France : Guéant, ou le racisme assumé
A quatre-vingt-dix jours de la présidentielle française, ça commence à bouillonner sérieusement dans les états-majors de campagne, y compris ceux des candidats non encore déclarés, comme c’est le cas du président sortant, Nicolas Sarkozy.
Tantôt chef d’Etat en exercice, tantôt candidat, il préfère laisser ses lieutenants, porte flingues et autres seconds couteaux donner la réplique à ses adversaires, au premier rang desquels François Hollande et son PS.
Et il y a de quoi faire, car à trois mois de l’échéance, tous les observateurs de la scène politique française se demandent quel miracle viendra sauver le successeur de Jacques Chirac du naufrage, dans la mesure où, depuis belle lurette, les sondages le donnent perdant. Et récemment, lui-même n’avait pas, semble-t-il, exclu cette éventualité alors qu’il s’était laissé aller à des confidences.
Un moment de faiblesse vite passé, car celui qui a fait de la présidence française la quête de sa vie n’est pas homme à renoncer. Et ni lui ni les siens ne se priveront d’aucun moyen ou argument pour faire mentir les enquêtes d’opinion qui leur sont si défavorables.
De l’image modelée et remodelée de l’hyperprésident prêt à tous les sacrifices pour sauver la France de la débâcle financière et économique, au moins reluisant désossage du programme des socialistes et de leur champion, en passant par une cour assidue aux l’électorats centriste, voire même d’extrême droite, tout y passe, la fin justifiant les moyens.
Et la dernière sortie controversée de Claude Guéant, le ministre de l’Intérieur, participe sans doute à ce ratissage. Pour lui en effet, il est clair que « toutes les civilisations ne se valent pas ». Et alors que beaucoup de ses compatriotes pensaient à un dérapage incontrôlé, il a persisté et signé, assumant l’entièreté de ses propos pour le moins ethnocentristes et même racistes.
Quelle idée a-t-on de hiérarchiser les cultures si ce n’est dans un dessein politique nauséabond ? Aujourd’hui les civilisations, demain les religions, jusqu’où iront les comparaisons dans un pays qui, depuis longtemps, a mal à sa diversité ?
Oui, on l’a compris, ce serviteur froid et zélé ne reculera devant rien pour éblouir les yeux de la belle Marine (Le Pen), lui qui n’en est pas à sa première tentative : l’an dernier en effet, en bon ministre de l’intérieur, il s’était inquiété du nombre croissant des musulmans dans l’Hexagone.
En vérité, l’ancien préfet a de qui tenir, car son mentor lui-même, dans un discours resté tristement célèbre, avait déclaré de façon péremptoire devant un aréopage d’étudiants, d’éminents enseignants et de personnalités politiques que le « drame de l’Afrique » vient du fait que « l’homme africain n’est pas assez entré dans l’histoire… ». Il aura eu beau tenter de le réparer quelques mois plus tard au Cap, le mal était fait.
On comprend aujourd’hui que l’indignation ait gagné les rangs de l’Assemblée nationale, où le député apparenté PS de Martinique Serge Letchimy a comparé les propos du premier flic de France sur les civilisations à l’idéologie nazie.
En tout cas comparé ou pas aux chemises brunes, le célébrissime M. Guéant reste droit dans ses bottes avec le soutien d’une bonne partie de son clan, le Premier ministre et son gouvernement ayant quitté l’hémicycle en guise de protestation contre les déclarations du député martiniquais.
Tout compte fait, on se surprend à préférer ceux qui, comme Le Pen, sont franchement racistes et xénophobes aux autres, qui préfèrent louvoyer entre leurs aspirations réelles et les diktats du politiquement correct.
Le patron du FN avait raison au moins sur un point : pourquoi les Français, qui ne sont pas dupes, se contenteraient d’une pâle copie alors qu’ils pourraient se procurer l’original ?
H. Marie Ouédraogo
L’Observateur Paalga
Vos commentaires
1. Le 9 février 2012 à 05:17, par fafab00 En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
Cest Français là,ils finiront jamais de nous surprendre ! Juste pour amuser la galerie !
