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Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

Publié le lundi 23 décembre 2013 à 05h04min

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Ayant choisi de rompre le silence sur la révision ou non de l’article 37 ou encore sur la mise en place du Sénat, Blaise Compaoré est aujourd’hui la cible de tous les débateurs. Sur le net ou dans les journaux, sur les ondes de télévisions et de radios. Qu’il est beau ce rôle de président de la République ! Quand il ne parle pas, on dit qu’il garde un « mutisme suspect ». Quand il parle, on dit qu’il n’a pas dit ce qu’on voulait qu’il dise. Finalement, il faut être « dur » pour parler ou se taire.

Seulement, au sujet de la révision de l’article 37, des Burkinabè ont fait semblant de l’avoir compris en galvaudant les propos présidentiels. Voici ce que Blaise Compaoré a dit sur l’article : « Je sais qu’il y a beaucoup de débats là-dessus. La Constitution a ciblé des points qui ne peuvent pas être modifiés. Et vous savez que nous avons une Constitution dont la référence suprême est le peuple. Ce qui veut dire que s’il n’y a pas de consensus au niveau national, le peuple sera amené à dire ce qu’il pense. Il sera consulté sur la question en cas de nécessité ». Le journaliste insiste en demandant si Blaise Compaoré va recourir au référendum. Le président répond : « Il n’est pas interdit par la Constitution. S’il y a un contentieux qui persiste, nous avons la possibilité de rechercher la paix sociale par le référendum ».

Que pouvait-il dire d’autre ? Est-ce que la non-révision de l’article 37 va apporter la paix au Burkina ? Est-ce le contraire qui est vrai ? Le président a bien expliqué qu’il pourrait faire recours au référendum si cela est « nécessaire ». Que doit-on comprendre par « nécessaire » ? Avant d’y arriver, notons simplement que tout le monde s’accorde sur le principe selon lequel la Constitution peut être révisée. Parce que, elle-même prévoit les conditions de sa révision. Et l’article 37 ne fait pas partie des points non-révisables. Il peut donc être révisé. Mais est-ce « nécessaire » ? C’est à ce niveau que se pose la question. Et c’est cette même question que le président s’est posé. « S’il y a nécessité ».

En clair, des Burkinabè peuvent, dans le cadre d’une pétition, demander la révision de la Constitution. La même Constitution le prévoit. A contrario, des Burkinabè peuvent constituer une pétition contre la révision de la Constitution. En d’autres termes, s’il y a des Burkinabè qui veulent la révision de l’article 37 et la mise en place du Sénat, il y en a qui ne veulent ni l’un ni l’autre. En sa qualité de président du Faso, il lui revient si la « nécessité » se fait sentir, de trancher. Mais comment ? Entre plusieurs solutions, il a évoqué le référendum puisque le journaliste y a particulièrement insisté. Mais, ce qu’il n’a peut-être pas dit et qui peut être compris, c’est la possibilité pour lui de dire non. Et c’est le choix personnel dont il parle. Car, si tout tourne autour de sa personne, il a le choix de choisir. Sans contrainte. Ni de la part de ses contempteurs ni de ses partisans. Par contre, si les positions sont si rigides, de part et d’autre, « la nécessité » de recourir au peuple, « référence suprême de la Constitution » peut s’avérer. Tant et si bien que l’objectif est « la recherche de la paix sociale » (sic).

C’est pourquoi, les positions actuelles plus tranchées, d’acteurs de la société civile qui devraient en principe apparaître comme des régulateurs, paraissent suspectes. C’est à se demander fondamentalement s’ils ne font pas le jeu du pouvoir ? A priori, il s’agit ici de questions « purement politiciennes » et qui, comme telles, ne devraient emballer que les hommes politiques. Mais, ce sont plutôt des acteurs de la société civile qui font le travail à leur place. Mais de façon assez biaisée. Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé, qu’auraient-ils fait, ces acteurs ? Mystère et boule de gomme ! Comme dirait l’autre !

