Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Juteuse mais dangereuse. La prostitution, le plus vieux métier du monde, s’adapte à l’évolution du temps, dans la forme comme dans le fond. Avec tous les dangers qu’elle comporte. Drogue, assassinat, enlèvement, viol, vol… Un monde, « pas comme les autres », que nous avons pénétré. Voici l’expérience d’une « nouvelle venue »1 dans le métier.
Samedi 1er septembre 2012. Il est 22 heures, l’heure de réveil d’une partie de la population de Bobo-Dioulasso. La devanture du Service maternel et infantile (SMI) (Rue : Bakoli Barro et Alwata Diawara) se transforme progressivement en marché haut de gamme de sexe. Depuis plus d’une heure déjà, on ne rencontre plus de pagne mais des filles minces, grosses, claires et, pour la plupart, dans des mini-jupes et des « tailles basses ».
A la fumée de la cigarette se mêlent les rires, parfois aux éclats ; des regroupements par-ci, par-là. Quelques clients se sont déjà attachés les services de prostituées. C’est l’instant choisi par une « nouvelle venue » en quête de parrainage2, pour s’initier au plus vieux métier du monde. Le « jean » serré, le « body » à la taille, de longues boucles d’oreilles de prostituée, je me présente au groupe.
A pied ou à moto, les filles sont méfiantes du fait que les intrusions sont légion dans le métier. Avant de m’immiscer dans le groupe de filles, un premier client m’aborde. Avant même de juger le prix, il m’invite à faire un tour au « Bienvenu », une maison close dans un quartier de Bobo. Peu bavard, il me propose 3 000 F CFA comme prix de passe. Ne sachant quoi répondre, je trouve le prétexte de lui demander de payer 10 000F. Sans discuter, le jeune homme démarre en trombe pour s’arrêter quelques mètres plus loin. Avec une autre, le marché est vite conclu et les voilà partis.
Un peu plus loin, une fille crée la panique, en courant dans tous les sens, à la vue d’un motocycliste qui n’était autre que l’une de ses connaissances. Elle voulait donc se cacher. Pourquoi se cacher ? Je pose la question à celle qui est à côté de moi. Elle me fait comprendre que c’est le comportement à adopter quand on croise des personnes qui peuvent vous reconnaître.
Pour me faire mieux accepter, je lui dis que je suis nouvelle. Etudiante, je voulais me prostituer pour payer ma scolarité qui s’élève à 400 000 FCFA. A l’annonce de mon nom d’emprunt, son premier conseil est de me trouver tout de suite un nom. Désormais, je devrais répondre au nom de « Diane ». Elle, c’est Aïcha. C’est elle qui sera d’ailleurs ma marraine. Ce fut le début de nos relations. « Tu sais ma chérie, dit-elle, la prostitution est un métier bizarre. Une fois que tu t’y habitues, tu ne pourras plus t’en défaire. Si réellement tu veux juste avoir ta scolarité, fais-le, et après, il faut laisser », me recommande-t-elle.
Comment réussir à convaincre les clients ?
« Il faudra sortir à partir de 21 heures. L’astuce pour attirer la clientèle est : "Chéri, viens, ce n’est pas cher", ou encore, "chéri, tu es mon goût" ou bien, viens "je vais bien te sucer », confie-t-elle. Avant de poursuivre : « Le marché commence à partir de 3 000 F CFA. Et une fois que vous vous entendez sur le prix, tu l’amènes juste dans la chambre d’à côté (NDLR : une auberge est effectivement située à deux pas). Une fois dans la chambre, tu enlèves juste ton pantalon ou ta jupe. Dès qu’il finit, tu prends tes 3 000 F CFA, tu payes la chambre à 1 000 F et tu gardes les 2 000 F. En tout cas, si tu te mets au sérieux, tu pourras empocher environ 50 000 F CFA chaque nuit. Malheureusement, des élèves et étudiantes ont détruit le marché. Elles s’offrent même au moins offrant. Elles acceptent 1 500 F CFA pour payer la chambre à 1 000 F et garder seulement 500 F. Diane, il ne faut jamais accepter 1 500 F CFA », prévient-elle.
A peine a-t-elle fini de parler que Djénéba, âgée de 17 ans, revient toute souriante après un passage dans un hôtel de la place. « Ma grande sœur, dit-elle à Aïcha, la nuit s’annonce bonne. Mon client m’a donné 20 000 F et c’est lui-même qui a payé la chambre », se réjouit-elle. « S’est-il protégé ? », lui demande ma tutrice. « C’est allé trop vite et il n’a pas pu le faire », répond la jeune fille sans se soucier. Djénéba confie qu’elle a davantage peur de tomber enceinte que d’être infectée par le VIH/Sida.
Lorsque la gendarmerie s’en mêle !
Il est maintenant 23 heures. Soudain, une voix alerte les autres : « Attention, ils arrivent ». J’interroge ma tutrice. « La gendarmerie », répond-elle. Il faut donc se sauver. C’est la débandade. Une première, puis une seconde fois. Une fois le calme revenu, nous continuons notre « leçon ». Mais nous serons interrompues par un client qui m’appelle. J’y vais et on discute encore le prix. Mais ce dernier semble soupçonner que je suis nouvelle dans le milieu. Pour tromper sa vigilance, j’allume une cigarette. « Je sais que tu es nouvelle sur le marché. Ne le cache pas. J’ai l’habitude de venir ici », dit-il tout de suite. On ne s’entendra pas sur le prix. Il me conseille tout de même d’arrêter ce métier une fois que j’aurai obtenu ce que je cherche.
Ma tutrice m’appelle. Elle veut aller sur d’autres terrains (boîte de nuit, maquis). « Qu’est-ce que ce client raconte et qui ne finit pas ? », demande-t-elle. Et de poursuivre : « S’il ne peut pas payer, ne perds pas le temps avec lui ».
Soupirant un instant, elle m’informe que la prudence doit être de mise dans le métier. Il y a des clients qui sont de mauvaise foi, ajoute-t-elle. Dangereux, ils sont prêts à violenter et cela peut aboutir au pire, comme c’est arrivé à deux filles qui ont perdu la vie ces derniers temps. En effet, raconte-t-elle, « La première avait un enfant de deux ans. Un client est parti avec elle, et elle n’est plus jamais revenue ici. Elle est tombée malade et en est décédée », confie-t-elle. La seconde, poursuit-elle, a été tuée au secteur n° 23 de la ville, estimant que c’est pour cela qu’il ne faut pas accepter les déplacements sur de longues distances.
Avant de me quitter, Aïcha me glisse à l’oreille : « Tu sais, je compte partir à Diébougou. On m’a dit que le marché se fructifie dans cette localité ». Et de prévenir : « Il ne faut pas que les autres le sachent sinon, elles vont nous devancer et saturer le marché. Je suis sûre qu’une fois là-bas, j’achèterai une moto ».
La pauvreté !
A la question de savoir pourquoi ma tutrice (Aïcha) s’adonne à un tel métier pourtant condamné par la société, elle répond : « C’est la pauvreté, ma chérie. Le père de mon enfant, qui est employé de commerce, s’en fout de l’enfant, encore moins de ma survie. Alors, quand notre enfant a eu 10 mois, je me suis débarrassé de lui pour me consacrer à ce métier de prostituée ».
00 heure ! Ma tutrice me propose d’aller en boîte. « Là-bas, dit-elle, tu peux avoir des étrangers. Et avec eux, tu n’as pas moins de 30 000 F la passe, et mieux, ce serait dans un cadre confortable (NDLR : une chambre d’hôtel) ».
En partance vers le « Black and White », un maquis situé à quelques mètres de la mairie centrale, mieux connu sous le nom de « Black », un monsieur me propose d’aller chez lui à la maison. Contre 4000 F alors que je lui demande 15 000 F. « 15 000 F ou pas de passe », ai-je insisté. Il continue son chemin sans rien dire. Un peu plus loin, un vieux sur son vélo m’accoste : « Viens, on va descendre vers le marigot Houet ». Comme un jeu, je lui propose 20 000 F. « Ha ! ha ! Tu es compliquée ma fille. Laisses à 3 000 F », dit-il en poursuivant son chemin.
A quinze ans, elle est la reine des lieux
Vers 00 h 20 minutes, l’ambiance est féerique au « Black ». Là, le marché est encore plus florissant. Dans cette foule de prostituées, une fille se distingue. Très jeune et très belle, une taille de mannequin, Claire, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, a seulement 15 ans. Le genre de fille qui en fait rêver plus d’un. En deçà de 4 000 F CFA pas de passe possible avec cette merveille. Au milieu des fêtards, elle danse sans gène.
Claire confie qu’elle se prostitue depuis 2 ans, c’est-à-dire depuis l’âge de 13 ans. Pour mieux comprendre son histoire, je propose de lui acheter une bière. Elle accepte. « Je suis nouvelle et je voudrais rentrer dans le métier », lui ai-je expliqué avant de solliciter ses conseils. « Ma grande sœur, il ne faut pas accepter en dessous de 6 000 F CFA. Aussi, il ne faut jamais aller avec un client à la maison. Si vous vous entendez sur le prix, il cherchera un hôtel », dit-elle. Comment supporter le passage de cinq à six hommes la nuit ? Pour le faire, Claire me propose de prendre la drogue pour supporter certaines situations.
