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Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

Publié le jeudi 1er mai 2014 à 05h41min

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Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

Une fois n’est pas coutume, je ne peux attendre la fin de mon texte pour lancer publiquement un appel dont je donnerai davantage la raison au point 2 de ce texte : que Monsieur Assimi KOUANDA, qui n’est pas seulement un homme politique mais aussi un intellectuel, me fasse l’honneur et l’immense plaisir de soutenir avec moi un débat public civilisé et courtois en direct dans lequel il nous expliquerait, aux burkinabè et à moi-même, comment il justifie la nécessité d’une révision de la constitution et d’un référendum pour momifier un pouvoir qui n’a de pharaonique que son avidité et sa cupidité.

M’insupporte et m’horripile intellectuellement en effet l’encens d’un appel constant et incantatoire à un "peuple" qui a un nom, mais que M. KOUANDA et ses partisans, en ne nommant pas, instrumentalise par un populisme qui ne dit pas son propre nom, ni ce dont il est le nom, dans une démocratie dont nous savons tous qu’elle n’est pas une démocratie populaire. Après tout, ce même "peuple" qui est si souvent évoqué a aussi droit à des explications publiques, et ce n’est ni plus ni moins que se moquer de lui, c’est-dire de nous tous, que de toujours parler de ce "peuple" sans daigner, à commencer par son Président, lui parler. N’est-ce pas ? Je n’ai donc aucune raison d’imaginer que mon invitation sera déçue...

Voilà qui est fait. Pour le reste je ne crois pas du tout à la fécondité ni à la viabilité des étiquettes politiques et idéologiques de socialisme, socio-démocratie, libéralisme, voire néolibéralisme, sauf à vouloir coûte que coûte, mais pour une fois, reproduire chez nous ce qui existe de façon plus nette ailleurs. On nous dit même qu’il y a des nationalistes ou des identitaires au Burkina Faso... Comment comprendre, du point de vue idéologique, que des progressistes et des ex-révolutionnaires veulent nous OBSTRUER et assombrir l’avenir en appelant à modifier un article de la constitution pour pérenniser un pouvoir qu’ils disent par ailleurs démocratique, et que des conservateurs y soient opposés ?

Tout le monde voit bien que les partis et camps politiques ne s’affrontent franchement pas sur des oppositions et débats idéologiques auxquels personne d’ailleurs ne prête grande attention ni ne s’attarde, et que les opinions et positionnements politiques se font bien moins sur des idéologies que sur des personnalités : c’est Zéphirin, ce sont Roch, Salif ou Simon, c’est Blaise, avec souvent de forts élans de culte de la personnalité.

La seule chose que l’on peut affirmer sans risque de se tromper, c’est que notre pays est historiquement et idéologiquement très marqué à gauche et à l’extrême gauche, ce qui a pu favoriser et amener la "Révolution démocratique et populaire"de 1983 dont la fin a aussi été le déclin d’un débat idéologique vivant dont ne se souviennent plus que des rescapés révolutionnaires.

De ce fait même, et malgré la multitude des partis, la vie politique en reste à la traditionnelle bipolarité d’une droite et d’une gauche qui, néanmoins, peuvent se rencontrer dans un progressisme auquel, de toutes façons, la situation économique du pays les invite et les oblige : aussi bien le conservatisme que le néo-libéralisme me semblent une plaisanterie et un snobisme sans lendemain ; sans parler du communisme dont l’expérience nous reste encore inconnue jusque dans la Révolution de 1983, dont on peut aussi dire, en passant, qu’elle s’est justement étouffée et étranglée avec une surdose de débats idéologiques auxquels tous n’étaient pas compétents : on ne débat pas avec des "kalach", qui ont donc forcément eu le dernier mot...
C’est ce progressisme que je résume sous le nom de libéralisme. Malgré ce que racontent les uns et les autres, nous sommes tous des libéraux au Burkina Faso aujourd’hui, au sens précis où nous sommes tous attachés à l’État de droit, aux libertés et droits fondamentaux des individus et à l’économie de marché. N’est-ce pas ?

Rappelons rapidement quelques distinctions utiles : le libéralisme est une doctrine a la fois philosophique, économique et politique fondée sur le marché et les droits de l’homme, dont précisément la liberté ; il se distingue (sans s’opposer) du capitalisme qui est un mode économique de production des biens et richesses par des moyens privés ou étatiques et respectant les principes de la libre concurrence et du marché ; son régime politique est la démocratie dite justement libérale, qui s’oppose à la démocratie populaire et communiste ; les États libéraux sont aussi capitalistes, mais tous les États capitalistes ne sont pas libéraux : la Chine communiste est aussi, exceptionnellement, capitaliste mais pas libérale, car elle ne respecte pas toujours les libertés individuelles et collectives ou les droits de l’homme. Libéralisme et capitalisme s’opposent radicalement au communisme dont la doctrine philosophique est le marxisme : la Corée du Nord n’est ni une démocratie libérale ni capitaliste...

Or le libéralisme, qu’on le critique et rejette, ou qu’on en fasse au contraire sa tasse de thé, est bien trop souvent réduit à sa seule dimension économique d’enrichissement par tous les moyens ou presque. Il y a cependant un autre aspect du libéralisme tout aussi souvent occulté ou passé sous silence sous nos cieux (et pour cause !), et qui est d’être fondamentalement, depuis son origine, une doctrine du juste, au delà du légal et, au nom du juste, une doctrine de la RÉSISTANCE face aux excès et abus du pouvoir des hommes et de leurs folies. Cette seconde et dernière partie de ma réflexion invite donc moins à un libéralisme du ventre qu’au libéralisme originaire qui, comme arme et outil de résistance qui se situe bien au delà des idéologies et engagements politiques, est un véritable humanisme dans son profond sens philosophique d’une célébration de la dignité de l’homme : le militant politique le plus convaincu, pourvu qu’il ne devienne pas un mouton et un automate manipulé par son parti et son camp, mais conserve encore en lui un peu d’humanité et de sens, ne peut manquer de reconnaître ce qui est juste et ce qui est injuste.

1. Le juste et le légal

Une anecdote : il y a deux mois, pour un petit rhume j’étais en consultation chez mon médecin qui, comme d’habitude, et parce qu’il me connait depuis assez longtemps, m’a posé la question de savoir comment était la situation politique de mon pays. Quand je lui ai répondu qu’elle reste assez incertaine et tendue parce que le camp présidentiel veut modifier la constitution pour permettre au président actuel de briguer un autre mandat alors qu’il dirige déjà le pays depuis une trentaine d’années et qu’il est surtout à la fin de son mandat régulier, sa réaction n’a pas été : " c’est pas démocratique !" mais : " c’est pas juste ça !"... Ce Monsieur ne connait donc pas le Burkina, et encore moins sa constitution, mais perçoit immédiatement ce qui est une injustice pour tout homme sain et impartial.

