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Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

Publié le jeudi 23 janvier 2014 à 23h35min

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Grande leçon de sérénité démocratique  burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

L’Afrique de demain, progressivement, émerge de ses doutes et approche courageusement vers des certitudes nouvelles. Elle nous offre incontestablement une matière à penser politique qui n’envie en rien celles d’autres cieux, à travers le monde. Originale dans sa démarche, riche d’inventions et de créations, la politique africaine se révèle d’une plasticité que seule peut éclairer la créativité des artistes africains eux-mêmes, dont l’inouï continue d’émerveiller les siècles.

Telle est la leçon de choses des événements burkinabè du jour. N’avait-on pas annoncé que ce 18 janvier serait la fin des carottes du pouvoir[1] du CDP à Ouagadougou ? N’avait-on pas laissé entendre que des millions de burkinabè occuperaient la rue pour obliger le chef de l’Etat à renoncer à faire usage des articles l’autorisant, dans la constitution de son pays, à recourir au référendum pour une révision de l’article 37 qui prescrit la limitation du nombre de mandats présidentiels à deux ? Il ne sert à rien de dire que la montagne de l’opposition burkinabè a accouché d’une souris. Il n’y avait pas de montagne ce samedi 18 janvier 2014 à Ouagadougou, quoiqu’en dise une certaine presse aux ordres de l’opposition[2].

Il ne pouvait même pas y avoir non plus de souris, par conséquent. Car c’est, de l’avis de tous, avec sérénité et responsabilité que l’opposition et le pouvoir burkinabè auront décidément géré cette journée que certains, finalement à tort, annonçaient comme celle de tous les dangers. Mais comment analyser la mobilisation effectuée par les dizaines de milliers de personnes, qui auraient, selon l’opposition notamment, traversé Ouaga pour venir imposer la loi du nombre sur la place de l’Indépendance de la capitale burkinabè ? Comment comprendre la thèse du « triomphe de la démocratie » défendue par le pouvoir à l’issue de ladite marche ? Le recul des événements nous donne maintenant toute latitude pour en juger, et pour tenter de savoir à quelle hauteur de pression le curseur stratégique de l’opposition se trouve par rapport au pouvoir burkinabè.

Dans la présente série de deux tribunes, je m’efforce donc d’analyser trois points essentiels :
1) Le contexte, les motivations et les résultats de la marche de l’opposition ce 18 janvier à Ouagadougou ;
2) L’attitude et la posture du pouvoir burkinabè face à cette tentative de montée en puissance populaire de l’opposition ;
3) Les scénarii hypothétiques de l’avenir politique imminent au Burkina Faso.

I. Contexte du 18 janvier 2014

Le contexte de la mobilisation de l’opposition burkinabè le 18 janvier 2014 est composé de quatre facteurs décisifs : 1) l’annonce en début décembre 2013 par le président Compaoré de la mise en place imminente du Sénat et de la possibilité de consulter par voie référendaire le peuple burkinabè en vue de solliciter la levée de la clause de limitation du nombre de mandats présidentiels dans l’article 37 ; 2) La levée de boucliers de l’opposition burkinabè, à travers notamment son Chef de file (CFOP) Zéphyrin Diabré qui a aussi tôt entamé une tournée d’explication sous-régionale ; 3) La démission de certains membres influents du Congrès pour la Démocratie et le Progrès ( CDP) au pouvoir en début janvier 2014 ; 4) La médiation ivoirienne mise en mission par le président ivoirien Alassane Ouattara, et conduite par le chef du parlement ivoirien, Guillaume Kigbafori Soro. Nous devons analyser réflexivement ces éléments pour comprendre cette scène du 18 janvier 2014.

Il convient de souligner que c’est en s’appuyant tout naturellement sur le texte constitutionnel burkinabè que le président Compaoré en a évoqué les clauses de révision légale et légitime en début décembre 2013. Dans une démocratie bien comprise, le souhait du Chef de l’Etat de soumettre la loi fondamentale à l’arbitrage de la souveraineté populaire ne devrait déclencher normalement ni polémique, ni scandale. Le président, en pareil cas, risque assez gros, puisqu’il pourrait être désavoué par le peuple. Mais voici.

Dans bien des pays africains, la démocratie est encore perçue par certains acteurs politiques comme le déguisement d’une seule et même sempiternelle passion archaïque : le pouvoir comme fin en soi. Pourquoi les leaders de l’opposition burkinabè, qui n’ignorent pas que l’article 37 peut légalement et légitimement être soumis à référendum ont-ils réagi comme frappés par un scandale ? Sans doute, parce qu’ils connaissent et redoutent le résultat d’un tel référendum, qui pourrait avoir valeur de présidentielle 2015 anticipée.

De la même façon, le projet de mise en place d’un Sénat, acté dans la constitution en 2012, est contesté par l’opposition, qui avance des raisons économiques, bien que les enjeux politiques soient aussi dans l’élargissement du sommet de l’élite politique burkinabè, qui servirait dès lors de plate-forme de mobilisation maximale et transversale du pays tout entier pour le candidat du CDP au pouvoir. C’est donc parce qu’elle a perçu dans les deux projets institutionnels-phares du président Compaoré, deux tests de popularité ou deux outils d’enracinement populaire du pouvoir, que l’opposition s’est soudain braquée, voyant littéralement sa défaite arriver sur tapis vert, avant le match pour ainsi dire.

La levée de boucliers de l’opposition burkinabè à travers son CFOP Zéphyrin Diabré est donc une réaction de panique, caractérisée par une angoisse double. Celle de la force de frappe du pouvoir et celle de la proximité du peuple envers le président Blaise Compaoré. Pour s’en convaincre, il suffira d’analyser l’essentiel des arguments mobilisés par Zéphyrin Diabré contre les projets d’instauration du Sénat et contre la révision de l’article 37. Ce qu’il y a d’impressionnant dans cette affaire, c’est que le CFOP Diabré n’avance AUCUN argument conforme à la constitution ou se référant à elle comme norme.

M. Diabré prétend que le peuple ne veut point de cette modification, mais quand on lui demande de laisser s’exprimer ledit peuple, il panique. Son discours[3] du 18 janvier témoigne précisément de cette phobie de la souveraineté populaire qu’on ne devrait pas trouver chez un démocrate véritable. Pourquoi ne pas essayer de battre le président Compaoré en faisant voter NON au référendum envisagé ? Le chef de l’opposition, cela faisant, se comportant littéralement comme si cette constitution burkinabè qu’il a sous les yeux depuis de longues années, et chaque jour au besoin, ne comporte pas de clause de révision concernant l’article 37, entre autres.

Le CFOP Diabré et ses nouveaux accompagnateurs démissionnaires du CDP se fondent essentiellement sur des conciliabules extraconstitutionnels qui auraient valeur supérieure de leur point de vue. Du coup, des conversations de salons et des promesses de gré à gré seraient-elles les nouvelles normes fondamentales de la politique burkinabè ? La constitution burkinabè de la IVème république que je me suis donné l’agréable devoir de lire, prévoit pourtant bien des articles 161 à 168, toutes les clauses de révision du texte constitutionnel.

On peut donc, à bon droit se demander à quoi sert, dans un tel contexte, un Chef de file de l’Opposition qui n’a cure du texte constitutionnel ? M. Diabré, en tentant de mettre un veto populiste sur les clauses de révision, ne quitterait-t-il pas insidieusement l’opposition politique pour s’installer dans l’opposition insurrectionnelle ? Où M. Diabré et ses suiveurs puisent-ils le droit d’interdire au président légal et légitime du Faso, l’initiative de la révision constitutionnelle qui lui échoit de droit concurremment aux membres du Parlement et au Peuple, en vertu de l’article 161 de la constitution burkinabè ? L’opposition burkinabè n’esquisserait-elle pas ainsi les prémices d’une confrontation para-constitutionnelle avec le pouvoir ? Ces questions sont livrées aux mois à venir.