2. Le 9 février 2012 à 10:02, par karebo En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
Je pense qu’ils ont le droit de s’affirmer puisse que c’est cette supériorité acquis (par notre contribution) qui fait que nous acceptons d’être subalternes. En réalité l’homme noir n’est pas fier de l’être et une honte de nos autorités tente de m’enterrer. Si l’on veut bien voir nos coutumes, nos cultures et notre réligion sont jettés en échange d’autres choses dont nous ignorons entièrement la source (car tout ce qui est revélé est du ressort de leurs intensions : ébluir notre vision). Tout ce qui constituait le socle de notre existance tent à disparaître tout simplement parce qu’une autre race (un blanc) nous propose de lui suivre. Ceci est la préparation de notre disparution. Comme je trouve beaucoup de temps pour vous détailler les faits et gestes, je propose tout simplement de constater à chaque fois qu’il y a une rencontre des autorités en Afrique. Vous verez que personne ne donne une image de son pays et le Burkina est le premier dans cette discipline. Reflechissez et comprendrez bien que la tombe de l’Afrique est presque prête. Bonne journée à vous
3. Le 9 février 2012 à 13:11 En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
belle analyse avec une question de Le Pen à la fin qui reste à développer ; mais je croix que c’est l’intérêt de cette analyse...que chacun l’interprêtre suivant sa compréhension de la politique française.
4. Le 9 février 2012 à 15:28, par Du burkina En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
Cultivez vous Madame ! Ce Gueant est la plume attritre de Sarko ! Et même qu’il est le mentor du discours de Dakar qui fait dire des bêtises au nabot ! Vérifiez cela.!
5. Le 9 février 2012 à 15:48 En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
Une civilisation n’est pas une RACE Critiquer une civilisation ou une culture n’a ren de racisme Je suis complètement d’avis avec Monsieur Guéant et parfaitement d’accord que la civilisation Judéo-Chrétienne qui a engendré la democratie et les droits de l’homme et de la femme est mille foid plus supérieure que celle qui valorise la lapidation,la décapitation,les mutilations tout en pronant la soumission ou l’extermination de toute diversité quant à ceux qui refusent d’admettre la réalité et indexer le mal pour mieux le combattre,je les proposerais tout simplemtent d’aller en Arabie saoudite en Iran au Pakistan ou tout simolement en Afganistan pour mieux jouir des fruits du relativisme et du tout se vaut de leur civilisation
Le 9 février 2012 à 17:59, par konménem-moogo En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
je pense pas que tu as compris quelque chose. les pays que tu as cité ne sont que des champs de battailles. souvent ils ne sont même responsables du déclenchement des conflits. alors faut t’informer plus. Combien de guerres la civilisation Judéo-Chrétienne pour la responsabilité ?
6. Le 9 février 2012 à 15:49 En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
Une civilisation n’est pas une RACE Critiquer une civilisation ou une culture n’a ren de racisme Je suis complètement d’avis avec Monsieur Guéant et parfaitement d’accord que la civilisation Judéo-Chrétienne qui a engendré la democratie et les droits de l’homme et de la femme est mille foid plus supérieure que celle qui valorise la lapidation,la décapitation,les mutilations tout en pronant la soumission ou l’extermination de toute diversité quant à ceux qui refusent d’admettre la réalité et indexer le mal pour mieux le combattre,je les proposerais tout simplemtent d’aller en Arabie saoudite en Iran au Pakistan ou tout simplement en Afganistan pour mieux jouir des fruits du relativisme et du tout se vaut de leur civilisation
Le 9 février 2012 à 17:07, par daramouni En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
Mon ami revoir votre cours d’histoire. La civilisation dont tu parles a fait pire que la lapidation. Ou mettre les précurseurs de la sciences brulés par cette civilisation ? N’avaient ils pas de drois ? Relativiser toujours. chaque période historique secrette les ingrédients de sa destruction pour établir des rapports nouveaux. Il faut le savoir aussi l’église que tu veux défendre a été le vecteur de la dispersion nazi dans le monde après la deuxième guerre mondiale. Bref ce n’est pas le procès des réligions ici, mais apprécié les propos du ministre. Faut il le dire, les nazi en allemagne et les fascites en espagne et italie sont arrivés au pouvoir pour la défense de la pureté de la race sous pretexe de la supériorité de la race qui renvoit toujours à la civilisation. C’est le mème pretexe qui a valu pour la colonisation.
Ce qu’il faut comprendre aujourd’hui avec les crises a répétition dans le monde, l’une des solutions c’est la guerre et là tous les prétexes sont bons. Observer un peu ; toutes les puissances ont leur armée dehors soit disant pour établir la démocratie. La question, démocratie pour qui
pour ceux qui en ont trop ou ceux qui manque du minimum ? Combien de sans abrit en france et ailleurs ? Combien de chaumeurs également. Ne peuvent ils pas fraterniser avec ceux ci avant de donner des leçons de fraternité aux autres ?
