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Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

Publié le mercredi 16 avril 2014 à 01h38min

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Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

Les ingrédients de la crise commencent à se mettre en place au Burkina Faso. On avance inéluctablement vers le même scenario que la crise post-électorale ivoirienne.

1. L’opposition arrive à mobiliser au même titre sinon même plus que la majorité (11 Janvier 2014 VS 18 Janvier 2014 ; & stade municipal de Ouagadougou VS stade Wobi de Bobo- Dioulasso). Cela rappelle un peu les foules que mobilisaient le RHDP et le LMP en Côte d’Ivoire en 2010. .

2. Chaque camp affirme avoir le peuple de son côté. Même discours tenu par le RHDP et le LMP

3. La première Dame, longtemps restée en marge du débat sur la modification de l’article 37, s’est finalement jetée dans la bataille en prenant la parole publiquement au Stade Wobi de Bobo-Dioulasso pour demander le Referendum. Cela rappelle un peu l’ancienne Première Dame Ivoirienne.

4. Chaque camp est décidé à triompher de ses positions. Donc personne ne veut "mettre balle à terre". Cela rappelle la fameuse expression ivoirienne "on gagne ou on gagne" ou " y a rien en face, C’est maïs"

5. Si toutefois le referendum venait à être organisé, de ce qui précède, quel que soit le résultat, le vaincu contesterait les résultats puisque tous les deux camps sont dans la logique de "on gagne ou on gagne".

6. Le débat entre la Légalité et la Légitimité du referendum fait rage actuellement au sein des Juristes du pays et ce débat continuerait après le referendum. Ce même débat a opposé les juristes sur la crise en Côte D’Ivoire.

7. Le débat continuerait dans la rue comme en Côte d’Ivoire et vu les foules que chaque camp arrive à mobiliser, on peut imaginer comment ça peut se terminer.

8. Comme en Côte d’Ivoire, selon leurs intérêts, les puissances occidentales et les pays de la sous-région décideront de soutenir un camp ou l’autre.

9. Comme en Côte d’Ivoire, cette bipolarisation de la communauté internationale pourrait retarder l’adoption d’une résolution pour mettre fin à la crise. Pendant ce temps, c’est la population qui payerait de son sang la facture de cette crise. Les politiciens seront soit hors du pays ou dans une ambassade avec leur famille.

10. Que la sagesse habite les deux camps pour que la paix sociale soit préservée au BURKINA FASO.

NB : Nous n’avons qu’un seul pays et nous sommes tous citoyen de ce pays. Si nous le brulons on ne pourrait être que des Réfugiés dans d’autres pays.

PORGO Mohamed,
University of Ghana, Legon-Accra

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Vos commentaires

  • Le 15 avril 2014 à 11:02, par le cousin de fatou Benssouda En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    on va se rentrer dedans c’est inévitable.

    1- RÉFÉRENDUM :
    on va se rentrer dedans si le CDP gagne.
    on va se rentrer dedans si le CDP perd.
    on va se rentrer dedans si L’OPPOSITION gagne.
    on va se rentrer dedans si L’OPPOSITION perd.

    2- ELECTION PRÉSIDENTIELLE SANS RÉFÉRENDUM
    on va se rentrer dedans si le CDP gagne.
    on va se rentrer dedans si le CDP perd.
    on va se rentrer dedans si L’OPPOSITION gagne.
    on va se rentrer dedans si L’OPPOSITION perd.

    QUI PEUT ME DONNER LA SOLUTION D’UNE TRANSITION APAISÉE ?

    • Le 15 avril 2014 à 20:00, par Gorghi En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Merci Pour l,effort.Sauf qu ,au Faso il n,ya ni Simone,ni Gbagbo ni Ble goude.Certes Salif est violent mais il n,en a pas la force ca ,c,est les hommes.Rci est arrisee x l,atlantique au sud et x une foret dense au clima humide d,ou le café et cacao qui fait que la Rci plus que le BF tandis qu,au sud du BF c,est la savane au sol +_ pauvre d !ou la pauvrete de ce dernier.Voyez au Burkina on est trop Pauvre pour se faire la guerre alors qu,en RCI Ils ont vecu 8 ans malgre la guerre,le Burkina ne peut pas se permettre un tel luxe macabre x ce que trop Pauvre.Donc histoire de guerre civile au Burkina releve de la fiction.Je Suis sure quand ca gnifle on va s,entendre.

