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"EBOMAF" en panne sur Lefaso.net : droit de réponse de l’entreprise

Publié le vendredi 14 juin 2013 à 19h02min

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Dans notre baromètre de la semaine du 3 juin, nous avons mis M. ’’Mahamoudou Bonkoungou’’ en panne, sur la base d’un article de notre confrère "JJ" faisant état de difficultés rencontrées par l’entreprise EBOMAF sur un chantier au Togo. En réaction à cette position, nous avons reçu un droit de réponse de la direction générale de l’entreprise.

Monsieur le Directeur de Publication,

C’est avec un grand étonnement que nous avons lu dans la rubrique « Un point, c’est tout », à la page 8 de votre édition N°1 131 du 23 au 29 mai 2013, ce titre interpellant notre entreprise : « EBOMAF COINCE TOUJOURS A DAPAONG ». Notre surprise est d’autant plus justifiée que cet écrit a paru dans « Journal du Jeudi » (JJ), un hebdomadaire pour lequel nous avons beaucoup d’admiration et de considération au regard de sa rigueur professionnelle. Cette rupture incomprise avec sa renommée nous amène alors à penser que cet article témoigne soit d’une légèreté professionnelle de son auteur, soit d’une mauvaise foi délibérée pour nuire à la réputation de notre entreprise. Car, ce qui y est relaté est loin de la réalité. Avec un peu de volonté, un simple détour sur le chantier en question ou un recours aux services techniques du ministère togolais des Travaux publics vous aurait permis de prendre la mesure exacte de la situation.

Puisque le journaliste a failli dans cette démarche responsable recommandée par son noble métier, permettez-nous de lui rappeler les faits. Car l’appréciation de l’avancée d’un chantier routier, d’une telle envergure, ne saurait se faire à l’œil nu. Celle-ci ne s’appuie pas également sur les humeurs des usagers même s’ils sont nombreux à reconnaître actuellement la qualité du travail abattu pour réussir cet ambitieux ouvrage. C’est un jugement fondé sur des critères techniques qu’un journaliste, qui se veut professionnel, ne doit ignorer, au risque de verser dans des allégations sans fondement.

Après un appel d’offres international ouvert, EBOMAF a été attributaire, en République togolaise, du marché de réhabilitation et de bitumage de la portion Tandjouaré-Cinkanssé via, bien sûr, Dapaong, d’une longueur d’environ soixante-dix (70) kilomètres. Les travaux consistent à l’élargissement et au renforcement de la plate-forme initiale avec un contournement de la ville de Cinkanssé.

Une méthodologie de chantier a été savamment mise en place pour concilier le déroulement des travaux avec le maintien de l’intense trafic sur le corridor Ouagadougou-Lomé. Conformément au cahier des charges, les différentes phases de construction de la voie sont en train d’être bien exécutées. Les rapports d’inspections régulières du gouvernement togolais et du bureau de contrôle sont là pour le confirmer. Le processus d’application du grave bitume (GB) est en cours depuis le 7 avril dernier à partir de Cinkanssé. A la date du 18/05/13, la longueur couverte par cette première couche de bitume est de vingt-cinq (25) kilomètres. D’où un taux global d’exécution actuelle du chantier d’environ 50% sur un délai total restant de vingt-quatre (24) mois.

Contrairement à ce qui est mentionné de « façon mensongère » dans l’article, « EBOMAF N’EST PAS COINCE A DAPAONG ET N’EPROUVE AUCUNE DIFFICULTE A MENER A BIEN LES TRAVAUX SUR CE CHANTIER ». Un tel manquement dans le traitement de l’information n’est pas à l’honneur de JJ, un hebdomadaire que nous estimons tant. Nonobstant ce démenti très justifié, nous nous réservons le droit de recourir à toute voie légale pour toute suite à donner à cette diffamation manifeste.

Veuillez agréer, monsieur le Directeur de Publication, l’expression de ma considération.

Le Chargé de Communication

Razinga Albert VOUDRI

Lien utile : Baromètre du 03 juin 2013

Droit de réponse à l’article « Ebomaf coincé toujours à Dapaong » paru à la page 8 de votre édition N°1131 du 23 au 29 mai 2013
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Vos commentaires

  • Le 14 juin 2013 à 15:07, par togolais de Dapaong En réponse à : Droit de réponse à l’article « Ebomaf coincé toujours à Dapaong » paru à la page 8 de votre édition N°1131 du 23 au 29 mai 2013.

    La longeur totale à bitumer fait environ 70 Km, vous avez butumé 25 Km et vous parlez de taux d’execution de 50%. Je ne suis pas fort dans la manipulation des chiffres, mais je pense que votre droit de reponse necessite encore plus d’explication sur ce point precis

  • Le 14 juin 2013 à 16:47 En réponse à : Droit de réponse à l’article « Ebomaf coincé toujours à Dapaong » paru à la page 8 de votre édition N°1131 du 23 au 29 mai 2013.

