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Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

Publié le jeudi 26 décembre 2013 à 15h33min

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C’est fait ! En tout cas, c’est le constat qui est fait. Le Faso est divisé en deux. La pensée unique s’est installée royalement. Qui n’est pas avec moi est contre moi. La liberté d’expression, qui est l’une des composantes de la démocratie que tout le monde se plait à chanter ou à appeler de tous ses vœux, n’est plus une préoccupation.

Que ce soit dans les forums des internautes, dans les journaux, sur les ondes de radios ou de télévisions, ou tout simplement dans la vie au quotidien, tous ceux qui osent ou qui ont encore le courage de dire du bien du pouvoir en place sont tous des « vendus », des « apatrides », des « bons à pendre » tout simplement. Par contre, dire du mal du pouvoir, le vilipender, le médire, sont les qualités d’un patriote, de celui qui aime son peuple et le bien de celui-ci. Exactement comme si ceux qui sont au pouvoir aujourd’hui ne veulent que le mal des Burkinabé, sont indignes, sont des hommes à vouer aux gémonies.

Vu sous cet angle, on peut bien dire que l’heure est grave. Elle est même très grave. Car, ici au Faso, on cultive à souhait l’intolérance, la haine, la stigmatisation. On trie, on creuse volontairement le fossé de la division entre les Burkinabé. On indexe, on expose, etc. Ça fait peur car cela ne présage pas de lendemains de paix, de cohésion sociale, du vivre-ensemble, de concorde et de communauté. Parce que, à voir de près, on se rend compte que tout a commencé de la même manière dans les pays aujourd’hui en crise. (Touchons du bois !) Si bien qu’on a l’impression que pendant que les autres travaillent pour apaiser les cœurs, consolider la paix sociale et rassembler les Burkinabé autour d’un idéal, les autres œuvrent au contraire à les diviser, à les opposer les uns aux autres. Entre les « vrais » et les « faux », les « bons » et les « mauvais ». C’est tout simplement grave. Il faut tout de suite arrêter ça !

Ou alors, si les choses devraient en rester-là…il faut s’inquiéter. Les années à venir risquent d’être très difficiles. Quelle que soit la personne qui sera au pouvoir, il lui sera difficile d’instaurer son autorité. Alors que là où il n’y a pas d’autorité, là où il n’y a pas d’Etat, c’est la faillite de la société. Les exemples sont nombreux et celui qui est le plus d’actualité est le cas de la Centrafrique.

Y a-t-il des Burkinabé au pouvoir, comme on veut le faire croire, qui cherchent à mettre le feu dans ce pays ? Notre rôle n’est sans aucun doute pas de défendre le pouvoir. Mais, qui plus que les tenants du pouvoir, ont des acquis à préserver ? Qui, plus qu’eux, ont intérêt à ne pas laisser fondre comme du beurre au soleil tous les acquis démocratiques, de développement dans tous les domaines qu’ils ont réussis durant le temps de leur exercice du pouvoir ? Ce n’est donc pas le premier d’entre nous, Blaise Compaoré, qui sera le pyromane. Ceux qui attisent le feu doivent savoir que lorsqu’il prendrait, ce ne sont pas forcément ceux à qui l’on pense qui seront les seules victimes. C’est le peuple innocent, les Burkinabé des campagnes qui n’ont rien à voir avec ces querelles de « chefferie », d’intérêts inavoués. C’est pourquoi, nous devons à travers chaque acte, comprendre que nous sommes tous des Burkinabé, que nous voulons tous le bien de ce pays. Seules les approches sont différentes. Est-ce pour autant que nous sommes si opposés les uns aux autres ? Au point de ne plus voir l’intérêt commun ?

Dabaoué Audrianne KANI

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Vos commentaires

  • Le 26 décembre 2013 à 15:51, par WIBDOS En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Ahhhh. Voila qui est bien dit. Donc, que ceux qui veulent séterniser au pouvoir sache que nous sommes tous des burkinabès et que nous pouvons aussi developper ce pays. Qu’ils acceptent de partir sans chercher à opposer le peuple avec des faux référendum et autres senats.

  • Le 26 décembre 2013 à 15:56, par phantom En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Si en 2015 Mr COMPAORE ne se présente pas et que ceux qui vont se présenter à la présidentielle participent à un vote sans fraude, je dirais que la paix reviendra quelque soit soit celui qui sera élu. Vous soutenez Mr COMPAORE dans la modification de l’article 37 et vous savez très bien ce qui pourrait nous arriver avec les longs règnes. Soyez juste, on ne vous demande pas de prendre parti.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:06, par Moussa En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Nous devrons travailler extirper de nos rang tous les vendus du système comme ce mendiant de journaleux qui s’appelle curieusement KANI. On comprend pourquoi il reste fidèle à son maitre malgré les critiques objectives portées sur ses écrits incendiaires tout au long de la crise. On s’occupera de toi après le départ de ton maitre.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:08, par Le Wed En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Toi même tu es entrain d’attisé le feu à ta manière. Pourquoi tu ne t’attaques pas à celui qui a allumé le feu( Modification de l’article 37, Mise en place forcée du SENAT,marchés publics au clan ; Gestion très opaque de l’or) et tu t’attaques à celui qui l’attise ? De toue façon, une fois qu’un feu est allumé avec des gros bois secs, même si personne ne l’attise, l’air naturel s’en chargera. Donc inutile de s’attaquer au peuple mais aux dirigeants du peuple.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:09, par Mouni En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Une fois n’est pas coutume, je trouve votre analyse très pertinente : comme diraient les femmes (des hommes), tous les politiciens ’sont les mêmes’. Dans cette histoire je ne suis ni pour Blaise ni contre lui ; mais je sais seulement que le "gnanga" sera inévitable au BF : on l’affronte maintenant ou on le fait plupart. Mais il y a un autre mal plus grave : le déni de l’autorité. Craignons celui-là car quel que soit le dirigeant qui viendra, il lui sera difficile d’imposer ses vues...

