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Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

Publié le mercredi 11 juillet 2012 à 22h30min

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Nous pensions que cette affaire était arrivée à son terme et que nous ne reviendrions plus là-dessus. Nous le croyions vraiment parce que nous étions convaincus que ceux qui l’ont portée au public allaient corriger leurs erreurs avec diligence. Nous nous trompions. Pour notre part, nous pensions avoir apporté aux lecteurs suffisamment d’éléments. A eux de se faire leur idée et d’apprécier.

Dans l’affaire Ismaël Sankara, le prétendu fils du Président Sankara, nous sommes très surpris de l’insistance ou de la persistance de certains de nos confrères. Nous sommes de ceux qui pensent que le journaliste de J.A n’a pas inventé toute cette histoire. Ismaël, lui, a certainement raconté plein de choses. Seulement, il se trouve que manifestement, le confrère en question ne semble pas avoir de support audio de l’entretien avec Ismaël qui permettrait de savoir si ces propos ont été tronqués ou pas. Reste que cet aspect est secondaire. Un journaliste peut-il et doit-il, sur la base de simples affirmations, faire son papier ? Le plus important, et cela vaut pour ceux qui se sont plu à reproduire et à commenter l’article de J.A, c’est la véracité des faits. L’information a-t-elle été vérifiée, recoupée ? Aucun doute méthodique ne s’est imposé à eux ?

Bref, les faits sont têtus. Ismaël a longuement expliqué qu’il n’est pas le fils de Thomas Sankara. Qu’il porte le nom Saba. Cela déplaît peut-être à ceux qui se plaisent à répéter qu’on n’a pas fini d’entendre parler de cette histoire. On publierait même l’acte de naissance qu’ils trouveraient à redire !

Et pourtant, si ce n’est pas une autre histoire, celle-là est belle et bien finie. Les investigations que nous avons menées nous permettent de dire qu’Ismaël Sankara est bel et bien à l’état civil Ismaël Saba. Il est né en 1989 à Lomé, soit deux ans après la mort de Thomas Sankara.

Nous ne rentrerons pas dans sa vie privée ni dans son intimité familiale. Ses parents vivent et il est issu d’une famille de cinq enfants.

Par Pabèba


Origine du prétendu fils de Sankara : Témoignage d’un cousin de son père

Le jeudi 06 juillet 2012 aux environs de 10 heures, nous avons reçu à notre rédaction, monsieur T. N. E. Ce dernier a demandé à garder l’anonymat pour le moment. T. N. E. se dit être parenté, sinon très proche et même lié à la famille du prétendu fils de Thomas Sankara. Nous vous proposons la synthèse de l’entrevue que nous avons eue avec lui.

Dans les écrits, on a dit que son Papa (NDR : le papa de Ismaël Junior) a disparu et Savane FM dans leur traduction dit que son papa est mort. Cela m’a choqué. Son papa vit. Je venais vous remercier et demander à Jeune Afrique qu’il mette balle à terre. Ismaël a dit qu’il a pris ce nom Sankara comme nom d’artiste. Sankara est un héro, son nom est tombé trop tôt dans le domaine public et les partis politiques s’en sont saisis, les associations également. Il peut évoluer sous ce nom mais qu’on le laisse en paix.

Sinon, son papa c’est Saba Sougrounoma Ismaël. C’est mon cousin maternel, nos mamans sont des sœurs donc de la même famille. En mooré on dit que nous accrochons notre carquois dans la même case. Nous sommes restés ensemble au Gabon et moi je tenais la craie. Il a fait l’école primaire à Bagré. Il est donc du département de Bagré dans le Passoré. Après la 3ème, il a tenté l’aventure en Côte d’Ivoire. Il est revenu et est passé par le Cameroun pour aller au Gabon. Comme il a fait le transit, il était à la tête d’une grande société de transit. On était ensemble au Gabon.

Moi j’enseignais et je n’étais pas à Libreville. Quand les vacances arrivaient, je venais et on était ensemble à Libreville. Quand je venais au Burkina pour les vacances, il me remettait les commissions pour sa famille. Quand je quittais le Gabon en fin de contrat, il venait de faire la connaissance de sa femme Joséphine. Elle est équato-guinéenne. Ils se sont connus dans les années 1980-81 et leur premier fils Hassan est né dans les années 1982 quand j’avais déjà quitté le Gabon, mais on échangeait. Il avait beaucoup d’affaires là-bas, également à Pointe noire et à Lomé. Il est revenu s’installer à Lomé.

Après cela, il me disait qu’il partait s’installer en Europe avec sa famille. Hassane est né à Libreville, Issa son deuxième, sa fille Fatou Valérie, Ismaël Junior ainsi que Wendpenga Ahmed sont tous nés à Lomé. Après, il a décidé de transporter sa famille à Miami aux Etats-Unis. Entre-temps, il a laissé sa famille pour revenir à Lomé et s’occuper de ses affaires. Son deuxième fils Issa l’avait rejoint entre temps à Lomé pour l’enregistrement et la production de son album parce qu’il fait de la musique. Son jeune frère aussi fait de la musique. Le papa avait dit à son jeune frère de patienter que son frère se lance d’abord. L’enfant est venu avec son papa au Burkina en 2008 pour des problèmes le concernant notamment des problèmes d’immeuble avec la justice. C’est en février 2011 qu’on a finalement donné raison à Ismaël.