Dabaoué Audrianne KANI

L’Express du Faso

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Vos commentaires

  • Le 23 décembre 2013 à 17:47, par Non au Senat En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Je demande aux internautes de ne pas commenter cet ecrit.

  • Le 23 décembre 2013 à 18:45, par kaiserrasbank En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    hé toi tu as recommencé encore !!!Pourquoi vous pensez que les gens sont des cons ???La question de la révision tourne autour de la personne d Blaise sinon vous pensez qu’il y’ aurait tout ce tapage ?? c’est parce que nos journalistes ne sont pas assez courageux pour lui poser la question de façon directe ?? La FEDAP./BC dit clairement qu’elle veut la révision de l’article 37 pour que son candidat continue son émergence et sur tous les cieux ??A RFI à la question de savoir s’il va se représenter il n’a jamais dit non tout en sachant que la constitution le lui interdit et n’a pas écarté la possibilité de modifier la constitution donc arrêtez de jouer à l’avocat du diable ou alors continuez votre prostitution intellectuelle mais de grâce pensez à l’avenir de ce pays...L’enfant prodige Blaise ne doit être immortel car après sa mort certains burkinabè seront déboussolés.....

  • Le 23 décembre 2013 à 19:08, par Guevara En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Et si toi tu te taisais ? Franchement, Blaise n’à pas à ce taire quand le peuple est angoissé et se pose des question sur la situation nationale. Blaise ne dirige pas seulement sa famille et les sangsues comme vous mais tout un pays et il doit régulièrement s’adresser au peuple. Il est élu pour cela aussi. Blaise n’est pas un roi mais un président. Mais quelle journaliste, cette dame là !? Elle fait tout à l’envers. C’est pas du tout drôle Kani

  • Le 23 décembre 2013 à 19:12, par Guevara En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Et si toi tu te taisais ? Franchement, Blaise n’à pas à ce taire quand le peuple est angoissé et se pose des question sur la situation nationale. Blaise ne dirige pas seulement sa famille et les sangsues comme vous mais tout un pays et il doit régulièrement s’adresser au peuple. Il est élu pour cela aussi. Blaise n’est pas un roi mais un président. Mais quelle journaliste, cette dame là !? Elle fait tout à l’envers. C’est pas du tout drôle Kani

  • Le 23 décembre 2013 à 19:23, par spirit En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Très bonne interprétation ; surtout que les gens comprennent le langage des politiciens pour les suivre.

  • Le 23 décembre 2013 à 21:05, par The Democrate En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Felicitation pour cette sortie Monsieur KANI. Je vous repond a partir de votre derniere phrase, qui est aussi le titre de votre ecrit, "Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé, qu’auraient-ils fait, ces acteurs ?". Voyez-vous, Monsieur, dans une republique, le president se doit de communiquer avec son peuple. C’est une OBLIGATION et non un choix. Si BC chosissait de se taire, alors il serait mieux qu’on ne me parle pas de democratie au BF, car ca n’aurait aucun sens. Le peuple etant le principal proprietaire du pouvoir en democratie, le president qui a ete mamdate par le meme peuple pour agir en son nom et pour son compte, n’a pas le droit de se taire sur des choses relatives a l’ultime detenteur du pouvoir. Vivement qu’il y ait changement en 2015 pour que ce pays qui m’a vu naitre aspire au vrai developpement et a la vraie democratie. Webmater, excusez-moi pour les accents, mon clavier est en anglais.

  • Le 23 décembre 2013 à 21:47, par burkinabié En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    M. KANI, pour un leader qui veut mettre un pays sur la voix de l’émergence, il ne doit pas créer le flou sur certaines questions. Combien de minutes ses concitoyens prennent ils pour palabrer sur la question ? Quels sont les perspectives que certaines personnes avancent en cas de trouble ? (riposte, l’exode, la délocalisation, la fuite, etc.) Quelles conséquences de toutes ses supputations sur l’économie du pays ? Alors ce qu’il faut juste dire au président c’est que LA PAIX dont il aime si tant parlé et dont il souhaite, ne viendra point s’il continue à faire un flou total sur cette question.