    • Le 26 décembre 2013 à 22:26 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

      à qui la faute ? un peu de sérieux dans vos commentaires, ne ferait pas de mal. Si aujourd’hui, l’autorité est mise à mal, c’est la faute à qui ? A Blaise, le 1er responsable qui a contribué à cette chienlit pour paraphraser un certain de Gaulle. Celui qui va le remplacer, je souhaite quelqu’un d’honnête, préoccupé par la moitié des burkinabè qui ne mangent pas à leur faim.... et je vous assure que l’autorité reviendra si on a une véritable justice POUR TOUS...

      • Le 27 décembre 2013 à 11:16, par Sidpasata - Veritas En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

        En fait, ce n’est pas l’autorité qui est contesté, mais l’autoritarisme de nos gouvernants. Ils manques d’arguments pour justifier leur position et, pour eux, n’importe quelle affirmation, même dénuée de bon sens, devient un argument d’autoritaire. Ce sont les affirmations du genre ; "l’art 37 n’est pas non modifiable", "il ne faut pas changer pour changer", "la limitation des mandats par la constitution n’est pas démocratique", "Blaise a bien gouverné donc il faut qu’il reste". Toutes ces déclarations indéfendables et bien d’autres encore qui mériteraient une bonne place dans un bêtisiers sont considérées par les modificationnistes-falsificateurs comme des arguments valables, alors qu’il faudrait beaucoup trop de violence pour imposer à la raison raisonnante et au bon sens le mieux partager. C’est cette intention de force les choses contre la raison qui est violente en elle-même et qui génère la violence aussi bien dans les propos que dans les attitudes menaçantes. ON NE VIOLE PAS IMPUNÉMENT LA RAISON ET LE BON SENS.

    • Le 27 décembre 2013 à 11:17, par Sidpasata - Veritas En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

      En fait, ce n’est pas l’autorité qui est contesté, mais l’autoritarisme de nos gouvernants. Ils manques d’arguments pour justifier leur position et, pour eux, n’importe quelle affirmation, même dénuée de bon sens, devient un argument d’autoritaire. Ce sont les affirmations du genre ; "l’art 37 n’est pas non modifiable", "il ne faut pas changer pour changer", "la limitation des mandats par la constitution n’est pas démocratique", "Blaise a bien gouverné donc il faut qu’il reste". Toutes ces déclarations indéfendables et bien d’autres encore qui mériteraient une bonne place dans un bêtisiers sont considérées par les modificationnistes-falsificateurs comme des arguments valables, alors qu’il faudrait beaucoup trop de violence pour imposer à la raison raisonnante et au bon sens le mieux partager. C’est cette intention de force les choses contre la raison qui est violente en elle-même et qui génère la violence aussi bien dans les propos que dans les attitudes menaçantes. ON NE VIOLE PAS IMPUNÉMENT LA RAISON ET LE BON SENS.

    • Le 27 décembre 2013 à 13:20, par Vraiment !!! En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

      Salut Mouni. Le déni de l’autorité et une trouvaille de Blaise pour que les gens pensent que si ce n’est pas lui, personne ne peut gérer le FASO sans qu’il n’ y ait crise. Qu’il parte, nous allons rétablir l’autorité de l’Etat qui passe par le mérite, la lutte contre la fraude, les détournements, la gabegie, la politisation de l’administration publique, le népotisme, le despotisme, la justice des riches et des gens parrainés de politiciens...

  • Le 26 décembre 2013 à 16:14, par el patrio En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Vous dites vrai, mais qu’est-ce qui a amené cet état de fait. Histoire :
    Coup d’état en 1987 où pour une fois au Burkina, on a tué un président
    1989 : purge au sein des tenants de la rectification
    .......(à compléter)
    1998 : Assassinat barbare et odieux du journaliste d’investigation Norbert Zongo sans que les coupables ne soient retrouvés jusqu’à l’heure où j’écris.
    .........(à compléter)
    2011 : Mutineries des militaires avec tout ce qui s’en suit

    Et à chaque fois, le régime en place, celui qui est vissé ici depuis 1987 a été mis en cause et celui ci n’a jamais pu démontrer le contraire. C’est plutôt le
    "LE CHIEN ABOIE ET LA CARAVANE PASSE". Et pour couronner tout ça, le SENAT et la révision de l’article 37. Et vous ne voulez pas que l’opinion nationale se divise en deux ; mieux vaut deux que 4 ou 5.. A bon entendeur SALUT !!! revisez vos écrits et vos positions.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:15, par la sentinelle En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    monsieur,le journaliste,c’est bien de faire ces analyses,mais je crois à mon humble avis que cette pensée unique dont tu fais cas illustre le malaise de la population qui a subit le diktat du pouvoir pendant longtemps.la population vient de se rendre compte que le pouvoir est entre ses mains et entend changer les choses.vous journalistes vous avez un devoir d’éducation de la population que vous avez malheureusement occulté, certains sont passés à coté pour des raisons que vous connaissez bien. l’apparition des tic, l’embellie en alphabétisation de la population suscite un regain d’intérêt sur la gestion de la cité.une petite question mr le journaliste,qui sont les coupables des crimes ignobles de ces derniers décennies, tu penses que l’on peut effacer cela de la mémoire collective facilement.je pense qu’il faut un bon diagnostique pour arriver à un bon remède, mais tant que le diagnostique est faut, il est certain que même,une maladie bénigne risque d’emporter le malade.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:16, par la sentinelle En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    monsieur,le journaliste,c’est bien de faire ces analyses,mais je crois à mon humble avis que cette pensée unique dont tu fais cas illustre le malaise de la population qui a subit le diktat du pouvoir pendant longtemps.la population vient de se rendre compte que le pouvoir est entre ses mains et entend changer les choses.vous journalistes vous avez un devoir d’éducation de la population que vous avez malheureusement occulté, certains sont passés à coté pour des raisons que vous connaissez bien. l’apparition des tic, l’embellie en alphabétisation de la population suscite un regain d’intérêt sur la gestion de la cité.une petite question mr le journaliste,qui sont les coupables des crimes ignobles de ces derniers décennies, tu penses que l’on peut effacer cela de la mémoire collective facilement.je pense qu’il faut un bon diagnostique pour arriver à un bon remède, mais tant que le diagnostique est faut, il est certain que même,une maladie bénigne risque d’emporter le malade.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:20, par RAOU En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Eh Oui ! Malheureusement c’est ceux qu’il veulent le bien du peuple qui vont creuser sa tombe avec leurs actes d’intolérance.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:27, par Powerfull En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Exact. Rien à ajouter