      • Le 16 avril 2014 à 07:59, par OBASS En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

        ça ne sera pas une fiction si tu continu de traiter salif comme violent. en traitant quelqu’in de violent, tu es aussi violent que la personne. Enculé !!!

        • Le 17 avril 2014 à 22:41, par gros bras mince En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

          OBASS tu n’est pas facile hein toi,moi ma morale ne me permet pas de lancer des injures aussi atroces a quelqu’un encore moins a une personne dont j’ignore vraiment son identité.Corrige toi et ne dérange plus car on dit qui ne dérange pas se range.

    • Le 16 avril 2014 à 19:05, par kaboré ludovick de tanguin En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      merci pour cette analyse mais il faut savoir que comparaison n’est pas raison .par la grâce de dieu , il n’y aura rien de semblable à ce qui s’est passé en côte d’ivoire dans notre très cher partie .

    • Le 17 avril 2014 à 17:20, par La République En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Oiseau de mauvaise augure ! qu’est ce que tu y gagnera ? Ou encore est ce que tu t’en sortira ?Soyons modérés et reflechissons bien avant de dire quoi que ce soit ! Ce qui sort de la bouche de l’Homme, c’est assurément ce qui peut le faire ou le défaire !Bien vouloir excuser mon expression du prologue ! je suis simplement touché et je me demande bien si vous etes burkinabè ou meritez de l’etre !

    • Le 17 avril 2014 à 21:22, par le woudy En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Qui ose faire un e étude comparé de la situation des deux pays que sont la cote d’Ivoire et le Burkina.On est pas situé dans le même contexte politique encore moins les même problèmes.De grâce épargner nous ces genre d’analyse a l’avenir.

  • Le 15 avril 2014 à 11:07, par Deuil En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Merci pour cette analyse, mon journaliste. Mais qu’ignore Blaise et Roch dans tout ca ? Blaise à fait 27 ans au pouvoir en même temps que Roch, il n’était hors de ce regime. Ils en étaient d’ailleurs les décideurs.

    • Le 17 avril 2014 à 22:58, par electron 1er En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Toi tu est vraiment en deuil c’est pour cela tu veux la mort des citoyens lamda Burkinabés pour voir.Mais ne t’inquiète pas car cela n’arrivera pas au pays des hommes intègre et dit toi ceci"la vertu est un pouvoir"

  • Le 15 avril 2014 à 11:16, par le revolté En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    mon cher il n y aura rien ici , après le referendum le vaincu n aura pas du mal a l accepter,car tous sommes conscient de la nature de notre pays ,les Burkinabé sont forts et savent l importance de la paix ,vive la paix ,vive le referendum !!!

    • Le 17 avril 2014 à 22:48, par gros bras mince En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Monsieur excuser moi mais vous avez une très mauvaise analyse,comment peut-on qualifier ce que vous venez juste de faire si ce n’est d’une récitation nulle qui va absolument rien apporté a la connaissance du lecteur.Fait un effort de réflexion la prochaine fois.

  • Le 15 avril 2014 à 11:17 En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    NE VOUS EN FAIT PAS.
    AVANT C’EST NOUS IVOIRIEN QUI COURAIT POUR RENTRER AU BURKINA.
    DANS PEU DE TEMPS C’EST EUX ILS VONT COURIR POUR RENTRER EN COTE D’IVOIRE.

    • Le 15 avril 2014 à 16:53, par ouoba En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Je crois que ça n’arrivera pas dans notre pays. Chez même si une crise intervienne dans notre pays elle ne dura pas plus d’un mois. Nous savons ce que nous voulons et nous ne sommes pas prêt à mettre le feu à notre pays.

  • Le 15 avril 2014 à 11:22, par WATTS En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Bonne analyse mon Cher ! Que le tout puissant sauve le BF et puni ceux qui veulent rester éternellement au pouvoir !

  • Le 15 avril 2014 à 11:27, par Patsako En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Nous n’avons qu’un seul pays et
    nous sommes tous citoyen de ce pays. Si
    nous le brulons on ne pourrait être que
    des Réfugiés dans d’autres pays..... Que le Bon Dieu nous guide sur l bon chemain, dans la Paix- rien k la paix. amen !!!!!