La démission de quelques anciens membres du CDP, figures majeures d’un temps du pouvoir Compaoré, est le troisième facteur structurant le contexte du 18 janvier 2013. Non seulement, il faudra souligner que Roch Christian Kaboré ou Simon Compaoré ont largement soutenu par le passé la légalité et la légitimité de la réforme de l’article 37 de la constitution burkinabè, mais il faut dire qu’ils inspireront difficilement confiance à grand monde. Faudrait-il se contenter de l’invocation de l’erreur proposée par l’ancien président de l’Assemblée Nationale comme explication à son revirement pour la thèse opposée ? Faudrait-il se contenter des silences sur leurs anciens positionnements, que laissent flotter les ministres et maire démissionnaires du CDP ?

Il faut vraiment loin de la coupe aux lèvres. C’est sans doute leur trop longue traversée du désert – à leur goût- au CDP qui aura suscité leurs envies de lumières fraîches. Dans son adresse du 18 janvier 2014 sur la place de l’Indépendance de Ouagadougou, le CFOP Zéphyrin Diabré n’a pas manqué de manifester, dans un discours mi-figue mi-raisin envers les nouveaux opposants, toute sa méfiance : « Roch, Salif, Simon et tous vos camarades, au nom de tous nos militants et nos militantes, nous vous accueillons dans la grande famille de l’Opposition politique burkinabè. Nous le faisons, en étant convaincus que votre arrivée va fortifier l’opposition et non l’affaiblir. Nous le faisons en étant convaincus que votre arrivée va confirmer la ligne politique de l’opposition et non la contredire Nous le faisons, en étant convaincus que votre arrivée va rassembler davantage l’Opposition et non la diviser. Nous le faisons en étant convaincus que vous avez quitté définitivement le navire et que Vous et Blaise Compaoré, c’est vraiment fini. Nous le faisons en étant convaincus, que vous êtes maintenant dans le camp du peuple ! Nous le faisons, en étant convaincus, que votre arrivée va conduire l’Opposition la victoire et non à la défaite. Le peuple vous observe. Il vous a déjà pardonné, mais il n’a pas oublié. C’est à vous de lui donner la preuve palpable et concrète, que vous êtes maintenant des opposants sincères.  »[4]

Du coup, c’est bien une opposition sceptique, bigarrée, suspicieuse et potentiellement implosive, où l’extrême-gauche sankariste sera de moins en moins à l’aise, qui est montée sur les planches de la Place de l’Indépendance ce 18 janvier 2014 à Ouagadougou. Jusqu’où iront-ils dans la confrontation avec le pouvoir CDP, qui paraît toujours aussi déterminé à aller à la révision légale et légitime de l’article 37, tout comme à la mise en place de l’institution sénatoriale ? Les rangs seront-ils aussi serrés comme ils le paraissaient ce matin entre tous ces chefs de l’opposition quand devra se décider la question de la confrontation violente ou non avec le pouvoir Compaoré ? L’avenir nous le dira précisément. Il faut et il suffit de remarquer que le pouvoir Compaoré a salué l’esprit de responsabilité de l’opposition et souhaité que le dialogue républicain se poursuive dans un cadre toujours plus apaisé. Cette main tendue sera-t-elle saisie par l’opposition ?

Il ne nous reste plus qu’à analyser l’impact du quatrième facteur majeur, structurant à notre sens le contexte du 18 janvier 2014, à savoir la mission envoyée début janvier par le président de la république de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, sous la conduite du chef du parlement ivoirien Guillaume Soro, à Ouagadougou, dès l’annonce des trois démissions spectaculaires de Roch Christian Kaboré, Simon Compaoré et Salif Diallo du parti au pouvoir. Quand on sait le rôle majeur que le Burkina Faso a joué dans la résolution de la crise ivoirienne, on ne peut qu’y voir un échange de bons procédés entre les deux nations-sœurs et historiquement liées à jamais.

Avec quatre millions de Burkinabè vivant sur son sol, la Côte d’Ivoire est une donnée structurelle de la géopolitique burkinabè. Et bien que quelques politiciens et intellectuels burkinabè lunatiques, tels Madame Saran Sérémé et M. Etienne Traoré y aient vu une ingérence dans les affaires intérieures burkinabè, on sait avec du recul que cette exhortation ivoirienne à la paix, au compromis et au respect du droit à Ouaga aura pesé de tout le poids géostratégique de la Côte d’Ivoire dans l’attitude des manifestants de ce 18 janvier 2014.

Se démarquant de l’inélégance truculente de dame Sérémé et de l’ultranationaliste Etienne Traoré, le Chef de file de l’opposition burkinabè s’est adressé avec respect et mesure aux amis du Burkina Faso. C’est ainsi que tout bon lecteur politique sait que c’est en particulier aux autorités Ivoiriennes que le CFOP Zéphyrin Diabré s’est adressé, quand il a énoncé le mot d’apaisement que voici, se plaçant aux antipodes du procès en ingérence diplomatique et des arguments burkinitaires que ses camarades opposants ont maladroitement servis au président Guillaume Soro pendant trois jours de grande tempête médiatique : « Dans ce combat qui s’annonce, le peuple du Burkina Faso a besoin de la compréhension, de la solidarité et du soutien de tous ses amis dans la sous-région et dans le monde. C’est le lieu pour moi de rassurer tous les pays frères, les partenaires et les amis du Burkina, que contrairement à une propagande savamment distillée, le changement n’entrainera ni chaos, ni recul, ni instabilité et encore moins une guerre civile, car notre peuple est mature, et ses leaders politiques ont le sens de la patrie. A tous ceux qui s’inquiètent de la stabilité de notre pays en cas de changement, je dis que la stabilité du Burkina ne dépend pas du savoir-faire d’un seul individu, mais plutôt de l’engagement et de la maturité de notre peuple.  »[5]

Peut-on cependant croire que Zéphyrin Diabré saura faire taire le ressentiment manifesté par certains de ses partisans à l’occasion de la visite de la délégation ivoirienne ? L’opposition va-t-elle prendre le risque de contester ouvertement les fondements de la diplomatie burkinabè actuelle ? L’inélégance des propos tenus par certains des membres de l’opposition burkinabè, y compris sous le voile de certains organes de presse où prospère la censure des points de vue différents, marque en tous cas d’une pierre ambigüe l’amorce des relations diplomatiques entre l’opposition burkinabè et le régime ivoirien. La mise du discours de l’opposition au diapason de la responsabilité par Zéphyrin Diabré reste malgré tout à saluer, puisqu’elle rend compréhensible l’angle d’approche consensuelle choisi par la communication du pouvoir CDP sur cette manifestation du 18 janvier 2014.

Nous examinerons précisément l’attitude du pouvoir burkinabè dans la deuxième partie de la présente tribune qui s’intitulera : « La thèse du triomphe de la démocratie burkinabè le 18 janvier 2014 ».


[1] http://www.rfi.fr/afrique/20140117-burkina-faso-opposition-prepare-marche-contre-le-pouvoir
[2] http://www.lefaso.net/spip.php?article57525&rubrique2
[3] Voir le discours de Zéphyrin Diabré, http://www.lefaso.net/spip.php?article57526&rubrique2
[4] Idem, op. cit.,
[5] Idem, op.cit.