Je paris qu’avec le froid qui sévit actuellement làba si c’était dans nos pays tu laisseras pas quelqu’un à ta porte dormir dehors. A moins qu’on est perdu toute valeur.
Quelqu’un disait que la plus grande valeur des conquètes des travailleurs que les prétendus démocrates défendant la justice les droits de l’homme et l’égalité aient détruite, c’est la SOLIDARITE.
Le 9 février 2012 à 17:44, par L’HOMME En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
une civilisation n’est pas aussi un régime politique. La démocratie a été engendré en Europe s’il s’agit de la démocratie athénienne, bien avant l’Europe chrétienne. Mieux s’agissant des droits de l’homme, je vous ferai remarquer que l’église a bien sanctifié l’esclavage et la colonisation. Les pays dont vous citez comme des civilisations inférieures ne sont pas des civilisations. Une civilisation c’est aussi la culture. La civilisation est dynamique et non statique. La civilisation dont Guéant se réclame, et demande aux jeunes de l’UMP de défendre, n’en est pas une. Car si non, la civilisation française c’est aussi l’esclavage et la colonisation. Inversement l’Iran islamique n’est pas la civilisation perse. Cette dernière a connu sa gloire bien avant l’islam et ce que vous retenez comme civilisation inférieure. Vous comprenez ! De toutes les façons, on pourrait jouer de rhétorique à qui mieux le peut. Mais on attendait mieux que ça d’un ministre. Les propos de Guéant sont des plus obscures et de façon assumée il a tenu à garder ce flou qui ouvre la voie à toutes les interprétations. Ce ministre se serait grandi en clarifiant le propos car civilisation et régime politique ou idéologie politique font deux. Quant à la réaction offusquée des députés de l’UMP, je la trouve abusée et de très mauvaise foi.
J’espère vous avoir convaincu
L’HOMME
Le 9 février 2012 à 17:54, par arabe En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
En fait mn ami tu parles avec haine contre la religion musulmane j’aimerais d’abord te rappeler que la democratie que les europeens appliquent aujourd’hui a été acquise en s’opposant a la religion.cette meme lapidation s’applique chez les juifs ainsi que les chrétiens avec l’inquisition.Tu n’est pas sans savoir des crime commis par l’inquisition pendaison des apostats meurtre des hommes de science etc.si tu veux connaitre la civilisation arabo musulmane je te recommande un film intituler:L’ISLAM EMPRIRE DE FOI
Ceux que je sais de l’arabie saoudite c’est qu’il est l’un des rares pays où l’être humain se sent plus proche de son seigneur.Donc cest normal que les gens pervers comme toi qui aiment l’adultère, la fornication, la consommation de l’alcool preferent la culture occidentale perverse à celle basée sur la foi.
Le 10 février 2012 à 11:57, par apostat En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
Le Coran, texte sacré de l’islam, entérine l’existence de l’esclavage. La charia, qui s’appuie sur le Coran et les dits de Mahomet (hadiths), autorise la réduction en esclavage de quiconque n’est pas musulman (si un esclave vient à se convertir, il n’est pas affranchi pour autant).
Après la mort de Mahomet et la soumission de la péninsule arabique, les Arabes conquièrent les rives méridionales et orientales de la Méditerranée. Multipliant les prises de guerre, ils prolongent dans ces régions l’esclavage à la mode antique. Ils inaugurent aussi une longue et douloureuse traite négrière qui va saigner l’Afrique noire jusqu’à la fin du XIXe siècle.
Les arabo-musulmans s’abstiennent de réduire en esclavage leurs coreligionnaires mais cette règle souffre de nombreuses transgressions et l’on ne rechigne pas à asservir des musulmans, notamment noirs, au prétexte que leur conversion est récente.
L’esclavage devient rapidement l’un des piliers de l’économie de l’empire abasside de Bagdad. Les harems du calife et des notables de Bagdad se remplissent de femmes originaires du Caucase réputées pour leur beauté. Ces belles esclaves ont continué jusqu’au XXe siècle d’alimenter les harems orientaux en concurrence avec les beautés noires originaires d’Éthiopie.
Pour les tâches domestiques et les travaux des ateliers et des champs, les sujets du calife recourent à d’innombrables esclaves en provenance des pays slaves, de l’Europe méditerranéenne et surtout d’Afrique noire. Ces esclaves sont maltraités et souvent mutilés et castrés.