  • Le 15 avril 2014 à 11:35, par laloi En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Tout se paye cash sur terre. Vous avez longtemps fait pleurer des familles ça sera notre tour de pleurer. Vous avez de la desolation en cote d’Ivoire, au Burkina, et un peu partout en afrique alors attendez votre tour.

  • Le 15 avril 2014 à 11:36, par Omed En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Très belle analyse mon frére Porgo...quand j’écris et parle de tous ces dangers qui nous guêttent,on me traite d’apatride...Mais je le repette,on a tout ce qui conduit à la guerre civile actuellement reuni chez nous...Blaise croit pouvoir wacker tout un peuple pour mourir au pouvoir sachant tres bien ce qui le guêtte s’il quitte calmement(alors qu’il n’y echappera pas...il connait pas le blanc).J’ose esperer qu’une sagesse divine va le guider à éviter le pire pour notre pays...Vive 2015.Vive le changement.A bon entendeur,salut.

    • Le 15 avril 2014 à 18:18, par Attali En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Tu es un vrai romantique !!! Tu pleurs presque. Quelle emotionnelle. Ecoute on te fera du chocolat chaut et on va te tenir la main le soir. Si tu es chanceux on te contera de petites histoires.

      Reveille toi un peu. 2015 viendra et partira et il n’y aura rien.

      • Le 15 avril 2014 à 20:12, par Omed En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

        J’ose esperer te donner raison...mais comme tous le disent,2015 n’est pas loin.Rendez-vous dans quelques mois. Fraternellement.Que Dieu apaise le coeur de tous les burkinabè.Vive 2015.Vive le changement.A bon entendeur,salut.

  • Le 15 avril 2014 à 11:38, par changeons En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Très belle analyse qui devrait alerter les dirigeants actuels. Avec sagesse et amour pour le Burkina Faso, Blaise devrait aller au-delà du forcing du CDP pour réviser l’article 37 par référendum. Même si constitutionnellement cela est possible, l’heure est mal choisie pour le faire. Actuellement, les deux camps s’équivalent en mobilisation de militants et l’affrontement n’est pas loin. Dans les rues de Ouaga, il suffit de discuter avec un pro ou un contre de la révision de l’article 37 pour s’en rendre compte de cet affrontement latent, pas simplement verbal, mais avec machettes et autres moyens mortels. les ingrédients d’un affrontement sont presque réunis et une seule goutte d’eau peut faire déborder le vase. Si cela arrivait,mon ami Laurent BIGO l’aurait prévenu "Après le Mali, c’est le Burkina qui risque de tomber dans le chaos si rien n’est fait". Il fallait comprendre qu’il ne s’agissait pas d’un envahissement jihadiste, mais une crise sociale profonde qui va diviser les burkinabé et aboutir à une instabilité sans précédent. Le choix entre la paix sociale et la guerre fratricide est entre les mains de Blaise Compaoré, car renoncer à la révision de l’article 37, c’est annoncer la bonne nouvelle de la paix, continuer à vouloir la réviser pour maintenir une seule famille au pouvoir sera une déclaration de guerre. cela n’arrange personne.

    • Le 16 avril 2014 à 07:51, par Brutus-le-Romain En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Omed et les autres rêvent mais sont certains du contraire de leurs rêves. Ni MM. BC, RSS, ni CDP, ni MPP, ni personne d’ailleurs ne pensera mettre du feu au Burkina pour quelques raisons que ce soient, surtout que chacun sait que son combat ne se justifie que par le désir de chacun d’eux de disposer du "POT" pour mieux se servir. Pendant ce temps, vous, moi et tout le reste du peuple, nous savons que nous n’avons de solution à notre misère que de trimer pour survivre. Non non. Tout ceci n’est que "guerre de clochers" sans plus. Si feu il va y avoir, tous les criquets du champs y passeront et pas même eux n’auront le temps de l’Avion pour fuir ailleurs (dixit : déclaration de Victor Tiendrébéogo et de Roch M. Kaboré)

  • Le 15 avril 2014 à 11:53, par lambda En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    belle analyse !!!

