donc que leur regard se tourne vers autre personne alors personne ne fait rien qui puisse monter qu’il fera mieux pour le peuple,je suis désolé mais ce n’est pas comme ça qu ça se passe.

    • Le 19 juin 2014 à 20:12, par electron 1er En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      C’est bien dit et même très bien dit mon frère,il faut reconnaître dans tout ça que c’est l’opposition qui est visé dans tout ça.En tout il ne faut pas que dans cette conquête du pouvoir on soit prêt a tout et même a être un acteur d’une crise,le pouvoir se conquis par les urnes et non par les armes et on ne cessera jamais de répéter cela pour que les uns et les autres comprennent.

    • Le 19 juin 2014 à 21:09, par pas de negociation En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      il n’y apas de course au pouvoir mais seulement de redressement de la nation à travers l’application de la volonté du peuple

    • Le 19 juin 2014 à 21:18, par entre juge et parti En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Chacun pense que c’est en se montant trop,en se faisant trop remarquer sur la scène politique que l’on s’en sortira avec beaucoup plus de popularité,bien au contraire en faisant trop de sortie on se fait remarquer tant positivement que négativement et en politique chacune de vos gestes,chacune de vos paroles sera interprété et critiquer,donc a toi Salif de faire attention car beaucoup Burkinabé perd ou ont perdu l’estime qu’il avait pour toi et ce a cause de tes sortie hasardeuses.

    • Le 20 juin 2014 à 11:53, par kantigui En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Bien dit mon cher

    • Le 20 juin 2014 à 16:24, par Koumbem Tipousga En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Bonsoir. Je comprends que ce monsieur est un voleur impuni de la scolarité des élèves sans que l’on ne le sanctionne. Voila pourquoi son nanisme intellectuel le dispute à son ignorance politique. Tu connais quoi en politique, toi instituteur amélioré ? Je n’ai rien contre cette catégorie que je respecte bien, mais il faut reconnaitre que la politique de nos jours dépasse aller faire cuisiner du wesla par des élèves pour que l’on mange et sortir roter dans la presse comme le fait ce nain politique. Qui dit que ceux qui veulent le pouvoir ne peuvent pas faire mieux ? Il faut être loin et peut-être ne pas pouvoir circuler normalement à Ouaga pour tenir des inepties de ce genre.

    • Le 20 juin 2014 à 16:26, par Koumbem Tipousga En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Bonsoir. Je comprends que ce monsieur est un voleur impuni de la scolarité des élèves sans que l’on ne le sanctionne. Voilà pourquoi son nanisme intellectuel le dispute à son ignorance politique. Tu connais quoi en politique, toi instituteur amélioré ? Je n’ai rien contre cette catégorie que je respecte bien, mais il faut reconnaitre que la politique de nos jours dépasse aller faire cuisiner du couscous « Wesla » par des élèves pour que l’on mange et sortir roter dans la presse comme le fait ce nain politique. Qui dit que ceux qui veulent le pouvoir ne peuvent pas faire mieux ? Il faut être loin et peut-être ne pas pouvoir circuler normalement à Ouaga pour tenir des inepties de ce genre.

    • Le 20 juin 2014 à 16:41, par tpj En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Cher Karim si tu etais mon père je t,egorgerai parce que tu n,ai pas digne d,être en vie ,un père qui hypoteque l,avenir de ses enfants tu nous fais la honte

    • Le 20 juin 2014 à 19:48, par Courage En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      M. l’intendant, ton analyse, tu l’avais bien commencée mais au finish, tu frôles le ridicule. tu veux quoi au juste ? une nomination ? une promotion déguisée ? des pots de vin ? ou les as-tu déjà reçu ? si oui restaure-toi bien ! tu cherches quoi au juste ? tu peux décrire le Président quand il accédait au pouvoir en 1987 ? il a démontré sa capacité de dirigeant avant que tu ne le votes ? ou bien avait-il fait ses preuves dans ton village, ta commune ou dans ta région ? vous savez, évitez certains raisonnements obsolètes qui ne vous honore pas. l’alternance pour l’alternance, qui te demande ça au BF ? ou tu ne comprends ce que tu cherches ? J ne t’en veux pas ! courage à toi ! tous ceux qui veulent la courte échelle doivent être meurtris dans leurs âmes. bon vent à toi !

    • Le 21 juin 2014 à 11:51, par Digne Fils En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      mon cher intendant, vous avez manqué l’occasion de vous taire

    • Le 22 juin 2014 à 08:04, par L’injurié En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Mon cher Kaboré,c’est simple. On te comprend facilement. Tu veux être nommé intendant régional ou quoi ? Du courage tu vas sombré avec ton Blaiso. Un conseil : Dans tes prochains écrits garde-toi d’insulter ceux qui se battent pour ton bien-être même si tu en es inconscient.

  • Le 19 juin 2014 à 15:34 En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Thomas SANKARA ! Oh ! Quels regrets ! Le Burkina n’aura plus jamais un Prési digne de ce nom. Rien que des vampires nous gouvernent !

    • Le 19 juin 2014 à 16:33, par aaa En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Tu es vraiment pathétique vivre dans le passé parce que l’on a peur de faire confiance et d’entreprendre c’est vraiment déplorable. Moi je sais bien que Thomas est mort et qu’il ne reviendra plus cependant Blaise est là alors qu’est ce qu’on fait ? Mais on suit Blaise et c’est cela là réalité. Ne soyez pas comme l’équipe du Cameroun qui lors de cette CDM n’avait que Etoo comme joueur.

      • Le 20 juin 2014 à 09:43, par Kontougni/"Nous-pas-bouger" En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        Mr aaa, le plus pathétique de vous deux, c’est bien toi ! Tu devrais comprendre que quand des humains en viennent à regretter le passé, c’est le que présent leur est un supplice, d’autant plus que c’est mêmes humains que tu crois accrochés au passé demande un changement pour vite oublier le présent ! Pour te donner un élément comparatif : le BF n’a jamais connu autant de délestage dans la fourniture de l’électricité. A cela il y a une raison : en 4ans de pouvoir, Thomas Sankara a créé 2 grands barrages hydroélectriques, (Kompienga et Bagré) avec le production du riz en prime. En 27 ans, votre "stratège" politique de Blaise est encore en train de peiner pour que le barrage de Samandeni voie le jour. Il avait cru que la solution trop facile d’acheter l’électricité aux pays voisins (Cote d’Ivoire et Ghana) était une planche de salut, comme si c’est pays-là devaient travailler à notre profit. Blaise a fait exactement ce que dénonce Mr Karim Kaboré, l’auteur de l’article qui croit faire des reproches de mal-gouvernance aux opposants qui n’ont même pas encore commencé à gouverner. Blaise à confondu la fonction présidentielle à un fauteuil pour fainéant, restant là assis à invoquer l’émergence comme par une prière répétitive, pour cette émergence arrive à force d’invocations, alors qu’il laisse la corruption et l’indiscipline galoper librement. Pourvu qu’on ne touche pas à son fauteuil ! ça ne marche pas comme cela et ce n’est la faute de personne : ni de l’article 37, ni de l’opposition, ni de la société civile, ni même du sort. Vous récoltez ce que vous avez semé et c’est la loi de la nature. Que c’est pathétique !

        • Le 20 juin 2014 à 12:05, par doby En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

          Ya rien de tel mon frere kontougui ; vous avez vu et dit juste.

