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Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

Publié le vendredi 17 janvier 2014 à 23h49min

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Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

Chers amis, amies, frères et soeurs

Quand dans une vie, l’on a connu les affres de la traversée du désert, l’on doit par solidarité prévenir son voisin pour éviter qu’il emprunte le même chemin de la perdition pour connaître inévitablement les mêmes revers de l’imprudence humaine. La question de la création du Sénat et la candidature du président Blaise Compaoré déchaîne les passions au point où le mercure politique au Burkina Faso a atteint un niveau alarmant pour la cohésion et la stabilité de ce pays très stratégique pour la sous-région Ouest africaine.

Frantz Fanon a eu certes raison d’avancer que chaque génération a sa mission. La remplir ou la trahir. Mais aujourd’hui, la frontière reste suffisamment étanche entre la manière de remplir les missions des temps modernes et les exigences de survie de nos Nations. Devant la fièvre généralisée et la passion qui s’est emparée du peuple Burkinabé avec en première ligne sa jeunesse, le devoir de mémoire et de bon voisinage m’emmène à parler à vous mes frères jeunes du Burkina Faso pour éviter que vous n’empruntiez le même chemin qui a failli perdre la jeunesse Ivoirienne qui s’est d’abord combattue dans les rues avant de s’affronter dans une guerre fratricide. Comme le dit un célèbre dicton arabe, l’encre des savants est plus sacrée que le sang des martyrs.

C’est pourquoi en tant que jeune de l’ancienne Basse Volta, j’ai décidé de m’adresser à mes frères jeunes de l’ancienne Haute Volta à quelques jours où les rues de Ouagadougou seront surchauffées avec tout ce que cela comporte comme risques en terme de débordements inattendus. Par devoir de reconnaissance pour ce que vous avez fait quand la Côte d’Ivoire était dans le creux de la vague, je me refuse de garder le silence. Après Lomé, Marcoussis, Accra, Dakar, Pretoria, c’est votre capitale qui a donné la clé de la résolution de la crise ivoirienne à travers l’Accord politique de Ouagadougou.

J’utilise ma modeste voix pour appeler la jeunesse burkinabé à la raison et à la pondération. Aujourd’hui le combat de toute jeunesse et singulièrement celle de votre pays, c’est d’avoir un Burkina de paix et de prospérité où la jeunesse pourra s’épanouir. En tant que jeune ivoirien, donc votre voisin le plus proche, géographiquement et sociologiquement, je vous prie d’éviter de tomber dans les travers et les débordements qui ont conduit la jeunesse ivoirienne à se faire hara-kiri à travers les casses avant de reprendre aujourd’hui conscience.

Renseignez-vous auprès de la diaspora burkinabé en Côte d’Ivoire. Vous comprendrez que la guerre, les casses et les querelles politiciennes ne sont pas une expérience que l’on peut souhaiter à son pire ennemi, à fortiriori à un peuple qui partage des liens séculiers et historiques avec la Côte d’Ivoire.

Quelque soit l’ampleur et la nature des différends, l’on doit se garder de faire monter les enchères en s’asseyant autour d’une même table pour trouver des solutions aux problèmes qui se posent entre vous. C’est en cela que j’en appelle à mes amis jeunes du Burkina Faso. J’interpelle aussi les aînés politiciens burkinabés qui ont pour la plupart plus de 50 ans à ne pas sacrifier la jeunesse sur l’autel de leurs ambitions sectaires.

Nous réitérons nos remerciements au président du Faso et à son vaillant peuple pour tous les efforts consentis dans la résolution de la crise ivoirienne. C’est vous qui avez envoyé le seau d’eau lorsque la case Ivoire était en feu. Aujourd’hui, nous sommes en train d’éteindre les dernières braises et nous constatons que des étincelles commencent à se déclarer dans la case de celui qui nous a apporté le seau d’eau hier. Ce n’est pas une ingérence dans vos affaires intérieures ; c’est pourquoi le devoir de fraternité et de reconnaissance nous interpelle.

Ceux qui s’attaquent à la médiation du président Guillaume Soro doivent se raviser et savoir que la relative paix qui permet aujourd’hui aux Ivoiriens et aux millions de ressortissants burkinabés qui vivent en Côte d’Ivoire d’avoir de la voix est en partie l’œuvre du président Blaise Compaoré. Que ceux qui tirent à boulet rouge sur le président du Parlement ivoirien ne découragent pas les bonnes volontés qui veulent aujourd’hui envoyer le seau d’eau retour pour aider le peuple burkinabé.

Chers amis jeunes, gardez-vous de vous engager dans des combats dans lesquels vous serez les grands perdants. Vos amis jeunes de Côte d’Ivoire en savent quelque chose. Au Burkina comme partout ailleurs, ceux qui sont à la base des tiraillements politiques qui débouchent généralement sur les crises ont plus de 50 ans. Selon une enquête réalisée par le Bureau international du Travail (BIT), six chômeurs sur dix en Afrique sont des jeunes. Les mêmes études ont également démontré que les principaux animateurs des conflits armés sont les jeunes alors qu’ils n’en sont pas les instigateurs. Mais ironie du sort, les jeunes sont également les premières victimes de ces crises. Nous devons donc tirer les conséquences de cette situation à travers une prise de conscience en évitant de nous embarquer dans une aventure qui risque de compromettre l’avenir.

Les mêmes causes produisant toujours les mêmes effets, la fièvre qui s’est emparée du débat politique burkinabé risque de déboucher sur un autre foyer de tension qui sera dommageable pour la sous-région. Les crises du Mali, du Soudan, de la Centrafrique et l’émergence d’un afro-terrorisme dans lequel sont engagés les jeunes africains doivent nous interpeller. Le Burkina Faso qui jusque là est la terre de jonction des contraires où toutes les médiations des crises de la sous-région se font ne mérite pas de tomber dans la spirale de la violence et d’une instabilité politique, encore moins sa jeunesse.

Votre voisin qui est la Côte d’Ivoire ne peut s’inscrire dans la lignée des ingrats qui une fois sorti de la tourmente doit fermer ses yeux et ses oreilles sur ce qui se passe chez celui qui est venu le secourir hier. C’est en cela qu’il faut dépassionner le débat et saluer les initiatives du président Guillaume Soro parce que la paix dont bénéficie aujourd’hui la Côte d’Ivoire est un effort personnel du président du Faso avec le soutien du peuple burkinabé. Personne, y compris les quatre millions de burkinabés qui vivent en Côte d’Ivoire ne doit être indifférent quand il y a des remous au Burkina Faso.

Ce n’est donc pas une ingérence encore une volonté de positionnement politique de la part de Guillaume Soro que vous connaissez très bien. Nous encourageons le président Blaise Compaoré a toujours garder son sang froid qui lui a permis de régler toutes les crises de la sous-région en trouvant les mots justes pour discuter autour d’une même table avec ses compatriotes.