  • Le 15 avril 2014 à 12:05, par panaki panazoe En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    belle article, rien a dire :vaut mieux etre la queue d’un lion que la tete d’un rat,( parole de sagesse)

  • Le 15 avril 2014 à 12:15, par ATHOS En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Et si c,est le cas à qui la faute ? A cause d,un seul individu on veut bruler le pays.Que le peuple se lève comme en janvier 1966 pour dire non à Blaise qui est curieusement defendu par le fils de celui qu,on a chassé du pouvoir

    • Le 15 avril 2014 à 13:11, par satan sort de ce corps En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      QUEL est ce diable qui a touché ce monsieur pour écrire cet article mais Dieu merci cela ne sera jamais au Burkina ,car ce nous au cdp on sait accepter tout comme ça arrive mais pas ,le non respect des normes ,vive le referendum !!

    • Le 15 avril 2014 à 13:21 En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Bien parlé.Que les gens arrêtent de parler de paix et tutti quanti.Qu’ils s’adressent directement à Blaise Compaoré qui n’aime pas le peuple burkinabè sinon comment comprendre que quelqu’un qui est là depuis 28 ans,veut s’accrocher au pouvoir en cherchant à tripatouiller la constitution ?Pour être honnête,en l’état actuel des choses,si un référendum est organisé,Blaise Compaoré le perdra lamentablement mais il est sûr de son fait:la triche et le bourrage des urnes sinon il n’a aucune chance.Il est détesté et vomi par 80% des Burkinabè.La preuve,il avait créer le CCRP dans le seul but de faire sauter l’A37 et malgré l’absence de l’opposition,ses amis qui ont participé à ce Compaoré Cherche à Rester au Pouvoir et qui était financé à coup de perdiems mirobolants ont quand même dit "niet",que l’article 37 doit rester comme tel.Donc que recherche finalement Blaise Compaoré ?Des problèmes mais il les aura comme un certain Laurent Gbagbo avec ses "on gagne ou on gagne".Il est où maintenant ?A la Haye.Pas de référendum sous Blaise Compaoré sur l’A37.Qu’il dégage et il dégagera de gré ou de force.

  • Le 15 avril 2014 à 12:30, par Adama Traoré En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Vous voyez les génies des autres crises des pays voisin ici partout au Faso. Mais oubliez qu’il ya un facteur important que nous avons et que les autres n’avaient pas. Nous avons la sagesse de Blaise Compaoré lui là même qui a résolue les crises dont vous parlez.

    • Le 15 avril 2014 à 14:38, par wendbenedo En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Merci M. Traoré esperons seulement que cette sagesse va l’orienter vers la sortie en 2015 pour que notre pays vive dans la joie de l’alternance !

    • Le 15 avril 2014 à 14:41, par Supervagabond En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Tié, ta reflexion est PLATTE deh ! Mais ayant résolu ces crises, il devrait savoir partir et à temps !

      • Le 15 avril 2014 à 16:44, par Sanou En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

        Pour instant tu ne comprends rien dans l’habitude du Président Blaise. Je pense que jusqu’à présent le PF n’a jamais dit s’il va se représenter en 2015 ou pas. Le plus important actuellement c’est le renouvellement de la classe politique qui préoccupe le PF

    • Le 15 avril 2014 à 15:15, par Dany En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      sauf que au Faso, Le clan est entrain de nous fabriquer une crise dont personne ne connait l’issue. 2015 est là, il n’a qu’à partir, nous lui sommes reconnaissant. ce que vous oubliez, la roue de l’histoire tourne et Blaise est dépassé. ce n’est pas sa faute. Sinon si nous commettions l’erreur den le laisser mourir au pouvoir, tan pis pour les survivants !

      • Le 15 avril 2014 à 17:34, par Raso En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

        Je suis d’accord que Blaise doit partir mais avant il doit renouveler la classe politique. Tous ceux qui ont géré, gouverné et mettre le système actuel avec lui en place, doivent tous quitter la scène politique, pour que une nouvelle génération amène un nouveau système pour gérer le pays. Il ne sert à rien de remplacer Blaise par Roch et dire qu’on n’a le changement. En ce moment on a rien changé du tout.

    • Le 16 avril 2014 à 16:12, par le clairvoyant En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Quand vous n’avez pas de la hauteur d’esprit,on ne peut discuter avec vous. De quelle sagesse de Blaise parlez vous ? Je suis désolé. Un sage n’agit pas de la sorte. 28 ans au pouvoir,le pays n’avance pas, nous trimons,la constitution adopté par notre peuple lui interdit d’ailleurs un nieme mendat,il ne veut jamais comprendre et respecter la constitution au risque de menacer dangereusement la paix sociale. Un sage comme Nelson ne le ferait pas. Donc dégage avec ton sage.

