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Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

Publié le dimanche 26 janvier 2014 à 23h44min

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Situation politique nationale :  Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

Hugues Arsène Kouraogo est un jeune entrepreneur exerçant dans le domaine de la sécurité, de l’informatique et des télécoms. A travers cet écrit, il s’offusque contre la montée de la violence verbale au Burkina Faso qui selon lui peut conduire à la violence physique. Il s’adresse aux jeunes en tant que président de l’association « La Voix de l’Avenir » et affirme la nécessité de privilégier la voix du peuple et de la jeunesse à celle de la violence. Tout en expliquant dans cette analyse pourquoi il est pour le referendum sur l’article 37 et le sort du Sénat au nouveau gouvernement issu des présidentielles 2015, il se présente et partage avec nous son analyse de la situation.

Je me nomme Hugues Arsène Kouraogo et j’ai 37 ans dont une bonne moitié passée au service de mon pays en tant qu’entrepreneur privé. J’évolue dans le domaine de la sécurité et des technologies modernes avec la société Hugo Group (www.groupehugo.com) et dans le secteur de la gastronomie avec le complexe Royal Palm (www.royalpalm.bf). Natif de Koudougou dans le Boulkiemdé, c’est seulement après l’obtention du baccalauréat que je suis arrivé dans la capitale de notre patrie pour mes études universitaires. Je suis orphelin de père et de mère et je proviens d’une famille de niveau de vie moyen. Mon défunt père, Kouraogo Sibiri Narcisse Euloges fût ouvrier compressé de l’usine de textiles Faso Fani de Koudougou (devenue par la suite Faso Tex), et ma défunte mère, ménagère, Ouédraogo Bintou. Je n’ai eu d’autre choix que de me battre seul pour la réussite de mes activités commerciales pour ma survie et celle de mes frères et sœurs.

Tout allait bien pour moi avec Hugo Group, jusqu’à ce que j’ai cette folle idée de créer Royal Palm, afin de participer à la construction de ma patrie en créant encore plus d’emplois et en apportant ma contribution à l’embellissement de la ville de Ouagadougou, avec un cadre de restauration et de rencontre moderne pour la population burkinabè et les touristes. La construction de Royal Palm a été faite sur la base d’un bail emphytéotique sur un espace vert. Le projet a débutée en 2009 et à vu le jour en juin 2011. Dans mes démarches pour un changement de destination du terrain, afin de me permettre de consolider les lourds investissements réalisés et résorber ma situation financière, j’ai été victime de toutes les persécutions, ping-pongs administratifs ou chacun rejette la balle sur l’autre.

Cette situation m’a absorbé financièrement alors que pendant ce temps, d’autres espaces verts étaient déclassés au profit de certains membres du gouvernement. Je me demande donc si ma jeunesse n’est pas perçue ici comme un handicap. Il est à préciser que dans le cadre de mes activités entrepreneuriales, j’ai été amené à côtoyer certains membres du gouvernement, de l’opposition et même des démissionnaires, sans toutefois bénéficier des soutiens nécessaires. Ne voilà-t-il pas qu’aujourd’hui tous ces politiques ont besoin de nous pour conquérir ou accomplir leur vie politique ? Je suis donc en droit d’avoir des griefs à l’endroit des politiciens actuels de mon pays et j’aimerai que l’on en parle sans passion. Tout ceci pour vous dire que je ne suis pas un « Yes Man ».

Fort de mon expérience personnelle je vous invite à me rejoindre au sein de l’association « La Voix de l’Avenir » et œuvrer pour que les jeunes soient pris en compte, pour plus d’emplois et de facilité dans l’entreprenariat. Nous comptons bien faire entendre notre voix au gouvernement actuel, à qui il reste encore deux années d’exercice du pouvoir. Alors chers frères et sœurs, ne restons pas à attendre 2015 car notre réveil risque d’être très douloureux ; rien ne prouve en effet que le nouveau gouvernement ne va pas nous abandonner une fois qu’ils n’aura plus besoin de nous. La question n’est donc pas de savoir qui veut assouvir sa soif de pouvoir mais plutôt, qu’est ce que nous avons à gagner.

J’invite donc tous les jeunes burkinabè, de l’intérieur du pays, comme de la diaspora à s’unir autour d’un même objectif pour défendre leurs intérêts, car nous représentons plus de 80% de la population. Nous constituons de ce fait la principale force à même d’impulser le changement pour un Burkina nouveau si nous sommes tous unis.

Quelle place pour nous aujourd’hui et demain au Burkina Faso ?

