Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Les tricycles créent du désordre dans la ville. En plus, ils sont source d’insécurité totale et pour les usagers de la voie publique, et pour les passagers qu’ils transportent. Et ce, au mépris du décret présidentiel qui leur interdit le transport de personnes. C’est à dire et à croire que l’autorité chargée de l’application de ce décret, police municipale et nationale ne peut rien. Rien du tout ?
Si dans la ville de Ouagadougou où le transport des passagers par les tricycles est interdit et qu’on a pu appliquer la mesure, ce n’est pas à Bobo-Dioulasso qu’on ne devrait pas pouvoir l’appliquer. Bobo-Dioulasso n’est pas différente de Ouagadougou et sont régies par les mêmes règlements. La seule question de moyens ne peut expliquer ce qui apparaît comme une démission de nos forces de l’ordre et de sécurité.
Les taximen, on se rappelle, s’étaient invités dans la lutte contre le transport des passagers par les tricycles. Ils avaient raison parce que non seulement, c’est un gain en moins pour eux, mais en plus, ils constituent un réel problème de sécurité publique. En tout cas, tels qu’ils sont en ce moment, et pratiquent le transport à Bobo. L’autorité municipale avait bandé les muscles et avait initié des actions pour mettre fin à ce qui apparaît aujourd’hui comme un phénomène.
Depuis, plus rien. Ce sont seulement quelques actions sporadiques qui sont timidement menées pour les dissuader. Ce qui, si ce n’est rien, ne peut constituer une véritable action durable.si bien que les conducteurs de tricycles se moquent pratiquement de tout le monde. Non contents de transporter passagers, notamment ses femmes et des jeunes, ils circulent au hasard dans la ville. Il n’est pas surprenant de voir un conducteur, téléphone collé à l’oreille, en train de téléphoner royalement au milieu de la route ou à un feu tricolore. Ce qui irrite les autres passagers et crée souvent des situations bien désagréables.
Si bien qu’aujourd’hui, on a envie de dire à qui de droit de prendre des mesures idoines, énergiques, fortes et durables pour enfin, à défaut de mettre définitivement fin à cette situation, la réduire un tout petit peu.
Si pour l’instant les accidents qu’occasionnent les tricycles n’ont pas été source de débordement, il n’est Pas exclu que cela dure encore pour l’instant. Surtout, et surtout quand on sait que ceux qui constituent le gros de la clientèle sont des femmes, les femmes des gens, les sœurs des gens et les filles des gens. Même si cela n’était pas seulement le cas, il est urgent d’agir et de faire raisonner ces gens-là. Dont la plupart n’ont pas le permis de conduire exigé pour conduire ce type d’engins. En outre, la plupart de ces engins ne disposent pas de documents nécessaires pour le travail qu’ils font. C’est pourquoi, il devient de plus en plus urgent d’agir. Avec le peu de moyens dont on dispose en attendant. Car, comme dirait quelqu’un, on n’aura jamais tous les moyens dont on a besoin pour faire tout ce que l’on doit faire.
DabaouéAudrianne KANI
L’Express du Faso
Vos commentaires
1. Le 6 mai 2014 à 11:47 En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Mon frère, ce n’est pas seulement les tricycles qui causent les accidents, il faudrait mentionner aussi les taxis avec leurs mauvaises conduites ( ils freinent à tout bout de champ), véhicules pourris sans retro, sans vitres ( souvent remplacées par des contre-plaqués), un système de freinage qui reste à désirer, carburateurs et moteurs vétustes. pourtant les forces de l’ordre voient tout ça mais ne disent rien.
Le 6 mai 2014 à 19:27, par le solitaire En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Je trouve que les autorités Burkinabés donnent plus de liberté au citoyen lamda,il faut qu’on arrive a appliquer la loi car d’aucun se croirait dans la jungle or pourtant nous sommes dans un état de droit et tout est régi par des lois.
Le 6 mai 2014 à 19:33, par le woudy En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
C’est comme ça que ça commence et si le gouvernement décide de prendre des mesures pour sanctionné ces derniers certains n’hésite pas a descendre dans la rue.Tout ça fait parti de l’incivisme contrairement a beaucoup qui ne comprennent pas le sens.Pourtant le constat est claire que c’est de plus en plus de désordre au pays des hommes intègres a cause de cette mauvaise interprétation de la liberté des uns et des autres.
Le 7 mai 2014 à 07:08, par Hum ! En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Il ne va tout de même pas se mettre à égrener tous les maux du transport bobolais.