Ismaël Sougrouma Saba est présentement à Lomé. Il a 5 enfants dont Hassane qui est l’aîné, Issa le deuxième, Fatou Valérie la troisième, Wendpenga Ahmed le quatrième et Ismaël Junior le cinquième. Si Ismaël Junior en voulant faire la musique a pris le nom Sankara comme son nom d’artiste, bon… s’il y avait une autorisation à demander, c’est nous mêmes qui allons demander cette autorisation, si on avait été informé. Je suis venu vous remercier d’avoir essayé de défendre le petit Ismaël et rétablir la vérité. Ce n’est pas un enfant à Thomas Sankara, c’est un enfant d’Ismaël Sougrounoma Saba, qui est en vie et est en train de s’occuper de ses affaires à Lomé. Le grand frère Hassan est à Malabo en Guinée Equatoriale, la grande sœur Fatou Valérie est en Espagne, Issa est à Lomé avec son papa, lui aussi il fait de la musique.

Synthèse de A.A.

Par Bendré

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Vos commentaires

  • Le 11 juillet 2012 à 18:47, par France 2 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Affaire classée. Bravo Ismael sankara, tu mérites de porter ce nom d’artiste à l’hommage de ton idole thom sank ; lui qui s’est battu pour la veuve et l’orphelin, lui qui a restauré la dignité à ceux que la nature et la naissance semblaient condamner à jamais ; lui qui, comme le christ a donné en sacrifice sa vie pour le bonheur de son peuple. Vas-y, Ismael sankara et que les mânes du faso, tel ton idole guident tes pas vers le sommet des sommets tant que tu seras digne de ce nom à jamais inscrit sur l’histoire glorieuse de notre valeur peuple.

  • Le 11 juillet 2012 à 18:52, par Le LYNX En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Pour ma part, je m’en fout des "fils de..." Donc vous pouvez vraiment arrêter la série...

  • Le 11 juillet 2012 à 18:55, par sap En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Voilà qui est claire maintenant. A jeune afrique de présenter ces excuses.

  • Le 11 juillet 2012 à 19:24 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Lui le jeune homme qui a menti a la presse en se pretendant enfant de quelqu’un qui n’est pas vivant (on ne ment pas sur les morts en Afrique : meme les Blaise Compaore ont essaye et ca n’a pas marche)doit vite chercher les voies et moyens de demander pardon au defunt, a sa famille et aussi a son propre geniteur qui a ce que je sache ne l’avait pas renie. Cet enfant a interet a faire vite.

    • Le 11 juillet 2012 à 19:55 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

      JE PENSE QU’IL IMPORTE DE SUIVRE TOUT LE DEVELEPPEMENT DE LA QUESTION AVANT D’AVANCER CERTAINS PROPOS. LE JEUNE N’A PAS EU LE TEMPS DE CONNAITRE SON PERE. ET SELON L’EXPLICATION CI-DESSUS DONNEE, ON COMPREND AISEMENT SA POSITION.

    • Le 11 juillet 2012 à 20:20 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

      Donc tout les articles où on montre les courriers que ismael a adressé à la famille de sankara tu ne les as pas lu ? Google est ton ami, cherche avant de parler de manière abusive.

      • Le 11 juillet 2012 à 22:28 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

        Tu crois que Jeune Afrique aurait invente toutes ces affirmations ? Non le jeune homme a risque mais neanmoins il s’est fait connaitre par cette drole d’histoire. Ce jeune homme connait bien son pere.

        • Le 12 juillet 2012 à 03:57, par Burkinabè en Asie En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

          Par un Burkinabè en Asie

          1/ Thomas a été douloureusement tué ; Compatriotes, laissons le maintenant se reposer ! Compatriotes, Offrons lui la paix maintenant ! (comme on dit au Faso). Disons lui maintenant : ’repose en paix’

          2/ Mes frères, Le nom "Sankara" est un label qui se vend très bien à l’étranger. Ce que vous ne comprenez pas c’est qu’à l’étranger les gens ne savent même pas où est situé géographiquement le Faso. Il faut évoquer le nom "Sankara" pour que les gens tentent de deviner notre origine !
          Si LeFaso.net le veut, il peut le vérifier car depuis Avril passé, j’avais déjà réagi à un article par rapport au Burkinabè à l’étranger (sous le nom de ’Burkinabè en Asie’). Ce n’est donc pas étonnant qu’un Burkinabè à l’étranger veuille se couvrir de ce nom Sankara, surtout un Burkinabé en quête de fans, de sympathisants, de célébrité de notoriété ou encore de dignité... Cependant Ismael devrait être très prudent dans ses déclarations.

          3/ D’autre part, J.A devrait faire preuve de professionnalisme. Il y a des moyens pour se rattraper. Sûrement, le Malgache feu Sennen Andriamirado, qui fut le journalisme de J.A le plus proche de Thomas Sankara (auteur de : "il s’appelait Sankara") se serait remué plusieurs fois dans sa tombe.

          Par un Burkinabè en Asie

          • Le 12 juillet 2012 à 20:00, par Le PRIMAIRIEN En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

            Voilà qui est bien dit. Dites à Me Bénéwendé aussi de laisser SANKARA se reposer en paix. Car, c’est lui qui le vent partout dans le monde à vile prix . Il s’est appuyé sur le cadavre de SANKARA pour devenir célèbre. Non contant de ça il s’attaque au Président Blaise COMPAORE qui a été la cause que SANKARA devienne grand en le libérant le 17 mai et en le portant au pouvoir le 4 Aout 1983. En ce moment Me Bénéwendé était commis pointeur dans les champs de cacao en cote d’Ivoire. Même si Blaise ne lui dit rien, qu’il sache que Dieu te voit.