Il n’est pas nécessaire d’être Burkinabè ou même Africain, ni d’être militant de l’opposition politique burkinabè pour voir qu’une modification de la constitution qui n’a pour seule fin que de donner au président actuel un nouveau droit au pouvoir n’est absolument pas un LENGA, comme on s’en amuse tristement à Ouaga, mais une injustice : un lenga dans mes langue et tradition dagara (LEM-NA), est plus qu’une récompense, un bonus, c’est un acte et un geste de justice profonde et incommensurable au delà du seul échange commercial : je vous dois un lem-na, même si je devais vendre à perte ! Que devons-nous d’aussi sublime (il n’ya pas que l’argent, il ya un lien humain et social) au président sortant pour risquer au contraire d’être immanquablement injustes ? Au moment même où je suis en train d’écrire ces lignes, voici qu’un ami (merci S.D) me signale un scandale possible de trafic d’armes qui implique ce président... Un lenga ou un lem-na, pour ça ??

Dans la première partie de ma réflexion j’évoquais cette "loi de nature" que le libéralisme fondateur de John Locke posait comme une norme de justice, et que nous sentons tous en nous. A quoi peut servir une loi naturelle s’il y a déjà des lois civiles et, parmi elles, une constitution qui est loi fondamentale ?

Il arrive, comme nous l’avons sous les yeux en ce moment au Burkina, qu’une loi même fondamentale rencontre des difficultés à s’imposer à tous et faire l’unanimité, alors même que c’est là sa raison d’être. Que faire lorsque la loi civile ne suffit plus, non pas en elle-même, mais par la mauvaise foi et l’égoïsme des hommes, pour tenir ensemble les citoyens ? Il faut une loi qui n’est donc pas civile, mais naturelle et commune à tous, qui nous oblige à obéir aux lois civiles à la seule condition qu’elles soient justes. C’est cette loi naturelle qui soumet, au nom de la liberté des individus, tout pouvoir politique à des limites au-delà desquelles il y a de l’injuste et de l’intolérable qui justifient un droit de résistance irrépressible.

Mais aussi bien le libéralisme fait-il des droits humains qu’il tient pour sacrés et inviolables autant de limites au capitalisme, "cet agent fanatique de l’accumulation", selon Marx, qui "force les hommes à produire pour produire", et à "accumuler pour accumuler", le capitalisme donc, sans ces droits du libéralisme, n’aurait aucune limite dans sa soif de production et d’accumulation des richesses, alors que beaucoup meurent de faim : par un retour ironique des choses, c’est le reproche que l’Occident libéral fait de nos jours au capitalisme des communistes Chinois, de ne pas respecter les droits de l’homme jusque dans la production des richesses...

Vous ne verrez donc pas écrit noir sur blanc dans la loi politique ou civile qu’il faut résister à cette même loi quand elle est ou devient injuste, car le droit de résister ne vient pas d’elle ni des autres lois civiles ; ce qui veut dire que la résistance, quand elle est nécessaire et justifiée, ne vient jamais d’une constitution qui l’autoriserait explicitement, mais s’impose toujours à la faveur de cette loi naturelle et implicite, non civile, et norme de justice, que la raison découvre et écoute.
Ce qui est légal, c’est-à-dire conforme à une loi civile, peut être injuste au regard de la loi naturelle. Si nous n’avions que les seules lois civiles pour nous indigner et résister, ou si ces lois civiles étaient les seules à nous indiquer ce qui est juste ou injuste et inacceptable, alors personne ne porterait secours à son prochain, personne ne s’abstiendrait de tuer, et personne ne se révolterait quand le bon plaisir d’un seul fait obstacle à la liberté de tous. Je n’aurai pas la naïveté de penser que la politique soit jamais le domaine de la morale et de la sainteté, mais nous ne pouvons pas nous tromper en affirmant qu’il ne peut y avoir de cohésion, de stabilité et de paix dans aucune société humaine sans cette considération de ce qui est juste et injuste en dehors, au-delà et contre la légalité des lois civiles et de la justice institutionnelle (celle des juges) qui peuvent être injustes.

A cette considération du juste et de l’injuste se mesurent l’intelligence et la sagesse politiques d’un homme politique. Au passage, et quant à cette question du juste, on ne manquer de faire droit à la critique marxiste du libéralisme, lequel n’est attentif à l’injuste que du seul côté de la liberté sacrée et inviolable, et jamais du côté des inégalités sociales dont ce même libéralisme s’accommode. On sait toutefois ce que le marxisme doit justement au libéralisme : ce droit libéral de résistance face à l’injustice, qui s’appellera révolution...

2. Indignation

Mais des sophistes pro modification de l’article 37 ne manqueront certainement pas de penser trouver dans cette distinction du juste et du légal un argument à leur faveur : si une loi peut être ou devenir injuste, pourquoi donc, se réjouiront-ils, ne pas modifier la constitution et son article qui ne seraient plus, crient-ils, justes et démocratiques ! Ce serait oublier que la loi naturelle lockéenne et libérale dont nous sommes partis oblige aussi à respecter les contrats ("Pacta sunt servanda" = les contrats doivent être respectés) et à tenir ses promesses : en ayant donc accepté la constitution actuelle sur la base de laquelle les dirigeants actuels du pays ont été démocratiquement élus, ils avaient aussi formulé la promesse jurée de respecter cette constitution qu’ils appellent aujourd’hui à modifier.

Répondons-leur davantage ceci, et à Monsieur Assimi Kouanda le premier : vous pourrez peut-être toujours faire modifier la constitution, tout comme faire édicter des lois qui vous arrangent et avantagent, ces forfaitures et cette modification seront LÉGALES conformément à l’interprétation partisane et non républicaine que vous aurez faite de la loi fondamentale, mais elles ne seront jamais JUSTES. Et il faudra donc aussi comprendre et admettre que nous vous résistions. Autrement dit vous ne pourrez jamais non plus OBSTRUER LA RÉSISTANCE qui vous sera alors faite et opposée !

Vous résister, c’est vous dire NON. Mais ce non n’est pas, comme certains des pro-référendum ont l’hypocrite bonté de nous suggérer en nous conseillant de faire campagne pour le non, ce non n’est pas celui des urnes. Le non de l’isoloir et des urnes ne sert qu’à dire qu’on n’est pas d’accord. Le NON de la résistance est au contraire un non de l’indignation qui signifie que c’est injuste. Entre le simple désaccord et l’indignation il y a un fossé qui est celui du légal et du juste, et que nos compatriotes modificationnistes ne perçoivent pas, et dans lequel ils risquent de nous précipiter et perdre tous.

Vous comprenez donc maintenant le sens de mon invitation à Monsieur Kouanda : la meilleure façon de m’indigner et de vous résister, pour l’intellectuel que je suis, n’est sans doute pas, vous vous en doutez, d’appeler à casser et à mettre le feu, mais de vous opposer des arguments dans un débat public et courtois. C’est à l’intellectuel que je m’adresse, pour vous demander, à vous et aux intellectuels qui sont au gouvernement de notre pays : le Burkina Faso vous appartient-il, et n’appartient-il qu’à vous ? NON. Etes-vous les seuls à "connaître papier" ? NON. Ou alors montrez-le ! De quel droit osez-vous laisser penser que sans vous, et à part vous, il n’y aurait pas d’autres burkinabè au moins aussi intelligents, cultivés et compétents que vous pour diriger le pays ? A des compatriotes paysans et analphabètes seuls vous pourriez laisser croire que si vous êtes au pouvoir c’est parce que vous seriez les plus intelligents du Burkina, voire d’Afrique et, qui sait, du monde.