D’autres esclaves et eunuques sont employés comme soldats et chefs de guerre par les différentes dynasties musulmanes, du Maroc aux Indes.
Dans les premiers temps de l’islam, les notables de Bagdad s’approvisionnent en esclaves blancs auprès des tribus guerrières du Caucase mais aussi auprès des marchands vénitiens qui leur vendent des prisonniers en provenance des pays slaves, encore païens.
En Europe orientale et dans les Balkans, pendant la même période, les Ottomans prélèvent environ trois millions d’esclaves. Mais l’expansion européenne, à partir de la fin du XVIIIe siècle, met fin à ces razzias.
Si la traite des esclaves blancs a rapidement buté sur la résistance des Européens, il n’en a pas été de même du trafic d’esclaves noirs en provenance du continent africain.
La traite arabe commence en 652, lorsque le général arabe Abdallah ben Sayd impose aux Nubiens (habitants de la vallée supérieure du Nil) la livraison de 360 esclaves par an. Les spécialistes évaluent de douze à dix-huit millions d’individus le nombre d’Africains victimes de la traite arabe au cours du dernier millénaire, du VIIe au XXe siècle, soit à peu près autant que la traite européenne à travers l’océan Atlantique, du XVIe siècle au XIXe siècle.
Le trafic suit d’abord les routes transsahariennes. Des caravanes vendent à Tombouctou par exemple des chevaux, du sel et des produits manufacturés. Elles en repartent l’année suivante avec de l’or, de l’ivoire, de l’ébène et... des esclaves. Au XIXe siècle se développe aussi la traite maritime entre le port de Zanzibar (aujourd’hui en Tanzanie) et les côtes de la mer Rouge et du Golfe persique.
Le sort de ces esclaves, razziés par les chefs noirs à la solde des marchands arabes, est dramatique. Après l’éprouvant voyage à travers le désert, les mâles sont systématiquement castrés avant leur mise sur le marché, au prix d’une mortalité effrayante, ce qui fait dire à l’anthropologue et économiste Tidiane N’Diyae : « Le douloureux chapitre de la déportation des Africains en terre d’islam est comparable à un génocide. Cette déportation ne s’est pas seulement limitée à la privation de liberté et au travail forcé. Elle fut aussi – et dans une large mesure - une véritable entreprise programmée de ce que l’on pourrait qualifier d’extinction ethnique par castration ».
Le mépris des Noirs a perduré au fil des siècles. Ainsi peut-on lire sous la plume de l’historien Ibn Khaldoun (1332-1406) : « Les seuls peuples à accepter l’esclavage sont les Nègres, en raison d’un degré inférieur d’humanité, leur place étant plus proche du stade animal ».
« Comparé à la traite des Noirs organisée par les Européens, le trafic d’esclaves du monde musulman a démarré plus tôt, a duré plus longtemps et, ce qui est plus important, a touché un plus grand nombre d’esclaves », écrit en résumé l’économiste Paul Bairoch. Cet auteur ainsi que Tidiane N’Diaye rappellent qu’il ne reste pratiquement plus trace des esclaves noirs en terre d’islam en raison de la généralisation de la castration, des mauvais traitements et d’une très forte mortalité, alors que leurs descendants sont au nombre d’environ 70 millions sur le continent américain.
Notons le parallèle avec les États arabes du Golfe Persique qui recourent massivement à des travailleurs étrangers tout en empêchant ceux-ci de faire souche sur place... à la différence des pays occidentaux.
Dès les premiers temps de l’islam, des caravaniers arabes ont puisé dans le vivier de nombreux esclaves en vue de les revendre au Moyen-Orient. Des chefs noirs se sont mis à leur service pour guerroyer contre leurs voisins et les fournir en prisonniers.
Il s’en est ensuivi un trafic de 5.000 à 10.000 esclaves par an en direction des pays musulmans. En témoignage de ce trafic, le mot arabe abd qui désigne un serviteur ou un esclave, est devenu synonyme de Noir.
Au XIXe siècle, des musulmans de confession chiite en provenance du Golfe persique se sont établis sur une île de l’Océan indien proche du littoral africain.
Ils l’ont appelé Zanzibar (de Zenj et bahr, deux mots arabes qui signifient littoral des Noirs) et y ont créé de fructueuses plantations de girofliers sur lesquelles travaillaient des esclaves noirs du continent.
