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Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

Publié le jeudi 5 janvier 2012 à 00h51min

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Le journaliste Samuel Kiendrebéogo de la Voix de l’Amérique (VOA) s’est éteint hier à son domicile de la Patte d’Oie. Rentré de Washington pour passer quelques bons moments au pays, il ne s’est pas réveillé de sa sieste, selon des sources proches du défunt. Le voyage qu’il a prévu aujourd’hui pour retrouver sa femme à Washington s’est transformé en voyage pour le ciel et pour la paix éternelle.

Né en 1949, Samuel Kiendrebéogo est bien connu dans le monde des médias au Burkina. Il est en effet le promoteur d’un prix spécial au Galian portant son nom et visant à encourager les femmes travaillant dans les médias. La Direction générale des Editions Sidwaya adresse ses condoléances attristées à sa famille et au monde de la presse..

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 5 janvier 2012 à 01:20, par Tapsoba En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Ce n est pas vrai ! Mais je rêve ou quoi ?
    Paix à son âme.Mes condoléances à la famille éplorée.

  • Le 5 janvier 2012 à 02:36, par ALCIDE NATHAN En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    C’est vraiment triste de voir ainsi s’en aller des confrères, pardon des doyens, qui ont marqué la profession avec autant de présence et surtout de serieux tout en gardant le regard très critique de l’aîné soucieux du travail bien fait sur la jeune génération. Personnellement, je ne connaissais pas Samuel Tiendrébéogo physiquement si ce n’est à travers sa grande stature journalistique portée par sa voix sur les ondes de VOA. Le déclic virtuel puis physique viendra 2005 lorsque journaliste cadet dans le quotidien d’Etat, j’ai signé mon premier article de commentaire dans la rubrique "Chronique" après deux ans d’exercice timide d’un métier aux mille facettes. Grâce à la magie du net, l’appréciation qu’il a eue de mon écrit et les conseils qu’il m’a prodigués pour une bonne continuation dans ma profession m’ont beaucoup forgé dans la pratique de ce genre journalistique tant redouté des vieux et des jeunes. "Reste toi-même dans tes articles. Pense et réfléchis en toi-même sans pervertir ta personnalité dans ce genre si risqué. Ne triche jamais dans tes écrits car tout se révèle tôt ou tard dans notre domaine d’activités", m’a-t-il souligné en viel étalon. De rencontres en rencontres, d’échanges en échanges, le poulain a beaucoup retenu du grand étalon. Son attention aux jeunes journalistes était régulière et permanente. En témoigne son prix consacré aux femmes journalistes. Tout était réuni pour que nous ne nous rencontrions pas lors de ce séjour à Ouaga. Calendrier de fin d’année et fêtes obligent. Mais le mot "jamais" était exclu. D’autant plus que la retraite a sonné et on a cru l’avoir pour soi. Malheureusement, "nul ne peut aller au-delà de son dernier souffle", plaisaient à se rappeler les Indiens Maya. Samuel Tiendrebéogo, Doyen, ta voix si radiophonique s’est évanouie dans celle du silence éternel mais tes cadets ne t’oublieront jamais. De l’au-delà, tu seras toujours fier des efforts que tu as consentis pour les responsabiliser. Ils tiendront d’une flamme incandescente. Doyen, je crois avoir bien appris la leçon et j’aurais voulu que tu sois là pour me guider au moment où je suis retourné enrichir ma forge professionnelle. Dors en paix. Puisse la terre du Burkina Faso qui t’a vu naître et dont tu ne t’en es jamais détourné t’être legère. Repose en paix ! Nous nous souviendrons toujours !

  • Le 5 janvier 2012 à 02:58, par Zeguet En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    La disparition de ce grand monsieur provoque un grand choc et constitue une grande perte pour la communauté burkinabè de la region de Washington en particulier. Il était connu pour sa participation active à la vie de cette communauté à travers l’association des burkinabè dont il fut un des membres fondateurs.

    Tonton Samuel pour certains et Kôrô Samuel pour d’autres me laisse l’impression d’un monsieur très sympathique et toujours prêt à servir quand on a besoin de lui.

    Que le Seigneur t’accepte dans Son Royaume et benit la famille inconsolable que tu laisses derrière toi.

  • Le 5 janvier 2012 à 03:53, par Isi SOBGO En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Qui aurait cru ? tek ya siig.

