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Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

Publié le mardi 21 janvier 2014 à 18h52min

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Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

Cher K.D. C. Dabiré,
Cher collègue,
J’ai lu avec un réel plaisir la délimitation conceptuelle du cantinisme que vous empruntez à Deleuze. Merci de constater que je n’ai point trafiqué les propos du Président Millogo Dé Albert et votre longue citation de ceux-ci accrédite en tous points mon point de vue sur le Sénat, dispositif constitutionnel à respecter lorsqu’on est républicain.

Le cantinisme où le réfectoire est extrait de la matérialité de la base sociale. S’il suffisait de chercher une brouette à la Deleuze pour exhiber une misère morale hantée par le goût de l’ostentation, je vous aurais décerné la palme d’or. Monsieur le Procureur de l’ « arnaque intellectuelle », la charge de la preuve vous incombe. Or il se trouve que votre besace est vide comme ce double Non du CFOP qui est synonyme d’impasse morbide.

Soyons sérieux et ne consacrons pas l’effondrement de la pensée critique en la mettant à la remorque d’obscures officines ou desseins mercantiles.

J’écris pour mon pays. J’interpelle les leaders de mon pays sans compromettre mon indépendance d’esprit. Alors, d’où vient que vous et mon ancien professeur E.Traoré, pratiquant d’un souverainisme semblable à « ce grand cadavre à la renverse » que diagnostiquerait Sartre, vous ne voyiez que des fourchettes et cuillères comme si notre pays était un grand festin et le Faso, la République de ripailles ?

Déparasiter vos entendements de l’idée de conspiration ou d’argent pour une salubrité intellectuelle. Ayez l’audace d’utiliser votre entendement sans corruption de la contingence matérielle ou névrose du complot, c’est du reste la pétition de la philosophie des Lumières. Ce que vous décrivez, s’il était avéré, subsume le concreta que je nomme les rentiers de la république dont font partie les démissionnaires du CDP et leurs devanciers du CFOP.

Autant votre plume est indépendante, autant est la mienne et je vous remercie d’identifier et de subsumer sous le même concept tous ces rentiers.
Militant d’aucun parti et ne pratiquant aucun de nos chefs, je sais que philosopher ne consiste pas à signer des pétitions, comme vous d’ailleurs. Je m’autorise à vérifier les hypothèses dans le strict but de préserver la paix, condition sine qua none de l’exercice de nos droits démocratiques.

Républicain, j’attire l’attention de nos chefs sur le risque de saborder nos institutions, de séculariser leur affaissement, risque que nos frères de Centrafrique ont érigé depuis Bokassa en normes gouvernementales avec les conséquences tragiques que nous connaissons comme Africains aujourd’hui.
Evidemment, je pleure le grand leadership qu’incarna Barthélémy Boganda mort en 1959 à la veille de l’Indépendance de son pays comme notre Ouezzin Coulibaly mort en 1958 ; partis trop tôt.

Ceci montre à l’envi que le destin des peuples est parfois forgé par des chefs charismatiques qui incarnent la durée d’abord comme dignité humaine et ensuite comme stabilité et comme prospérité.

L’hypothèse que vous aviez soumise à ma sagacité, serait digne de créance si et seulement si, les forces politiques opposées à la tenue du référendum, non pas comme vous l’écriviez pour autoriser un citoyen à postuler, encore que l’article 37 autorise sa propre modification- le législateur, l’interprète authentique, savait que sous ce concept tombe une personne quelconque, la personne du Président du Faso- avaient avec discernement compris que dans le principe, c’est un non-sens, voire un élitiste mépris du peuple souverain que de s’opposer à sa convocation aux fins d’arbitrer les différends politiques du leadership national.

Défenseurs de la Constitution, nous le sommes tous puisqu’elle est notre boussole. Dans le même temps, Montesquieu nous donne une définition de la liberté que le philosophe que vous êtes devrait méditer toujours concernant l’article 37 : « La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent ». Oui ou non, le législateur autorise la modification de l’article 37 ? Auquel cas, comment peut-on refuser à un seul citoyen, jouissant de tous ses droits de faire ce que les lois lui assurent comme permis ?

Maîtres de la raison, les philosophes s’interrogent d’abord sur la vérité et sur la justice qui ne souffrent aucun compromis suivant Rawls. Le droit de ce citoyen est-il oui ou non violé, si jamais ses ambitions légales étaient frappées d’irrecevabilité a priori ?

Dans son Essai sur la Paix Perpétuelle (1795) Kant nous prévient : « Une violation de droits commise en un lieu est ressentie partout ». Je vous sens en train de le ressentir puisque votre formation vous y prédispose. C’est pourquoi, j’affirme avec Hegel que l’Etat qui a pour but l’universel ne doit point déroger à cette exigence d’impartialité vis-à-vis des individus. Il doit recevoir les ambitions légales de tout citoyen.

Imaginez que le citoyen Blaise Compaoré introduise une requête auprès de notre juridiction suprême pour dire qu’il est lésé dans son droit de citoyen libre quant à la recevabilité de son vœu d’utiliser des moyens légaux à sa disposition pour déverrouiller l’article37. Au motif que d’autres regroupements de citoyens jouissant des mêmes droits s’opposent à l’exercice de ses droits, non pas en raison de ce que la loi interdit mais en raison d’engagements privés.

Ne philosophons pas au lance-pierres. Je ne soupçonne pas votre contribution d ‘être à la remorque de la société civile (différente de l’Etat) puisqu’elle se fonde sur la défense des intérêts particuliers des individus, tout comme les partis politiques dans l’exacte mesure où ils ne sont que des regroupements de droit privé.

Je la constate comme contribution utile mettant le focus sur un point de vue défendable parce qu’argumenté. Sans plus. Alors, gardons-nous de prendre des raccourcis juste pour se gaver de mots. Il s’agit de notre pays, de notre destin partagé. Nos contributions participent de la pédagogie républicaine au service de nos concitoyens sinon un texto suffirait.

Il ne sert à rien de déterrer des concepts abscons pour se prévaloir d’un quitus philosophique. Ensuite, nous savons vous et moi depuis Frege qu’un concept subsume des concreta. Passons. S’opposer au principe même de la convocation sous prétexte que c’est une présidentielle, dites-vous, avant l’heure est un heurt pour eux-mêmes en ceci que leur attitude dénote un aveu d’impossible mobilisation populaire durable aux fins d’obtenir un NON cinglant aux velléités de modification.