Une crise au Burkina Faso ne fera ni l’affaire des burkinabés encore moins des Ivoiriens. C’est pourquoi au nom du devoir de reconnaissance pour la paix que vous nous avez apportée hier et au nom des liens séculiers qui unissent nos deux peuples, nous vous appelons à la raison et au dépassement de soi pour ne regarder que les intérêts supérieurs de nos deux Nations.

Fraternellement,

KARIM Ouattara, Conseiller spécial du président de la Commission dialogue-vérité et réconciliation chargé de la jeunesse

Abidjan, Côte d’Ivoire

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Vos commentaires

  • Le 18 janvier 2014 à 11:50, par Kafulmayay En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Encore un autre rattrappé qui vient donner des leçons. M. Ouattara, si je vous comprends bien les casses ne sont pas bonnes depuis que votre mentor est au pouvoir ? SVP, contentez vous du poste créé pour vous au niveau de votre CDVR et laissez nous tranquille. Vous et votre Soro qui ne peut en aucun cas être un modèle pour tout jeune qui a toujours cru que la réussite est le fruit de l’effort, bouffez tranquillement et laissez nous régler nos problêmes.

  • Le 18 janvier 2014 à 12:03, par Modeste citoyen En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    cher frère, si ADO après de multiples mandats se plait à vouloir modifier la Constitution ivoirienne pour se maintenir au pouvoir, on fait comment ? Merci pour les conseils d’anticipation

    Fraternellement

  • Le 18 janvier 2014 à 12:19, par Paologo Saydou En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Alassane Ouattara ton president a dit" seul le combat qu’on ne mene pas est perdu d’avance." Nous sommes conscient des dangers et desagrements des conflits armees, mais nous ne sommes pas a se niveau et par la grace du Dieu tout puissant nous n’ en serons pas la.
    Houphouet disait" l’homme qui a faim n’est pas un homme libre." Donc reconnait que la grande majorite des Burkinabes a faim et marginalisee par une mafia qui ne dit pas son nom.
    Ce n’est pas pour cela cependant que nous nous laisserons posseder par les demons de la destructions.
    Nous nous battrons " les mains vides" comme disait l’autre.
    Et nous vaincrons, seulement dites a ceux qui ont les armes de ne pas tirer le premier sur les combattants aux mains nues. Pour ce qui est de la mediation de Soro, je crois pour ma part qu’elle n’a pas de sens....Les remous qui se passent au RDR peuvent-elles nous envoyer a Abidjan pour une mediation ?
    Le peuple du Burkina faso veut la paix et pour vous dire, notre paix a nous nous est donnee par le tout Puissant Dieu,...si le peuple Burkinabe voulait reagir aux crimes de Blaise,le Burkina serait devenu la Somalie longtemps avant ce qui s’est passe en CI. Mais Dieu merci pour la paix au Burkina et qu’il continue de nous la donnee au nom de Jesus notre Sauveur.

  • Le 18 janvier 2014 à 12:23, par woro En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Merci Mr le Conseiller pour les conseils que vous prodiguez à la jeunesse Burkiné compte tenu des difficiles expériences qu’à connues la Côte d’Ivoire à cause de la guerre imposée aux ivoiriens par la volonté d’une seule personne Laurent Gbagbo à s’éterniser au pouvoir. Et voilà que les mêmes causes ici risquent de produire les mêmes effets que chez vous. Si c’est normal de conseiller la jeunesse burkiabe, je m’attendais à ce que vous le faite plus encore à l’endroit de celui qui en est la cause Blaise Compaore. Mais nenni. Alors dite lui clairement que c’est à cause de ce qu’il veut faire, que Gbagbo a voulu faire chez vous et que la côte d’Ivoire avait pris feu qu’il est venu éteindre, qu’il évite donc d’allumer le feu chez lui. C’est donc au pyromane qu’il faut conseiller et non ceux qui veulent empêcher le pyromane d’accomplir son sale boulot. Les burkinabé te vaudront plus de ce conseil toi et Guillaume Soro.

  • Le 18 janvier 2014 à 12:31, par Wendmi En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    J’espère cette fois ci que message sera publié.
    Victor Hugo a dit "Ceux qui luttent ce sont ceux qui vivent" et Berthold Bretch d’ajouter que "Ceux qui luttent ne sont pas sûrs de gagner mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu". Mon cher frère ivoirien, la jeunesse burkinabè a décidé de lutter afin que quiconque ne fasse son devenir à sa place. Est-ce parce que la Côte d’Ivoire a connu une crise ? Est-ce parce que le Mali est dans une situation difficile ? Est-ce par ce que la RCA est dans la tourmente ?... qu’il vous s’asseoir et laisser un groupe d’individus décider de votre sort ? Je dis non ! et encore non ! Trop c’est trop (27 ans de règne sans partage, 27 ans que l’horizon est bouché). Faites une petite enquête du secteur économique burkinabè et vous ferez que d’ailleurs burkinabè est très tolérant. Des BTP aux transports en passant par les services et j’en passe, tout est phagocyté par les mêmes individus. Comment voulez-vs que la jeunesse puisse trouver un avenir dans un tel système. Evidemment, Norbert Zongo a dit que chaque peuple mérite son dirigeant. Nous jeunesse consciente et éveillée ne voulant pas de dirigeant qui confisque son avenir. Si Guillaume SORO et compagnon avaient réfléchi comme vous le dites, GABGO serait toujours au pouvoir avec son escadron de la mort. C’est sûr qu’on ne peut pas faire des omelettes sans casser les œufs, mais entre deux maux il faut choisir le moindre mal. Et pour nous le moindre mal est d’arrêter ce système qui a perduré 27 ans. Ca suffit, il faut changer de cap.
    Laisser passer mon message cette fois, webmaster.

  • Le 18 janvier 2014 à 12:53, par tuenmavé En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Pourquoi les Guillaume Soro sont-ils entrés en rébellion. Il fallait juste attendre que Gbagbo passe son tour. Cela aurait évité à la RCI de connaitre la guerre. Est-ce qu’un Gbagbo au pouvoir à vie en RCI aurait été plus désastruex pour la RCI que ce qu’elle a connu ? Personne ne le saura jamais. Mais maintenant la RCI sait qu’il ne faut plus arriver à cela.

    Le BF fera son expérience et s’il faut dans la douleur si tel est le choix de son peuple.
    Un Président responsable doit savoir quitter les affaires avant qu’elles ne le quittent. C’est à ce tournant que nous sommes rendus au BF. C’est donc à Blaise d’avoir la sagesse de sauver les meubles pendant qu’il est encore temps. Sinon le peuple du BF, tout comme celui de RCI hier, prendra ses responsabilités, si tel est son vœu.

  • Le 18 janvier 2014 à 13:01, par La Base En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    OK !!!vous voulez envoyer le seau d’eau retour pour aider le peuple burkinabé. Pas de problème et merci pour la reconnaissance ! seulement la médiation rime avec l’impartialité et c’est le minimum que nous demandons aux dirigeants ivoiriens avant de pouvoir se lancer dans un quelconque débat !!!!!