Nous, jeunes du Burkina Faso, craignons pour notre patrie, au vu de la situation socio-politique nationale. Un environnement politique qui est devenu un serpent à trois têtes, chacune de ces têtes pouvant engloutir nos rêves de mieux être. Chers frères et sœurs, le parti au pouvoir, l’opposition, les démissionnaires constituent des entités qui ont à leur tête des gens de la même génération mais assurément pas de la nôtre. Ils se connaissent et cela depuis plusieurs décennies. Il ne nous appartient pas, nous jeunes du Burkina, de dire qui est sincère, honnête ou de les juger car nous ne les connaitrons jamais aussi bien qu’ils se connaissent les uns et les autres, pour oser pareille prise de position. Qui plus est, ils ont l’âge de nos parents et nous leur devons du respect. Je demande donc à mes frères et sœurs de faire très attention à leurs propos pour ne pas servir de bras armé à la mise à feu et à sang de notre patrie.

Je les invite plutôt à travailler pour donner à la jeunesse d’avantage accès aux financements, à l’emploi, pour améliorer les conditions d’accès aux marchés et appels d’offres, pour améliorer les conditions des étudiants, les conditions sanitaires sur le plan national... car la jeunesse est le socle de l’avenir du peuple Burkinabé.

A mes frères et sœurs, je rappelle qu’en 2015 nous serons environ 85% de la population nationale et que par conséquent, c’est à nous de décider de ce que nous voulons pour notre pays, et du rôle que nous entendons jouer.

Oui au referendum et au sénat

Nous estimons que la meilleure manière de sortir de cette situation conflictuelle, est d’organiser la consultation du peuple et partant, sa frange la plus importante, la jeunesse. Les résultats du referendum pour l’article 37 devront être acceptés par tous et ce sera un leitmotiv de notre association « La Voix de l’Avenir ». Nous demandons à tous les acteurs politiques de s’engager dans cette voie afin que les propos haineux qui sont tenus un peu partout et surtout sur internet ne nous conduisent à notre perte. J’interpelle les jeunes, mes frères et mes sœurs et toute la majorité silencieuse à se tourner vers cette voie du juste milieu et de l’équilibre car notre salut ne viendra assurément pas de qui sera à la tête de notre patrie après 2015, mais plutôt quelle politique sera conduite pour la jeunesse. Cependant, au vu du coût de la mise en place du Sénat et de son impopularité, nous préconisons que l’on sursoit à sa mise en place et que son sort dépende des élections qui auront lieu en 2015.

« La voix de l’Avenir » interpelle tous les militants de l’association, tous les jeunes burkinabè à une prise de conscience pour un mieux-être individuel et collectif. Je demande à mes frères et sœurs de cesser les propos haineux et injurieux lus çà et là sur la toile, dans la presse, lors des meetings et autres, à l’endroit de nos frères et de nos sœurs qui ne partagent pas les mêmes points de vue que nous mais aussi à l’encontre de certaines personnalités qui autrefois étaient acclamées sous nos tropiques mais sur qui l’on crie haro aujourd’hui parce qu’ils ont eu l’outrecuidance de donner leur opinion. Vous aurez compris que je parle du président de l’Assemblée Nationale Ivoirienne Guillaume Soro qui n’a fait qu’engager une médiation envers la jeunesse burkinabè.

Ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain

L’honnêteté nous commande de reconnaitre que le Président du Faso, SEM Blaise Compaoré, a apporté beaucoup au Burkina Faso et à la sous-région. Certes il existe beaucoup de raisons d’insatisfaction mais tout burkinabè est fier aujourd’hui de crier sa nationalité quand il est en voyage hors de nos frontières. Nous sommes aujourd’hui loin du temps ou l’appellation MOSSI était perçue dans certains pays voisins comme une injure. Le pays est en chantier et compte bon nombre de réalisations qui valent à notre président le surnom de PRESIDENT BATISSEUR. Le président du Faso a énormément apporté à la paix dans la sous-région et tout ceci nous garantit, nous jeunes du Burkina, une certaine stabilité nationale, élément indiscutable pour les investissements et le développement. Soulignons que l’actuel président Blaise Compaoré, est le fondateur de la démocratie burkinabè et continue de travailler à sa consolidation et sa stabilité. Nous nous devons donc, dans nos critiques et nous n’allons pas nous en priver, de reconnaitre les mérites de notre président et d’exiger qu’il fasse mieux ou que celui qui viendra fasse mieux que lui.

Les pancartes que certains d’entre nous ont tenues lors notamment de la marche du 18 janvier dernier, invectivant la fille du président, ne nous semblent donc pas appropriées. Elle est innocente et n’a rien à voir avec notre combat politique. Certains lui ont même adressé des lettres de menace. Cela est de la violence psychologique et n’est pas digne de nous. Elle n’a pas à assumer les choix ou actes politiques de ses parents.