  • Le 15 avril 2014 à 12:52, par nikiema En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    defendre son pays est un devoir patriotique si on touche à ma constitution je me donnerais corps et ame

  • Le 15 avril 2014 à 13:05, par sidyaaha En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    SVP ne comparez plus le cas du Burkina Faso a celui de la CI...Au BF le président veut modifier l’article pour rester au pouvoir ce n’est pas la meme chose..Qu’il respecte la constitution et laisse le pays en paix...

  • Le 15 avril 2014 à 13:07, par d8d8 En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    mon cher il n y aura rien ici , après le referendum le vaincu n aura pas du mal a l accepter,car tous sommes conscient de la nature de notre pays ,les Burkinabé sont forts et savent l importance de la paix ,vive la paix ,vive le referendum !!!

    • Le 15 avril 2014 à 16:17, par Eric En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Plus que les autres peuples ? Arrête ça ! il n’ y a pas de race supérieure. Si Blaise force ce sera le chaos. La preuve vous voyez que jusqu’à présent il n y a pas de trouble. Donc qu’il laisse les choses en l’état et prépare sa sortie pour 2015. Quand aux va-t-en guerre pour la modification de l’article 37 ils peuvent toujours attendre. Mais si y a crise, je ne vois pas une seule tête qui restera au pays

    • Le 17 avril 2014 à 13:37, par LE PHILANTROPE En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      frere sommes nous en guerre pour organiser un refendun pour la paix ? soyons des pourvoyeur de paix et enteron le debat de referendum

  • Le 15 avril 2014 à 13:24 En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Il faut d’abord qu’il ait deux groupes armés au Burkina. Pour l’instant nous en sommes loin.

  • Le 15 avril 2014 à 13:36, par Koutou En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Merci pour ce texte bref et posé. Personnellement, à la sortie des élections de 2012, le score de l’UPC m’avait déjà fait dire à plusieurs amis qu’en 2015 on pouvait arriver à la situation de la Côte d’Ivoire si on n’y prend garde. Ils m’avaient dit que j’étais un oiseau de mauvaise augure. Que dire maintenant avec la nouvelle configuration politique ? Tous les ingrédients sont réunis. Ca n’arrive pas qu’aux autres. Blaise Compaoré doit le savoir et j’espère qu’il ne vendangera pas les acquis.

    • Le 15 avril 2014 à 18:20, par lesage En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Tout ce que je demande au peuple burkinabé c’est de se détourner de ses politiciens. Ils ne poursuivent que leurs intérêts au détriment du peuple. Je vous le répète, détournez vous des politiciens si chacun de nous veut voir sa famille toujours réunie dans la paix. Sinon ils vont nous ériger les uns contre les autres et pendant ce temps leurs femmes et enfants sont en sécurité loin du pays voire du continent africain. Et toi ta famille sera massacrée au moment où les leurs se la coulent douce quelque part dans le monde avec en prime ton argent.

  • Le 15 avril 2014 à 16:13, par VatenBlaise En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    La seule possibilité de crise pourrait venir de l’armée si jamais elle prend fait et cause pour Blaise, au regard des nouveaux généraux promus. Sinon, le peuple en grande majorité est contre ce référendum et va sera dans les rues et les villages pour empêcher l’avènement de la monarchie constitutionnelle. Il n’y a personne à Ouaga qui osera sortir défendre le pouvoir à vie. Mais si l’armée se met à soutenir Blaise alors il y aura une crise sans pareille car les écoles, lycées, hopitaux, marchés, services, tout sera paralysé durablement.

  • Le 15 avril 2014 à 17:23, par delacroix En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    belle analyse !les ingrédient sont réunis mais la sagesse guidera et prendra le dessus.

  • Le 15 avril 2014 à 21:33, par BURKINDE toré BURKINABE toré En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    C’est plus qu’irrationnel que de comparer le cas burkinabè a celui ivoirien.
    Ce sont deux situations nettement différentes.Ici ce sont nos opposants qui s’entetent a refuter le referendum qui est pourtant légale.De l’autre coté en CI c’est Koudou Gbagbo qui s’est enteté a vouloir rester par tous les moyens.Sachez faire la part des choses.