Mieux, ce n’est point dans la rue que ça s’obtient. C’est en convoquant l’arbitrage des institutions de la république. Si elles échouaient, le peuple souverain tranche dans le vif référendaire si j’ose dire.

Quel citoyen épris de paix et de justice soutiendrait un Président sortant battu au référendum ? Personne. Seule sa démission lui resterait comme ultime honneur. Voilà l’évidence apodictique à laquelle nous serons rendus tôt ou tard.

Aussi, ai-je pensé qu’il s’agissait bien d’un référendum révocatoire aux mains des forces d’opposition. Quelle aubaine ! Elles qui crient avec une jubilation qui se veut contagieuse : sortons le sortant ! Il leur revient en tant que démocrates de relever ce défi, tandis que pour le parti majoritaire, la thématique était celle de la confirmation du leadership du Président Compaoré.

Feu le Président Hugo Chavez était passé par là et avec brio sans corruption des urnes, prothèse politique de nos leaders d’opposition. Ainsi, ayant rejeté par-dessus bord le principe même du référendum, les forces d’opposition politique vivent une rupture épistémologique au sens même où votre hypothèse ne valide que la modalité, la contextualisation de la survenue du référendum.

Advenant l’acceptation du principe même du référendum, alors intervenait le moment de la modalité de validation (principe de rétroactivité, cas particulier) et enfin celui subséquent de l’énoncé lui-même dont la clarté ne doit souffrir d’aucune équivocité (cf. Cour Suprême du Canada sur un éventuel référendum sur la séparation du Québec sans préjudice des droits fondamentaux du peuple québécois à disposer de lui-même, 1995).

Si nous rangeons nos lance-pierres, nous sortirons de notre imaginaire sclérosé et constaterons que seul l’appel au dialogue républicain entre chefs de tous bords est essentiel et au-delà, l’appel au peuple.

Le Président Clinton par exemple, a obtenu une augmentation de salaire des Présidents américains ; mais il n’en fut jamais bénéficiaire lui-même. C’est ce concept que votre hypothèse valide. Mais il s’agit bien d’un cas particulier qu’en sciences, les nouvelles théories intègrent comme tel sans préjudice du contexte général.

Aussi, la contextualisation, au-delà de mille nuances, est d’abord courage d’anticipation et immersion dans l’historicité du fait-évènement. Votre concept passe incognito à côté des conséquences raffinées de la survenue du fait-évènement, aussi pense-t-il trop court pour les subsumer et ensuite les exhiber pour l’entendement commun.

Le fait-évènement engage l’histoire au sens où il est la jonction de la figure emblématique et du récit pour laisser une trace qui est la vérité. Je milite en cela pour la lecture du philosophe Alain Badiou.

Des rentiers de la république que je vois, j’en déduis qu’ il y aura des querelles d’étalons où tous les hennissements seront vite inaudibles sans élection possible de la figure emblématique même si le plus petit dénominateur commun reste pour eux : il faut sortir le sortant comme si ses ambitions étaient illégales, asymétriquement à la légalité de celles des autres.

C’est le degré zéro du leadership d’anticipation et les propos de salon entre amis d’hier, n’engagent pas le peuple. Ce ne sont point des serments et s’ils le sont, ils sont privés.

Le Président François Hollande soutient avec raison et élégance que les affaires privées se traitent en privé. Il s’ensuit que ce ne sont point des parjures comme le postule le Professeur Ibriga. J’attends, cher collègue, que vous me fournissiez d’ailleurs un thermomètre adéquat pour prendre la juste mesure des engagements-désengagements privés de nos leaders, comme Bentham et ses amis utilitaristes qui s’échinaient à en trouver un pour mesurer les plaisirs.
Que notre technostructure préserve la paix chèrement acquise sous la IVe République, puisque c’est le seul bien qu’on est en droit d’attendre d’elle.

Je salue d’ailleurs cette journée de protestation nationale, pacifique, républicaine et démocratique. Mais je ne vois pas de programme sérieux où transparaît l’engagement de rassembler le peuple pour lutter contre les nouvelles formes d’injustice, les nouvelles servitudes de la mondialisation ou même les maux que vous nommez.

Le CFOP a théorisé sur le caleçon de… la décence m’interdit de continuer, propos tenu dans un quartier de Ouaga où les nuits torrides et la bière sont la meilleure promesse. C’est pourquoi, moins que l’ « obsession du référendum », c’est davantage ce double NON des opposants qui se veut couler dans le marbre et le vide programmatique qui ne sont point une ouverture qui me hantent.

Que les membres éminents de notre leadership national se retrouvent autour de notre Président pour trouver les chemins du gentleman’s agreement. Voilà l’impératif de paix. C’est le sens de la démarche hautement fraternelle et solidaire que le Président Guillaume Kigbafory Soro a entreprise, mandaté par le Président Alasssane Ouattara.

Je ne commenterai pas la sortie calamiteuse et irrévérencieuse de Madame Saran Sérémé puisque je ne saurais comme un vautour, faire les poches d’un souverainisme en décomposition avancée. Ecrire n’importe quoi n’est point la preuve de non décomposition du cadavre, chère sœur de Tougan. Nos chemins ont du se croiser au C.E.G. De l’élégance et de la pondération !

A l’inverse, la médiation du Président Soro a déjà produit son effet : les opposants ont préservé la paix, contenu l’incivisme de leurs radicaux et ils sont à saluer puisqu’ils ont réussi à rassurer nos frères qui nous accompagnent à retrouver les chemins de paix et de sérénité.

En dehors de ces choix de raison et de cœur, les mille ambitions présidentielles rivales sonnent belliqueuses et attentatoires à notre tranquillité. De même que les nations libérales ne se font pas la guerre selon K. Waltz, l’un des pères du nouveau réalisme (l’homme, l’Etat et la guerre) en sciences politiques aux Etats-Unis (rencontré en 1995 à Ottawa, un penseur plein d’humour que je vous recommande) de même, j’asserte que les ambitions républicaines ne doivent pas se faire et se défaire sur le minimum démocratique qu’est la consultation du peuple souverain pour arbitrer un halo d’ambitions.

L’autorisation de cette marche-meeting du 18 Janvier dernier, et son encadrement par l’autorité est un acte républicain. C’est le serment que les autorités ont prêté et observé. Il faut saluer cette protection du peuple. Et comme on est en si bonne compagnie démocratique, personne ne comprendrait que nos dirigeants soient à ce point responsables dans le respect des droits et règlements en vigueur et s’offusquer, refuser et se braquer inutilement contre le minimum démocratique qui assure la tranquillité de tous : le référendum à défaut des ¾ de votes de nos Honorables Députés. L’ADF –RDA détient la balance.