« La Voix de l’Avenir » n’est d’aucune obédience politique mais entend se battre pour le mieux-être de la jeunesse nationale. A ce titre nous renvoyons tous les acteurs dos à dos, en exigeant un referendum sur la révision de l’article 37 pour que ceux d’entre nous qui veulent que notre actuel président se présente en 2015 puisse se prononcer librement et que ceux qui ne le veulent pas puissent également affirmer leur désir, afin que ce soit la voix du peuple qui décide. C’est par cette démarche, chers frères et sœurs, que nous pourrons alors revendiquer le manteau de la démocratie.

Pour revendiquer la démocratie nous jeunes devons privilégier la voix des urnes. Ce ne sont pas seulement les gens des villes qui doivent imposer leurs choix politiques car, toute la population burkinabè sur toute l’étendue du territoire, doit participer à la construction de cette démocratie. Tous les burkinabè demeurent égos.

Beaucoup d’entre nous ne sont pas inscrits sur le fichier électoral, donc ne possèdent pas de carte d’électeur et certains n’ont même jamais voté. La démocratie ne saurait être tributaire de la rue mais plutôt des urnes. Lors des élections passées, pour un pays de plus de 16 millions d’habitants, seulement 4 millions de personnes, dont 2 millions ayant un âge compris entre 18 et 35 ans, étaient inscrites sur le fichier électoral. « La Voix de l’Avenri », se fixe comme objectif de sensibiliser tous les jeunes sur l’ensemble du territoire national et de la diaspora à s’inscrire sur le fichier électoral pour que nous puissions peser de notre poids réel dans toutes les consultations démocratiques, à commencer par le referendum à venir. Ainsi tout dirigeant pourra jauger notre importance et en tenir compte pour des décisions qui iront en faveur de notre épanouissement et celui de notre patrie.

La voix des Urnes et non celle de la rue

La voix de la rue et de la violence conduit à des guerres civiles et nul ne saurait le souhaiter pour notre pays. L’exemple de la Côte d’Ivoire, de la Lybie, de l’Egypte, de la Centrafrique et du Mali qui ont connu des violences pour la conquête du pouvoir nous prouve que jamais cette voie n’a été la bonne. Nous sommes de nombreux jeunes aujourd’hui à revendiquer l’héritage de Nelson Mandela et à le considérer comme un modèle. Sachons que jamais il n’a cautionné la violence et c’est un exemple palpable de la démocratie. L’histoire nous apprend que quand une guerre commence, l’on ne sait jamais quand elle prend fin et les exemples sont patents. Je m’adresse à mes frères et sœurs qui semblent avoir déjà été instrumentalisés et sont prêts à en découdre. Demandez aux refugiés maliens présents au Burkina Faso, suivez l’actualité internationale et mettez vous un instant à la place de celui qui perd toute sa famille pendant un conflit, de la mère qui retrouve le corps de son enfant égorgé, de l’enfant qui pleure sur le cadavre de sa mère et vous comprendrez que nous devons tous privilégier la voix des urnes et mettre fin définitivement à la violence qui a déjà commencé par la forme verbale.

La Voix de l’Avenir et nos chantiers pour 2015

Notre association a pour vocation de promouvoir le mieux-être des jeunes du Burkina Faso à travers plusieurs axes, dans les domaines de l’aide alimentaire, de l’accès aux soins, de l’insertion socioprofessionnelle, de l’accès à la culture, de l’accès à l’éducation, à la protection de l’environnement, à l’amélioration du climat des affaires, la lutte contre la Violence, l’engagement de la citoyenneté, de la prévention et la résolution des conflits.

C’est une association non gouvernementale indépendante, à but non lucratif, régissant le droit d’association. Elle est libre et apolitique, elle s’adresse à toute la jeunesse, en particulier à ceux qui désirent s’exprimer avec respect et sans tabou sur les sujets qui touchent le Burkina mais aussi le reste du monde. L’association a également pour vocation d’accompagner le civisme, la non-violence électorale, la prévention et le règlement des conflits.

C’est une association qui vit des financements de toutes les bonnes volontés soucieuses de la consolidation de la paix sociale et du développement socio-économique de la jeunesse burkinabè (particuliers, entreprises, operateurs économiques, institutions financières et internationales, ONG et financements extérieurs).

Notre association envisage de se déployer dans les 13 régions du Burkina Faso et conquérir la diaspora des pays de la CEDEAO et les autres pays du monde.