  • Le 15 avril 2014 à 21:40, par WITIB YANDA En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Je suis desolé mais Cet article article est irreflechi.Comment vous pouvez aller
    jusqu’a comparer notre situation a la situation ivoiriènne de 2011.Un adage sage dit ceci ;il ne faut pas immaginer la pire des situations chez soi car elle peut vraiment venir

    • Le 15 avril 2014 à 22:29, par TKR En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      ici on ne compare pas les 2 situations. on illustre des faits qui se ressemble. on ne parle pas des causes de la crise ivoirienne mais des comportements qui ont facilite sn dclenchement

    • Le 16 avril 2014 à 16:25, par le clairvoyant En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      C’est toi-meme qui es irreflechi puisque tu ne vois pas l’imminence de la crise au regard des causes ou ingrédients qui se reunissent progressivement. Nous ne le souhaitons pas mais saches que les gens sont plus clairvoyants, plus intelligents que toi pour voir venir cette crise

  • Le 16 avril 2014 à 02:13 En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    La seule chose qui me permet d’etre optimiste,c’est la configuration socio-politique au Burkina Faso.Nous n’avons pas affaire a des partis regionalistes ou ethnics.Biensur votre inquietude est a prendre au serieux, mais en cas de crise,les degats seront beaucoup beaucoup moins importants.
    Neamoins, je deplore comme beaucoup d’autres, la prise de parole de la Premiere Dame. Aussi tout en soutenant l’idee que Rock, a la place de Blaise, n’est pas un changement, je le prefere a la presidence a vie de Blaise.
    Dieu Benisse le Faso.

  • Le 16 avril 2014 à 07:39, par Brutus-le-Romain En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Vraiment ! On chasse le "Naturel" et il revient au galop. Vous de l’Opinion, pourquoi diffuser de telles inepties ? Pour vendre plus ou pour enrichir des prétentions (même négatives et impossibles) par vous souhaitées ? Pour assimiler ou si vous voulez comparer nos petites discussions de famille à des évènements lugubres survenus chez un/des voisins. Tôle n’est pas tôle comme le dit le spot publicitaire du pays dont votre internaute fait cas. Pourquoi un syndrome lugubre est entrevu dans cette situation que je qualifierai en empruntant le verbiage du Sieur Assami KOUANDA, de "non-évènement" ? Force est de constater que vous vous obstinez à chercher à faire peur à la population en brandissant le "désastre" si un des camps en cause n’obtenait pas satisfaction. Ce qui veut donc dire que c’est de ce camp que viendra le feu ? Et si oui, une fois ce feu allumé, ni lui, ni vous et vos appareils n’en survivrez pas. Croyez-moi. Quant à celui qui du Ghana a écrit cette connerie, s’il est du Ghana effectivement je lui ferai grâce en le qualifiant "d’ignorant de l’essentiel et de la solidarité du peuple burkinabé". Mais s’il est burkinabé, je le traiterai d’apatride pour l’inviter à revenir au pays pour vivre les trains trains que le peuple vit au lieu de s’exiler ailleurs pour diffuser des lectures aussi idiotes qui ne sont que ses rêves. Quant à votre Journal, quoique su de tous comme étant partisan de quelqu’un/une, je vous inviterai à plus de retenues car c’est parce que la Paix existe au Faso et que la Liberté constitue le fort de notre Démocratie que vos feuilles de choux sont vendues, achetées et lues. A bon entendeur, Salut.

    • Le 16 avril 2014 à 10:13 En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Mon frère, j’espère que tout ira bien comme tu le dis. Mais force est de constater que le même discours avait tenu en 2011 au BF. Les gens comme vous refusant de voir la realité en face et s’en mettant à la solidarité que connait le BF pour dire qu’il n’y avait rien à l’horizon. Et une nuit, les armes ont commencé à retenti à Ouagadougou et dans d’autre ville du pays. Enfin vous vous êtes reveiller de votre sommeil pour voir que ce pays n’est pas si different des autres. Dieu merci, les choses ses sont calmées rapidement. Aujourd hui la même chose se profile à l’horizon, vous faites semblant de dormir.

    • Le 16 avril 2014 à 13:53, par Sidrata En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

      Avec le plus grand bagarreur Hermane Yameogo, nous devons nous attendre à tous ! Le projet de braquage de notre constitution que prépare le plus grand bandit ne présage pas du bon !