L’alternative, ce sont ces autres chemins qui ne mènent nulle part ou peut-être, assurément, offre un tremplin pour aventuriers impatients. Seule la vérité des urnes est jaillissement d’un futur voulu et maîtrisé comme volonté nationale.

Cher collègue Dabiré, il ne faut surtout pas vous méprendre comme le Professeur F. Fukuyama qui, constatant le déclin des constellations communistes, se prit à rêver la fin de l’histoire et le dernier homme avec le triomphe des politiques néo-libérales comme si des nouvelles formes d’exploitation des plus faibles pour reconduire le train des injustices ; faut pas s’en faire.

Ouf ! l’histoire du Président Compaoré est à son terminus semblait laisser entendre les ténors de l’opposition, drapés dans la simplicité de la colombe, eux qui, hier observait la prudence du serpent, l’autre versant de la liturgie kantienne.

Les socio-démocrates du CDP et la gauche démocratique savent que le peuple attend un grand programme émancipatoire. Cette plate-forme néo-développementiste exige d’eux une totale réconciliation au service du peuple. Hégélien, il suffisait à Fukuyama et à ceux qui parient sur la fin du leadership du Président, de maintenir en vigilance, cette mémoire : l’oiseau de minerve prend son envol au crépuscule. Ce qui d’une certaine manière est asymétrique à cette autre belle plume de notre continent qu’est Mia Couto du Mozambique qui, décrivant la maladie de la baleine écrit : elle meurt sur la plage les yeux rivés sur l’horizon marin. Doloris !

Notre libre arbitre nous est donné par le peuple. Sa voix est prépondérance et surclasse tous ces hennissements d’étalons autour de l’unique jument disponible : le fauteuil présidentiel. D’où ces histoires de cantine, de virilité, de caleçon… beau scénario pour nos vaillants cinéastes !

Que Dieu garde notre pays, notre continent.

Fraternellement,

Mamadou Djibo, Ph.D.
Philosophie

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Vos commentaires

  • Le 21 janvier 2014 à 18:02, par manus En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Pas convaincant ! on fera le referendum après 2015. pas d’urgence à le faire maintenant. Pardon !!!

    • Le 22 janvier 2014 à 08:51, par la lune En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

      eh oui juste et convaincante comme analyse merci monsieur djibo pour avoir tenter de rincer l image de notre savoir si ce n est vous ces vieillards vont empoisonner le peuple avec leur raisonnement frapper de caducité la

    • Le 22 janvier 2014 à 11:39, par le fils de pays En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

      l’opposition n’a pas intérêt a aller au référendum parce que le président est encore populaire et si on va au référendum il risque de perdre a plate couture. alors il vont instauré le désordre et la confusion dans l’esprit du peuple.

    • Le 22 janvier 2014 à 15:44, par l’amazone En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

      merci monsieur DJIBO pour cette analyse. il faut que les opposant et la population comprenne que le président n’est pas dans l’illégalité quand il demande la modification de l’article 37 et la mise en place du sénat. la constitution na l’interdit pas. chers leader d’opposition , arrêter donc de vouloir passer par la courte échelle pour étancher votre soif de pouvoir. arrêter de laver l’esprit du peuple et les inciter à la désobéissance.

  • Le 21 janvier 2014 à 18:16, par RV En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Blaise a le droit de proposer la modification de la constitution mais ce n’est pas un devoir de le faire. Par contre, Blaise a le devoir de préserver la paix et la cohésion sociale parce qu’il n’y a pas d’Homme providentiel.

  • Le 21 janvier 2014 à 18:18, par LAGUI ADAMA En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Mr Mamadou Djibo,tout ce que vous dites est PROPRE mais comme on le dit souvent il est inutile d’avancer des arguments de bonne fois face à des gens de MAUVAISE foi Mais une chose est incontestable sur le sujet de la modification de l’article 37 la volonté du PEUPLE sera consultée et respectée par référendum ! Vive le PEUPLE Vive le CDP Qu’Allah bénisse et protège son Excellence Mr Blaise Compaoré et sa noble famille

  • Le 21 janvier 2014 à 18:22, par FasoOuRien En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Vous là mm vous nous fatiguez, vous êtes là entrain de nous gaver de Sartre, Kant , Hegel et d’autres n’importe quoi... On est au Faso, et si vous voulez être concrets parlez nous des gens du Faso : Blaise a dit cela, Salif a repondu que, Rock aurait dit que, au moins on vous suit et on se sent concerner.... Là, vous ne faites que dire ce que un certain quelqu’un à une certaine ’époque dans un certain pays lointain aurait évoqué sur une certaine situation donnée... mm si vous n’êtes pas intelligents, au moins vous devez savoir que ces propos de philosophe, n’ont rien à voir avec ce que nous vivons au Burkina... De grâce, parlez nous de ce qui se dit se fait se passe chez nous au Faso...

  • Le 21 janvier 2014 à 18:25, par Abdoul de NY En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Monsieur Mamadou Djibo ayez de la retenue et respectez vous. Nous sommes arrives a un stade de notre marche historique que ce sont pas des essais furent ils philosophique qui va arreter la marche lente mais sure de notre peuple vers la liberte et le trioomphe . Une marche qui va se solder d’une victoire ou notre peuple va se debarasser de cette dictature rampante qui veut s’imposer et dont certains griots comme vous autres se souciant plus de leur tube digestif que de la democratie. Alors pour une fois arretez de vous distraire car il est trop tard pour Blaise Compaore il n’aura plus la possiblite d’assouvrir sa boulimie du pouvoir a vie

  • Le 21 janvier 2014 à 18:29, par Le Sage X En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Je comprends maintenant pourquoi le niveau de nos étudiants à l’UO est t minable et leur raisonnement plat... C’est ATAVIQUE

  • Le 21 janvier 2014 à 18:29, par Petit En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Arrêter votre philosophie maintenant. Notre affaire la ça relève pas de la philosophie. Pas de senat, article 37 nitouche et pas de référendum. Un point un trait

  • Le 21 janvier 2014 à 18:33, par soul En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    bonjour Djibo, c’est Soul ton ami de Bobo
    je suis content de savoir que tu va bien
    merçi et bon vent à toi

  • Le 21 janvier 2014 à 18:41, par un élève qui s’est arrêté en seconde En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    « La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent » Et voilà le sophisme. Citez moi une loi qui interdit un prêtre de violer un enfant ? La loi interdit d’abuser d’un enfant sans indexer une personne particulièrement. Mais notre colère est incontenable quand c’est celui qui est censé protéger la veuve et l’orphelin qui les violent. Heureusement, que K.Marx nous avait prévenu que celui qui philosophe dans un taudis n’aura pas les mêmes conclusions qui celui qui philosophe dans un palais. Qui avait dit qu’il fallait deux éditions de la Bible ? Et revoilà les philosophes du clair-obscur. Misérable ! Pitoyable !