L’intellectuel burkinabè que je suis, autant que vous, refuse que vous le preniez, avec les autres burkinabè moins intellectuels, pour un mouton, et est déterminé à en appeler aussi à un pouvoir de l’intelligence qui doive de plus en plus, sur notre continent et dans notre pays tout particulièrement, s’assumer et s’afficher : il n’y a franchement pas de raison que ce soient les citoyens intelligents qui rasent les murs et se font tout petits, pendant que la bêtise, l’abrutissement et l’arrogance se pavanent et vocifèrent. Par citoyens intelligents je n’entends pas forcément ceux qui sont diplômés et cultivés : nous sommes des inconnus, des illettrés et des affamés parfois, mais nous ne sommes pas des minus habens, ni des moutons, encore moins vos moutons ; nous n’avons pas de comptes en banque, ou ceux-ci sont vides, nous mangeons du tô matin midi soir sans viande, mais nous ne sommes pas vos faire-valoir, ni le parasol de votre sommeil politique...

Aussi ne souriez pas qu’un parfait inconnu comme moi vous invite sans plaisanter à l’argumentation : c’est que je suis sûr d’une seule chose : que vous n’avez pas le monopole, au Burkina Faso, de l’intellectualité et de l’intelligence.
Que l’intellectuel Monsieur Kouanda m’accorde le débat, ou qu’il désigne un intellectuel courtois et bien cultivé qui m’explique et défende comment il justifie la modification de l’article 37 avant 2015. Madame Bonkoungou me dit-on grandissime intellectuelle du pouvoir actuel ? Ça m’irait aussi. Ne me proposez pas un "chauffeur" de stade, ni un idéologue de votre parti commis à la propagande de quartier, s’il vous plaît. Je préserve cependant mes connaissances ou camarades de Nasso qui sont au gouvernement et qui servent le Burkina, comme d’autres, sans besoin d’être des militants aveugles, serviles et bornés...

Soyons donc radicalement les libéraux que nous sommes, ou devrions être, et résistons à l’arbitraire même légal de la cupidité et de la bêtise. Il est temps, sans que ce temps date d’aujourd’hui, que l’intelligence ne rase pas honteusement les murs et se taise chez nous, en Afrique et particulièrement au Burkina Faso, et qu’elle assume son pouvoir sans trembler ni faire trembler. C’est le sens du mot de Platon quand il en appelait à cette intelligence qui fait que nous ressemblons chacun à un dieu, et qu’il posait comme principe de toute république juste, et qui est la philosophie.

Cela n’a jamais voulu dire, malgré l’impardonnable cécité de quelques grands penseurs, que les philosophes devraient prendre le pouvoir et gouverner ; mais que tout homme est, l’homme politique le premier, philosophe dès lors que l’intelligence le gouverne, avant même qu’il ne gouverne d’autres hommes. Et tant que l’intelligence ne gouvernera pas, en effet, nous n’en finirons jamais avec les maux de la Cité. Mais de là à penser et soutenir que c’est la bêtise et l’inintelligence qui font qu’il y a de l’Histoire et de la politique, surtout chez nous, voici un pas que nul être doué d’intelligence ne saurait franchir sans frémir.

Kwesi Debrsèoyir Christophe DABIRE
Docteur en philosophie de l’Université Strasbourg
di.kombo@yahoo.fr

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Vos commentaires

  • Le 30 avril 2014 à 18:33, par El Hadj YANOGO En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Monsieur, vous êtes simplement un burkinabè ! Assimi et Co courent à leur perte. Ils sont dans une logique de destruction. Mais frère, soyez assuré qu’ils devraient marcher sur les cadavres de 16 millions de burkinabè pour pour arriver à leur fin. Dieu vous bénisse !

  • Le 30 avril 2014 à 18:37, par sidnaba En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    C’est ce que j’attends depuis longtemps : des débats d’idées autour des questions et préoccupations de l’heure. Je serais partant si j’étais Assimi ! Bravo !

  • Le 30 avril 2014 à 18:37, par Lepaysdoitavance En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    je me mets dans ta peau ; et en te lisant je me sens aussi indigne et bien que lisant en silence, je vois ce Assimi Kouanda devant moi, recevant ces ’coups’ ! c’est propre mon cher.

  • Le 30 avril 2014 à 18:46, par El Hadj YANOGO En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Monsieur, vous êtes simplement un burkinabè ! Assimi et Co courent à leur perte. Ils sont dans une logique de destruction. Mais frère, soyez assuré qu’ils devraient marcher sur les cadavres de 16 millions de burkinabè pour pour arriver à leur fin. Dieu vous bénisse !

  • Le 30 avril 2014 à 19:19, par karl En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    J’ai lu avec beaucoup d’interet cet ecrit.je tiens à vous féliciter pour le travaille abattu mais aussi pour l’invitation adressée à M.Assimi Kouanda.c’est un défi lancé et j’ose croire que l’intellectuel qu’il semble être ne declinera pas cette n ième occasion de justifier sa sottise devant le peuple burkinabé.

  • Le 30 avril 2014 à 20:04, par El Hadj YANOGO En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Monsieur Dabiré, je séjournerai à Paris en août prochain inch’Allah et je souhaiterai avoir des échanges avec vous. Je vous donnerai plus de détail dans un courriel. Votre simplicité, votre intelligence et votre style imposent le respect. J’espère seulement que les moutons de la république ont bien compris le sens de votre écrit. A bientot et que Dieu vous bénisse !

    • Le 1er mai 2014 à 18:01, par vérité no1 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Transmet mon bonjour à ce grand professeur dont l’écrit fait trembler les Nyamsi et Djibo qui ne sont que des philosophes de circonstances.

    • Le 1er mai 2014 à 18:40, par Chauffeur En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Ce monsieur parce qu’il a gagné enseigner à Strasbourg se permet de dire : « Madame Bonkoungou me dit-on grandissime intellectuelle du pouvoir actuel ? Ça m’irait aussi. Ne me proposez pas un "chauffeur" de stade ». EN TANT QUE CHAUFFEUR, dois-je donc comprendre que tu me considère comme un non intellectuel ?? Te considères-tu donc supérieur à moi ?? Je vais te dire une chose tu es déconnecté des burkinabés et de leur mentalités (peut-être parce tu enseigne la bas en France). ON A PAS DE LECONS A RECEVOIR DE TOI ET DE TES DEBATS A LA FRANCAISE OU A LA STRASBOURGEOISE ICI. C’est à cause de genre de parole et de réflexions que les populations se détournent de vous et préfère prendre les commerçants et chauffeur de stade comme leur représentant. Réfléchis encore plus la prochaine fois…

    • Le 2 mai 2014 à 15:32, par Evelyne Kiswensida En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Merci M. Dèbrsèoyir ! Vous n’êtes pas parfait mais vous avez ce mérite de chercher humblement la vérité. Vous êtes un philosophe, et vous avez le soins de vous laisser aisément lire et comprendre par la lectrice lambda que je suis. Pas comme ce Cantiniste obscurantiste de Djibo, cet homme des concepts abscons, qui a les manières d’une personnes qui a usurpé son titre.
      J’ai commandé la thèse de ASSIMO KOUANDA pour la lire et en publier les tares (vive le progrès). Bientôt elle me sera délivrée et je la photocopierai. Un professeur d’histoire qui manque de mémoire, un professeur dont les réflexions aussi scolaires que saugrenues sont de très bas niveau (lisez plutôt l’interview de Newton Ahmed Barry). J’ai pris la thèse de Salif Diallo sur les "Transformations de l’Etat en Afrique", mais je n’ai pas eu le temps de la lire. Cette fois je vais m’y mettre car il faut que tout le monde sache ce que ces gens là valent réellement dans la tête. Chers forumistes, notamment vous qui êtes au Canada, pourriez vous m’aider à avoir la thèse de Mamadou DJIBO ? Il est tant qu’on dévoile la vérité de ce que chacun vaut, et dans quelles conditions les titres de docteurs ont été obtenus.

      onsocrate@yahoo.fr

      • Le 2 mai 2014 à 20:12 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

        Evelyne, faut utiliser Proquest. a moins de 50 dollars vous pourrez lire le chiffon de Djibo. Methodologie philosophique baclee. mauvaise definition des termes. Enifn, je te laisse le suspense.

