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Le Pouls de la cité : Image de la cité

Publié le jeudi 4 octobre 2012 à 22h47min

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Le Pouls de la cité : Image de la cité

Sacré Simon ! Encore lui ! Cette fois-ci sur une bicyclette. Le lundi 24 septembre 2012, après la remise officielle d’un don de vélos à la Police municipale, le bourgmestre de la ville de Ouagadougou, Simon Compaoré, a étonné plus d’un. Pour s’assurer de la commodité ou de la performance de ces vélos, il n’a pas hésité, à la surprise générale, de faire son « tour du Faso », du moins, du siège de la Police municipale en une allure digne du Tour de France. Le maire a pris de court les policiers qui pensaient qu’il se contenterait de faire un petit trajet dans l’enceinte de l’établissement. C’était sans compter sur la ténacité de ce monsieur. Quand on sait qu’il vient de se relever d’un accident qui a failli lui arracher l’usage de ses membres...


L’école, ce n’est pas qu’une question d’argent !

A l’heure où certains parents d’élèves ont déjà inscrit et payé les frais de scolarité de leurs enfants, d’autres s’interrogent encore sur le prochain établissement de leurs mômes. Pas forcément parce qu’ils n’ont pas d’argent, mais c’est seulement maintenant, qu’ils viennent de se rendre compte que leurs progénitures sont renvoyés de leurs écoles de l’année passée. Imaginer un parent qui, en ce moment où la rentrée est effective, soit en train de poursuivre des directeurs d’écoles à la recherche des bulletins de notes (de l’année précédente) de son enfant. La réalité est que le « transfert » forcé ou voulu d’un élève, d’une école à une autre, nécessite souvent ce document, véritable baromètre des résultats scolaires et comportementaux de l’élève. Des écoles qui s’imposent un minimum de sérieux l’exigent avant d’accueillir de nouveaux élèves. Nous parlons surtout des « élèves nomades » qui vont d’établissement à établissement, avec la complicité coupable des parents.

La culpabilité parentale peut se situer à deux niveaux. D’abord, le manque de suivi de la scolarité de l’enfant. Il ne s’agit pas seulement de s’acquitter de la scolarité et autres frais APE et de fournitures pour dire « ouf, j’ai accompli ma mission concernant l’éducation de mon enfant ». Un regard sur le processus d’apprentissage du môme fait aussi partie du devoir parental. Ensuite, il y a ces parents qui, non contents d’abandonner leurs enfants aux seules mains des enseignants, sont prêts à user de fraudes de toutes sortes pour permettre aux enfants de passer d’une classe à une autre ou de disposer de bulletins de notes moins salés. C’est une nouvelle rentrée scolaire, et il est temps, pour parents et enfants, de partir sur de bons pieds, avec en tête que seuls le travail et une bonne organisation peuvent conduire au succès vrai et durable.


La traque aux "nids de poule"

Les « nids de poules » sont de plus en plus un lointain souvenir sur les artères de la ville de Ouagadougou. Cela, grâce à la volonté du maire Simon Compaoré et de ses collaborateurs qui ont lancé un programme d’entretien des routes de la municipalité, depuis fin août dernier. Un programme dont la mise en œuvre devrait coûter près de 73 millions de FCFA. Déjà, les résultats sont visibles sur le terrain au grand bonheur des usagers de la circulation. Et ce ne sont pas les cyclistes et motocyclistes empruntant la voie de la garde nationale à Paspanga qui diront le contraire. Eux qui rongeaient leur frein en attendant une éventuelle réparation des crevasses de ladite voie. Ce qui est chose faite, depuis un certain temps, à l’image d’autres artères de la capitale. Si l’effort des autorités municipales est à saluer à sa juste valeur, la balle est désormais dans le camp des usagers des voies réparées. En effet, la mairie a besoin d’être accompagnée et soutenue dans ses actions pour que ses efforts ne soient pas vains. Pour cela, les usagers devraient penser à éviter les surcharges et autres attitudes pouvant dégrader les voies.