Sur le champ, elle m’indique un jeune qui en vend. « Mais, prévient-elle, quand tu en auras besoin, je me chargerai de t’en trouver sans souci ». « Ma grande sœur », « ma jumelle », « ma petite sœur » sont entre autres, noms codés ou mots de passe pour se reconnaître dans le milieu. Je devenais ainsi une « grande sœur » pour Claire qui confie qu’elle a plusieurs fois été victime de viols collectifs. Jamais elle n’a eu le courage de porter plainte auprès de l’autorité compétente.
En même temps, elle me trouve un client originaire du Nord-Mali alors qu’il est 1 heure du matin. Avec ce dernier, je dois aller contre 7 500 F CFA. Pour une nouvelle venue, j’ai peur d’aller avec ce client. « Ma petite sœur » me rassure : « Il ne va rien te faire. J’ai l’habitude de partir avec lui et plusieurs autres de ses amis ». Une offre que je décline naturellement au grand regret de « ma petite sœur ».
A la question de savoir pourquoi elle s’adonne à cette activité, elle a du mal à répondre. « Je suis habituée à ça. Je ne peux plus arrêter », dit-elle, évasive. Et un de ses amis garçons d’ajouter : « Je ne sais pas pourquoi Claire se prostitue. Ensuite, on ne sait pas ce qu’elle fait avec son argent car, elle se promène chaque fois pour demander des sous ».
Quelques minutes plus tard, une autre « petite sœur », élève en classe de quatrième, s’apprête à partir avec un client. « C’est un gros marché », dit-elle, en ajoutant : « Ma grande sœur, il ne faut surtout pas rentrer à la maison. Les vrais clients viennent autour de 2 heures du matin. Et puis ils payent bien ».
Après 30 minutes de discussions sur les péripéties de « notre métier », un client habituel de Claire vient l’amener. Pour moi, un autre client est prêt à miser au-delà de 7 500 F CFA. Je viens de me rendre compte que je suis prise à mon propre piège. Comment faire alors pour décliner l’offre de « mon client » ? Un mensonge de mal de ventre est vite avancé pour regagner la maison.
« Vous avez l’air de quelqu’un de sérieux », me fait remarquer le parqueur des lieux qui a suivi la scène. Il ajoutera d’ailleurs, « Vu ton élégance et ta beauté, moi je pourrai te trouver des clients qui payeront très bien. Il ne faudra pas m’oublier seulement ». Il enregistre ainsi mon numéro de téléphone (un faux numéro que je lui ai donné) pour espérer se faire des sous. Pour me rassurer, le parqueur-proxénète me dit que plusieurs autres filles lui ont fait confiance et ont fait de très bonnes affaires. Ainsi prend fin mon « aventure ». Il était 3 heures du matin.
Bassératou KINDO
Encadré
Les hommes non-circoncis et le risque du Sida
Me voilà encore un soir, sur le marché du sexe. Une de « mes jumelles »3 et mère de deux enfants arrive. « C’est qui celle-là ? Ah c’est Diane. J’ai eu peur. Tu es habillée comme une gendarme », dit-elle. Elle observe un long silence, la peur m’envahit, mais tout sera rapidement rompu par des éclats de rires.
« As-tu déjà couché avec un homme non-circoncis ? », demande une fille à une autre. Elle répond par l’affirmative et confie qu’elle a un client d’une nationalité étrangère qui n’a pas le sexe « coupé ». « C’est moi qui mets le préservatif et c’est encore moi qui l’enlève. Parce qu’avec ce genre de personne, il faut faire beaucoup attention », confie-t-elle à la première fille qui soutient en avoir rencontré un dans une de ses aventures et qui n’a voulu le satisfaire. « Quand j’ai constaté qu’il était ainsi, je n’ai pas accepté », a-t-elle déclaré.
Quoi qu’il en soit, les deux filles estiment qu’il n’est souvent pas aisé de faire l’amour avec des gens non-circoncis, les risques de contamination étant élevés parce qu’elles estiment que le sexe retient difficilement le préservatif.
« Je vais donner à téter à mon fils »
Très belle et teint noir ciré, Justine (c’est un nom d’emprunt), 24 ans est mère d’un enfant de 4 mois. Malgré qu’elle soit sortie assez tôt ce samedi (20 octobre 2012), aucun client n’a marchandé avec elle. Pourtant, à partir de 22 heures, elle doit repartir à la maison pour donner à téter à son bébé. Elle est amie à Korotimi âgée, elle, de 26 ans, une autre fille de joie qui fait de la restauration dans la journée.
Korotimi devait donc attendre sa « petite sœur » pour aller dans d’autres endroits où les affaires marchent. « Pauvreté ! C’est la seule raison qui justifie ce métier pour nous », ont-elles soutenu, l’air assez triste pour Korotimi qui avoue en plus que sa patronne du restaurant l’exploite.
Et l’Action sociale dans tout cela ?
La direction de l’Action sociale et de la Solidarité nationale du Houet est souvent interpellée, mais indirectement, pour des questions liées aux violences sexuelles sur des filles qui se prostituent. « Elles sont, explique le directeur provincial, Soumaila Sakho, victimes de toutes sortes d’abus et de tortures sexuelles ».
Celles qui se présentent aux services de l’Action sociale ne disent pas exactement ce qu’elles font comme travail. Devant l’agent de l’Action sociale, elles prétendent qu’elles sont exploitées par leur patron (les proxénètes) ou encore que des hommes assez âgés ont abusé d’elles. Mais dans quelles conditions ?
Au titre des aides, Soumaila Sakho évoque la politique et les programmes de son ministère pour la promotion des droits des enfants et des adolescents. « Nous avons un programme dénommé "Action éducative en milieu ouvert". Nous travaillons de manière générale sur des actions éducatives destinées aux enfants et adolescents afin de les amener à quitter les milieux inappropriés que sont les rues, vers les milieux plus sains tels que les familles, les centres de formation et d’intégration professionnelle. Nous n’avons pas un programme destiné spécialement aux prostituées », explique le directeur provincial. Le pire est, a-t-il renchéri, « qu’on ne peut aider celui qui ne veut pas. Puisqu’il y a des filles qui abandonnent la famille, l’école, le travail, pour se retrouver dans la rue. Et quand elles y prennent goût, il est difficile de les faire retourner en famille ».
La gendarmerie manque de moyens pour opérer efficacement
Alors que la prostitution est condamnée par l’article 423 du Code pénal par un emprisonnement de 15 jours à 2 mois et d’une amende de 50 000 à 100 000 F CFA, les filles, lorsqu’elles sont mises aux arrêts, sont quelques fois justes verbalisées. Celles qu’on arrive à interpeller payent des contraventions ou restent jusqu’au matin à 10 heures, ou font des corvées en contrepartie de la contravention. « Malheureusement, ce sont les mêmes qu’on retrouve sur le terrain. Elles ne sont jamais gardées plus de 72 heures. Pour une opération, on peut prendre 10 à 15 personnes », soutient l’adjudant-chef, Yacouba Sanou, chef de cellule stupéfiant et mœurs/Section de recherche de la gendarmerie de Bobo.
Pour lui, « il est d’ailleurs difficile de les arrêter du fait qu’elles sont de nos jours motorisées ». Dès qu’elles aperçoivent les forces de l’ordre et de sécurité, elles disparaissent rapidement, si l’on en croit l’adjudant-chef Richard Tiendrebéogo, commandant la section recherche de la 2è région de gendarmerie de Bobo.
Bassératou KINDO
1 : « Nouvelle venue » : Nous avons juste voulu intégrer le milieu pour voir ce qui s’y passe.
2 : Les filles cherchent souvent des « parrains »/ « marraines » (proxénètes) pour leur intégration dans le milieu.
3 : « Ma sœur ; ma jumelle » : ce sont des codes par lesquelles elles se reconnaissent
Vos commentaires
1. Le 20 mars 2013 à 23:42, par Juste un conseil En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
A force de vouloir savoir comment ça marche, vous risquez d’y prendre goût et ......
Le 21 mars 2013 à 11:01 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
je pense que les gendarmes doivent aussi arrêter les hommes qui fréquentent ces putes. pourquoi seulement les prostiuées ? ahhh oui je vois,vous les amener dans vos locaux pour des gateries aussi sans même les payer. on vous connait.
Le 21 mars 2013 à 11:14, par Zerbo En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Pour le cas de Bobo la prostitution est juste une activité culturelle !
Le 21 mars 2013 à 12:06, par Jikman En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Tu as raison, parler de la prostitution à Bobo, c’est comme aller faire un reportage sur le football au Brésil...,à Bobo, on ne voit même plus de limite entre les filles (dite normal) et les pétasses, surtout que maintenant elle sont motorisées ?...
