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Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

Publié le mercredi 12 février 2014 à 00h16min

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Réponse de Franklin Nyamsi à  David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

Cher David Sawadogo,

Puisses-tu recevoir d’emblée, pour toi et les tiens ainsi que nos amis poitevins communs, mes salutations fraternelles et l’expression de mon estime assurée. Cela ne sera pas en cause dans le moment de vérité que tu m’imposes de vivre avec toi sur lefaso.net. Tant pis, les différends ont leurs trésors. Quand ils s’imposent, même amers, assumons-les comme notre lot divin dans l’écume des jours éphémères.

En effet, des gens comme nous qui pendant dix ans, voire plus, n’ont pas eu l’occasion de discuter de quoique ce soit peuvent profiter de leur passion commune pour le continent africain pour se reparler, mesurer l’état de leurs divergences et de leurs convergences, au bon profit d’un lectorat qui appréciera dans ces conditions ce que parler publiquement de politique veut dire.

J’ai donc lu avec intérêt ta prose de justicier mise au service de ton ancien professeur Etienne Traoré et de Madame Saran Séré, manifestement ton égérie politique burkinabè. J’ai lu dans la foulée, ta défense acharnée de la vulgate des nouveaux opposants burkinabè et je vais m’appliquer à te répondre point par point, sans excès ni faiblesse, avec rigueur et compassion.

Tu me feras grâce de ne pas simuler l’apoplexie, si certaines de tes contre-vérités que je déconstruirai ici te revenaient comme un boomerang bien mérité. Le débat politique public n’est pas un colloque universitaire ou une méditation au sommet du Kilimanjaro. C’est la confrontation argumentée de visions de la cité qui peuvent être divergentes, voire antagoniques, au sens proprement agonistique. Dans ces circonstances précises, la vérité est aussi l’articulation rationnelle et raisonnable d’un engagement existentiel.

Te répondant ainsi, je pense contribuer modestement à nourrir d’esprit un tant soit peu critique, la nuée de supporters affamés de duels que ton écrit semble avoir fait accourir, et qui se réjouiront sans doute de profiter dans les prochains jours, des nouvelles trouvailles de ta plume à fleurets mouchetés. J’ai lu les thèses de ta lettre ouverte. Je vais y répondre pied-à-pied par des antithèses et je laisserai au lectorat bigarré de nos websphères africaines le rare plaisir de se faire une synthèse, chacun pour soi, afin que le débat laisse chacun autonome en ses réflexions.

1) Tu commences ton écrit en me concédant, non sans une magnanimité condescendante, le droit de m’exprimer sur tous les sujets politiques africains, y compris burkinabè donc, sans obéir à l’injonction de silence que bon nombre de tes supporters enfiévrés et chauvins m’opposent pourtant allègrement depuis quelques semaines dans la médiasphère burkinabè. Ce droit de regard de tous les intellos africains sur toutes les questions africaines te paraît être un droit régalien panafricain. Là est ta première erreur d’appréciation.

La question de la liberté de pensée, loin d’être un enjeu strictement panafricain, est une exigence universelle en raison de la destination cosmopolitique de l’espèce humaine. Je ne m’exprime donc pas sur le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Burkina, ou tout autre sujet politique africain de ton choix, parce que j’aurais des droits africains congénitaux pour le faire, mais en raison de ma pure et simple humanité pensante. De telle sorte que tes suiveurs et toi vous situez seulement à des degrés divers dans le particularisme communautariste que l’usage universel de la raison condamne. Oui, David Sawadogo, ce que je veux, « c’est pour la faim universelle, c’est pour la soif universelle » (Césaire).

2) Après tes politesses fraternelles en guise d’introduction, tu rentres donc dans le vif du sujet – ta véritable mission et ton véritable projet - en m’accusant d’être à fleur de peau lorsque mon « mentor » Guillaume Soro est attaqué. Nous y sommes. Le président Guillaume Soro, longtemps avant d’être Chef de la rébellion anti-chauviniste du MPCI/FN, longtemps avant d’être ministre d’Etat, premier ministre ou président de l’assemblée nationale de Côte d’Ivoire, est un camarade de lutte et un frère. Quand j’arrivai en Côte d’Ivoire au milieu des années 90, il dirigeait brillamment la FESCI et c’est son sens de la compassion pour l’Etranger, le Pauvre, l’Orphelin et la Veuve qui nous lia d’intime fraternité depuis lors et de solide convergence.

Pourquoi pâlir de jalousie quand, dans l’alcôve de nos diasporas, on parle de ce défenseur attitré des quatre millions de burkinabè de Côte d’Ivoire ? Aujourd’hui, Guillaume Soro est incontestablement, de tous les quarantenaires, cinquantenaires et trentenaires de la politique africaine, le leader générationnel. L’humilité et la vision de l’Histoire qui sont les siennes sont loin d’effleurer seulement ton entendement. Loin d’être le gourou que tu veux décrire, c’est un africain lucide, courageux et déterminé dans l’effectuation des actes d’avant-garde de notre histoire commune.

Nous, ses proches et amis, ne lui vouons aucun culte. Guillaume Soro n’est demandeur d’aucune génuflexion. Nous accompagnons son œuvre destinale. Quand on s’attaque donc, non pas simplement à Guillaume Soro, mais à l’espérance et aux valeurs citoyennes universelles qu’il a su incarner et porter sur ses épaules au risque de sa vie, on trouve la solidarité agissante et légitime du Professeur Franklin Nyamsi sur son chemin. Car ce que je défends en Guillaume Soro, c’est précisément son combat pour la dignité, la liberté, la justice et la vérité dans son pays.

3) Tu t’avoues la faiblesse de penser que j’oublie « la spécificité du penser philosophique ». Tu devrais bien plus encore t’en vouloir de faire preuve de tant d’amnésie car tu fus longtemps candidat au concours national de l’agrégation française de philosophie que je fus le seul à réussir en juin 2003 dans la même académie que toi, à Poitiers. Il fallait bien que je sache ce que philosopher veut dire pour être admis au plus rude des concours francophones en la matière. Pourtant, chaque chose a son lieu. Il y a une parole de l’université, il y a une parole de l’agora. Les confondre est un vice de fond et de forme. Savoir traduire l’une dans l’autre est tout un art, que seule la polémique experte procure. Ce sont des rappels utiles pour te dire que je ne viens pas sur les médias publics donner des leçons de pédagogie philosophique, mais penser dans l’épreuve de la pluralité humaine et la diversité des intelligences.
Le faso.net n’est ni la fac de Rouen, ni celle de Lille3 où j’ai mes habitudes de chercheur. Venir ici sur le faso.net m’expliquer, à moi, professeur agrégé de philosophie au quotidien, ce qu’est la philosophie, c’est faire insulte à mon talent et à mon métier. Et c’est là le premier geste du pseudo-pédagogue par excellence qui porte des attaques ad hominem sans en donner l’impression. Attaquer dans le noir, un couteau entre les dents, ne saurait suffire à tromper une vigilance éprouvée. Se tromper de disciple et vouloir donner des leçons à un maître en chaire, c’est un outrage au statut personnel.

