Las d’attendre, ces derniers amènent l’affaire devant la justice qui a tranché contre l’employeur. Après un appel, la justice confirme sa position en condamnant la mairie à faire rentrer les plaignants dans leur droit. Depuis ce jugement de novembre 2011, le maire a signé la décision de régularisation. Malheureusement, cette décision peine à être appliquée. Qui sabote alors le travail du maire ? Sinon, comment se fait-il que ce dernier signe une décision et que son application « piétine » ? A condition que cela ne soit un aveu de complaisance. Ce qui ne semble pas être le cas. Cette affaire a même occasionné des frais pour la caisse de la commune, car la mairie est condamnée à payer par jour la somme de cent mille francs pour le retard d’exécution.

L’Express du Faso