Franklin Nyamsi,
Agrégé de philosophie
Paris, France

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Vos commentaires

  • Le 23 janvier 2014 à 10:42, par personna En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Mon frère pourquoi toute cette gymnastique. L’article n’est il pas suffisamment clair ou Quoi ? le nombre de mandat d’un président est de deux. Blaise a t-il fait ses deux mandats oui ou non ? si oui qu’il parte, Point.
    La souveraineté du peuple évoquée, c’est elle qui limite le nombre de mandats à deux non ? ou alors qui a voté cette constitution ?
    Continuer à vous prostituer avec des équilibrations aussi nauséabondes qui ne font que grandir la haine contre le président et son clan dont vous n’êtes que les griots.

    • Le 23 janvier 2014 à 11:29, par l’enfant du pays En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

      le président a le droit oui ou non de demander la modification de l’article 37. si oui peut-il demander oui ou non la volonté du peuple ? donc pourquoi se borner a refuser qu’il exerce ses droits et de surcroit demander l’avis du peuple sur la question ? si l’opposition est si confiante du refus du peuple de modifier l’article 37 pourquoi avoir peur d’aller au urne pour le prouvez ? s’il se disent démocrates qu’il laissent le peuple s’exprimer librement.

    • Le 23 janvier 2014 à 21:47, par l analyste En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

      il faut que nous les africains nous acceptions d etre coherent envers nous et envers les lois que nous nous sommmes prescrites. la constitution est claire s il faut la tripatouiller pour faire perdurer un certain regne ca ne sert pas et il vaudrait meme ne pas en avoir une. cela ressemble a des copies d etudiants dont les baremes changent en fonction du jour de la correction donc evidemment en fonction de l etudiant. Blaise peut aider le Burkina meme s il n est pas au pouvoir. Utilisons plutot nos titre de Dr ou de Phd ou de Msc pour participer au developpement eb creant effectivement de la valeur ajoutee au lieu de se compromettre avec cette meme intelligence en etant la source des malheurs de notre continent et plus de nos pays. Que Dieu benisse le Burkina et l Afrique entiere afin que l interet collectif puissds dominer sur l interet egoiste individuel.

  • Le 23 janvier 2014 à 10:51, par Le Faucon En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Cher internautes, nous ne sommes pas obligés de répondre au coup de pied de l’âne. Lisons les articles de notre ami et prenons-en acte. Nul besoin de polémiques qui crédibiliseraient ses interventions et justifieraient ses honoraires.
    Merci donc de ne pas adresser un post à ce cher AMI du BURKINA. Merci encore

  • Le 23 janvier 2014 à 10:53 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    A combien on te paies pour ces inepties mon cher !

  • Le 23 janvier 2014 à 10:56, par C2C En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    arrête des argumentaires bidons et de non sens !!! nous on ne veut pas de SENAT NI DE LA MODIFICATION DE L’ARTICLE 37 !!! tes salamalecs tu peux les garder pour toi seul !!! surement que le CDP t’as payé pour écrire pareil ânerie pour endormir la jeunesse mais c’est trop tard !!! même si nous avons pas de PHD au moins nous avons la MASTER et bien d’autres diplômes nous permettant de faire des discernements de façons efficaces et pertinentes !!! "LA PARTIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS".

  • Le 23 janvier 2014 à 10:59, par le magnifique En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Mr Franklin le philosophe,vous n’apportez rien dans la construction de notre chère patrie le Burkina.Vous avez vu ce qui s’est passé dans les pays ou le Président a fait 20 ou 30 ans ?

    • Le 23 janvier 2014 à 12:01, par l’amazone En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

      mon ami toi tu n’a rien compris ! le président veut s’assurer que ceux la qui ont piller le pays pendant plusieurs année ne prennes pas les rênes pour nous enfoncer encore plus profondément. c’est pourquoi la jeunesse est progressivement mis en avant. l’opposition prône l’alternance pourtant ils sont tous vieux mais refuse de céder la place au jeunes ! l’alternance ne s’applique pas seulement au président.

  • Le 23 janvier 2014 à 11:04, par Koakora KABORE En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Il y a toujours des "intellocons " pour nous dire que le tyran est le meilleur

  • Le 23 janvier 2014 à 11:06, par Hum ! En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Je dis qu’on est fatigué de ces pseudo intellectuels qui n’ont d’intellect que la culture de la reptation.
    C’est écrit que c’est pas possible. Et c’est un article de loi qui s’impose à tout burkinabè. Mais vous, il vous faut démontrer qu’il faut tout de même s’assurer que c’est bien écrit.
    Mince alors, vous êtes berzingues ou quoi ?
    C’est bien le même peuple qui s’est erigé cette contrainte pour le bien de son devenir. Pourquoi toutes ces contorsions à n’en pas finir ?
    Est-ce qu’on a vraiment besoin de discourir pour demontrer cette vérité qui crève les yeux.
    De toute façon, on ne peut pas se prétendre intellectuel quand on est pas capable de probité et d’honneteté.
    Ya des limites à la persion et à la mauvaise foi.
    Peut-être, comme le disais l’autre, certains sont ainsi élevés. Quand on aucune valeur de référence, quand on est issu d’un élevage, naturellement il est difficile de se comporter autrement.

  • Le 23 janvier 2014 à 11:08, par un patriote En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    il faut dire à ce Monsieur, camerounais d’origine, insttalé en France, répondeur automatique de Guillaume SORO, qu’on a pas besoin de son avis. pour la mobilisation c’est un débat inutile nous nous sommes au burkina et le régime sait ce que c’est, la preuve le pouvoir a appelé au dialogue. ce monsieur s’il est vraiment un démocrate doit s’intéresser à son pays d’origine où un président dormeur, paresseux règne depuis plus de trente ans. il faut commencer à balayer devant ta porte d’abord. les intellectuels mercenaires on en pas besoin. Blaise a fait deux mandats, ça suffit, il faut qu’il respecte sa parole, un point un trait, le reste c’est du bavardage inutile Monsieur l’intellectuel.après avoir participé à brûler la côte d’ivoire de grâce laisser le Burkina tranquille.

  • Le 23 janvier 2014 à 11:13, par LE PATRIOTE En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Si tu n’as rien à dire il faut te taire,c’est vous autres les lèches bottes de blaise,les vomissures de la république

  • Le 23 janvier 2014 à 11:13, par gengnien En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    C’est une analyse résolument à charge. C’est cela la difficile position dans laquelle la plupart de nos intellectuels se trouvent. Vous soutenez que tout ce que l’opposition fait est opportune. Quelle manque de regard sur l’histoire. Le discours public ne sert donc à rien dans ce pays ? Blaise n’a t il pas eu des propos public dans lesquels il s’est engagé devant le peuple ? Cela est il mauvais si l’opposition s’y refère pour démander qu’il arrète son projet revisioniste ?

  • Le 23 janvier 2014 à 11:16, par le gueteur En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    "M. Diabré prétend que le peuple ne veut point de cette modification, mais quand on lui demande de laisser s’exprimer ledit peuple, il panique" c’est parce qu’il n’est pas sûre que le peuple ne veut pas la modification de l’article 37.

  • Le 23 janvier 2014 à 11:17 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Le revoilà ; il a déjà tout dépensé ce qu’on lui avait donné et il revient ; mais mon type, renseigne toi ; il n’y pas de place de l’indépendance à ouaga, mais place de la nation ; toi qui te présentes comme philosophe, ce n’est pas la même chose ; tu étais à ouaga pour dire qu’il n’y a avait pas de monde ? même le gouvernement a reconnu ça ; ne sois pas plus royaliste que le roi ; ça ajoute au grotesque que tu es !