Car pour en venir à tes protégés d’un soir, le professeur Etienne Traoré et Madame Sérémé, c’est faute de t’être pénétré des outrages de leur prose initiale que tu te crois en mesure de condamner ce qui te paraît être ma démesure. Quand M. Traoré pousse l’outrecuidance jusqu’à accuser le président Guillaume Soro d’un crime imaginaire de son cortège de voitures contre un brave paysan burkinabè tout aussi fictif, tu dois sans doute avoir l’œil dans le décor. Quand dame Saran Séré, estime sereinement que le président Guillaume Soro a perdu la raison, tu cherches sans doute encore tes lunettes de lecture. Cela se nomme partialité et connivence.

De quelle pédagogie peut-on se prévaloir quand on ne sait pas reconstituer les pièces initiales d’un différend dont on se mêle ? Non, disons-le tout net : obnubilé par ta mission de revanche, tu ne reconstitues pas les termes de l’outrage, tu pérores doctement sur ma réplique. Il y a des jours et des jours que la canaille du net souhaitait que quelque burkinabé cultivé m’en bouche un coin. Ma correction à tes deux chouchous a fait jaser bien des haineux.

D’elle, de cette correction dis-je, parlons donc encore un peu. Quoi ? J’ai dit que M. Etienne Traoré était un ivrogne ? Telle n’était pas ma finalité. Il s’agissait de comprendre pourquoi sa pensée est si confuse. Et j’ai eu force témoignages sur son alcoolisme chronique, qui m’ont alors servis d’hypothèse très sensée pour comprendre ses délires contre le Président Soro. Cher David Sawadogo, l’homme Etienne Traoré que tu as connu dans les années 80 n’est sans doute plus que l’ombre de lui-même et quand on a soutenu le président Compaoré comme lui par le passé, on devrait avoir la probité de se taire au lieu de s’acharner à distraire la galerie par des sorties éditoriales hasardeuses et mal élaborées. Enfin, quand on diffame imaginairement le second personnage d’un Etat ami de son pays, on mérite bien une bonne enquête de moralité !

Quant à Madame Séré, - une ancienne du CDP comme M. Traoré - qui nous pompe l’air avec ses « hey » complètement vides de sens comme ses menaces insurrectionnelles à peine voilées, comment ne pas lui renvoyer son accusation de folie entre les dents ? On ne s’adresse pas au dauphin constitutionnel de Côte d’Ivoire comme à un coxer du marché de Ouaga. Ainsi vont les boomerangs dans la médiasphère politique.

Si tu as la faiblesse – encore une ! - de considérer des retourneurs de veste attitrés comme de bonnes recrues pour l’opposition burkinabè, permets-moi de te prédire une bien cruelle désillusion au prochain épisode salé et épicé que vous offriront les Roch, Salif, Simon et Compagnie. Je n’ai insulté ni Madame Sérémé, ni M. Traoré. Je les ai décrits. « Photo-là, c’est pas magie dè, dit le proverbe ivoirien. Si tu es né boubou, tu vas sortir boubou ! ».

4). La règle des règles du débat intellectuel, me proclames-tu doctement, c’est de considérer que « la vérité est dans l’entre-deux ». Non, ta fameuse règle est en réalité méthodologiquement susceptible d’induire souvent en erreur. Et l’absence de prudence méthodologique dans l’analyse politique est une bien grave carence pour un pédagogue. Car que se passerait-il dans un débat entre deux personnes qui sont dans le faux ? L’une dit, à titre d’exemple, que la Terre n’est pas suspendue dans le vide. L’autre, que la Terre est portée par d’immenses éléphants. Où est donc la vérité entre ces deux thèses ? Nulle part. Ou peut-être dans l’éléphant vide, me diras-tu ? Tout désaccord, tout différend intellectuel ne mène pas nécessairement à la vérité, car les parties en discussion peuvent également être dans l’illusion ou l’erreur, de bonne ou de mauvaise foi. Il convient dès lors, d’en revenir aux bonnes vieilles maximes du Discours de la méthode, de la logique aristotélicienne, de la logique dialectique, ou de la logique modale, avec l’apport des sciences de la nature et des sciences de l’homme, pour se faire un certain chemin vers la vérité, dans une confrontation permanente et collective des théories et des expériences, des arguments et de leurs preuves.

Nous voilà bien en désaccord sur les règles pour la saine direction de l’esprit ! Je comprends parfaitement qu’il en soit de même dans son application aux réalités politiques burkinabè. Rassure-toi cependant en ce qui concerne tes deux protégés : je n’aurais aucun mal à leur dire tout ce que j’ai écrit à leur sujet EN FACE. L’un a une logique d’ivrogne, l’autre une logique de furie, ne t’en déplaise.

5). Pour ce qui est donc du contenu du différend politique burkinabè, tu donnes bien sûr raison à Etienne Traoré, dans son procès pour ingérence dans les affaires intérieures burkinabè contre le président Guillaume Soro. On a bien compris pourquoi. Etienne Traoré fut ton brillant enseignant, tu lui dois d’ailleurs les clartés curieuses de ta logique. C’est tant mieux. On a aussi compris que c’est parce que tu partages la revendication souverainiste de ton Maître Etienne Traoré que tu voles au secours de son bien compréhensible silence neurasthénique. Mais pourquoi le président de la république de Côte d’Ivoire, S.E. Alassane Ouattara, ne pourrait-il pas, pour anticiper et conjurer la survenance au Burkina Faso de la longue guerre successorale qu’a connue son pays, conseiller à ceux des hommes politiques qu’il connaît le plus de dialoguer et de trouver un consensus avant que la bataille irréversible des tranchées n’ait commencé ? Où est la malice dans cette incitation au dialogue quand elle vient d’un pays qui trouva sa paix en mars 2007 à Ouagadougou et qui héberge – fait d’exception notable- quatre millions de burkinabè ?

David Sawadogo, comment faut-il vous sonner pour vous faire comprendre que s’il y a deux nations liées par le destin en Afrique de l’Ouest, c’est d’abord la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso ? Que Madame Séré ne le comprenne point et estime qu’on insulte son INTELLIGENCIA – encore une fiction orthographique de son cru - , on peut le comprendre finalement. Mais que toi-même, que toi aussi, David Sawadogo, tu embouches la trompette éculée du nationalisme burkinabè comme les pro-Gbagbo de Côte d’Ivoire, alors que la France, notre France adoptive commune, t’a accordé sa citoyenneté, c’est véritablement « le commencement des douleurs » dont parlait si bien l’écrivain Sony Labou Tansi.

