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Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

Publié le mardi 25 février 2014 à 02h19min

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Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

On a coutume d’entendre chez les observateurs politiques avertis que la démocratie est d’abord l’affaire des démocrates, c’est-à-dire, à notre avis, de personnes respectueuses de la légalité et des institutions de la république. Dans tout débat sérieux que l’on mène, on devrait se rappeler que la démocratie, c’est d’abord des institutions (les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire entre autres) et des hommes qui l’animent dans l’intérêt supérieur de la Nation.

Malgré que les institutions fonctionnent bien (même si elles ne sont pas parfaites, la perfection n’étant pas de ce monde), il s’en trouve des "défenseurs" de la démocratie, "des démocrates sincères" qui n’en ont cure. Curieuse conception pour des personnes qui prétendent défendre le peuple. En réalité, et comme on peut le constater aisément, ces activistes parlent plus pour faire plaisir à leurs affidés que pour soutenir un débat constructif.

En effet, quand des Burkinabè veulent exercer leur droit à la différence et permettre de trancher sur des questions nationales, on leur répond que le peuple a déjà rejeté leurs idées en se mobilisant lors des marches. Quand des critiques sont quotidiennement adressées à une institution et que l’Etat engage des réflexions pour son amélioration, on estime que le plan secret est d’en faire un instrument au service d’un camp.

Bonnes gens, soyons sérieux et regardons nous dans la glace ! Dans quel pays on doit s’interdire des réformes parce que des groupes organisés refusent de s’asseoir à la table de discussion et soupçonnent les autres de pactiser avec le diable ?

Il en est également du débat qui a cours sur le mandat que l’opposition réclame à la majorité dans le cadre de la médiation interne. Là aussi, le président du Faso ne serait pas au-dessus des institutions, selon certaines personnes. Pour nous, il est nécessaire de clarifier les revendications pour que la république soit préservée.

Dans un contexte marqué par des divergences de points de vue, aucune action de rapprochement n’est à négliger et ce n’est pas le président du Faso qui dira le contraire. Pourquoi alors chercher des poux sur une tête rasée ?

Au total, nous voulons demander à tous ceux qui s’intéressent au devenir de notre démocratie de croire et de respecter nos institutions qui constituent la charpente de l’édifice. Ce devrait être l’attitude la plus républicaine si l’on se proclame démocrate.

Tassembédo Claudine

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Vos commentaires

  • Le 24 février 2014 à 16:41, par El Hadj YANOGO En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Nulle comme réflexion !

  • Le 24 février 2014 à 16:49, par athos En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    que dieu sauve le burkina

  • Le 24 février 2014 à 16:59 En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Madame je me pince pour être sur de ne pas rêver , qui refuse de respecter les institutions ? Ceux qui veulent les accommoder a leurs intérêts égoïstes ? Ou ceux qui exigent le respect des institutions ? Imaginez un prêtre nain qui exigerait qu’on réduise tous les chasubles a sa taille, comme s’il est l’unique et le dernier prêtre !!!! Mani sugri yaaaaa et puis de grâce le président du Faso est une institution pas plus pas moins... Relisez la constitution s v p

    • Le 24 février 2014 à 17:07, par Koumbem En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

      onsoir

      Madame, on vous comprends, mais sachez que cette médiation n’en est pas une. Au début, on avait cru, mais comme le médiateur lui-même semble prendre partie en déclarant que le Président est au dessus des institutions, il a ainsi mis fin à ladite médiation. Personne ne peut aller dans une médiation sans avoir la confiance du médiateur.

      Sachez aussi que la médiation n’est pas une institution.
      Merci pour vos efforts, mais la machine est lancée et rien ne peut l’arreter. C’est en fait du caterpillar de Pierrette Adams.

      Bonne soirée

  • Le 24 février 2014 à 17:04, par Sidrata En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    On dirait l’auteur n’a pas relu son article sinon il allait se rendre compte que c’était sans objet. je ne pense pas que écrire là est obligé. Economise ton temps pour le marché de popote, tu aurais du mérite. Je pense que tu ne reviendra pas. merci d’avoir pitié des lecteurs !

    • Le 24 février 2014 à 21:43, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

      Exactement !! Qui respecte les institutions et qui ne les respecte pas ? Le peuple qui demande le respect de la CONSTITUTION,d où tirent les institutions leur LEGALITE ou ceux qui demandent 2 ans de transition ,synonyme de VIOL de la LOI FONDAMMENTALE,fondement de la démocratie ? Mme au cas où vous l ingnoriez,la CONSTITUTION est la mère des institutions dans une démocratie.Dites le à B.COMPAORE.Et si les opposants exigent un mandat à la majorité,c est pour être certain qu ils négocient le VIOL de cette CONSTITUTION à son nom,puisque c est lui le demandeur et en serait bénéficiaire au cas où et non ses mandataires.