  • Le 18 janvier 2014 à 13:07 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Bon reflex d’un chat échaudé !!!!

  • Le 18 janvier 2014 à 13:09, par sbensom En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Chaque génération a sa mission. La remplir ou la trahir ! Frantz Fanon. Vous l’avez si bien cité, cher frère ! "Aujourd’hui le combat de toute jeunesse et singulièrement celle de votre pays, c’est d’avoir un Burkina de paix et de prospérité où la jeunesse pourra s’épanouir".
    Je vous reprends aux mots ! Avoir un pays de paix et de prospérité où la jeunesse pourra s’épanouir ; c’est bien cela la mission de la jeunesse burkinabè ! Et c’est ce pourquoi, nous nous battrons mains nues pour remplir la nôtre ; non pas à la manière de votre mentor SORO, qui s’est servi de son parrain COMPAORE, filleul d’hier du VIEUX HOPHEÏT dont il s’était servi pour assassiner tout l’espoir de l’Afrique -ThomSank-
    Cher frère, la paix, ce n’est pas l’état de non-guerre ; figurez-vous ! La paix n’est pas un mot, c’est bien un comportement, je dirai plutôt, ce sont des actes posés et qui sont en harmonie avec soi-même et avec les autres ! Et je puisse vous assurer que COMPAORE lui même n’est guère en paix avec soi. Il est en état de guerre avec sa conscience et son égo, il est en dilemme entre sa raison et la pression de son clan ! Ne venez donc pas nous dire que le Burkina est un havre de paix si le premier des burkinabè est en état de guerre ! Et cette guerre qu’il mène, nous la jeunesse, allons l’aider à la mener avec les moyens que lui même aura choisi !
    Du reste, j’apprécie votre manière de nous interpeller qui est tout à fait différente de celle de votre mentor, qui par devoir de reconnaissance à son parrain s’est versé dans l’ingérence et la prise de position claire ! Je suis profondément déçu de KIBAFORI qui aurait dû, s’il était un vrai exemple de combativité de la jeunesse africaine, prendre son courage à deux mains pour dire à COMPAORE qu’il a rempli ou trahi sa mission, et qu’il doit maintenant se reposer tout en continuant à jouer son rôle de médiateur sous-régional, continental ! Mais hélas ! Quant bien même t-on sait que la mère du Roi est sorcière, on se garde de ne l’avouer ! Je le comprends donc ! Qu’il sache que COMPAORE l’a aidé à grimper l’arbre, c’est à lui d’atteindre les branches, par ses propres capacités, pour cueillir les fruits les plus juteux ! Qu’il cesse de compter sur COMPAORE pour son apogée en 2020 à la suite de OUATTARA !

  • Le 18 janvier 2014 à 13:10, par le citoyen En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    merci mon frère pour ton sens élevé et ta vision

  • Le 18 janvier 2014 à 13:17, par sbensom En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Chaque génération a sa mission. La remplir ou la trahir ! Frantz Fanon. Vous l’avez si bien cité, cher frère ! "Aujourd’hui le combat de toute jeunesse et singulièrement celle de votre pays, c’est d’avoir un Burkina de paix et de prospérité où la jeunesse pourra s’épanouir".
    Je vous reprends aux mots ! Avoir un pays de paix et de prospérité où la jeunesse pourra s’épanouir ; c’est bien cela la mission de la jeunesse burkinabè ! Et c’est ce pourquoi, nous nous battrons mains nues pour remplir la nôtre ; non pas à la manière de votre mentor SORO, qui s’est servi de son parrain COMPAORE, filleul d’hier du VIEUX HOPHEÏT dont il s’était servi pour assassiner tout l’espoir de l’Afrique -ThomSank-
    Cher frère, la paix, ce n’est pas l’état de non-guerre ; figurez-vous ! La paix n’est pas un mot, c’est bien un comportement, je dirai plutôt, ce sont des actes posés et qui sont en harmonie avec soi-même et avec les autres ! Et je puisse vous assurer que COMPAORE lui même n’est guère en paix avec soi. Il est en état de guerre avec sa conscience et son égo, il est en dilemme entre sa raison et la pression de son clan ! Ne venez donc pas nous dire que le Burkina est un havre de paix si le premier des burkinabè est en état de guerre ! Et cette guerre qu’il mène, nous la jeunesse, allons l’aider à la mener avec les moyens que lui même aura choisi !
    Du reste, j’apprécie votre manière de nous interpeller qui est tout à fait différente de celle de votre mentor, qui par devoir de reconnaissance à son parrain s’est versé dans l’ingérence et la prise de position claire ! Je suis profondément déçu de KIBAFORI qui aurait dû, s’il était un vrai exemple de combativité de la jeunesse africaine, prendre son courage à deux mains pour dire à COMPAORE qu’il a rempli ou trahi sa mission, et qu’il doit maintenant se reposer tout en continuant à jouer son rôle de médiateur sous-régional, continental ! Mais hélas ! Quant bien même t-on sait que la mère du Roi est sorcière, on se garde de ne l’avouer ! Je le comprends donc ! Qu’il sache que COMPAORE l’a aidé à grimper l’arbre, c’est à lui d’atteindre les branches, par ses propres capacités, pour cueillir les fruits les plus juteux ! Qu’il cesse de compter sur COMPAORE pour son apogée en 2020 à la suite de OUATTARA !

    • Le 19 janvier 2014 à 10:27, par jeune burkinabe En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      Chaque jeunesse a sa mission, la défendre ou la trahir. La jeunesse burkinabe a décidé d’écrire son histoire en refusant la dictature que ses dirigeants tentent de lui imposer. Sachez que votre soit disant méditation ou plutôt interventionnisme, on en veut pas. Ce qui a mis le feu à ta chère CI c’est l entêtement d un homme à vouloir s accaparer d un pouvoir qu il venait de perdre. Au lieu de vouloir traiter le mal par sa conséquence, agissez sur sa cause. Conseillez à votre mentor de relire l histoire et à constater ce qui est arrivé à ce qui ont fait ce lui il tente de faire. Saches que notre jeunesse est consciente de ses actes. Nous agissons consciemment et raisonnablement. Occupez vous de ce qui regarde et cessez de nous divertir et nous casser les oreilles. Gardez vos conseils et vos préoccupations pour vous. Webmaster stp laisses passer.

    • Le 19 janvier 2014 à 11:25, par p-val En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      Juste pour dire grand merci au frère Ivoirien pour ces conseilles. Ce pendant, je voudrais lui posé une petite question. Êtes vous sûr que Soro regrette ce qui c’est passé en côte d’ivoire ? Seulement, que Dieu le Tout Puissant lui même épargne le Burkina de tous ces maux qui sillonnent afin que le président Blaise ouvre ses yeux. Quand on veux intervenir entant que médiateur, il faut s’adresser au deux camps. Or j’ai l’impression que vous, vous voyer la jeunesse burkinabé seulement comme coupable ou je ne sais quoi. Si vous voulez vraiment sauver le Burkina, alors adressez vous SVP, à Blaise.