Veut-on vraiment sacrifier le bon sens du peuple burkinabè pour que des anciens leaders du CDP comme Zéphirin Diabré, Roch Kaboré, Simon Compaoré ou Salif Diallo entrent avec insouciance et amnésie au palais de Kosyam ? Se moquer du point de vue de la Côte d’Ivoire est la plus grande imprudence géopolitique de l’opposition burkinabè actuelle. Et des arguties comme les tiennent l’enfoncent, car quand tu prétends que le Burkina n’étant pas en guerre, Guillaume Soro devait rester chez lui, le corollaire c’est donc que tu préfèrerais que la guerre ait d’abord lieu au Burkina avant que Guillaume Soro ne vienne en fraternelle mission d’apaisement ?

David Sawadogo, tu viens d’inventer en diplomatie, l’art fatal du médecin après la mort. Pour le Président Guillaume Soro par contre, aujourd’hui au cœur de la Francophonie dont il est vice-président, mieux vaut prévenir que guérir. L’expérience politique n’est rien si elle ne permet pas d’anticiper les tragédies. Mieux encore, que dire du point de vue de l’Eglise Catholique sur la crise burkinabè, elle qui prend ses ordres au Vatican ? Je ne t’ai pas entendu condamner les ministres du Saint-Siège pour ingérence dans vos sacro-saintes affaires intérieures burkinabè. N’est-ce pas encore une merveille de l’amnésie à tête chercheuse que tu pratiques décidément bien ? Ce qui est encore plus risible dans ta démarche, c’est que tu affirmes, dans le même texte, qu’en raison de la misère, il n’y a pas de vraie paix au Burkina. Les pandémies, la faim, la soif, le sous-logement, etc. font donc de fait du Burkina, un pays en guerre pour la survie selon toi. Dès lors, l’apport d’un pays frère comme la Côte d’Ivoire est-il à balayer du revers de la main ?

6). Je ne défends aucunement, contrairement à tes prétentions précipitées, la thèse d’une nécessaire présidence à vie du Président Blaise Compaoré à la tête du Faso. Je ne renierai jamais mon engagement pour le droit démocratique des peuples d’obtenir l’alternance à la tête de leurs Etats. Nulle part, je n’ai dit ni écrit que le Président Blaise Compaoré doit s’éterniser de jure ou de facto au pouvoir. Je ne suis donc pas en contradiction avec mon engagement pour la démocratie à travers le monde, et notamment dans mon Cameroun natal.

Qui plus est, et malgré ta manipulation hasardeuse du phénomène de l’abstention, le Président Compaoré a été régulièrement élu par les Burkinabè depuis les années 90, et son pays bénéficie d’un système électoral fiable et d’une reconnaissance remarquable des franchises de l’opposition, que l’on ne trouve pas au Cameroun. Réfléchir en pédagogue, c’est aussi ne pas comparer les incomparables. Sais-tu combien de réunions, de marches, de manifestations de l’opposition sont violemment et quotidiennement brimées au Cameroun ? Tu ne risquerais pas la confusion hasardeuse des deux pays sur le plan des libertés démocratiques, tellement le hiatus est criant.

Mais venons-en à ma position sur la crise actuelle au Burkina Faso. Je dis que le président Compaoré n’a aucune clause constitutionnelle lui interdisant de demander la modification référendaire de l’article 37 par le peuple burkinabè. N’est-ce pas un fait ? Je dis aussi que l’installation du Sénat a été actée à l’Assemblée Nationale en 2012 et que la constitution autorisant le pouvoir à le mettre en œuvre, aucun chantage de l’opposition républicaine sur ces deux points n’est légal ou légitime. N’est-ce pas un fait ? Je dis aussi que la peur du référendum par l’opposition est le signe qu’elle a peur du peuple. Car la clause de limitation de mandats n’est en soi ni démocratique, ni antidémocratique. Le seul verrou valable, dans le cas du Burkina Faso actuel, serait de veiller à la transparence exemplaire de tous les scrutins. C’est une hypothèse rationnelle et pragmatique, quand on connaît de l’intérieur comme moi, les forces réellement en présence au Faso.

J’ajoute enfin qu’au regard de l’environnement géostratégique friable du Burkina, toute alternance politique qui se traduirait par le dressage d’une partie des burkinabè contre l’autre serait catastrophique pour ce pays lui-même et pour toute notre sous-région ouest-africaine. Et quand tu suggères que le régime Sankara, qui exécuta publiquement sept de ses contestataires militaires le 11 juin 1984, est la seule fierté des burkinabè, ce régime qui licencia abusivement des milliers d’enseignants et embastilla bien des libertés, je m’inquiète de la forte sélectivité de ta mémoire. La sagesse politique commande toutefois aujourd’hui de prendre en parfaite considération les préventions qui peuvent être celles du Président Compaoré et les demandes de garanties de l’opposition, afin de réaliser l’alternance burkinabè dans le cadre d’une transition souple, consensuelle et bénéfique à l’intérêt général bien compris.

Cher David Sawadogo, assez de cette réponse. Je ne reviendrai pas sur tes péremptions superfétatoires sur l’histoire récente de Côte d’Ivoire. J’ai commis des ouvrages sur le sujet, qui se défendent d’eux-mêmes. Maintenant, trêve de digressions. Avec tes pareils, assumez le Burkina de votre choix. Vous rencontrerez nécessairement, sur le chemin de cette assomption, l’épreuve de feu du vrai, qui ne badine pas avec l’inconséquence.
Salutations cordiales et fraternelles.

Franklin Nyamsi
Professeur Agrégé de Philosophie.
Paris, ce 10 février 2014.

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Vos commentaires

  • Le 11 février 2014 à 12:56 En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    S’il vous plait M. Sawadogo, ne lui répondez pas. Il ne sait faire que ça. Vomir des insultes. Ne vous abaisser pas à son rang.

  • Le 11 février 2014 à 12:59, par aligator En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    SVP, le faso.net à force de nous rabacher les oreilles avec les écrits de ce type, moi je vais vous mettre sur mon black-list. C’est clair ?

  • Le 11 février 2014 à 13:01, par BIYA En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    il vaut mieux se taire et donner l’air d’être idiot que de parler (ou écrire) et d’en donner la preuve. Minable Franklin

  • Le 11 février 2014 à 13:11, par toukatanever En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Tu n’as pas a prendre de position sur notre crise ,courtisan de palais.
    tu es chèrement payés pour ces inondations d’écrits sur mon pays.en te lisant je revois Calixe Beyala ( ton compatriote ) sur la crise Ivoirienne.
    De grâce vous faites Honte A l’Afrique

  • Le 11 février 2014 à 13:20, par bgê En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Il faut avoir l’honnêteté de reconnaitre que ce monsieur mérite bien son titre. Même si on n’aime pas le lièvre il faut reconnaitre qu’il court vite. Mes respects professeur !!!