A toi aussi de dénoncer ce que tu perçois comme digne d’intérêt.
Évitons ces envolées inutiles qui ne font que desservir.
Le 7 mai 2014 à 10:35, par Kontougni / "Nous-pas-bouger" En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Cela n’est que l’un des nombreux symptômes qui montrent que notre pays n’est plus gouverné : on a oublié (ou pas eu le temps) de prévoir les évolutions, de les règlementer et de les contrôler. Alors on les subit en faisant le minimum nécessaire. Nicolas Sarkony, un président français que je n’ai pas bcp aimé avait dit une vérité quand on lui demandait s’il allait être candidat à sa propre succession : "le temps et l’énergie que vous mettez à durer au pouvoir, vous ne les mettez pas à gouverner" ! Voyez-vous ! C’est ce qui se passe au Burkina Blaise, le CDP, la FEDAP/BC ont consacré beaucoup de temps et d’énergie à prévoir, à tripatouiller la constitution, à fausser les élections, à manipuler l’électorat cdpiste, tout cela pour durer au pouvoir. Comment avec tout cela pouvoir encore gouverner et administrer convenablement le Burkina, ses villes et villages et ses populations ?!!!!! QU’ILS SOIENT PRÉSIDENT DU FASO, DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE, ÉLU DÉPUTE, MAIRE OU CONSEILLER, JUGE OU MEMBRE DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL OU DE TOUT AUTRE STRUCTURE DE CONTRÔLE OU DE DÉCISION, FONCTIONNAIRE DE L’ÉTAT OU PARTICULIER, ILS N’ONT NI LE TEMPS NI L’ÉNERGIE DE GOUVERNER, TANT ILS SONT PRÉOCCUPES A CONSERVER LE POUVOIR !
2. Le 6 mai 2014 à 12:11, par peacemaker En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Sincerement les tricycles , c’est pas la peine.
ils eèment le vrai désordre dans la ville. Même les enfants de moins de 15 ans les roulent en pleine circulation. Faut vraiment les interdire.
Le 6 mai 2014 à 13:37 En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Vous n’avons encore rien vu. je demande au Maire de ne pas se mettre à dos les bonnes gens. Quand Simon, le brave Shériff demandaient au gens de dégager la voie pour ne pas se faire écraser, que n’a-t-on pas entendu ? Quand il a demander des gens de porter des casques pour se protéger que n’a-t-on pas dit ? Quand il a demander de dégager Rod wooko (le grand marché central) pour plus d’espace, pour que les sapeurs puissent en cas de cas, que n’a-t-on pas dit ? Écoutez les maires, laisser les gens mourir tranquilles, c’est ça qu’ils veulent.
3. Le 6 mai 2014 à 13:16, par ElMagnifico En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Mais Dabaoué Audrianne KANI, ce n’est pas parce qu’il y a du désordre dans la ville que vous journaliste allez emprunter un langage de rue pour décrire la situation ! Prenez le temps de vous relire avant de publier, cela évite les coquilles et met le lecteur à l’aise. Certes nous internautes utilisons un langage sms pour réagir mais ce langage ne sied pas aux journalistes encore moins à leurs écrits ! Quant au fond de votre article je suis d’avis avec vous que les tricycles font d’énormes dégâts et souvent endeuillent des familles. Les autorités ferment les yeux sur le phénomène mais un jour il y aura des réactions imprévisibles et catastrophiques. Et ce jour-là on va encore crier à l’incivisme. Dialoguons et trouvons maintenant des solutions acceptables pour tous. Si non, notre émergence qui démarre pour le moment en tricycles va s’intensifier mais en charrettes, donc dans la pagaille !
4. Le 6 mai 2014 à 13:30, par Jamanatigui En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Je crois qu’il faut éviter certaines réflexions épidermiques par rapport à certaines questions cruciales. De ces questions, figures celles des taxis moto. Ces engins sont sources d’insécurités mais ce n’est pas une raison de les interdire, cherchons plutôt à les rendre sûrs. Rendons les sûrs en interdisant les surcharges de passagers et non le transport des passagers. Exigeons des permis de conduire pour ceux qui conduisent ces engins mais ne cherchons point leur interdiction car ils répondent aux besoins d’une certaines classe sociale. Ceux ou celles qui empruntent ces engins ne le font pas de gaité de cœur mais c’est à défaut d’alternative. Je suis sûr que si on te proposait tes courses journalières cadeaux dans un tricycle tu ne vas jamais accepter. Il ne s’agit pas de les interdire mais de proposer d’autres alternatifs meilleurs que ceux présent.