  • Le 26 décembre 2013 à 16:29, par WIBDOS En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Ahhhh. Voila qui est bien dit. Donc, que ceux qui veulent séterniser au pouvoir sache que nous sommes tous des burkinabès et que nous pouvons aussi developper ce pays. Qu’ils acceptent de partir sans chercher à opposer le peuple avec des faux référendum et autres senats.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:31, par SERVAL En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Tu vois, tu es déjà partisan à travers tes réactions. On te lis depuis longtemps et nous savons faire la part des équilibristes et des indépendantistes.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:35, par Bénéwindé En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Même l’Opinion ne produit plus ces torchons. Vous arriver en retard dans ce marché de courtisans.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:37, par dambol En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Vous inquiétez par vous même si vous voyez les choses de la sorte. Vous ne voulez qu’entendre ce qui vous plaît. Sachez que ceux qui médisent construire aussi et peut-être mieux que ceux qui clament rose même quand c’est noir.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:43, par vérité no 1 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Bel article, c’est vrai ce que vous dites sauf que vous faites semblant de ne pas savoir pourquoi cette division. Le problème madame, c’est une dizaine de personnes avec Blaise Compaoré en tête qui veulent mettre le pays à feu. On a pas besoin d’être spécialiste pour savoir que le code de la violence est rouge. C’est pour cette même raison qu’on prie pour que Blaise renonce à l’article 37.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:43, par Le Sahélien En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Mr Dabaoué, j’apprécie sincèrement votre analyse ! vous avez décrit une situation que vous jugez grave pour la paix sociale au BF mais je reste sur ma fin quant aux mesures de remédiation " ...C’est pourquoi, nous devons à travers chaque acte, comprendre que nous sommes tous des Burkinabé, que nous voulons tous le bien de ce pays. Seules les approches sont différentes. Est-ce pour autant que nous sommes si opposés les uns aux autres ? Au point de ne plus voir l’intérêt commun ?" Vous savez qui critiquent les tenants du pouvoir actuel sont aussi intello comme vous, peut-être même plus. Si réellement tous les tenants veulent le bien de ce pays et y travaillent, en 26 ans cela se ressentirait. En quatre ans le Capitaine Thomas SANKARA a réussi ce que ceux-ci n’ont pas pu faire en un quart de siècle, renseignez-vous autour de vous si vous l’ignorez ! Ces tenants travaillent pour eux-mêmes. Si les approches sont différentes et qu’on s’oppose à celle des tenants de ce régime, ce n’est pas de l’intolérance : en démocratie, chaque citoyen à le droit de proposer une approche de développement. Ce que vous ignorez, les approches de ce régime ont atteint leurs limites, si vous trouvez que ce sont des approches. c’est pourquoi les gens s’opposent à leur pratique. C’est qui est normal : il faut affronter les approches, choisir ce qui est adapté au contexte actuel. Nul doute que l’approche du régime n’est plus adapté, tout le monde le sait et en parle. il faut donc changer !

  • Le 26 décembre 2013 à 16:44, par le soucieux En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Kani, je ne voulais pas réagir mais suis obligé de vous dire que l’intérêt commun d’un peuple ne doit pas non plus être lié au sort d’un seul individu. Les sujets qui divisent sont connus : le sénat et la révision de l’article 37. J’aimerais que vous me dites en quoi la mise en place du sénat et la révision de l’article 37 seront bénéfiques pour le peuple ? Eviter de mettre le feu car vos écrits concoururent dans ce sens et il appartient au président Compaoré d’œuvrer à cela en évitant de mettre le pays dans cette situation.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:45, par le soucieux En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Kani, je ne voulais pas réagir mais suis obligé de vous dire que l’intérêt commun d’un peuple ne doit pas non plus être lié au sort d’un seul individu. Les sujets qui divisent sont connus : le sénat et la révision de l’article 37. J’aimerais que vous me dites en quoi la mise en place du sénat et la révision de l’article 37 seront bénéfiques pour le peuple ? Eviter de mettre le feu car vos écrits concoururent dans ce sens et il appartient au président Compaoré d’œuvrer à cela en évitant de mettre le pays dans cette situation.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:48, par lord g En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    bon constat. seulement qu’en un moment de l’histoir il faut opposer les deux termes de l’alternative puis choisir. ainsi que choisir : accepter la paupérisation grandissante de la populace et vivre dans la misère et la crainte perpétuelle d’un régime infanticidaire, ou aller vers une révolution prometteuse de lendemains meilleurs ? avant donc dy repndr ou d choisir le burkinabè a fait un constat : 1 la peur de la révolution est le marchepied des gouvernement infantiles 2 les grandes puissance aktuelles sont les pays qui ont connu les pires révolutions. le choix du peuple est donc plus que motivé : la révolution. c’est pourquoi cher confrère il fau dès lors combatre le relativisme décélerant de certains internautes ou mobinautes. vive la jeunesse consciente

  • Le 26 décembre 2013 à 16:49, par LE BOBOLAIS En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    On ne peut pas être juge et partie

    Toi, tu es mal placé pour donner une leçon de morale à quelqu’un. T’as déjà choisi ton quant. Et même en choisissant ton quant qui est celui du CDP, tu le fais si mal que tu déshonores toute la corporation. Commences d’abord par rendre service au maire de Bobo pour qui tu as été nommé charger de communication, en donnant l’information à toute la presse et arrêter tes conflits d’intérêts. L’express du Faso n’est pas le journal de la mairie et tu dois le mettre au même pied d’égalité que tous les autres organes de presse. Tu as intérêt d’ailleurs à le faire si non ce que tu verras, tu l’auras cherché.
    Et puis l’association de journalistes bobolais qu tu diriges, arrêtes de la prendre comme une propriété privée. Arrêtes de la prendre pour fond de commerce. En fin laisses moi te dire que le journaliste a une responsabilité sociale et toi, tu sembles l’ignorer.
    La jeune génération a besoin de repères et à cette allure, ça m’étonnerait fort que tu puisses en faire parti.
    Revois ta copie car tu es entrain de faire sombrer notre journal à nous tous avec tes prises de position. C’est ton choix de rouler pour le CDP, je le respecte, mais arrêtes de tirer sur l’opposition. Car on peut pas être juge et partie.