    N’ayant pas la possibilité de faire "un simple détour sur le chantier en question", je ne pourrai pas personnellement départager la société EBOMAF et le journal JJ.

    Par contre, j’ai eu l’occasion de parcourir le tronçon KOUDOUGOU - DEDOUGOU dont la société EBOMAF assure les travaux. Alors là, j’ai été très déçu voire révolté du travail qui a été réalisé :

    - des arbres ont été abattus sauvagement (aucun respect de l’environnement)

    - le goudron a été mal posé (on n’a commencé à colmater la partie finie alors que les travaux ne sont pas terminés). Je croyais qu’avec le goudron, on avait fini avec les escaliers. Eh non ! Avec EBOMAF, on ressent des secousses en roulant sur du goudron. Quand une voie est bien goudronnée, elle est toute noire. Eh non ! Le goudron de EBOMAF sur l’axe KOUDOUGOU - DEDOUGOU est blanc. A des endroits, il se dégage même de la poussière (je ne plaisante pas, je n’invente rien). Ceux qui ont déjà emprunté la voie pourront le témoigner.

    - Eh puis, pour terminer, EBOMAF gagnerait à mieux traiter ses ouvriers car ce sont eux qui créent la richesse de l’entreprise. Je veux parler des salaires, des prises en charge sanitaires, etc. qui ne sont pas assurés comme il se doit.

    Nous avons vu mieux déjà. La voie DEDOUGOU-BOBO est impeccable. C’est ce qu’on appelle du bon boulot : le goudron est noir, pas d’escaliers. La circulation y est agréable. Les Dédougoulais ont trop attendu ce goudron qui doit les relier directement à Ouaga. Ils seront déçus.

    • Le 14 juin 2013 à 19:45, par Usager de la route Ouaga-Dédougou En réponse à : Droit de réponse à l’article « Ebomaf coincé toujours à Dapaong » paru à la page 8 de votre édition N°1131 du 23 au 29 mai 2013.

      Je confirme parfaitement tout ce que vous dites. J’ajoute même pour avoir emprunté cet axe très souvent ces derniers temps, que la partie soit disant qui est terminée est aussi dangereuse que celle non encore bitumée !!
      je ne parle même pas de la signalisation quasi inexistante sur la partie en travaux ! je me demande comment les usagers vont faire dès l’installation de l’hivernage !! véritable catastrophe.
      Le délai d’exécution est complètement pulvérisé.
      EBOMAF devrait avoir honte de faire publier ce droit de réponse. Allez-y voir du côté de cet axe, et vous comprendrez mon ecoeurement.

  • Le 14 juin 2013 à 16:59, par djanbou En réponse à : Droit de réponse à l’article « Ebomaf coincé toujours à Dapaong » paru à la page 8 de votre édition N°1131 du 23 au 29 mai 2013.

    voilà ce que représentnt notre presse et nos pautres internautes des cybercafés et autres faussoyeurs des biens de l’administration publique. il ya une mauvaise intention de part et d’autre. une seule version est entendue et tout le monde bat pavé sur cette version. c’est le nid ici de l’incivisme.

  • Le 14 juin 2013 à 17:56 En réponse à : Droit de réponse à l’article « Ebomaf coincé toujours à Dapaong » paru à la page 8 de votre édition N°1131 du 23 au 29 mai 2013.

    Du courage à vous : Défendons bien les couleurs à l’extérieur. Evitons de nous tirer les balles dans nos pieds.

    • Le 14 juin 2013 à 18:37, par Django En réponse à : Droit de réponse à l’article « Ebomaf coincé toujours à Dapaong » paru à la page 8 de votre édition N°1131 du 23 au 29 mai 2013.

      il faut être naïf et avoir un esprit aplatit pour penser que nonobstant tous les parents et frères DIENDERE ,il na vu que EBOMAF pour remettre son argent
      Nous attendons patiemment ce jour de TPR pour laver definitivement l’honneur D ’EBOMAF et prouver aux incapables et aigris que seul le travail paie.

    • Le 15 juin 2013 à 08:24 En réponse à : Droit de réponse à l’article « Ebomaf coincé toujours à Dapaong » paru à la page 8 de votre édition N°1131 du 23 au 29 mai 2013.