  • Le 21 janvier 2014 à 18:43, par 1Ecoeuré En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Mon cher philosophe, trève de balivernes. tout cela pour dire quoi ? que vient faire Hegel, kant sartres et conssorts ici. la question est simple, le président compaoré a t-il fait deux mandats oui ou non ? que dit la constitution sur cette question ? Est ce maintenant , alors qu’il s’agit de laisser la place à d’autre que vous decouvrez subitement que la limitation des mandats pose problème. je crois qu’il faut se rappeler que cette constitution avait été un consensus politique ayant permis au même président de continuer son règne après la grave crise consécutive à l’assassinat du journaliste émérite Norbert Zongo dans les années 2000. il n’est pas moralement sage ni honnete de toujours remettre en cause les acquis politiques obtenus au forcept pour juste permettre à un individu, une famille et un clan de regner ! A vous autres philosophes et autres penseurs égarés, sachez que vous serez tenus responsables devant l’histoire de complicité , de non assistance, d’incitation et de collaboration à des activités criminelles contre le peuple du Burkina Faso !

  • Le 21 janvier 2014 à 18:43, par DJAMNATI En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    C’est des gens comme vous qui brulent les pays et qui fuient pour se réfugier ailleurs. Ici il ne s’agit pas de montrer qu’on est philosophe, ni de citer des grands auteurs, mais il s’agit de LEGITIMITE. Pourquoi faire un référendum pour permettre à une seule personne qui a déjà 27 ans de pouvoir de continuer ? Pourquoi Blaise COMPAORE et vous aviez vous accepté les conclusions du collègue des Sages et qui ont conduit à la re modification de l’article 37. Dites moi, dans votre expérience de philosophe ou politique, dans quel pays au monde, on a modifié un article de la constitution 4 fois ? Supposons qu’on aille au référendum et que l’article 37 est modifié, ce serait la 4e fois que ce article sera modifié, dites moi la démocratie, c’est un va et vient ou une référence pour un pays et dont tout le monde doit s’approprier. Si dans l’avenir, un autre un autre régime estime qu’il faut encore limiter le mandat, il faut encore un référendum ? Aidez nous à construire et non à détruire. On ne parle pas du possible, on parle du nécessaire ? Es ce que c’est nécessaire d’avoir plus de deux mandats à la tête d’un pays ? Répondez à cette question ! Allez philosophez dans les amphis et laissez le peuple consolider sa démocratie !

  • Le 21 janvier 2014 à 18:45 En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    C’est commence ca que des philosophes éduquaient les monarques européens du siècle des lumières pour que ces derniers tolèrent quelques libertés à leurs sujets. Il n’y a pas de sujets ici aujourd’hui, il y a des citoyens qui ont le même droit que Blaise de prétendre au pouvoir. C’est pourquoi la constitution a limité l’exercice du pouvoir pour chaque citoyen et il n’appartient à aucun malin individu qui se croirait même exceptionnel de manipuler ce pouvoir pour nous ramener à une situation semblable à l’Europe du 18e siècle, c’est-à-dire à une monarchie éclairée. Nous sommes maintenant au 21e siècle, n’oublions pas.

  • Le 21 janvier 2014 à 18:45 En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Je le savais. Pendant que ces philosophes « un peu fou » seront toujours dans l’agora en train de chercher à prouver qui de l’œuf ou de la poule est venu au monde le premier ou qui est plus diplômé que l’autre, le peuple sera déjà en 2016 avec un nouveau Président différent de l’actuel. Vraiment, ce pays a financé tes études pour rien. Ce qui se passe n’est pas une dissertation. On n’est pas dans un amphithéâtre non plus. C’est la réaction des gens de peu, des gens qui acceptent toujours d’être piétinés mais qui aujourd’hui utilisent leur instinct de survie.

  • Le 21 janvier 2014 à 18:50, par le chevalier myatérieux En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    c’est vrai en tant que philosophe de produire un tel texte qui à mon avis et en certains enfroits souffre de bizarerie et d’ambiguité à l’avenir exposez nous en bon français simple et clair vos idées au lieu de de divertir dans ce langage philosophique dont vous seul maîtrisez le sens

  • Le 21 janvier 2014 à 18:51, par Naaba beogo En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Ha sa la n’est pas n’importe qui est PHD l’ancien prof doit admirer son élève qui écris un tel article que chacun a besoin au moins 10 fois pour comprendre . Hélas comme il y’a trop de couille molle il vont commencer a l’insulter sans mm comprendre le contenu
    Chapeau a toi mr Djibo mes respects . Si on sollicitais un grand débats sur l’article dans toutes les langues je crois qu’il n’y aura pas d’opposant
    PAix pour ma natiion

  • Le 21 janvier 2014 à 18:52, par grand filo En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    "S’opposer au principe même de la convocation sous prétexte que c’est une présidentielle, dites-vous, avant l’heure est un heurt pour eux-mêmes en ceci que leur attitude dénote un aveu d’impossible mobilisation populaire durable aux fins d’obtenir un NON cinglant aux velléités de modification". J’ai vraiment aimé ce passage. Il faut que les opposants utilisent tous ceux dont la loi les autorise à faire et non ce que la rue leur donne comme illusion !!!!

  • Le 21 janvier 2014 à 19:13 En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Bravo pour votre rhétorique M. Djibo. A vous lire nous sommes tenté de croire que nous avons là une bombe intellectuelle à l’usage du Blaiso. Les démissionnaires d’aujourd’hui l’ont défendu plus que vous. Bon vent à vous mais sachez que le peuple a pris son sort entre ses propres mains et que personne ne pourra encore nous endormir avec quelque philosophie que ce soit.
    Merde

  • Le 21 janvier 2014 à 19:22, par excellent est mon nom En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    j’espère que Mr Djibo mais sa connaissance au profit de la jeunesse à l’université de Ouagadougou !
    sinon...