    • Le 2 mai 2014 à 16:19, par gros bras mince En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Monsieur Dabire il faut que vous comprenez que si le peuple te réclame il faut bien être la,il n’a pas choisi d’être là,c’est le peuple qui veut qu’il soit là.Vous êtes loin de connaitre la situation que traverse les Burkinabé,on a pas besoin de ce qui est juste mais ce qui nous arrange.

    • Le 2 mai 2014 à 16:26, par electron 1er En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Je vous en prie monsieur d’arrêter d’associer la philosophie a la politique,c’est bien beau tout ça mais on a besoin du concret et il faut voir la réalité en face.Si Blaise fait l’affaire des millions de Burkinabés je ne vois pas en quoi l’en empêcher d’être toujours là.

  • Le 30 avril 2014 à 20:12, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Mr Assami Kouanda à vos marques.On attend ce grand jour !! Encore merci frère.

  • Le 30 avril 2014 à 20:18, par Yirmoaga_3 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Très belle contribution comme à son habitude, avec cette fois un appel à débattre !
    On aurait aimé lire ici même ou ailleurs, une réponse aussi structurée et argumentée de Monsieur KOUANDA ou de quelqu’autre intellectuel du parti au pouvoir, pour nous expliquer ce qu’il y a derrière cette proposition de révision d’un seul article, qui ne concernera par ailleurs qu’un seul individu. Et quel individu ! Félicitations cher ami : hasta la victoria, siempre !

    • Le 2 mai 2014 à 15:52, par Evelyne Kiswensida En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Merci M. Dèbrsèoyir ! Vous n’êtes pas parfait mais vous avez ce mérite de chercher humblement la vérité. Vous êtes un philosophe, et vous avez le soins de vous laisser aisément lire et comprendre par la lectrice lambda que je suis. Pas comme ce Cantiniste obscurantiste de Djibo, cet homme des concepts abscons, qui a les manières d’une personnes qui a usurpé son titre.
      J’ai commandé la thèse de ASSIMO KOUANDA pour la lire et en publier les tares (vive le progrès). Bientôt elle me sera délivrée et je la photocopierai. Un professeur d’histoire qui manque de mémoire, un professeur dont les réflexions aussi scolaires que saugrenues sont de très bas niveau (lisez plutôt l’interview de Newton Ahmed Barry). J’ai pris la thèse de Salif Diallo sur les "Transformations de l’Etat en Afrique", mais je n’ai pas eu le temps de la lire. Cette fois je vais m’y mettre car il faut que tout le monde sache ce que ces gens là valent réellement dans la tête. Chers forumistes, notamment vous qui êtes au Canada, pourriez vous m’aider à avoir la thèse de Mamadou DJIBO ? Il est tant qu’on dévoile la vérité de ce que chacun vaut, et dans quelles conditions les titres de docteurs ont été obtenus.

      onsocrate@yahoo.fr

      • Le 2 mai 2014 à 18:20, par El Hadj YANOGO En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

        MERCI MA SOEUR. J’ESSAYERAI AUSSI AVEC MES RELATIONS AU CANADA SI NOUS POUVONS OBTENIR LA THEDE DE DJIBO. COURAGE !

      • Le 2 mai 2014 à 18:31, par sanouwulé En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

        Madame. lisez sa thèse sur la biblio en ligne des archives nationales du canada ou la biblio de l université d’ottawa ; titre : Des projets fondationnels de Husserl et Frege à la perspective de Wittgenstein. Mai 1996. directeur de thèse : prof. Andrew Lugg. Vous pouvez aussi demander au projet généalogique des mathématiciens de l’université de Dakota. vous pouvez aussi, acheter aux éditions l’Harmattan de paris, la publication de sa thèse sous le même titre. Vous pouvez aussi lire son DEA à la biblio de Paris-IV Sorbonne sur les paradigmes scientifiques. Vous y trouverez aussi son mémoire de maîtrise consacrée à l’engendrement des nombres chez Frege. le monsieur, honnêtement est un brillant historien des courants mathématiques contemporains. la philo po n’est pas son dada. suis son promotionnaire, de même que Dr. Dabiré qui s’est classé 3ème.Dr. Djibo a été notre major de promotion en 1987 à l"U.Ouaga. Dr. Koné, deuxième et qui a aussi fait son doc à Strasbourg. Dr. Djibo a réussi avec la meilleure moyenne pondérée en juin, sa licence de philo à l’université jules Verne d’Amiens. Il a été président de l’union des étudiants africains d’Amiens de 88 à 89. N’étant pas du BF, je me dois de rétablir la vérité. chose faite. Burkinabè, soyez fiers des réussites académiques de vos compatriotes. le dénigrement systématique n’est pas bon pour l’Afrique et les Africains. Que 100 fleurs s’épanouissent. Africainement, sanouwulé.

        • Le 3 mai 2014 à 15:19 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

          Un sanouwule qui n’est pas burkinabe. OK. Mais je te repete. Etre brillant sur les bancs peut etre plus le produit du parcoeurisme que d’ une reelle assimilation. Moi je ne suis pas fier de Djibo meme s’ il avait ete les profs de Cyrille Kone et de Dabire Kwesi Debrsoyir. Et puis, evitez de tomber dans les travers des "fixed mindsets", ou intelligences statiques. Le major de 1987 a l’ Uo n’est plus forcement le major de 2014, encore moins le major dans la vie. S’ il etait meme si bon que ca, pourquoi il a mis tant de temps pour soutenir alors que Debrsoyir et Cyril ont soutenu depuis 1993 ? Et surtout un diplome de l’ Universite de Strasbourg avec des grands noms comme Derrida dans le cas de Dabire ? Tous ceux qui s’ y connaissent en philosophie savent que Strasbourg n’est pas donne a n’ importe qui. Pour l’ essentiel, apres nos diplomes, c’est de la nature de notre contribution au corps social que nous pourrons nous prevaloir de notre intelligence. Sinon qui mange major major ? Djibo, je ne le connais pas personnelllement, mais il a perdu tout mon respect en refusant de nous fournir une reflexion honnete sur ce qui se passe au pays actuellemnt. Il sait que si ca explose, lui, a deja trouve une planque au Canada. C’est egoiste, anti- intellectuel et finalement pas philosophique surtout pour un"major de l’ UO en 1987". Dire que la philosophie politique n’est pas son dada ne suffit pas. On n’ a meme pas besoin d’ aller au college pour savoir que Blaise prepare la dictature au pays. Il est simplement malhonnete. Et pour cela, il a un diplome en philosophie mais il n’est pas philosophe. Il n’est pas different des petits coursiers des palais presidentiels du meme acabit que Nyamsi Frankelen qui nous casse les tympans parce qu’ il aura reussi a un concours, fut- il l’ agregation. Et un concours reste un concours, c’est- a- dire que ca depend du nombre de postes en jeu et du type de cocurrents auquels tu as a faire.