  • Le 23 décembre 2013 à 21:59, par yamsoaba En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Ne trompez pas les gens. Blaise ne s’est pas posé la question si la revision de l’article 37 est necessaire mais si le referendum sera necessaire à la revision de l’article 37, la question de la revision est déjà consommée : c’est oui.
    En effet s’il n’y a pas de consensus à l’assemblée ou au sénat un referendum sera necessaire pour pouvoir modifier l’article. et c’est là que l’ADF RDA et le senat jouent un role important. A l’assemblée on aura besoin de l’ADF pour atteindre les 3/4 et si l’ADF refuse on passe au senat où le CDP est presque sûr d’avoir le pourcentage necessaire ; si au sénat y’a risque de ne pas obtenir de pourcentage qualifié- ce qui est peu probable- ils passent au referendum ; là la fraude électorale fera le travail !! C’est pourquoi la mise en place du sénat est très très capitale pour le regime parce que y’a un risque que des manifestaions populaires puissent empècher la tenue du referendum.
    Ce qu’il faut signaler ici et que de façon surprenante personne n’en parle, c’est que la question de la presentation de Blaise en 2015 ne doit même pas se poser car normalement, il n’a aucune possibilité légale de se representer même si l’article 37 est modifié. il a été élu sous le coup de l’ancienne constitution qui l’interdit de se presenter en 2015. il aurait fallu que l’article soit modifié avant l’election de 2010. supposons qu’on modifie l’article 37 maintenant et que l’on dise que le mandat est désormais de 4ans non renouvelable : va t-il quittez le pouvoir en 2014 ? non on dira que ça concerne ceux qui seront élus à partir de la date de cette modification. donc J’AFFIRME QU’UNE ELECTION DE BLAISE EN 2015 AVEC OU SANS MODIFICATION DE L’ARTICLE 37 SERA UN COUP D’ETAT. LARGE DIFFUSION !!!

  • Le 23 décembre 2013 à 22:17 En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Si on suit ta logique,chose que tu ne possèdes pas puisque tu es comme pour être une cancre et une griotte qui parles au hasard,alors parceque ton mentor Blaise a parlé donc nous devons nous taire.Pouahhhhh.....tu es vraiment minable.D’ailleurs pourquoi toi-aussi tu te mets à parler pour ne rien dire comme ton nullissime mentor ?Comme tu l’as jamais rien à dire de bon,il est grand temps de la boucler une fois pour toute mais en attendant,votre référendum sera une vue de l’esprit tout comme votre fameux sénat.Ces 2 mascarades ne verront jamais le jour sous Blaise Compaoré.Que des mange-mils affamés comme toi commencent à se faire une raison parceque votre Blaise dégagera en 2015 de gré ou de force.

  • Le 23 décembre 2013 à 22:24, par le Lucide En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    alors et toi ta conclusion ?
    Ya il oui ou non necessite de reviser cette constitution. N’est ce pas un bien meilleur edifice de ce pays par rapport au beton et vitre casse qui font couler salive et enre autour d’incivisme. Est il necessaire de detruire la loi ? Cela est civique ? Et pourquoi ? Pour qui ? On est 16 millions. donnons la chance a d’autre de nous montrer leur patriotisme.

    .