        • Le 20 juin 2014 à 12:18, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

          mon frere inutile de vouloir forcer un ane a boire ! tu vois bien que ce monsieur ou madame aaa qui n’ose meme pas s’afficher, est là pour faire campagne pour blaise car ils voient que plus rien n’est comme avant ; ils ne peuvent pas comprendre ca a changé !!! Ils n’en ont pas la capacité !
          SOME

      • Le 21 juin 2014 à 17:40, par yobson En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        Mr AAA j suis attristé de vos propos comment un burkinabe peut il oublier Thomas sankara. il est plutôt facile d oublier blaise de son vivant que d oublier Thomas sankara même mort il y a 27 ans. les idées de Mr Thomas construisent mieux le Burkina plus que les actes de blaise si l on en croit au dernier rapport du PNUD ou nous Sommes dernier dans leur classement. évitez souvent de comparer l imcomparable.blaise ne pourra jamais avoir le dixième de Mr Thomas .pour ta petite confidence de la façon donc blaise utilise les membres du gouvernement comme des marionnettes lui est utilisé comme cela par l occident et c est là tout le malheur des burkinabe.chose que Mr Thomas a refusé. ne nous dit plus de cesser de penser a MR THOMAS SANKARA

      • Le 29 juin 2014 à 22:48, par Number one En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        Monsieur Kaboré, ce débat vous dépasse.Et vous êtes mal placé pour parler de course au pouvoir.Vraiment j’ai pitié des burkinabè quoi,quelqu’un depuis 27 ans marche sur vos testicules, vous souffrez mais vous êtes heureux quand même dans votre souffrance. Sinon comment comprendre que depuis l,avènement de Blaise COMPAORE au pouvoir,Le Burkina Faso est toujours classé soit dernier ou avant dernier (DEVANT DES PAYS EN GUERRE)On ne voit aucune vision pour sortir le peuple je dis bien le vrai peuple de la misère. on construit des boites d’allumettes et on appelle ça logement sociaux ? La corruption est érigée en règle dans notre administration.Les pauvres s’appauvrissent d’avantage et les riches deviennent de plus en plus riches ;LES MAUX SONT NOMBREUX ; Avec tout ça vous Monsieur kaboré, vous ne voulez pas qu,on change de Président ?Je vous comprend ; vous êtes Intendant c’est ça.mange et tais toi. Même si c’est Dieu qui donne le pouvoir, EN tout cas Blaise à tué quelqu’un avant de monter sur le trône.

    • Le 19 juin 2014 à 17:14, par l’enfant du pays En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Il faut toujours dire que le meilleur reste à venir sinon on arrête de vivre. Même Thomas Sankara lui même aurait dire que le meilleur reste à venir pour le Burkina. Les bons et les mauvais passent mais le meilleur reste toujours a venir là la philosophie qu’il faut retenir.

    • Le 19 juin 2014 à 20:42, par entre juge et parti En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Il faut le dire a l’opposition qu’il comprennent que le pouvoir n’est pas une affaire personnelle mais du peuple,c’est le peuple qui élu et il faut convaincre ce peuple par des arguments,on ne demande que cela et si vous êtes vraiment convainquant je ne vois pas de raison pour que le peuple vous accorde pas sa confiance,c’est ça la politique.

    • Le 19 juin 2014 à 21:35, par gros bras mince En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Moi je dirai que si l’opposition continue dans cette même optique rien n’ira en leur faveur,comme on l’a dit ci-dessus ce n’est pas une course de vitesse l’affaire du pouvoir,ils risque de dépasser Kosyam s’ils continue avec cette vitesse.C’est un bras de fer qui a été déclencher contre le pouvoir et c’est claire qu’ils ne peuvent tenir longtemps.

      • Le 20 juin 2014 à 12:20, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        ta reaction correspond tres bien a ce que le pouvoir veut avoir : predire le pire apres lui Donc garder le car les autres ne sont meilleurs ! On appelle cela de la manipulation
        SOME

  • Le 19 juin 2014 à 15:46, par ALTERNANCE 2015 En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Vous réfléchissez très bas. Je suis que vous soyez intentent avec une telle médiocrité. Vous ne comprenez rien dans la politique. Taisez-vous car vous montrez vos carences.

    • Le 19 juin 2014 à 16:35, par le panafricain En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      cher alternance , je te comprend que tu veilles à tout prix le changement mais il faut un changement objectif ! il faut un changement qui ne mette pas à mal l’élan déjà pris par le pays ainsi que ses citoyens .la meilleur manière de faire changer les choses , ce n’est pas pas par les troubles mais plutôt par les urnes .les gars de l’oppositions doivent savoir qu’ils peuvent avoir leur changement par les idées et non dans les rues .aux élections , seul les idées pertinents retiendrons l’attention des citoyens et leur voix .

      • Le 19 juin 2014 à 17:52, par Americain En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        le panafricain
        Vous parler "de ne pas mettre à mal l’élan pris par le pays". De quel élan parlez-vous ? Comparez les réalisations des 4 années de Sankara au 27 ans de Balise et vous allez vous rendre compte qu’il n’y pas eu d’élan

        • Le 19 juin 2014 à 19:27, par le panafricain En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

          mon cher américain je ne saurai comparé les deux périodes car le champ d’application est vaste , mais une chose est sûr on a fait d’énormes progrès en ce qui concerne la démocratie .nous pouvons donc le vérifié par le fait que nous avons toute la latitude de donner librement notre point du vu ou de crier notre mécontentement sans autant être inquiété .

          • Le 20 juin 2014 à 09:45, par patrie1 En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

            Mon cher panafricain, tu n’es pas inquiété parce que tes propos n’ont aucun effet sur le pouvoir en place. combien d’homme ont été assassiné pour avoir voulu s’exprimer librement ??? si vous avez la memoire courte on peut vous la raffraichire. c’est une democratie de façade. et les gens qui n’ont rien compris de la democratie pense qu’on est en democratie. ayez des propos ou points de vue pouvant menacer le fauteuil et vous verrez. suivez mon regard.

            • Le 20 juin 2014 à 17:11, par le panafricain En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

              MON ami patrie 1 je comprend ton amertume , mais il faut aussi comprendre qu’une lutte peut se faire d’une manière plus responsable dans le soucis de ne pas mettre en danger la paix sociale .nous savons tous que l’opposition a une force de mobiliser et cela a été démontré à plusieurs reprises !la question qui mérite de trouver des solutions est pourquoi cette opposition contre l’organisation du référendum si cette foule qu’ils réussissent à mobiliser peut permettre de remporter la victoire par les urnes ?

          • Le 20 juin 2014 à 12:30, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

            toi le panafricain tu m’inquietes si ta comprehension de la democratie se resume a ca. Tu pretends etre panafricaniste !!! quelle misere ! Tu insinues qu’au temps de thomas sankara on pouvait meme pas parler, etc. quelle mauvaise foi (ou ignorance ! je prefere) : En Haute volta comme au Burkina faso, nous n’avons jamais eu autant de liberté de parole que sous sankara. Sous Blaise tu dis le contraire, on te fait et il n’ a rien ! C’est sa pratique !!! Tu le sais ! Sois objectif, meme si tu aas des griefs contre Sankara, c’est ton droit !
            SOME

        • Le 19 juin 2014 à 19:32, par TITUS En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

          Mon amis tu ne sais pas de quoi tu parles. Au temps de Sankara Ouaga était comme un village, mais aujourd’hui Ouaga ressemble au moins à une ville. Avant la ville de Ouaga était remplit de vélos, aujourd’hui ce sont des motos, des voitures de luxe, on aspire à la belle bien. C’est ça la différence entre le Burkina d’hier et le Burkina.

          • Le 20 juin 2014 à 03:22, par Americain En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

            TITUS
            Qu’ en est-il de la corruption ? Est-elle meilleure comparee au temps de Sankara. Je vais rappeler que Sankara a doublé le taux de scolarisation du Burkina en 4 ans. Qu’avez-vous fait en 27 ans ?

            • Le 20 juin 2014 à 12:35, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

              ils ont saccagé l’université mais envoyé leurs enfants en europe etats unis etc L’education etait le premier des ministeres la scolarisation etait quasi gratuite, etc
              SOME

          • Le 20 juin 2014 à 09:46, par L’étudiant En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

            T’es très plat mon cher, comment peux-tu comparer 4 ans de règnes avec 30ans ?
            les motos que tu fais allusion ne sauraient être un signe de développement. Pendant les 4 ans de la révolution, les burkinabè mangeaient à leur faim, se soignaient presque gratuitement, se logeaient décemment. Moins de corruption. le récent rapport du RENLAC révèle un accroissement de la corruption. C’est ça la vérité. Ne limite pas ton raisonnement sur les seules villes que compte le BF, étends le sur l’ensemble du territoire national, où au 21ème siècle nos enfants prennent des cours sous des arbres, où l’enseignant est logé dans des magasins et que sais-je encore ? Comparer la révolution de Sankara avec le regime actuel, c’est comparer kelk’in avec son ombre

          • Le 20 juin 2014 à 10:33, par L’étudiant En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

            T’es très plat mon cher, comment peux-tu comparer 4 ans de règnes avec 30ans ?
            les motos que tu fais allusion ne sauraient être un signe de développement. Pendant les 4 ans de la révolution, les burkinabè mangeaient à leur faim, se soignaient presque gratuitement, se logeaient décemment. Moins de corruption. le récent rapport du RENLAC révèle un accroissement de la corruption. C’est ça la vérité. Ne limite pas ton raisonnement sur les seules villes que compte le BF, étends le sur l’ensemble du territoire national, où au 21ème siècle nos enfants prennent des cours sous des arbres, où l’enseignant est logé dans des magasins et que sais-je encore ? Comparer la révolution de Sankara avec le regime actuel, c’est comparer kelk’in avec son ombre

          • Le 20 juin 2014 à 12:32, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

            voila ton developpement. Maintenant il te reste le developpement mental !!! Là je doute que tu puisses y arriver : deja il faut comprendre ce qui est dit !
            SOME

    • Le 19 juin 2014 à 18:09, par Tiemtoré Zakaria En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Vous ne pouvez même pas faire une bonne analyse politique vous parlez d’alternance en 2015. seul 2015 nous dira ce qui peut arriver.