  • Le 23 janvier 2014 à 11:20 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Le revoilà ; il a déjà tout dépensé ce qu’on lui avait donné et il revient ; mais mon type, renseigne toi ; il n’y pas de place de l’indépendance à ouaga, mais place de la nation ; toi qui te présentes comme philosophe, ce n’est pas la même chose ; tu étais à ouaga pour dire qu’il n’y a avait pas de monde ? même le gouvernement a reconnu ça ; ne sois pas plus royaliste que le roi ; ça ajoute au grotesque que tu es !

  • Le 23 janvier 2014 à 11:20, par Tank Math En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    SVP
    Je suis d’accord qu’on ne doit pas réagir à un coup de pied d’un âne mais là il s’agit de la vie d’une nation et la question est très sérieuse pour laisser des opportuinistes aux yeux gluands animer des reflexions seulement à but de diviser le pays et faire monter la pression. C’est la deuxième que cet individu Franklin intervient toujours dans le sens d’insulter tout un peuple : trop c’est trop.
    Un immigré ne peut pas nous donner des leçons parce qu ’il se donne un titre ronflant et lorsqu’on tape son nom sur google on se rend compte que c’est la catégorie des agrégations attribuées pour des raisons de coloration de peau.
    M. Franklin allez y dans votre pays pour anarquer vos dirigeants ou arnarquez les dirigeants Burkinabè mais laisser le peuple Burkinabè dans sa lutte.

  • Le 23 janvier 2014 à 11:21, par Max En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Toi tu es encore qui avec tes analyses bidons ! Je rappelle qu’en matière de science humaine, le cartésianisme ne fonctionne toujours pas ! Tous ce que tu dis ou prédis, ne sera jamais la réalité !

  • Le 23 janvier 2014 à 11:29, par BBDGG En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Mr Franklin Nyamsi,

    Vous connaissez les résultats de ce referendum avec les bourrages des urnes et les achats de consciences(80% de oui pour la révision de l’A37). Dites-moi quelle élection Blaise a perdue depuis 28 ans de règne sans partage ?. Rien,il gagne à tout moment et en tout lieu avec les moyens qu’on sait (corruption, injustice, affairisme). Nous sommes formellement contre ce referendum parce que NOUS CONNAISSONS DÉJÀ LES RÉSULTATS.

    LE PEUPLE ASPIRE UN CHANGEMENT. NOUS SOMMES FATIGUÉS DE CE RÉGIME
    POURQUOI MODIFIER LA CONSTITUTION POUR UNE SEULE PERSONNE ? Y-A-T-IL DES COMPÉTENCES PARMI 16 MILLIONS DE BURKINABÉS A PART BLAISE ?.
    VIVE LA DÉMOCRATIE ET L’ALTERNANCE

  • Le 23 janvier 2014 à 11:29, par Pegd En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    "Il ne sert à rien de dire que la montagne de l’opposition burkinabè a accouché d’une souris. Il n’y avait pas de montagne ce samedi 18 janvier 2014 à Ouagadougou". L’honnêteté intellectuelle devrais te permettre de reconnaitre que de mémoire d’homme au Burkina Faso, c’est la première fois qu’autant de Burkinabé se retrouvent dans la rue. Pour moins que ça, (Norbert Zongo en 1998, récemment pour le sénat), ton mentor a déjà reculé, c’est ça le plus important, qu’elle accouche d’une souris ou pas.
    "Pourquoi ne pas essayer de battre le président Compaoré en faisant voter NON au référendum envisagé ?". Tu viens d’une autre planète ou quoi ? Arrondissement 4 ? ça te dit quelque chose ? l’ancien maire CDP et le petit président ont été aperçu avec des urnes contenant les bulletins de vote. Va leur demander ce qu’il faisaient avec. La fraude est congénital chez eux. Ne crois pas que tu aimes Blaise plus-que les autres. Nous l’aimons tous et nous disons merci pour tout le travail abattu, seulement on veut qu’il s’en aille, moi, les chrétiens, les chefs coutumiers, les musulmans, la société civil n’en déplaise à Franklin Nyamsi, Agrégé de philosophie à Paris, France.

  • Le 23 janvier 2014 à 11:31, par BBDGG En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Mr Franklin Nyamsi,

    Vous connaissez les résultats de ce referendum avec les bourrages des urnes et les achats de consciences(80% de oui pour la révision de l’A37). Dites-moi quelle élection Blaise a perdue depuis 28 ans de règne sans partage ?. Rien,il gagne à tout moment et en tout lieu avec les moyens qu’on sait (corruption, injustice, affairisme). Nous sommes formellement contre ce referendum parce que NOUS CONNAISSONS DÉJÀ LES RÉSULTATS.

    LE PEUPLE ASPIRE UN CHANGEMENT. NOUS SOMMES FATIGUÉS DE CE RÉGIME
    POURQUOI MODIFIER LA CONSTITUTION POUR UNE SEULE PERSONNE ? Y-A-T-IL DES COMPÉTENCES PARMI 16 MILLIONS DE BURKINABÉS A PART BLAISE ?.
    VIVE LA DÉMOCRATIE ET L’ALTERNANCE

  • Le 23 janvier 2014 à 11:33, par Max En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Combien de bons accords entre acteurs politiques et de la société civile ont connus une bonnes applications dans notre pays, depuis que ce Président-là est à la tête des choses ? Il y en a très peu et le plus célèbre à avoir été méprisé est ce fameux rapport du collège des sages ! Si la parole donnée aux sages est foulée du pied, est-ce celle donnée à des opposants politiques qui connaîtra une meilleure mise en oeuvre ? J’en doute fort pour la raison suivante.

    Notre Président, Blaise COMPAORE n’a jamais été un démocrate, car sa politique a toujours été fondée sur le mensonge, les intrigues, la tromperie et même la violence ! Tant qu’il y avait des gens pour le craindre ou lui faire confiance, sa stratégie fonctionnait. Maintenant qu’il est découvert, tant pis à l’opposition si elle se fait prendre au piège de cet appel au dialogue !

    En tout cas l’opposition est avertie que toute compromission avec Blaise COMPAORE, la décrédibilisera aux yeux de ses partisans ; du moment où nous nous interrogeons sur quoi va-t-on dialoguer ? Modifier notre constitution au profit du Président actuel ne sera jamais accepté par la jeunesse. Opposants, vous êtes avertis !

  • Le 23 janvier 2014 à 11:33, par Zakam En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Je ne suis pas surpris de constater que vous êtes Philosophe de formation. Vous avez une belle plume que vous voudrez bien vendre. personne ne peut vous en empêcher. Cependant en revenant au fond de votre argumentaire, sachez que ce soit en Inde comme aux Etats Unis, il a fallut l’incarnation vivante d’une vision nouvelle du peuple et porté par des charismatiques comme Gandhi et Marthin Luther King pour faire plier le désir des hommes politiques qui veulent tailler la constitution pour légitimer leur basses besognes. Le peule du Burkina a soif de justice et de changement. n’en déplaise aux commerçants comme vous qui vendez vos phraséologies creuses.

  • Le 23 janvier 2014 à 11:44, par Zakam En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Je ne suis pas surpris de constater que vous êtes Philosophe de formation. Vous avez une belle plume que vous voudrez bien vendre. personne ne peut vous en empêcher. Cependant en revenant au fond de votre argumentaire, sachez que ce soit en Inde comme aux Etats Unis, il a fallut l’incarnation vivante d’une vision nouvelle du peuple et porté par des charismatiques comme Gandhi et Marthin Luther King pour faire plier le désir des hommes politiques qui veulent tailler la constitution pour légitimer leur basses besognes. Le peule du Burkina a soif de justice et de changement. n’en déplaise aux commerçants comme vous qui vendez vos phraséologies creuses.