    Ne soyez pas dupe cher foulosophe !
    revenez à la réalité, c’est ce qu’on appelle la jurisprudence.
    Cordialement

  • Le 21 janvier 2014 à 19:22, par bloco En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    quel beau article ! vraiment il y a Ph.D. et ph.d camarades

  • Le 21 janvier 2014 à 19:31 En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Vraiment ! Nous on connait pas Philosophie ! C’est une question de rapport de force qui va nous départager ! Ce n’est pas la peine de philosopher ! On veut pas SENAT, On MODIFIE PAS ARTICLE 37 ! Qu’est-ce qui est difficile à comprendre ! Dans la foule du 18 janvier y avaient des philosophes !

  • Le 21 janvier 2014 à 19:32, par BLA En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    c’est propre Professeur vous êtes un grand si j’étais le président j’allais vous décoré en OFFICIER DE L’ORDRE DE MERITE, vous méritez votre Ph.D.

  • Le 21 janvier 2014 à 19:34, par youssouf kouama En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    ce burkinabé diplomé d’un PHD maintenant collègue de Dabiré met à nu tres clairement le niveau piteux de l’analyse de son ex professeur :Dabiré ,en réalité ce dernier est un lèche botte ,il ne ne voit que là ou il peut nourrir ses propres désires au mépris de l’intérêt général de la nation.en un mot c’est un pourrit de notre société

  • Le 21 janvier 2014 à 19:38, par Lepaysdoitavance En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Dabire, SVP ne repondez pas a ce monsieur. il ne merite pas votre reponse. lui il s’amuse, vous vous etes au serieux.

    pourquoi vous me censurez webmaster ?

  • Le 21 janvier 2014 à 19:40, par Impartial En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Tout comme vous, je suis parfaitement d’accord avec l’idée du referendum. Refus le référendum sous un quelconque prétexte d’une fraude anticipé serait faire preuve d’antinomie. Car, jamais l’opposition n’a refusé l’idée du vote au Burkina Faso sous l’idée présomptueuse d’un tripatouillage..

    • Le 22 janvier 2014 à 02:30, par Themis En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

      Je partage votre point de vue.
      La virulence de ceux qui se disent opposants a la tenue du referendum trahit un manque d’assurance. Redouterions-nous que le "Oui" l’emporte ?
      Et soutenir que le vote serait truque, c’est nier la possibilite d’elections propres au Faso. Les responsables de l’opposition ont bien ete eleves a leurs positions actuelles par le peuple a travers la voix des urnes

  • Le 21 janvier 2014 à 19:44, par Le vizir En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Enfin,avec cette belle plume notre philosophes sort de sa decente dont il est habitué pour affronter vis a vis ses detracteurs "philosophes"le taxant de vendu,corrompu et je ne sais quoi encore.merci pour ta reaction.notre Dr a tjrs donne son point de vue dans un style qui inspire le respect Voila une certaine elite vivant dans l,amertume crie au complot teleguide je ne sais X qui ce qui prouve bien mieux vaut BC que cette noblesse de plume pour laquelle "si vs ne pensez PAS comme moi vs vs etes contre moi"

  • Le 21 janvier 2014 à 19:48, par youssouf kouama En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    BLAISE est un citoyen burkinabé tout comme le marchand de journaux et nul ne peut interdire un citoyen d’exercer son droit .il peut donc poser plainte car il a le plein droit d’utiliser les voix légaux pour sauter le verrou de l’article
    37. s’opposer au référendum serais empêcher un citoyen burkinabé de jouir de ses droits

  • Le 21 janvier 2014 à 19:53 En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    à la différence des sieurs dabiré et traoré qui sont de vrais philosophes qui n’ont pas usurpé leur titre,toi djibo tu es un "philou-sophe" à savoir que tu es un grand filou et je n’ai vraiment pas envie de répondre à tes vomissures. tu incarnes la honte,tu es né avant la honte. tchurrrrrrrrrr

  • Le 21 janvier 2014 à 19:54, par Impartial En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Tout comme vous, je suis parfaitement d’accord avec l’idée du referendum. Refus le référendum sous un quelconque prétexte d’une fraude anticipé serait faire preuve d’antinomie. Car, jamais l’opposition n’a refusé l’idée du vote au Burkina Faso sous l’idée présomptueuse d’un tripatouillage..

  • Le 21 janvier 2014 à 20:00, par Koumbem Tipousga En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Monsieur Djibo, si votre mendicité n’a pas marché parce que des gens ont vu votre dos, de grâce, laissez comme ça. Vous parlez, nous marchons. Vos écrits ne peuvent rien changer à l’heure actuelle. Dites à votre commanditaire que la tâche est ardue. Rendez-lui son argent.

    Tu nous pompe l’air avec des concepts philosophiques non maitrisés.

    Merci

  • Le 21 janvier 2014 à 20:01, par barakissa sanou En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    l’opposition est descendue dans la juste par peur de perdre au référendum
    qui est la voix la plus légale qu’on puisse avoir .Pour un oui ou un non le problème serait résolut mais ayant des idées tordues ils ont opté pour un lavage de cerveau de la population dans le but de déstabiliser les institutions de notre nation

    • Le 22 janvier 2014 à 10:01, par DJAFAR En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

      faudrait d’abord qu’il y’ait de vrai institutions. On les transforme en fonction des individus qui ont bien travaillé pour la famille Comp. fusion et scission de ministère sans planification aucune et sans répondre à une préoccupation nationale. Concernant ce philosophe, je comprend mieux pourquoi WADE disait qu’on en avait pas besoin en Afrique. Rassembler les gros mots du larousse pour se distinguer. Heureusement que nos enfants ne s’orientent plus vers cette filière.

  • Le 21 janvier 2014 à 20:12, par BO En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    félicitation à vous pour ce beau article, que son objectif soit atteint et que nos professeur qui se ventent saches qu’il y a Ph.D. ET ph.d. j’oubliai si vous avez un temps pour ces étudiants de l’U O nessitez à venir donner un coup de mains à vos collègues qui s’y sont.

  • Le 21 janvier 2014 à 20:12, par dygithas En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    cher amis réformiste dite à ce philosophe des ténèbres d’arrêter de se masturber l’esprit le peuple souverain s’est prononcé le 18 janvier,point de sénat ni de l’article 37.si tu compte sur ce régime pour devenir quelqu’un c’est raté.