        • Le 12 juillet 2012 à 08:02, par Nelson En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

          S’il vous plait arrete tout ca. chaque commentaire vient avec son lot de confusions. Ismael a fait un documentaire au Gabon ou il raconte que son pere a disparu, vous vous dite que son vit. Ismael n’est-il pas au courant de l’existence de son pere. un acte de naissance peut etre falsifie. et puis vous meme ete vous sur que tout vos enfants sont de vous ? Le petit a dit qu’il n’es pas le fils de Sankara on respect ca mais arrete vos commentaires.

        • Le 12 juillet 2012 à 08:07 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

          Moi aussi je suis la fille de Thomas SANKARA, parce que je m’identifi a lui, sans l’avoir vraiment connu, je l’ai admiré, aimé, soutenu ses ideaux. Le Faso ne serai pas ce qu’il est aujourd’hui s’il n’avait pas été assassiné.
          Ce dire enfant de quelqu’un ne veut pas forcement dire que c’est lui qui vous a engendré. On sait ça en Afrique quand meme. Bravo, Ismael SANKARA, portes haut le nom de notre idole.

        • Le 12 juillet 2012 à 08:40, par Le PRIMAIRIEN En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

          Dieu seul sait. Ne soyons pas préssés.

        • Le 12 juillet 2012 à 10:50, par issaka En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

          enfin le soleil est au zenith sur l’affaire ismael sankara. les detourneurs d’attention n’ont qu’a trouver d’autres terrains de jeux.

        • Le 12 juillet 2012 à 13:31, par JAH LOVE En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

          Même Jesus christ est accusé avec des preuves, bien sur montées de toute pièce, d’avoir une fille donc ça ne m’etonne que le monde abrite encore de tels incredules qui ne compprendrons jamais qu’il y ait des Hommes dignes et intègre.

  • Le 11 juillet 2012 à 23:24, par kom En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Chapeau aux journalistes de Faso Net pour la recherche des vérités surtout les articles sur Tom voila que nous découvrons des courageux comme Valère Somé qui vide sans haine son sac et qui a toujours refusé de couler la vie en douce derrières un assassinat : pas comme ce haut commissaire que Tom aimait et nommé a PO, et qui était lâche le jour de son assassinat, pourtant pouvait aller a Ouaga et stopper le massacre. Ou cet infirmier aujourd’hui après un petit séjour en France se dit Docteur et qui en sait trop, car a l’infirmerie de la présidence il en a soigner des blessures des torturés du conseil de l’Entente, et ramasser des cadavres y compris celui de Tom . Nous étions des petits soldats a PO, et on connaissait Tom, il n’aura jamais fait cela a sa femme et les deux petits. Ils étaient des fervents croyant catholique, la place de ce soit disant fils caché était dans la cour du vieux Sankara si c’était le cas. Messieurs les journalistes, C’est très courageux ce que vous faites, mais au sujet de Tom, si vraiment vous voulez un sujet de feu et vérité, fouillez dans la vie des habitants de Ouaga 2000, les honorables ambassadeurs de nos jours a l’étranger, leur qualification et leur rang : 80 % de ces ambassadeurs sont dans le classement de ferme ta bouche ou tu es mal barré pour l’assassinat de Tom. Si vous avez le courage de le faire comme ce petit soldat Bona en exil qui s’est permis de montrer sa colère pour un sujet qui n’est même pas a traiter, par ce que 70 % des Burkinabé ont des enfants de gauche a droite , alors vous permettrez l’âme de Tom de dormir en paix là il se trouve. Bravo a l’équipe de FASO NET la vérité verra jour, car les mensonges donne des fleurs mais pas de fruits. / kom

  • Le 11 juillet 2012 à 23:39, par kom En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Chapeau aux journalistes de Faso Net pour la recherche des vérités surtout les articles sur Tom voila que nous découvrons des courageux comme Valère Somé qui vide sans haine son sac et qui a toujours refusé de couler la vie en douce derrières un assassinat : pas comme ce haut commissaire que Tom aimait et nommé a PO, et qui était lâche le jour de son assassinat, pourtant pouvait aller a Ouaga et stopper le massacre. Ou cet infirmier aujourd’hui après un petit séjour en France se dit Docteur et qui en sait trop, car a l’infirmerie de la présidence il en a soigner des blessures des torturés du conseil de l’Entente, et ramasser des cadavres y compris celui de Tom . Nous étions des petits soldats a PO, et on connaissait Tom, il n’aura jamais fait cela a sa femme et les deux petits. Ils étaient des fervents croyant catholique, la place de ce soit disant fils caché était dans la cour du vieux Sankara si c’était le cas. Messieurs les journalistes, C’est très courageux ce que vous faites, mais au sujet de Tom, si vraiment vous voulez un sujet de feu et vérité, fouillez dans la vie des habitants de Ouaga 2000, les honorables ambassadeurs de nos jours a l’étranger, leur qualification et leur rang : 80 % de ces ambassadeurs sont dans le classement de ferme ta bouche ou tu es mal barré. Si vous avez le courage de le faire comme ce petit soldat Bona en exil qui s’est permis de montrer sa colère pour un sujet qui n’est même pas a traiter, par ce que 70 % des Burkinabé ont des enfants de gauche a droite , alors vous permettrez l’âme de Tom de dormir en paix là il se trouve. Bravo a l’équipe de FASO NET la vérité verra jour, car les mensonges donne des fleurs mais pas de fruits. / kom

  • Le 12 juillet 2012 à 04:40, par la statoise de new york En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    nimporte qoi, c un coup monter pourtan le tre chere cousin du pere disamael nelaisse aucun de ses contact c un coup monter. cette isdtoire est tjrs louche pour nous. wait and see

  • Le 12 juillet 2012 à 04:58, par fffffffffffffffff En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    C est quel journalist qui fait un interview sans son support audio ?des faut journalist qui ne foute que du bordel.

