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RENLAC : Inventaire des cas manifestes de corruption restés impunis au Burkina Faso (Période 2006-2010)

Publié le mardi 23 octobre 2012 à 23h12min

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RENLAC : Inventaire des cas manifestes de corruption restés impunis au Burkina Faso (Période 2006-2010)

« Que deviennent ces dossiers manifestes de corruption ? » Tel est le titre d’un article
publié par l’hebdomadaire burkinabé l’Indépendant dans sa livraison n° 950 du 6
décembre 2011. Dans ledit article, le journal publiait un « inventaire des cas de
corruption dénoncés et restés impunis au Burkina Faso ». Cet inventaire,
commandité en 2009 par le Réseau national de lutte anti-corruption, couvre la
période 2006-2009 et a fait l’objet d’un mémorandum adressé au président du Faso.
Entre 2009 et novembre 2010, les structures de contrôle et la presse ont dénoncé
d’autres cas de corruption ; ce qui a nécessité en décembre 2010, la mise à jour de
l’inventaire. Cet inventaire revu a également fait l’objet d’un mémorandum adressé
au président du Faso.

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Vos commentaires

  • Le 24 octobre 2012 à 07:52, par Dosso En réponse à : RENLAC : Inventaire des cas manifestes de corruption restés impunis au Burkina Faso (Période 2006-2010)

    Vous aimez trop l’argent, il faut permettre le telechargement. Un REN LAC encore ?

  • Le 24 octobre 2012 à 08:21, par onsesait En réponse à : RENLAC : Inventaire des cas manifestes de corruption restés impunis au Burkina Faso (Période 2006-2010)

    Le problème c’est qu’on enferme les incriminés mais deux jours après on les mets en liberté provisoire et ces derniers ne retournent plus jamais en prison, pire ils ne sont jamais sanctionnés autrement. C’est le cas de Guiro. C’est aussi le cas du nommé Kam du district sanitaire de Saponé que le rapport a évoqué au titre du ministère de la santé. Il a été écroué pendant quelques mois et a obtenu une liberté provisoire depuis plus de deux ans. Mais pas de jugement, l’intéressé est à la maison et ne travaille plus mais perçoit bien sûr son salaire. Il va en retraite dans moins de 3 ans et l’affaire sera ainsi close. Quelle justice ! Quel pays ! Le district de Saponé aura ainsi perdu 30 millions qui pouvaient sauver des enfants et des femmes mais hélas Kam a imité les signatures de l’ordonnateur de dépense et à touché des chèques. Il a certainement de bon parapluie qui ont dû être graissés à la faveur de cette affaire et c’est ça qui déçoit dans ce pays.

  • Le 24 octobre 2012 à 08:27, par rue11hpc En réponse à : RENLAC : Inventaire des cas manifestes de corruption restés impunis au Burkina Faso (Période 2006-2010)

    La réhabilitation de la mairie centrale de Ouagadougou
    La Cour des Comptes, dans son rapport 2007, a révélé d’énormes irrégularités
    dans la procédure de passation du marché laissant penser qu’il y a eu des malversations
    financières ou, en tout cas, des pots de vin. Ce rapport devait logiquement
    permettre la saisine des autorités judiciaires, ce qui a même été demandé par le
    maire Simon COMPAORÉ. Le même rapport mettait de façon évidente en cause les
    services du Trésor qui ont délivré des quittances de versement alors qu’aucun
    versement n’a eu lieu tout comme les mêmes services ont sciemment omis de
    percevoir les droits de timbres.
    Les poursuites engagées par le parquet général de la Cour des Comptes contre
    Simon COMPAORE pour faute de gestion sont restées dans les placards du président
    de ladite Cour.

  • Le 24 octobre 2012 à 08:44, par NELSON En réponse à : RENLAC : Inventaire des cas manifestes de corruption restés impunis au Burkina Faso (Période 2006-2010)

    Rien à dire c’est un travail propre et c’est ça aussi la vérité. Une structure de lutte contre la corruption doit avoir de la mémoire. Il faut continuer à dénoncer les nouveaux cas mais aussi ne pas oublié les cas passés. Et ça le RENLAC l’a bien compris. A nos autorités, au lieu de crier à longueur de journée à l’incivisme des citoyens, il faut commencer par résoudre ces questions. Il n’y a pas plus incivique qu’un gouvernement qui voit tout ça et qui laisse faire. Quand c’est des petits étudiants qu’on doit sanctionner, là on bande les muscles. Pauvre Burkina.....

  • Le 24 octobre 2012 à 11:03 En réponse à : RENLAC : Inventaire des cas manifestes de corruption restés impunis au Burkina Faso (Période 2006-2010)

    Ki est plus corrompu comme vous du REN-LAC

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