Une Journée Vérité et Réconciliation de la jeunesse

Au regard de tout ce qui précède, notre association prépare l’organisation d’une journée de vérité et réconciliation afin de nous faire entendre, trouver des solutions pour la jeunesse et apporter notre contribution dans le quinquennat en cours : « Bâtir, ensemble, un Burkina émergeant.  »

Je me propose à cet effet d’être le Médiateur de la jeunesse avec le gouvernement et les différentes forces politiques pour une sortie de crise pacifique de la situation socio-politique nationale actuelle.

Chers amis, chers frères et sœurs jeunes du Burkina,

Nous ne saurons parler de constitution ou de démocratie, sans en être des acteurs. Je lance donc un appel fort à une sensibilisation et à une inscription de toute la jeunesse en âge de voter, sur le fichier électoral et à participer aux votes, afin de contribuer aux décisions et orientations politiques de notre pays.

Hugues Arsène KOURAOGO
Président de « La Voix de l’Avenir » et jeune entrepreneur
Chevalier de l’Ordre du Mérite du Commerce
info@lavoixdelavenir.org - Tél. 76 20 70 14

Ensemble, cultivons la paix, le civisme et le développement. Tel est notre combat !

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Vos commentaires

  • Le 27 janvier 2014 à 00:07, par lefils En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    Cher frere je pense honetement que tu es en train de sacrifier ton avenir. Avec ton experience entrepreneurial, tu devrait comprendre comment ce systeme durant son regne a travailler a piper les resultats a l’avance, que ce soit dans le monde des affaires ou le monde politique. Le peuple eveille n’est pas assez dupe pour se laisser niquer encore pour la vingtseptieme fois. L’heure a sonne. Ts les regimes aussi vieux que celui de blaise finissent toujours par entrainer leur peuple dans le KAO. La jeunesse bien eclairee doit se lever pour assurer le depart de ce regime et surtout, je dis bien surtout une alternance democratique assuree apres chaque deux mandats.

    • Le 27 janvier 2014 à 14:14, par Tiéfotiè En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

      Pas forcement deux mandats, car si au terme de ton premier mandat, tu ne remplis pas le contrat que tu as signé avec le peuple, celui-ci est loisible de te faire repartir d’où tu viens. d’où l’intérêt de laisser tourner la machine au lieu de se contenter d’une seule expérience qui stagne, aucune innovation, toujours les mêmes. Dépassons nos intérêts égoïstes et acceptons laisser la place à d’autres compétences pour faire leurs preuves

    • Le 27 janvier 2014 à 15:28, par Hugo En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

      Bonjour chers amis,
      je pense avoir été claire dans mes propos et vous invite à vous réunir pour mieux défendre les objectifs et les intérêts de la jeunesse au lieu du parler du régime en place uniquement car ces mêmes problèmes existent un peu partout dans tous les pays du monde surtout en Afrique. Quand à la constitution, voici mon point de vue : Je ne suis ni juriste, ni politologue, ni pro Compaoré mais je trouve qu’il y a des failles dans la constitution actuelle qui auraient dues être réglées depuis fort longtemps par l’opposition et des démissionnaires qui l’on eux même défendue depuis des années. Parce que même si l’article 37 stipule que le Président doit faire deux mandants, il y a l’article 164 qui dit qu’il peut faire un recours à un referendum (je vous invite donc à bien lire l’article 37, l’article 48, l’article 49 et l’article 164 de la constitution avant de me juger). Donc pour ma part, je trouve que l’opposition et les démissionnaires veulent utiliser le peuple pour faire pression sur le Président du Faso et j’invite toute la jeunesse de ne pas suivre les politiques aveuglement. En plus de quelle changement et d’alternance vous parlez ? vous parlez du même régime Compaoré décomposé ou réorganisé en fonction des intérêts de chacun qui ne se soucis pas de la la jeunesse malgré leur âge ? je pense que le changement et l’alternance doivent commencer eux d’abord. Pour conclure, je propose qu’on fasse le referendum et verrouiller définitivement l’article 37 à deux mandants sans recours quelconque pour la stabilité et la paix sociale du Burkina. Maintenant quand à la jeunesse, je propose qu’on s’organise autours de la Voix de l’Avenir avec un programme de développement claire pour mettre la pression sur le régime en place ou à venir car je pense que la jeunesse à un autre combat. Cordialement.

      • Le 27 janvier 2014 à 18:02, par ZORRO En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

        Hugo, je suis d’accord avec vous sur un point : il faut verrouiller d’avantage l’article 37 pour qu’on ne le modifie plus.