    • Le 27 décembre 2013 à 21:06, par vérité no 1 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

      Merci pour ces éclaircissements, je savais qu’elle n’est pas n’importe quelle journaliste car la plume est maîtrisée mais elle utilise sa connaissance dans le mauvais sens. On constate d’ailleurs que la devise du journalisme au Faso, c’est moi d’abord, le CDP ensuite et le reste c’est la poussière (pas tous les journalistes). Un rédacteur en chef disait à ses journalistes de ne pas utiliser les adverbes et les adjectifs qualicatifs sans son autorisation de peur d’être subjectif et c’est ce qu’elle a fait jusqu’a devenir une envoyée spéciale du pouvoir. .

  • Le 26 décembre 2013 à 16:50, par lord g En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    bon constat. seulement qu’en un moment de l’histoir il faut opposer les deux termes de l’alternative puis choisir. ainsi que choisir : accepter la paupérisation grandissante de la populace et vivre dans la misère et la crainte perpétuelle d’un régime infanticidaire, ou aller vers une révolution prometteuse de lendemains meilleurs ? avant donc dy repndr ou d choisir le burkinabè a fait un constat : 1 la peur de la révolution est le marchepied des gouvernement infantiles 2 les grandes puissance aktuelles sont les pays qui ont connu les pires révolutions. le choix du peuple est donc plus que motivé : la révolution. c’est pourquoi cher confrère il fau dès lors combatre le relativisme décélerant de certains internautes ou mobinautes. vive la jeunesse consciente

  • Le 26 décembre 2013 à 16:52, par citoyen En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    c’est pour cette raison qu’on demande au Président actuel de ne pas modifier la constitution : c’est très important. supposons que la constitution ne limite pas le mandat présidentiel, après plus de 25 ans au pouvoir, quels actions fortes le Président peut encore faire à l’endroit du peuple burkinabè. pas qu’on ne veut plus de lui, pas qu’il est mauvais, mais de grâce modifier la constitution serait une erreur. après cela, qui respecterait encore cette constitution....
    aujourd’hui mes amis sénégalais sont fier de leur pays, de leur démocratie, les ghanéens, les béninois, nous n’avons droit à ce bonheur la aussi.
    Que blaise COMPAORE nous fasse cette grâce de laisser ce pays en paix.
    s’il ne modifie pas c’est sure qu’il aura la paix, mais, s’il modifie qui c’est, ca marché comme ca peut ne pas marcher.
    si ca marche tant mieux pour lui, mais si ca ne marche ... est ce qu’il va accepter le verdict..... car s’il acceptait vraiment ce que veut le peuple, il n’y aurait pas referendum.
    on voit tous le danger venir, il est encore possible de l’arrêter.
    un citoyen inquiet.

  • Le 26 décembre 2013 à 16:57, par lord g En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    bon constat. seulement qu’en un moment de l’histoir il faut opposer les deux termes de l’alternative puis choisir. ainsi que choisir : accepter la paupérisation grandissante de la populace et vivre dans la misère et la crainte perpétuelle d’un régime infanticidaire, ou aller vers une révolution prometteuse de lendemains meilleurs ? avant donc dy repndr ou d choisir le burkinabè a fait un constat : 1 la peur de la révolution est le marchepied des gouvernement infantiles 2 les grandes puissance aktuelles sont les pays qui ont connu les pires révolutions. le choix du peuple est donc plus que motivé : la révolution. c’est pourquoi cher confrère il fau dès lors combatre le relativisme décélerant de certains internautes ou mobinautes. vive la jeunesse consciente

  • Le 26 décembre 2013 à 16:57 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Y a-t-il des Burkinabé au pouvoir, comme on veut le faire croire, qui cherchent à mettre le feu dans ce pays ? Oui puisque ceux qui sont au pouvoir disent que si Blaise quitte le pouvoir le pays sera dans le K O. Alors je vous retourne la question, qui mettra le pays dans le K O quand Blaise ne sera plus au pouvoir ? Ce ne sont pas ceux qui s’opposent à lui en tout cas.

  • Le 26 décembre 2013 à 17:04, par Raymson En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Un lion déguisé en anneau pour paraitre moins sauvage.

  • Le 26 décembre 2013 à 17:07, par Yako En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    MMe merci pour votre éclarage digne d’une grand-mère ! justement c’est ce qu’on m’a inculqué petit lors des veillées de coton dans mon village Samo.Malheureusement l’école nous sert de lumière mais au faso elle est l’incartnation de ténèbre par excellence.Lorsque ceux là meme que la république a produit pour proteger son champ sont auteurs des propos incendiaires dans le seul but d’atteindre le petit gain politique m’indigne car,dans les pys normaux intéllectuel et presse sont des relais d’opinion par là meme des moderateurs au service d’une démocratie temperée mais au faso non seulement ils ont failli et meme préparent un agenda d’échouage.A cette majorité sage dans nos campagnes qui n’ont pratiquement rien réçu de la res-publica et les peites gent dans nos villes,méfiez-vous de ces nouveaux prophètes de plume.Si la république est une ,ceux là qui la constituen sont des millions d’hommes et femmes dont tout les différncie et si tu leur poses la question pourquoi vous constitués la meme nation ?la répons ,par ce que nous avons choisi de vivre ensemble.Donc vivre ensemble demande tolérance et compréhension, sinon c’est l’arrogance qui prend le-dessus.