  • Le 23 janvier 2014 à 11:46, par Lawankilia En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Mes enfants connaissent bien Franklin. C’est une sorte de tortue dans un dessin animé qui passe sur Télétoon. Franklin, c’est à la place de la Nation que avons commencé à dire héy !! héy !!. Dites moi, la place de l’indépendance c’est où à Ouaga. Blaise doit se faire rembourser pour insuffisance de résultat.

    Franklin nous ne somme pas dans une série de dessins animés. Ici nous parlons de l’avenir du Burkina.

  • Le 23 janvier 2014 à 11:48, par BBDGG En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Mr Franklin Nyamsi,

    DE VOUS A NOUS COMBIEN DE FRANCS AVEZ-VOUS PRIS POUR CET ARTICLE ?.

    JE SUIS TRÈS DÉSOLÉ QUE VOUS ÊTES AGRÉGÉ ET VOUS RÉFLÉCHISSEZ D’UNE MANIÈRE DÉCEVANTE. VOUS ÊTES LIBRE DE VENDRE VOTRE CONSCIENCE A VIL PRIX.

  • Le 23 janvier 2014 à 11:57, par Tank Math En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Franklin
    Je viens de lire tes échanges avec Calixte Beyala
    Je découvre qu’en tant que Franco Camerounais, tu affiches ton homosexualité et donc bientôt ce sera ton combat pour la légalisation de cette pratique en Afrique

  • Le 23 janvier 2014 à 12:07, par Experimento En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Mais franchement tous ces monsieurs qui s’acharnent a n’en pas finir sur la personne de son Excellence Blaise compaore, qu’elle est votre conception de la democratie ?? Est ce descendre dans la rue par milliers pour denoncer une soit disante injustice ?? Si vraiment ces delateurs ont le peuple avec eux comme ils le disent, pourquoi avoir peur d’un referendum alors ? Sil arrive a mobiliser autant de monde pour manifester sur la place public, je pense que les inciter a voter le NON au referendum ne doit pas poser probleme oubien ? Le referendum est l’occasion en or pour le peuple Burkina, de ce decider definitivement sur cette question de l’article 37 et du Senat ! Donc arreter de faire tout se Brouhaha car c’est par le vote et non par la rue cette democratie !!!

  • Le 23 janvier 2014 à 12:07, par le bon citoyen En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Je n’ai pas pris la peine d’aller à la fin de ma lecture car c’est des gens comme cela que Blaise est en train de valser (Assimi est parti).
    Peuple souverain, peuple souverain patati patata Est ce que le fait de manifester n’est pas démocratique ? et pourquoi consulter le peuple pour déverrouiller pour changer un article à cause d’une personne ?

    Continuer le peuple souverain comme vous le dites a pris sa décision

  • Le 23 janvier 2014 à 12:08, par anj En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    MR L’AGREGE,
    S’IL VOUS PLAIT AYEZ LE SENS DE L’HUMILITE ; JE NE SUIS PAS ALLEZ A L’ECOLE COMME VOUS OU PEUT ETRE PAS DANS LES MEME CONDITIONS QUE VOUS.
    DITES LA VERITE A CEUX QUI ONT PAYE LES IMPOTS POUR PONDRE CE GENRE D’ECRITS.ICI LA MARCHE EST LANCE ETRIEN NE POURRA L’ARRETER.

  • Le 23 janvier 2014 à 12:09, par MGC En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Et voici que rejailli tout le drame de l’Afrique, qui réside dans la dialectique de l’intellectuel et du politique. L’intellectuel africain aura-t-il un jour cette faculté de se détacher des débats passionnés pour tenir enfin un discours objectif, loin des clivages partisans ? Une constitution ce n’est pas seulement la lettre mais aussi un esprit. Lorsque la lettre de la constitution est en phase d’être manipulée, c’est à l’intellectuel que revient le devoir de rappeler son esprit. Et cet esprit se rattache à des principes pour lesquels il n y a pas de demi mesure, on est en démocratie ou on ne l’est pas. Dans une démocratie vivante, la théorie de l’homme providentielle n’existe pas.

  • Le 23 janvier 2014 à 12:11, par lalumieresoit En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    monsieur FRANKLIN Nyamsi une bonne licence vaut mieux q’une 2 ou 3 doctorat
    va te faire soigner t’es un malade ,cher internaute n’oublions pas qu’en europe ya des fous cravatés

  • Le 23 janvier 2014 à 12:19, par Faso de nous tous En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Je pense que la philosophie lui monte dans le nez. J’ai du respect pour nos frères et sœurs qui sont hors du pays mais avant de parler d’un sujet, il faut le connaitre. A lire ces lignes, je pense que tout bon philosophe, il est loin de savoir où se trouve le Burkina sinon sur Google Earth, encore moins ce que nous vivons.

  • Le 23 janvier 2014 à 12:21, par kampiti En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Ce n’est pas parce qu’on pas d’accord avec quelqu’un qu’il faut l’insulter. Belle image que les intello du Faso donnent au monde entier. Le web master de Faso.net est aussi responsable que ceux qui profèrent des insultes qui n’ajoutent rien au débat.

  • Le 23 janvier 2014 à 12:22, par kampiti En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Ce n’est pas parce qu’on pas d’accord avec quelqu’un qu’il faut l’insulter. Belle image que les intello du Faso donnent au monde entier. Le web master de Faso.net est aussi responsable que ceux qui profèrent des insultes qui n’ajoutent rien au débat.

  • Le 23 janvier 2014 à 12:24 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    ENCORE UN ÉGARÉ. QUAND LE PEUPLE CONTESTE LE POUVOIR A VIE ON TROUVE DES SOIT DISANT PHILOSOPHES QUI PENSENT QU’UNE NOUVELLE OCCASION POUR GAGNER LA SYMPATHIE DU POUVOIR EST ARRIVÉE ; DES PHILOSOPHES COMME VOUS IL Y A EU EN COTE ; C’EST POURQUOI LA COTE D’IVOIRE A CONNU LA GUERRE ; VOUS N’ETES PAS UTILES AU BURKINA FASO ; QUAND LE PAYS PREND FEU VOUS PRENEZ VOUS ABANDONNER LA PHILOSOPHIE ET VOUS PRENEZ LE LARGE POUR GAGNER LA FRONTIÈRE ;

  • Le 23 janvier 2014 à 12:25 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    2015 n’est plus loin Monsieur Franklin Nyamsi. Et qui vivra verra.

  • Le 23 janvier 2014 à 12:29, par semdis_issa@yahoo.fr En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    En réalité, franklin n’aime pas l’Afrique , encore moins le BF ; sinon, pourquoi tu te mêles de ce qui ne te regarde pas.
    Ah oui, je comprends , le sir griot de l’empereur Blaise est jaloux du BF : il souhaite par son immixtion dans les débats intérieurs du Faso que le BF ait un président à vie , moribond comme le président de son pays le Cameroun.
    Mais il ignore que les Burkinabés sont différents des Camerounais : du reste les Burkinabés n’ont pas un esprit naît comme lui (Camerounais).
    Que les dignes Camerounais (authentiques) m’excusent mais Nyamsi est un apatride , un trisomique.