        Je suis en désaccord avec vous sur un autre point : il faut éviter un referendum pour deux principales raisons :
        1)la constitution actuelle est un pacte politique et social que le président Compaoré d’est engagé à respecter et faire respecter. il a même juré sur la bible à sa prestation de serment. Nous lui demandons tout simplement de respecter sa parole ;

        2) on connaît le niveau de nos parents au village. Si on va au referendum, on va aller distribuer des tee-shirts et des billets de banque pour orienter leurs votes.

        Ma conclusion : Pas de referendum, le président Compaoré finit son deuxième mandat et s’en va. Et puis juste après lui, on modifie la constitution pour verrouiller d’avantage l’article 37.

        • Le 27 janvier 2014 à 19:56, par Hugo En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

          Si vous acceptez les mea culpa d’autres personnes, je pense que vous devrez le faire pour tout le monde même pour le président. Quand à aller distribuer les tee shirts dans les villages, je pense que c’est de bonne guerre car ils font tous partis de la population burkinabé. Le développement et la démocratie ne pourront se faire sans eux. Je profite aussi vous informer que le Président aussi a du monde plus vous ne l’imaginez même si la majorité est silencieuse pour le moment et je pense que l’opposition peut également partager des tee shirts si par là la voie du succès. La démocratie doit pouvoir s’adapter la population et la culture de chaque pays.

      • Le 27 janvier 2014 à 18:09 En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

        M. Hugo, je ne sais pas si tu suis bien l’actualité. Si tu le suis bien, tu sauras que un référendum peut être fait, mais au préalable il faudra trancher la question suivante « Pourquoi un référendum ? » Si c’est un référendum pour une personne cela pose problème mais si c’est un référendum pour une relecture de la constitution cela ne pose pas de problème. En fait c’est là que se trouve le problème. La constitution telle que écrite, l’a été suite au sang versé de digne fils de ce pays. Alors que certains politiciens jouent francs jeu en ne trainant pas dans la boue le collège des sages et les fils de ce pays qui ont accepté ce consensus. Le problème monsieur Hugo, c’est que le référendum tant souhaité et demandé par la FEDAP/BC et le CDP est pour la cause d’une et une seule personne. Ce qui n’est pas juste. Nous ne voulons pas d’une constitution taillée sur mesure. C’est aussi simple que ça. Nous pouvons partir pour un référendum mais après 2015 et que tout reste en l’état. A la dernière élection législative et municipale, un citoyen a été pris en flagrant délit de transport d’une urne, et il a été promu à la mairie centrale précédemment il était un maire d’un arrondissement. M. Hugo nous voulons des institutions.

        • Le 27 janvier 2014 à 20:07, par Hugo En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

          Des institutions, ça se construit mais pas taillées sur mesure. Tous les pays africains sont passés par là avant de se stabiliser.En cas d’élections,chaque parti envois ses superviseurs mais si elle laisse berner, ce n’est la faute de personne car la politique est un jeux de stratégies et d’idées. La politique n’est pas la guerre. Donc arrêtons de prendre ce problème comme une question de vie ou de mort. pour la raison du referendum, je pense que les arguments du Président sont claires "Le président doit continuer sa médiation dans les crises sous régionales pour une meilleure stabilité, paix, développement socio-économique et la construction de notre pays enclavé car notre sous région est instable à cause des terroristes et des conflits.

  • Le 27 janvier 2014 à 00:45, par Tien Tigui En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    Mr Kouraogo
    Quand le dialogue est conduit dans un esprit de roublardise et que votre jeu est découvert, il faut admettre que la confiance puisse foutre le camp. C’est ce qui est advenu aux politiciens burkinabé qui en ont aussi tiré toutes les conséquences. Ce ne sont pas les propositions de mesures correctives a la malgouvernance actuelle qui ont manqué. Du collège des sages en passant par le MAEP jusqu’au CCRP, même si ce dernier n’était pas inclusif. Mais qu’a t on constaté ? Que le pouvoir veut continuer a nous rouler dans la farine par de beaux discours auquel il est le premier a ne pas croire : développement socioéconomique s’entend chez eux accaparement de nos richesses communes a des fins personnelles, familiales, claniques, etc. Pour un pays très très pauvre et endetté comme le Burkina, ne faut il pas arrêter ce désordre ? Après un quart de siècle de règne, nos princes ont montré beaucoup de choses. Ne nous bornons pas a citer uniquement ce qui a été positif et acquis certainement avec le concours des autres. Il faut également souligner ce qui nous manque, comme l’exemplarité qui doit caractériser le chef face a beaucoup d’autres aspects sans lesquels tout reste brouillé, sinon superficiel. Sans une justice a 1 vitesse, sans équité dans le traitement des demandes des acteurs et des populations, etc., pensez vous que nous progressons vraiment ?