    • Le 25 février 2014 à 10:12, par Kabore ibrahim En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

      sidara,alors toi que fais tu ? IL ÉTAIT PRÉFÉRABLE QUE TU PARTES FESSER LE SINGE QUE DE DIRE QUE TU N AS PAS FAIS LES BANCS EST CE NOTRE PROBLÈME

    • Le 25 février 2014 à 20:17, par Africain En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

      Bonsoir a tous. Mes chers frères en vous lisant,sa semble une leçon de morale que vous faites entre vous. Essayer de réagirent un peut sur le sujet de la maman. La vrai démocratie c’ le peuple,ce qui veut dire que le Referendum es la bien venue. Si l’opposition croit a sa popularité,allons y au referendum.

  • Le 24 février 2014 à 17:05, par L’Autre Africain En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    A ce que je saches Mme, ni le CCRP, ni la médiation "auto-saisie" ne sont des institutions de la République. Et mieux, à moins que vous ne soyez de mauvaise foi, la crise actuelle du pays n’est pas une crise entre des partis politiques mais plutôt une crise entre la population et son président. La preuve, si le CDP présente un autre candidat qui n’est pas sous le coup de la limitation des mandats, personne n’aura à redire. Alors quoi de plus normal que ceux qui portent les aspirations de cette partie du peuple puissent exiger un mandat à celui qui semble bien être à l’origine de la crise ?

  • Le 24 février 2014 à 17:09 En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    (1) les divergences de point de vue c’est ce que fait la démocratie ma chère Claudine.
    (2) Respectons nos institutions et notre loi fondamentale, la constitution et vous verrez que le pays ira mieux
    (3) les reformes sont nécessaires quand elles sont utiles et ne mettent pas en danger la cohésion sociale
    Non à la modification de l’article 37.

  • Le 24 février 2014 à 17:09, par Djihad En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Ma sœur c’est du déjà entendu et lu. Personnes n’est contre les reformes. Par exemple le peuple attend depuis longtemps la reforme agraire qui ne vient pas depuis belle lurette, bien d’autres sont attendues mais sans suite.
    Toutes les reformes qu’ils font c’est dans l’objectif de demeurer au pouvoir, ou bien protéger des biens mal acquis soit favoriser acquisitions desdits biens. Madame je suis désolé dites plutôt à vos mentors de civiliser un peu leur façon de gérer le pays vous verrez que personne ne les empêchera de faire des reformes. La démocratie aussi c’est l’honnêteté. Soyez honnête avec vous même.

  • Le 24 février 2014 à 17:09, par kô-tigui En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Bonsoir !

    Mde ou Mademoiselle Tassembédo, vraiment moi j’ai lu, mais je n’ai pas cerné ce que vous voulez dire. Il faut faire ça en français facile, exemples à l’appui, comme on a l’habitude quelques fois d’en lire sur lefasonet.
    Merci

  • Le 24 février 2014 à 19:00, par tièkadiyé En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Madame, ça c’est une vraie réflexion de salon de coiffure. Qui ne veut pas respecter les institutions de la République ? Qui veut en faire de la République un patrimoine familiale ? Qui est celui qui n’a jamais respecté sa parole d’honneur ? On est pas obligé d’écrire quand on a rien à dire de constructif. Surtout, on ne se met pas à injurier l’intelligence des gens pour rien et à les accuser sans fondement. Apprenez à réfléchir seule, ça vous grandira. Pendant qu’on y est, l’UPC a accusé avec preuves le CDP à Soubaka de corruption, on verra si les institutions seront respectées, dès lors que la Police a été officiellement saisie et vue que les responsables du CDP ont reconnu leur forfaiture, mais avec comme arme de défense : il n’est pas interdit de faire des cadeaux.

    • Le 25 février 2014 à 07:42, par vérité no1 En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

      La décision d’écrire est sortie sans doute d’un salon de coiffure car c’est de là bas que toutes les idées des femmes sortent, bonnes comme mauvaises. J’ai interdit à ma femme de passer trop de temps dans les salons de coiffure. Les femmes peuvent me contredire si je mens !