  • Le 12 juillet 2012 à 07:17, par Le petit sage En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Ca y est. Le jeune Ismaël est connu maintenant. Après on voudrait savoir ce qu’il dit dans ses chanssons et ça il faut payer son CD.

  • Le 12 juillet 2012 à 07:46 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Ce jeune homme n’est même pas digne de porter le nom d’artistide SANKARA.
    S’il était un digne fils au sens "large", il aurait demander justice pour lui comme les autres rappeurs et reggaemen ; une façon ou une autre de soutenir cette famille dans sa douleur et ce deuil qu’elle n’a jamais pu faire.
    Les enfants biologiques portent une lourde histoire assez douleureuse, Ismael et ce journaliste n’avaient pas le droit d’en rajouter.
    Puisse Dieu permettre à Philippe et Auguste de pouvoir supporter ce poids de l’histoire
    Merci au journaliste

  • Le 12 juillet 2012 à 08:20, par mackiavel En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Si Thom Sank a un fils caché, votre meilleure source de renseignement ne peut être que son ami Blaiso. Ils ont fait les 400 coups ensemble...

  • Le 12 juillet 2012 à 08:40, par Thomas En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Merci à Bendré pour cet effort dans la recherche de la vérité. Haro sur les scribouillards qui cherchent un poux sur un crane rasé. Sankara restera un mythe que les accusations de détention de caisse noire, d’adultère ou autres infamies ne pourront pas deboulonner.

  • Le 12 juillet 2012 à 08:56, par bendatoega En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Bien fait pour les journalistes qui n’ont aucun sens de la recherche de l’information dans sa source, que de plagier les information.

  • Le 12 juillet 2012 à 09:11, par beninwendé En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    cè triste !si les journalistes pouvaient au moins verifier juste un peu leur écrit avant de les publuer, je pense que cela nous eviterais les avantures inutiles dans les colonnes des journaux ainsi que dans nos tètes !

  • Le 12 juillet 2012 à 09:14, par Filsdupaysan En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Félicitations à toute l’équipe BENDRE pour ce travail bien clair qui rétablit la vérité.
    Il est clair et certain que d’autres auront quelque chose à dire de mal,mais je crois que le sujet est clos.
    C’est vous qu’on appelle journalistes, aller chercher la bonne information pour son lectorat, son public, son peuple.
    Bon vent à BENDRE et à toute son équipe, bon vent à FASONET et bon vent et courage à Isamël SANKARA/SABA.

  • Le 12 juillet 2012 à 09:32, par yampassekre En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Merci vraiment à Bendré ; c’est ce qu’on appelle avoir le sens du devoir quand on est journaliste : toujours vérifier l’information avant de la porter au grand public. Mais visiblement on dirait que certains attendaient une occasion pour pouvoir dénigrer quelqu’un qu’ils ne portent pas dans leur coeur. Attendez une autre occasion, celle ci est un flop retentissant.

  • Le 12 juillet 2012 à 09:33 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Depuis le depart vous auriez du nous ressortir la filiation et la date de naissance d’Ismael et c’etait fini. Ne me dites pas que vous n’y avez pas pense ?! Ou bien c’est pour maintenir le suspens et faire vendre le journal ! Tout cela est bien minable ! Utiliser SANKARA pour vous faires des sous ! Quel honte !

  • Le 12 juillet 2012 à 09:59 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Publiez son acte de naissance on va tous avoir la paix !

  • Le 12 juillet 2012 à 10:03, par Ki Paré de Zerbo En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Prétentieux et vaniteux que vous êtes en déclarant suite et fin et en vous octroyant la vérité.
    Dieu seul et pour le cas d’espèce la mère d’Ismaël savent qui il est vraiment.
    Pourquoi cette guéguerre à l’Obs pour avoir simplement relayé l’info ?
    Je persiste à dire comme les Romains "souvins toi que tu n’es qu’un immortel".

    • Le 12 juillet 2012 à 12:39 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

      Personnellement, je crois pas que quelqu’un vueille faire une quelconque guerre à l’Obs. Je pense que cette histoire de Ismael est un exemple pour l’ensemble de la presse de ce pays, le Burkina Faso. Il faut toujours vérifier les informations publiées et surtout quand on veut s’adonner à des commentaires insultants. Pour celui qui demande la publication de l’acte de naissance du jeune homme, il faudrait payer Bendré de cette semaine. J’ai pu m’en procurer et ce que j’ai lu est assez étonnant. Je réépète que c’est une leçon pour l’ensemble des journalistes !