  • Le 27 janvier 2014 à 04:50, par Vérité Justice saintété En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    Non monsieur Kouraogo vous ne pouvez plus être médiateur encore dans la mesure où vous avez déjà pris partie pour la mise en place du senat et pour la modication de l’article 37. Vous n’êtes ni neutre, ni en équilibre encore moins impartiale. Mieux vaut vous fusionné avec la FEDAP/BC car nous vous voyons venir. A vous lire de près on se rend compte très facilement que soit vous avez bénéficié du blanchiement d’argents ou simplement vous êtes un prète-nom. Puisque vous exibez vos biens immobiliers sans crainte certainement parce que ça ne vous a rien couté.Détrompez-vous car vous ne connaissez pas la jeunesse actuelle du BF. Dites à vos mentors que vous avez déjà échoué et ce dès le stade du projet.

  • Le 27 janvier 2014 à 05:02, par Powerfull En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    Quel référendum encore ? On peut pas passer tout le temps à dilapider nos ressources pour organiser des référendum. ?
    ça suffit maintenant

  • Le 27 janvier 2014 à 05:24, par baayiri neere En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    Tu ne sais meme de quoi tu parle.
    Explique d’abord:l’avenir d’une jeunesse.

  • Le 27 janvier 2014 à 05:41, par Vinseh En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    La jeunesse représente 80% de la population mais à plus ou moins 70% analphabète .
    Pourquoi même chercher à modifier la constitution ? Est elle (la constitution) la cause de tous les maux qui minent le Burkina Faso ? Les USA ont une constitution qui date plus de cent ans mais ils sont la première puissance économique .
    Soyons sérieux et ne recherchons pas des raccourcis

  • Le 27 janvier 2014 à 09:53 En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    Mon frère je pense que tu as plus défendu ton patrimoine que parler pour la jeunesse.

    • Le 27 janvier 2014 à 15:35, par Hugo En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

      Je d’accord avec toi mon frère et je pense chacun son combat. Les démissionnaires leur combat pour le pouvoir, l’opposition leur combat pour le pouvoir, le pouvoir leur combat pour y rester, la jeunesse leur combat le bien être et mon combat mon patrimoine, la paix, la stabilité et développement pour que je puisse continuer à faire des affaires car sa paix, il ya pas de développement.

  • Le 27 janvier 2014 à 10:23, par L’OTAN En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    Mon ami tu es vraiment en retard nous ne voulons pas de référendum. Notre constitution ne peut pas être modeler pour l’adapter à Blaise,c’est à lui de se conformer à la constitution. c’est parce que tu manges bien que tu parle de référendum mais c’est pas ici

  • Le 27 janvier 2014 à 10:40, par Raymond En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    Ah oui !!! j’espère sincèrement que tu parles en ton nom toi seul mais pas au nom de la jeunesse ! ns sommes désolés mais des jeunes qui ont ton age qui roulent en ix35 ne se comptent... Aucune cohérence ds ton discours je vois plutot que tu fais la pub de royal et hugo !! Ton organisation se dit apolitique et tu sembles jouer la carte de l’impartialité et à la fin tu dis "batir ensemble un Burkina émergent" tu tiens ce slogan de qui ? arrête de nous distraire Mr Hugo on sait pour qui tu parles. Revenons à ce fameux référendum dt jai jamis compris le fondement ! ce sont les élus du peuple qui ont voté l’article 37 pqw doit on encore consulter le peuple pr ledit article ? Intentions nul et non avenu. Je suis plus jeune que toi mais j’ai honte et j’espère que la jeunesse saura se reconnaitre et ne pas se laisser distraire !!!

    • Le 27 janvier 2014 à 15:39, par Hugo En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