      Non ! On ne peut pas défendre une société burkinabé qui a obtenu un marché à l’étranger quand on sait qu’elle travaille mal chez nous au Burkina. L’exemple KOUDOUGOU-DEDOUGOU est là comme preuve. Non ! Il ne faut pas encourager la médiocrité au nom de la solidarité nationale. L’émergence du Burkina dont parle les autorités burkinabé, passe d’abord par le sérieux, l’honnêteté et la qualité du travail de nos entrepreneurs. Allez demander aux usagers du tronçon KOUDOUGOU-DEDOUGOU ce qu’ils pensent d’EBOMAF ! Allez demander aux habitants de DEDOUGOU où est situé le siège d’EBOMAF, ils vous parleront des agissements, des pratiques malsaines de cette société, des milices dressées par elle pour faire pression sur la population et les honnêtes citoyens qui osent dénoncer cette situation. Une entreprise privée burkinabé qui ose dresser des milices, je m’interroge sur la moralité de ses responsables. Je sais de quoi je parle, je n’invente rien, je suis ni aigri, ni jaloux. Il y a eu des réunions publiques à Dédougou entre les premiers responsables d’EBOMAF et les représentants des associations de la société civile de la dite ville sur tous ces problèmes. Mais !!! un jour viendra où toutes ces sociétés "écran", tous ces entrepreneurs aux moralités douteuses du Burkina devront rendre compte.

  • Le 14 juin 2013 à 18:41 En réponse à : "EBOMAF en panne’’ sur lefaso.net, droit de réponse de l’entreprise

    c’est grave,
    plus de la moitié du burkina a déjà travaillé sur le tronçon dédougou-koudougou, pourquoi ?
    Faites une enquête et vous serez evanoui, c’est plus que dramatique.
    Bon je sais qu’aucun service public ou privé n’ose entreprendre une enquête sur ce sentier, ..
    Bien, on attend le jour de notre jour

    • Le 14 juin 2013 à 20:27, par VICONTE En réponse à : "EBOMAF en panne’’ sur lefaso.net, droit de réponse de l’entreprise

      HAA, MONSIEUR LE DIRECTEUR DE COMMUNICATION DE EBOMAF ? ON VOUS VOIT VRAIMENT FÂCHÉ. MAIS EN TOUS LES CAS, SI VOUS NE VOUS REPROCHEZ RIEN, POURQUOI CETTE VIOLENCE VERBALE ? EN TOUT CAS ON A VU VOTRE MÉDIOCRITÉ SUR LA ROUTE KOUDOUGOU DEDOUGOU. MAIS LABA, ON SAIT QUE VOUS AVEZ UN PARAPLUIE PEUT ÊTRE. DU CALME IL N’A DIT QUE CE QU’IL PENSE. PAS DE PROCÈS POUR CELA DANS UN PAYS DÉMOCRATIQUE COMME LE NOTRE.

      • Le 15 juin 2013 à 09:41, par Django En réponse à : "EBOMAF en panne’’ sur lefaso.net, droit de réponse de l’entreprise

        la démocratie burkinabé permet aux médiocres, aux profanes ,de se substituer aux techniciens et aux ingénieurs routiers sinon a la justice pour confondre ce qu on appelle enrobe et enduit superficielle
        M VICONTE la route koudougou dedougou est exécutée suivant l’enveloppe mise en place et le cahier des clauses techniques y relatif
        le délai d’exécution de ces travaux viendra a terme en fin juillet et honte a ceux qui ignorent que leurs droits se limitent la ou commencent ceux des autres .

        • Le 17 juin 2013 à 10:13, par yabo En réponse à : "EBOMAF en panne’’ sur lefaso.net, droit de réponse de l’entreprise

          salut je me mêle du débat.je ne sais pas qui vous êtes mais mr Django,sachez que ce que vous dites est très grave vous insinuez que l’état n’a pas mis l’enveloppe nécessaire à la réalisation de la route koudougou-dédougou ?Et pourquoi EBOMAF a accepté de faire le travail ? JJ est un journal très serieux et comme vous vous débattez pour défendre EBOMAF attendons deux jours la vérité finira par se savoir et verra si les parrains de EBOMAF pourront le défendre au TOGO.on ne peut pas continuer éternellement dans l’impunité.

      • Le 15 juin 2013 à 16:48, par L’avocat. En réponse à : "EBOMAF en panne’’ sur lefaso.net, droit de réponse de l’entreprise

        En tant qu’avocat, je suis pour une action judiciaire pour servir d’exemple à tous ces apprentis journalistes qui ne vont jamais à la source de l’information avant d’écrire des blivernes qui ne font que nuire à la réputation d’une entreprise sérieuse. Répondez-moi sur ce forum en me laissant vos coordonnées et spécialiste en droit de la presse, je me ferai un plaisir immense à initier un procès dans un délai de prescription de trois mois contre le journal même si le franc symbolique sera demandé à la barre du Tribunal. Il en sera de même pour ces internautes pirates du net qui n’hésite pas à salir impunément la réputation des uns et des autres. Il faut absolument les sanctionner sévèrement comme le journaliste qui a voulu nuire à la réputation de Placide NIKIEMA qui croupit actuellement à la maison d’arrêt. Je reviendrai sur le forum pour avoir le numéro de téléphone à contacter pour engager la procédure contre ces diffamateurs invétérés et sans scrupule qui n’ont aucun patriotisme pour les entreprises burkinabè. Même un enfant malin achète acheterait les galettes de sa mère même si elles sont les plus mauvaises. Me l’avocat.