  • Le 23 décembre 2013 à 22:31, par kaiserrasbank En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    hé toi tu as recommencé encore !!!Pourquoi vous pensez que les gens sont des cons ???La question de la révision tourne autour de la personne d Blaise sinon vous pensez qu’il y’ aurait tout ce tapage ?? c’est parce que nos journalistes ne sont pas assez courageux pour lui poser la question de façon directe ?? La FEDAP./BC dit clairement qu’elle veut la révision de l’article 37 pour que son candidat continue son émergence et sur tous les cieux ??A RFI à la question de savoir s’il va se représenter il n’a jamais dit non tout en sachant que la constitution le lui interdit et n’a pas écarté la possibilité de modifier la constitution donc arrêtez de jouer à l’avocat du diable ou alors continuez votre prostitution intellectuelle mais de grâce pensez à l’avenir de ce pays...L’enfant prodige Blaise ne doit être immortel car après sa mort certains burkinabè seront déboussolés.....

  • Le 23 décembre 2013 à 22:44 En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Où est le mystère ? Le fait est qu’il a parlé, et son discours est tout aussi flou que le vôtre dont on voit franchement pas l’utilité.

  • Le 23 décembre 2013 à 23:09 En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Ce que vous écrivez est faux : c’est parce que Blaise a parlé de référendum que se sont formés les camps des pour et des contre, ce n’est pas parce qu’il y a des pro et des anti qu’il a parlé et qu’il doit maintenant trancher. Mais ce n’est pas lui qui doit trancher, c’est la Constitution qui est claire sur la durée du mandat !!

  • Le 23 décembre 2013 à 23:21, par vérité no 1 En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Merci pour votre analyse translucide, même si Blaise ne parlait pas, les gens connaissaient déjà sa position qui est celle de s’accrocher au pouvoir. Le peuple l’observe et attend de voir par quel moyen il va accomplir sa sale besogne, et la meilleure façon, c’est de passer par le référendum et modifier l’article 37. Une fois modifiée, rien ne pourra arrêter Blaise. Le peuple sachant cela, ne va jamais accepter cette modification qui est d’ailleurs inutile à mon sens mais primordial pour tous les gourous qui ont peur de se retrouver dans l’opposition et si possible perdre leur biens mal acquis. En un mot, Blaise est le problème et il veut être en meme temps la solution.

  • Le 24 décembre 2013 à 00:23, par Tien Tigui En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Le problème est l’Article 168 de la Constitution qui stipule que : ’’Le peuple Burkinabé proscrit toute idée de pouvoir personnel. Il proscrit également toute oppression d’une fraction du peuple par une autre’’.

    • Le 24 décembre 2013 à 09:02, par le dur qui dur En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

      le dur qui dure
      laissez les griots de Blaise chanter com ils veulent, vs autres journaliste, mais c q vs ne savez pas, çè q’une révision de la constitution n’arrange même pas le blaiso, parcqil es vomi par plus de la moitié des burkinabè, consultez les chiffres des diff. échéances électorales présidentielles passées, vs verrez la vérité ( taux de participation en 1991 jusqà nos jrs) çè illustratif

  • Le 24 décembre 2013 à 06:43 En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Blaiso est celui quil faut pour diriger le Burkina, il est tres courageux. c’est CDP qui me fait pitie dans tout ca, 27 ans vous n’avez personne a presenter ??? quelle honte !!!

  • Le 24 décembre 2013 à 07:46, par bogandé En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    camarades ; blaise va partir en 2015 comme il est venu : dans le sang. et si nous refusons d’affronter ces milliers de policiers et de gendarmes qui sont nos frères et de braver l’armée française prête a tout pour protéger les intérêts de la France ; blaise sera toujours président en attendant l’ange de la mort

    • Le 24 décembre 2013 à 09:28, par SANOEV En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

      Pas la peine de gaspiller nos énergies mes frères ! l’année 2014 sera déterminante pour l’avenir du Burkina ! gardez un peu d’énergie pour le combat futur ! les provocations du pouvoir ou du moins les déclarations de guerre du président le 11 décembre à Dori doivent nous convaincre que le temps tant attendu est venu pour libérer notre pays à jamais des mains de ces vautours ! La patrie ou la mort, nous vaincrons !