Par ailleurs les taximen ne se sont pas joint à la lutte contre ces engins pour notre sécurité mais pour protéger leurs intérêts. Si on a arrivé pas à appliquer le décret il y’a lieu de se poser la question de savoir s’il est applicable dans le contexte Bobolais et non chercher à l’appliquer coûte que coûte et au risque de créer d’autres troubles. Les troubles sociales ? C’est a chose dont le Burkina n’a pas besoin pour le moment. C’est aussi une hypocrisie de dire qu’à Ouaga le décret est scrupuleusement appliqué. C’est faux et archifaux. Je ne suis ni usagers ni détenteur d’un taxi moto mais je ne milite point en faveur de l’interdiction de transport des hommes puisque je sais que ça fait l’affaire de certaines couches défavorisées.
5. Le 6 mai 2014 à 14:07 En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
les tricycles sont-ils immatriculés ? si oui, combien sont-ils à être conduits avec un permis de conduire conforme ? inutiles de dire que c’est une occupation professionnelle pour des sans emploi et éviter d’encadrer cette profession. quand on les observe en circulation, on dirait des campagnards en ville ridiculisés par les signaux du code de la route. c’est de l’incivisme avec son corollaire de désagréments.
6. Le 6 mai 2014 à 14:44 En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
c’est la faute à Simon qui a détourné la bonne mesure amener à Ouaga, le Front républicain va y mettre fin
7. Le 6 mai 2014 à 14:53, par Weogobiiga En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Il s’agit d’une suite logique du désordre institutionnel créé par les intentions d’un referendum pour la révision de l’article 37.
Le 6 mai 2014 à 16:26, par Yako1 En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Ma soeur il faut bannir cet adjectif dans ton langage"autorite municipale"qui ne veut rien dire depuis belle lurette.A Mon avis revenons au x vieilles habitudes "autorite prefectorale" representant l,etat et dispose de la pollice sinon compter sur les politiciens pour mettre l,ordre dans nos villes c,est faire le Lit de laxisme.
Le 6 mai 2014 à 17:29, par Têrêb-sôm En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
fo sid yaa weogbiiga !tu parles de ce que tu ignores !
ils cherchent leur manger ! c’est tout ! acceptez-les comme des frères !
Le 6 mai 2014 à 18:43 En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
apparamment aucune loi ne respecter au Burkina donc que chacun se cherche et c est ça le Burkina emmergent
Le 6 mai 2014 à 19:35, par ertyui En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Mn ami si le maire sanou salia possède la majorité de ces tricycles que veux-tu que que la sécurité Municipale face ? Mon fils en ai victime que MPP nous sauve.
Le 7 mai 2014 à 10:37, par Kontougni / "Nous-pas-bouger" En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Cela n’est que l’un des nombreux symptômes qui montrent que notre pays n’est plus gouverné : on a oublié (ou pas eu le temps) de prévoir les évolutions, de les règlementer et de les contrôler. Alors on les subit en faisant le minimum nécessaire. Nicolas Sarkony, un président français que je n’ai pas bcp aimé avait dit une vérité quand on lui demandait s’il allait être candidat à sa propre succession : "le temps et l’énergie que vous mettez à durer au pouvoir, vous ne les mettez pas à gouverner" ! Voyez-vous ! C’est ce qui se passe au Burkina Blaise, le CDP, la FEDAP/BC ont consacré beaucoup de temps et d’énergie à prévoir, à tripatouiller la constitution, à fausser les élections, à manipuler l’électorat cdpiste, tout cela pour durer au pouvoir. Comment avec tout cela pouvoir encore gouverner et administrer convenablement le Burkina, ses villes et villages et ses populations ?!!!!! QU’ILS SOIENT PRÉSIDENT DU FASO, DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE, ÉLU DÉPUTE, MAIRE OU CONSEILLER, JUGE OU MEMBRE DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL OU DE TOUT AUTRE STRUCTURE DE CONTRÔLE OU DE DÉCISION, FONCTIONNAIRE DE L’ÉTAT OU PARTICULIER, ILS N’ONT NI LE TEMPS NI L’ÉNERGIE DE GOUVERNER, TANT ILS SONT PRÉOCCUPES A CONSERVER LE POUVOIR !