  • Le 12 juillet 2012 à 10:26, par falkao En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    slt vraiment je ne comprent plus rien dans affaire depuis la publicatoin de J.A je suis l’affaire bout en bout mais si je me rapelle bien ISMAEL SABA dans intervieu dans un journal de la place avait qu’il a perdu son papa et se vien avec des detailes IL FAUDRA QUE ISMAEL nous dise le pourquoi ? SAIT DE LA PUB qu’il veu se faire ou quoi ? si sait sa il a parvenu mais pas de la bonne manier car THOM SANK nai de genre a mentir pour...

  • Le 12 juillet 2012 à 10:43, par Haligoga En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    ouf ! enfin c’est fini et c’est claire .

  • Le 12 juillet 2012 à 11:27, par regis En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Vous( bendre, l’obs)avez reussi à vendre un peu donc s’il vous plait arreter maintenant

  • Le 12 juillet 2012 à 12:14, par KGB En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Félicitations au journal Bendré qui s’est investi dans la recherche de la vraie vérité dans cette affaire. mon sentiment c’est que c’est Ismaël Sankara qui est le véritable faux type dans cette affaire. Il est peut être vrai que le journaliste de JA n’a pas pris suffisamment de précaution en relatant les propos du jeune artiste mais si vous avez suivi attentivement cette affaire vous vous rendez compte qu’Ismaël a été très équivoque dans ses déclarations faites à JA. En réalité c’est lui qui s’est prétendu être l’enfant de Sankara afin d’en tiré je ne sais quel profit. Il a dit au journaliste de JA qu’il n’a pas connu son père alors que l’investigation de Bendré démontre que c’est faux. Comment peut-on dire qu’on a pas connu son père alors que son père et sa mère vivent toujours et qu’il a des frères et une soeur qui vivent aussi et qui ne sont pas coupés de leurs parents. Cet petit là est malhonnête.

    • Le 12 juillet 2012 à 13:34 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

      Mon ami, les dioulas te repondront "A Le Lo TIO" C’est à dire : CE QU’IL FALLAIT DIRE".
      Ce petit à multiplié les fausses déclarations avant de se dedire :
      1 - Qu’il a fait un featuring avec Patience DABANI
      2 - Qu’il est le fils de SANKARA
      3 - Que son père a disparu
      Soit donc qu’Ismaël ne sait pas ce qu’il veut, soit que la vérité n’est pas encore dite.
      Un digne de porter le nom de SANKARA n’a pas deux paroles.
      Il est peut-être digne de s’appeler GBAGBO.
      Pour ma part je pense qu’il est trop tôt et très facile de lui dire qu’il peut porter ce nom.
      SANKARA DISAIT : A BAS LES CAMELIONS ÉQUILIBRISTES

  • Le 12 juillet 2012 à 12:50, par M. X En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    ...Et même s’il était le vrai fils de Thom Sank ? n’a t-il pas eu droit à une vie privée ?

  • Le 12 juillet 2012 à 12:57, par Rastapop En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Merci à Bendré pour avoir fait cet effort de traduire CA en français facile pour ceux qui ne peuvent pas lire entre les lignes. Sinon pour ceux qui peuvent lire entre les lignes, cette affaire n’est pas tombée par hasard et dire que le Jeune Afrique a manqué de professionnalisme journalistique est naïf car c’est sciemment : Voilà que l’opinion nationale s’est accrochée à ça, oubliant que l’affaire Thomas Sankara devant les juridictions nationales peut connaitre une avancée à l’heure actuelle parce que celui qui tient la clé est actuellement chatouillé et peut la laisser tomber !
    Chers tous, faisons attention aux os jetés aux chiens pour corrompre la vigilance !

    • Le 12 juillet 2012 à 19:15, par Sid pa kud yé En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

      Votre subjectivisme va vous perdre.

    • Le 12 juillet 2012 à 21:41 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

      Merci d’avoir eu cette perspicacite ! j’ai pensé comme toi. Malheureusement mon intervention n’a pas ete publiée.
      Il faut se poser certaines questions :
      quant au moment et meme au lieu ou est née cette affaire
      de meme, cette affaire ouvre les yeux du citoyen sur la facon dont travaillent les journalistes : ici nous avons eu 2 types de journalismes (bendre et Mutations d’une part e Jeue afrique et L’Observateur de l’autre. Ces derniers se placent derriere la soi disant liberte de la presse pour detruire son propre peuple, les premiers faisant une recherche et une analyse des informations
      mais aussi il faut se poser la question : qui est derriere tout ca et pourquoi ?
      et aussi savoir que les peuples burkinabe et africain ont acquis une certaine maturité
      et aussi que malgré toute la destruction le peuple sait reconnaitre les vrais dirigeants qui aiment son peuple et son pays
      c’est cette difference qui fait que meme mort sankara fait peur
      SOME

  • Le 12 juillet 2012 à 13:51, par bona En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    BENDRE, OBSERVATEUR, FASO NET, Bravo a leurs journalistes courageux et leurs articles : la verité passent par là pour aboutir a un dialogue nationale, car le dialogue, a dit le vieux Houphouët est l’arme des forts et non des faible, je félicite kom, car ce haut commissaire autrefois confident de notre cher Tom coule la vie en douce a Genève, et l’infirmier de l’infirmerie de la présidence, a sa villa a Ouaga 2000. Tom aura présenter cet enfant a sa femme si c’était le cas, car leur fidélité était infaillible, et le peuple Burkinabé l’aurait reconnu comme tel. Faux fils , séquestration, les tortures dans les villas du conseil de l’Entente avec les groupes de p50 qui ont fait bavés les braves gens comme Somé et autres, ils seront un jour devant la justice, grâce a la nouvelle génération de journaliste du rang de Norbert Zongo. Tous les exilés disent Bravo a Valère Somé et son fidele et fidele ami Toé. A paris on croisait valére presque tous les heures dans les métro et train, repose toi maintenant avec ta famille car tu le mérite. Quand au soit disant faut fils, qu’il se présente a la veuve de Tom et de ses enfants pour un pardon. Le débat sur Tom sera interminable tant que nous seront vivant. Encore Bravo aux journalistes qui osent. Bona