  • Le 24 décembre 2013 à 08:31, par dielba En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Toi tu es qui pour demander aux internautes de ne pas commenter. On va commenter pian car c’est la vérité. A la fin on ne sait même pas ce que les gens veulent. Ils veulent une chose et son contraire. Blaise n’est pas mauvais. Il est un homme bon mais il n’a pas de bons conseillers. Tous sont des rapaces et des égoïtes. Ces gens ne lui disent pas tout. Ils passent leur temps à lui dire que tout va bien, le pays se porte à merveille car ils ont peur de perdre leur place.Regardes comment ils sont boursouflés. celui qui arrive à la présidence, fais venir ses cousins, ses frères, ses amis, ses belles filles etc. ça ne partage pas. Donc les gens vont continuer à critiquer le Président pour rien. C’est dommage.Blaise parle quand il faut parler. Vous voulez qu’il parle comme les griots qu’on voit à la télé et qui se disent opposants. Non ! Laissez le Président tranquille.

    • Le 24 décembre 2013 à 14:01 En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

      Et c’est la faute à qui si Blaise n’a pas de bons conseillers ? C’est de sa faute à lui-même. En fait, comme tout bon dictateur qui ne dit pas son nom, aime qu’on le glorifie matin, midi, soir et même quand il dort et qu’il rêve. Donc, quand un président a de mauvais conseillers, c’est que lui-même n’est pas bon. Donc, fin de partie pour eux tous fin 2015

  • Le 24 décembre 2013 à 08:40, par dielba En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Toi tu es qui pour demander aux internautes de ne pas commenter. On va commenter pian car c’est la vérité. A la fin on ne sait même pas ce que les gens veulent. Ils veulent une chose et son contraire. Blaise n’est pas mauvais. Il est un homme bon mais il n’a pas de bons conseillers. Tous sont des rapaces et des égoïtes. Ces gens ne lui disent pas tout. Ils passent leur temps à lui dire que tout va bien, le pays se porte à merveille car ils ont peur de perdre leur place.Regardes comment ils sont boursouflés. celui qui arrive à la présidence, fais venir ses cousins, ses frères, ses amis, ses belles filles etc. ça ne partage pas. Donc les gens vont continuer à critiquer le Président pour rien. C’est dommage.Blaise parle quand il faut parler. Vous voulez qu’il parle comme les griots qu’on voit à la télé et qui se disent opposants. Non ! Laissez le Président tranquille.

  • Le 24 décembre 2013 à 08:51, par damdam En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    c’est toi qui parle au hassard BLAISE lui calcule avant de sortir le moindre mot. Parfois mieux vaut vous taire

  • Le 24 décembre 2013 à 11:00, par ZSK En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    En vous lisant, la seul chose qui est concrète c’est que vous êtes qu’un simple journaliste. Alors de grâce chassez réagir dans votre spécialité, puisque ici (en politique) vous êtes trop dupe. Un journaliste des questions POLITIQUES ne fera jamais de telles analyses, il saurait lire en les lignes puis mener une analyse appropriée. Ne soyez pas une machine à tout faire, spécialisez vous et vous comprendrez davantage.

  • Le 24 décembre 2013 à 11:06, par Têrêb-sôm En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Bonjour Yamsoaba ! grand merci pour cet éclairage ! vraiment merci ! Dieu te bénisse ! je suis parfaite d’accord avec ce que tu dis ! soit béni à jamais !

  • Le 24 décembre 2013 à 13:49 En réponse à : Autant le dire… : Et si Blaise Compaoré n’avait pas parlé ?

    Madame KANI, et si blaise n’était pas revenu sur la question de l’article 37 qui était un point non consensuel pendant le CCRP ? et si blaise disait qu’il ne peut plus se représenter par respect de la constitution qu’il prétend défendre par la mise en place du sénat ? Ce serait clos les débats n’est-ce - pas ? Si vous n’avez rien à écrire, n’écrivez rien.

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