    • Le 19 juin 2014 à 22:27, par le woudy En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Il y’aura bel e bien une alternance en 2015 mais une alternance avec le CDP et BLAISE Compaore,je vous pris de vous contentez vous autres de suivre le scénario.

    • Le 20 juin 2014 à 12:23, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Tu n’as absolument pas compris rien a rien a ce que M Kabore a aecrit. Relis l’article et reflechis et reflechis... tu finiras par comprendre, j’espere !
      SOME

  • Le 19 juin 2014 à 15:47, par BILI-BILI En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    "Si le peuple tient au changement pour le changement, il sera victime de sa propre machinerie." Toi tu fais rire Monsieur KARIM KABORE .Ton débat est dépassé ; quand on n’a rien rien à dire c’est mieux de se taire. On s’en fout de vos gros Français. Si le départ de BLAISE va amener la disparition du BURKINA de la carte du monde, que le FASO disparaisse , et ça sera notre façon aussi de rentrer dans l’histoire du monde dont les grands chercheurs étudierons dans les grands écoles et instituts à travers le monde : " il était une fois un petit pays de 16millions d’habitants appelé Burkina Faso situé en Afrique subsaharienne ; dont leur président a tellement aimé que son départ a provoqué la disparition du pays".

    • Le 19 juin 2014 à 16:29, par veritas En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Voila ki es bien dit.que la sagesse eclair encors plus tes pas.les propos de ce monsieur nous determine son genre de personnalité.en voici un homme qui veut le developpement et l’emergence seulement cado cado.mon cher gromologue.ya pas developpement cado cado.ils faut un sacrifice digne de ce nom.tu te cache derière la leur ?retient ceci."qui craind de souffrir souffre deja de ce qu’il crain"

      • Le 19 juin 2014 à 17:33, par Sofia En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        Le changement oui mais le changement pour le changement non ! En Cote d’Ivoire ici à coté, Laurent Gbagbo a été l’opposant le plus farouche, mais quand il est parvenu au pouvoir qu’es ce qui s’est passé, la Cote d’Ivoire a connu la crise de son histoire. C’est ça vous voulez pour notre Burkina ? un changement sans une négociation sans un compromis ne serait pas un véritable changement mais risque aussi de se transformer une crise. Donc réfléchissons à ce que nous voulons vraiment.

        • Le 20 juin 2014 à 12:39, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

          Sofia on t’a compris ! Tu joues ton role. fais le cassandre pour comparer et dire laissez blaise car ca etre pire Or on est deja dans ce qui est pire
          SOME

    • Le 19 juin 2014 à 17:48, par kaboré ludovic de tanghin ;original En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      les burkinabés doivent comprendre que le plus important ici c’est de préserver la paix sociale et d’assurer le bien être des citoyens .quel est donc le sacrifice que chacun de nous doit faire pour préserver cette paix sociale qui serra objectif et impartial ? c’est bien d’accepter de mobiliser ses militants afin d’aller au référendum et donc une très bonne élection présidentielle serra assurée .

    • Le 20 juin 2014 à 09:54, par jo En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      très bien di Bili Bili ! certains Burkinabé ne réflechissent pas plus loin que leur nez, tous ceux là qui disent que deviendrons nous sans Blaise ? qui peut faire mieux que Blaise ? qui peut le remplacer après 27ans ? c’est vraiment triste comme raisonnement. cet intendant qui fait 1 analyse bidon avec plein de contradictions telles que des heros ont fait 30ans au pouvoir et il dit qu’après leur règne il ya eu trouble, je lui rapel simplement que son Blaise n’est pas eternel et qu’il le veut il partira ou moura

    • Le 20 juin 2014 à 12:11, par doby En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

  • Le 19 juin 2014 à 16:00, par VISION En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Mon cher KABORE, a qui addresses tu tes écrits, à toi ou a Blaise, en tout cas c’est à l’un d’entre vous.Blaise a fini ses deux mandats et qu’il parte,il peut revenir en 2020 si le people le veut, sinon pour l’heure il est disqualifié, on ne modifier pas notre constitution pour un individu. Si vous avez la mémoire courte, je vous rappelled que la constitution ivoirienne a été modifié pour exclure un individu"Allassane Ouattara"et la suite tout le monde le connait.S’il ya des gens qui sont contre Blaise c’est bien vous,herman, Assimi, Francois,FEDA-BC, et jen passé ;

    • Le 19 juin 2014 à 16:42, par veritas En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Merci a toi vision.tu es visionneur.mr kaboré se cache derière la peur.qu’il sache qu’en democratie tout a un prix même le changrment et l’alternance aussi et que nous somme deja conscient que gagné coute plus chère que perdre.alors s’ils comprend maintenant notre niveau de combativité pour ce changement ils devrais savoir que lui et nous on es plus a egale distance.a lui de choisir son camp.chaw !!

  • Le 19 juin 2014 à 16:01, par Najaa RRouge En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    ASCE, premiere des choses a faire. Faites un tour a Pourra- Departement pour regarder un tout petit peu dans les caisses de cet intendant transmute en politiste. Ces intendants, pour la plupart, sont des vrais pirhanas dans nos ceg et lycees. De vrais pilleurs qui baissseront meme la culotte pour qu’ on oublie leur forfait. Karim Kabore, qui t’a dit que le peuple veut le changement pour le changement ? C’est toi le peuple ? Le peuple ta parle en direct, hein ? Tu as fais un referendum pour le savoir puisqu’ apparemment tu fais partie de la meute qui aboie "modifier l’ article 37" pour votre Dieu sur terre dans la meme poussiere que les humains comme nous autres ? Que de contradictions dans ton ecrit ? On sent que tu as une conviction, que durer et perdurer au pouvoir n’est pas bon. Mais en meme temps ton instinct de survie en tant que petit fonctionnaire concussionnaire ne te donne pas les couilles pour aller jusqu au bout de ta logique. Alors, on te voit aller dans une direction logique que tu abandonnes tres rapidement pour emprunter une autre, pour enfin arriver a une conclusion qui jure avec ta propre conviction. Karim, on est ou la ? Si on est en democratie style occidental, pourquoi tu voudrais qu’ on applique une democratie Nabale ? T’as perdu la boule ou quoi ?Et je te dis. Tu es en train de parlwer de quelque chose que tu ignores, etalant ainis ta pauvre culture politique. En effet, plus qu’ un banc, ou meme moins qu’ un banc, le fauteuil presidentiel est un tabouret ou tout citoyen peut s’ asseoir. Ton Blaise que tu ne nommes pas, te rappelles - tu qui il etait en 1987 ?Il n’ etait pas un genie, s’ il en est meme aujourd’ hui. Je crois qu’ il reste une personne comme toi et moi.En quoi Blaise est- il comptable au peuple a a part les simagrees "dialogiques" ? Libre a toi de chercher a te proteger des contrecoups de tes petits detournements mais ne fais pas ces confusions de genre piteuses.
    Tu parles de dinosaures qui auraient cree la chienlit apres le depart de ts "monuments politiques" mais d’ ou sont sortis ces dinosaures en premier lieu ? N’ est-ce pas la fabrication de ces vieux crocodiles pour la seule perennisation de leur pouvoir ? Ces dinosaures que tu dis avoir tuer les pays apres les "messies" sont devenus des fossiles justement parce que tes geants politiques sont en fait des demeures sans vision qui ne voient pas le monde au - dela de leur nombril : Ils sont nombriliques.
    Il y a un mot qui s’ appelle constitution et un autre qu’ on appelle le droit. Si le peuple qui veut le changement pour le changement comme consigne dans notre constitution, qui es- tu pour vouloir en imposer au peuple ? Tu as passe tout ton temps a ecrire de la salade que tu crois etre une reflexion mais tu n’as jamais rien dit de la constitutionnalite de l’ acte de vouloir se presneter pour un troisieme mandat. Pourquoi tu fais l’ apologie du desordre ? Dans tous les cas, nous tous la. Cette fois- ci, le peuple est debout et nous n’ allons plus nous laisser faire. C’est ce qui vous fait mal, hommes de mauvaise foi et de mauvaise engeance ?.