  • Le 23 janvier 2014 à 12:32, par shakool2013 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    ce monsieur est un envoyé de Compaoré pour distraire les burkinabé.S’il vous plait ne tombons pas dans ce piège sinon nous risquons de perdre le fil de notre combat.Quand on dit qu’on est philosophe,le minimum que l’on peut faire c’est de se taire face à une situation qu’on ne maitrise pas.

  • Le 23 janvier 2014 à 12:34, par fongnon lecibal En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    mais pourquoi ya des gens bête qui se croient intelligents que les autres ?au lieu de chassser ton président au cameroun,tu t’occupe de ce qui ne te regarde pas.on veut plus de blaise compaoré ni aujourdui,ni demain.

  • Le 23 janvier 2014 à 12:39, par Freeman En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Voici quelqu’un qui milite pour le changement au Cameroun son pays natal et qui paradoxalement voudrait voir se prolonger le règne de Compaoré au Burkina. La corruption intellectuelle me parait la seule raison de ce monsieur. Et puis occupez vous de vos oignons monsieur Nyamsi

  • Le 23 janvier 2014 à 12:44, par raso En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Cher foulosophe, faites l’économie de vos efforts et les déployer ailleurs qu’au Burkina, on en a nullement besoin de vos services. Étant le maître à penser de Soro, on comprend tout...

  • Le 23 janvier 2014 à 12:44, par JMSTO En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    M. le FILLE LO SHOP ; on s’en fout de ta philosophie. Viens vivre au pays pour comprendre la réalité !

  • Le 23 janvier 2014 à 12:45, par BLACK SPEAR En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    cher philosophe je vous demande de tenir compte de l’esprit de la loi. l’idée étais que personne ne s’éternise au pouvoir . Aujourd’hui KÔRÔ Blaise ne veut pas partir on fait comment ?

  • Le 23 janvier 2014 à 12:55, par relwind En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    attends au moins dimanche 26/01 pour la 2e partie.
    1.entre temps samedi un parti verra le jour et" la maison du peuple refusera du monde " selon le LARLE aucune raison de ne pas le croire.
    2.chaque jour avec son lot de cadres et militants démissionnant du cdp
    pour vous dire qu’aujourd’hui blaise est impopulaire
    M.le philosophe en quoi notre constitution mérite t-elle ce nom si on passe le temps à s’acharner sur un article précis voté par réferendum en 1991,jamais appliqué:certes pour plaire à un individu blaise.est-ce que l’avenir de blaise est à mettre dans la même balance que l’intérêt de plus de 17 millions d’âme.

  • Le 23 janvier 2014 à 12:56, par Oun du Faso En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Eeeh le philosophe, tu as fini de lire les bouquins qui sont derrière toi ? surement que ceux qui ont commandité cet écrit ne l’ont pas lu avant sinon sinon ils t’auraient donné les bonnes informations car ces derniers ont reconnus que la montagne a accouché un dinosaure gros, grand et bien dissuasif sur le "non" du peuple et qu’il n’ayant de "place de l’indépendance" ici mais "place de la nation" qui va reprendre bientôt son vrai nom.. Par ton écrit, je sens que tu es un "un écrivain en herbe qui manque d’inspiration et qui pense pouvoir profiter de l’actualité politique au Faso pour te faire un nom : c’est rater.

  • Le 23 janvier 2014 à 12:57, par En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    VA FAIRE TA POLITIQUE AU CAMEROUN LE BURKINA N A PAS DE LECONS A RECEVOIR DES APATRIDES DE TON GENRE TCVHRRRRRRRRRRRRRRRR

  • Le 23 janvier 2014 à 12:59, par aligator En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Et quoi ? tu te mets devant les livres pour montrer que tu connais koi.... Je doute fort que les étudiant suivent tes cours si ce sont ces genres de discours décousus que tu tiens en classe. Je suis pas sûr que tu arrives toi même à te comprendre

  • Le 23 janvier 2014 à 15:21, par Burkinabè En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    M. le mendaiant j n connais pas votre pays mais j vous conseille sagement d eviter de vs meler à nos affaires, si vs avez tant besoin d ’ecrire, écrivez sur votre pays ou meme votre biographie ou encore ce que vos enfants disent de vous sinon fichez nous la paix. on a pas besoin de vous pr ns dire quoi ça soit minable griot des dictacteurs.

  • Le 23 janvier 2014 à 15:32, par DIALLO En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    je crois que ce franklin a commencé à comprendre que sa philo est obsolète car cette fois ci il a évité de jouer avec des concept et auteurs de philo. il comprendra 1 jour l’esprit de notre loi. blaiz a le droit mais pas le devoir de faire referendum

  • Le 23 janvier 2014 à 15:37, par Le Burkina D’abord En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Toi tu n’es rien d’autre qu’un homme frustré et en mal de notoriété qui, au lieu de mettre ton intellect au service de ton pays, se pavane à travers des écrits attestant un pédantisme saugrenue et crasseux . Tu ne distrais que toi même dans tes écrits mal à propos. Je me rappelle qu’au moment de la crise en CI mes amis ivoiriens montaient sur leurs chevaux quand nous autres évoquions l’actualité en CI. Aujourd’hui, comme pour montrer que tu es oisif et donc inutile à la France et à ton pays tu crois attirer l’attention de Blaise pour bénéficier certainement d’une certaine attention. La seule chose que tu ignores ou que tu feins d’ignorer c’est qu’au Burkina, la volonté de voir Blaise partir du pouvoir n’est pas seulement celle de l’opposition. Cette volonté là est ressentie par la jeunesse dans son entier-té. Et si les appels de l’opposition sont un cadre pour eux d’exprimer leur raz-le-bol face à un pouvoir qui a à son actif des crimes crapuleux et sur la conscience (si elle en a ) la souffrance de milliers d’orphelins, ces jeunes là en veulent à Blaise au quotidien. Il faut être ici pour le savoir. Et nous qui vivons au Burkina le savons. Blaise même le sait. Je réagis pour dire au philosophie de tempérer ses écrits et d’aller dans le sens de l’histoire et comprendre que le peuple burkinabé en a marre de Blaise et son système. Même ses compagnons le quittent ( tu ne l’ignores pas j’espère). Tes écrits sont pleins de haine, d’insultes témoignant de ton immaturité (un peu comme un certain Alex Bamba, ton compatriote), de sordidités, d’erreurs d’appréciation et surtout de verbiage dont la seule lecture nous dit long sur ton personnage abject et imbu de ton savoir théorétique et assassin. Tu sembles avoir lu les livres d’histoire et tu t’autoproclames connaisseur du Burkina en falsifiant l’histoire !! Cultive ton jardin et nous le nôtre !

  • Le 23 janvier 2014 à 15:43, par panga En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    POURQOUI PERDRE SON TEMPS A REPONDRE A CE DEPIGMENTE ? Yaa kôozaalé

  • Le 23 janvier 2014 à 15:44 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    mon ga ici c’est pas le diplôme qui compte, parce que ton diplôme n’a pas servi ton esprit, ton ventre de commande. prochainement quand tu veux poster, n’oublie pas d’enlever le mot philosophie dans ton écrit

  • Le 23 janvier 2014 à 15:47 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    mon ga ici c’est pas le diplôme qui compte, parce que ton diplôme n’a pas servi ton esprit, ton ventre de commande. prochainement quand tu veux poster, n’oublie pas d’enlever le mot philosophie dans ton écrit

  • Le 23 janvier 2014 à 16:02, par Burkinabè En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    M. le mendaiant j n connais pas votre pays mais j vous conseille sagement d eviter de vs meler à nos affaires, si vs avez tant besoin d ’ecrire, écrivez sur votre pays ou meme votre biographie ou encore ce que vos enfants disent de vous sinon fichez nous la paix. on a pas besoin de vous pr ns dire quoi ça soit minable griot des dictacteurs.