  • Le 26 décembre 2013 à 17:10 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Monsieur le Journaliste,
    ce pays nous l’aimons tous, nous souhaitons le meilleur chaque jour que DIEU fait. Mais il faut être aveugle ou limité dans la pensée pour s’apercevoir là ou le pouvoir conduit le peuple. Laisser moi vous donner quelque simple exemple : lorsque l’on met en place dans son propre pays un système de santé que l’on se permet de vanter et que soit même, les membres de ton gouvernement et certaines personnes qui occupent des hautes fonctions de ton pays vont à chaque fois qu’ils sentent un petit malaise en Europe, Amérique ou le Maroc pour croiser un médecin et lequel encore, il y problème. Lorsque l’on met sur pied un système éducatif où l’on exclu ses enfants pour un autre système, il y a problème. Malheureusement, la nouvelle génération voit ça et elle sait qu’elle est entrain d’être sacrifié pour une minorité. Lisez l’homélie de Mg Philippe OUEDRAOGO la nuit de Noël et vous comprendrez, sauf si vous ne voulez pas la vérité.
    Nul n’incite à la haine, ni à la violence. Nous demandons seulement de respecter ce qu’on avait convenu ensemble qui est la limitation de mandat, et qu’il y ai plus de justice et d’égalité entre les burkinabè. Le phénomène de l’incivisme dont tous le monde en parle, permettez moi de vous dire que le jour où les autorités burkinabè vont arrêter de se chatouillez eux mêmes et de rire, et chercher les vrais raisons de l’incivisme (puisqu’ils connaissent le problème mais refuse de l’accepter), on réduira de 75% les cas d’incivisme en moins d’un mois.
    Et dites vous que les mouvements des jeunes surtout des élèves a l’air d’un mouvement sans tête ni queue, mais bien organisé et ils se comprennent. Imaginez vous ces mouvements dans 10 ans, où lorsqu’ils vont atteindre les instances de décision. La lutte des jeunes aujourd’hui pour demander plus de justice, d’égalité de chance et autres ne devait pas être leur combat, mais plutôt celui de leurs parents, leurs aînés, leurs devanciers qui ont permis à tout ces injustices de s’installé. On ne veut pas que la solution vienne de ces jeunes à leur âge ; on ne veut pas qu’ils arrêtent ce qui à leur avis était devenu leur droit (détourner, voler, tuer, etc).
    Pour stopper ça, c’est de respecter la constitution qui fait l’unanimité, si je peux me le permettre, et permettre aux burkinabè de vivre dans la dignité. Qu’on arrête de nous dire que notre avenir se trouve entre les mains d’une seule personne et que sans lui, nous ne pouvons nous développer. Qu’on arrête de dire que construire plus d’école, de CSPS en 26 ans de règne pour 53 ans d’indépendance est une exploit comme si on pouvait comparer le Burkina des années 70 au Burkina des années 2010.
    Que DIEU SAUVE LE BURKINA FASO ! AMEN !!!!!!!

    • Le 26 décembre 2013 à 20:35, par JAM En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

      je pleure pcq’il est trop tard.cherchons plutot a limiter les dégats car ns allons tous perdre d1 manière ou d1 autre

    • Le 26 décembre 2013 à 21:01, par sihim En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

      Il faut ouvrir l oeil et le bon. Nous sommes a une periode critique de la vie de notre nation, elle vivra ou ne vivra pas. c est le pile ou le face, Malheureusement le De semble deja pipe pour certains et cela laisse entrevoir un lendemain obscur pour ne pas dire macabre. C est le moment ou jamais d anticiper,de participer aux debats democratiques qui concernent tous sans exception pour eviter le pire, c est a dire le debat de l epee que certains pays souhaiteront voir afin jouer aux pompiers.
      La division decriee ici est une bonne chose,cependant il ne faut pas oculter le fait qu elle constitue le signe de changement et exprime du meme coup l interet de la chose publique de la part du citoyen d aujourd hui qui se differe tres sensiblement de celui d hier.On peut donc esperer que notre peuple est desormais comptable des actes qu il pose vis a vis de la nation, et qu ils savent desormais que leur sort dependent d eux meme et que la moindre erreur leur sera fatale. Il reste aux vaillants intelectuels de croire et d agir par les urnes pour une meilleure alternance.

  • Le 26 décembre 2013 à 19:06 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Écoutez : vous affirmez que c’est le règne de la pensée unique, après savoir constaté vous-même que le pays est divisé en 2 : dans quel camp trouvez-vous la pensée unique ? Dans le camp opposé au pouvoir, évidemment !! Franchement vous êtes nul comme journaliste, parce que vous êtes partial, j’analysez pas, et donnez votre position politique : pensez-vous sincèrement que s’il devait y avoir le feu au Burkina Blaise n’est pas le 1er pyromane ??? S’il veut s’éterniser au pouvoir il va brûler le pays et....lui avec

  • Le 26 décembre 2013 à 20:11 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    A te lire, l’on comprend vite que tu ne connais pas la réalité de ton Burkina Faso que tu prétends aimer si bien. Parmi ceux qui cautionnent encore le pouvoir actuel, il y a :
    -  ceux qui sont Ignorants
    -  ceux qui sont bornés
    -  ceux qui veulent avoir des faveurs
    -  ceux qui défendent leurs intérêts
    -  et ceux qui protègent leurs arrières
    Le pire c’est ceux qui se croient illuminés et qui écrivent des articles ridicules.
    -  Scander le respect de la constitution et acheter le silence de leaders religieux en fiançant des pèlerinages sur fonds de l’État : c’est çà aimer le Burkina ?
    -  Tenir mordicus à mettre en place un sénat aussi budgétivore qu’inutile pendant que l’on organise des campagnes de solidarité nationale : c’est çà aimer le Burkina ?
    -  Promouvoir l’injustice sociale en permettant à des "Intouchables" de se balader impunément tel des "singes" dans les branches du gouvernement et de l’administration publique : c’est çà vouloir la paix ? C’est çà aimer le Burkina ?