  • Le 12 juillet 2012 à 14:00, par banceabdoulaye@live.fr En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    MERCI à tte l ,équitte de bendre et de faso.net .QUE DIEU vous BENISSE mille fois chaque seconde.Notre grand SANKARA n,a pas volé, n a trahit n a mentit.IL a été digne envers son peuple.Nous sommes impartient pour lui rendre hommage national.Mais les habitants de village de koyssam nous bloquent.Ils se donnent le titre d amnistie et, toujours peur de l,homme mort.je demande à ISMAEL de faire un concert à ouagou pour rendre hommage à THOMAS LE GRAND.la patrie ou la mort nous vaincrons.merci camarades.

  • Le 12 juillet 2012 à 18:05, par Yayuslajoie En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    je suis aussi un des fils de sankara et personne ne pouura m’ôter ce LABEL si cher. Vive tom sank et bravo à Ismael

  • Le 12 juillet 2012 à 18:20, par effet boomerang En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Merci à BENDRE pour ses efforts inlassables et patriotiques de rétablir la vérité scientifique. Il fait preuve de professionnalisme et de sérieux dans son travail journalistique. Le nom Sankara est devenu patrimoine de l’humanité et ceux qui veulent salir sa mémoire sont entrain de le sacraliser davantage sans se rendre compte. J’étais étudiant en Europe et certains africains se prétendaient cousins de Sankara pour échapper au contrôle et ça marchait souvent. Pour ceux qui sont honnêtes je dirais avec BENDRE si ce n’est pas une autre histoire, celle-là est belle et bien finie. Nous savons tous au BF les dirigeants qui ont des enfants cachés, j’invite la presse à faire du travail professionnel et d’investigation et d’éviter de vouloir salir la mémoire d’un illustre président patriote et panafricaniste. J’invite le grand frère Edouard de l’observateur de faire preuve de hauteur d’esprit, de ne pas s’enfoncer dans la boue car l’esprit de vengeance aveugle et l’on va de douleur en désillusion. La jeunesse veut retenir de Mr Edouard son côté paternel humain et chrétien pas son côté vindicatif et revanchard doublé d’un anti communisme primaire ; l’observateur doit présenter ces excuses à ces fideles et honnêtes citoyens choqués et désabusés.
    N.B Je suis surpris de la double censure dont je fais preuve de la part de Faso net ; de toute façon si le Faso net refuse de publier mon post pour complaisance il sera de toute façon publier ailleurs ; je pense avoir bien pesé mes mots. Webmaster publie le post

  • Le 12 juillet 2012 à 21:07, par na En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Bravo les journalistes de haut rang, en remuant l’ancienne plaie béante, qui est l’assassinat de notre cher Tom Sankara, on sent que notre médiateur internationale a oublié son peuple et s’occupe des autres . Voyant un simple article d’un faux fils de Tom, tous les Internautes se tournent plus vers que des articles sur la médiation du Mali : le grand ballet de nos gouvernants dans les Hôtels de luxe a Ouaga, Paris ,Abidjan, Exct, qui va aboutir a la victoire des islamistes qui vont colonisés toute l’Afrique de L’ouest avec leur Charia, il est temps que le médiateur loue un bureau a Bamako, les Burkinabé peuvent se passé de lui pour protéger notre territoire a l’avancement des islamistes.
    Le sondage est déjà claire pour les intérêts du peuple Burkinabé, ’’un article de faux fils de Sankara a plus de 50 réactions contre 2 réactions d’un faux sourire de blaise et Alpha.’’ Tirons un grand chapeau aux journalistes de Faso net, Bendré, et l’ Observateur. C’est très dommage que l’Histoire du faux fils de Tom prenne fin, les ordis allaient s’explosés dans le monde entier. Encore une fois Bravo a ses journalistes qui méritent tout le respect du peuple Burkinabé car Tom veille sur eux là ou il se trouve. Na

  • Le 12 juillet 2012 à 23:31 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin mercredi 11 juillet 2012
    2H48
    En voilà qui clôt « l’affaire » ! !Mais certains continueront à crier au loup ; les charognards affamés à loucher dans le noir pour dénicher quelque charogne à se mettre sous la dent les hiboux aux yeux gluants, les cafards qui ont horreur de la vérité, de la vraie lumière.

    M Ayraut, il ne suffit pas de se faire scribouillard pour se prétendre journaliste : cette profession, comme dans toute profession ou dans la vie tout court, possède une déontologie. Mais cela, certains ignore jusqu’à l’existence même d’un tel concept. Il ne suffit pas de s’affubler d’une carte de presse pour se réclamer journaliste et s’arroger tous les droits, fut-ce chez un organe de presse comme Jeune Afrique.