    • Le 20 juin 2014 à 09:01, par merci En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      JE VALIDE VOUS ETES VISIONNAIRE ! MERCI ASCE FAIT TON TRAVAIL !

    • Le 20 juin 2014 à 16:04 En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      A pareilles occasions (périodes électorales ou pré-électorales) chaque brebis galeuse veut s’exhiber pour espérer être vu et être soigné de sa gale en premier lieu, tellement elle bêle ! Aussi, à y voir de près, tu dois avoir perdu des privilèges comme les RSS et Cie. En crachant ton venin, tu penses que tes désirs deviendront une réalité.

  • Le 19 juin 2014 à 16:10, par Calao de Midi En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    "Avant de revendiquer le pouvoir, il faut prouver au peuple de par des actes concrets ce qu’on est capable de faire. Les discours politiques sont très loin de la réalité. Il ne faudrait pas se laisser hypnotiser par ces discours creux et pompeux."

    N’ importe quoi !Avant d’etre intendant qui pille les caisses des eleves, il a fallu d’ abord que tu prouves que tu pouvais tenir une caisse ? Blaise a d’ abord prouve qu’ il pouvait diriger ce pays avant de perpetrer le coup d’ etat le plus mechant d’ afrique ?. Ceux d’ en face n’ ont vraiment rien a dire mais pire, manquant simplement de sagesse, ils refusent de se taire et plus ils gigotent, plus ils se decouvrent. Auriez- vous quelque chose a cacher dans votre gestion ? On va ouvrir l’ oeil et le bon ? Sinon je ne conmprends pas le pourquoi d’ un ecrit qui n’a aucune directionnalite. Sauf a dire, O Blaisot, moi je suis pour que vous fassiez tout ce que vous voulez pour rester au pouvoir.

    • Le 20 juin 2014 à 12:45, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      ah bon ! je n’ai pas du tout compris que M Kabore fait tout pour que Blaise reste au pouvoir car tout ce qu’il dit ne fait que desservir Blaise ! Relisez le bien !
      SOME

  • Le 19 juin 2014 à 16:12, par RÉSISTANCE En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    1/"Au nom d’une démocratie importée on détruit tout pour reconstruire" : quelqu’un a-t-il imposé par la force au Burkina et à Blaise une Constitution et une démocratie ?? Non, tout le monde, opposition et pouvoir parlent de démocratie, une démocratie qu’ils ont choisie comme régime de direction et de gouvernement. Et ils l’ont choisie en sachant que la démocratie a des règles à respecter ! Si vous ne supportez pas ce qui est importé au Burkina juste parce qu’il est question d’une alternance qui vous gêne, alors il y a beaucoup de choses que vous devriez refuser, car presque tout est importé dans votre pays, et vos parents survivent grâce à de l’importation ; et vous-même devriez quitter le lycée où vous dites travailler, car tout y est d’importation !!! C’est vrai que c’est grâce à ce lycée que vous pouvez manger un peu de viande avec du tô et boire peut-être un peu de bière qui vous permet d’écrire autant d’inepties et d’âneries ici (pourquoi l’alternance serait-elle, en démocratie, une destruction ???...2/ Les chefs d’État que vous citez ignoraient justement comme vous ce que c’est que la démocratie. Ne comparez pas la démocratie avec des régimes de partis uniques ou sans partis pour espérer faire argument...3/ Vous parlez de la force de l’argument et pas d’argument de la force : dites-nous où vous voyez et lisez des arguments forts du côté du pouvoir actuel pour expliquer et justifier le référendum. Remplir des stades en distribuant du carburant et quelques billets reste le seul argument du camp présidentiel... Bref votre torchon pue la haine même de la démocratie que vous ignorez justement parce que Blaise ne vous a jamais donné l’occasion de la connaître. Et on est triste de voir que vous serez même heureux de vivre et mourir sans démocratie et sans liberté, pourvu que vous ayez quelque chose à vous mettre dans le ventre, exactement comme vivrait un animal...

  • Le 19 juin 2014 à 16:14, par Calao de Midi En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    "Même si on n’aime pas le lièvre, il faut reconnaître qu’il court."
    On va entendre de toutes les platitudes pour justifier l’ injustifiable. On voit que le cdp s’ est vraiment vide de son ame.La pauvrete de l’ argumentaire. Asimi, faut disciplinber ta troup . Sinon le calecon dechire sera vu par meme ceux qui ne ’ ont pas vu encore.

  • Le 19 juin 2014 à 16:17, par vérité no1 En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    En toute honnêteté, dites moi ce que ce pouvoir a fait de bien si ce n’est que encourager la corruption, la gabegie, la démagogie et les assassinats. Je suis désolé mon intendant mais nous voulons un changement et vous serez surpris de voir un opposant prêter serment en 2015 !!!!

    • Le 19 juin 2014 à 17:03, par Vizir En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Je serai heureux de voir qu,un opposant prete serment en 2015 pour vue que ca se passe x les urnes.Quant au bilan collegial de CDP notre opposition en est au aussi responsable en bien et en mal et ne saurait s,en soustraire x mimetisme car nos noveaux princes doivent leur fortune a l,ecurie Compaore Ils sontTous issus de la fonction publique.le moment venu il devront nous dire comment Ils eu leur argent.

    • Le 19 juin 2014 à 17:47, par Tifis En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Tout le monde sait que tu reves du MPP mais le MPP ne prendra jamais le pouvoir dans ce pays, en parlons pas de 2015.

    • Le 19 juin 2014 à 18:49, par aaa En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Le pouvoir n’a rien faire de bon ! Alors reconnait que les opposants que tu prétends être des super homme ne vont rien faire puisqu’ils ont beaucoup contribuer à faire de notre pays ce qu’elle est aujourd’hui. En parlant de ce qu’elle est aujourd’hui je me rappel bien que pendant la révolution tout près quiconque critiquait la révolution était lynché sans jugement et même tout ce qui allait contre cette même révolution. Aujourd’hui on sort avec des pancartes et on insulte même jusqu’aux président des gens comme toi vérité no1 peuvent écrire tout ce qu’ils veulent sur la toile sans avoir peur. Au Sénégal tout près insulte Macky et tu verras ce qui va t’arriver. Alors ai maintenant le courage de me dire que le pouvoir actuel n’a rien fait de bon !!!

  • Le 19 juin 2014 à 16:18, par burkintinga En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    ce qu’on demande aux politiciens du burkina est qu’ils respectent la loi fondamentale, comment peut on comprendre que si une loi t’arrange elle reste loi mais quand elle ne t’arrange pas tu veux trouver des racourcis pour la contourner, ça ne pourra pas aller comme ça, il faut l’alternance pour permettre a chaque fils et file de ce pays d’apporter son savoir faire pour le bien etre de ce pays qui est cher à nous tous, de toute façon c’est le peuple qui a le dernier mot si on elit un president et qu’il ne fait pas l’affaire du peuple on le changera on a vu l’exemple en afrique du sud avec tabo m’beki, maintenant si parmi les 16000000 des burkinabès vous ne jurez que sur un, le jour ou il moura on va se rattacher a la cote d’ivoire ou au ghana puis que vous n’avez pas des gens capables sauf le seul.

  • Le 19 juin 2014 à 16:20, par tché En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Je ne suis pas d’accord avec l’auteur sur cette déclaration : "Le fauteuil présidentiel est devenu un banc présidentiel où chacun peut s’asseoir, se servir au lieu de servir le peuple". ce sont des phrases qui forgent la mentalité pas de la bonne manière mais de la mauvaise manière. C’est des choses à éviter. Il faut apprendre à toujours positiver les choses c’est ainsi qu’on changera les choses.

  • Le 19 juin 2014 à 16:25, par kaboré ludovic de tanghin ;original En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    je crois que KABORE a fait le tour de table pour interpeller la population burkinabé sur un certains nombre de questions concernant le pouvoir présidentiel au burkina faso .il laisse entendre que nombreux sont ceux qui pour briguer un mandat présidentiel sont prêt passer sur le corps de ses citoyens qu’ils disent défendre à longueur de journée .En réalité , ils n’ont qu’après leur besoins personnel et qu’est ce qui prouve qu’ils sont sincères dans leur promesses et déclarations . ce sont des vendeurs d’illusions .