    Il suffit de dire au pouvoir actuel : c’est pas correct, çà suffit pour que l’on vous traite de jaloux ou de trouble paix.

    Laisse-moi te dire que la Paix n’est pas l’absence de coup de feu dans les rues. La guerre s’installe quand :
    -  l’injustice sociale règne ;
    -  l’impunité est promue ;
    -  la démocratie est monté de toute pièce ;
    -  une poignée d’individu asservissent, pillent et dépouillent le peuple ;
    -  la soif de l’enrichissement illicite bafoue la dignité humaine.
    Pour éviter le langage des armes que personne ne souhaite pour notre cher Burkina Faso (Que Dieu nous en garde !), il n’y a pas d’autre solution que de lutter cette guerre silencieuse que le pouvoir actuel a travaillé à installer depuis plus de 20 ans.
    Il est tant que cela change et nous nous battrons pour le Burkina Faso avec ou sans les soit disant illuminés de ton genre.

    La patrie ou la mort !

    • Le 27 décembre 2013 à 08:11 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

      A l’anonyme de 20:11,merci pour ton excellente contribution surtout que tu as vu juste surtout que cette politicienne journaleuse est du CDP qui occupe une fonction fictive à la mairie de Bobo comme chargée de communication.Tu comprends donc pourquoi elle cautionne ce pouvoir parcequ’elle est bornée,ignorante cherchant à défendre ses intérêts personnels au mépris de l’intérêt général.Qu’elle mange en se taisant au lieu de chercher à nous embrouiller.Elle est définitivement démaquée et maintenant elle est inscrite en bonne place sur la liste en bonne place de ceux qui rendront compte tôt ou tard.Enfin je lui donne un conseil:qu’elle arrête de déverser ses vomissures sur Lefaso.net parceque nous sommes intelligents et qu’elle s’occupe de faire de la politichien avec son maire inculte de Bobo.

  • Le 26 décembre 2013 à 20:20 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    justement le problème avec elle,est que si elle était seulement incompétente,ça va puisqu’il suffisait de l’aider pour qu’elle soit mieux formée dans son domaine mais c’est loupé. en plus de son incompétence criarde,elle a toujours été de très mauvaise foi et donc elle est irrécupérable parceque c’est une griotte à la solde de ce pouvoir vomi,incompétent et mafieux. d’ailleurs je l’invite à remettre tous ses torchons à une tierce personne d’un autre pays et il lui dira qu’elle manque sérieusement d’objectivité,de professionnalisme car tout ce que ce régime fait est toujours bon pour elle et tout ce que l’opposition fait est toujours mauvais pour elle sans oublier qu’elle n’a aucune aucune considération pour le vrai peuple,ce qui l’intéresse,c’est son ventre. que de sinistres individus comme guiro volent 2 millairds,à partir du moment où ils sont du cdp et donc du pouvoir,c’est normal pour elle en oubliant qu’elle vit grâce à des subventions publiques et donc grâce nos impôts sinon est-ce les lecteurs qui achètent son express du faso remplissent une cabine téléphonique ? non,non non et cela me rappelle ces partillons qui pilulent dans ce pays juste pour les subventions. en tout cas qu’elle sache une fois pour toute que les lecteurs du site lefaso.net ne sont pas des moutons et chaque fois que son torchon apparaîtra,qu’elle s’attend à être vouée aux gémonies. à bon entendeur,salut !

    • Le 27 décembre 2013 à 07:43, par Yako En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

      Comme quoi on est jamais assez grand pour apprendre les bonnes manières.Mme tenez bon votre métier l’exige à chaque fois que les Burkinanè se perdendent dans les petites querelles byzantines il faut leur parler du Burkina et de toutes façon tout le monde est si mal formé dans ce pays au point qu’on s’accorde pas sur l’essentiel.

  • Le 26 décembre 2013 à 20:34, par Trankil En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Pourquoi c’est maintenant qu’on observe cette division des burkinabé ? C e qui se passe autour de nous doit nous servir de leçon.

  • Le 26 décembre 2013 à 20:51, par bogandé En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    vos écrits divisent plus les burkinabé parce que vous n’êtes pas objectif. essayez au moins d’énumérer les cause de cette division et vous tirerez aisément la conclusion que le boucher de ziniare et vous autres en sont responsables. vous êtes de quel sexe ?

  • Le 26 décembre 2013 à 20:51, par lol En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Pour la première fois en lisant votre article, je vous salue et je me prosterne devant votre analyse ! Merci ! les anti-blaise pensent que le pays leur appartient. Je ne suis pas pro-blaise. Vu toute cette haine des anti-blaise, j’ai décidé en toute âme et conscience de soutenir blaise au moment venu. Si les anti prennent le pouvoir, nous vivrons le pire car ils voudront de venger de tout le monde même d’eux-même. bien à vous

  • Le 26 décembre 2013 à 21:12, par relwind En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Mme donnez vos conseils à blaise et courtisans et obligés.les jeunes sont révoltés par sa gestion mafieuse et clanique.combien de valereux a t-il fait passer par les armes ?les marchés du pont de boulmiougou, de l’avenue 56 ça vous dit mme ?et ils pensent avec ça que le faso est en paix et progresse.et pour couronner le tout après 28 ans de calvaire les Burkinabé n’ont pas le droit d’essayer autre président .

  • Le 26 décembre 2013 à 21:17, par Yako En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Mr merci pour votre éclarage digne d’une grand-mère ! justement c’est ce qu’on m’a inculqué petit lors des veillées de coton dans mon village Samo.Malheureusement l’école nous sert de lumière mais au faso elle est l’incartnation de ténèbre par excellence.Lorsque ceux là meme que la république a produit pour proteger son champ sont auteurs des propos incendiaires dans le seul but d’atteindre le petit gain politique m’indigne car,dans les pys normaux intéllectuel et presse sont des relais d’opinion par là meme des moderateurs au service d’une démocratie temperée mais au faso non seulement ils ont failli et meme préparent un agenda d’échouage.A cette majorité sage dans nos campagnes qui n’ont pratiquement rien réçu de la res-publica et les peites gent dans nos villes,méfiez-vous de ces nouveaux prophètes de plume.Si la république est une ,ceux là qui la constituen sont des millions d’hommes et femmes dont tout les différncie et si tu leur poses la question pourquoi vous constitués la meme nation ?la répons ,par ce que nous avons choisi de vivre ensemble.Donc vivre ensemble demande tolérance et compréhension, sinon c’est l’arrogance qui prend le-dessus.