    • Le 19 janvier 2014 à 12:11, par justice En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      bien dit mon frère. C’est bien gentil tous ces conseils, qui bizarrement commencent à affluer de la côte d’ivoire. Ces messages, nous ne pouvons que les accueillir avec humilité mais en même temps, nous sommes aussi à un tournant de notre histoire. Dans plusieurs pays de l’Afrique, la jeunesse s’est lévée pour dire npn à tout ce qui s’apparentait à du despotisme ou népotisme. Il n’y a aucune raison que la jeunesse burkinabè en soit exclue. Tous les risques brandis pour décourager et rendre muette la jeunesse ne sauraient faire effet. Nous pouvons faire a la maturité de la popukation burkinabe et attirer l’attention des uns et des autres sur le fait que les dérives ont bien svt été orchestrés par les régimes en place. Soyons donc attentifs et continuons la lutte sans nous laisser influencer negativement par les discours (et autres lettres ouvertes) qui entretiennent la peur et prophétisent le chaos

    • Le 19 janvier 2014 à 13:07, par dingouss En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      Malgré votre souci et votre solidarité avec le peuple burkinabé pour le prévenir des souffrances à venir ; je constate hélas qu’aucun de nos frèes ivoiriens n’interpelle le Président Compaoré dans son mutisme que dire de sa ruse inavouée pour un règne à vie : POURQUOI PERSONNE DE LA COTE D’IVOIRE NE S’ ADRESSE OBJECTIVEMENT ET COURAGEUSEMENT AU PRESIDENT COMPAORE ? Il est l’unique problème et cela vous le savez. SI vous êtes si épris de la vraie justice et de la vraie paix au Faso, alors donnez aussi votre avis sur les envies irrecevables du Président . A défaut der cela, arrêtez de nous amendouer, de nous insulter ou de nous endormir SVP. Soyez intellectuellement et humainement honnêtes !!!

  • Le 19 janvier 2014 à 03:00, par un déçu En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    C’est tellement triste de voir que tous les politiciens (peut-être pas varrément eux tous) ne pensent qu’à leur propre intérêts si égoistes.Monsieur,je me dois de vous respecter en tant que personne humaine et parce que vous ne m’avez pas offensé directement mais,en réalité,vos soit-disant conseils cachent mal vos intentions.Vous voyez,lisez un peu les commentaires et comprennez que si tout le monde est contre vous,ce n’est pas parce que vous n’êtes pas compris:c’est parce que justement on comprend vos intentions.Merci,mais nous n’en avons pas vraiment besoin !Sauvez nous de ces mots vides !

  • Le 19 janvier 2014 à 03:40, par VOLKUS LE JAH En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Je te rappel que le peuple burkinabé est très très discipliné.l’histoire politique nous enseigne qu’aucun transition démocratique exepté celui du 15 octobre 1987 na fait de victime.Nous somme hyper conscient des danger d’une guerre pour notre pays.vous n’avez aucun enseignemen instruite et déterminé rien que par la lutte.ne confondez la côte d’ivoire après la mort d’houphouët boigny dans un veritable désordre ou le plus idiot pouvait programé une guerre entre heritié avec le burkina faso d’aujourd’hui.Nous luttons contre quelqu’un qui a 27ans de règne qui ne sera pas immortel.Nous exigeons cette transition maintenan afin que le pays connaisse une paix véritable.

  • Le 19 janvier 2014 à 04:40, par le wanais En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    merci monsieur l avocat du diable.finissez d abord de réconcilier les ivoiriens avant de vouloir nous poignarder dans le dos comme vous savez si bien le faire ; le cas de IB en est une illustration parfaite. d abord sachez que la paix sociale au pays des hommes intègres est a comptabiliser aux actifs du peuple burkinabé et non a ceux de blaise compaoré. sinon qui peut supporter un militaire sanguinaire au pouvoir pendant plus de 20ans ? vous qui n avez même pas pu supporter Bagbo pendant 2ans. soro fait preuve une fois de plus d un amateurisme politique criard : la non ingérence dans les affaires intérieures d un pays tiers est une notion elementaire que doit comprendre tout diplomate digne de ce nom. la mission de notre génération de renverser blaise et son régime militaire les mains nues et de redonner a la jeunesse la place qui lui reviens de droit

  • Le 19 janvier 2014 à 06:37, par lelaisserpourcompte En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Cher ami le Burkina n’est pas dans un conflit identitaire, le Burkina n’est pas un conflit ethnique, le Burkina du Nord n’est pas opposé au Burkina du Sud et le Burkina de l’Ouest contre celui de l’Est. Le Burkina n’est pas dans un conflit religieux. Le conflit au Burkina est politique. Les Burkinabé s’insurgent contre un système mafio qui depuis 27 ans pie les ressources au détriment du peuple. Un système de clientélisme organisé pour exploiter les ressources du pays et les garder pour une famille et ses alliés. Il n’y aura pas de guerre au Burkina comme en Cote d’Ivoire, comme au Mali, en RCA et bien d’autres pays où les conflits étaient identitaires ethnique, voir religieux. Le peuple du Burkina veut chasser un système exploiteur ou les animateurs sont arrivés au pouvoir sans un "onazé" mobylette appelée communément "nous les jeunes" et aujourd’hui sont des milliardaires et cela sur le dos du peuple Burkinabé alors que le peuple s’appauvrit et la jeunesse désemparée. Voilà le combat des Burkinabé qui n’est pas à comparer à des combat du type qu’a connu votre pays. l’avenir vous dira que vous vous êtes trompé sur la clairvoyance des Burkinabé. Blaise à l’image de tous les présidents qui ont voulu s’éterniser au pouvoir s’attire les malédictions qu’ont connu ceux-ci. Alors donnez les conseils pour qu’il ne vive pas leur situation au lieu de voir le diable partout car c’est pas parce que vous avez été mordu par un serpent que toute corde enroulée est un serpent.

  • Le 19 janvier 2014 à 06:38 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Merci pour vos avertissements !!!!

  • Le 19 janvier 2014 à 07:43, par sita ouedraogo En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Merci Mr Karim Ouattara pour ces conseils a la jeunesse Burkinabé qui ignorent la valeur de la paix et s’agitent avec l’opposition. Moi je suis de la diaspora congolaise, je partage du même avis avec vous mr karim, que la jeunesse prenne conscience de ce qui se passe dans les autres pays. On dit que:un bébé au dos ne sait pas que la route est longue

  • Le 19 janvier 2014 à 08:44, par ADAMA LAGUI En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Avez vous pu chasser votre dictateur oui ou non ? Va te faire voir on na pas besoin de ton seau d’eau partial. On veut plus de notre tyran à apparence démocrate.