  • Le 19 juin 2014 à 16:25, par Obarack En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    j’ai vraiment honte quand je lis des écrits de ce genre. L’alternance,si vous ne le savez pas est pour la démocratie comme le sang est pour le corps humain.Ce n’est pas parce que je dilapide impunément les frais de scolarité des pauvres élevés et leurs parents que je vais souhaiter la monarchie. Épargner nous des idées lâches et irresponsables comme celles là. Rien ne me dit non plus qu’en moins de 27 ans quelqu’un d’autre ne ferait pas mieux. Quelle est cette peur honteuse qu’on tente d’incliquer les burkinabè dès lors qu’on parle de changement. Souvenez vous quand en 1987 qan votre indispensable aujourdhui prenait le pouvoir. Il ya aujourd’hui des burkinabè patriotes qui sont prèts à accompagner le nouveau président en 2015 come d’autre l’ont fait avec monsieur COMPAORE. Nous nous battrons jusqu’à la dernière goutte de sang si besoin en est pour que ce peuple goute l’alternance en 2015 ; n’en déplaise aux malades du changement.

  • Le 19 juin 2014 à 16:26, par TAKSE En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Monsieur, kaboré, je serai totalement avec votre réflexion si vous étiez rester neutre dans votre analyse et si vous préconisiez des propositions pour celui gouvernera le pays dans les années à venir. Mais on comprend aisément que vous défendez une chapelle en oubliant royalement que tout burkinabè qui se sent capable de diriger ce pays à le droit de demander le suffrage du peuple. On ne nait pas président on le devient. Je serai d’accord avec vous si ce que vous si les tenants du pouvoir actuel ne font pas exactement ce que tentiez de reprochez à ceux qui veulent le pouvoir actuellement (privilèges, soutien des parents et proches, ne s’occupent de sa famille et son village...). Vous êtes dans des hypothèse si ils viennent au pouvoir ils vont faire ceci ou cela...)Vous omettez volontairement que celui règne actuellement depuis 28 ans est assis après avoir écarter plusieurs de ses amis. Cela ne vous dit rien, vous restez dans des hypothèses prédictives négatives pour ceux qui cherche à gérer le pouvoir d’état et vous fermez les yeux et votre conscience sur ce que le pouvoir actuel fait et pose comme actes quotidiennement. Restons intègres le pays appartient à tous les burkinabè que tu sois de zorgho, ziniaré ou Batié

  • Le 19 juin 2014 à 16:34, par RV En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Tristounet comme écrit ! Autant repartir à la Monarchie et donner le pouvoir au Mogho Naba.

  • Le 19 juin 2014 à 16:44, par Wend na vî Rima. En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    A vous lire, j’ai l’impression que vous vous inscrivez en faux contre la démocratie ou vous la confondez avec la notion de l’alternance. Dans tous les cas, il faut comprendre que nous sommes dans un Etat de droit où tous les citoyens, y compris le Président, se doivent de respecter les lois de la République. Nous devons tous respecter les clauses de notre contrat social. J’ai personnellement honte de voir des individus qui se disent intellectuels, manquer de discernement et se vautrer dans des supercheries des accros au pouvoir. Il est de ces intellectuels qui, pour des raisons purement personnelles, ont fait l’option de penser avec leur panse au détriment de leur cerveau. Là n’est pas le véritable problème car ils ont fait un choix en toute âme et conscience. Ce qui est par contre regrettable c’est que d’autres intellectuels font des analyses visiblement désintéressées mais qui s’écartent éhontément du bons sens. Je ne suis pas contre la diversité de point de vue, seulement je me déplais de voir des positions dénuées de fondements sérieux. Soyez sérieux avec vous-même, ce raisonnement est moyenâgeux.

  • Le 19 juin 2014 à 16:49, par LE VIEUX En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Monsieur "Karim KABORE Intendant au lycéee Départémental de Poura". Que dites- vous à vos élèves ? De n’est jamais respecter la parole donnée ? Quel "Educateur". La fonction de Président est codifiée et bien encadrée par notre Constitution. Elle est de 5 ans rénouvelable une seule fois. Où se situe votre problème. La comparaîson avec la Lybie, la Cote d’Ivoire ... contredit votre position parce que la durée exéssive d’un président au pouvour est source de malheur pour les peuples. Mon cher Karim, ne confondez pat REPUBLIQUE et ROYAUME. Enseignez plutôt les élèves de votre lycée le sens profond de la parole donnée. Vous avez voulu insulter l’intelligence des Burkinabè par cet écrit. Mais le Burkinabè de 2014 n’est plus le même que celui de 1987. Il a un sens élévé de la responsabilté. Ce Burkinabè de 2014 sait que votre écrit est une demande de faveur (financière ou matérielle) adressée au pouvoir, ou pour vous proteger contre certain manquements que vous avez du commetre dans votre poste d’Intendant. Si non je doute fort de votre sincérité. EN CLAIRE, VOTRE NIVEAU INTELLECTUEL VOUS PERMET DE CONNAITRE LA JUSTESSSE DE LA LUTTE CONTRE LE POUVOUR A VIE. Mais le Burkindi vous a quitté il ya belle lurette. Prenez votre gombo. Que dieux sauve le Burkina.

    • Le 19 juin 2014 à 18:52, par Laguna En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Merci à Mr Karim pour pour sa contribution au débat politique national. A tous ceux qui le dénigrent sachez que la démocratie forgée par le président Blaise Compaore et le CDP est synonyme de liberté d expression . Mr Karim en a droit.

  • Le 19 juin 2014 à 16:50, par Ka En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Kaboré, votre analyse est bidon et partage avec des systèmes dictatoriales et sanguinaire. Aucun des présidents dont vous citer y compris Blaise Compaoré n’est arrivé au pouvoir avec un bagage intellectuel ou politique, sauf le commis planton nommé Dr. En syndicalisme coloniale Houphouët qui peut avoir le respect d’un vieux routier de la politique. Les restants sont arrivés au pouvoir par assassinat, d’autre par tripatouillage des institutions et des article de loi, d’autres par répression de système militaro monarchique et j’en passe. Apres 1990, tous ceux qui sont devant les portes des palais présentiels sont des intellectuels, des politiques formés, des économistes et j’en passe. Ces personnes dont vous salissiez les noms pour votre gosier, sont des personnes de bonne foi, sans du sang dans les mains, des personnes qui cherchent à faire ce qui est mieux pour le peuple et non ce qui est mieux pour soi-même comme vous et Blaise Compaoré qui puisent dans les caisses de l’état pour développer vos villages et ceux de vos belles mère et maîtresses en oubliant le peuple qui vous a élu. Laissez les intellectuels se battre pacifiquement pour une alternance qui fera demain un Burkina émergent et démocratique. Blaise Compaoré n’a plus rien à apporter au Burkina que la corruption à ciel ouvert. Quand à vous, allez quémander a la belle-mère des miettes pour vous nourrie et laissez les personnes compétentes pour faire avancer le Burkina.

  • Le 19 juin 2014 à 18:08, par relwind En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    état du faso :
    - moins de 30% de taux d’alphabétisation
    - près de 50% de taux de pauvrété
    - 10% des enfants de moins de 5 ans malnutris
    - 17,6% enfants meurent avant 5 ans
    - espérance de vie moins de 56 ans
    - le faso importe 3/4 de ses besoins en riz : pas autosuffisant
    népotisme,assassinats politiques,justice aux ordres
    il faut être ignorant ou stupide pour trouver le faso enviable

    • Le 19 juin 2014 à 22:05, par YIRMOAGA En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Mr KARIM KABORE,après l’intendance, possible que vous soyez HAUT-COM ? Toutes mes félicitations pour ce prétencieux reveur qui veut gravir par un simple écrit ? Normal, mais il serait mieux de dmder audience à .......? Renseignez-vous avant toute chose parce qu’on ignore si SEM BC sera candidat ? Venez à OUAGA pour réaliser les contours et tractations au sein du MEGA parti ? Mais pour votre nomination, écoutez le conseil de ministres, et pourkoi ne pas postuler pour un Ministère ? D’ici peu, les anchères au mois d’Août ? ça te tente pas d’être à côté du BOSS ou autour de la table ronde ou ovale ?