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 5 octobre 2012 à 07:55, par Tapsoba En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    Simon ,maire d une commune, fait du vélo et l on fait du boucan autour.C est quoi ce complexe ?! Que diriez vous le jour où vous verrez Blaise ,président du Faso,à vélo ? Et pourtant Sankara ne s en privait pas et au mieux,contrairement à Simon, n avait pas besoin de gardes .

    • Le 5 octobre 2012 à 11:19 En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

      laisse tomber mon frère,ce sont les toguogninis et c’est là que tu comprends que l’africain manque de modestie parceque lui est allé se soigner à paris où son maire a un budget 3 fois supérieur à tout le budget du burkina mais il n’a pas de garde corps,il n’a pas besoin mais en afrique celui qui veut se donner de l’importance s’entoure de garde corps. c’est triste comme image

    • Le 5 octobre 2012 à 18:13, par davy En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

      pardon mon type pourquoi toujours être si aigri.Apprenez à lire entre les lignes svp.

  • Le 5 octobre 2012 à 08:08, par gougouny En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    Merci à SIMON avant son départ mérité.Seulement OUAGA commence à redevenir comme en 1979. la place naaba koom devient une poubelle, le tabeau lumineux à l’entrée de la mairie centrale est foutu...... avant ton départ.........

  • Le 5 octobre 2012 à 08:16 En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    voir le reporter sur les présidents capverdiens !

    • Le 5 octobre 2012 à 11:10 En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

      Aussi j’ai lu cet article sur le cap vert dans le journal Le Reporter et ça m’a donné envie d’aller vivre dans ce pays où le président sort de chez lui pour prendre un café en face et pas de garde corps,vit dans un immeuble avec d’autres locataires ou propriétaires etc...ça m’a vraiment ému.J’invite les gens à aller lire cet article dans le journal Le Reporter,il est en ligne.

  • Le 5 octobre 2012 à 08:55, par tapsoba 2 En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    Ca ressemble plus à de la mascarade et à la démagogie. En un mot ’ c’est du théatre avec un mauvais scénario. Regardez ces pauvres policiers à pieds. ca fait pitié.

    • Le 5 octobre 2012 à 15:52 En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

      C’est pas la faute au Maire, si les policiers ont voulu l’accompagner en footing. Eh Burkinabè, quand est ce que vous allez changer ? C’est bon, vous parlez, c’est pas bon vous parlez ? Que voulez vous ? Vraiment, si on doit tenir compte des commentaires du Burkinabè, on ne vivra pas dans ce pays là.

  • Le 5 octobre 2012 à 09:18, par Substance grise En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    C’est cette hypocrisie qui a fait du Burkina ce qu’il est socialement aujourd’hui. Si non que ces policiers qui l’escortent devaient aussi etre a velo au moins. On fait toujours semblant d’etre un homme bien au Faso alors qu’on est pire que tout.
    Sankara etait honnete avec lui meme et son peuple.
    Vous ne serez jamais estimes comme lui car le peuple a perdu confiance en vous depuis des decennies. Mais comme il est opprime et n’a pas le choix,il vous regarde jouer votre theatre.

    • Le 5 octobre 2012 à 11:41, par un contre exemple En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

      Titre : CAP VERT des présidents pas comme les autres.
      Lundi 12 juillet 2012, il est 10H 06mn, les participants aux journées annuelles de la Gouvernance en Afrique (JAGA) étaient confortablement installés dans l’enceinte de l’hémicycle capverdien, attendant sagement l’arrivée du Président Jorge Carlos de Almeida Fonseca qui devait présider la cérémonie. Soudain apparaît un homme (le chef du protocole) annonçant l’arrivée du Président. Celui fit son entrée dans la salle, accompagné seulement de son aide de camp. Pas de garde de corps, pas non plus de soldats ou de policiers ni dans les allées, ni hors de la salle. Bien des participants étaient surpris de voir un président de la République qui va à une cérémonie officielle sans cette armada de gardes du corps. Mieux, pas de fouille à l’entrée, pas de scanner, absolument rien comme dispositif sécuritaire qui devrait signaler l’arrivée du Président en ces lieux. Il faut dire que la plupart d’entre eux viennent des pays où les cérémonies présidée par le Chef de l’Etat donne lieu au déploiement de centaines d’agent de sécurité lourdement armés et à des contrôles intempestifs. Ils ont vite réalisé que ce président est resté un citoyen accessible par tous. A la fin de la cérémonie, Beaucoup en ont profité pour faire une photo avec Monsieur le Président qui accepta volontiers.

