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Vision Express sur… : Les conjoint(e)s malchanceux (ses)

Publié le mercredi 30 mai 2012 à 02h39min

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Vivre à deux, est une situation de la vie, où la culture est d’une importance capitale dans certaines localités du globe. En Afrique et en Asie par exemple, les couples se forment en tenant compte de certains aspects. Malgré la modernité, il existe toujours des gardiens de nos us et coutumes qui ne « badinent » pas avec les traditions. Si de nos jours, le mariage est devenu un acte libre et n’engage que le couple. La majorité des gardiens des traditions voient toujours le mariage sous l’angle de la communauté. Aussi, des parents se fondant sur l’interprétation de certains signes, peuvent s’opposer au mariage entre deux amoureux. Pour un ignorant, ces signes sont de seconde importance. Mais comme la vie humaine n’a de sens que grâce à la culture, il est toujours préférable de tenir compte de sa propre culture que de la balayer du revers de la main.

Concernant les signes, il faut savoir qu’il y en a qui ne trompent jamais quand on choisit un (e) conjoint (e). Comme nous voulons juste partager ce pan de la culture avec tous ceux qui croient en la culture africaine, nous passons sous silence ces signes. Sinon, à travers la façon de marcher d’une jeune femme, et en tenant compte de son pied d’appui à l’entrée d’une porte, des sages peuvent prédire comment sera sa vie de couple. Ce sont des mentalités qui semblent dépassées, voir insensées pour les enfants de la modernité. Mais, dans l’histoire de nos communautés, ce sont des vérités qui ont rarement trompé. Un couple ne se formait pas sans au préalable une consultation culturelle, car, il y a des femmes, quand elles portent lesdits signes, auxquels les coutumes imposent des sacrifices avant le mariage.

Sans ces préalables, les épouser peut être sources de problèmes sur tous les plans. C’est également la même « vérité » quand il s’agit des hommes portant les mêmes signes. Si par malheur vous les épousez, ils vous rendent la vie insupportable. Le chanteur guinéen, Sékouba Bambino l’a bien souligné. « Il faut toujours vérifier certains aspects avant de s’engager ». Contrairement aux cas malchanceux, il y a aussi des « signes porte-bonheur ». Même étant dans une situation peu enviable, une fois que vous fondez un couple avec ces personnes « de bonne étoile », votre situation de vie s’améliore pour de bon. Comme l’amour est réputé plus fort que les êtres qui s’aiment, il semble souvent que les conditions imposées par la culture soient comparées à des « sornettes ».

C’est pourquoi, quand des sages évoquent cette réalité de l’interprétation de signes à des amoureux, leur réaction est souvent négative. Certains enfants préfèrent vivre seuls, que d’accepter les propositions de mariage de leurs parents. Dans la plupart des cas, le couple a une durée de vie comparable à un « feu de paille ». Nous avons tantôt cité l’Asie comme étant un continent à fortes croyances culturelles. La Chine et le Japon qui s’imposent sur tous les plans techniques et économiques au reste du monde, demeurent fidèles à leurs traditions.

Les visions qualifiées par certains de « satanique » par certains « Africains/Blancs », sont au contraire déterminantes dans ces pays orientaux. Tout acte décisif qui survient dans la vie de chaque humain, lui est traduit en rêve, dit-on. Malheureusement, les rêves et les visions ne peuvent pas être interprétés par tous. Notre réflexion du mercredi prochain va porter sur le rêve, si telle est la volonté de Dieu.

Souro DAO (daosouro@yahoo.fr)

L’Express du Faso

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Vos commentaires

  • Le 30 mai 2012 à 20:34 En réponse à : Vision Express sur… : Les conjoint(e)s malchanceux (ses)

    Arrete d’ amplifier des "cultures" qui ne sont que l’exaltation des exclusions sociales. Si tu n’as rien a dire, cherches-toi un bon livre a lire pour te cultiver afin que ta culture soit clarifiee de ses valeurs. Je croyais a faire a un journaliste, pas a un gars qui incite a l’ ostracisme base sur des faits pas verifiables. Tu parles de culture africaine. De quelle culture africaine s’ agit- il. Toi tu es Dao et moi je suisBationo. A- t- on la meme culture ? L’ interpretation de la bonne femme ou du bon monsiuer ne saurait se reduire a un catalogue piteux de peurs collectives. La culture africaine, s’ il existe une culture africaine, merite mieux que ca. Il ne s’agit pas de faire taire les gens en les affublant du vocable de "Blancs", juste parce qu’ il refusent de se conformer a ta vision, au fond, anti- femme. Mme quand tu parles de signes qui ne trompent pas, on voit bien que ton message est plus campe dans la compilation de signes qui feraient la bonne femme ou surtout, la mauvaise femme. Tu restes l’ indigne residu reactionnaire d’ une societe patriarcale en perte de vitesse.
    Jean Marie Vianey Fayama, Toronto, Canada

  • Le 31 mai 2012 à 10:09, par Bibega En réponse à : Vision Express sur… : Les conjoint(e)s malchanceux (ses)

    je trouve ton commentaire encore plus profond que cet article creux, sans intérêt et au titre pompeux et trompeur.
    Cet article pue le bourrage et le manque de culture.

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