    • Le 19 juin 2014 à 22:23 En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      relwind,mais d,ou viennent tes chiffres la.En tout cas si tu vis Seulement de guore il est evident que tu vas mourir avant 56 ans et c,est pas BC qui peut changer qlq chose dans ca.je vois que tu es bien instruit Cependant tu es mal nourri pas x manque de nourriture plutot x manque de culture nutritionnaelle alors l,alternance ne va rien changer pour toi mon frere.

    • Le 19 juin 2014 à 22:33, par L’auteur de l’article En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      C’est cela le débat politique. J’ai levé le lièvre et à chacun de le poursuivre de sa manière. Quand on lit un article sur fasonet, c’est surtout les réactions des internautes qui sont encore plus intéressantes et je vous tire mon chapeau.

      • Le 20 juin 2014 à 12:55, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        justement j’attendaias que tu reagisses un peu tellement je suis surpris par les reactions. Il me semble plutot que les gens ne t’aient pas compris ! A moins que ce ne soit MOI qui n’ai pas compris§ cf ma longue intervention (si le moderateur n’y a mis sa censure !) J’aimerais avoir ton explication
        SOME

      • Le 20 juin 2014 à 15:21, par P des B En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        Karim KABORE ! Tiens, tiens, tiens !!! Tu feras mieux de chercher des prêts pour boucher les trous que toi et le Directeur inamovible M. M. du CEG avez creusés. Il y aura alternance. Il y aura alternance au Burkina et à la mairie de Poura où M. le maire B.F vous protège. Ne vous en faites surtout pas. Vous paierez. Le CEG de Poura a été construit et ouvert en même temps que celui de Fara en 1989. Fara est à sa quel ième promotion au BAC ? Poura est toujours CEG parce que le directeur ne veut pas partir car il n’est pas compétent pour diriger un lycée. On se connait. Ce que vous avez fait comme méchanceté à l’intendant sortant aussi, on connait. D’ailleurs, ce M., un Protestant fiefé est toujours là à côté et il célébrera l’Eternel car il combattra et détruira ses ennemis pour lui. Pour la Gloire de L’Eternel.

  • Le 19 juin 2014 à 19:47, par Ka En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Mr. Kaboré, espérons que dans vos classes vous n’enseignez pas les enfants en déviant idéologiquement leurs connaissance qui vas vers la vraie démocratie. Si vos idées de garder les criminels crapuleux au pouvoir est enseigné aux enfants, vous deviez être radié de l’éducation nationale. Votre analyse se résume a inciter le peuple qui a besoin de paix et de ce qui est mieux pour vivre, de se tourner vers un assassin qui utilise la répression pour régner a vie. Arrêtez vos salades et acceptez l’alternance pacifique qui fera avancer notre pays.

    • Le 20 juin 2014 à 16:47, par Koumbem Tipousga En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Bonsoir.

      Merci beaucoup Bili Bili. Tu me fais marrer. Merci beaucoup pour cet écrit. L’intendant en question doit avoir des trous qu’il veut faire pardonner. Ce sont ces gens qui violent les élèves dans les lycées sans problème. Des esprits frappés de nanisme comme ça.

  • Le 19 juin 2014 à 19:50, par africain En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Vous me décevez monsieur. si vous n’avons rien à nous arrêtez de nous montrer que vous avez été nul à l’école. A bas la politique alimentaire. A bas les faux intendants.

  • Le 19 juin 2014 à 20:04, par Lallé En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Mr l’intendant, et si votre écrit portait sur les indemnités spécifiques. Ne t’en fais pas, tu seras nommé DAF.

  • Le 19 juin 2014 à 22:21, par laloi En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Un minable intendant, c’est pitoyable comme raisonnement.

  • Le 20 juin 2014 à 01:00, par le fou qui se masturbe sur l’échangeur de blaise compaoré En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    mon frère karim, intendant de ton état, tu as trop pris les 10% des entrepreneurs et fournisseurs que tu penses pouvoir t’essayer en politologie. retourne à tes bons de commandes et surfacturations car ce sujet te depasse.

    • Le 20 juin 2014 à 09:28, par le duc En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      c’est écœurant comme analyse et avec une telle mentalité on veut le pays avance ! tu fais honte a ton pays, de toute façon je vois qu’on ne peut rien faire pour toi mais sache que c’est dangereux de publier de telles sottises.

  • Le 20 juin 2014 à 07:49, par NulNestIndispensable En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Mon cher ’Karim KABORE’, pour que vous puissiez occuper ce poste d’intendant à Poura, il a fallu qu’un de vos collègues quitte ??? Vous pensez que vous êtes le seul capable d’occuper ce poste ? Un peu de respect pour les Burkinabés. Nous disons et répétons que le poste de Président du Faso n’appartient pas à un individu et que c’est tout à fait normal que le peuple se batte pour empêcher qu’on transforme un Président en ’Roi’. Il y a eu des Présidents avant et il en aura après. Si vous avez vider vos caisses sous la protection d’un Président, sachez que vous aller rendre compte...

  • Le 20 juin 2014 à 08:48, par Ya woto En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Les gens évoluent et vous vous reculer. Gardez vous idées antidémocratiques pour vous mêmes

  • Le 20 juin 2014 à 09:32, par patrie1 En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    avez vous deja repondu a cette question ?" pourquoi les hommes ont peur du changement ?? " tout simplement parcequ’ils ne veulent pas perdre certains avantage ou rang sociale qu’un changement pourrait bouléverser. c’est humain et c’est compréhensible. mais il faut savoir que perdre son chemin est aussi l’occasion d’emprunter un autre qui peut etre meilleur que le precedant. mais il faut oser et je crois que ça vaut le coup car même les rois ont compris qu’il faut si necessaire laisser le trone.

  • Le 20 juin 2014 à 09:43, par alternance En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Dites moi les amis : On peut être aussi diot comme ça et être Intendant ?

  • Le 20 juin 2014 à 12:04, par nbi En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    surtout pas d’insulte... je partage bien l’analyse de mon frère que je ne trouve aucunement partisan. on est suffisamment mure pour ne plus se faire berner par qui que ce soit. ceux la qui se promènent de ville en ville pour narguer le peuple qu’ils soient pour ou contre le changement se battent pour leur propre intérêt. ouvrer les yeux très souvent dans les pays ou on a revendiquer le changement après un ans on voulait encore un autre changement. Ma prière aux hommes politiques battez vous mais de grâce que la paix sociale prime toujours.

  • Le 20 juin 2014 à 12:12, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Je ne comprends pas une chose : pour quoi les gens pensent que seule une certaine portion doit diriger Pourquoi s’indigner et eliminer M kabore Karim parce qu’il est intendant. Certains diront meme qu’il N’EST qu’UN SIMPLE intendant ; etc. Et donc, c’est dire que certains sont mieux que d’autres pour parler, donner son point de vue sur la politique au Burkina Faso… Je comprends evidemment cette conception des choses !!!
    Tout comme je comprends aussi que Blaise compaoré et ses piranhas assoiffés par nature s’agacent quand on dit quelque chose qui n’enterine pas leur vision politique…
    Et aussi je comprends que Blaise a donné des ordres et les sous a ses sbires pour investir internet et en premier lieu lefaso.net pour occuper le terrain et precher la bonne image de son regime. Ce ne sont pas les commentaires depuis quelques semaines qui me dementiront… Tout le contraire ! Surtout que ces sbires manquent entierement d’objectivité quelconque et se precipitent en piranhas missionnés qu’ils sont, sur tout ce qui bouge.
    En quoi M Kabore Karim est « disqualifié » pour donner son analyse sur la question politique au burkina ? C’est tout simplement parce que les verites toutes evidentes qu’il donne vous enervent ; qu’à cela ne vous deplaise, mais la verité rougira vos yeux et vous transformera en assassins comme vous en avez l’habitude comme mode de gestion du pays, mais sachez que toute chose a une fin. Seuls les pretentieux ou les ignorants se croient les seconds de Dieu, quand ils ne se prennent pas pour Dieu lui-même. Leur reveil leur reserve des lendemains amers !