        • Le 15 juin 2013 à 23:28, par Kanzim En réponse à : "EBOMAF en panne’’ sur lefaso.net, droit de réponse de l’entreprise

          Monsieur l’Avocat : il eut été plus profitable aux internautes que vous apportiez des éclairages juridiques confortés par votre spécialisation en droit de la presse, que de les menacer avec une telle violence verbale. En vous lisant je m’attendais à apprendre quelque chose d’un juriste et non des menaces qui démontrent un parti pris ce qui constitue de "l’anti droit". Cela dit vous n’avez pas besoin que l’on vous réponde pour identifier un internaute contre lequel intenter un procès ? Vous pouvez dès à présent le faire contre X.

          • Le 16 juin 2013 à 20:17, par La Cour En réponse à : "EBOMAF en panne’’ sur lefaso.net, droit de réponse de l’entreprise

            Bien dit ! Et pourquoi Mr l’avocat ne commence pas par nous laisser son adresse ?
            En tout etat de cause, son ecrit prouve à suffisance qu’il ne connaît rien ni au Droit, ni à la Procédure pénale ! Le drame, c’est que au lieu d’éclairer et assister ses clients ( s’il est vraiment un avocat) , il les égare par son incompétence notoire !

            Le Barreau devrait se pencher sur le cas de cet avocat à la noix .

  • Le 15 juin 2013 à 13:03, par K En réponse à : "EBOMAF" en panne sur Lefaso.net : droit de réponse de l’entreprise

    Cher Django de EBOMAF,

    Juste vous rappeler votre devoir de respecter l’intelligence des gens !

  • Le 15 juin 2013 à 16:25, par un fils de la boucle En réponse à : "EBOMAF" en panne sur Lefaso.net : droit de réponse de l’entreprise

    Je ne parlerai pas des travaux au Togo mais de ceux au Burkina Faso.
    Que dit EBOMAF quant au respect du cahier des charges sur la route KOUDOUGOU DEDOUGOU ? Où sont les 5 000 arbres que l’entreprise devrait planter ? Où sont les autre réalisations (cloture des écoles , des dispensaires et réalisation de forages) ? Rien de tout cela n’est fait. Et après on distribuera quelques billets pour se faire une pub. Commencez par bien travailler chez vous. Il faut que les ressortissants de ces deux régions se donnent la main pour denoncer cette imcompétence de EBOMAF que cela lui plaise ou pas. Nous voulons nos arbres, nos forages et nos clotures.

  • Le 15 juin 2013 à 18:35, par guir En réponse à : "EBOMAF" en panne sur Lefaso.net : droit de réponse de l’entreprise

    Le PDG de EBOMAF est un homme honnête. Il se bat depuis toujours pour vivre son rêve lui qui est un grand entrepreneur devant l’éternel fils d’entrepreneur.De toute façon les services compétents sont là pour évaluer la qualité des travaux.Mauvaises langues taisez vous !

  • Le 16 juin 2013 à 16:57 En réponse à : "EBOMAF" en panne sur Lefaso.net : droit de réponse de l’entreprise

    Finalement, Ebomaf a un autre gros problème : M. Razinga Albert VOUDRI, son chargé de com ! Car ce droit de réponse est une grosse bévue. D’autres actions de communications auraient été plus pertinentes dans ces circonstances. La prochaine fois, adressez-vous à de vrais professionnels de la com !

  • Le 16 juin 2013 à 17:37, par sidyeta En réponse à : "EBOMAF" en panne sur Lefaso.net : droit de réponse de l’entreprise

    allah les voit tous chacun paiera 1 jr pr ses actes

    • Le 16 juin 2013 à 20:47, par zz En réponse à : "EBOMAF" en panne sur Lefaso.net : droit de réponse de l’entreprise

      Le PDG EBOMAF c’est un homme que moi j’apprécie bien pour tous ces chantiers mais consernant la route koudougou dédougou le vrai problème cè qe il était trahi part les sous-traitant la semaine passée j’avai remarqué qu’il avait chassé ces tacherons il a tous repris espérons q’il bien fini é relevé le défi. pour le Togo j’en passe......

  • Le 17 juin 2013 à 14:32, par La Vérité En réponse à : "EBOMAF" en panne sur Lefaso.net : droit de réponse de l’entreprise

    Renseignez-vous bien et vous vous rendrez bien compte que vous ne valez pas la cheville de Razinga Albert Voudri. Pour un vrai professionnel de la presse, il en est un.

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