Le 21 mars 2013 à 12:11, par Hamane En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Laissez ce Zerbo en paix. Il n’a rien compris de la vie. il ne sait pas qu’il y a le Nord au Sud et qu’il y a le Sud au Nord. Que ya Ouaga à Bobo et que ya bobo à Ouaga. Par ailleurs, beaucoup de gens s’affichent comme étant contre la prostitution mais ils ne se sont jamais posés la question si eux-mêmes ne sont pas nés d’une situation de prostitution ayant abouti au mariage.ils ne pensent que d’Adam et Eve jusqu’à eux mêmes, il est possible qu’un de leurs ascendants ait eu des relations prostitutionnelles ayant abouti au mariage. si non, ils relativiseront leur jugement. C’est pour cela Dieu a dit de ne point juger nos semblables (avec nos jugements de valeurs).
Le 21 mars 2013 à 12:30, par Hamane En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
c’est pas toi insulte tout le temps Bobo, c’est le modérateur qui affiche tes écrits.
Le 21 mars 2013 à 13:07, par Zongo En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Suis outré d’entendre une personne raisonner de la sorte. depuis quand la prostitution pourrait être culturelle ? de surcroît à Bobo ? SVP. connaissez- vous bien le Faso ? pensez-vous que ces fille sont toute bobolaise ou même les clients ? Fréquentez-vous Ouagadougou ou koudougou ou banfora ou bien encore dedougou les nuits ? Faut rationaliser les débats et non afficher une quelconque passion.
Merci de me comprendre
Le 21 mars 2013 à 14:37 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
c’est inscrit meme dans leur propre constitution où à l’article 37 il est écrit ;toute femme sur le territoire bobolais doit se prostituer au moins 1 fois dans sa vie. il y a pas de limitation.
Le 21 mars 2013 à 15:26, par Kader En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Zerbo, on voit que tu es intellectuellement très limité ! Arrête de dénigrer Bobo -Dso où il y a sans nul doute beaucoup de prostituées et de clients Samo ; chez les peuples qui sont de véritables natifs de Bobo-Dso la prostitution n’existait pas véritablement. C’est ce monde moderne issu de la colonisation et du capitalisme qui a conduit à l’émergence de ce phénomène. Bobo- ville est fortement cosmopolite, tes parents et d’autres immigrants s’y plaisent bien.La prostitution est partout surtout dans nos grandes villes au Sud du Sahara. Ce n’est pas du tout intelligent ton affirmation ; as-tu pensé à tes soeurs qui finissent mal après avoir été des "bonnes de maison" à Ouagadougou ? Est-ce culturel ??
Le 21 mars 2013 à 16:54, par Sabari En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Zerbo, tu fè pitié. tu connè mal bobo de surcroit un bobo. je vè pa attaké aucun samo à ta faute. tu mapprend rien des samo.
Le 22 mars 2013 à 17:56, par l’impartial En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
je sais que tu ne connais pas Bobo , vous avez des préjugés sur Bobo et ses habitants sinon il y a 100 fois plus de prostituées à Ouaga que Bobo.C’est manquer d’intelligence que de dire qu’à Bobo , la prostitution est culturelle , qu’est ce que vous en savez ;de l’histoire nous savons bien quel ancêtre au feminin a fait quoi. Nous avons eu la chance d’ avoir séjourné un peu partout au Burkina et je jure que Bobo faut mieux que certaine localité dont on parle de moeurs acceptable.
Bobo est une ville carrefour ,tous le monde s’y croise et beaucoup de chose s’y font naturellement comme dans toutes les grandes villes.
C’est vous autres qui raviver le sentiment de régionalisme et de mépris chez les autres et vous serez les premiers à crier à la xénophobie.Nous ressortissants de l’ouest nous nous sentons blessés par de tel écrit
Le 22 mars 2013 à 21:13, par Fils de Gaoua En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
IMPARTIAL il faut cultiver un esprit républicain tout Burkinabè est autant Bobolais,Ouagalais,Koudougoulais, Banforais ,que toi. Et tu n’as pas plus de droit ou de devoir sur Bobo que n’importe quel autre Burkinabè. parler de Bobo c’est parler du Burkina à moins que tu ne sois un immigré Rwandais résident au Burkina avec des idées xénophobes
Le 23 mars 2013 à 15:31, par Le Pégésseois En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Parent Zerbo, si tu n’as pas gran’chose à dire après avoir lu certains articles, évite de raconter des trucs comme ce que tu viens de publier. ça fait honte de ta part et j’ai même un p’tit doute sur l’identité que tu affiches. Tu ne connais réellement pas certaines choses. Ouaga est la seule ville que je connais bien depuis que je suis ici au pays et je connais un peu Bobo, ça n’a rien à voir avec ce que beaucoup de gens pensent de Bobo et moi j’admire beaucoup cette ville de Sya que je trouve la meilleure sur beaucoup de plans, et très différente de Ouaga qui se dit évoluée (j’adore Ouaga aussi). Et même du coté de nos soeurs (jeunes filles), elles sont mieux en esprit que ce que je constate ici. Donc arrête de gâter leur nom car ce serait pour toutes les filles du Burkina (et partout dans le monde) une activité culturelle. Ici, y a pire qu’à Bobo au cas où tu ne le sais pas ! Avec tout l’amour que j’ai pour ces deux villes et pour toutes les autres villes du Burkina, contribuons seulement à ce que ces genres de fléaux (prostitution, etc.) régressent, voire disparaissent dans nos sociétés. Quitte dans ces genres d’idées et d’argumentations ! Bonne lecture à tous.
Le 24 mars 2013 à 18:30 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Quand les mouches s’agglutinent sur une tache au sol c’est qu’il y a une goutte de miel qui est tombée à cet endroit. C’est une vérité ; c’est bon et tout le monde le reconnait. Tout le monde en parle parce que c’est vrai et les mouchards se sentent visés. Ce n’est pas de votre faute si les grenouilles n’ont pas de queue !
Par MOIMEME.
2. Le 20 mars 2013 à 23:43, par Dim En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Merci petite soeur davoir parler la (pauvrete)esceque a toi seul cet probleme cherche toi un copin qui taime et tu laime car la facilite finie tjr par la mort facile.
3. Le 21 mars 2013 à 00:21, par le meilleur juge c’est notre conscience En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Le débat sur la prostitution est complexe. A mon avis, ce métier est beaucoup plus vivant du fait de la grande disponibilité des consommateurs que de la ténacité des vendeuses.
1.La pauvreté certes n ’est pas honorable ! mais les prostituées qui se disent pauvres sont beaucoup plus des gens qui veulent vivre au dessus de leurs moyens que de vrais pauvres. Je pense humblement qu’une véritable pauvre dans un accoutrement tel que ne saurait être désirable par un homme pour une partie sexuelle contre de l’argent ; Quand l’homme paye il exige un minimum de qualité.
2.Pour certaines prostituées c’est plutôt la recherche du gain facile tout comme le braquage, le vol, l’arnaque...A la seule différence avec ces derniers que la suppression complète de la prostitution peut ne pas plaire à beaucoup forumistes tandis que la suppressions des autres vices cités plaira à la majorité des forumistes sinon mêmes à tous
Le 21 mars 2013 à 06:40, par adamou En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
C’est bien dit mon frere
Le 21 mars 2013 à 10:42, par l homme integre fache En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Je te donne un 5/5 mon gars .
Tu as tout dit ,c est surtout l argent facile qui attire ces filles ,il n y a qu a voir comment s habille ces filles.
J ai beaucoup d amis prostituees ,ce sont les meilleurs clientes pour mes effets d habillement ,ce qu elles depensent pour se faire belle ,beaucoup de femmes n oseraient pas le faire.
Il faut aussi savoir qu il y a des filles qui le font par plaisir ,certaine fille sont tres gourmande si bien qu un seul homme ne les suffit pas .
Le 21 mars 2013 à 19:46, par eclaire En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
c’est pas facile.
4. Le 21 mars 2013 à 00:24 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
C’est la première fois que je lis un travail aussi long chez cette journaliste. C’est du bon travail
Le 21 mars 2013 à 08:34, par Viko En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Merci beaucoup ma sœur pour le risque que tu as accepté prendre pour nous renseigner sur la vie de nos filles et de nos sœurs qui se cherchent dans ce métier.
Cela nous interpelle en tant que parents sur notre responsabilité dans cette affaire.
Nos parents nous avaient appris que la dignité était ce qui restait au pauvre quand il avait tout perdu. ! Qu’avons nous à notre tour appris à nos enfants ?
Le 21 mars 2013 à 08:34, par Viko En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Merci beaucoup ma sœur pour le risque que tu as accepté prendre pour nous renseigner sur la vie de nos filles et de nos sœurs qui se cherchent dans ce métier.
Cela nous interpelle en tant que parents sur notre responsabilité dans cette affaire.
Nos parents nous avaient appris que la dignité était ce qui restait au pauvre quand il avait tout perdu. ! Qu’avons nous à notre tour appris à nos enfants ?