    M Kaboré a ecrit :
    « De même, la vocation première du responsable est de servir tous ceux qui vivent sous son autorité sans privilégier un groupe aux dépens du reste de la société. N’est-ce pas le contraire que nous remarquons un peu partout dans le monde ? Le premier souci de nos leaders d’aujourd’hui, c’est de se remplir les poches, c’est d’assurer indûment l’avenir de leur famille avant de se préoccuper de l’intérêt du pays. A ce rythme, on assiste à un népotisme caractérisé, préjudiciable pour un développement durable.
    Quand on est élu, on n’appartient plus à un clan donné mais à toute une communauté devant laquelle on a des comptes à rendre. Le responsable doit alors avoir pour slogan de se sacrifier pour son peuple au lieu de sacrifier le peuple pour des intérêts personnels et égoïstes. »

    Je comprends que ces verites enervent, tellement M Kabore vous rappelle le BA BA de la bonne gouvernance ; ce n’est des mots dont on se gargarise pour dire qu’on communique. Faire de la politique, c’est incarner une pratique. Et vous, on vous a vus et on vous voit à l’œuvre ! souffrez qu’on vous le dise !
    Si le burkina faso peine a entrer dans le cercle des pays dits emergents (les concepts importés font plus de mal que toute autre chose !), c’est parce que vous n’avez pris les bonnes orientations de bonne gouvernance et c’est ce que M Kabore denonce comme étant l’invariant que l’on retrouve chez les hommes politiques (malheureusement) tellement ceci est devenu la norme. Mais la vraie democratie (a defaut de dire la démocratie tout court), c’est ce que veut le peuple, et non ce que certains pretendent dire au nom du peuple. Il reste a savoir qui est ce peuple ? et comment on manipule ce peuple, le peuple exerce-t-il reellement le pouvoir ? etc.
    M Kabore ne dit pas autre chose. Son analyse est tres appreciable, et c’est ce qui vous enerve, d’autant plus qu’il dit des verités contre lesquelles vous n’avez aucun argument, excepté le mepris, les injures et … la violence… qui ne sont que les armes des faibles et des perdants (des mauvais perdants). Cela n’empeche que vous irez finir comme tant d’autres, dans les poubelles de l’histoire de notre cher Burkina Faso, pays des hommes integres et humains. Vous savez que vous etes finis finis et c’est cette realité réelle qui vous rend si agressif et mort de trouille. Le chat fait fou fouf ou sort ses griffes et crocs etc. mais le chien l’envoie valser ! C’est la loi de la Nature !

    SOME

  • Le 20 juin 2014 à 12:35, par Vraiment En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Encore un qui raisonne par et pour son ventre. Dis, as tu boycotté la paie du BEPC ? surement non !!!!!!!!! Puisque pour vous autre, demander à ce qu’on ne transforme pas le BF à un bien de Blaise COMPAORE, ce n’est pas bien, donc, toute contradiction de sa gouvernance, ce serait un coup bas !
    Evitez des écrits pareils, ce n’est pas digne d’un éducateur (Si vous l’êtes)
    NB : C’est un Intendant formé (ENAM) ou transformé (Arrêté MFP et MENA) ?

  • Le 20 juin 2014 à 13:22, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    Je ne comprends pas une chose : pour quoi les gens pensent que seule une certaine portion doit diriger Pourquoi s’indigner et eliminer M kabore Karim parce qu’il est intendant. Certains diront meme qu’il N’EST qu’UN SIMPLE intendant ; etc. Et donc, c’est dire que certains sont mieux que d’autres pour parler, donner son point de vue sur la politique au Burkina Faso… Je comprends evidemment cette conception des choses !!!
    Tout comme je comprends aussi que Blaise compaoré et ses piranhas assoiffés par nature s’agacent quand on dit quelque chose qui n’enterine pas leur vision politique…
    Et aussi je comprends que Blaise a donné des ordres et les sous a ses sbires pour investir internet et en premier lieu lefaso.net pour occuper le terrain et precher la bonne image de son regime. Ce ne sont pas les commentaires depuis quelques semaines qui me dementiront… Tout le contraire ! Surtout que ces sbires manquent entierement d’objectivité quelconque et se precipitent en piranhas missionnés qu’ils sont, sur tout ce qui bouge.
    En quoi M Kabore Karim est « disqualifié » pour donner son analyse sur la question politique au burkina ? C’est tout simplement parce que les verites toutes evidentes qu’il donne vous enervent ; qu’à cela ne vous deplaise, mais la verité rougira vos yeux et vous transformera en assassins comme vous en avez l’habitude comme mode de gestion du pays, mais sachez que toute chose a une fin. Seuls les pretentieux ou les ignorants se croient les seconds de Dieu, quand ils ne se prennent pas pour Dieu lui-même. Leur reveil leur reserve des lendemains amers !

    M Kaboré a ecrit :
    « De même, la vocation première du responsable est de servir tous ceux qui vivent sous son autorité sans privilégier un groupe aux dépens du reste de la société. N’est-ce pas le contraire que nous remarquons un peu partout dans le monde ? Le premier souci de nos leaders d’aujourd’hui, c’est de se remplir les poches, c’est d’assurer indûment l’avenir de leur famille avant de se préoccuper de l’intérêt du pays. A ce rythme, on assiste à un népotisme caractérisé, préjudiciable pour un développement durable.
    Quand on est élu, on n’appartient plus à un clan donné mais à toute une communauté devant laquelle on a des comptes à rendre. Le responsable doit alors avoir pour slogan de se sacrifier pour son peuple au lieu de sacrifier le peuple pour des intérêts personnels et égoïstes. »

    Je comprends que ces verites enervent, tellement M Kabore vous rappelle le BA BA de la bonne gouvernance ; ce n’est des mots dont on se gargarise pour dire qu’on communique. Faire de la politique, c’est incarner une pratique. Et vous, on vous a vus et on vous voit à l’œuvre ! souffrez qu’on vous le dise !
    Si le burkina faso peine a entrer dans le cercle des pays dits emergents (les concepts importés font plus de mal que toute autre chose !), c’est parce que vous n’avez pris les bonnes orientations de bonne gouvernance et c’est ce que M Kabore denonce comme étant l’invariant que l’on retrouve chez les hommes politiques (malheureusement) tellement ceci est devenu la norme. Mais la vraie democratie (a defaut de dire la démocratie tout court), c’est ce que veut le peuple, et non ce que certains pretendent dire au nom du peuple. Il reste a savoir qui est ce peuple ? et comment on manipule ce peuple, le peuple exerce-t-il reellement le pouvoir ? etc.
    M Kabore ne dit pas autre chose. Son analyse est tres appreciable, et c’est ce qui vous enerve, d’autant plus qu’il dit des verités contre lesquelles vous n’avez aucun argument, excepté le mepris, les injures et … la violence… qui ne sont que les armes des faibles et des perdants (des mauvais perdants). Cela n’empeche que vous irez finir comme tant d’autres, dans les poubelles de l’histoire de notre cher Burkina Faso, pays des hommes integres et humains. Vous savez que vous etes finis finis et c’est cette realité réelle qui vous rend si agressif et mort de trouille. Le chat fait fou fouf ou sort ses griffes et crocs etc. mais le chien l’envoie valser ! C’est la loi de la Nature !

    SOME

    • Le 20 juin 2014 à 19:34 En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      SOME, pour la trente- et- dix-huitieme fois, laisser tomber le nom SOME la, vous n’avez pas le droit de monopoliser le nom des maris des gens. Vous croyez que vous etes le seul Some ou quoi ? Ou alors, dites LeSeul- SOME. Ensuite, vous avez trs mal lu ce petit voleur de couscous juane et de bourses d’ eleves. Il s’ embrouille. Il y a juste quelques parties ou il s’ est trompe pour etre critique mais il a fini par dire que seul Blaise est le meilleur et comme il est le meilleur, que nous sommes betes en voulnt changer le meilleur. Vous avez lu le gars serieusement ? Generalement votre analyse est est propre mais cette- fois, ce mechant intendant de brousse vous a floue.

      Carine Some/ Ouedraogo

      • Le 23 juin 2014 à 16:15, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        bonjour ma soeur Je suis desolé si mes positions te chagrinent parfois surtout a utiliser le nom SOME Comme c’est comme mon nom et non un pseudo comme beaucoup le font sur ce site...je l’assume tout de meme. Je ne pense pas le monopoliser puisque je n’interdis sa personne de l’utiliser. Il appartient a quiconque de l’utiliser meme sous un faux pseudo meme s’il n’est meme dagara...mais avec responsabilité
        quant a mon intervention je pense que tu ne m’as pas compris. si d’aventure je me suis mal exprime tu verras dans ma reponse a M Kabore ou je donne ma position et le sens de mon intervention
        SOME

    • Le 20 juin 2014 à 22:43, par l’auteur En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Merci Some et a tous ceux qui ont anime ce débat. Des discussions jaillit la lumière. Je vous comprend bien, mon penchant vers le pouvoir a annihile tout mon propos qui se résume a soutenir le parti au pouvoir pour des postes de hautes responsabilité. Loin de la mes amis. C’est juste pour animer le débat politique. Reconnaissez quand meme le peu de vérité qui est dit. En avant pour un Burkina prospère et émergent. Encore merci. J’ai digéré toutes les injures grossière en ma personne. Ce n’est pas grave. Quand on accepte prendre la plume, il faut s’attendre a tout cela. Encore merci mes amis.