  • Le 11 février 2014 à 13:22 En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Chers forumistes. J’ai voulu etre l’un des premiers a intervenir pour vous demander de ne pas repondre au coup de pied de l’ane par un coup de pied. En repondant a Fucken Nyamsi, nous lui accordons une valeur qu’il ne merite pas du tout. Apprenons pour une fois a repondre l’imb... par le silence. S’il ya un organe que je ne comprend pas dans toute cette histoire, c’est bien notre tres cher lefaso.net qui est pret a publier les conneries de cet individu tout en ne se genant pas de censurer d’honnetes citoyens (meme quand leurs commentaires n’ont rien de diffamatoire) qui ne cherchent qu’a donner leurs opinions sur un sujet qui les touche directement.

  • Le 11 février 2014 à 13:25, par toega En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Bon revoilà le monstre, apparemment nous allons devoir mettre un peu de xénophobie dans notre débat. Faut balayer d’abord devant ta porte, regardez autour de chez vous c’est à dire, en Afrique centrale, il ya t-il là bas un seul pays démocratique ? Comparé à l’afrique de l’ouest, il n’ya pas photo, donc nous, notre pays, notre jeunesse,notre peuple tout court, voulons ressembler aux autres autour de nous,alternance pour alternance point barre. Vos débats philosophiques,vous pourriez les organiser dans les amphis.

  • Le 11 février 2014 à 13:34, par SOPHISTE En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Je suis de ceux qui pensent qu’il ne fallait pas répondre aux insultes et à l’arrogance de ce type, car c’est lui donner encore l’occasion d’insulter les mêmes personnes. Nyamsi, le vrai qui te fera face c’est celui qui te viendra du peuple burkinabè, que ni tes arguments, ni ton agrégation ne pourront vaincre : pourquoi fais-tu autant de cas de cette agrégation que des normaliens et chercheurs en France ont l’intelligence et la modestie de brandir. Les milieux sérieux de philosophie en France ne te connaissent pas !!!

  • Le 11 février 2014 à 14:05, par dialli En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    svp Monsieur franklin epargner nous de vos commentaires abjectes.si vous nous aimer dites à COMPAORE que toute chose a une fin dans la vie et la fin c’est en 2015.Monsieur franklin si vous etes pour la vérité dites à compaoré de partir.d’emblée vos analyses sur la crise ivoirienne étaient à mon sens digne d’un grand penseur comme vous mais la vous me decevez.ji’en viens mème à douter de vos connaissances.

  • Le 11 février 2014 à 15:02, par Noufou En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    FRANKLIN, le philosophe, vous n’avez pas l’esprit de la mesure dans vos écrits. Au moins, j’ai pu terminer votre écrit pour vous suivre dans votre raisonnement. En vous lisant, j’ai compris que vous ne connaissez pas le peuple burkinabé. Mais le président BLAISE COMPAORE lui, le connait très bien. C’est pourquoi il a fait vingt-sept ans au pouvoir.Il sait aussi très bien qu’il est au soir de son règne au Burkina.Ce n’est pas à vous de tracer l’histoire du Burkina pour les burkinabé.Au Burkina, nous avons des intellectuel, jeune comme vieux.Vous n’arriverez pas à le détruire.On a suivi dans les camerounaises comment la plupart de tes compatriotes se sont comportés. Où est GBAGO LAURENT de nos jours ? Le peuple burkinabé triomphera sans doute sans votre aide. Rappelez-vous de l’assassinat de Norbert ZONGO. La liberté d’expression est parti de là, de manifester. Pour le moment vous n’avez pas grande chose à apprendre aux burkinabés. Pas grande chose !

  • Le 11 février 2014 à 15:31, par ab En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    quand c’est la vérité on trouve que c’est des injures. chapeaux à toi mon frère pour l’analyse pertinente.

  • Le 11 février 2014 à 16:08 En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Moi je suis un professeur de conference en philosophie dans une universite americaine, mais j’ ; avoue ne pas reussir a lire ce monsieur exuberant jusqu’ au bout. A- t- on besoin d’ etre si excessif pour poruver ce que l’ on tente si viogoureusement de prouver ? Attention a la verite. Quand on la saisi a plein le corps, elle n’est plus la verite, mais ,ma verite.

  • Le 11 février 2014 à 16:10 En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Ecoutez, si Blaise se retire fin 2015, il n’y a pas de crise dans ce pays ni de risques de déstabiliser la sous région. Par contre, s’il veut jouer les prolongations, nous aurons inévitablement crise dont on ne sait ce qu’elle peut donner y compris déstabilisation de la sous région. Ne pas l’admettre, c’est jouer à la roulette russe l’avenir des 17 millions d’habitants avec 6 balles dans le barillet qui peut en contenir que 6. Alors, tu pourrais garder tes conseils de modification de l’article 37 pour ton Cameroun et nous en faire l’économie. On n’a pas besoin de dinosaures en Afrique qui font plus de 2 décennies au pouvoir et, après eux, c’est le déluge.

  • Le 11 février 2014 à 16:19 En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    ce n’est ni un concours de philo ni celui de l’art d’écrire ou de parler français. c’est une question de "morale en politique" et c’est ce que notre ami camerounais devrait savoir. on en a marre de blaise compaoré. franchement je ne veut plus me réveiller après les élections de 2015 et trouver blasco au pouvoir. nous ne voulons pas de rallonge pour lui non plus. apparemment paul Biya a abruti l’intellectuel que tu est a force de s’éterniser au pouvoir.

  • Le 11 février 2014 à 16:24, par Weogo Le Va-Nu-Pieds En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    M Nyamsi, "tout ce qui se conçoit bien s’énonce clairement....." et j’ajouterai succinctement. Déformation intellectuelle de philosophe certes, mais efforcez-vous d’être bref. Et de grâce, en Afrique, il y a encore un nombre important de non instruits comme moi. Evitez les grands mots s’il vous plaît, si vous voulez vous faire comprendre par un grand nombre, si là est votre objectif. Pour le reste, j’ai du mal à vous croire sincère.
    Chiche ! Voici un sujet de philo pour vos étudiants (je n’oserai vous l’adresser, vue la façon dont vous avez rabroué M. David Sawadogo) : "Tout ce qui n’est pas interdit est autorisé". Thèse, antithèse, synthèse, une page maximum.
    Merci

  • Le 11 février 2014 à 16:26, par LAURE En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    ce gars, meme si aujourd’hui il se defoule pour defendre son honneur et son titre, est un savant. il merite une attention particuliere. mes respects, philosophe !!!

  • Le 11 février 2014 à 16:27, par le bon citoyen En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Bonsoir,
    Même quand tu ne veux pas parler, il y a des gens qui te poussent à le faire.
    Mr, je ne puisse comprendre qu’un professeur agrégé soit si agressif et dise autant de bassesses. Tu sais nous les burkinabès, on se respectent voilà pourquoi quelque soit la situation on en arrive à trouver la solution.
    Alors si tes capacités intellectuelles n’ont pas pu servir le Cameroun qui t’a vu naître et qui a assuré ton enseignement de base, c’est pas les problèmes du burkina que tu résoudras. Alors s’il te plait, on a réellement pas besoin de tes conseilles.
    Si tu es vraiment intellectuel, tu dois admettre que des gens sont libre de détester Guillaume SORO autant que tu l’admires.
    Tu faits simplement honte.