  • Le 26 décembre 2013 à 21:56, par Me DAMIBA En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    La paix a une seule condition sine qua non,election d 2015 san tonton kosyam.lui et son CDP le savent.c’est eux qui menacent la paix et ils veulent jetter la faute sur ceux qui seront demain dans la rue.ça fait tres mal quand on pense quil nya qune seule pers qui peut diriger le faso.c’est la pensée des incapables.

  • Le 26 décembre 2013 à 22:10, par Yirmeyan En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    J’ai pas eu le courage de terminer la lecture de votre article. Il n y a personne qui soit contre le pouvoir. Rappelez vous est ce qu’il y a eu ces critiques en 2010. Blaise avait le droit de se présenter et personne n’a rien dit. On critique parce qu’on veut que notre pays quitte la démocrature pour la vraie démocratie. Je vais vous passer mon numéro pour que vous puissiez partager avec moi l’argent que vous recevez. On veut que toute la gabégie, la forfaiture ; la paresse et tous les maux qui caractérisent le clan Compaoré s’arrêtent avec lui en 2015 pour que nous puissions avancer. Alassane en trois ans a construit 86 KMS d’autoroute ; Blaise en 26 ans= 0 km d’autoroute. C’est ça l’émergence Audrianne ! Quitte dans ça. Arrêtons de vivre pour un seul homme qui je suis sûr aime plus Kosyam que son peuple.

  • Le 26 décembre 2013 à 22:35 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    La faute à Qui ? Blaise Compaoré qui gère ce pays comme une république bananière depuis 26 ans soit plus de 4 mandats ! Et, vous oubliez de citer l’exemple de Tandja pour amener un peu de réflexion dans votre écrit à la limite insultant pour la majorité des burkinabè. Quand certains sont multimilliardaires alors qu’ils ont le statut de la fonction publique alors que d’autres n’ont même pas 500 F CFA par jour pour survivre, la suite est connue...

  • Le 26 décembre 2013 à 22:55, par Le General En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Un bel article qui nous fait un peu reflechir sur notre beau pays. Le cas de la Centrafique et du Sudan montrent que nous devons faire attention pour ne pas entrainer des derives. Actuellement ont voit se qui se passe autour de nous (Guinee et Senegal). Je voudrais que l’opposition entreprenne la conquete de la population en accomplissant un travail de fourmi qui leur permettra de battre Blaise Compaore quelque soit sa strategie. L’opposition doit s’aligner sur un candidat unique carismatique et qui a fait ses peuves dans une region du Burkina. Que l’annee 2014 nous apporte des solutions adequates aux problemes de notre pays.

    • Le 28 décembre 2013 à 01:33, par professeur En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

      j’ai la conviction que le pouvoir se trompe en pesant que ceux qui s’opposent à ses ambitions de s’éterniser au pouvoir à travers sa volonté d’instaurer le sénat,la révision de l’article 37 sont exclusivement des membres de partis politiques d’opposition.Nous sommes libres de penser.La réaction va au delà de ce le pouvoir croit.Et c’est ce qui le conduire à sa perte inéluctable.

  • Le 26 décembre 2013 à 22:57 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Tres bonne analyse .Maintenant il faut qu on n est de l oposition ou du pouvoir, il faut respecter la constitution , la regle democratique.a chacun son temps.

  • Le 27 décembre 2013 à 00:52, par Pacotille 78 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Donc si nous respectons la règle , c’est que tu es vendu. Respectons alors la règle pour que tu sache que tu es un vendu. Et même moins cher

  • Le 27 décembre 2013 à 07:08, par le président En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    le constat est juste et malheureusement grave. Nous vivons cette situation partout. dans la rue, au maquis. Le vrai problème c’est que nous avons des opposant s vendus et égoïste et chacun préfère être à la tête d’un parti invisible, sans député, ni conseillé que faire partir d’un ensemble fort et visible e t construire cette alternance. Que Blaise veuille ou pas l alternance aura lieu. Malheureusement, cela sera encore dans ce clan CDP ou il existe encore des hommes de consensus mais le problème il y a le risque de poursuivre les vielles méthodes avec une équipe déjà vendu.

  • Le 27 décembre 2013 à 08:20, par le parrain En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Désolé Kani,votre article est plus que partisan et encore vous le faites si mal que j’ai envie de vous demander s’il n’y a pas une main cachée derrière votre plume.Vous parlez des exemples de pays où ça brûle comme la Centrafrique et paradoxalement vous dites que nos dirigeants sont les premiers à avoir intérêt à préserver la paix.Drôle d’idée quand même !Pourquoi Bozizé a été chassé du pouvoir ?C’est à cause de son entêtement.Nos dirigeants sont tellement égoïstes qu’ils préfèrent mettre le pays à feu et à sang avant de partir ou de mourir eux-mêmes.Sinon pourquoi forcer la révision du fameux article ou instaurer une institution décriée ?Demandez-le-leur.

  • Le 27 décembre 2013 à 08:28, par DOKAR En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Merci pour cet texte combien interpellateur.Seulement qu’on sache que d’autre burkinabé peuvent aussi développer le pays et peut être même mieux.Alors chaque chose a son temps et je crois que le temps du renouveau a sonné et qu’il faut de nouvelles idées pour éviter de sombrer dans le chaos.Le mieux serait que ceux qui ont fini de bosser au pouvoir cèdent la place à d’autre pour une réelle continuité de développement

  • Le 27 décembre 2013 à 08:32, par zang-rata En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    ce rejet du pouvoir en place se justifie amplement par le fait que les hommes qui l’incarnent ne font rein pour attirer la sympathie . Ils se permettent même de traiter des Burkinabè "d’étrangers" et tiennent un discours négatif et contre le sens de l’histoire ....Que voulez-vous donc ?