      Bonjour chers amis,
      je pense avoir été claire dans mes propos et vous invite à vous réunir pour mieux défendre les objectifs et les intérêts de la jeunesse au lieu du parler du régime en place uniquement car ces mêmes problèmes existent un peu partout dans tous les pays du monde surtout en Afrique. Quand à la constitution, voici mon point de vue : Je ne suis ni juriste, ni politologue, ni pro Compaoré mais je trouve qu’il y a des failles dans la constitution actuelle qui auraient dues être réglées depuis fort longtemps par l’opposition et des démissionnaires qui l’on eux même défendue depuis des années. Parce que même si l’article 37 stipule que le Président doit faire deux mandants, il y a l’article 164 qui dit qu’il peut faire un recours à un referendum (je vous invite donc à bien lire l’article 37, l’article 48, l’article 49 et l’article 164 de la constitution avant de me juger). Donc pour ma part, je trouve que l’opposition et les démissionnaires veulent utiliser le peuple pour faire pression sur le Président du Faso et j’invite toute la jeunesse de ne pas suivre les politiques aveuglement. En plus de quelle changement et d’alternance vous parlez ? vous parlez du même régime Compaoré décomposé ou réorganisé en fonction des intérêts de chacun qui ne se soucis pas de la la jeunesse malgré leur âge ? je pense que le changement et l’alternance doivent commencer eux d’abord. Pour conclure, je propose qu’on fasse le referendum et verrouiller définitivement l’article 37 à deux mandants sans recours quelconque pour la stabilité et la paix sociale du Burkina. Maintenant quand à la jeunesse, je propose qu’on s’organise autours de la Voix de l’Avenir avec un programme de développement claire pour mettre la pression sur le régime en place ou à venir car je pense que la jeunesse à un autre combat. Cordialement.

      • Le 27 janvier 2014 à 16:19, par V@dor En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

        Bonsoir M. Hugo.

        La meme constitution burkinabè dit ceci, en son "Article 168
        Le peuple Burkinabè proscrit toute idée de pouvoir personnel. Il proscrit également toute oppression d’une fraction du peuple par une autre"

        A ce jour, il y’a un seul citoyen burkinabè auquel l’article 37 peut être opposé - et l’on veut modifier cet article pour contourner cela.
        Modifier toute une Consitution au profit qu’une seule et unique personne !
        Je ne me fais pas une autre idée du pouvoir personnel que celle-là...

        Bien à vous.

      • Le 28 janvier 2014 à 09:14 En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

        Si vous aimez vraiment ce peuple vous devez comprendre que les Burkinabé souffrent de pauvreté et qu’il est injustifié de dilapider les maigres ressources de ce pays pour aboutir à la conclusion de garder l’article 37. Déjà ce gouvernement nous a enfoncé dans la pauvreté en organisant des élections sénatoriales que le peuple a rejeté. Cette élection n’ a servi à rien et le président veut persister à dilapider nos ressources au lieu de mettre en oeuvre le programme pour lequel il a été élu jusqu’en 2015. Allez faire un tour dans les hôpitaux et vous comprendrez que nous avons intérêt à mettre nos ressources de côté pour l’organisation des élections présidentielles de 2015 tout en abandonnant ce fichu de référendum.

  • Le 27 janvier 2014 à 10:51, par LE JUSTE En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    C’est bien d’avoir apporté ta pierre a l’édifice. Mais honnêtement quand Blaise organisait la rencontre avec les jeunes tu étais de l’équipe représentative ?
    Sais tu que sur les 14 millions de jeunes tu fais parti des 10 seulement qui ont eu cette chance d’avoir un espace vert qui d’ailleurs est une contorsions de notre reforme agraire ? LE JUSTE

    • Le 27 janvier 2014 à 13:20 En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

      Moi à ta place je continuerai à faire mes affaires. Ce que tu dis, donc pour tous les articles de la constitution on va faire un referendum pour les appliquer " à méditer".

    • Le 27 janvier 2014 à 13:31, par burki-bila En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

      mon frère, vu ton âge, ta situation sociale de départ, et tes réalisations, je crains que tu ai eu un soutien de ce régime. sinon, les fraudes qui ont émaillé les élections de 2012 nous amène même à rejeter le referendum. et de plus, il faut éviter de gaspiller des ressources pour servir les intérêt de la minorité.

    • Le 27 janvier 2014 à 14:01, par dai En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

      Vous perdez votre temps avec ce monsieur. moi je le connais. il chercher juste un fond de roulement pour agrandir son commerce. qui est fou ? Qui ne voudrait pas être comme KADER CISSE ? donc il faut le comprendre il cherche à manger. il ne se préoccupe d’aucun autre jeune que lui même.

    • Le 27 janvier 2014 à 15:43, par Hugo En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

      Au moins, j’ai accepté investir pour mon pays, créer des emplois, participer à l’embellissement de la ville et au développement de mon pays. D’autres ont leur argent bloqués dans des comptes en Europe et les utilisent uniquement pour la belle vie. Je pense que si chacun de nous devrais faire contorsions pour faire profiter le peuple, notre pays allait encore mieux se développer.