  • Le 11 février 2014 à 16:49, par foulosophe En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    C’es un vrai imposteur : Il signe "Professeur Agrégé de Philosophie". il est capable de dire dans quelle université il est professeur. En philosophie, il ne s’agit que d’agrégation de lycée. La qualification qu’il évoque dans son CV ne fait de lui qu’un maître de conférence, et non pas un Professeur des universités. Le système français est différent du Cames.
    Qu’il veuille bien nous dire en français simple dans quelle université il est professeur.

  • Le 11 février 2014 à 17:06, par Burkinbi En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Bonjour,
    J’ai hésité à répondre car comme le disent beaucoup d’entre nous il vaut mieux répondre l’imbécile par le silence.
    Je demande solennellement au Faso.net de ne plus diffuser ces âneries de ce Monsieur.
    "Le régime SANKARA a tué 7 personnes, licencié des enseignants et embastillé les libertés". Combien le régime COMPAORE a tué et continue de tuer ? Combien ce régime a licencié et combien ce régime à embastillé et continue d’embastillé ?
    Il faut être honnête, tu es payé pour déverser ta haine sur le Faso mais nous ne te laisserons pas faire.

    Nan lara, an Sara.

    • Le 11 février 2014 à 19:38, par pensée unique = pensée inique En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

      L’histoire de la philosophie,la philosophie et les penseurs que j’ai étudiés durant toute ma carrière universitaire sont plus nobles que ce que j’observe avec ce monsieur qui se dit philosophe et qui, foncièrement, est contre toute contradiction ! cela est un désaveux de l’essence même de la philosophie ! si être philosophe c’est descendre aussi bas, alors Monsieur Frankin, vous n’êtes qu’un gros porc perdu dans les océans boueux de la pensée unique ! Laissez les autres penser et ne pas se conformer à votre pensée unique de fou caché derrière vos intérêts de griot mal inspiré !

    • Le 11 février 2014 à 22:40, par ologbana En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

      Tous mes respects Mr Nyamsi ! Depuis un certain un temps, je me suis permis de te lire dans ta participation au débat politique au Burkina. En panafricain rassuré, je me suis convaincu de ta légitimité à partager ta réflexion. Très tôt j’ai senti les vomissures et l’irrespect que tu voues au peuple burkinabè. Que l’on te pardonne, car je ne te suivrai point dans tes errements et circonvolutions d’encéphalite ! Tu as poussé l’outrecuidance un tantinet "prostitutive", à trop exagérer dans une bagarre qui ne te concerne que peu et indigne d’un africain (fut-il enseignant de philosophie). Au delà des arguties précambriennes que tu débites pour satisfaire je ne sais quel altruisme mieux que les burkinabè eux-mêmes, je voudrais t’inviter à faire sans complaisance aux peuples camerounais et burkinabè, le parallèle qu’avec ta qualité d’homme de FOI, d’agrégé de philosophie et de défenseur de peuple en paix qui l’ignore », tu fais entre les présidents BIYA et COMPAORE. Pour parler comme ton compatriote le président Mbaola (fils de l’autre), garde tes diatribes pour tes concitoyens et sache que pour ce qui est de notre lutte, elle aboutira. Nul tyran n’a vaincu son peuple. La marche triomphante de notre peuple épris d’alternance et d’alternatives est victorieuse.

  • Le 11 février 2014 à 17:09, par RV En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Que de débats d’idées. A chacun ses opinions et ses fantasmes. Vivement 2015 !

  • Le 11 février 2014 à 17:31, par Franklin 2 En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Nyamsi, tu ne fais que encourager Blaise Compaoré à ajouter de la terre à la terre et devancer ses amis, SORO Guillaume et Alassane OUATTARA, à la CPI. Il serait regrettable de poursuivre dans ce sens.

  • Le 11 février 2014 à 18:15, par zimbiiga issoufou En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Professeur Franklin Nyamsi, le Burkina Faso vous sera éternellement reconnaissant de la leçon de logique donnée à l’esprit trop lourd de ce M. Sawadogo. Quand Saran insultait le président Soro, ou était Sawadogo ? Quand Traoré accusait le président Soro de crime anti-burkinabè imaginaires, où était Sawadogo ? Bon travail de conscientisation, Professeur. Je constate que vous focalisez merveilleusement le débat et que vous frappez durement l’ignorance grâce à votre dialectique de grand torpilleur des esprits délirants. CONTINUEZ, PROF. LE BURKINA PROFOND EST AVEC VOUS ! NOUS, ON ATTEND SEULEMENT LE REFERENDUM !

  • Le 11 février 2014 à 19:45, par escone En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Si les intellectuels comme vous, Monsieur franklin, mettaient tout ce talent à proposer des solutions au développement de l’Afrique et du monde, on serait mieux loti que ces insultes. J’imagine qu’avec les expressions utilisées, vous vous marriez en écrivant. Quelle bassesse Monsieur l’Agrégé ! Vous n’atteignez pas à la cheville ceux que vous avez décrits : "l’ivrogne" et la dame de "furie"

  • Le 11 février 2014 à 20:03 En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    J’invite le Prof à lire cette confidence que le père de SANKARA a fait à un journaliste :"Mais je me rappelle qu’il est venu par deux fois et a demandé à me parler à huis clos. La première fois c’était en 1984, un an seulement après leur prise du pouvoir. Cette année-là, il y avait eu une tentative de coup d’Etat qui a valu l’exécution physique de sept personnes accusées, si je me rappelle bien du nombre. C’est après l’exécution de ces personnes qu’il est venu me voir. Quand nous nous sommes assis à deux, il m’a demandé si j’ai appris qu’ils ont tué des gens pour tentative de coup d’Etat. J’ai répondu par l’affirmative. Il m’a dit que c’est de ça qu’il voulait me parler. Il m’a dit qu’il ne comprenait rien dans cette affaire ; qu’on lui a dit qu’ils ont tenté de renverser le régime mais lui il ne croit pas en cette histoire. Thomas a failli pleurer ce jour-là quand il me parlait.

    Il m’a dit qu’il ne voulait pas qu’un jour ses parents aient des problèmes quand il ne sera plus président parce que quand il l’était il a tué les parents des gens. Que c’est pourquoi il voulait que je sache que ce n’est pas lui qui a ordonné l’exécution de ces gens. Il m’a dit qu’il n’arrivait pas à dormir avec cette affaire, même s’il allait dans le même sens que ses camarades. Je lui ai dit que j’avais bien compris et qu’il devait assumer. Comme c’était lui le président, il fallait qu’il accepte que c’était lui. Je lui ai conseillé de ne plus le dire à quelqu’un d’autre et qu’il devait continuer d’aller dans le même sens que ses camarades d’armes.