        • Le 3 mai 2014 à 16:05, par El Hadj YANOGO En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

          C’est faux Monsieur ! Vous mentez. Djibo a fréquenté avec mon frère et je viens de vérifier...Il n’a jamais été major !

  • Le 30 avril 2014 à 20:23 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    C’est bien, mais tu n’auras personne en face pour débattre ; y a pas d’argument intellectuellement solides pour débattre surtout que on parle de juste et légal. ces gens-là profite de l’analphabétisme des Burkinabè pour faire ce qu’il veut ; je connais pas mal d’enfants de ceux qui sont au pouvoirs qui disent à leurs pères que 30 ans au pouvoir c’est pas juste !
    Je suis certain certain que les enfants de Assimi Kouanda pensent la même chose !

  • Le 30 avril 2014 à 22:05, par Bob En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Si Assimi est un mossi il doit accepter ce débat et s’il ne réagit pas c’est que Assimi ne défend une cause juste.

  • Le 30 avril 2014 à 22:16, par sawadogo yambangba Alfred En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Je ferai lire ce texte autour de moi car les idées exprimées sont fortes, généreuses, empreintes de justice pour notre peuple en quête de changement pour se sortir définitivement de la médiocrité dans laquelle les tenants du pouvoir actuel l’ont maintenu depuis longtemps déjà.
    Merci à l’auteur de l’article qui a exprimé le ’burkindlim".
    Dallas,Texas, le 30 avril 2014

  • Le 30 avril 2014 à 22:22, par Oo En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    R A S.je valide !

  • Le 1er mai 2014 à 02:36, par Le Lockinabe En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Dr. Dabire, j’ai une haute admiration et un profond respect pour vous. Je croyais ne pas etre dans la mesure de comprendre votre raisonnement—venant d’un si brillant Docteur en Philosophie !—apres lecture. Mais j’ai ete si captive par votre analyse si logique et si juste de la situation politique dans notre cher pays que j’ai toujour soif de vous lire et relire encore. C’est vraiment bon de faire des etudes et d’etre un intellectuel dans le sans reel du mot ; pas comme les Kouanda la` ; des dits intellectuels, kaii !!! tu devrais avoir honte we`, Kouanda !
    J’ai surtout aime cette partie de votre article, Dr. Dabire ; je vous cite : "Répondons-leur davantage ceci, et à Monsieur Assimi Kouanda le premier : vous pourrez peut-être toujours faire modifier la constitution, tout comme faire édicter des lois qui vous arrangent et avantagent, ces forfaitures et cette modification seront LÉGALES conformément à l’interprétation partisane et non républicaine que vous aurez faite de la loi fondamentale, mais elles ne seront jamais JUSTES. Et il faudra donc aussi comprendre et admettre que nous vous résistions. Autrement dit vous ne pourrez jamais non plus OBSTRUER LA RÉSISTANCE qui vous sera alors faite et opposée !" Yam woumam la, Kouanda ne’ Blaise ramba ! Votre sage grand pere (Dr. Dabire) vous donne des conseils qui vous seront benefiques si vous voulez-bien les suivre.

    Prouvons que nous sommes tous et toutes des intellectuels au Burkina Faso : NE MODIFIONS PAS L’ARTICLE 37, mais COMME JE DOUTE TRES FORT DU ’QI’ DES GENS DE L’AUTRE COTE, surtout DONC, NE LAISSONS-PAS MODIFIER L’ARTICLE 37 !!!!!!

  • Le 1er mai 2014 à 04:03, par Aubin En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Ecoute mon cher philosophe des ténèbres de Strasbourg, il y en a qui ont pas le temps à perdre comme Assimi à débattre de chose inutiles avec toi. Ton débat proposée est inutile et ne sert juste qu’à assouvir ton ego disproportionnée. Une chose est partager ses idées au citoyens comme tu le fais (et que je félicite par ailleurs) mais une autre chose est d’imposer ses idées. Tu peux être contre l’article 37 et l’expliquer à tes concitoyens afin qu’ils ne la modifient pas mais tu ne pourras jamais parce que tu as un doctorat nous empêcher nous burkinabé de nous prononcer sur cet article. SACHE QUE AU FINAL C’EST NOUS, LE PEUPLE QUI DECIDONT ET CELA PAR REFERENDUM.

    • Le 2 mai 2014 à 21:02, par Tonnerre En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Si tu parles de doctorat, c’et que tu en as une peur bleue. Dr. Dabire que je connais bien n’a jamais fait un probleme de son intel ;ligence ni de ses diplomes. Il est comme le seul. Le sel dans la sauce est un non- evenement quand il y est en quantite normale. Le sel de l’ intelligence est en dose suffisante dans Debrseoyir. Lui meme il ne sait pas que c’est ca qu’ on appele intelligence ou diplome. Quand tu commences a sentir la question de l’ intelligence, c’est que tu n’ en as pas. Il demande seulement a discuter en direct pas pour montrer comment il est bon en debat, donc combien intelligent il est, mais dans l’ intime conviction de changer la maniere de voir d’ un frere qu’ on aurait cru au dela de tout soupcon. Assimi est un historien qui nous met la honte car il ne pense n’ y agit hitoriennement meme si les actes qu’ ils posent entrent negativement dans notre histoire. Comment un qui se dit historien et enseignant, tautologie, car comment pouvait- on meme etre historien sans etre educateur, a part ce que Assimi nous donne de voir, eput- il tomber si bas et toujours croire qu’il beneficiera toujours du noble titre d’ historien ? Christophe, la fonction du scoprion est de piquer, et il piquera toujours, meme ceux quil’ enlevent du feu, selon la sagesse du Dail Lama. Continue donc, Debr, a partager ce que tu as. La plus belle femme ne peut partager que ce qu’ elle a. Tu as le gingin. Partages- le, surtout a cette jonction de l’ histoire de notre pays. Tu n’es pas le seul. Et beaucoup de burkinabe epris de paix et de justice t’ emboitent le pas, chacun selon ce qu’ il peut. Malheureux aux "neutres" car ils seront consumes par les feux des anit- peuples aussi bien que par la Resistance Republicine.

      Vive la Res publica perenne au- dela des individus mal inspires qui se croient Providentiels.
      Que Dieu benisse le Burkina Faso et que la paix baigne dans notre pays bien aime.

  • Le 1er mai 2014 à 04:57, par Justin En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Mr Kwesi Debrsèoyir Christophe DABIRE, Je débats avec toi quand tu veux, ou tu veux, et comme tu veux. Pas besoin de déranger Assimi Kouanda pour un petit prof comme toi à la recherche de prestige et de renommé. Certes je n’ai pas encore de doctorat, mais à voir le niveau de ton écrit et la non pertinence de tes arguments, je peux affirmer que tu m’impressionnes absolument pas. Pour ce qui est du Burkinabé lambda sache que l’article 37 n’est aucunement son intérêt. Ce qui nous intéresse, c’est surtout les progrès économiques engrangés par le Burkina et de ce point de vu là, nous sommes prêts à voter au referendum et surtout à accorder une nouvelle fois notre confiance au président Compaoré. Pour plus donc de pertinence dans ton écrit demande à tes amis opposants d’avoir un programme politique avant de demander que celui qui en a un (exécuté pour le moment a 57%) et qui est adoré par les burkinabés ne puissent se représenter….. Philosophe un peu la dessus avant que l’on puisse débattre, mon cher.