5. Le 21 mars 2013 à 00:49, par Mawuéna En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Je ne suis pas sûr que la loi condamne la prostitution en tant que telle mais le racolage.
Le 21 mars 2013 à 12:56, par LeBon En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
La prostitution a autant d’ampleur que ce qui se fait dans les jardins, bureaux, celibatrium, etc et souvent avec femmes mariées. Quelle explication vous pouvez donner à ça ? Mais la faute revient aux hommes parceque généralement une femme qui a l’amour et l’attention de son mari ne commet pas d’infidelité. Attention aux hommes qui maltraitent leurs femmes, sinon contactez moi femme SVP
6. Le 21 mars 2013 à 01:18, par Madgic En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Beau travail d’investigation, II est clair que la question de la prostitution n’est pas facile à comprendre et certaines de ces filles ont des parcours difficile.
Dois t’on pour autant pénaliser ces femmes qui n’ont bien souvent pas d’autres choix ? Personnellement je pense que c’est du côté de l’éducation des hommes que l’on pourrais réellement faire quelquechose, finalement ce sont eux les plus demandeur ! Et ce sont eux qui indirectement oblige certaines femmes à aller vers la rue en raison de grossesse non désire. Bref c’est à la fois le plus vieux métier du monde et aussi indispensable soupape de la société (elles sont les premières psychologues de la société ) et en même temps un fléau représentatif de l’égo surdimensionner du mâle au détriment de ces femmes dont on a privé d’innocence
Ce n’est qu’un point de vu et je serais ravi de débattre . Cordialement. Un ancien client.
7. Le 21 mars 2013 à 03:54, par donyré En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
bel article et surtout un grand courage pour le choix du sujet.
Le journalisme c’est aussi pouvoir s’immiscer dans un dans un domaine complexe et en parler .Persévérance . Il est digeste ce reportage
8. Le 21 mars 2013 à 05:34, par Champion En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Bon boulot basseratou mais surtout prudence,car si elles vous decouvre sa sera pas facile pour vous.Merci de nous avoir eclairer sur ce milieu mafieux.
9. Le 21 mars 2013 à 07:04 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Attention ma soeur ! tu risques d’être prise dans ton piège !!!!!
Faut pas encore essayer ! la tentation est grande !!!!!
tu tombes sur un novis client qui te propose aussi 200 000 francs, il est beau et gentil. tu penses autre chose et voilà !
Le 21 mars 2013 à 11:24 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Zout là, si j’avais su cette nuit là que s’était elle, j’allais proposer tout ce que j’avais en poche ( 250.000 frs) pour voir a quoi "ressemble" JOURNALISTE.
Le 21 mars 2013 à 12:15 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Ce n’est pas faut et ça vaut le coût. Mais à Bobo c’est trop moins cher !
Le 21 mars 2013 à 15:40 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Ahahahaaaa ! la prochaine fois elle ira avec un client pour comprendre les motivations des clients !!!!!!!! et ce serait avec toi ! lol
Le 21 mars 2013 à 15:44, par Jikman En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Mon frère, JOURNALISTE est bon dèèè, parce même pendant que tu la dèbèè, elle continue de parler.
10. Le 21 mars 2013 à 07:29 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Felicitation Madame la journaliste ! vous avez fait du bon boulot.
11. Le 21 mars 2013 à 07:37, par lilboudo En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Pour une des rares fois, c’est un travail de pro ! Aller sur le terrain, s’immiscer dans le milieu pour mieux comprendre, ca mérite des félicitations !
12. Le 21 mars 2013 à 07:39, par leMogo En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Mais bon sang !
Pourquoi se journaliste s’acharne chaque fois à ternir l’image de BOBO ?
Le 21 mars 2013 à 11:06, par Burkinabé de Koweit city En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Apparemment y’a vraiment pas une ville autre que bobo ? Je ne suis pas de bobo mais y en a marre a la fin...
Après mes 2 ans passés a l UPB ce n est pourtant pas une sale ville.
Bobo n’a pourtant rien fait par rapport a Ouaga ma chère Kindo...
Il est temps de diversifier...sinon tous les jours bobo, bobo, bobo ... Pourquoi pas Koudougou,, Ouahigouya ou Ouagadougou.
Bon courage dans ton metier. Par une femme
Le 21 mars 2013 à 11:39, par Tapsoba® (de H) En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Je crois savoir que la journaliste Basseratou Kindo travaille pour le quotidien Lexpress du faso,journal dans lequel j ai trouvé cet article .Que Lexpress du Faso est édité à Bobo.Alors,étiez-vous prêts à lui payer le transport ,l hébergement,sa restauration pour qu elle aille faire son reportage ailleurs ,vous qui tenez à ne pas voir le nom de Bobo terni ?
Le 21 mars 2013 à 12:13, par Hamane En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Tapsoba, Ramata Soré est resté à Ouaga pour faire un travail d’enquête sur la prostitution à Bobo. Aujoud’hui la distance n’est plus un problème. Tous ces journaux qui parlent du Nord Mali n’ont parfois jamais été au Mali
Le 22 mars 2013 à 08:03, par Tapsoba® (de H) En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Bonjour ,Ramata Soré a-t-elle fait un autre reportage sur la protitution que celui fait en janvier 2009 sur l avenue kwamé Krouma et mis en ligne dans l évènement le 16 juin de la même année dont le lien est www.evenemnt-bf.net/pages/reportage_165.htm ? Et puis, faire un reportage est différent de commenter un évènement.Ceux qui restent à Ouaga pour parler de l actualité dans le monde y compris le Mali ne font pas des reportages qui,eux nécessitent une présence sur le terrain comme l a fait mme Kindo mais des commentaires ou des analyses si vous voulez.
Le 22 mars 2013 à 18:10, par l’impartial En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
L’express du Faso est un journal de faits divers certes mais, Il jette trop de discrédits sur la ville de Bobo. Mr et Mme de l’express n’avez vous jamais vu rien de bon à Bobo pour commenter ou relater . De grâce si vous n’avez rien à écrire sur la belle , paisible et humaine cité de Sya rangez vos plûmes ou déménagez.
Express du Faso y a na mare.
13. Le 21 mars 2013 à 07:41 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Toutes mes felicitations Basseratou KINDO, J’ai toujours lu tes articles car je sens que tu cherches a comprendre vraiment les problemes des femmes. La prostitution est tres complexe. Moi meme, j’ai failli y succomber une fois bien que travaillant car il est tres difficile avec les maigreurs qu’on a et les grandes familles avec les charges que vous avez avant meme que vous ayez eu votre 1er salaire, qu’on s’en sorte. Mais par la grace divine et par des efforts soutenus, j’ai mis mon temps dans la formation en tout (apprentissages divers) et aujourdhui, je suis a meme d’assumer mes charges.
Je voudrais demander a celles qui pensent qu’ellles peuvent se prostituer pour un temps de bien reflechir et d’accepter que la vie est faite de hauts et de bas. Il faut avoir la foi (en tout ce qu’on aime) et lutter dur. Mettez la force et la foi que vous allez mettre dans la Prostitution dans d’autres activites plus nobles et vous verrez que le jour de votre jour arrivera plus vite que vous ne pensez. Les femmes et les hommes doivent se battre et cela est certainement moins dur que de se prostituer. Bravo a toutes les femmes qui luttent pour reussir d’elles memes et Bravo aux hommes qui nous soutiennent.
Le 22 mars 2013 à 20:19, par Hess En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Excellent commentaire !
Bonne chance à tous,
14. Le 21 mars 2013 à 07:49, par zero En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
ça devient de la merde , ya pas une autre ville au Burkina ? c est koi ça ? toi le journaleux tu es aussi prostitué
Le 21 mars 2013 à 16:19, par Mado En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Cherchez plutot à présenter une bonne image de Bobo en changeant de comportement.La journaliste a simplement relaté un fait réel pour que vous en preniez conscience.Elle a risqué car elle aime Bobo.
15. Le 21 mars 2013 à 07:50, par ArnoldDrive En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Felicitations a la journaliste pour cette immersion dans le milieu des prostitues. La société toute entière est responsable de ce phénomène. C’est vrai que certaines y vont pour chercher de l’argent facile mais je crois sincèrement que la majorité le fait par contrainte, pauvreté, rejet ... C’est facile de jeter la pierre sur les prostitues mais il faut reconnaitre que c’est la demande qui entretien le marche.
16. Le 21 mars 2013 à 07:56, par Loulou En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Il est difficile de lutter contre la prostitution meme dans les pays développés, c’est un métier qui règne en maitre. Attention mes frères parfois elle aident aussi quand tu es coincé bon c’est ça aussi la vie...