    • Le 19 janvier 2014 à 16:56, par kalakoulou En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      Je ne comprends plus rien ! Est-ce le même LAGUI ADAMA ou ADAMA LAGUI ? on dirait que tu commence à lâcher ta soit disant "NOBLE FAMILLE". Comme quoi, les vestes ont plusieurs couleurs. Aussi le vent tourne dans toutes les directions. IL n’est jamais trop tard pour bien faire. Nous sommes tolérants, si tu veux changer, les portes du pays réel avec le peuple réel sont grandement portes. Bon courage ! Même le grand chef des traitres (haute trahison de son ami et frère canardé comme ... un certain 15 oct 1987 vers 17h) sera pardonné s’il accepte faire son mea culpa. Le peuple pourra pardonner mais nous ne pourront pas intervenir le jugement de l’au-delà. Lagui, il n’y a pas de honte dans la vérité ; viens prendre ta nouvelle veste taillée sur mesure dans le pays réel.

    • Le 19 janvier 2014 à 20:59, par kalakoulou En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      Je ne comprends plus rien ! Est-ce le même LAGUI ADAMA ou ADAMA LAGUI ? on dirait que tu commence à lâcher ta soit disant "NOBLE FAMILLE". Comme quoi, les vestes ont plusieurs couleurs. Aussi le vent tourne dans toutes les directions. IL n’est jamais trop tard pour bien faire. Nous sommes tolérants, si tu veux changer, les portes du pays réel avec le peuple réel sont grandement portes. Bon courage ! Même le grand chef des traitres (haute trahison de son ami et frère canardé comme ... un certain 15 oct 1987 vers 17h) sera pardonné s’il accepte faire son mea culpa. Le peuple pourra pardonner mais nous ne pourront pas intervenir le jugement de l’au-delà. Lagui, il n’y a pas de honte dans la vérité, vient prendre ta nouvelle veste taillée sur mesure dans le pays réel.

  • Le 19 janvier 2014 à 09:46, par Le burkinabe En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Cache toi espèce de larbin. Va prodiguer tes sales conseils au dictateur Blaise COMPAORE et à sa famille. Quand vous fomentiez contre Laurent GBAGBO, il n’avait pas 27 ans de règne et vous l’avez chasser avec l’aide du criminel COMPAORE. Blaise est venu trouver la paix au Burkina et il ira bon gré mal gré laisser la paix dans ce Burkina n’en déplaise à ses lèches bottes. et il sera suivi par votre Président car l’histoire le rattrapera lui aussi. Nous balayons notre patrie. KUWIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !

  • Le 19 janvier 2014 à 10:52 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    mon ami le burkina n’est pas un royaume COMPAORE fini son mandat en 2015 et un autre va le remplacer un point c’est tout s’il s’en tète de toute façon il va partir car aucun président dans le monde n’a pu défier le peuple.si ouattara fini deux mandats et vous le voulez tjrs sa n’engage q vs.la jenesse burkinabè aspire à la vrai démocratie comme au ghana.

  • Le 19 janvier 2014 à 10:59, par le patriote En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Nous remercions notre frere pour ces conseils fraternels , mais notre choix est autre. Le Burkina ne pourra se resumer a une seule personne ou a un clan . Si plus de 27 ans non pas permis de nous sortir de la misere,
    Nous voulons quelqu’un d’autre .

    Merci encore pour les conseils

  • Le 19 janvier 2014 à 12:58 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    je te remercie pour l’éclairage que tu fais aux jeunes burkinabè , il faut signaler que beaucoup de burkinabè ne sont jamais sorti de la frontière donc ils connaissent pas la valeur de la paix , si les jeunes ne veulent pas écouter WAIT and SEE

  • Le 19 janvier 2014 à 13:03 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    je te remercie pour l’éclairage que tu fais aux jeunes burkinabè , il faut signaler que beaucoup de burkinabè ne sont jamais sorti de la frontière donc ils connaissent pas la valeur de la paix , si les jeunes ne veulent pas écouter WAIT and SEE

  • Le 19 janvier 2014 à 13:29, par ABLO En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Merci mon frère pour tes conseils,mais sache que le problème du BF diffère de celui de la CI. Le BF est une république et non un royaume. Nous ne pouvons plus rester sous une dictature pendant plus de 27 ans. On ne peut pas maitriser l’intérieur d’une maison plus que celui qui l’habite. La jeunesse du BF est consciente et responsable, mais de grâce laisse- nous gérer notre problème interne. Si Blaise est un messie ou un monument vivant pour la CI comme l’a souligné SORO, il est un criminel, un assassin, une bombe à retardement pour le BF. Nous ne voulons pas une révision partisane de notre constitution, ni de sénat au BF, ni une présidence à vie, ni une patrimonialisation du pouvoir. Seule la lutte paie et aucune immixtion externe ne peut endormir notre conscience.Nous lutterons même au péril de nos vies pour sauver les générations futures car ce sont des milliers d’ivoiriens et d’ivoiriennes qui ont péri avant que tu sois là ou tu es aujourd’hui. En CI, vous avez déjà gagné votre pain, laisser nous chercher le notre.

  • Le 19 janvier 2014 à 13:45, par anonyme En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    De grâce, vous ne nous avez jamais porté à cœur. En réalité, vous tentez de préservez vous intérêts financiers au Burkina. ça fait mal hien ? Vous auriez dû investir l’argent de la rébellion chez vous.

    • Le 19 janvier 2014 à 15:39, par Ange En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      Cher Ouattara j’aimerais que vous me répondez à ces questions : Est ce à dire que vous regrettez votre combat d’hier contre Bagbo ? Est ce à dire que vous n’êtes pas satisfait du résultat auquel vous aviez abouti ? Est à dire que votre situation d’aujourd’hui ne vous plait ? Si les réponses sont OUI alors démissionner et donner le pouvoir à Affi Guessan et remettez Blé Goudé en liberté et solliciter la libération de L. Bagbo ? Et si vous faites cela je vous assure que la jeunesse burkinabè prendra au sérieux vos soient disant conseils ; et personnellement je mobiliserais la jeunesse burkinabè de soutenir les ambitions démoniaques de Blaise Compaoré. Enfin pensez vous que Blaise Compaoré n’a pas besoin de conseils de votre part ? Je souhaite vivement qu’on lise un écrit conseillant Blaise Compaoré et sa suite de votre part et merci pour votre diligence.

    • Le 19 janvier 2014 à 16:02 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      S’il vous intéresse tant, venez le prendre , c’est cadeau. Nous on n’en veut plus.

    • Le 19 janvier 2014 à 16:15, par Verite En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      Bien dit mon frere ou ma soeur !!! Toute les grandes victoires de ce monde ont ete acquises par la lutte et la determination. Si certains de nos freres ivoiriens savent ou se trouvent leurs interets financiers, nous Burkinabes aussi ont sais comment acquerir notre cher liberte et democratie.

      Surtout taisez-vous et ne vous melez pas de nos affaires quand vous n’avez rien a dire !!!