      • Le 22 juin 2014 à 00:14, par SOME En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

        Merci bien M Kabotre pour ta reponse Je l’attendais pour reagir E tcomme je te le demandais dans mon intervention du 19 juin suite a ton intervention, je demandais que tu explicitas ta position. Je remets ma demande ici pour une question de clarté
        par SOME, 20 juin 12:55
        justement j’attendaias que tu reagisses un peu tellement je suis surpris par les reactions. Il me semble plutot que les gens ne t’aient pas compris ! A moins que ce ne soit MOI qui n’ai pas compris§ cf ma longue intervention (si le moderateur n’y a mis sa censure !) J’aimerais avoir ton explication SOME

        je viens de voir que tu as repondu. Mais je reste neanmoins sur ma soif car tu n’as pas repondu a mes interrogations ; tu t’es contenté de reprendre ta reponse faite faite plus haut le 19 juin. C’est un peu leger !
        Certes tu peux vouloir lancer le debat comme tu le dis : c’est un but noble, mais cet argument est trop eculé pour etre accepté . Effectivement de la discussion jaillit la lumiere mais il suffit –il que ce soit une discussion pour une discussion ? certainement que NON ! dis-tu certaines verités ? certainement que OUI ! mais comme toi-même tu le reconnais d’ailleurs, tut’y prends mal puisque maintenant tu reconnais ouvertement que tu prends fait et cause pour le pouvoir. J’admets que probablement je t’ai mal compris, mais je pense que je ne t’avais pas mal compris. En effet lorsque l’on lit mes propos (et meme pas en profondeur), ce n’est certainement pas une once de soutien envers ce pouvoir de compaore. C’est plutot totalement le contraire. De toutes facons ceux qui suivent les forums du faso.net savent mes positions en faveur de l’experience revolutionnaire avec thomas sankara, et meme contre certains soi disants sankaraistes mais certainement pas pour ce regime de blaise depuis le 15 octobre 1987. Il n’y a point l’ombre d’un doute la-dessus. Et a lire mon propos sur ton article, il n’y a aucun soutien a ce regime. Tu dis des verités (comme je t’ai cité dans mon intervention et tout ce que tu dis sur la gouvernance est vrai. Je te recite encore :« De même, la vocation première du responsable est de servir tous ceux qui vivent sous son autorité sans privilégier un groupe aux dépens du reste de la société. N’est-ce pas le contraire que nous remarquons un peu partout dans le monde ? Le premier souci de nos leaders d’aujourd’hui, c’est de se remplir les poches, c’est d’assurer indûment l’avenir de leur famille avant de se préoccuper de l’intérêt du pays. A ce rythme, on assiste à un népotisme caractérisé, préjudiciable pour un développement durable. Quand on est élu, on n’appartient plus à un clan donné mais à toute une communauté devant laquelle on a des comptes à rendre. Le responsable doit alors avoir pour slogan de se sacrifier pour son peuple au lieu de sacrifier le peuple pour des intérêts personnels et égoïstes. »).
        Alors et seulement alors, ce que tu dis si bien est-il applicable et appliqué effectivement au burkina Faso depuis le 15 octobre 1987 jusqu’à aujourdh’ui ? CERTAINEMRENT que NON, sans la moindre ombre d’un doute ! Les critiques que tu donnes ne font que s’appliquer a merveille a ce regime de bLaise compaore que tu soutiens. Y-a-t-il un regime dans toute la haute volta et tout le burkina faso qui illustre aussi bien tes critiques que le regime de bLaise compaaore : NON ! Il n’y en a pas ! En somme, tu donnes toi meme les fouets pour te faire fouetter avec. Tu te garagarise de mots que tu n’appliques meme pas a ton comportement ! Je cite : » Je vous comprend bien, mon penchant vers le pouvoir a annihile tout mon propos qui se résume a soutenir le parti au pouvoir pour des postes de hautes responsabilité. » Que dire de plus ? alors tu ne peux que t’attendre a avaler les injures que tu es en droit d’attendre.
        Ce que je refuse, c’est qu’on te disqualifie de parler de politique parce que tu n’es qu’un comptable. Tout citoyen a le droit (sinon le devoir, pour ma part) de se preoccuper de la chose commune. Et y-a-t-il chose plus commune dans une communauté d’individus que la gestion de la cité, ce qu’on appelle la politique ? Et c’est cela la Démocratie !Je ne te connais pas : je n’ais donc pas a me prononcer sur ta gestion de ton etablissement comme beaucoup en ont parlé sur le forum. Je te combattrai sur les arguments, c’est pourquoi j’attendais beaucoup de ton intervention comme je te l’ai demandé. Mais helas et encore Helas ! il n’en est rien sorti. Je ne suis pas du tout d’accord avec toi, mais je me battrai pour que tu aies le droit d’exprimer ta position ; Mais alors si tu viens deblaterer des plaitutdes, a croire que les gens sont idiots pour ne pas comprendre, c’est-à dire si tu ne me fournis pas des arguments solides face a tes idées, alors on ne doit pas lesiner pour te combattre. Certains pensent que je ne t’ai pas compris, peut etre que c’est vrai, mais je pense avoir compris ceque tu dis, mais la seconde logique qui en decoule logiquement, c’est la pratique : et comme je l’ai ecrit et je recite encore : « Faire de la politique, c’est incarner une pratique. Et vous, on vous a vus et on vous voit à l’œuvre ! » Qui est a l’œuvre ? qui a-t-on vue et (malheureusement continuons de voir a l’œuvre sinon blaise et ses sbires transformés en pirhanas assoiffés : ce n’est pas votre pratique (puisque tu avoues toi-même avoir annihilé tes propos en prenant fait et cause pour le pouvoir. Les commandos –combattants-sbires en ligne de front savent qu’ils essuyeront les salves d’attaque : thomas sankara et ses 12 camarades le savaienrt et ont accepté donné leurs vies car ils amaient le peuple et vivaient leur conviction : la revolution a besoin un peuple de convaincus et non un peuple de vaincus qui subissent leur destin. Depuis le 15 octobre 1987, la tolearnce des burkinabe vous fait croire qu’il était desmoutons. Aujourdh’ui vous usez de tous les moyens les plus deloyaux et malhonnetes pour perdurer au pouvoir, tout tremblotant car le peule se met debout. Il ne sera plus suffisant de se refugier dans une ambassade comme en 2011.
        SOME

  • Le 20 juin 2014 à 14:56, par fasobiga En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    très belle analyse

    • Le 21 juin 2014 à 10:38, par Le Modéré En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

      Bravo Karim,tu es un vraie patriote ;laisse ceux qui veulent qu’on fasse leur éloge et qui ne tolèrent pas la contradiction.Déjà d’autres veulent égorger ;si de tels individus ne peuvent pas diriger une famille n’en parlons pas un pays.Ils n’ont qu’à savoir qu’ils ne sont les seuls Burkinabè ;tout le monde a droit à la parole.s’ils ne veulent pas çà qu’ils aillent vivre ailleurs ici au Burkina la liberté d’expression à cause du pouvoir Blaise Compaoré.L’analyse de Karim est pertinent et seuls les analphabètes et les intolérants ne l’acceptent pas.Non à l’alternance pour l’alternance.

  • Le 22 juin 2014 à 13:22, par Le Sage En réponse à : Situation nationale : La course au pouvoir

    M. KABORE, il y a quand même des règles constitutionnelles qui gouvernent le fonctionnement des institutions de l’Etat. Si l’article 37 dit qu’au bout de 2 fois 5 ans, le Président ne doit plus se présenter, ce n’est pas une question de faire mieux ou pire que le précédent président. Au Brésil, le Président LULA pouvait faire encore mieux, mais il n’avait pas le choix de partir.
    Mais comme, apparemment tu es radicalement limité dans ton analyse, personne ne devrait t’en vouloir pour ton ignorance. Il n’est pas donné à n’importe qui d’écrire un texte cohérent et si je devais notre votre texte, c’est 3/20 pour simplement l’effort fait par un patriote qui s’intéresse à la vie de son pays, mais qui n’en a pas les moyens intellectuels pour se faire.

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