17. Le 21 mars 2013 à 08:02, par raogo En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
bon boulot. De nos jours la prostitution est l’oeuvre des gens qui aiment la facilité, ca na rien a voir avec la pauvreté. c’est du gain facile. Si je crois a la fille qui dit qu’elle peut avoir 50 000 par jours voyez vous c’est le Salaire d’un ministre (50 000 x 30 = 1500 000)
18. Le 21 mars 2013 à 08:17, par le gaou En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Pourquoi la prostitution est condamnée par la loi et rien n’est fait pour l’éradiquer au contraire elle prend de l’ampleur est entrain de gagner les autres provinces .la lutte contre la prostitution doit être aussi menée comme la lutte contre l’excision ,le banditisme ,la drogue ,........Dans certains pays comme l’ISLAND ,la NORVEGE,la SUEDE le recours aux services des prostituées est penalisé avec amendes .Pourquoi ici se sont seulement les femmes qui sont condamnées , verbalisées et non ceux qui y vont ( les hommes) ? Pourquoi ce laxisme dans la lutte éfficace contre ce fléau ? .Ou bien on juge que c’est un mal nécessaire comme le colonisation ? voici autant de question que nos dirigeants doivent répondre .
19. Le 21 mars 2013 à 08:40, par LE CHAT !!!!! En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
J’ai l’impression que quand on parle de Bobo c’est toujours une histoire de prostitution, de vol, s’assassina...
20. Le 21 mars 2013 à 08:41, par PATOLEFOU En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Mais que voulez-vous dans un pays ou plus de 47% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté et 15% des Burkinabè détiennent à eux-seuls, plus de 80% des richesses de l’économie nationale.alors attaquez le problème à la source si vous autorités vous voulez vraiment atténuer ce fléau.
21. Le 21 mars 2013 à 08:43, par AZ En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Le travail abattue par cette journaliste est très remarquable , cependant pour ma part le mieux serait si je peux me permettre de légaliser la prostitution en cherchant un cadre spécial pour les prostitués.Là les consommateurs pourront aller tranquillement chercher leurs produits dans les conditions sans qu’il n’y est racolage sur les voies.
Et là celle qui ne vont pas obéir à ces conditions seront sévèrement punis par la loi pas en faisant des travaux mais incarcérée
Le 21 mars 2013 à 11:42, par Le scienceur En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Mon frèr ce ne sera pa du tou une boe idée. Imagine, avec l’argen k cela peut apporter la majorité des filles se retrouveraient la ba. Et mèm des femme mariées
22. Le 21 mars 2013 à 08:49, par Pokolé En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Merci pour l’article ! Bon travail et courage.
23. Le 21 mars 2013 à 08:50, par Le burkinais En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
J’admire le professionnalisme de cette journaliste. Attention cependant ! Un pandore de mes connaissances qui voulait infiltrer un réseau de dealers a fini par être accroc à la drogue. Ce serait vraiment dommage que vous finissiez prostituée, Mme KINDO.
Eh ! Webmaster, si tu me censures encore je saurai quoi penser.
24. Le 21 mars 2013 à 08:50, par Beton En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
La gos en Sirius là ressemble beaucoup à ma gos. Hé ! Bassératou, tu es sur que cette pose, tu l’as prise à Bobo. Mais si c’est elle, je suis foutu. J’y vais de ce pas refaire mon test de dépistage du SIDA.
Juste pour vous dire qu’on ne sait plus qui est prostitué et qui ne l’est pas. Le gain facile, le libertinage, la pauvreté,...sont entre autres les causes qui amènent nos sœurs dans ce métier. Ces causes regroupent malheureusement toutes les couches sociales. C’est à dire qu’on peut croiser des prostitués issus de familles aisées, pauvres ou de classes moyennes.
25. Le 21 mars 2013 à 08:53, par Le Vivant En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Belle investigation pour Bassératou.
A mon humble avis, il faut plutôt penser à organiser le métier de la prostitution au lieu de chercher vainement à le combattre. C’est un leurre que de croire en une éradication totale du "plus vieux métier du monde". Quoiqu’on dise, il fait plus d’heureux que de malheureux. Nous savons touts que des milliardaires de ce pays ont bâti leur fortune sur la base de ce métier. Et puis, entre nous, qui n’a jamais eu envie de faire un tour auprès de ces filles "salvatrices" par moment. Ne nous voilons pas non plus la face, sans la prostitution, il faudra se préparer à lutter contre les maux tels : pédophilie, détournements de mineurs, accentuation de l’homosexualité (lesbienne), viols, infidélité croissante dans les foyers, et j’en passe.
En encadrant le domaine, les filles de joie elles-mêmes œuvreront à assainir le milieu et d’en éjecter toute intruse qui pourrait y pénétrer et saboter leur affaire et les filles mineures qui s’y adonnent ne pourront plus eu égard au contrôle qui sera fait.
A l’instar de Bassératou qui, en divulguant le marché juteux de Aîcha à Diébougou risque de le saturer avant même l’arrivée de cette dernière (rire).
Le 21 mars 2013 à 11:40 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Vous n’êtes pas loin d’être un proxénète qui a plus intérêt que se développe la prostitution plutôt que de voir son éradication. Je parie que vs êtes la même personne qui porte le sobriquet « le Filou » qui nous balance chaque fois ses messages dont le contenu reste le même. Ce n’est pas parce qu’un braqueur gagne un butin de plusieurs de millions lors d’une opération et qui se dit ou se sentirait heureux (à l’échelle individuelle) que la société entière deviendrait heureuse à l’échelle collective. Libre à toi de prodiguer ce conseil (encouragement de la prostitution) à ta propre sœur ou à ta fille, mais de grâce laisse la société burkinabè éduquer ses brebis galeuses ou du moins ses filles égarées en les dissuadant de telles pratiques. Je m’adresse également à ceux qui ont un penchant pour l’homosexualité (ou les adeptes).
LPT .
Le 21 mars 2013 à 12:27, par Hamane En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Le Vivant, tu as raison. dans le monde entier, un seul pays peut se venter d’avoir relativement maîtriser la prostitution d eses fils et de ses filles : c’est l’Iran. Non parce que dans ce pays on lapide les personnes qui ont des rapports sexuels hors mariage mais seulement parce que ce pays à une forme de légalisation de la prostitution qui existe rarement ailleurs. En Iran, il existe 2 types de mariage : le provisoire et le définitif. le provisoire est célébré avec un seul temoin. il peut duré entre 1 heure et 99 ans. Au cours d’un mariage provisoire devant un témoin, le témoin demande à la femme le montant de sa dot. et l’homme dit : je te veux pour épouse pour XX temps (1heure) avec 1000 f cfa ou 3.000 f cfa comme dot. et la femme repond : je t’accepte comme époux pour XX temps (1heure) avec 1000 f cfa ou 3.000 f cfa comme dot. et le mariage est consommé pour la période indiquée. Selon certaines branchez islamiques cela est conforme à l’islam. d’autres y voient une tradition d’un groupe arabe et non islamique. Dans tous les cas, ce type de mariage provisoire est pratiqué au Burkina Faso par des musulmans. j’ai en été témoin à Ouaga. Il suffit d’aller sur google et taper islam mariage temporaire et vous verez. Ce Mariage provisoire met l’homme et la femme a l’abri d ela prostitution et de ces formes de lapidation au nom d’un charia que des idiots n’ont pas compris. la lapidation tirée de la charia ne peut s’appliquer que dans un pays où le mariage temporaire existe. Ainsi, si malgré cette facilité un couple a des rapports hors mariage provisoire, ils peuvent être fouétés ou lapidé car c’est uen exploitation ou un abus de la femme. Autrement dit. un homme ne doit pas avoir de rapport sexuel avec une femme sans la dot donnée devant un témoin.. Sinon c’est un abus. dans un pays où le mariage temporaire est inexistant, la prostutition le remplace et la passe donnée aux filles est l’équivalent de la dot. il donc simplement légaliser la prostitution. cela n’est pas si contraire à l’islam. Comprends qui pourra
Le 22 mars 2013 à 14:01, par Fils de Gaoua En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Qu’on nous arrete cette éternelle hypocrisie musulmane, ce mariage dit temporaire n’est rien d’autre que la PROSTITUTION cela explique bien que pour l’islam le sens du mariage n’est basé que sur le désir sexuel.quelle triste morale religieuse ????
Le 22 mars 2013 à 14:28, par Hamane En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Fils de Gaoua, tu prononces trop de jugement de valeur. j’ai dit qu’il y a bien 2 tyoes de mariages. si tu veux le sexe dans les normes tu fais un mariage temporaires qui protège chacun du couple. et tu veux l’autre forme de mariage que tu proposes tu optes pour le mariage definitif. aussi on peut passser par le temporaire le temps de se connaitre avant le définitif. tu ne fais qu’insulter sans chercher à comprendre. Triste morale réligieuse ? qu’est-ce que c’est la morale à ton avis ? comment fixe t-on ou détermine t-on la morale ? apparemment tu as peu compris de la vie ou de la morale. Et toi que dis ta morale religieuse, de coucer avec une femme sans la dot ? sans payer la passe ? d’aller en toute liberté chez la prostituée stigmatisée pour abuser d’elle et elle ne peut se plaindre nulle part car votre activités, vos relations sont clandestines ? c’est ça la morale religieuse ?