  • Le 24 février 2014 à 19:15, par ka En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Madame à moins que Dieu descende sur terre pour vous expliquer que le président Blaise Compaoré joue avec son peuple en violant nos lois et nos constitutions, vous ferez toujours semblant de ne rien comprendre sur un dictateur né, et qui a eu la chance de tomber dans les bras d’un peuple tolérant, naïf et enchainè par la pauvreté. Si vous voulez des faits réels d’un article de loi de notre pays qui est en train d’être violer par un président Complexe, caméléon, et dangereux pour la démocratie, qui est Mr. Blaise Compaoré, je vous citerai l’article 37 dont tout le peuple Burkinabé, jeunes ou vieux, femmes ou hommes, sages ou médiateurs, cultivateurs ou étudiants, ont contribué à sa création quand le président avait le feu sur sa tête à cause de l’assassinat crapuleux du journaliste Zongo Norbert. Le peuple Burkinabé était témoins de la conformité de cet article reconnu par le caméléon de Ziniaré, que le mandat présidentiel qui était de 7 ans est ramené à 5 ans renouvelable une seule fois. Dont un président qui a eu deux mandats doit se retirer, se reposer 5 ans, et peut- être revenir plus tard pour se représenter. Voilà que coûte que coûte, le frère du président et son FEDAP/BC taxe de manipulation pour sortir juridiquement, et modifier cette article qui à l’époque a sauvé le lynchage de son frère par le peuple. Mais une chose est sûre, si la famille Compaoré s’entête à la manipulation ou passer outre les prescriptions de ‘article 37 , ou le référendum, avec le risque catégorique d’un désaveu populaire qui devrait contraindre le caméléon à démissionner immédiatement, comme ce qui s’est passé en Ukraine dans ces derniers jours, car le peuple meurtri est mûri et s’accroche à ses lois. Modifier l’article 37 est anticonstitutionnel. Une candidature de Blaise Compaoré en 2015 sera amorale. Je me demande ou sont tous les magistrats qui ont œuvrés avec les sages pour mettre à jour ce fameux article ? S’ils sont là, je crois que Blaise et sa famille les mettent mal à l’aise en voulant coûte que coûte modifier cet article bien fait. Insister a modifier l’article 37, c’est comme si on mettait volontairement un tremblement de terre au pays que nous aimons tous.

  • Le 24 février 2014 à 19:47, par cheick022 En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    on vous a fait quoi même, laissez nous tranquille et dite seulement de respecter notre constitution, qu’il laisse la place à d’autre, nul n’est indispensable sur cette terre donc basta et encore basta

    • Le 24 février 2014 à 21:07, par LE PEUPLE En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

      certains journa-liste completent le nombre. si tu n’a rien a dire, lit un roman ou autre chose ! institutions, institutions.. ya quelle institution au burkina ? des immeubles oui. une institution c"est les hommes, des democrates convaincus a droiture ,morale et competences reconnues. il faut qelle lise bcp.

  • Le 24 février 2014 à 20:27, par ABDOUL NAS 1er En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Madame es ce que vous avez lu votre machin ?.En 2010 es ce que les gens ont refusé la candidature de Blaise ?.

  • Le 24 février 2014 à 20:33, par La politique, un art qui s’apprend- MPP En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Encore une de ces maitresses frustree de ne pas pouvoir être senatrice comme promi par ses maitres. Non Non Non Madame, vous allez desormais apprendre a manger a la sueur de votre front.
    En fait Blaise ne peut plus habler quelqu’un dans ce pays, meme pas un bebe de deux mois. On est tous habitués de ses coup bas et cette fois-ci ca ne passera pas.
    Pas de Senat, pas de modification de l’art 37, pas de periode de transition.

  • Le 24 février 2014 à 20:48, par mytibketa En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Ne compliquons pas les choses. On se connait tous au Burkina. Pendant un certain temps tout le monde était convaincu que le Burkina s’acheminait vers une réelle démocratie. On n’était loin de douter que les votes truqués n’étaient que des essais grandeur nature pour le cas ou le manitou allait sortir sa botte secrète pour s’éterniser au pouvoir genre Bocassa. Vous voulez des cas de simulation, urnes volées, résultats volés ; achat de cartes d’électeurs et j’en passe. Et vous parlez de démocratie ; Pourquoi diantre vous voulez justifier l’indéfendable. ça veut dire quoi vos institutions si elles ne s’adossent pas à notre loi fondamentale. Vous savez,on ne piétine qu’une fois les testicules d’un aveugle et le peuple l’a compris. Ramener le mandat à 7 ans par le biais d’un lega de deux ans comme il l’a fait faire avant mais en sens inverse ; je crois que personne n’est dupe. Et ce sont des griots de votre trempe qui lui font croire qu’il est au dessus des institutions lui qui a fait le serment de respecter la constitution. On croit rêver avec tous ces politologues d’un genre nouveau et qui se veulent générations montantes, mon oeil.