    • Le 1er mai 2014 à 11:09, par El Hadj YANOGO En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Justin, tu es trop petit pour inviter Monsiur Dabiré à un débat. Le forum du fasonet est fait pour des hommes pleins, refléchis, et intelligents. Pardon, épargne nous tes inepties ! Contreairement à ce que tu penses, je te connais. Conseils d’un père !

    • Le 1er mai 2014 à 11:26, par El Hadj YANOGO En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Même votre Franklin Nyamsi n’osera s’aventurer.

    • Le 1er mai 2014 à 12:01, par ACDBTISE En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Justin commencez par terminer terminer votre doctorat d’abord si vous le préparez, et à être courtois en ne tutoyant pas mr Dabiré que vous ne connaissez certainement pas, ensuite répondez aux écrits de Dabiré avec autant de culture, alors seulement vous pourrez espérer débattre avec lui ! Les conditions qu’il a indiquées pour le débat sont je crois : être courtois, être un intellectuel bien cultivé...je vous vois pas les remplir, et même si vous aviez votre doctorat à la Justin Koutaba, c’est pas ça qui va vous sauver dans un débat contre lui, et tel k je le connais...

    • Le 1er mai 2014 à 12:40, par Le Sage. En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      M. Justin, avant d’adresser mes vives félicitations à M. DABIRE, permettez-moi de dire que vous ne serez pas au niveau du débat avec ce grand homme qu’est M. DABIRE, lequel a la liberté de prévenir le Président du Faso avant que le feu ne soit allumé au Burkina Faso. Le fait déjà de ne pas décliner votre identité complète est en soi un signe de lâcheté, d’inélégance, de mesquinerie et de fourberie politique alors que vous soutenez le pouvoir politique étatique du CDP. Le Colonel Major, Batiéno, vient d’être nommé nouvellement au RPC de Bobo, alors qu’il est issu du Régiment de sécurité présidentielle (RSP). Cette nomination en dit long sur la volonté du pouvoir actuel de se maintenir même par la force au-delà de 2015 par le Président Blaise COMPAORE. Seul le RPC pouvait "résister" ou se comparer au RSP. S’il vous plaît, membres du Bureau Politique du CDP, ne modifiez pas l’article 37 de notre belle Constitution et n’allez pas au Référendum afin de préserver des vies humaines innocentes et si vous aimez vraiment notre peuple qui vous a tout pardonné et vous a tout donné. Des fils (comme moi) de paysans qui sont subitement devenus milliardaires ! N’est-ce pas ?
      Sachez simplement que vous trouverez en face de vous, dans cette chevauchyée aveugle, illégal, injuste, de simples citoyens aux mains nues pour RESISTER, RESISTER et encore RESISTER. Ce n’est pas une question de partisan, mais de respect de nos règles constitutionnelles fondamentales dont le Président du Faso est, paradoxalement, le GARANT. J’aimerais bien être le modérateur de ce débat public élégant entre M. KOUANDA et M. DABIRE pour lui poser les bonnes questions sur l’article 49 de la Constitution, l’article 168 de la même constitution, l’article 23 alinéa 5 de la Charte Africaine, et l’article 1 C du Traité instituant la CEDEAO. Vous verrez que ce débat sera refusé par le CDP, signe visible de sa nature antidémocratique. Alors, vous verrez. C’est pourquoi j’en appelle à la société civile pour prendre les choses politiques en main, le parti politique majoritaire au pouvoir voulant galvauder les règles constitutionnelles. Félicitations sincères à M. DABIRE et que Dieu le garde dans sa sagesse et dans sa lumière. Le Sage.

    • Le 2 mai 2014 à 06:12 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      JUSTIN tu veux débattre avec Christophe ET TU TE CACHES !!! Quel courage !

    • Le 2 mai 2014 à 07:42, par ACDBTISE En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Mais quand on veut débattre, c’est pas très courageux de se cacher !!

    • Le 2 mai 2014 à 21:04, par Tonnerre En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Pour impressionner un petit esprit comme toi, il faut moins que des idees. Une biere et un morceau de 500 frs de porcal suffirait. Tu es pathetique. Drbsoyir a invite Assimi en debat. Il lui a deja fait trop honneur car Drebsoyir ne peut pas debattre avec un un gars comme Assimi a qui la moelle epiniere serait suffisante. Debrsoyir est cerebral, lui, pas epinal. Je ne fais pas de jeux de mots meme si ca y ressemble.

  • Le 1er mai 2014 à 05:13, par Burkindih En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Si je pouvais m’endormir au soir de 2014 pour me reveiller en 2016 ! Quand les ideologies se provoquent pour s’attaquer...

  • Le 1er mai 2014 à 05:15, par Chauffeur En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Ce monsieur parce qu’il a gagné enseigner à Strasbourg se permet de dire : « Madame Bonkoungou me dit-on grandissime intellectuelle du pouvoir actuel ? Ça m’irait aussi. Ne me proposez pas un "chauffeur" de stade ». EN TANT QUE CHAUFFEUR, dois-je donc comprendre que tu me considère comme un non intellectuel ?? Te considères-tu donc supérieur à moi ?? Je vais te dire une chose tu es déconnecté des burkinabés et de leur mentalités (peut-être parce tu enseigne la bas en France). ON A PAS DE LECONS A RECEVOIR DE TOI ET DE TES DEBATS A LA FRANCAISE OU A LA STRASBOURGEOISE ICI. C’est à cause de genre de parole et de réflexions que les populations se détournent de vous et préfère prendre les commerçants et chauffeur de stade comme leur représentant. Réfléchis encore plus la prochaine fois…

    • Le 1er mai 2014 à 12:04 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Non patron, "chauffeur"-là qu’il dit c’est pas conducteur de camion dê, c’est celui qui crie pour mettre ambiance.djââ tu n’as rien compris

    • Le 1er mai 2014 à 17:04, par V@dor En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Bonsoir M. Le Chauffeur.

      Dr. Dabiré parle de "chauffeur de stade" - et non de chauffeur tout court ; et il y’a là une très grande différence.
      S’il vous arrivait de suivre les émissions de divertissement à la télévision - notamment sur les chaines occidentales - vous remarquerez que le public applaudit, et/ou se manifeste bruyamment après certaines interventions des présentateurs, des invités, etc.
      Ces manifestations du public ne sont pas spontanées, elles sont suscitées et encouragées par un "chauffeur de salle" qui est employé par l’émission pour cela... En gros, c’est un employé chargé de la bonne ambiance sur le plateau de l’émission.
      Ce que Dr. Dabiré dit ici, c’est qu’il voudrait débattre avec des interlocuteurs valables et de poids - et non avec les "ambianceurs du parti" là...

      Bien à vous !