Le 26 mars 2013 à 15:31, par Frehsnelle En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Hamane,tu passes ton temps ce gars ne pourra pas te comprendre non pas parce qu’il ne veut pas mais parce qu’il n’a pas la capacité car suis la plus part de ces multiples reactions sur le fasonet et ,tu comprendras qu’il a peut etre des comptes personnels à regler. Cordialement
26. Le 21 mars 2013 à 08:54, par Manitu En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Beau boulot. ça mérite le prix Galian ça...
27. Le 21 mars 2013 à 09:01 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Félicitation chère journaliste. Vous avez dévoilé les facettes de ce grand problème social avec expertise et diplomatie. C’est ça être journaliste. Et non raconter ce que les "ont dit" disent.
28. Le 21 mars 2013 à 09:13, par Palingwendé En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
félicitation pour cet article !
29. Le 21 mars 2013 à 09:18, par BANGOSS En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
DU BON BOULOT MA SOEUR.VOUS AVEZ TENTE DE CERNER LE MILIEU.
MAIS CE QUE JE VAIS AJOUTER LA PROSTITUTION EST UN CENTRE OU GRAVITE BEAUCOUP DE PERSONNES.( propriétaire de chambres ,gérants de chambres, maquis, parqueurs, vigiles, ect...)Ce ne sont pas les prostitues qui vivent seulement de la prostitution ;
Essayer un reportage plus poussée et vous verrez
30. Le 21 mars 2013 à 09:33 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Bon travail. Vous avez pris des risques ; Félicitations. Ca vaut un galian.
31. Le 21 mars 2013 à 09:34 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Félicitation pour cet article de qualité !!!
32. Le 21 mars 2013 à 09:47, par Padip En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
50 000 Fr par jour... Hummmmmmmmm
Y a pas prostitution d’homme non je suis partant moi !
Le 21 mars 2013 à 14:32, par tegwendea En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Padip, il y en a pour les hommes et c’est meme plus juteux ; seulement c’est ton anus qui va prendre un coup !!
Le 21 mars 2013 à 17:17, par moi En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Pour 50.000fcfa en 5mn ca vaut le coup de faire prendre un coup a son anus
33. Le 21 mars 2013 à 10:22, par Tiga En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
la prostitution n’est pas condammée au burkina en ce je sache ;c’est plutot les debordements sur la sur la voie publique qui est condamné pour attentat a la pudeur et au bonnes moeurs.
34. Le 21 mars 2013 à 10:26, par Lumière En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
C’est du propre. très bon travail. Vraiment tu as pris beacoup de risque. bon courage à toi. cet article mérite un prix galian.
35. Le 21 mars 2013 à 10:37, par Makongo En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Félicitations ! E zali kitoko ! Bon travail d’investigations avec prise de risque. Mais pardon, faut plus trop te risquer labas. Le diable n’est jamais loin ! A force de ne jamais aller avec un homme en chambre, on finira bien par se demander vraiment ce que tu cherches dans ce groupe et c’est là que la situation pourrait se compliquer pour toi. Courage !
36. Le 21 mars 2013 à 10:38, par B’K En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Permettez moi de faire une petite anecdote. Alpha Blondy est né pauvre, bossu et plus tard abandonné par sa mère sur un tas d’immondices. L’actuel secrétaire générale de l’ONU est né pauvre et à fréquenté une école sous paillote. Oumarou Kanazoé, il faut le reconnaître a d’abord connu toutes les humiliations de la pauvreté. Mais jamais aucune de ces personnes n’a commis des actes indignes en prétextant la pauvreté.
Reconnaissons que les prostituées sont des faibles d’esprit qui recherchent le gains facile. Elles ont toutes la même histoire : "mes parents sont morts", "j’ai été violée et abandonnée", "le père de mon enfant m’a rejetée"...
Même si nous sommes nombreux à penser que la prostitution est un mal nécessaire, combattons-la.
37. Le 21 mars 2013 à 10:38, par Diane En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Bon courage soeurette.
38. Le 21 mars 2013 à 10:39, par sidbala En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Avec les sommes que vous evoquez, cet article va juste convaincre d’autres jeunes filles a se lancer dans la prostitution
Le 21 mars 2013 à 12:39, par AS En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Je suis d’accord avec toi ? On ne sait pas vraiment ce que elle est allée chercher là-bas ! D’une chose l’une. Ou c’est mallsain de sa part ! C’est un comportement voyeueriste, une critique facile qui ne nous apprend rien ou bien le phénomène l’inquiète et elle est aller chercher à le à le comprendre mai, elle s’y prend mal parce qu’elle porte des lorgnettes pour juger ces pauvres filles qui révèlent que notre société va mal ! Cherchons à mieux comprendre le phénomène ! Cela nous édifiera tous
Le 21 mars 2013 à 15:49, par Lawani En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Bassératou Kindo parle toujours des faits se déroulant à Bobo car le journal pour lequel elle travaille en l’occurence l’express du Faso est basé à Bobo. pour un coup d’essai en journalisme d’investigation,c’est un grand coup que tu viens de faire.chapeau à toi !!
Le 21 mars 2013 à 18:44, par joliego En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
ce que dis sidbala est vrai.50 000F/NUIT.ca donne des idées ;allez !! je me lance ;il me faud 5 000 000f pour acheter une voiture,je dispose dejà de 2 000 000f donc il manque 3 000 000.Donc si je m prostitue pendant 2à3 mois le compte sera bon,par contre moi se sera la prostition de luxe et la selection sera minitieuse ;il faudra que le client soit beau,grand,elegant et courtoi sinon ca passe pas
Le 22 mars 2013 à 10:19 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Apres l’achat de la voiture, tu vas continuer pour son entretien et ensuite pour la villa....
39. Le 21 mars 2013 à 11:03, par Flotte En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Je pense que ce serait dépense inutile d’énergie de vouloir lutter contre la prostitution. Tant qu’il y’aura la misère et le désespoir, ces filles monnaieront ce qu’elles ont. En attendant le code pénal et l’hypocrisie de la pesanteur sociale et culturelle les réduit à être des victimes silencieuses car ne pouvant ouvertement porter plainte en cas d’abus.
ALORS QUE CELUI QUI VEUT VRAIMENT LUTTER CONTRE CE FLEAU COMMENCE PAR AIDER L’UNE D’ELLE A SE TROUVER UN BOULOT POUR SURVIVRE
Le 21 mars 2013 à 15:43 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
vous savez, c’est pas la pauvreté qui les amène à faire cela. Prions pour eux seulement si non sa n’a rien à voir.
courage à la journaliste mais c’est sache que c’est un risque ma soeur.
Que Dieu te protège
40. Le 21 mars 2013 à 11:19, par Freshnelle En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Oui je suis d’avis avec toi car l’article 423 du code pénal donne la définition de la prostitution et précise en son alinéa suivant les sanctions ci-dessus mentionnées par le journaliste pour seulement quiconque se livre habituellement à la prostitution par RACOLAGE
41. Le 21 mars 2013 à 11:20, par Frère en Christ En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Seul Jésus-Christ peut aider nos soeur à se débarasser d’un tel métier. En effet beaucoup le font non par à cause de la pauvrété mais parce que posséder par un esprit mauvais. Qu’elles en soient délivrées au nom puissant de JESUS, Amen !!!
Le 26 mars 2013 à 15:50, par Un frère En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Mon frère , sorte de fanatique, Jésus délivre celles qui viennent a lui. Au temps de Jésus la bible parle de l existance de prostituées mais il ne les as pas toutes délivrées. Ok ?certaines sont aller se repentir devant Jésus Et d autres ont poursuivi le metier
42. Le 21 mars 2013 à 11:47 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Enfin du journalisme vrai ! Félicitations pour ce travail !
Le 21 mars 2013 à 12:52, par Maison Close En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Moi je suis à Ouagadougou et je me prostitue vers le stade municipal non loin du terreain de saint léon. Je vous y invite. La passe fait 30 000 f CFA, à ouaga, il ya de l’argent.
Le 21 mars 2013 à 13:22, par SAM En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
ailleurs dans certains pays, ce sont les hommes qui fréquentes ces lieux qu’on arrête pour les dissuader. je pense que ce sera une bonne chose si on eesayait cette méthode et qui sait peut être ca dimunuera un temps soit peu la prostitution. car j’estime que s’il n ya pas de client, elles ne perdront pas leur temps à rester tard dehors avec tous les risques que cela a.
43. Le 21 mars 2013 à 12:09, par lass En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Quelque chose de pas cohérent dans ce reportage. Quelqu’une qui peut gagner 50000frs par nuit, que vas tu chercher à diébougou marché florissant pour avoir une moto. En une semaine à bobo elle se tape sa moto
44. Le 21 mars 2013 à 12:24, par cogito En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
merci pour ce W de professionnalisme
45. Le 21 mars 2013 à 12:51, par sya En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
ce qui serait intéressant c’est de faire un travail d’investigation du côté des clients... qu’est-ce qui poussent tous ces hommes à fréquenter les prostituées ?? on a tendance à trouver ça "normal" alors que c’est complètement anormal !!! ce n’est pas une vrai relation, entre un homme et une femme qui s’aiment et qui vivent une relation sexuelle consentie. Là on parle de quelque chose de très sale, on résume l’acte à une fille qui baisse son pantalon ou sa jupe pour 2000 francs !! et l’homme qui pénètre une femme qu’il ne connait pas, comme une machine. C’est vraiment ça la question : comment en est-on arriver à rendre cet acte aussi banale ? Et comment autant d’hommes peuvent trouver cela normal ...