    • Le 22 janvier 2014 à 02:37, par Themis En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

      Ah Bon ? Donc 15 millions de Burkinabes etaient dans les rues le 18 ?
      Si on peut regler les problemes politiques a si peu de frais, a quoi bon organiser des elections couteuses.

      Si vous etes si convaincu que le peuple s’est prononce le 18, pourquoi redouter le referendum ? Donnons en une aura juridique et legale. A travers un vote du peuple souverain. La reponse sera gravee dans du roc.

      C’est dans les urnes que le peuple s’exprime de facon souveraine, non dans la rue.

      • Le 22 janvier 2014 à 09:21, par tondyayeme En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

        Thenis ta nullité est sans précédent sache que 15 millions de burkinabé ne voterons pas non plus a un hypothétique referendum (il s’agira d’ailleurs d’un plébiscite)car il faut remplir un certain nombre de conditions pour pouvoir voter ce ne sera donc une expression du peuple. C’est le vrai peuple qui s’est exprimé le 18 janvier 2014. Tu aurais du nous épargner du fait de nous étaler ton ignorance aigu et saugrenue.

      • Le 22 janvier 2014 à 09:25, par tondyayeme En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

        Thenis ta nullité est sans précédent sache que 15 millions de burkinabé ne voterons pas non plus a un hypothétique referendum (il s’agira d’ailleurs d’un plébiscite)car il faut remplir un certain nombre de conditions pour pouvoir voter ce ne sera donc une expression du peuple. C’est le vrai peuple qui s’est exprimé le 18 janvier 2014. Tu aurais du nous épargner du fait de nous étaler ton ignorance aigu et saugrenue.

  • Le 21 janvier 2014 à 20:17, par el messi En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    ca c’set un travail d’un homme intègre, d’un burkinabé qui aime son pays et qui se bat pour le bien être de ses frères burkinabés. il n’est pas égoïste cet homme la

  • Le 21 janvier 2014 à 20:18, par barakissa sanou En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Mr Dabiré la philosophie c’est la critique ,c’est contribuer à dégager de manière rationnelle des solutions vis à vis d’une situation donnée et non prendre parti .plus grave le professeur se plante dans le décor .je crois que vous devez prendre des cours au prêt de votre ex étudiant car votre formation n’est pas achevée.

  • Le 21 janvier 2014 à 20:35, par barakissa sanou En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    CFOP est un clan qui se base sur les ignorants :jeunesse mal informée pour conduire leur volonté de nuire à cette nation .ils parlent de démocratie qu’ils ignorent eux même .c’est pour çà qu’ils veulent par tout les moyens d’empêcher BLAISE d’exercer ses de de citoyen

  • Le 21 janvier 2014 à 21:08, par contributeur En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    tu cherche un poste ? Trop tard

  • Le 21 janvier 2014 à 21:14 En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    S’ il faut etre philosophe comme ca, c’est pas la pel comme me disait mon oncle Tanzougman qui a perdu ces deux rotules a Dien Bien Phu en Indochine. Tu n’as meme pas honte, Djibo. Malheureusement tu es venu a la mendicite trop tard. Toi oh, ton Blaise oh, ton FC oh, personne ne va etre president ici. Le peuple s’ est mis debout. Comme tu ne connais pas la honte, au lieu de dire que tu as un phd en m,arketing politique, tu oses dire que tu es phd philosphie. Tu es la honte des philosopheurs . Ta philosophie mercantile, tu peux la foutre dans ton cul. Voila le language du peuple. Gbe. Terre dans ton coin comme d’ autres avocats du diable mediocres comme toi. Encore ces paweogos. Ils ont raison. Ils viennent loin du Burkindlum. Tu es sorti au mauvais moment. Tu n’as meme pas le flair.

  • Le 21 janvier 2014 à 21:26, par vérité no 1 En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Mr Djibo, la constitution ne sera pas modifiée, pian !!!!

  • Le 21 janvier 2014 à 21:34, par toega En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Petit philosophe, on peut être plus riche que son pr mais plus doué ds la même matière,ça reste à vérifier, et si le peuple dépose ds la même cour, une plainte pour haute trahison, puisse qu’il a prêté serment.je suis pas philosophe, mais à vs lire on peut vomir jusqu’ au tripe.
    Seriez vous capable de défendre le BF dans un colloque Vous ?

  • Le 21 janvier 2014 à 21:38, par BLA En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    c’est propre mon frère, l’élevé a dépassé le maitre. votre professeur doit être fière de vous même si....?

  • Le 21 janvier 2014 à 21:50, par ZAT En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    On voit que vous êtes touché dans votre orgueil. Mais soutenir que Mr Blaise Compaoré est un citoyen comme les autres ; et que par conséquent, il peut demander la modification de l’article 37 de notre constitution, au seul motif que cet article lèse son intérêt personnel, est d’une fastidieuse rhétorique qui feint d’une ignominie inqualifiable à la remorque d’une malhonnêteté intellectuelle. Vous savez bien que si Mr Compaoré a le droit de convoquer un référendum, c’est bien parce qu’il est le chef de l’Etat. Ne venez donc pas nous servir votre salade pourrie dans une assiette en porcelaine avec des couverts en or( assiette et couverts pour la rhétorique et la maîtrise de la langue). Mr Dabiré a certainement eu raison de parler de "rentiers de la république" : ce qui vous a certainement empêché de dormir. Je vous croyais philosophe, capable de recul, de regarder les choses avec plus de hauteur et qu’ en tant qu’intellectuel, vous laisseriez ce genre d’affirmations à vos collègues de droit. Hélas, vous voici en train de vous acharner avec mépris sur un collègue aux points de vue divergents. Vos références et vos multiples citations ne m’ont pas non plus davantage éclairé sur votre supposé neutralité. Je continue de penser que vous êtes dans la cour de Mr Compaoré et que vous vous apprêtez à rentrer dans le palais.
    Personne ne conteste que vous avez fait de brillantes études et que vous maîtrisez la langue de Molière. Mais le gros problème est d’utiliser cette intelligence,d’abuser de votre rang social, qui vous place comme une lanterne du milieu dans lequel vous vivez ( Burkina) pour duper le commun des mortels.

  • Le 21 janvier 2014 à 21:56, par tangzougou En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    C’est un KO tout court. Saran, Dabire et Etienne. Chacun a pris pour lui.