Les conditions de travail y étaient épouvantables : « La mortalité était très élevée, ce qui signifie que 15 à 20% des esclaves de Zanzibar (soit entre 9.000 et 12.000 individus) devaient être remplacés chaque année », écrit Catherine Coquery-Vidrovitch.
Très vite, Zanzibar est devenu un important marché d’exportation d’esclaves à destination du Golfe arabo-persique. Les comptes précis tenus par l’administration du sultan ont permis d’évaluer à plus de 700.000 le nombre d’esclaves qui ont transité par l’île entre 1830 et 1872.
Aujourd’hui encore, les habitants noirs de Zanzibar conservent un statut de quasi-esclave.
Le 9 février 2012 à 18:17, par johnblacksad En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
Les mêmes judéo-chrétiens qui ont cautionné l’esclavage ? les mêmes qui ont dû tenir un procès au cours duquel il allaient décider si oui ou non les indiens d’amérique avaient une âme auquel cas il faudrait cesser de les massacrer comme des bêtes... bref, mon ami... la passion avec laquelle tu réponds a tout l’air de découler d’une aversion pour les musulmans.
L’esclavage et la colonisation furent des missions civilisatrices ! La nazisme et toutes ses horreurs découlent de la pensée qu’il y en a parmi nous qui seraient supérieurs aux autres.
Pardon, laissez-les musulmans tranquille dans tout ça... même cet imbécile de Claude Guéant ne pense pas ce qu’il dit... ils sont juste en période électorale.
Tous les modèles de sociétés fonctionnent en vase clos... il faut cesser se manichéisme et se rendre à l’évidence qu’il y a du bon et du mauvais PARTOUT ! voilà la seule chose indéniable !
Même Arabie Saoudite, en Iran, au Pakistan et en Afghanistan, il y a des homosexuels et des prostituées ! Ils ne "nous" sont aucunement inférieurs...
Le 9 février 2012 à 18:19, par kelem fabrice En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
une civilisation est le resultat du parcours socio-culturel d’un peuple. vous savez, la civilisation judeo chretienne dont vous parlez n’est meme pas d’origine europeenne(jesus n’etait ni gaulois, ni romain). cette civilisation est née au moyen orient, s’est inspiré en afrique ( ancienne nubie & egypte antique) et elle est allé en europe, où elle a prit de l’essort, dire que la civilisation arabe,( puis que c’est de cela qu’il s’agit) est inférieur, c’est oublier, que le monde moderne est redevable à cette civilisation qui nous a apporté au monde le concept d’université ( lieux d’accumulation, de partage et du developpement du savoir). que serait cette civilisation judeo chretienne, si les penseurs n’avait pas eu de lieux structurer pour theoriser sur les concepts sociaux ?? en realité, c’est par ignorance qu’il dit que toute les civilisations ne se valent pas, car en realité, toutes les civilisations sont redevables les eux envers les autres de leur progres... il serait trop long ici de les enumerer, mais renseignez vous sur l’apport des civililsation dans le monde moderne, et vous serez edifiés, le monde moderne n’est pas le fruit de l’europe, mais le resultat du savoir de toutes l’humanite, le plus grand merite de l’europe est d’avoir pu mettre en relation toutes les civilisations avec lesquelles elle est rentré en contact, soit pour du commerce(chine), soit pour la colonisation(afrique & amerique latine), soit pour l’occupation territorial( continent americain et australien)
7. Le 10 février 2012 à 19:21 En réponse à : France : Guéant, ou le racisme assumé
Il faut publier toutes les reactions. Ne soyez pas aussi racistes que Mr Gueant, les gens de Faso.net.
Je me demande comment quaifier ces intellectuels qui cherchent a defendre Mr Gueant en disant qu il doit recifier ses propos. Gueant n a rien a rectifier. Le Blanc dit qu il est superieur a vous et vous dites non. Geuant ne fait redire ce que certains intellectuels tares ne comprennent pas. La mentalite du Blanc est celle du racisme et la colonisation. Apres la neocolonisation, c est l assimilation des peuples sauvages.
La vision que les Francais ont de nous est tres claire. Leur civilisation a toujours ete est la meilleure. Elle est expression du mepris de l autre. Je dis que nos grand-peres se sont opposes a la colonisation par ce qu ils avaient compris que les Blancs ne peuvent pas les envahir par la force et travailler honnetement a la concretisation de leur bien-etre. Quoi que les intellectuels comme Paul Kere peuvent penser et dire, la civilisation occidentale se caracterise par le racisme fondamental et le rejet total des autres valeurs humaines.