Le 21 mars 2013 à 17:25, par l homme integre fache En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Qu est ce qui pousse les clients a frequenter les prostitues ?
Simple ,la pute n a pas de migraine quand ton bakary est debout .
La pute ne tire pas sa bouche quand elle n a pas son pagne .
La pute peu tout te faire .
De grace le sexe n est pas sale ,je sais pas ou vous tenez Ca.
46. Le 21 mars 2013 à 12:52, par David En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Où mettons nous Dieu dans tous ça ? Est-ce le vrai bonheur se trouve sur terre où dans les cieux ? de grâce mes sœurs et mes frères, prenons conscience. si le coût de la vie nous dépasse aujourd’hui c’est parce que nous avons décliné de Dieu notre visage. l’argent facile tue. l’homme doit manger à la sueur de son front n’a-t-il pas dit cela Dieu ? cherchons nous à nous approchés de Dieu et le monde nous s’ouvrira de nouveau. repentissions nous et nous découvrirons un monde nouveau. que l’Esprit de Dieu touche nos cœurs.
47. Le 21 mars 2013 à 13:06, par Maison Close En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Merci des informations fournies. Moi, je payais entre 10 000 F et 20 000 F. Je verrai mes prix à la baisse. Merci la Journaliste. Prochainement, je ne te rate pas. Je vais t’en apprendre et tu va changer de métier car tu prendra goût. Elles ont oublier de te dire qu’elle prenne leur pieds et gagnent de leur argent. Elles font un pierre, deux coup. Ah que le monde est injuste !!! Moi qui distribue gratuitement, suis obligé de me saigner les poches et mon énergie. Ah que le monde est injuste !!!!
48. Le 21 mars 2013 à 13:10, par CHEIKH En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Eh Bassératou ! N’as-tu pas trop joué avec le feu ?
En tentant le diable de cette manière, quelles garanties de sécurité as-tu donc prises, et qui était ton témoin ?
Autrement dit, n’en as-tu pas aussi profité pour tirer quelques coups clandestins ?
49. Le 21 mars 2013 à 14:31, par yaneko En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Bassératou ! tu as osé faire ça ! Tu as risqué dèèè !!!!
C’est vraiment déplorable, mais c’est la pauvreté qui poussent toutes ces filles dans ce métier... que Dieu leur vienne en aide.
Le 21 mars 2013 à 15:22, par le meilleur juge c’est notre conscience En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
C’est pas vrai : argent facile !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
50. Le 21 mars 2013 à 15:18 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Bonsoir à tous, j’ai bien lu l’article, Bassératou KINDO est préoccupée par une situation où presque tout le monde se pose la même question souvent "pourquoi se prostituer" mais à mon avis une seule chose est claire, nos soeurs d’aujourd’hui veulent vivre au-dessus de leur moyen. Mes soeurs essayer de vendre n’importe quoi, mais sachez que vous n’êtes pas obligé de vendre votre corps, vous livrer à n’importe qui pour réussir dans la vie. Qui cherche trouve, soyez positive.
51. Le 21 mars 2013 à 15:27, par cheicklamenace En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
belle article bonne investigation félicitation.. que dire du plus vieux métier du monde en croire que c’est un mal nécessaire, il parait que grâce à ce métier l y a moins de pédophile de trustés t de pervers en tout genre mais pour ma part j’aurai préféré un monde sans mais bon !!!
Le 21 mars 2013 à 17:16 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
BONSOIR je reste sur ma faim car j attendais qu on me decrive comment ca se passe a l interieur ;de plus ton article peut egarer beaucoup de filles surtout quand on declare qu on peut empocher 50000 FRC en une seule nuit ;
Le 21 mars 2013 à 17:29, par adjoua En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Basseratou, je reste sur ma faim...
Il faut que tu ailles plus loin dans tes prospections....accepter une dizaine de clients une nuit et décrire le ressenti réel des prostitués...Les sociologues qui n osent franchir le pas en seront plus édifiés. vas-y et raconte nous.
Le 21 mars 2013 à 18:36, par zoto dal En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
En se basant sur la parole de Dieu qui dit que notre corps est le temple du Seigneur on ne pourrait en aucun cas cautionner ce métier pour quelques raisons que se soit. Mais bref tout le monde ne crois pas en Dieu.
Mes sœurs, quittez ce métier qui vous déshonore, vous dégrade et vous rend esclave. Profitez du temps de carême pour votre conversion. qu’arriverait-il s’il n’y avait pas la prostitution. Ne vivrait-on pas ????? et alors
ZOTO DAL
52. Le 21 mars 2013 à 15:42, par Flakè En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
la prostitution est un phénomène qui prend de l’empleur.la pauvrété ; même exetrème ne s’aurait expliquer cette situation.Une femme vendre son corps, sa dignité, ce qu’elle a de plus cher ou un homme aborder sa fille ou sa pétite fille pour satisfaire sa libido est imorable. ce métier même plus vieux soit-il, n’est jamais plus àgé que la pauvrété elle même.mais de tout les temps il n’a jamais été accentué comme de nos jours.même si l’on voudrait essayer de comprendre certaines, la majorité y en pratique parcequ’elle préfère, faire soufrire leurs sexes pour de l’argent dérisoire (des mièttes) que de se battre dignement pour assurer leur avenir.
53. Le 21 mars 2013 à 17:21, par PY En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Encore Bobo-Dioulasso ! Est ce la seule ville au BF ou les gens se prostituent ? Je pense que cette journaliste n’apporte rien de nouveau dans cette histoire il ne faut pas écrire pour écrire. Rien de pertinent dans cet élément. Une journaliste digne de ce nom qui ne sait même pas que SMI signifie Santé Maternelle et Infantile et non Service Maternelle et Infantile c’est grave ça ! La prostitution a déjà été largement décrite donc des écrits de ce genre n’ont plus d’importance ; le phénomène est très largement connu maintenant. Il faut plutôt s’attaquer à ses causes et faire des propositions sur comment faire pour que le phénomène diminue en ampleur ou comment bien structurer la profession pour protéger d’abord ces filles et les clients ; car ça ne pourra jamais finir tant qu’il y aura des clients ou amateurs.
54. Le 21 mars 2013 à 17:26, par yirimenlea En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
très bonne investigation ma sœur bon courage et toute mes félicitation pour cet article
55. Le 21 mars 2013 à 17:34 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Merci pour les bonnes adresses Black, SMI. Je me rends a bobo ce weekend.
56. Le 21 mars 2013 à 17:55, par Thomasson En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Cette journaliste s’est trop montrée. En diffusant cet article de cette façon, les intéressées se reconnaitront. Finies les futures proches investigations dans ce milieu.
57. Le 21 mars 2013 à 18:10, par SADAMDA En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
A coté de ces constats et critiques. Ou sont les solutions ?
Le 21 mars 2013 à 18:53, par guerrier En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
pour ces filles c’est a la recherche de l’argent facile,bcp d’entre elles peuvent faire autre chose que la prostitution
58. Le 21 mars 2013 à 20:24, par karaba12 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
J’ai trouvé cet article très intéressant : je suis choqué de savoir ce que vivent certains mineurs burkinabés.
Je suggère juste que Lefaso.net commence à donner des titres a ces photos. Et je ne vais même pas parler des graphismes : C’est vraiment du coloriage pour enfant de 3ans !
Cet amateurisme qui sévit au sein de nos médias commence devenir agaçant.
59. Le 21 mars 2013 à 20:51 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Hééééééééééééééééééééééééé Bassératou ? Quand vas-tu faire des reportages sur les vrais problèmes de bobo. Je suis de bobo installé à Ouaga. Mais la prostitution à Ouaga est aussi importante, sinon plus importante qu’à Bobo. Pourquoi toujours des sujets qui dénigrent l’image de bobo. J’espère que tu as profité au moins informer ces filles que le préservatif est une invention de blanc qui généralement n’est pas circoncis.
60. Le 21 mars 2013 à 21:41, par Gramaton En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
j’en a marre que chaque fois que on écrit sur la ville de Bobo que c’est sur la prostitution. Il n’y a pas que ça dans la belle ville de SYA. La prostitution est partout et dans tous les milieux donc c’est pas une question de pauvreté mais plutôt le caractère macho des hommes et des ambitions démesurées des femmes. Alors ne nous cassez pas le oreilles. YA na maaaaaaaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrre
61. Le 21 mars 2013 à 21:45, par Londonnien En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Notre soeur journalist a certainement fait un Bon travail et j, admire beaucoup son courage, vu les risques qu, elle a courues en frequantant ces lieux, cependant je deplore le fait qu, Elle aie publie son article de tel sorte. Cet article aurait mieux servi les reseaux et associations menant des enquetes dans le domaine, et aurait surtout contribue a la Lutte contre le fleau. En plus de nos jours je Pense que le probleme n,est plus de savoir comment ces reseaux de prostitution operent parcequ’on en dispose d, assez d,elements en la matiere et maintenant je Pense qu,on doit poser des actes concretes pour remedier a ce fleaux.