    Je l’ai rassuré que si demain j’avais des ennuis avec les parents de ces personnes exécutées, je ne ferais que demander pardon. Et si je ne suis pas compris, je ne peux pas dire aussi que mon fils n’a rien fait contre leurs parents. Je ne ferai que continuer à demander pardon. C’est ce jour-là que j’ai profité lui donner quelques conseils pour remonter son moral." Quand ce régime sera toujours au pouvoir, on ne saura pas la vérité sur la période de SANKARA. Qui a signé la note de licenciement des enseignants ? SANKARA était le président mais il y avait des gens qui avaient de grands pouvoirs dans ce comité qui dirigeait le pays en ce moment. SANKARA FUT UN HERO, IL EST UN HERO ET RESTERA UN HERO NON PAS POUR LE BURKINA FASO SEULEMENT MAIS POUR TOUTE LA JEUNESSE AFRICAINE ET CA TU LE SAIS BIEN PROF.

  • Le 11 février 2014 à 21:03, par Weogo le Va-Nu-Pieds En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    M Nyamsi, "tout ce qui se conçoit bien s’énonce clairement....." et j’ajouterai succinctement. Déformation intellectuelle de philosophe certes, mais efforcez-vous d’être bref. Et de grâce, en Afrique, il y a encore un nombre important de non instruits comme moi. Evitez les grands mots s’il vous plaît, si vous voulez vous faire comprendre par un grand nombre, si là est votre objectif. Pour le reste, j’ai du mal à vous croire sincère. Chiche ! Voici un sujet de philo pour vos étudiants (je n’oserai vous l’adresser, vue la façon dont vous avez rabroué M. David Sawadogo) : "Tout ce qui n’est pas interdit est autorisé". Thèse, antithèse, synthèse, une page maximum.
    Merci

  • Le 11 février 2014 à 21:17, par BAbelt En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Réussir, quelque part en France, à une agrégation à laquelle d’autres ont échoué ne fait pas de toi un héros panafricain mon cher Franklin ! La preuve voici que ton agrégation en poche tu sillonnes comme un rat rapace les couloirs des présidences africaines pour quelles raisons Dieu seul sait ! L’agrégation et un français rébarbatif ne font pas l’intellectuel, le digne, l’intègre, l’honnorable, le panafricain ! Tu en es un exemple haïssable ! Je regrette !C’est le peuple qui organise la vraie agrégation ! D’ailleurs si un individu comme toi compose à l’agrégation du peuple il échouera lamentablement car tu courtises à coup de courbettes et de poésies complaisantes les bourgeois et les puissants du moment ! Ce nommé Franklin Niamsy a fièrement publié sur sa page facebook une photo récente datant seulement de quelques semaines en compagnie du très contesté Blaise Compaoré. Si nous avions su qu’il était à Ouaga nous nous serions organisés pour huer ce goguenard poilu né après la honte ! Si le ridicule tuait !

  • Le 12 février 2014 à 00:00 En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Monsieur Franklin, je vous respecte beaucoup. J’aime également son excellence M. Soro et je vous demande d’ailleurs de laisser tranquille car la jeunesse Burkinabè le respecte beaucoup.
    Je vous dis gentillement que vous ne connaissez pas la réalité du Burkiba. Le Président du Faso que j’ai toujours apporté mon soutien lors des election sait qu’il est la seule personne qui peut resoudre la crise qui se trame.
    Je ne suis pas un juriste, mais 28 ans au pouvoir au BF, c’est trop chez nous. Je ne peut pas soutenir quelqu’un dans cette logique du moment que nous avons le moaga Naaba assis, remettez le, son pouvoir que le blanc a volé à son temps et on n’en parle. C"est avec le pouvoir traditionnel que moi, mossi, je peux vous comprendre dans mon éducation. Tous ce qui savant parler, utiliser le verbe, les textes et lois, s’ils veulent le bonheur des Burkinabès, dites à Blaise Compaore, son excellence le Président du Faso, de partir en 2015, sinon, il va créer un précedent que le peuple ne pourra pas règler un jour. Moi, je ne suis pas contre lui, mais le bon sens veut qu’il parte en 2015. Cordialement M. Franklin

  • Le 12 février 2014 à 00:59, par A Bas les ennemis de la Nation En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Il ne faut surtout pas confondre un diplomé et un un intellectuel donc laissons l’âne sans reponse. Je demeure convaincu qu’on le paye pour ça c’est le fort de Blaise Compaore

  • Le 12 février 2014 à 04:18, par Tien Tigui En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Voici ce que rapporte ’’Jeune Afrique’’ a propos d’un autre chasseur de primes : ’’Le sénateur socialiste français Jeanny Lorgeoux a été reçu en audience par Blaise Compaoré, le 3 février. L’Élysée soutient ne pas avoir été informé de son voyage, qui aurait eu lieu à titre personnel.
    Ni l’Élysée ni le Sénat n’étaient informés du séjour à Ouagadougou du sénateur socialiste Jeanny Lorgeoux, qui, le 3 février, a apporté un soutien ostensible à Blaise Compaoré. On sait que le projet du président burkinabè de modifier l’article 37 de la Constitution limitant le nombre des mandats présidentiels suscite actuellement la colère de l’opposition… Les médias officiels burkinabè présentent le sénateur comme un conseiller de François Hollande. L’Élysée soutient qu’il n’a jamais occupé cette fonction et n’a pas rencontré le président de la République depuis longtemps. Un de ses collègues sénateurs croit savoir que Lorgeoux aurait pris prétexte de la présentation d’un rapport intitulé « L’Afrique est notre avenir », corédigé avec Jean-Marie Bockel, pour se rendre à Ouaga et faire « des affaires personnelles ». Lorgeoux, qui travailla jadis avec feu Guy Penne à la cellule africaine de l’Élysée, connaît Compaoré depuis 1985’’. Sans commentaire ......

  • Le 12 février 2014 à 07:36, par Lawakilia En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Je dis bravo à M David SAWADOGO pour son écrit qui a dérouté complètement Franklin. Il n’a plus d’argument hahaha. Même quand il s’explique, il contribue à donner raison à David. Ainsi, David a tué Franklin avec ses arguments. David, félicitations ! J’ai lu aussi la belle réaction de M. NKE. Merci, vous êtes tous des panafricains. Continuez ainsi !!!