  • Le 23 janvier 2014 à 16:42, par chancelle En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Pauvre afrique
    Même nos intellos sont devenus des personnes irréfléchie. Le peuple en a marre et a besoin d’un changement. On ne veut pas vivre ce que les ivoiriens ont vécu,ni ce qui se passe en centrafrique. Que dieu protégé le Burkina

  • Le 23 janvier 2014 à 16:44 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Décidément, les philosophes sont de sortis. Si je prends mes lunettes d’un simple citoyen, je pourrais réécrire totalement votre article en reprenant les paragraphes en disant exactement le contraire de ce que beaucoup de burkinabè pensent.
    Depuis Paris, il est difficile de comprendre qu’un référendum en Afrique peut être bidonné d’avance pour un plébiscite pour le oui. Vous pourriez très bien avoir les 2/3 ou les 3/4 qui votent contre la modification de l’article 37 et avoir aux proclamations des résultats, exactement l’inverse. C’est la triste réalité des tropiques que vous ne percevez pas depuis Paris ou que vous oubliez. La démocratie à la sauce burkinabè reste malheureusement de façade depuis sa création en 1991 mais pour vous, vous ne le percevez pas.
    Bizarrement, vous n’évoquez pas les inconvénients d’un pouvoir à vie, la question de la patrimoinisation de celui-ci et des excès en terme de corruption, enrichissement illicite, d’abus de pouvoir, etc. ni même pourquoi faut-il à chaque fois modifier l’article sur le renouvellement ou non des mandats pour une présidence à vie.

  • Le 23 janvier 2014 à 16:44, par Cultive-toi En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Avant de faire des articles scientifiques, il faut s’informer. Il n’y a point de Place de l’Indépendance au Burkina Faso. Tout au plus, il y a une avenue. Mais il y a une Place de la Nation, anciennement baptisée Place de la Révolution. En déhors de ça,j’ai aucun commentaire

  • Le 23 janvier 2014 à 16:49 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Et, combien coûte un référendum inutile dont on peut connaitre le résultat d’avance. Nous sommes en Afrique avec bourrage des urnes, trucage, achat des consciences et non en Europe ? Encore un philosophe griot de service pour vanter les mérites d’une présidence à vie de Blaise Compaoré. Et, pourquoi, on ne voit qu’en Afrique des 20, 30 ou 40 ans au pouvoir et non en Europe ?

  • Le 23 janvier 2014 à 16:54, par PUISSANCE 21 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Chers Compatriotes, Je vous demande de ne pas répondre aux coups de pied de cet ane. Il se croira important s’il voit que ses inepties generent de nombreuses réactions. Il est payé pour bruler notre pays. SVP n’ecrivez aucune réponse et il s’eclipsera de lui meme.

    • Le 23 janvier 2014 à 19:57, par Bance En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

      SVP demandez a Guillaume Soro de garder son " nègre " pour les ivoiriens et qu’il arrête de nous pomper l’air ce Franklin Nyamsi . Il demande a Biya de dégager et il est estime que Compaore doit rester ... Voilà nos pseudos intello du ventre . Circulez monsieur

    • Le 23 janvier 2014 à 21:56, par Mon général En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

      A l’évidence l’analyse baisse de niveau, j’ai trouvé la première sortie plus saillante, alerte, profonde .....sophistiquée. Cette ponte porte visiblement les stigmates d’une intelligente ....étoile filante... Certes elle éclairé sa trajectoire mais sa portée est instantanée, un petit instant, sans lendemain, sans substance, sans enjeux... Vous êtes un cas d’école qui interpelle sur l’essence du philosophe dans la société, son éthique, sa déontologie, sa morale.....son esprit critique. Alors même que les sujets brûlants qui assaillent de nombreuses existences africaines sont lésion vous avez opté pour la philosophie de caniveau, amorale, qui foule aux pieds les règles élémentaires d’humanisme et d’empathie. Vous faites une analyse en apesanteur, théorique, anachronique, inspirée par la froideur du bourreau qui s’acharne sur sa proie.... J’espère qu’à défaut de l’intelligence morale, votre cœur saura vous ramener vers l’humanisme qui oint chaque âme. Cordialement

  • Le 23 janvier 2014 à 19:16, par Verdad En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    On est en politique donc tous les moyens sont bons pour battre sont ennemis mais pas en dehors de la loi. Si le pouvoir en place veut appliquer la loi je ne comprend pas pourquoi l’opposition s’y opposerait. A moins que cette opposition ne soit pas reconnue et régie par la loi. Pour la paix et le développement de la démocratie allons au urnes et que le meilleurs gagnes.

  • Le 23 janvier 2014 à 19:20, par Yeux ouvert En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Mr Franklin Nyamsi, il faut des jeunes qui ont votre niveau de compréhension de la politique pour changer et installer une véritable démocratie au Burkina et en Afrique.

  • Le 23 janvier 2014 à 19:38, par tampès En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Le peuple serein ne se laissera plus distraire. Si tu es homme occupe toi de Biya qui a transformé le Cameroun en empire. Ici au grand jamais, Blaise ne pourra le faire. son terminus c’est 2015. Rien ne peut arrêter la marche du peuple

  • Le 23 janvier 2014 à 19:57, par Yeux ouvert En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    La base de la démocratisons c’est le respect de la loi et de son application. Si vous ne voulez pas applique la loi pour raison de pouvoir personnel c’est que vous n’est pas un républicain mais plutôt un dictateur. Et j’ai l’impression que l’opposition burkinabé veut dicter sa vérité au peuple

  • Le 23 janvier 2014 à 21:34 En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Monsieur ! Il y a un proverbe Moaga qui dit : que chacun broute devant soi. Pour dire que tu connais peut-être mieux les problèmes ivoiriens contrairement à ceux burkinabé. Ton parti pris est très flagrant. Peut-être que c’est des deniers du peuples burkinabé qui ont servi à payer tes études par le truchement de Blaise, c’est possible. Nous te pardonnons et pardonnons Blaise pour ça. Pour te prouver que le peuple burkinabé n’est pas rancunier. Mais tout de même ! Économise ta lumière et vas aider à éteindre définitivement le brasier ivoirien qui couve toujours. Affi N’GUESSAN l’a rappelé il n’y a pas déjà longtemps. Toi qui te considère comme connaisseur de la démocratie, cite-nous un seul pays européen dont le président au terme de ses mandants constitutionnels consécutifs a demandé de modifier la constitution pour qu’il se représente. Nous sommes bien en Afrique, je le sais ; mais l’Afrique n’est pas un exemple. Nous avons importer la démocratie à l’occidentale, allons donc jusqu’au bout de la logique.
    Le peuple burkinabé t’a fait quoi ? La jeunesse burkinabé t’a fait quoi et tu ne veux pas qu’elle s’affranchisse ou s’émancipe ? Si tu étais vraiment ami à Blaise tu lui aurais donné meilleurs conseils et non l’encourager à aller dans le mur.