    • Le 19 janvier 2014 à 21:54 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      merci mon frere pour ton souci envers les burkinabè , de toute facon vous etes tous partis à l’ecole de blaise compaoré ; la meme chose va arrivé chez vs en CI cest a dire que ADO va vouloir rester au pouvoir jusqu’à 90 ans parce qu’il na pas fini ses chantiers et pour cela il va vouloir modifier la constitution ivoirienne et y rester ; donc SORO las d’attendre son tour pour etre president, va demissionner ( quand on sait que ses demissions=rebellion armée mais ca ne sera plus avec l’appui de blaise compaoré car il ne sera plus là) ; affi nguessan vs le rappelle deja actuellema par l’organisation des etats generaux de la reconcilation ; bne chance à tous

    • Le 19 janvier 2014 à 22:14 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      merci pour tes conseils ; mais saches que meme a 90 ans ADO n’aura pas fini ses chantiers dons il va charcuter la constitution ivoirienne pour se maintenir ; donc SORO las dattendre son tour d’etre president, va entrer en rebellion (cest son job mais cette fois ci ca sera sans l’appui de blaise compaoré car ilne sera plus la)
      Affi nguessan vs le rappelle deja a travers son appel a organiser les eats generaux de reconcialition (SIC de rappel de l’ivoirité). que DIEU ns benisse

    • Le 20 janvier 2014 à 00:27, par IKAR80 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      Monsieur le conseiller spécial, si vous voulez réellement nous aider, dites simplement au Président COMPAORE de respecter la constitution c’est tout. Aujourd’hui toutes les agitations sont dû à son attitude. Si après le 2ème mandat le Président Ouattara décide de modifier la constitution pour y rester, pensez-vous que la jeunesse ivoirienne va rester sans rien faire parce qu’elle a connu la guerre ? Si le Président COMPAORE déclare aujourd’hui qu’il n’est plus candidat en 2015 vous verrez que tout va s’apaiser. souveniez-vous quand il disait à TANDJA qu’il fonçait droit dans le mur lorsque ce dernier s’obstinait à se maintenir au pouvoir ? Cher ami Karim OUATTARA tu nous rendras un grand service si tu demandais au Président COMPAORE de ne pas faire subir à la jeunesse burkinabé ce que Gbago à fait subir à la jeunesse ivoirienne en respectant simplement la constitution

  • Le 19 janvier 2014 à 15:30 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    voilà des gens qui ont enjambé plus de 3000 cadavres pour arriver à leur fin et maintenant qu’ils sont bien assis à bien bouffer avec des postes bidons,ils viennent nous donner des leçons de paix,de démocratie et tutti quanti. svp je sais que tout ce qui se ressemble s’assemble puisque votre mentor blaise a tué des gens pour prendre le pouvoir,je vous invite à venir le récupérer car nous n’en voulons plus,trop c’est trop.

  • Le 19 janvier 2014 à 15:32 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    A ces différents écrivains dont monsieur Karim Ouattara qui vocifèrent pour ne rien dire,il est temps de mettre balle à terre car le problème se situe où ?Il y a crise dans un parti et il se trouve des gens comme Soro qui viennent pour généraliser le problème.Non,le CDP n’est pas le Burkina Faso et pour le moment nous ne sommes pas en crise.Maintenant si Blaise Compaoré veut coûte que coûte sauter le verrou sur l’article 37,alors là,il nous trouvera sur son chemin car c’est un point non négociable.Maintenant toi,Soro et les autres,il vous reste à venir récupérer votre messie s’il s’entêtait.A bon entendeur,salut !

  • Le 19 janvier 2014 à 15:46, par Luttin En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Cette réflexion pour moi, n’est pas la bienvenue. Depuis 1987, il y a un chef d’Etat qui est aux affaires et qui ruine toute possibilité à l’alternance. Et vous,au motif qu’il a été pour votre pays un corridor et un soutien important pour la paix, vous imposez aux jeunes burkinabé un supplice pour tout accepter et le monde va comme il est. Non ! Cher Monsieur. Vous avez échoué, vos conseils sur ce coup là, ne sont pas bons pour ces jeunes. Tout de suite vous pensez à la guerre. Dans votre analyse, il ressort que les jeunes burkinabé ne sont pas matures, ils ne savent ce qu’ils font et voilà que le donneur de leçon en vient à proposer une alchimie qui est contraire, mais vraiment contraire à ce qui se passe réellement sur le terrain.

  • Le 19 janvier 2014 à 15:58 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Nul et non avenue ; c’est ainsi que je qualifie ton écrit, M. le "griot". Tu as embouché la même trompette que soro guillaume. Vous devez tous à blaise les postes "juteux" que vous occupez actuellement. S’il n’y avait pas eu la guerre, vous seriez ailleurs ! Aujourd’hui il y a des "militaires" qui savent à peine lire mais qui sont des officiers dans votre armée nationale(suivez mon regard !). Vous devez tout cela à blaise. Dites comment osez vous demander à tout un peuple de s’assoir et de se faire hara-kiri ? Pourquoi avez-vous combattu laurent Gbagbo ? Ne soyez pas hypocrite et malhonnête cher monsieur le "donneur de leçons". Broutez devant vous et taisez-vous !

  • Le 19 janvier 2014 à 17:32, par KYLE XY En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    on a fait l’école comme toi mon frère et on connait les conséquences mais on a est pas la d’abord........on luttera pour sortir d’une volonté avouée de s’éterniser au pouvoir

  • Le 19 janvier 2014 à 20:13, par Raso En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Il n y a pas feu au burkina. Si Blaise annonce aujourd’hui qu’il renonce au senat ainsi qu’à la modification de l’article 37, tout rentre dans l’ordre. Si vous avez à coeur la paix au burkina. Voici le conseil à lui donner.

  • Le 19 janvier 2014 à 21:23, par Demo En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    C’est juste un petit singe qui a appris à porter le cravatte et veut se rendre interessent...regardez bien la photo et sa signature...Avec cela on veut nous faire croire que l’Afrique va s’en sortir demain ???
    Evitez de nous publier ces poubelles...c’est seul Blaise qui est notre problème,on va le chasser sans éffusion de sang et amorcer notre veritable developpement équitable...A bas ceux qui baîllonnent leur peuple,vive le changement.A bon entendeur,salut.