      Mais nous n’étions pas encore au bout de nos surprises. A la sortie de la cérémonie, nous avons voulu vérifier le dispositif de son cortège. Là encore, petite surprise : il y avait un seul motard en tête suivi d’un véhicule de la gendarmerie avec une sirène, suivi du véhicule présidentiel un autre véhicule (celui du protocole) et un autre motard derrière. Le cortège présidentiel ne comptait que trois véhicules y compris la voiture du président et deux motards.

      Le lendemain soir (le 10 juillet), un compatriote nous apprend que le président habitait dans un immeuble non loin de son hôtel. Il dit l’avoir aperçu le matin descendre de l’immeuble en question et traverser la voie aller prendre son café dans une cafeteria juste en face de sa résidence.
      Nous avons décidé de vérifier par nous-même. Effectivement le 11 juillet aux environs de 8H30mn, nous sommes rendu à ladite cafeteria. 42 mn plus tard, soit à 9h12mn, le voilà effectivement, ce président pas comme les autres descendre de son immeuble, saluer des jeunes qui étaient restés assis juste en face (et qui n’ont même pas daigner se lever), traverse la rue, seul et à pied pour aller à la cafeteria. Là, il s’est installé comme nous tous, commander son café, plaisanter en portugais avec un monsieur qui était son voisin. Il avala vite son café, retourne au pied de son immeuble où le chauffeur avait déjà positionné son véhicule, s’y engouffre et voilà le motard de tête qui lance le squelettique cortège, direction la présidence de la République. Waouh ! ça existe donc des présidents pareils en Afrique. Une autre surprise, il respecte les feux tricolore et ne roule pas à vive allure dans la ville.

      Pour un burkinabè qui a coutume de se voir refuser l’accès au bitume chaque fois que son président doit passer par là, ce qui se passe au Cap Vert sort de l’ordinaire. Pire, chaque fois que le Président Compaoré sort du palais de Kossyam c’est une armada d’armes lourde et des dizaines d’éléments du Régiment de sécurité présidentielle qui prenne d’assaut les rue, les lieux des cérémonies qu’ils présidé et tout le monde est mis au pas. C’est une situation qui éloigne le Président du Faso de ses concitoyens qui ne peuvent que constater parfois son cortège passer furtivement.

      Mais au Cap Vert, le cas de Jorge Carlos de Almeida Fonseca n’est pas si particulier. L’on raconte à Praia que son prédécesseur Pedros Pirès, est ressorti de la présidence après deux mandats, sans voiture ni maison. Heureusement, il a été Lauréat du Prix Mo Ibrahim pour la bonne gouvernance qui lui a permis de devenir millionnaire en dollars. Naturellement, il a pu alors s’offrir une maison et une voiture (une Rav4). Actuellement Président de la Fondation Amilcar Cabral, il continue son combat pour la bonne gouvernance est en contact permanent avec ses compatriotes qui lui vouent un profond respect. Lui aussi circule librement à Praia avec seulement son chauffeur et parfois, c’est lui même le conducteur.

      Source du Journal Le Reporter,article écrit par Boureima OUEDRAOGO

      Webmaster,laisse couler le post,il y a rien de méchant dedans au contraire c’est éducatif. Merci

    • Le 5 octobre 2012 à 19:37 En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

      Va rejoindre Sankara là où il est s’il te manque tant.

      • Le 6 octobre 2012 à 16:18, par vof En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

        C’est mechant de dire de rejoindre SANKARA evitez d’exterioser votre haine envers les morts. Que gagnez vous dans ça ?