  • Le 24 février 2014 à 23:01, par JAMES KENNY En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Madame tout mes respects pour cet écrit qui a le mérite d’apporter un autre regard sur la situation du pays et particulièrement sur la médiation. Toutefois, convenez avec moi que si les institutions sont ainsi foulés au pied, méprisez, cela est dus à son excellence BLAISE COMPAORE qui a vidé de sa substance, ravalé au rang de simple vitrine certaines d’entre elle notamment la JUSTICE garant de paix social. l’exécutif a phagocyté le pouvoir législatif, l’assemblée nationale, est une simple caisse de résonance de la présidence. Blaise récolte ce qu’il a semé(une bonne partie de la population se moque des institution) sans doute lui et ses disciples n’avait pas imaginé un tel revers pour eux de la caporalisation des autres institutions.

  • Le 25 février 2014 à 04:17, par phantom En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Franchement, madame, je n ai rien pigé.

  • Le 25 février 2014 à 08:13, par Le laic En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Toi Claudine là même, tu viens d’où ? Les institutions dont tu parles, sont elles démocratiques ? Quand tu prends Blaise qui est sensé incarner la plus haute institution du pays et qui demande 2 ans supplémentaires à son mandat, quelle institution il respecte dans ce cas ? Bonne dame de bonne m..de !

    • Le 25 février 2014 à 09:43, par la colombe En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

      c’est vraiment nulle comme réflexion, tu devrais repartir à l’école du journalisme et puis dans quelle démocratie au monde le président fusse t-il élu à 100%, est-il au dessus des institutions ? Cites en un exemple ça pourra édifier ton argumentaire. Lorsqu’on a rien à dire on se tait

  • Le 25 février 2014 à 10:44, par Ahmed Léon En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    J’ai du mal à vous comprendre, que voulez vous dire au juste chère Tassembedo Claudine ?

  • Le 25 février 2014 à 10:56, par adambak En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Madame, l’on a dit que le ridicule ne tue pas au pays des hommes intègres ; votre écrit en est une illustration. De grâce, si vous n’avez rien d’intelligent à dire,épargnez nous de telles aberrations.

  • Le 25 février 2014 à 11:38, par boberie En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Voyez-vous mesdames et messieurs que la démocratie est en marche au Burkina. C’est cette liberté d’expression et d’opinion qui donne le droit à certaines qui vive toujours dans une certaine inconscience politique de tenir de telle langage aussi ambiguë. Oui, en démocratie il faut des institutions fortes, mais la démocratie ne veut dire monopole du pouvoir ! Quand des gens se battent pour écrire une loi dans notre loi fondamentale la limitation du mandat présidentiel et qu’un seul individu pour sa boulimie du pouvoir veut tripatouiller notre constitution pour son propre intérêt égoïste, est-ce cela la démocratie ! C’est parce que Blaise a duré au pouvoir qu’il a pu avoir une légitimité pendant une certaine période et il est devenu un homme fort à la tête de l’Etat. Mais après 27 ans, sa cote de légitimité ne plus être la même comme dans les années 97 et 2005. Quand des enfants pensent que Blaise Compaoré qui a créé le Burkina, est-ce cela la démocratie ? Eviter de jeter du discrédit sur la profession de journaliste avec un tel article ! Le rôle du journaliste de dire ce que nos lois ont prescrit mais pas de faire de la communication politique. C’est très simple quitter pendant qu’il est temps votre poste et rejoignez le CDP. Là-bas vous serez plus utiles ! Avec tout le respect que j’ai pour vu pensez à demain !

  • Le 25 février 2014 à 12:36, par gengnien En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Madame Tensembedo, votre reproche est totalement partisant. Mais pourquoi vous ne faites pas comme nous l’avons tous appris en ayant une vision dualiste. Vous reprocher à un camp de se radicaliser et vous laissez l’autre camp tranquille qui est pourtant dans un boycotte total de nos institutions. C’est triste comment des instruits peuvent s’égarer dans un dessert comme le notre.

  • Le 25 février 2014 à 14:47, par Citoyenne En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

    Encourageant la participation des femmes au débat politique. Maintenant il faut voler au-dessus de la mêlée !!! Si les institutions, les lois et la démocratie étaient dans la conscience réelle de ceux que vous défendez vous n’auriez pas eu besoin et du mal à rafistoler dans un article !!!

    • Le 25 février 2014 à 19:12, par Ouédraogo Issa En réponse à : Démocratie au Burkina : Quand on dénie aux institutions leur légitimité

      Blaise a toujours fait dans les normes. Pendant toutes les élections et la durée au pouvoir dont tout le monde évoque aujourd’hui, tout ceci a été dans la démocratie, le président a fait les choses de façon consensuelle il a toujours respecter la constitution et les institutions. C’est vrai tout n’est pas parfait mais sachez que le perfectionnement n’existe pas.

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