  • Le 12 février 2014 à 07:37, par omar B. En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Mr Nyamsi, il aurait ete plus patriote voire panafricain de votre part de rentrer enseigner la philosophie au Cameroun ou dans un autre pays Africain-souvenez vous le Pr Joseph Ki Zerbo allant enseigner en Guinee par patriotisme- plutot que de rester dans les Macdo et Kfc de Paris pour louer Soro et Blaise et vous faire beaucoup d’argent sale. Parler parler et encore parler voila tout ce que tu sais faire.tu me fais vraiment rire avec ton titre nul de Pr agrégé sans ajouter des lycées... arrêtes de te prostituer tu fais honte à l’Afrique. Les griots contemporains de ton espèce font honte à l’Afrique.Paul Biya au pouvoir depuis 1982 ou 1984(selon qu’on compte ses années de toute puissance auprès d’Amadou Ahidjo ou non), si tu trouves cela juste eh bien 26 ans au pouvoir pour Blaise nous on trouve cela antidemocratique.

  • Le 12 février 2014 à 07:42, par kankelentigi En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    @ internautes de faso.net,ce Mr soit disant Professeur agrégé tapi dans un exil doré, qui se cache derrière un gros titre pour intimider pauvres lecteurs que nous sommes. ce professeur manque d’éthique criard quand on sait qu’il est capable de mettre sur la place publique des échanges effectués dans le privé. je parle la de cet article Cameroun,Quand Calixte Beyala dérape contre Franklin Nyamsi : Les politesses d’une obsédée du viol : : CAMEROON

    Ouvrer les yeux cher frère ses analyse ne sont jamais à favoriser un climat de paix dans nos pays. Il est opposant et pourquoi il ne peut faire le poids au cameroun si il avait de bonne analyse et idéologies. Paul Biya a fait progresser énormément le CAMEROUN et pourquoi il veut son fauteuil ?

    Pourquoi il reste en France pour vouloir se servir d’autres personnes pour la conquête du pouvoir ? Cher frère ce Mr ne mérite pas qu’on lui prête attention encore moins ses analyses et propos.

  • Le 12 février 2014 à 07:43, par Ousma En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Parler des opposants de la Revolution tués sous Thomas SANKARA en oubliant de mentionner que c est sous le regime de Blaise Compaore avec son commanditaire legendaire que Norbert Zongo et compagnons ont ete tués et reduits en cendre (chose jamais vecu au pays des hommes integres), c est indigne d un professeur. Pire encore, la justice classe le dossier. A cela s ajoute le cas David Ouedraogo.
    Dieu vous voit.

    • Le 12 février 2014 à 09:25, par Sambiga En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

      Arrêtons s’il vous plaît mes frères, de commenter les messages des griots. Ce monsieur, même si il est agrégé en philosophie, il n’est pas professeur d’université. Il est enseignant dans un lycée. Malheureusement dans nos pays, le titre est un moyen pour se montrer, il usurpe ce titre pour valider ses vomissures.

    • Le 12 février 2014 à 09:32 En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

      Demander d’abord à notre assemblée Nationale(par bulletin de vote secret) s’il faut un referendum ou pas ?Si ça passe on va au referendum.Mr Franklin qui parle de voie referendaire et dit qu’il connait le Burkina !!!le Burkina n’est pas seulement les hommes politiques qui cherchent leurs interèts !!!il ya le Burkina et il ya au Burkina et je te demande d’aller au Burkina profond et fais le tour dans les villages et tu verras qu’au lieu d’investir à cout de centaines de millions pour un referendum et permettre à un citoyen egal à tous les autres citoyens il est preferable de le faire pour d’autres qui se trouvent dans des situations beaucoup plus deplorables.Moi je demande à mon President de prendre une decision sage et profitable à tout le monde qui n’est rien d’autre que donner le pouvoir à un autre citoyen et rester à jamais le mediateur le plus exemplaire.

    • Le 12 février 2014 à 10:27, par Ibrahim Hema En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

      Si le prénom pouvait être prémonitoire ? S’appeler Franklin ne fait pas de vous un grand. Je suis sur que vos parents, en vous donnant le prénom Franklin ont souhaité que vous soyez aussi grand que le grand Franklin Roosevelt ou peut-être comme Franklin MOUKAKA. 3 fois hélas comme on le disait dans la Rome et la Grèce Antique
      Moi je ne suis agrégé de rien et je ne suis enseignant de rien encore moins chercheur. Mais, je me rappelle d’une chose que mes parents et mon brave instituteur de l’école de mon village m’ont toujours dit : "dans une discussion celui qui parle très fort n’a presque jamais raison". En plus ils m’ont dit que l’on peut discuter avec des gens qui ne partagent pas notre avis sans les insulter. Par la suite, quand je suis arrivé au lycée et très péniblement à l’université (elle est moins prestigieuse que celle de Rouen ou de Poitiers) j’ai appris que l’on peut parler, contredire voir même mentir avec beaucoup de finesse et ma manière qu’un "grand" intellectuel et "gentleman" comme vous devriez savoir.
      Franklin, en tant que cadet ayant décidé de rester sur le continent qui m’a vu naître pour me battre au quotidien auprès de ceux qui ont eu moins de chance que moi et qui sont tellement courageux et braves, au regard des sages enseignements de Boubou Hama, Nazi Boni, Hampaté Ba, je vous demande avec beaucoup d’humilité de faire tien ce proverbe arabo-berbère qui dit : "avant de lancer la flèche de la "vérité", tremper la sans du miel". Vous comprendrez certainement pourquoi j’ai mis vérité en griffe. Mais pour éviter tout équivoque, ne croyez surtout pas que je pense que vous dites vrai ou que vous avez raison. La vérité étant toujours noire ou blanche mais quelque fois grise. Pardon pour avoir été si long

  • Le 12 février 2014 à 08:27, par sergy En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Sacrilège.Ne parle plus jamais de Sankara sous ce ton.Après la mort de Sankara les tueries ont continué de plus belle.Il n’etait donc pas l’ordonateur de ces tueries.je ne suis pas philosophe mais ça saute aux yeux si l’on est de bonne foi.

  • Le 12 février 2014 à 10:26, par sogoda En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Sous le couvert de l’universalité on connait mieux les autres que soi-même. La Côte d’Ivoire, le Burkina Faso sont maîtrisés de A à Z mais pas le Cameroun qui n’a aucune idée de la démocratie. 2 dictateurs sur en 50 ans. "Quant à Madame Séré, - une ancienne du CDP comme M. Traoré - qui nous pompe l’air avec ses « hey » complètement vides de sens comme ses menaces insurrectionnelles à peine voilées, comment ne pas lui renvoyer son accusation de folie entre les dents ?" de grâce M. TRAORE n’a jamais été CDP. suis non-agrégé ce qui me préserve de mentir éhontément.

  • Le 12 février 2014 à 10:39, par sogoda En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    "Et quand tu suggères que le régime Sankara, qui exécuta publiquement sept de ses contestataires militaires le 11 juin 1984, est la seule fierté des burkinabè, ce régime qui licencia abusivement des milliers d’enseignants et embastilla bien des libertés, je m’inquiète de la forte sélectivité de ta mémoire". Bravo pour ta mémoire mais rappelle toi que le N0 2 officiel mais n0 1 réel c-à-d Blaise Compaoré, est le 1er responsable de ces erreurs. Monsieur l’agrégé mendiant larmoyant.