  • Le 21 janvier 2014 à 22:03, par Yankadi En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Cet ecrit est trop abstrait, trop pédant et trop irrationnel pour moi.L’auteur s’ adresse sûrement à des docteurs en phylo mais pas au peuple burkinabé ou au citoyen lamda.Il a peut-être voulu hurler avec les loups dans la mouvance cdp-fedap-bc.

  • Le 21 janvier 2014 à 22:04, par Binadjan En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    a la CAN 2013 après la qualification des étalons à la finale le président Burkinabé a reçu en interview des journalistes au palais. A la question d’un journaliste de savoir ce qu’il pensait de la suspension du meilleur joueur burkinabé "Pitroipa" a la finale de la compétition, tenez vous bien, le président Blaise a répondu : << nul n’est indispensable, cette équipe regorge d’énormes potentialités sur lesquelles nous pouvons compter >> fin de citation.

  • Le 21 janvier 2014 à 22:07, par l’ancêtre En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Bon mon ami "vivre d’abord philosophez ensuite" disait un illustre philosophe.
    Laisse nous vivre, notre vie à nous, notre avenir à nous jeunes ce n’est pas Blaise. Oui notre seul programme c’est son départ, on veut qu’il parte pour que des philosophes de gombo comme vous nous laisse tranquille.
    Reste au Canada la bas, c’est comme ça des intellectuels sans pitié comme vous ont perdu Gbagbo, aujourd’hui il est seul au TPI.
    Et puis tu mens comme tu écris. La paix ne s’est pas instaurée avec la IVe république, la paix au BF est issue d’un collectif. Rappelle toi sur combien de cadavres Blaise a marché pour resté au pouvoir. Si le burkinabè n’était pas un homme de paix certains auraient pris les armes pour reclamer justice pour tous ces morts de la IVe republique.
    Consacre à toi à tes recherches, écris des articles pour le bien de ton université et pour faire avancer la philosophie et laisse nous nos oignons.
    Tu tire sur tout ce qui es contre Blaise et tu te dis impartial, mon oeil !

  • Le 21 janvier 2014 à 22:18, par NGuess En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Wai chacun a pris pour lui de son ancien prof au nullard alias Saran Sérémé je crois que cette fois si tu va la fermé ici on parle au intello dc y’ a pas de place , sa du frisson oh kel raclé

  • Le 21 janvier 2014 à 22:23, par Deculloter En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    djo Tampon wai ya pas son 2 Saran si tes forte vos repondre . ils sont tous été déculotté . Les petits intello , il faut un débat ou on s’aura ki est ki vous ne saviez que chanter Non o Sénat non a l’article mais est que vous nous avez dit pourquoi vous voulez pas de référendum . La honte oh la honte
    mobiliser certe mais dit nous la vrai raison , keski vous faire peur autan . chacun veux poser son cu a kossyam pourtant vous avvez oubliez que vos cus casse pas oeuf
    PS:laisse passe mr webmaster je suis trop enjailler de l’article que je dois voir mon commentaire

  • Le 21 janvier 2014 à 22:36, par Zeda Amadou En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    C’est quoi ce charabia ? Je comprends pourquoi une constitution écrite par des fermiers et des soldats- la constitution américaine- est plus stable et durable que celles qu’on écrit sous la dictée de ces docteurs ! Je comprends simplement qu’eux-même bien souvent ne comprennent pas les discours qu’ils débitent !
    Le vrai savoir, c’est de rendre accessible au plus simple esprit les plus plus profondes vérités.

  • Le 21 janvier 2014 à 23:00, par Tien Tigui En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Votre fort, vous les philosophes, c’est de brouiller les choses les plus simples. Visiblement, vous philosophez pour qu’on n’applique meme pas une seule fois ce fameux article 37 de la constitution ? Pourquoi donc accepter payer grassement des députes pour voter des lois qu’on n’appliquerait jamais ! Avec l’article 168 de la Constitution qui stipule ’’Le peuple Burkinabé proscrit toute idée de pouvoir personnel. Il proscrit également toute oppression d’une fraction du peuple par une autre’’, un referendum n’est acceptable que seulement après la tenue de la prochaine élection présidentielle qui exclut naturellement une candidature de BC. La république n’est pas faite pour naba régnant a vie. Même la ou la limitation n’est pas consignée dans la loi fondamentale, on a vu des présidents (de vrais démocrates) s’abstenir au terme de leurs deux mandats consécutifs. Apres deux septennats et deux quinquennats, on ne comprend plus ce que vous cherchez. Même le CDP est réduit a Fedap/bc a cause de ça. Alors si vous y tenez malgré tout, un conseil : préparez lui un trône quelque part entre Tanghin Dassouri et Ziniare, mais très loin de Kosyam. 

  • Le 21 janvier 2014 à 23:47 En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Je propose que l’on nous épargne des débats interpersonnelles entres philosophes. Ils ont dit le substantiel dans leurs premiers écrits. Maintenant ils nous racontent leur minables vies. Nous avons du sérieux en face et vous vous exercer a faire des commentaires philosophiques.

  • Le 22 janvier 2014 à 00:21, par anta En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    "Il y a quelque chose de mécanique dans une pensée fanatique, car elle revient toujours par les mêmes chemins. Elle ne cherche plus, elle n’invente plus. Le dogmatisme est comme un délire récitant. Il y manque cette pointe de diamant, le doute, qui creuse toujours. Ces pensées gouvernent admirablement les peurs et les désirs, mais elles ne se gouvernent pas elles-mêmes. Elles ne cherchent pas ces vues de plusieurs points, ces perspectives sur l’adversaire, enfin cette libre réflexion qui ouvre les chemins de persuader, et qui détourne en même temps de forcer. Bref, il y a un emportement de pensée, et une passion de penser qui ressemble aux autres passions."

    Alain, Propos sur des philosophes, XXXVII

  • Le 22 janvier 2014 à 01:53, par Oeil de lynx En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Mr DJIBO, le Professeur DABIRE a bien raison. L’article 37 s’impose a vous DJIBO tout comme à COMPAORE ou à DABIRE. Aucun homme de bonne volonté, honnête et sincère n’acceptera la duperie qui consiste à réviser la constitution du Burkina Faso pour les intérêts d’un seul individu qui d’ailleurs est à sa 26ème année de règne.
    Vous voulez encore instaurer une autre impunité. Vous êtes certainement un des rentiers qui s’accroche à sa rente. Le peuple vous voit, Dieu aussi.
    Continuez à énervez davantage les bonnes gens.