  • Le 19 janvier 2014 à 21:23, par Karim Ouattara En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Chers frères et soeurs du Faso, c’est avec beaucoup d’intérêt, et sans appriori que j’ai lu vos commentaires par rapport à mon adresse à la Jeunesse du Faso. A la lecture de vos différents commentaires j ai pu noter l’ampleur de la passion que sucite l’actualité politique de votre pays. J’ai été invité par bon nombre d’entre vous a me tenir à distance de votre actualité politique, ce que je respecterai dans une moindre mesure. La Côte d’ivoire n’a pas de leçon de démocratie à donner à qui que se soit encore moins au Burkina, vous m’avez rappeler clairement que je suis étranger au Faso alors que j’ai toujours considérer les 4 millions de burkinabés qui vivent en Côte d’Ivoire comme des frères au point de risquer ma vie pour certains pendant la crise ivoirienne. Aucune passion ne devrait nous faire perdre la raison. L’opposition du Faso a réussi une mobilisation sans heurt ce à quoi nous invitons le peuple frere du Faso, par ailleurs nous remercions les autorités qui ont assurée la sécurité de cette marche. Car en réalité c est ensemble que ces deux acteurs opposition et pouvoir arrivent à épargner des vies humaine en faisant l’économie des excès. Peut être que j’ai mal exprimer mes intentions qui ne sont autres que d’inviter la jeunesse du Faso a ne pas s’emprendre à elle même comme la jeunesse ivoirienne l’a fait pendant plus d’une decenie. Pour cette méprise de ma part je m’excuse au prés de la jeunesse du Faso. Les marches bien encadrées sans heurt font partie des méthodes d’expression du peuple dans une société démocratique, mais aussi l’encadrement des autorités. Le Faso vous appartient et personne ne vous discutera cela, mais souvenez vous chers frères que les derniers réfugiés ivoiriens au Faso n’ont pas encore plié bagage que de nouveaux y sont arrivés du mali. Je n’invite pas le peuple du Faso a faire le contraire de ce qu’il veut, sauf les inviter à exploiter toutes les voies légales et démocratiques qui permettent au peuple de s’exprimer sereinement et en toute quiétude sans heurt. Mon affection pour le Faso ne changera pas d’un yiota même si vous me rappeler que je suis étranger chez vous, car votre Président et son peuple ont permis d’épargner ma vie et celles des miens. Pardonner moi si je vous ai offensez cela n’était pas mon intention. De grâce parlez vous, ne laissez pas la passion l’emporter sur la raison, discutez entre vous sans rancoeurs et sans violence, il y va du salut du Faso et de la sous région. Karim Ouattara votre frère de la Côte d’Ivoire.

    • Le 20 janvier 2014 à 11:15 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      Heureux de reconnaitre que toi et partant de cela ton mentor Soro avec son scribouillard franklin faites fausse route.Nous Burkinabè intègres,notre ennemi commun c’est Blaise compaoré et sa racaille.Alors si vous étiez honnêtes,c’est Blaise Compaoré que vous devriez conseiller de ne trop tirer sur la corde car il nous a trop roulés par le passé dans la farine que cette fois-ci sa forfaiture ne peut plus prospérer.Mais comme vous(ADO,Soro,toi et les autres) lui devez tout,vous êtes devenus du coup des griots et donc permettez que le peuple intègre vous traite comme tel car ne dit-on pas que l’ami de mon ennemi est aussi mon ennemi ?Souffrez que votre mentor Blaise Compaoré pliera bagage en 2015,il n’a plus le choix sinon il rejoindra votre boulanger à la Haye.Merci

  • Le 20 janvier 2014 à 02:13 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi subitement les Ivoiriens se soient transformés en conseillers à la jeunesse Burkinabé ? Après le PAN Soro, c’est au tour de M. Karim. les amis laissez les Burkinabé régler leurs différends en toute tranquillité. en plus vos conseils sont partisans. Laissez le peuple Burkinabé faire sa propre expérience de la lutte démocratique. je ne sais pas en quoi des démissions au sein d’un parti politique demande tant de médiation et de conseillers de tout acabit..

    • Le 20 janvier 2014 à 11:10, par njg En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      il ne sa passe rien .Karim ouattara parle en connaissance de cause ce Mr a été traumatisés par la guerre il a vus le sang de nombreux innocent couler dans son pays .voilà pourquoi il a jugés nécessaire de ramené vite ses jeunes frère a la raison c est tout .et je vois pas en quoi le message de mr ouattra est révoltant pour que vous lui adresse des paroles aussi blessante du genre mêle de tes problèmes laisse nous réglé nos problèmes ou encore parle au président Blaise .mes frère vos propos envers soro et Karim ne sont pas responsable .quand ces gens ont démissionné quelque jours après ils ont amené la jeunesse dans rue bien tous ce soit bien passé mais c est comme sa que commence une guerre .et c est pour cela que Karim et soro vous parlent parce que eux ils savent ce que gouttent une guerre donc s ils vous plait le message adressé par mr ouattara n est du tout méchant il veut juste que la paix règne dans notre pays
      .

  • Le 20 janvier 2014 à 10:12, par Soul En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Je disais à Soro, que si BC était réellement une personnalité importante pour l’Afrique comme lui il le pense, il se serait impliqué dans le dossier libyen et tenté d’épargner la vie de notre guide. Il faut savoir que de la même manière que BC t’a aidé, khadafi à aussi aidé BC de la même façon, mais quand Sarkozy et ses acolytes ont décidé d’une frappe sur khadafi il est sorti contre la simple rumeur qui disait que le guide cherchait à venir à Ouaga. Soro en politicien avisé devait faire ecrire les Karim Ouattara en premier afin de pouvoir mesurer le niveau de rejet de BC par la population, en intervenant le premier, je pense qu’il s’est discrédité. Il faudrait qu’à l’extérieur les gens sachent que la médiation fait partie des us et coutumes du Burkina, après BC, les burkinabé vont continuer à faire de bonne médiations et à participer à la résolution des problèmes du continent et même du monde.

  • Le 20 janvier 2014 à 10:20, par Ya na marre. En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Encore un donneur de leçons. On ne mange pas la paix, la stabilité, les médiations et facilitations sous régionales.

    En 2015, nous ne voulons plus Blaise comme président du Faso ne veut pas dire qu’on ne veut pas la paix ni la stabilité. Du reste, c’est n’est pas Blaise qui a crée la paix et la stabilité.

    Celui qui sent qu’il est indispensable chez lui (la cote d’ivoire par exple) qu’il laisse le Burkina Faso dans le chaos apocalyptique prévu après son départ et qu’il aille co_presider la cote d’ivoire avec Ouattara. Cela vous apporter à coup sur paix, stabilité, croissance, émergence et tout le bien être dont il est le dépositaire.

    C’est des foutaises que vous nous faites sinon ce ne sont pas des conseils ça.
    Avant de redouter les conséquences d’un problème, tout le monde sait qu’il faut rechercher d’abord les causes ; La cause de tout ce que vous redouter au Burkina Faso ici c’est son président qui veut mourir au pouvoir. Rien d’autre que ça et pour ça, en tout cas nous nous sommes et ne seront jamais d’accord.

    • Le 21 janvier 2014 à 09:36, par marie 325 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      on ne mange pas la paix c est vrais mais quand ya la paix on vit mieux .je suis scandalisé de voir mes frère burkinabé réagis de cette façon tout simplement parce quelqu un vous apporte son soutien .peu être que Mr ouattara a raison son message a permis a beaucoup de burkinabé de se libéré .si non je vois pas en quoi le message de Mr outtara mérite de tel injure on va même a le traité de petit singe qui a appris apporté la cravate c est vraiment dommage de réagis comme sa face a quelqu un qui veut juste le bien de notre pays .