  • Le 12 février 2014 à 10:59, par TJIO BI En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    il n’est pas interdit à un intellectuel d’avoir une position politique mais ce qui est marrant, c’est qu’une personne se disant intellectuel si ce n’est un pseudo intellectuel s’abaisse jusqu’à ce point pour defendre ce qui est indefendable, j’ai honte à sa place.
    La France d’où il reside, quel President à fait 30 ans au pouvoir ?

  • Le 12 février 2014 à 11:55, par kanré En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Mon frère,on dit si tu aimes ton continent comme tu le prétend,viens enseigner en Afrique et puis on pourra discuter. Dans le cas contraire,tu n’as rien à nous apprendre.

  • Le 12 février 2014 à 15:54, par LEDUC DE TOMA En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Je pense que les intellectuels nous utilisent pour se faire une guerre qui a commencé depuis l’hexagone. Aussi, il faudra que ces messieurs apprennent à mieux se tenir dans la langue de molière plutôt que de nous r affaler une suite inutile de mots à n’en pas finir d’injures... C’est ainsi qu’on vous a appris la politique des phrases ? Laisser le peuple établir doucement son règne car il ne fait pas la politique mais elle décide de lui...

  • Le 12 février 2014 à 16:32, par zkarre En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Cher Frère,

    Je ne vous connais que depuis peu à travers vos écrits d’une rare complexité pour le citoyen lamda comme moi.
    Il en est d’ailleurs de même pour vos interlocuteurs directs. Ceux qui ont osé se frotter à vous par leurs écrits. Ils ne m’inspire également aucun sentiment particulier. Ils sont pour moi des parfaits inconnus.

    Je sais aussi, qu’une personne aussi instruite et bien dans sa peau comme vous peut ne pas voir ma réflexion parmi tant de commentaires. Après tout, pourquoi ne pas vous adresser une lettre ouverte ?

    La vérité est que j’ai peur de vous. J’aurais souhaité vous mettre à votre place par la force de l’argumentation en démontant une à une votre argumentation.

    Je refuse de m’exposer de la sorte. Je refuse de vous voir m’injurier, me manquer de respect, me honnir... Je refuse de vous affronter pour toutes ces raisons. Nous ne sommes pas au même piédestal. Vous êtes l’agrégé, le montre des lettres, de la philosophie, un pur talent et moi le petit informaticien, adepte du monde binaire.

    Oooooooooooooooh mille excuses. je suis à court d’idées.

  • Le 12 février 2014 à 23:16 En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    " Loin d’être le gourou que tu veux décrire, c’est un africain lucide, courageux et déterminé dans l’effectuation des actes d’avant-garde de notre histoire commune."

    Mais tu vois c omment la prostitution est difficler ? Tu souffrers trop, djo ! L’ effectuation... Gninrimporte quoi. Si tu parles pas comme ca on va pas dire que tu as fait l’ ecole ? Va donner ton cul a Guillaume s’ il en veut, tas de pedes que tu es.

  • Le 12 février 2014 à 23:35 En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    "Maintenant, trêve de digressions. Avec tes pareils, assumez le Burkina de votre choix. Vous rencontrerez nécessairement, sur le chemin de cette assomption, l’épreuve de feu du vrai, qui ne badine pas avec l’inconséquence. Salutations cordiales et fraternelles"

    Nous avons toujours assumer le Burkina de notre joie. Nous ne demandons qu’ une seule chose : Que des prostitutues diplomes comme toi ne veniez nous melanger a cause de votre boulimie sans bornes. Burkina n’est pas Cameroun et Blaise lui- meme sait qu’ il a echoue d’ avance. Il connairt bien le Burkina. Il est ne a Ouagadougou et il sait que quand nous on dit non. c’est non. il connait ca bine bon meme.

  • Le 13 février 2014 à 08:31, par Le sur-prochain Président du Faso (2025-2035) En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Franklin, c’est regrettable,
    Le Faso.net n’est pas un espace où vous devez faire l’éloge de vos connaissance de la lange de Molière.

    Je vous suggère de résumer vos pages en 10 lignes et vous constaterez vous même le gain de temps pour vos lecteurs. Quand vous aurez fini cet exercice, vous comprendriez par la même occasion que Blaise pouvait en faire autant. Ce n’est pas éloquent de prendre toute une vie pour faire ce qui peut se faire en 2 quinquennats.

    Du reste, je vous concède la grande maîtrise de la langue Française qui est autant une élévation pour l’Afrique (rire !) tout en reconnaissant votre utilité d’être inutile.

  • Le 17 février 2014 à 11:39, par Lafontaine En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Bonjour j’ai un TÉMOIGNAGE a vous apportez : Si vous voulez faire un prêt entre particulier avec 2,5% de taux d’intérêt merci de prendre contacte avec Monsieur Malleret Jacques qui m’a effectivement octroyé un prêt de Soixante-dix mille Euro, au départ je n’y croyais pas un seul instant mais ma curiosité m’a poussé a essayé mais finalement j’ai pu obtenir ce prêt qui ma sortie de cette impasse dans laquelle je vivais. J’ai plusieurs collègues qui ont aussi reçus des prêts à son niveau sans problèmes au lieu de vous faire avoir par des individus mal intentionnés qui prennent pour travaillent à escroqué les innocents et je publie ce message parce qu’il m’a fait du bien avec ce prêt et ne vous découragés pas parce que moi je me suis fait avoir avec les femmes prêteuses du Net mais j’ai rencontré cet homme honnête et Généreux alors prenez contacte avec lui : voici son Email : (malleret_jacques@live.fr) vous êtes à la recherche de prêt pour soit relancer vos activités soit pour la réalisation d’un projet , soit pour vous acheter un appartement mais vous êtes interdit bancaire ou votre dossier à été rejeté à la banque cet homme est le seul qui vous aidera. Je vous prie de le contacter.
    Merci de faire comme moi et envoyer votre demande pour obtenir votre prêt en 48 heures au plus. MERCI DE PARTAGER CETTE INFORMATION POUR AIDER NOS FRÈRE NOS AMIS ET AUTRES

  • Le 25 février 2014 à 13:39, par Marcus En réponse à : Réponse de Franklin Nyamsi à David Sawadogo : « L’absence de méthodologie d’analyse politique est une grave carence chez un pédagogue »

    Il manque de savoir vivre et d’élégance ce professeur je ne sais quoi. On ne tutoie pas son contradicteur dans ce genre de débat. C’est le plus petit dénominateur commun aux véritbalbles hommes d’idées ! Même si vous étiez potes dans votre vie de chaque jour, à partir du moment où vous avez porté votre débat en public, les règles changes.

    Je fais ce commentaire après avoir lu à peine 10 lignes.
    Je m’en rettourne pousuivre mais vous n’avez guère mes faveurs, cher Professeur !

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