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PLUS JAMAIS ÇA !

Publié le mercredi 22 février 2012 à 00h58min

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Des vandales s’en prennent aux dalles couvrant les caniveaux de la RN1 nouvellement réfectionnée. Ils cassent ces dalles pour en extraire le fer qui s’y trouve. C’est extrêmement grave.

Plus jamais ça !

Le Pays

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Vos commentaires

  • Le 22 février 2012 à 06:46, par Un lecteur En réponse à : PLUS JAMAIS ÇA !

    Eh où allons-nous à cette allure ? Le gain facile... Même dans les jardins aux alentours du barrage numéro 2, on vole les légumes que cultivent ces pauvres femmes. Qu’Allah nous aide sinon on court vers notre perte.

  • Le 22 février 2012 à 07:26, par Peter En réponse à : PLUS JAMAIS ÇA !

    Il y’a plus grave que ça. Immaginez l’effort qu’il faut pour casser la dalle d’un caniveau (bien fait), pour en extraire le fer. C’est un signe de survie grave, de delaissement d’une frange de la société dans une misère noire, et en bonus des caniveaux mal dosé (par qui vous connaissez).
    Vous évoquez donc un symptôme d’une maladie grave. Il faut nommer cette maladie et la soigner. Les symptômes sont plutôt là pour attirer l’attention. Ouvrons l’oeil !

  • Le 22 février 2012 à 20:16, par un citoyen en colère ! En réponse à : PLUS JAMAIS ÇA !

    Le Burkina est en réalité au stade d’un coma avancé après avoir dépassé depuis longtemps celui de la morale agonise dans ce pays. C’est plutôt la preuve d’une majorité de la population qui vit dans la misère noire et prêt à tout pour survivre y compris casser des dalles ce qui est loin d’être facile pour quelques milliers de F CFA.Pendant ce temps là, les grands voleurs de la république continuent à piller à coût de centaine de millions et dans l’impunité la plus totale.
    Et, puis, pouvez vous nous expliquer s’il y a eu réception provisoire de ce travail saboté par la belle mère ? Aucun bas côté n’est fait correctement. Les gens garent leurs voitures sur la piste cyclable à défaut de pouvoir se garer sur les bas côtés.

    • Le 23 février 2012 à 12:07 En réponse à : PLUS JAMAIS ÇA !

      Oui, c’est ça l’expression de la misère néocoloniale imposée aux populations. A défaut de casser du Blaise Compaoré, ils cassent des dalles pour survivre !

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