    • Le 1er mai 2014 à 23:02 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      M. le chauffeur ne vous échauffez pas pour rien. M. Dabiré parle des gens qui "chauffent" les stades à la manière de Blé Goudé ; pas des conducteurs de " woro woro " qu’il respecte je suppose. Ce M. Dabiré est un grand intellectuel, pas comme les Djibo M . qui font du " tube digestivisme."

  • Le 1er mai 2014 à 09:03, par Nyansi le Cantiniste En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    C’est toujours un grand plaisir de vous lire, cher docteur. Vous êtes un vrai docteur. Si nous étions aux USA, j’aurai dit : "Kwesi Debrsèoyir Christophe DABIRE for President". Merci pour cet éclairage et cet éclaircissement sur le libéralisme. En fait je me suis toujours senti libéral mais ait toujours été confus par la préception et la définition de la chose au burkina ou on lie le concept qu’à l’aspect génération effrénée d’argent. Aux USA il y’a deux camps politiques, les libéraux (la gauche) et les conservateurs (la droite). Et j’arrive chez nous voir qu’on a tout embrouillé. Merci de m’avoir rassuré que ma positon est constante et que ce sont les autres qui ont mal compris la chose. Finalement je ne peut terminer sans vous remercier d’avoir "inventé" le cantinisme, hahaha. Ce mot a lui seul a clos le bec du cantiniste en chef, le docteur aux pieds nus, Nyansi Franklin qui l’a fermé depuis que vous et un autre philosophe (camerounais) l’ont mis a sa place. Il doit,être en train de dépensé le magot acquis de sa compromission morale-intellectuelle. Ne dit-on pas que la bouche qui mange ne parle pas ? Il reviendra avec ses torchons quand de son regard loucheur, il constatera une diminution de la manne. Bravo Dr Dabire, le peuple Burkinabé, les démocrates du monde, et les personnes honnêtes sont fiers de vous. Que Dieu vous donne longue vie.

    • Le 1er mai 2014 à 18:36, par Justin En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Mr Kwesi Debrsèoyir Christophe DABIRE for president ??Tu crois qu’aux USA, il peut être président voir même professeur (vu que la bas le P.h.D est considéré supérieur au doctorat français) ????? Redescend un peu sur terre. Ce monsieur impressionne personne en Amérique, ni même en France. Il y a qu’en Afrique et avec les gens comme toi, que ce monsieur peut faire son boucan.

  • Le 1er mai 2014 à 10:00, par k En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Très propre M. DABIRE. tout est dit. M. KOUANDA a quand ce débat public avec M. DABIRE ?

    • Le 1er mai 2014 à 11:22, par El Hadj YANOGO En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Assimi n’est pas bête. Il est seulement méchant. Il n’osera pas accepter ce débat car, il sait que tout son combat est pour son ventre et non pour la vérité, encore moins pour le Burkina. S’il est un fils digne du Burkina Faso qu’il accepte ! Karissa !

    • Le 1er mai 2014 à 11:48, par Le prospectiviste En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Dabiré, je suis parfaitement en accord avec ton point de vue exprimé et développé de la part d’un burkinabé qui a démontré son talent d’une bonne maîtrise de son sujet, hautement philosophique. Le sens du débat dans le jeu démocratique actuel est nécessaire à comprendre dans ses fondements idéologiques cependant, ceci n’est malheureusement pas souvent à la portée du commun des mortels. N’omettons surtout pas la pensée de la rue se moquant des intellectuels en disant de ceux-ci qu’ils ont tellement étudiés qu’ils ont fini par dépasser l’argent. Dabiré, ton interpellation est faite non seulement pour nous lecteurs mais aussi et surtout elle s’adresse à tous les intellectuels sans exception et les vrais, à poursuivre leur œuvre de conscientisation de classe politique et de l’opinion publique autour des préoccupations du politique a propos de la bonne gouvernance. Je n’oppose cependant à l’idée que font certains des internautes à vouloir ramener les débats a des prises de positions souvent injustifiées sans rien comprendre du sujet. Les notions évoquées du Juste ou du Légale réveillent en nous d’autres notions entre le bien et le mal dans la relativité des vérités humaines, usuellement dites et pratiquées. Ceci n’est que l’expression de la liberté d’expression, garantie pour tous pour que vive la république.

  • Le 1er mai 2014 à 12:42, par Titan En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Comme le dit plusieurs forumistes, lire ce monsieur est agréable tant il est logique et clair. J’ai même cherché à le connaitre jusqu’à son nom : Un dagara de Dano m’a décrypté son Nom Dèbrseoyir = la maison appartient aux hommes ! Je vous enverrai un message privé. Mon chapeau bas à vous pour tous les articles que vous publiés sur la situation du pays. Malheureusement, les Assimi Koanda sont passées d’intellectuels aux rôles salvateurs des sociétés aux intellectuels avides de pouvoir. C’est le Dr Goebbels de la 4ème république. Le Nuremberg n’aura pas lieu à Ouaga ou Ziniaré !

  • Le 1er mai 2014 à 13:44, par Titan En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Comme le disent plusieurs forumistes, lire ce monsieur est agréable tant il est logique et clair. J’ai même cherché à le connaitre jusqu’à son prénom : Un dagara de Dano m’a décrypté son prénom Dèbrseoyir qui signifie la maison appartient aux hommes ! L’intelligence aussi vous habite ! Je vous enverrai un message privé. Mon chapeau bas à vous pour tous les articles que vous publiés sur la situation du pays. Malheureusement, les Assimi Koanda sont passées d’intellectuels aux rôles salvateurs aux intellectuels avides de pouvoir. C’est le Dr Goebbels de la 4ème république. Le Nuremberg n’aura pas lieu à Ouaga ou Ziniaré !

  • Le 1er mai 2014 à 20:51, par Titan En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Merci pour ce texte clair et logique. c’est toujours agreable de lire ce monsieur. Un Dagara de Dano m’a dit que son prénom Debrseoyir signifie litteralement "la maison appartient aux hommes " J’ajouterai que l’intelligence et la sagesse habitent cet homme"
    Merci pour l’eveil de conscience surtout pour des gens Comme nous qui n’ont pas des talents Comme les votres pour decrypter l’actualite tant mouvementé de notre cher Faso. Les Assimi Kouanda sont passés d’intellectuels aux rôles catalyseur de bonnes oeuvres pour la société à des intellectuels avides de pouvoir et de miel. C’est le Dr Goebels de la 4ème république. Qu’il sache En tant qu’historien que Nuremberg aura lieu au Faso, peut etre à ziniare et eux tous répondront de leurs actes. Merci Dr Kwesi Debrseoyir Christophe Dabire

  • Le 1er mai 2014 à 20:53, par Titan En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Merci pour ce texte clair et logique. c’est toujours agreable de lire ce monsieur. Un Dagara de Dano m’a dit que son prénom Debrseoyir signifie litteralement "la maison appartient aux hommes " J’ajouterai que l’intelligence et la sagesse habitent cet homme"
    Merci pour l’eveil de conscience surtout pour des gens Comme nous qui n’ont pas des talents Comme les votres pour decrypter l’actualite tant mouvementé de notre cher Faso. Les Assimi Kouanda sont passés d’intellectuels aux rôles catalyseur de bonnes oeuvres pour la société à des intellectuels avides de pouvoir et de miel. C’est le Dr Goebels de la 4ème république. Qu’il sache En tant qu’historien que Nuremberg aura lieu au Faso, peut etre à ziniare et eux tous répondront de leurs actes. Merci Dr Kwesi Debrseoyir Christophe Dabire