  • Le 23 janvier 2014 à 22:11, par dygithas En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    vous les soit disant philosophes arrêtez de nous emmerder avec vos idées bidon en réalité je me demande ce que vous philosophes vous apportez concrètement dans la construction de notre pays en dehors du fait que vous passez votre temps à parler pour ne rien dire au finich

  • Le 23 janvier 2014 à 23:28, par KGWK En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Arrêtons de faire de la pub à francolin nyamsi. Après deux quinquennats précédés par deux septennats, le PF doit passer son tour. Il y a plein d’articles de notre loi fondamentale qu’il peut modifier. Pourquoi s’acharne t-il précisément sur celui limitant le notre de mandats présidentiels ? Point besoin de philosopher pour se faire l’avocat du diable. Vingt-huit ans de présidence dans une démocratie, ça suffit. Le Burkina que je sache n’est ni un royaume, ni un califat, ni une principauté.
    Alors arrêtons avec la mauvaise foi. francolin nyamsi combat Paul Biya qui est arrivé au pouvoir 5 ans avant Compaoré. Pourquoi dénier à Biya le droit de mourir au pouvoir et l’accorder à Compaoré ?
    Mauvaise foi d’intellectuel à deux sous quand tu nous tiens !

  • Le 24 janvier 2014 à 05:06, par Tien Tigui En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Aujourd’hui la soit disante ’’démocratie bien comprise’’ ici au Burkina est plutôt une monarchie. Vous avez tout faux car votre perception du contexte est fausse. Au lieu de développer des idées positives, de s’attaquer aux vrais problèmes de développement du pays, vos préoccupations a vous et votre mentor sponsor sont de nous divertir avec cette histoire de sénat et d’article 37, de vouloir instaurer en lieu et place de la république un ’’blaisolat’’ c a d un Gondwana a la Blaise. Triste.

  • Le 24 janvier 2014 à 09:22, par Amine En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Bravo mon frère,il faudra contacter le tonton barbu pour qu’on crée un ministère de la philosophie pour que tu puisse toujours philosopher.Sache bien qu’il y a un temps pour tous et personne n’est plus sage que Dieu ;rappelle toi que le père fondateur de cette constitution de flou est le président du faso,alors il ne faudrait pas insulter l’intelligence du peuple Burkinabé ; pourquoi avoir mi quelque chose qu’il ne comptait pas respecter lui même.Sache qu’à tout moment les pêché d’un homme peuvent être pardonné c’est le cas des démissionnaire,cela pourrait être incompris par un philosophe qui très souvent se croit au dessus de tous.Merci !

  • Le 24 janvier 2014 à 09:50, par Wendmi En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Mon frère, il faut donner ta vraie profession et du moins ta vraie qualification. Je doute fort de ton titre d’agrégé de philosophie. Et il faut éviter de verser tes lacunes sur le web de la sorte. Une université qui se veut sérieuse ne peut pas te retenir comme enseignant.

  • Le 24 janvier 2014 à 10:35, par simp En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    hum, affaire d’honoraire , les hommes vendent leurs ames

  • Le 24 janvier 2014 à 10:49, par Tien Tigui En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Aujourd’hui la ’’démocratie bien comprise’’ ici au Burkina est plutôt une monarchie. C’est la triste réalité. Vous avez donc tout faux car votre perception du contexte est fausse. Au lieu de développer des bonnes idées qui nous aident à sortir de la pauvreté en s’attaquant aux vrais problèmes de développement socio-économiques du Burkina, vos préoccupations à vous et votre mentor sont de nous divertir avec cette histoire de sénat et d’article 37. Tous est bon chez vous pour changer la république en ’’blaisolat’’ c-a-d un Gondwana à la Blaise. Triste.

  • Le 24 janvier 2014 à 10:51, par Tien Tigui En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Aujourd’hui la ’’démocratie bien comprise’’ ici au Burkina est plutôt une monarchie. C’est la triste réalité. Vous avez donc tout faux car votre perception du contexte est fausse. Au lieu de développer des bonnes idées qui nous aident à sortir de la pauvreté en s’attaquant aux vrais problèmes de développement socio-économiques du Burkina, vos préoccupations à vous et votre mentor sont de nous divertir avec cette histoire de sénat et d’article 37. Tous est bon chez vous pour changer la république en ’’blaisolat’’ c-a-d un Gondwana à la Blaise. Triste.

  • Le 24 janvier 2014 à 10:58, par SMS En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    C’est avec une indéfinissable prise sur soi que j’ai pu terminer la lecture de cette tribune.
    J’ai bien l’impression qu’un nouveau type de griots du net à la plume est en train de naitre dans les sérails de nos pauvres pays. J’en ai rencontré au moins trois. Ils se reconnaîtront ! Ainsi donc je me permettrai tout simplement de me poser la question légitime qui est de savoir combien cela nous coûte.
    Malheureusement l’apparition de ces plumitifs sonne en même temps le glas des « fous du roi » que nous avions.
    J’appelle donc tous ces rois auxquels, ils tentent de masquer la gravité de toutes les déficiences qui inéluctablement entraineraient la chute à se réveiller et à écouter leurs sujets car ces derniers se sont réveillés depuis fort longtemps pour marcher vers leur salut.
    Ne vous méprenez pas à confondre crise politique et crise sociopolitique.
    Et désolé, mais je ne lirai pas la prochaine tribune.

  • Le 24 janvier 2014 à 11:53, par Le justicier En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Mon cher ami avec votre philo on ne peut pas nourrir le peuple burkinabé et on ne pourra pas non plus l’utiliser pour ramener la paix si le Burkina se retrouvait un jour dans des troubles. Vous êtes entrain de faire une confusion entre réflexion philosophique et le militantisme. Quand je consulte mon dictionnaire de synonymes le mot philosophie rime avec sagesse, jugement, modération, discernement, raison, prudence, modération et maturité. Mais apparemment vous n’avez pas un esprit de doute qui est le début de tout raisonnement philosophique. Pour moi la journée du 18 janvier a été historique au BF. J’ai appris que le peuple burkinabé est mature et responsable. Le mandat de Blaise court jusqu’en 2015 et le peuple n’a aucune intention de l’évincer du pouvoir. Un referendum coûterait une grosse dépense à notre pays alors que je ne vois pas sa nécessité. Ce ne sont pas tous les droits dont on dispose qu’on exerce à tout bout de champ mais on doit trouver une raison ou une opportunité de le faire. Pourquoi êtes vous restez silencieux quand la Côte d’Ivoire brûlait, grand penseur du temps Franklin ?
    L’opposition a mobilisé en une journée à Ouaga 500 000 manifestant pour la paix au BF. Pas un seul morceau de pneu brûlé sur la voie publique !
    Arrêtez de nous épater avec votre liturgie du diable !
    Si vous êtes croyant lisez la bible : Esaïe Chapitre 52:7 ça vous fera du bien.

  • Le 24 janvier 2014 à 18:11, par Le Pardonneur En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    Professeur Augustin LOADA , Titulaire de Droit public et de Science politique et Pr Mahamadé SAVADOGO , Titulaire de Philosophie politique, SVP, sortez-nous de griffes de ce petit griot, qui revendique un titre de Pr agrégé.
    Il me semble qu’il mérite qu’on le mette à sa place.
    D’avance, merci Professeurs !

  • Le 25 janvier 2014 à 12:13, par verdad En réponse à : Grande leçon de sérénité démocratique burkinabè : un 18 janvier 2014 bien ordinaire…

    la loi c’est le guide, le consensus de tout le peuple. donc personne ne doit imposer ses propres desirs en dehors de ce consensus. mais pourquoi d’autres veulent agir en dehors de la loi ? sommes-nous maintenant dans une société anarchiste ? si chacun doit agir comme bon lui semble, personne ne sera en securité, meme le plus fort, puisqu’il n’ya pas d’autorité. et l’autorité, c’est la loi. tout se base sur la loi, et respectons-la. si elle donne une issue à la modification de l’article 37, donc on peut le faire. au contraire, ce qu’on ne doit pas faire, c’est empecher quelqu’un de jouir de cette possibilité, puisqu’on ira contre la loi.

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