  • Le 5 octobre 2012 à 09:19, par yaamsambaa En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    Si je pouvais discernez , Mr SIMON le prix qui peut récompenser l’ensemble des réalisations ,des actes de bonté remarquables, des activités de
    Bienfaisance inspirantes, de développement d’une conscience communautaire ou tout autre réalisation exemplaire.
    vous devez être honorer avant la fin/ mission

    • Le 5 octobre 2012 à 09:45 En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

      il faut qu’on s’arrête un moment pour repenser notre façon de nous déplacer. Pkoi ne pas promouvoir sérieusement l’usage du vélo comme moyen de déplacement pour les ouagavillois ! Franchement les embouteillages et la pollution que nous vivons st infernaux.

      • Le 5 octobre 2012 à 17:01, par Abass En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

        NOOONNNN !!!! Pourquoi on circulerait à vélo au moment où les autres sont à TGV ????? C’est l’exemple type de cette Afrique qui refuse le développement (selon l’écrivaine Axelle Kabou). Justement le problème chez nous africains c’est la réponse qu’on apporte à nos pertinentes questions. C’est vrai qu’on a des problèmes de routes, de coût de carburants, de non fabrication de moyen de locomotion à moteurs etc. mais est ce pour cela qu’on ne devrait pas chercher à aller vite dans nos déplacements et nos courses. J’ai remarqué que Schaque fois qu’il est question de redevenir nous mêmes (chose tout à fait vraie), on croit qu’il s’agit d’utiliser des moyens rudimentaires ou primaires comme l’homme du cromagnon. On diabolise tout de suite tout ce qui est fait par le Blanc comme si sans les Blancs, nous africains, n’allions pas chercher à améliorer nos situations. Je crois qu’il faut chercher à maitriser les paramètres qui font que la moto ou la voiture est chère pour nous et aussi élargir nos routes.
        Une chose m’offusque particulièrement dans la mentalité rétrograde des burkinabè. Le fait de vouloir garder en l’état des quartiers historiques comme à Dioulassoba (bobo). il y a d’autres cas dans d’autres villes du pays. la nécessité historique est réelle mais les matériaux dans lesquelles sont faites ces maisons (banco et bois sauvages) font que ce ne sont pas des maisons qui peuvent tenir au bout d’un certain temps. Pas d’assainissement, pas de conforts et des quartiers pitoyables en cas de pluies. Tous les fils de ces quartiers qui ont les moyens fuient ces quartiers historiques pour construire dans les quartiers meilleurs. Ailleurs (Asie par exemple) les gens on repris leur modèles architecturales ancestrales dans dans matériaux définitifs et modernes. le bambou qu’on retrouve dans les maisons historiques est imité dans du ciment moulé dans la forme du bambou et ainsi de suite.
        le fait de vouloir rester africain ne signifie pas tourner le dos à l’évolution. Nos ancêtres auraient bien voulu connaitre la voiture ou l’avion à leur temps. Soyons africains mais des cons.

  • Le 5 octobre 2012 à 10:51, par scandinave En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    pourkoi etes vous si aigris comme ca mes freres burkinabé...lisez bien l´article.il l´a improvisé.....ces policiers sont la pour sa securité.je ne suis pas un fan de Simon mais la je trouve que vous exagerez.......merde

    • Le 5 octobre 2012 à 12:38, par Substance grise En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

      Alors pourquoi il improvise et les fait courir sur une longue distance ? N’est pas un retour aux annees 50 comme du temps des empires avec des chefs coutumieux qui dictent tout et ont droit de donner la mort a qui on veut et quand on veut. Mon type c’est ca qui doit changer dans la gouvernance. Que ces dirigeants ne se prennent pas pour des dieux. Tout le monde est naaba au Burkina. Ou allons nous avec ca ? Remettez les pieds sur terre si non que un jour le peuple finit par se revolter." Seule la lutte libere" d’apres Thomas Sankara. Si le peuple burkinabe ne veut pas lutter, tant pis pour lui

    • Le 5 octobre 2012 à 14:42 En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

      Si tu vis vraiment dans un pays scandinave comme la norvège ou le danemark,tu sais très bien que même les ministres n’ont pas droit à un seul garde de corps. d’ailleurs ils n’ont même pas de voiture et de maison de fonction. souvent tu croises certains ministres dans les bus comme tout citoyen lambda et parlons pas des maires. meme en france que je connais,tu ne verras jamais un maire avec des garde corps puisque de tous les élus français,le maire est le plus aimé. c’est quand on n’est pas aimé ou quand on se reproche quelque chose qu’on s’entoure de gorilles pour impressionner ou pour faire le malin. voilà la vérité