      • Le 27 janvier 2014 à 17:01, par Raymond En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

        pardon dis nous c’est combien de personnes tu embauches même ?on te connait à Ouaga ? je doutes fort d’ailleurs que tu sois l’auteur de cet écrit... chacun a ses points de vue qu’on respecte mais toi pardon arrête de nous distraire !Tu es loin de pouvoir nous faire la morale. Ton idée à la base est noble:dépassionner le débat politique, œuvrer pour la paix et la cohésion sociale en impliquant les jeunes mais tu t’es trompé de cibles ! on verra combien de personnes vont adhérer à ta soi disante "voix de l’avenir" pcq la jeunesse burkinabé est avertie !

  • Le 27 janvier 2014 à 12:31 En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    Mon "jeune entrepreneur Chevalier de l’Ordre du Mérite du Commerce" vous parlez pour votre commerce et non pour les jeunes. Une jeunesse qui a un GPS basé sur un seul satellite. Vous n’avez connu qu’un seul président et il vous est impossible de faire des comparaisons. Vos aînés qui vous parlent ont connu tous les présidents du Burkina et sont toujours en vie. Vous avez les statistiques des jeunes entrepreneurs ??? Sachez que vous êtes parmi les plus chanceux (miraculés)...

  • Le 27 janvier 2014 à 13:32 En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    Que ceux qui ont eu affaire, ex-employés ou travailleurs indépendants nous racontent les manières de faire de ce business-man. Clairement, ce monsieur est un bon exemple pour la jeunesse de notre pays, à n’en point douter. Bien évidemment, un changement de régime politique n’irait pas dans le bon sens de ses affaires (et du clan), alors il plaide le calme, la retenue, la sérénité et la mise en place d’un référendum (qu’il sait gagné d’avance) et profite faire sa pub en passant.

  • Le 27 janvier 2014 à 14:03, par Pa Begh Wende En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    En fait, quand on lit les personnes favorables au référendum sur la révision de l’article 37, on a l’impression que la limitation du nombre de mandats présidentiels a été prévue pour faire face à une évidente baisse de popularité du titulaire desdits mandats et qui si d’aventure cette popularité venait à subsister, cela constituerait une raison suffisante pour lui permettre de briguer un mandat supplémentaire.
    Pour certains donc, il suffirait à Blaise COMPAORE de prouver sa popularité par voie référendaire pour justifier qu’il conduise la destinée du Faso encore 5 ans.
    Quand bien cela serait le cas, nous savons la confiance que l’on peut accorder aux résultats des consultations dans notre pays. Tout est biaisé depuis l’utilisation des moyens de l’Etat pour faire la campagne en passant par l’achat des consciences, les promesses que l’on n’a jamais eu l’intention de tenir, l’intimidation et j’en passe.
    De toutes façons, le principe de la limitation du nombre de mandats répond à des impératifs si nobles qu’il faudrait plus que la volonté d’un seul Burkinabè (soutenu il est vrai par sa famille et ses proches) pour que nous acceptions de le brader.
    A bon entendeur, salut !!

  • Le 27 janvier 2014 à 15:06, par yao En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

    monsieur hugo ont te connais ici après avoir été fouetter pour avoir refuser de céder tes entreprises HUGO TECH par les françois et gaspard ouedraogo tu trouven moins de créer une association pour dire de les soutenir ? mais toi tu as peur de quoi ? ... connais

    • Le 27 janvier 2014 à 15:47, par Hugo En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

      Mon association n’est pas de les soutenir mais toujours dans ce même combat. au lieu de continuer à faire une seule lutte, j’invite la jeunesse à se joindre à moi pour faire une lutte grouper. Tu verras les chantiers de mon association cette semaine et tu comprendras que mon objectifs est de regrouper la jeunesse sur des programmes de développement claire pour mettre la pression sur le régime.

      • Le 27 janvier 2014 à 17:33, par Gypsie En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

        Comment sais-tu qu’on a adressé une lettre de menace à la fille du président si tu n’es pas dans l’entourage immédiat ? Mon frère faut cliquer dans quitter dans cette affaire. Profite de tes affaires florissantes, mange et circule.

      • Le 27 janvier 2014 à 18:14, par Mr Yes we can En réponse à : Situation politique nationale : Les jeunes ont leur mot à dire sur l’article 37 et le Sénat !

        Pour une paix durable dans notre très chère patrie,engageons nous et prenons acte de ce beau message que ’l’association voix de l’avenir’véhicule avant qu’il ne soit trop tard.évitons nous jeunesse de sombré en ce moment si difficile.évitons au maximum tous ce que nous avions vu subir nos pays voisins.ferons parler nos coeur pour un avenir tranquille.personne ne dira pas le contraire comme quoi les lybiens regrettent de nos jour l’absence de ce géant Kadhafi ????ensemble agissons pour l’avenir de la jeunesse burkinabé car nous pouvons y arriver.que Dieu benis le Burkina Faso.

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