    Que dis-je ? Jeune Afrique n’en est plus un, mais plutôt un publiciste qui se prostitue au plus offrant. Il y a belle lurette que les Africains ont compris ce qu’est Jeune Afrique. Jeune Afrique a survécu en trahissant et en vendant l’Afrique en néo-esclavagiste des temps modernes médiatiques de la communication. Il est bien de journaux qui sont restés libres et intègres n’ont pas longtemps ou ont survécu mais s’en sortent très difficilement.

    On sait comment Jeune Afrique reçoit ses confidences et ses informations, tout en se faisant passer pour un journal libre au service de l’Afrique alors que c’est le meilleur assassin des Africains. Le silence des journalistes et des collègues de M Ayraut en dit long sur l’éthique de ce journal et ‘ambiance au sein de ce journal. de ce Jeune Afrique-là, les jeunes Africains n’en veulent pas.

    Les interventions dans le forum pour en disent long. Si justement Jeune Afrique est en perte de vitesse depuis longtemps et malgré les subsides de qui passaient il ne soit 1,6 même avec que se prononça-on, ils ne s’en sont pas, qu’ils comprennent enfin que la nouvelle Afrique a compris que Jeune Afrique n’est plus le journal des Africains mais l’assassin des Africains des Africains. La meilleure arme moderne de destruction massive est médiatique. C’est pourquoi les Africains devaient commencer à boycotter Jeune Afrique, la même à chercher à trouver de l’argent. Tout le moins de Jeune Afrique ne fait que précipiter sa suite dans l’opinion africaine. S’initier hier pour élever une mission commandée de la part de qui, est interdit etc. sans une affaire. La réaction unanime de la part des intervenants montre tout de, même si cela ne plaît pas du tout amnistié et au ai rien Afrique, et à leurs commanditaires, thomas sankara reste très populaire et c’est cela qui fait peur.

    Tout le monde n’est pas pourri ! sankara nous a donné un exemple d’abnégation et d’intégrité au service de son peuple de l’Afrique et de l’Humanité : « Je parle au nom de tous ces pauvres qui meurent chaque jour même fond Jeune Afrique parle au nom d’une minorité de privilégiés qui sucent le sang de ces pauvres. C’est là la différence avec les grands hommes et... les grands médias. Cet article de Bendre donne une borne leçon de déontologies professionnelles à Jeune Afrique . Si un proverbe dagara dit que le père enseigne son jeune enfant, mais qu’aussi le jeune enfant enseigne son père. Ainsi Jeune Afrique qui devrait se poser en vieux sage de presse africaine se fait rappeler à l’ordre de la déontologie professionnelle par le jeune godelureau Bendre.

    C’est dire qu’une page est tournée sur une prétendue affaire « fils caché » de Thomas sankara, une affaire montée de toute pièce, et cousue de gros fils blancs pour créer un écran de fumée à je sais quoi encore. Mais toujours est-il que cette affaire fut manifestement montée. Le semblant de mise au point de M Ayraut (son 2e article) n’avait été qu’une confirmation du montage parfait Le« pauvre » Ismaël s’est retrouvé piégé pris dans une affaire qui le dépassent comme il l’a dit lui-même, même n’avaient pas les moyens pour contre-attaquer comme il a dit lui-même Que peut un pauvre chanteur qui a besoin des médias pour se lancer, que peut-il contre un rouleau compresseur d’un journal au service des puissants, comme Jeune Afrique ? rien ! Ses courriers et ses téléphones à Jeune Afrique, Jeune Afrique les a purement et simplement ignorés. Je ne parle même pas du fait que j’ai l’Afrique et même pas offrir un droit de réponse à Ismael. Je constate tout simplement que pour « moins » que cela, Jeune Afrique a dû publier une mise au point, un droit de réponse de la part de Maître Louis Gaston MAYLA , avocat qui a été mis en cause dans une de ses parutions précédentes. Et c’est un hasard ? Pourquoi Jeune Afrique ne l’a pas fait pour Ismaël ? Parce que Jeune Afrique sait qui est maître Mayla et de quel pouvoir, de quelle puissance, de quelle force de frappe il dispose. Jeune Afrique passe son temps à rapporter des ragots voilà ce qu’est devenu ce journal. Personnellement je ne perds plus mon argent à acheter Jeune Afrique ni même mon temps à lire des ragots et de la publicité de chefs d’état pourris. Il est plus à tous les Africains sincères et qui aiment l’Afrique a été tournée les unes Afrique à l’éliminer de leurs vies. I re reste plus a Jeune Afrique à présenter officiellement ces excuses à la famille de Thomas Sankara, à toute l’Afrique et au peuple burkinabe et à Ismaël. Et que l’on ne fasse pas jouer la solidarité entre journalistes, ni nous présenter quelque argument fallacieux.

    SOME

    • Le 13 juillet 2012 à 10:46 En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

      Desolé pour mon message precedent ou les phrases se sont melangées rendant mes idees parfois incomprehensibles ; je le redonne donc : s’il passe tant mieux ! Et avec toutes mes excuses
      SOME

      Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin mercredi 11 juillet 2012

      En voilà qui clôt « l’affaire » ! !Mais certains continueront à crier au loup ; les charognards affamés à loucher dans le noir pour dénicher quelque charogne à se mettre sous la dent les hiboux aux yeux gluants, les cafards qui ont horreur de la vérité, de la vraie lumière.