  • Le 1er mai 2014 à 20:57, par Titan En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Merci pour ce texte clair et logique. c’est toujours agreable de lire ce monsieur. Un Dagara de Dano m’a dit que son prénom Debrseoyir signifie litteralement "la maison appartient aux hommes " J’ajouterai que l’intelligence et la sagesse habitent cet homme"
    Merci pour l’eveil de conscience surtout pour des gens Comme nous qui n’ont pas des talents Comme les votres pour decrypter l’actualite tant mouvementé de notre cher Faso. Les Assimi Kouanda sont passés d’intellectuels aux rôles catalyseur de bonnes oeuvres pour la société à des intellectuels avides de pouvoir et de miel. C’est le Dr Goebels de la 4ème république. Qu’il sache En tant qu’historien que Nuremberg aura lieu au Faso, peut etre à ziniare et eux tous répondront de leurs actes. Merci Dr Kwesi Debrseoyir Christophe Dabire

  • Le 1er mai 2014 à 21:01, par Titan En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Merci pour ce texte clair et logique. c’est toujours agreable de lire ce monsieur. Un Dagara de Dano m’a dit que son prénom Debrseoyir signifie litteralement "la maison appartient aux hommes " J’ajouterai que l’intelligence et la sagesse habitent cet homme"
    Merci pour l’eveil de conscience surtout pour des gens Comme nous qui n’ont pas des talents Comme les votres pour decrypter l’actualite tant mouvementé de notre cher Faso. Les Assimi Kouanda sont passés d’intellectuels aux rôles catalyseur de bonnes oeuvres pour la société à des intellectuels avides de pouvoir et de miel. C’est le Dr Goebels de la 4ème république. Qu’il sache En tant qu’historien que Nuremberg aura lieu au Faso, peut etre à ziniare et eux tous répondront de leurs actes. Merci Dr Kwesi Debrseoyir Christophe Dabire

  • Le 1er mai 2014 à 23:38, par le vizir En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Quelle folie Quelle pretention le petit enseignant demande au ministre d,etat un debat public,tu n,auras pas ce plaisir pour sortir de l,anonymat on le sait les enseignants ne gagnent pas assez furent ils francais si tu penses arondir les fins du mois x des petits discours politiques le week and pouquoi pas.

    • Le 2 mai 2014 à 06:03 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Le Vizir, ce n’est pas une question de gagner beaucoup, même si ce mr gagne certainement mieux sa vie que toi ! Il l’a dit c’Est pas une question de compte en banque, il veut montrer à ton ministre d’État qu’il n’est pas plus intellectuel et intelligent que d’autres, s’il est au pouvoir c’est par hasard et non par ses compétences, et que les burkinabè ne sont pas des moutons comme toi.En PLUS c’est FAUX, kouanda n’est pas ministre d’État, et même s’il était président du Faso pourquoi débattre en démocratie est-il une folie ? (Webmaster ne censurez pas)

    • Le 2 mai 2014 à 07:43 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Ton ministre d’état est petit enseignant à l’université comme lui...pas de philosophie mais d’histoire comme gbagbo....on sait ou ils peuvent entraîner le peuple.

    • Le 2 mai 2014 à 10:59, par Idrissa En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Nous avons tous été dans l’anonymat un jour !
      Et le chanteur burkinabè Baz Bill de dire : "Mais est-ce que quiii on n’a pas vu ici ?"

      Salut Christophe ! ton écrit est propre et ton "audace positive" - dans l’invitation est à saluer.
      Tu veux restituer à travers un débat et un éclairage, au Peuple tous ses droits souvent abusement usurpé par des individus qui s’arrogent le droit aussi bien éthique et légitime de parler à son nom ! Aujourd’hui, le mot "peuple" bat tous les records dans les discours des hommes politiques. chacun s’est créé son "peuple".
      Vivement, que d’autres intellectuels sortent du bois, - quel que soit leurs camps, pouvoir, opposition, société civile - et osent de plus en plus de telles invitations !
      Après tout, c’est démocratique non ! Il n’y a donc aucun mal à cela. Le "libéralisme" comme tu le démontre, est souvent galvaudé et vilipendé !
      Encore félicitation pour les deux articles !

    • Le 3 mai 2014 à 16:03 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

      Mr. Le Vizir, je suis particulièrement blessé par votre manque de respect minimum pour les enseignants. Je vais envoyer un droit de reponse d’ ici la.

      Tres respectueusement.

      burkindi@gmail.com

  • Le 2 mai 2014 à 06:36, par El Hadj YANOGO En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Bonjour au faso.net
    Rendez service à la démocratie en laissant cet article le plus longtemps possible sur le mur car il est l’une des meilleures productions de la décennie ! Merci et courage à vous.

  • Le 2 mai 2014 à 07:14, par Titan En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Merci pour ce texte clair et logique. c’est toujours agreable de lire ce monsieur. Un Dagara de Dano m’a dit que son prénom Debrseoyir signifie litteralement "la maison appartient aux hommes " J’ajouterai que l’intelligence et la sagesse habitent cet homme"
    Merci pour l’eveil de conscience surtout pour des gens Comme nous qui n’ont pas des talents Comme les votres pour decrypter l’actualite tant mouvementé de notre cher Faso. Les Assimi Kouanda sont passés d’intellectuels aux rôles catalyseur de bonnes oeuvres pour la société à des intellectuels avides de pouvoir et de miel. C’est le Dr Goebels de la 4ème république. Qu’il sache En tant qu’historien que Nuremberg aura lieu au Faso, peut etre à ziniare et eux tous répondront de leurs actes. Merci Dr Kwesi Debrseoyir Christophe Dabire

  • Le 2 mai 2014 à 09:32, par atani En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Comme le disent plusieurs forumistes, lire ce monsieur est agréable tant il est logique et clair. J’ai même cherché à le connaitre jusqu’à son prénom : Un dagara de Dano m’a décrypté son prénom Dèbrseoyir qui signifie la maison appartient aux hommes ! j’ajouterai que l’intelligence et la sagesse aussi vous habitent ! Je vous enverrai un message privé. Mon chapeau bas à vous pour tous les articles que vous publiés sur la situation du pays. Merci aussi pour l’éveil de conscience surtout pour des gens comme nous qui n’ont pas de talents comme les vôtres pour décrypter l’actualité tant mouvementé de notre cher Faso. Malheureusement, les Assimi Koanda sont passées d’intellectuels aux rôles catalyseurs de bonnes œuvres aux intellectuels avides de pouvoir et de miel. C’est le Dr Goebbels de la 4ème république. Qu’il sache en tant historien que le Nuremberg aura lieu à Ouaga ou Ziniaré et eux tous répondront de leurs actes !

  • Le 2 mai 2014 à 18:12 En réponse à : Du libéralisme et des libéraux au Burkina (2/2)

    Félicitation Mr DABIRE. Quand on a un numéro matricule au B.F j’ai l’impression qu’on devient esclave du régime au pouvoir. Tout ça les opposants doivent travailler à mettre des institutions claires pour permettre tout agent d’être à l’aise. On attend la réaction de la cour constitutionnelle sur les intentions à vouloir réviser la constitution et modifier l’art37. C’est très capitale.

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