  • Le 27 décembre 2013 à 08:35, par Yellow En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Voici un qui n’a rien compris. C’est qui le pyromane ?

  • Le 27 décembre 2013 à 08:58, par lyrique1968 En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    C’est avec attention que je lis tjrs cette journaliste , mais j’avoue qu ’elle nous apporte rien comme solution, Mme ne voyer pas la modification de l’article 37 comme un désaveu au pouvoir de Blaise , mais une culture et le respect de la parole c est dire que si Blaise arrive a modifier cette article quel est le président qui ne le fera pas après lui , je crois qu’il faut avoir une culture de respect de la parole dans l’objective d’éduquer son peuple , sachez que tous ce qui actuellement cautionne d’une manière ou d’une autre ce régime paierons tôt ou tard ici bas ! ce peuple comme un seul homme vomira sa misère sur eux et sur ttes leurs descendances ! ça viendra et ce jour n’est plus loin !!!!!

  • Le 27 décembre 2013 à 10:54, par Le Ché En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Vous faites une belle analyse de la situation. Si tous ceux qui disent du bien du pouvoir en place sont rabroués, et cela, partout, dans la rue, dans les journaux et les fora, vous deviez tirer vous mêmes cette conclusion : tout le monde en a marre, il doit céder la place à d’autres. Si tout le monde vous rabroue, c’est que vous avez tort. Alors, acceptez la vérité, reconnaissez qu’on ne veut plus de vous et permettez au Burkina de vivre en paix. Si vous voulez rester au pouvoir contre le gré de tous, le pays s’enflammera. On dit que quand l’âne veut te terrasser, tu ne vois pas ses oreilles. Même si vous vous ne voyez rien, parce que saoulés par l’argent et le pouvoir, nous qui voyons, nous vous aurons prévénus. Et prenez garde, un jour on sortira tous ces articles contre vous. Il est encore temps pour vous de renoncer au mauvais camps pour choisir le bon.

  • Le 27 décembre 2013 à 10:59, par Le Sage. En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Chère Madame, c’est pour toutes ces raisons qu’il y a des lois dans la République que chaque citoyen doit respecter. Parmi ces lois, il en existe une que l’on appelle, la LOI FONDAMENTALE qui est la Constitution, c’est-à-dire celle qui organise l’institution du pouvoir d’Etat pour sauvegarder et préserver l’état de droit.
    DONC, si cette loi-là est modifiée (notamment en son article 37) par le premier responsable de l’Etat qui en est d’ailleurs son garant, je ne vous demande plus de deviner qui sera dans ce cas, le PYROMANE ? Votre article devrait plutôt s’intituler : "Respect des règles constitutionnelles pour la préservation de la Paix après 2015". Je compte sur vous pour écrire un tel article et là, vous pourrez désormais me convaincre que vous n’êtes pas une journaliste de "pacotille" et "à la semaine". Je suis mesuré dans mes propos contrairement aux internautes d’étage inférieur car je respecte absolument les femmes sinon, j’aurai été encore plus dur, tellement votre article est "vachement" orientée. Le Sage.

  • Le 27 décembre 2013 à 13:15, par Vraiment !!! En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Si tu analysais comme cela depuis, on n’allait pas te critiquer et souhaiter que 2015 arrive vite pour qu’on en découse avec les vous autres.
    Ce qui est sur, il faut pas attendre une autre réaction que la violence, quand, des dirigeants, une partie du peuple, au pouvoir depuis un certain temps, pensent que seuls eux peuvent diriger le pays, des supporters dont la voix portent (les journaleux), les défendent. Dans aucun pays au monde on ne peut dire qu’il eu des hommes prédestinés pour la gestion de la chose publique.
    Donc, raisonnons et disons la vérité (tous les burkinabè, à quelles conditions prévues par loi) sont présidentiables.

  • Le 27 décembre 2013 à 14:15, par Grekabor En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    N’importe quoi ! Vraiment n’importe quoi ! Quand on veut la paix on agit autrement que vous les gens du régime en place le faites en ce moment. Vous savez très-bien comment préserver la paix dans ce pays, si tant est qu’elle y a déjà régné ! A bon entendeur...

  • Le 28 décembre 2013 à 19:25, par Bass En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    Il s’agit ici de s’intéresser plutôt aux sujets qui enrichissent l’actualité. Pourquoi de tels affrontements ? Je crois que tout ce que vous dénoncez est moins pire que ce qui nous attend. Le rôle du journaliste c’est d’éclairer le peuple sur les sujets préoccupants comme les nôtres sur "la mise en place du sénat" et "la modification de l’article 37" Quelles seront les conséquences ? Je pense que c’est ce qu’il faut au peuple et non un article de ce genre qui consiste à choquer les sensibilités.Tout ce constat que vous faites est logique ici car quand un président d’un pays fait plus de 25 ans de règne il faut s’attendre à ce qu’il soit victime de l’usure. Les gens sont fatigués de ce même président durant 1/4 de siècle. Justement c’est pour le bien du pays et pour le bien du président lui-même que les gens réagissent. On compte le contraindre à respecter les textes et à faire abroger la lois sur la mise en place du sénat de façon pacifique. Ce sont donc les honnêtes citoyens qui réagissent pour éviter l’embrasement de la situation. Quand je lis les forums de discussions sur ces sujets je suis fier et en même temps renait en moi l’espoir d’un changement pour ce pays. Donc Mme ou Mr le journaliste, éviter de dérouter ces Hommes intègres qui sont sur le bon chemin. Peut-être que vous défendez vos intérêts, mais par amour du patriotisme pensez à l’intérêt générale si vous êtes réellement burkinabé.

  • Le 31 décembre 2013 à 09:05, par Abdoul En réponse à : Autant le dire…. : Dans quel Faso vivons-nous ?

    bonjour mon ami apprends bien ton langage s’opposer ne veut pas dire etre mechant mais apporter un autre langage pour le developpement du pays merci d’avoir eclairer votre lanterne

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