      M Ayraut, il ne suffit pas de se faire scribouillard pour se prétendre journaliste : cette profession, comme dans toute profession ou dans la vie tout court, possède une déontologie. Mais cela, certains l’ignorent, jusqu’à l’existence même d’un tel concept. Il ne suffit pas de s’affubler d’une carte de presse pour se réclamer journaliste et s’arroger tous les droits, fut-ce chez un organe de presse comme Jeune Afrique.

      Que dis-je ? Jeune Afrique n’en est plus un, mais plutôt un publiciste qui se prostitue au plus offrant. Il y a belle lurette que les Africains ont compris ce qu’est Jeune Afrique. Jeune Afrique a survécu en trahissant et en vendant l’Afrique en néo-esclavagiste des temps modernes médiatiques de la communication. Il est bien de journaux qui sont restés libres et intègres qui n’ont pas survecu longtemps ou ont survécu mais s’en sortent très difficilement.

      On sait comment Jeune Afrique reçoit ses confidences et ses informations, tout en se faisant passer pour un journal libre au service de l’Afrique, alors que c’est le meilleur assassin des Africains. Le silence des journalistes et des collègues de M Ayraut en dit long sur l’éthique de ce journal et sur l’ambiance au sein de ce journal. De ce Jeune Afrique-là, les jeunes Africains n’en veulent pas.

      Les interventions dans le forum pour en disent long. Si justement Jeune Afrique est en perte de vitesse depuis longtemps et malgré les subsides, ils ne s’en sortent pas, qu’ils comprennent ENFIN que la nouvelle Afrique a compris que Jeune Afrique n’est plus le journal des Africains, mais l’assassin des Africains des Africains. La meilleure arme moderne de destruction massive est médiatique. C’est pourquoi les Africains devaient commencer à boycotter Jeune Afrique.. Jeune Afrique ne fait que précipiter sa chute dans l’opinion africaine. Jeune afrique a ravers M Ayraut est-il en mission commandée ? de la part de qui ? etc. c’est son affaire. La réaction unanime de la part des intervenants montre, même si cela ne plaît pas du tout à Jeune Afrique et commanditaires, que thomas sankara reste très populaire ; et c’est cela qui fait peur.

      Tout le monde n’est pas pourri ! sankara nous a donné un exemple d’abnégation et d’intégrité au service de son peuple de l’Afrique et de l’Humanité : Sankara parle au nom de tous ces pauvres qui meurent chaque jour… mais Jeune Afrique parle au nom d’une minorité de privilégiés qui sucent le sang de ces pauvres. C’est là la différence avec les grands hommes et... les grands médias.

      Cet article de Bendre donne une borne leçon de déontologie professionnelle à Jeune Afrique . Un proverbe dagara dit que le père enseigne son jeune enfant, mais qu’aussi le jeune enfant enseigne son père. Ainsi Jeune Afrique qui devrait se poser en vieux sage de la presse africaine se fait rappeler à l’ordre de la déontologie professionnelle par le jeune godelureau Bendre.

      C’est dire qu’une page est tournée sur une prétendue affaire « fils caché » de Thomas sankara, une affaire montée de toute pièce, et cousue de gros fils blancs pour créer un écran de fumée à je sais quoi encore. Mais toujours est-il que cette affaire fut manifestement montée. Le semblant de mise au point de M Ayraut (son 2e article) n’avait été qu’une confirmation du montage parfait

      Le « pauvre » Ismaël s’est retrouvé piégé, pris dans une affaire qui le dépasse, comme il l’a dit lui-même, mais il n’a pas les moyens pour contre-attaquer, comme il a dit lui-même. Que peut un pauvre chanteur qui a besoin des médias pour se lancer, que peut-il contre un rouleau compresseur d’un journal au service des puissants, comme Jeune Afrique ? rien ! Ses courriers et ses téléphones à Jeune Afrique, Jeune Afrique les a purement et simplement ignorés. Je ne parle même pas du fait que Jeune Afrique n’a même pas offert un droit de réponse à Ismael. Je constate tout simplement que pour « moins » que cela, Jeune Afrique a dû publier une mise au point, un droit de réponse de la part de Maître Louis Gaston MAYLA , avocat qui a été mis en cause dans une de ses parutions précédentes. Et c’est un hasard ? Pourquoi Jeune Afrique ne l’a pas fait pour Ismaël ? Parce que Jeune Afrique sait qui est maître Mayla et de quel pouvoir, de quelle puissance, de quelle force de frappe il dispose.

      Jeune Afrique passe son temps à rapporter des ragots : voilà ce qu’est devenu ce journal. Personnellement je ne perds plus mon argent à acheter Jeune Afrique, ni même mon temps à lire des ragots et de la publicité pour chefs d’état pourris. Il ne reste plus à tous les Africains sincères et qui aiment l’Afrique a été tournée les unes Afrique à l’éliminer de leurs vies. Il ne reste plus a Jeune Afrique qu’à présenter officiellement ses excuses à la famille de Thomas Sankara, à toute l’Afrique et au peuple burkinabe et à Ismaël. Et que l’on ne fasse pas jouer la solidarité entre journalistes, ni nous présenter quelque argument fallacieux.

      SOME

  • Le 13 juillet 2012 à 08:42, par Atrap Le Moize En réponse à : Affaire Ismaël Sankara : Suite et fin

    On s’en fout que certains la ramene sans cesse sur ce sujet. Moi j’aime Tom Sank et quoi qu’il ait fait, cela ne changera en rien l’estime et tout la consideration que j’aie pour lui. Apres tout, il etait mortel comme nous tous ; arretez donc de la ramener sans cesse.

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