Le 22 mars 2013 à 10:32, par Soucoupe En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Pour une fois, un article de journaliste semble faire l’unanimité par sa qualité et ne fait pas l’objet de messages haineux (contrairement à ce qui nous été donné de voir lors du reportage de M. SOMDA de son domicile par sa femme). C’est effectivement un bon travail mais, relaté avec forces détails surtout sur la stratégie adoptée, j’ai pu peur que cela ferme la porte à la collecte d’information pour ceux qui voudrais approfondir des recherches dans le domaine.
Nonosbtant cette réserve, cet article a le mérite d’interpeller nos consciences sur l’ampleur du phénomène. En tant que parent, j’ai ressentis une tristesse de voir ces jeunes enfants vendre leur vie au motif que c’est à cause de la pauvreté. Chaque parent doit se remettre en cause devant cette situation car la pauvreté n’a pas vu le jour avec la naissance de ces filles mais c’est l’attitude que nous leur avons inculquée face à la pauvreté qui les a poussé à la dérive. On peut raisonnable se poser les questions suivantes : leur avons-nous fait connaître les voies du Dieu vivant qui dit que ces choses sont des péchés qui conduisent ces pratiquants en enfer ? leur avons appris à se contenter du peu que nous leur offrons tout en conservant leur dignité ? Manifestons-nous suffisamment de la solidarité qui nous pousse à nous occuper des orphelins de nos parents qui ne sommes plus de ce monde et de tous ceux qui sont en difficulté autour de nous ? Le monde entier se bat autour de la réligion, chacun exaltant la sienne, en oubliant ce qui en fait la force : l’AMOUR DU PROCHAIN qui est le corollaire de l’amour pour Dieu et nous porte à faire le bien, rien que le bien sans se relâcher.
Reconnaissons, avec humilité que ce sont nos coeurs remplis d’égoïsme, de méchanceté, de convoitises de toutes sortes qui poussent nos enfants dans la rue vers la prostitution, la drogue, le vol et toutes sortes de péchés qui ne peuvent que les conduire dans l’enfer si nous n’ouvrons pas les yeux.
62. Le 22 mars 2013 à 08:14, par LE CLAIRE En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
BSR C’EST DES FILLES QUI PEUVENT PLUS TRAVAILLER MEME QUAND TU LA DONNE UN BOULOS DONT LE SALAIRE VARIE ENTRE 70 000F A 100 000F AU DEBUT ELLE VA ACCEPTER MAIS ELLE VA TROUVER çA FATIGUANT IMAGINER LE SOLEIL QU’ON TRAVERSE ACTUELLEMENT POUR SE RENDRE AU BOULOS EN CE MOMENT ELLE DORT.
63. Le 22 mars 2013 à 10:19, par Dr Oumar En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
sur la question de la prostitution, il faut reflechir 2 fois.Car elles qui se prostitues on leus raisons et ceux(les hommes) QUI y parent ont aussi leur raisons.Maintenant les questions qú´il faut se poser sont:Pourquoi elles se prostitues ? et pourquoi y vont certains hommes ?
Il est vrais qu´elle est pleinne de danger de tous les sortes mais,inevitable dans une societe en floraison surtout le cas du Burkina.
Enfin je demande la prudence et la mefiance,car se n´ést pas toutes les tete qui poussent des cheveux-
64. Le 22 mars 2013 à 13:17, par black En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
bon reportage mais utilisation de technique humiliante ,avillissante pour la collecte de linfo qui sapparente a une volonte manifeste du journaliste a pratiquer ce metier si elle nest deja pas a plein pieds dans ce monde vicieux.
65. Le 22 mars 2013 à 14:38, par Don C. En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Merci Bassératou Kindo
66. Le 22 mars 2013 à 15:53, par silence En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Quand on parle de prostitution, c’est pour parler de Bobo. Le sexe se vent partout foutez moi la paix.
Évitez de ternir l’image des belle et honnête fille de Sya.
67. Le 22 mars 2013 à 16:22 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Les vraie prostitues se trouventent a Ouaga. Ils ne sarretent pas dans les rues mais sont dans les mini villas au frais des femmes ou des hommes maries.
68. Le 22 mars 2013 à 16:44, par Façon de voir ! En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
si je t’avais trouvé la-bas, rien a faire, j allais prendre mon coup et tu allais me satisfaire ; tu sais Kindo tous les hommes ne sont pas les mêmes,,,,, la force de persuasion............inutile de prendre des risques tu n’auras aucun prix pour cet article.
Le 25 mars 2013 à 01:41, par Amour du prochain En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Félicitation Basseratou Kindo pour ce travail formidable. C’est du journalisme d’investigation. Merci pour ces efforts. Vous avez éclairé ma lanterne sur un sujet que je voulais comprendre un peu et craignais de me rendre dans ces lieux. Bravo !
69. Le 25 mars 2013 à 08:18, par BILI-BILI En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Moi je connais bien ce coin ; j’y ai fait un tour tour en decembre dernier quand j’etais de passage à BOBO.
70. Le 25 mars 2013 à 12:20, par LA REPOSEE En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Tous participent a la prostitution.....TOUT LE MONDE........Le problème est africain, pas de travail, faire manger la famille, les études (trop chères), un gouvernement qui s enrichie sans penser et en oubliant les problème de base : FAIRE VIVRE ET NOURRIR SON PEUPLE.....
La prostitution est un mal pour un bien, diront cetains, moi je dis que la solution est autre, respectons nos femmes et nos jeunes filles , mais ça c est pas pour demain...............
Le 26 mars 2013 à 21:03, par germinal En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
reaction tres posee, tres critique et je pense que la tout est dit !
71. Le 26 mars 2013 à 09:27, par Shalom En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
il ne suffit pas de dire à une prostituée d’arrêter, mais il faut pouvoir lui trouver mieux à, faire
72. Le 29 mars 2013 à 12:45 En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
La prostitution a prit une autre forme. Rentrez dans les maquis ou dans les bars vous trouverez que beaucoup de filles s’endonnent beaucoup à ce métier soit disant serveuse de maquis,mais derrière ce nom(serveuse), elles sont des prostitueuse. Je prends l’exemple de Dori ou on parle de l’or, les filles ont une barreme de minimum 10 000F(sap sap) et 15 000F pour passer toute la nuit avec le client. A Dori les maquis sont bouré à tous moment avec des serveuse de fois leur nombre dépasse les clients du maquis pour tous résumé elles disent : il y a l’or donc il y a l’argent par ce que les gens de ESSAKANE SA pètent les feuilles ils n’ont pas de pitié pour l’argent
73. Le 4 avril 2013 à 04:51, par NY Yams En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
La pauvrete n’a jamais conduit a la depravation des moeurs. La preuve, l’Allemagne n’est pas un pays pauvre mais la prostitution y est grandissante et de haut niveau. C’est une question d’education avant tout et de frequentation. Bon vent chere journaliste. Ton article est impeccable.
Le 25 avril 2013 à 20:02, par Austin En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Elles ne se considèrent en tout cas pas comme des victimes attendant secours, mais bien comme des personnes autonomes qui ont leur mot à dire sur leur condition. Ecoutons les peut être ça peut changer quelque chose aussi
Ensuite un commerce qui ne marche pas est vite fermé non ? ça marche donc c’est pour ça elles le font mais elles ne font pas entre femmes donc les hommes sont les premiers prostitués c’est eux qu’on doit condamner
74. Le 17 avril 2014 à 10:15, par Soyonsincères En réponse à : Dans la peau d’une prostituée : Expérience d’une « nouvelle venue » sur le marché du sexe à Bobo-Dioulasso
Moi je suis contre le fait qu’ont les arrêtes, je peux comprendre le cas des drogues et autres mais l’activités lui même n’a pas de problème. sa permet souvent de réduire le taux de viol car pour certains étant données qu’ils y a des putes pourquoi violé une femme ?
je pense que le vraie problème réside au niveau même de nos gouvernants car comment on peut injecter des milliards pour lutter contre le SIDA en n’oubliant les facteurs de cette maladie qui n’est autre que la pauvreté.combien de prostitués te diront qu’elles font sa par plaisir ? je pense pas que cela existe néanmoins qu’elle soit atteinte d’une maladie du sexe qui l’empêche de s’en passer des hommes. je pense qu’elles vaux mieux que les jeunes qui font des sacrifice humaine pour obtenir la richesse. faite votre prochain reportage sur les orpailleurs traditionnels vous verrez que la prostitution n’est rien.