Le 7 mai 2014 à 14:42, par toto En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
les petits policiers municipal ne pourrons rien dire, car c’est avec les 1000 ou 500 frs des conducteurs de ces engins qu’ils sont assis dans les manquits et buvettes pour entretenir leurs copines. ce qu’ils peuvent c’est prendre l’argent des gens mais quand le feu rouge ne pas ils sont arrêtés pour montrer leur incapacité.
Les vigiles valent mieux que c’est gens là.
8. Le 6 mai 2014 à 16:04, par Jamanatigui En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Je crois qu’il faut éviter certaines réflexions épidermiques par rapport à certaines questions cruciales. De ces questions, figures celles des taxis moto. Ces engins sont sources d’insécurités mais ce n’est pas une raison de les interdire, cherchons plutôt à les rendre sûrs. Rendons les sûrs en interdisant les surcharges de passagers et non le transport des passagers. Exigeons des permis de conduire pour ceux qui conduisent ces engins mais ne cherchons point leur interdiction car ils répondent aux besoins d’une certaines classe sociale. Ceux ou celles qui empruntent ces engins ne le font pas de gaité de cœur mais c’est à défaut d’alternative. Je suis sûr que si on te proposait tes courses journalières cadeaux dans un tricycle tu ne vas jamais accepter. Il ne s’agit pas de les interdire mais de proposer d’autres alternatifs meilleurs que ceux présent.
Par ailleurs les taximen ne se sont pas joint à la lutte contre ces engins pour notre sécurité mais pour protéger leurs intérêts. Si on a arrivé pas à appliquer le décret il y’a lieu de se poser la question de savoir s’il est applicable dans le contexte Bobolais et non chercher à l’appliquer coûte que coûte et au risque de créer d’autres troubles. Les troubles sociales ? C’est a chose dont le Burkina n’a pas besoin pour le moment. C’est aussi une hypocrisie de dire qu’à Ouaga le décret est scrupuleusement appliqué. C’est faux et archifaux. Je ne suis ni usagers ni détenteur d’un taxi moto mais je ne milite point en faveur de l’interdiction de transport des hommes puisque je sais que ça fait l’affaire de certaines couches défavorisées.
9. Le 6 mai 2014 à 16:42, par SACSOBA En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
se n’est la faute a personne chacun cherche son pain a l’Etat de si mettre pour juste réglementer sinon ces conducteurs mangerons quoi ?
10. Le 6 mai 2014 à 17:23 En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Quoique que votre souci puisse être partagé, je m’inscris en faux quand vous dites que "l’usage des tricycles constitue un danger pour la circulation". Pourquoi ? Ce moyen de transport, lorsque les concepteurs les ont mis au point, ils ont tenu compte de tous les comportements à même d’insécuriser les passagers ou les utilisateurs si vous voulez. L’insécurité dont vous faites allusion tient plutôt de : 1)-la méconnaissance du Code de la route par les conducteurs d’une part, et d’autre part, l’entêtement de ceux-ci de se comporter dans les rues comme les engins motorisés (voitures, camions etc) et même parfois comme les piétons en se considérant comme les patrons de la route ; 2)-l’incivisme caractérisé des conducteurs, surtout de Bobo-Dsso qui estiment que détenir un tricycle ou le conduire le met au même pied qu’un automobiliste et lui donne tous les droits de la route. C’est dire que l’aspect juridique des choses dont vous faites cas, surtout, le non application de l’interdiction de l’Etat que vous reprochez à nos Agents de Police ne s’explique pas et ne se justifie donc pas. Les agents de Police se mettraient à les arrêter que la population, dont vous les journalistes principalement s’érigeront en défenseurs de ceux-ci pour crier "A L’ABUS DU POUVOIR PUBLIC". Autrement, en Chine et surtout dans les pays de l’Orient où l’utilisation de ces moyens qui somme tous, restent accessibles au plus grand nombre, on y compte peu d’accidents qu’au Burkina Faso. Mieux ! lorsque l’on observe le comportement des Taximen’s de Ouagadougou et de Bobo-Dsso à qui les politiques de l’époque par clientélisme leur ont fait la part belle, il n’est pas donné à tout le monde de se payer une course en Taxi. Quant aux prestations de la SOTRACO, je ne saurais quoi dire au regard du désastre de ses services prestés et, de son incompétence à répondre à la demande des populations. Alors ! au lieu de tirer des boulets inutiles sur la Force Publique, contentez-vous de participer à l’Education civique de la population
11. Le 6 mai 2014 à 17:44, par El Hadj YANOGO En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Dabaoué Audrianne KANI, pour une fois, vous faites une réflexion utile. Bravo ! Nous vous avons toujours attendu à ce niveau de réflexion...Mais vouloir défendre l’indéfendable, alors là, on ne se laissera pas faire ! Que tu vois le monde autrement ne nous a jamais dérangé. Par contre trouve les arguments logiques et pertinents pour le prouver. Pour cet article-ci, je vous dit encore BRAVO et courage pour ce nouveau chemin !