  • Le 22 janvier 2014 à 02:17, par Themis En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Voici de quelle maniere elegante il faut manifester son opposition a autrui : argumenter son opposition plutot que de lui jeter des noms d’oiseaux.

  • Le 22 janvier 2014 à 08:31, par Grand frère En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Mon petit quitte dans ça, la situation te depasse, et apparement tu écris dans le vide sans connaitre les realités du pays, tais toi labas et cherche a évoluer au lieu de te prostituer la conscience avec des phrases philosophiques que peu comprennent. voyons ne te fatigue pour ecricre, ça ne te servira pas comme tu le pense, ce temps est revolu.prends concience et va de l avant.conseil d un grand frère.pourquoi vs me censurez webmaster

  • Le 22 janvier 2014 à 08:31, par lisa En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Bien envoyé je me demande vraiment si DABIRE a été un fois ton prof parce que y’a vraiment un grand différence entre vos PH.D

  • Le 22 janvier 2014 à 08:34, par estelle En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    quand on dit qu’on nait avec l’intelligence vraiment on nait avec parce que ce gas il a clairement démontrer qu’il était plus sage que son maitre.

  • Le 22 janvier 2014 à 09:09, par Wendmi En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Voyez-vs M. Dijbo, vous nous aurez montré que vous aviez appris la philosophie, que vous êtes philosophe si et seulement si vous votre argumentaire portait sur l’incapacité de la majorité des burkinabè à comprendre que 27 ans de règne ça suffit pour une seule personne dans une démocratie réelle. Dommage !!!

  • Le 22 janvier 2014 à 09:34, par estelle En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    quand on dit qu’on nait avec l’intelligence vraiment on nait avec parce que ce gas il a clairement démontrer qu’il était plus sage que son maitre.

  • Le 22 janvier 2014 à 09:38, par olasco En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Mr Djibo ça va ??? Ça va très bien ??? Vous n’avez pas besoin d’un psy ??? par ce que nous qui vous connaissons nous sommes inquiets. Votre acharnement philo-epistolaire nous inquiète. A ce rythme pourrez vous écrire pour philosopher a tous ces millions qui ne pensent pas comme vous ???? En réalité vous êtes sorti tard. Le plat est vidé et vide. Vous êtes arrivé tard. même pas de miettes pour vous car tout est parti. Il ne vous reste qu’a garder votre délire philosophique pour d’autres dictateurs qui viendront peut être après. Le plat et la marmite sont vides

  • Le 22 janvier 2014 à 09:44, par EL HADJ VERITE En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Un terroriste de la plume ;derrière des propos volontairement brumeux ;les fonctionnaires philosophes en afrique ;une forme de grangrene ;c’est vrai que la philosophie est un excercice bizard ,mais il est egalement vrai que l’auteur de ce texte est plus que bizard ;qu’il s’installe confortablement dans cette folie que lui meme appelle de tout coeur
    Les citations et references mutiples auxquelles il fait reference le dedouane de toute propriete sur cet ecrit car lui meme ne dit rien ; il radote

  • Le 22 janvier 2014 à 10:08, par le justicier d’etat En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    voilà l’exemple type de prostitués intellectuels dont nous redoutions la descente dans le debat politique actuel.hont e à vous monsieur le philou-sophe.

  • Le 22 janvier 2014 à 10:18, par DJAFAR En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    En fait, beaucoup de gens ont compris que c’est le moment de se faire des sous. Le boss est acculé, donc marabouts, philosophes ou n’importe quoi d’autres sont tous les bienvenus. Y’a la soupe dans l’écriture aujourd’hui au Burkina. il faut respecter le peuple. c’est quel peuple qu’il faut consulter chaque décennie sur la même question ? ça voudrait donc dire que ce peuple là ne peut pas réfléchir sur plus de 10 ans. y’aura référendum, mais pas pour l’article 37. Mais plutôt pour savoir ce qu’on va faire du boss et des gens comme vous en 2016. S’il s’entête, il ne finira même son mandat en cours.

  • Le 22 janvier 2014 à 10:44, par Master En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Monsieur Djibo. Au regard des débats qu’il y a eu sur le forum relativement à vos analyses, je pense que si vous aviez un vrai Ph D, vous auriez compris que vous êtes vraiment stupide. Vous nous donnez la gerbe, tellement vous êtes en deça du niveau du forum. Vous êtes un mercenaire de la plume, tout comme Franklin Nyamsi qui s’affuble du titre de Professeur agrégé de philo ou Karim Ouattara. Si la philo ne vous permet pas de vous élever au dessus des analphabètes, ayez la décence de ne pas obscurcir le débat dans notre pays. Est ce que vous savez par quel roublardise le sénat se retrouve dans notre constitution. Celui qui a fait le forcing pour y inclure le Sénat, sur la base de la délibération d’un CCRP qui n’engage aucun burkinabè, tant il n’est pas une structure crédible de la république saura faire la même gymnastique pour extirper le Sénat de la Constitution. La modification de l’article 37 était elle consensuelle au CCRP ? Les questions que vous soulevez sont déjà tranchées par le peuple burkinabè. Il s’est déjà prononcé à plusieurs reprises sur la limitation du mandat du président. Le CCRP a dit la même chose. Même si la constitution autorisait des mandats illimités, aucun burkinabè ne permettrait qu’un homme aussi médiocre continue à diriger notre pays.

  • Le 22 janvier 2014 à 10:52, par le fils de pays En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    si nous somme en démocratie ou il règne la liberté des personnes pourquoi empêcher un citoyen d’user de ses droit ?

  • Le 22 janvier 2014 à 19:33 En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    Je crois que ce pauvre type est atteint de déficience cognitive majeure.Il est temps que les membres de sa famille prennent conscience en le contraignant pour des soins psychiatriques.

  • Le 23 janvier 2014 à 11:34, par TITENGA En réponse à : Mamadou DJIBO répond à Christophe DABIRE : « Les rentiers de la République »

    c’est vraiment ridicule de passer son temps à imaginer un "gros francais" pour aboutir à un raisonnement si plat. Le peuple, le vrai peuple, celui de la rue et non de la bourgeoisie, n’a rien compris de ce que vous avez dis dans cette lettre. Meme le BLAISO qui est president du BF, est plus proche du peuple dans son langage que vous, qui etes loin de là et qui vous disez defenseur du peuple.

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