  • Le 5 octobre 2012 à 10:58, par Salvador En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    J’aurai prefere un article qui critique ces dons honteux a ceux qui doivent assurer notre securité, au’a un article aui parle d’un maire aui cherche a se faire remarqué comme tout bon politicien. Donné des velo a des policiés qu’ils en fasse quoi ?? Le monde evolue

  • Le 5 octobre 2012 à 12:38, par toutouroutou En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    L’ancien premier ministre danois allait a son bureau a velo et svp sans garde de corps.Qui dit mieux ?

    • Le 5 octobre 2012 à 19:43 En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

      Les Danois ne brûlent pas les voies bitumées comme vous. Prenez de la graine avent de critiquer

      • Le 6 octobre 2012 à 10:12 En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

        Les dirigeants danois ne volent pas non plus son peuple puisque le Danemark est classé 2ème après la Nouvelle Zélande pour être le pays le moins corrompu du monde alors que chez nous,meme le simple douanier a des milliards planqués chez lui.Si la population manifeste,c’est avec raison,on n’est pas des moutons non plus.Ok ?

  • Le 5 octobre 2012 à 12:59, par LA verité En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    N importe quoi moi je ne roule pas a volé par plaisir mais simon le fait par plaisir.arêtez votre comedie.sidwaya si vous n avez rien a ecrire t aissez vous.

  • Le 5 octobre 2012 à 14:26, par indjaba En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    Rien n’a été prévu pourtant dans la ville pour permettre aux citadins qui le souhaitent d’aller à vélo ou à pieds. La vision de développement de nos villes au Faso n’est pas du tout écocitoyenne. Ex : Un citoyen qui décide de marcher du CMA du 30 au rond point de la pated’oie ou bien de la clinique Sandof à l’avenue Charles De Gaule ou encore le feu du château d’eau du Moro Nahba à la porte de la cathédrale, ne peut pas le faire en toute sérénité car les voie ne sont prévues que pour engins motorisés à deux ou quatre roue. Le reste de la chaussée étant bien sure occupée par les étalages des commerçants.

  • Le 5 octobre 2012 à 15:11, par scandinave En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    je suis d´accord avec toi....au danmark comme en norvege le 1er ministre va au super marché a velo sans probleme.....je ne parle pas de cela.mais les critiqúes insensés du faite qu´il ait essayer un velo....

    • Le 5 octobre 2012 à 18:52 En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

      Non non non non même sans cette histoire d’essai de vélo,Simon Compaoré se promène avec des garde corps puisque quand il avait fait son accident sur l’échangeur,l’autre blessé était un garde de corps.Quand on se croit populaire,bien aimé pourquoi avoir de garde de corps ?Il a peur de quoi ?De la même façon que nos ministres et autres personnalités.Que tout ce monde qui croit qu’il suffit d’être entouré de musclés avec des lunettes de soleil pour mériter considération,doivent aller faire un stage dans les pays scandinaves puisque tu dis que même le premier ministre fait ses courses au supermarché à vélo en homme libre alors que chez nous LAT a plus de 10 gardes de corps.Tout ça c’est pour la frime Tchuurrrrrr

  • Le 5 octobre 2012 à 16:28, par Alexio En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    Pourqoui pas intaurer une journee dela bicyclette pour epargner notre environement ?

  • Le 8 octobre 2012 à 07:50, par GRACE DIVINE En réponse à : Le Pouls de la cité : Image de la cité

    Félicitations à Monsieur le maire Simon Compaoré. Cet homme est un homme d’action qui aime joindre l’acte à la parole. Il vient d’entrer de France où il a reçu des soins intensifs. Beaucoup à sa place, seraient toujours en convalescence. Mais lui, sitôt rentré, hop ; au boulot. Croyez-moi, il ne l’a pas fait pour un "coup médiatique", mais pour décomplexer les policiers municipaux à qui ces vélos sont destinés :" le maire même roule à vélo" diront-ils.

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