  • Le 20 janvier 2014 à 11:22, par marie 325 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Mr ouattara je vous remercie de votre soutien pour le Burkina Faso .

  • Le 20 janvier 2014 à 11:26, par marie 325 En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Mr ouattara je vous remercie de votre soutien pour le Burkina Faso .

    • Le 20 janvier 2014 à 16:11, par Karim Ouattara En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      Chers frères et sœurs du Faso,
      A la lecture de vos commentaires, la première satisfaction personnelle que je tire de mon adresse à la jeunesse burkinabé est d’avoir permis que bon nombre d’entre vous extériorisent leurs rancœurs à travers un cadre d’échange responsable, quoique certain n’est pas encore intégré le sens de la mondialisation et de la diplomatie internationale. Le Burkina ne saurait et ne pourrait se développer en autarcie et votre Président actuelle Son Excellence Blaise Compaoré, a ouvert le Faso au monde extérieur de façon honorable et respectable, raison pour laquelle des non burkinabés, des étrangers, comme moi, voient le peuple burkinabé comme un grand peuple digne de respect et de courtoisie. Il va donc falloir plus que des insultes intentionnelles ou non, pour détourner mon affection pour le peuple frère du Faso. Je suis convaincu d’une chose, lorsque quelqu’un s’invite dans une querelle fut-elle politicienne pour séparer ou ramener les protagonistes à la raison, les coups qui l’atteignent ne lui sont pas certainement destinés. partant de ce principe je comprend parfaitement les attaques contre ma personne et je les acceptent sans rancœurs, par ce que je comprend et connais le tourment de la passion. Mais sachez le, la politique ne se fait pas avec "gros cœur" autrement dit la passion ne doit pas l’emporter sur la raison. Si le fait de vous défouler sur les médiateurs peut faire l’économie de la crise au Faso alors vous êtes les bienvenus. Certains, me traite de mouton, de singe, de vendu, mais qui serais-je si mon égaux devait l’emporter sur la raison et l’objectif que je vise qui n’est autre que d’avertir le peuple frère du Faso. Vos rancœurs et votre colère s’estomperont un jour, et ce jour vous verrez comment l’ivresse de la colère vous a épuisé contre un jeune frère qui n’a aucunement osé lever la voix contre vous. Ne vous laissez pas égarer par des illusionnistes, gardez votre lucidité et orientez vous sereinement vers des voies démocratiques et légales non violente pour régler vos éventuels différend, parlez vous dans l’interet du Faso et de la sous région. il va falloir plus que des insultes contre ma personne pour me faire perdre la raison et l’affection pour le Faso. Vous avez certainement fait le constat que lorsque vous avez fini de m’insulter, qu’une petite joie, un petit sentiment de satisfaction et de bienêtre traverse votre corps car vous avez l’impression d’avoir été libérez d’un fardeau et c’est cela ma satisfaction personnelle que de vous amener à vous défouler et à vous libérer pour que la raison l’emporte sur la passion. Merci de votre compréhension et de votre fraternité Karim Ouattara, votre frère de la Cote d’Ivoire.

  • Le 20 janvier 2014 à 15:40, par citoyen En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Mon cher, ta case continue de brûler toujours ! Avec des gens comme Guillaume SORO, des arrivistes arrivés à leur fin, et qui tiennent des positions anti démocratiques, alors la Côte d’Ivoire est mal partie !! Alors balayez devant chez vous même, et laisser les Burkinabè gérer leur souci !

    Il n’y a point d’étincelle au Faso ! Vraiment SORO et toi, vous êtes tarés. Une loi fondamentale existe dans chaque pays ! Dans les pays civilisés, comme la France, les USA, où la majorité sait lire et écrire, et décortique les programmes des candidats présidents, on a limité le nombre de mandats. Que tu sois bon, tant mieux ; mais après 2 mandats tu laisses la place à un autre. Bill Clinton fut applaudi par tous les Américains ; mais à la fin de son second mandat, il a bougé sans faire du bruit ! Il a respecté la constitution. Obama est à son second mandat ; à la fin il bougera sans souci !

    Pourquoi en Afrique, on n’est pas civilisé ? Pourquoi en Afrique, on ne peut pas faire comme ces pays qui avancent !!! Pourquoi chez eux, après 2 mandats consécutifs, il n’y a même pas débat ! Il n’y a même des farfelus d’associations qui sortiront demander un prolongement du bail du président !!
    Posez vous ces questions et donner les réponses !!

    Alors demander à votre Blaise, pourquoi, depuis 1991, il a tripatouillé la constitution, pour faire 27, bientôt 28 ans au pouvoir ?? Est-il le seul Burkinabè ? Est-il éternel ? Donc le jour qu’il va mourir, le Burkina Faso disparaitra de la carte du monde ??? Espèces d’idiots !!!

    Vraiment quand on dit que l’Africain est son propre ennemi, ça se laisse se vérifier sans souci ! Au lieu de plaider pour des alternances en Afrique, non ! Ce sont des intellectuels qui se prostituent pour des promotions !!
    Analyser la suite des longs règnes en Afrique ??? Catastrophe sur Catastrophe !!

    Cher Karim Ouattara, et ton SORO, ne voyez pas la paille dans l’oeil de votre voisin, et ignorer la poutre dans le votre !!

    Il n’y a pas de guerre au Faso. On a un délinquant, qui ne veut pas respecter la constitution.. De quoi a-t-il peur ??? Après avoir assassiné des gens en pagaille, il a peur de mourir aujourd’hui !!! On récolte, ce qu’on sème !!! Peux tu récolter du maïs, après avoir semé des arachides ?? Non et non ! Alors qu’il réponde de ses actes !!!

    • Le 21 janvier 2014 à 11:51, par La sagesse En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

      Un conseil reste un conseil. Son application ou non est de la responsabilité de celui qu’on conseil.
      Puisse Dieu recompenser chacun suivant sa bonne intention.
      Puisse la sagesse divine visiter nos responsables politiques afin de leur inspirer la meilleure solution pour la paix et la cohésion.

  • Le 21 janvier 2014 à 20:06, par SIDNOOMA En réponse à : Lettre d’un ivoirien à ses frères burkinabè

    Comme tu le veux, mon frère KARIM. Je vais coupé court sur mon intervention en vous référant à cette phrase prononcée il y a 45 ans par MARTIN LUTHER KING Jr. et qui continue de retentir dans l’oreille des personnes sensées et de bonnes volontés. Il interpellait à l’époque aux Etats ségrégationnistes des ETATS -UNIS je cite" Vous me taxez d’agitateur et de trouble-fête ! Je vous prie de ne pas confondre LA PAIX NÉGATIVE qui est synonyme d’ABSENCE de tension à LA PAIX POSITIVE qui est la PRÉSENCE et le RÈGNE de LA JUSTICE". C’est bien malheureusement la situation de mon très aimé pays le BURKINA FASO. Pour finir un peuple opprimé ne peut rester éternellement captif de l’oppression ; tôt ou tard le cri de la justice et la liberté fini par retentir de lui-même.

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