  • Le 16 avril 2014 à 12:44, par ka En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Notre président est entre un étau qui à tout moment peut le bloquer sévèrement. La seule solution est de prendre une bonne décision car notre article 37 est un poison. Son silence justifie que l’article 37 ne peut plus être touché, que ça soit par referendum ou par une volonté de manipulation. Au vu du monde entier et la communauté internationale qui ne peuvent être trompé, le président Blaise Compaoré doit appliquer la sécurité juridique de nos lois, c’est-à-dire quitter le pouvoir et respecter la lettre et l’esprit de l’article 37 qui lui interdit de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs. Son silence justifie aussi que trop c’est trop pour un seul article de loi qui a été révisé 2 fois, surtout avec le drame de Sapouy et dans l’objectif d’apaiser la tension sociale, le mandat du président a été ramené a 5 ans renouvelable une seule fois. Dont un président qui a eu ses 2 mandats doit se retirer, se reposer 5 ans et peut revenir plus tard pour se représenter. Le présidant Blaise Compaoré a l’époque a certifier des responsables de son parti CDP au près du collège du sages pour faciliter les choses qu’il a confirmé et signer. A présent les choses se compliques avec la gourmandise de son entourage et du FEDAP de son frère François, surtout de madame Chantal Compaoré qui ne connait rien en politique, et qui rentre dans la danse. Tous ces ingrédients bouillonne dans la tête de notre caméléon de Ziniaré qui est l’incendie et le pompier de notre pays bien aimé. Quoi qu’il arrive il sera obligé de trancher avant ce fameux Décembre 2015.

  • Le 16 avril 2014 à 15:57, par Futuriste En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Au faite je pense que sa revient a la population de ce réveiller, moi personnellement je ne crois pas que quelqu’un du MPP ou du CDP puisse m’amener a détruire mon pays. au contraire si une crise explose ils seront les premiers a payer car je serai chez Roch ou chez François pour piller.
    prenons l’exemple de la minuterie, qui a vue un militaire descendre dans une maison vide ? sauf les salauds qui sont aller violés nos sœurs. donc qu’ils ce préparent car ils vont tous payer tant qu’ils seront dans le pays.

    Toujours construire, souvent détruire, toujours servir

  • Le 17 avril 2014 à 00:19, par lemessager En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Ce que je sait au lieu de bénéficier d’une retraite honorifique, certains iront tenir compagnie à Koudou Gbagbo à la CPI

  • Le 17 avril 2014 à 17:03, par le fils du pays En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Je me dit qu’au fond le peuple Burkinabé va se ressaisir le moment venu,ceux qui contribuer au détériorement du climat sociale en portera l’entière responsabilité.Que sa soit Salif,Rock ou encore Simon auront des comptes a rendre au peuple comme pour toujours.

  • Le 17 avril 2014 à 17:38, par gros bras mince En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Merci pour ce rapport parce que je reconnait justement que il y’a bel et bien un effort de réflexion mais ce que je tient a vous dire c’est de faire la part des choses.Le BF et la CI sont déjà différents par le nom ;on ne peu pas comparer la classe politique ivoirienne même de l’époque a la classe politique burkinabé.Ensuite le mental que le citoyen lamda burkinabé a n’est pas forcement ce que l’ivoirien possède.De grâce qu’on arrête de faire une étude comparée des situation.

  • Le 17 avril 2014 à 17:40, par electron 1er En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    La cote d’ivoire et le Burkina sont loin d’avoir les même débats politiques,ne faisons pas une amalgame nous sommes très loin d’avoir les même problèmes que la cote d’avoir.Tenez vous bien et sachez que tout ce qui d’une façon ou d’une autre veulent détérioré le climat sociale seront condamner et puni par la loi et le peuple burkinabé.

  • Le 17 avril 2014 à 23:04, par electron 1er En réponse à : Situation nationale : Le syndrome de la crise ivoirienne

    Déjà au niveau du titre il y’a un problème"Les ingrédients de la crise commencent à se mettre en place au Burkina Faso. On avance inéluctablement vers le même scenario que la crise post-électorale ivoirienne"le pessimiste d’un seul homme qui pourra contaminer plusieurs jeunes,comment peut tu déjà imaginer la guerre au Faso.Je suis désolé mais c’est pas ça le rôle du journalisme.

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