12. Le 6 mai 2014 à 17:54, par horizon En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Voilà des sujets qui impliquent l’autorité du maire. Capacité à réagir quand une toiture d’école est arrachée, quand les taxi motos font des soucis en provocant toutes sortes d’insécurité, quand les parcelles d’habitation n’ont de limite que le goudron, plus de parkings aux abords des voies, quand des femmes font les emplettes de leurs voitures sur la route encombrant le passage ou simplement quand cette voie est inondée ou avec des crevasses. C’est là que nous voulons vous sentir. Nous avons des problèmes recto verso sur nos routes en pleine ville de Bobo. Reagissez monsieur le maire, faites nous une démonstration d’efficacité, de promptitude.
13. Le 7 mai 2014 à 09:12, par Donmozoun En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Laissez ces taxi-motos en paix. A chaque fois que quelqu’un monte dans ce truc, il sait quels risques il coure. donc , si tout se passe bien pour eux, le problème est ou ? Vous laissez les vrais problèmes et vous nous pompez l’air avec des fioritures. Le transport mixte de marchandises et de personnes est-il interdit ou pas au Burkina ? Combien de personnes ont perdu la vie ces derniers temps dans ce types de transport ? L’autorité fait quoi pour que cela n’arrive plus ? Les routes qu’empruntent les camions de marchandises et de passagers ne sont-elles pas surveiller par des agents de la sécurité ? Menons le combat là ou il est le plus necessaire.Adrienne, tu sais bien que le transport des femmes en moto-taxi à Bobo peut s’expliquer. fais juste un peu de sociologie et tu comprendras ce phénomène. Les femmes ne se ramassent pas dans ces taxi au hasard comme tu le penses.Va sà Dioulassoba, tu verras un matin des vieux et sages du quartier se faire transporter en mot-taxi pour des cérémonies. C’est bien de dire que Bobo n’est pas différente de Ouaga. D’accord mais personne ne s’avanturera dans une moto-taxi à Ouaga car tout le monde sait que le risque est très élévé de faire un accident à cause de la circulation déjà engorgée.
Je pense plutot qu’on gagnerait à imposer un cahier de charge aux chauffeur de moto taxi et à être implacable sur ces détail au lieu de passer son temps à nous vouloir faire rêver debout.
14. Le 7 mai 2014 à 11:17, par Vous voulez quoi ? En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Vous voulez quoi madame KANI ? Hein ? Vous voulez-quoi ? Qu’on interdise les tricycles ? Mais si ton gouvernement que tu chéris tant laisse les WATAM-KAIZER, MEGAMONDE et autres importer et monter ces motos, ne vous inquiétez pas que les burkinabès les achètent ! Et quand on les achètent c’est pour circuler et non pour déposer chez soi pour son admiration personnelle !!! Si vous voulez interdire tout cela, interdisez plutôt l’importation de ces motos, point final !
15. Le 7 mai 2014 à 20:51 En réponse à : Autant le dire.... : Arrêtez-nous ce désordre dans la ville
Mme ou Mlle, vous soulevez là un problème très réel. Seulement rien non plus n’est réglo à Ouagadougou. Ce qui me désole dans tout ça c’est le transport de marchandises hors gabarit (barres de fer, tubes PVC, Sacs contenant divers marchandises) qui, soit dépassent le tricycle en longueur à l’avant et à l’arrière,en hauteur ; et cela à la barbe des policiers nationaux ou municipaux qui les regardent passer. C’est tout simplement révoltant. Ces conducteurs de tricycles ne respectent aucune règle de la circulation. Il y lieu que la POLICE agisse à ce niveau comme ils le font à longueur de journée pour les véhicules sur nos différents axes. J’avoue que parfois c’est à n’y rien comprendre. Lorsque cette habitude s’encrera dans leur moeurs vous voudriez alors appliquer la loi et patatras voici l’incivisme. De grâce corrigez ces indisciplinés de nos routes sinon vous serez citez comme complices de certains accidents et n’allez pas dire que nous ne reconnaissons pas ce vous faites quotidiennement pour nous. Du reste sachez que c’est très simple de nos jours de vous filmer.