  • Le 5 janvier 2012 à 04:04, par N’maway En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Je fais partie de ceux qui ont accompagne sa femme a l’aeroport de washington pour prendre le dernier vol d’air France afin d’aller voir le corps de son mari. Que Dieu l’accompagne sain et sauf et l’a ramene. Que l’ame de Samuel repose en paix. Mes condoleances a toute sa famille. J’ai regarde un match de football avec lui les vacances passees.

  • Le 5 janvier 2012 à 06:11 En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Paix a l’ame de ce brave homme qui a dignement represente le Burkina Faso aux Etats Unis et partout dans le monde. Que le Seigneur l’accepte dans son royaume.

    Yonly.

  • Le 5 janvier 2012 à 06:38 En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Incroyable ! Paix à son âme ! Trop de morts subite en Afrique.

  • Le 5 janvier 2012 à 08:38 En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Je fus ebranle quand j’ai appris la mort de tonton Samuel,je ne le connais pas physiquement mais je suis un bon ami a sa fille et je l’ai connu a travers ses articles et sa devotion pour la communaute burkinabe vivant a washington,que ton ame repose en paix tonton Samuel et mes condoleances les plus attriste sont adresse a la famille.
    Nous sommes de tout coeur avec vous en ses durs moments.
    Alvinus Ier

  • Le 5 janvier 2012 à 13:32, par Wendyam En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    C’est tres domage que cet homme disparaisse de la sorte. Rien que le 30 décembre j’étais en ligne avec lui et il m’avais promis qu’on allait se rencontrer avant son depart,et il me disait sur un ton attentionné ’’ si j’oublie et ne t’appelle pas fais le sil te plait’’ et voici qu’il s’en est allé cet homme qui a travers sa voix,son dynamisme et son efficacité dans la profession nous a tous donné du courage et l’envie d’embrasser le journalisme. Quand j’ai appris la nouvelle j’ai vite appelé et a la confirmation je n’ai pas dormi toute la nuit tout ce que nous pouvons dire c’est la terre du Burkina te sois legere toi qui etais parti pour etre et tu l’est le grand exemple je suis attristé et profondement affecté par ton depat brusque. Pour le rendez vous je ne verrai que ton corps inerte au nom de du fan club voix de l’Amerique VOA Burkina je souhaite a toute la famille mes condoleances les plus attristées

  • Le 5 janvier 2012 à 14:17, par Bb washington En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Ah wendtumde, incroyable mais vraie. Les mots me manque.paix à son âme que la terre lui soit legere. Rest in peace Tonton Sam.May God protecte your family .Ms tiendrebeogo have my sympathy .I can’t believe the father of BF in wash is gone forever.

  • Le 5 janvier 2012 à 15:16, par N’terikè En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    La mort !Elle a encore frappé, surtout un homme bien.Encore lycéen à yako je revois ce journaliste quelconque en son temps sur sa moto HONDA bleue.Il était à Yako comme correspndant de presse. Il était snctionné par la RDP et purgeait sa peine. Humblement il était à tous les meeting pour faire son travail.je l’ai souvent cotoyé. Plus tard je savourerai ses articles très documentés dans "SIDWAYA MAGAZINE".Lorsqu’il a rejoint la VOA c’tait une fierté pour nous. j’ai souvent écouté la VOA à travers l’émission de ROgER GUY FOLLY mais je ne savais pas qu’un burkinabè pouvait acceder à cette prestigieuse radio.La mort ! Elle rappelle étrangement celle de Patrick G.Ilboudo.je vevais de lire un de ses nombreux romans, le Herault têtu, je crois ;lui aussi était une valeur sur du jounalisme et des lettres...
    SAMUEL KIENDRE, dors en paix et que la terre libre de SAponé te soit légére !

  • Le 5 janvier 2012 à 16:04, par christ En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Tonton SAMUEL tu a porter tres haut le drapeau du burkina et tu etait un exemple pour ton pays. repose en paix et que la terre te soit légère.

  • Le 5 janvier 2012 à 16:30, par Walid En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Toute mort est triste.
    De tout coeur, nous prions pour le repos de Son âme. Dieu a donné, Dieu a repris. Que sa volonté soit faite. Que Samuel repose en paix, satisfait d’avoir pu tracer sa voie parmi nous. RIP grand frère. Pensées profondes et respectueuses à sa famille, ses proches et amis.

    Walid

  • Le 5 janvier 2012 à 17:07, par S.T. RTB2 En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Toute la jeune équipe de la prémière Station de Télévision régionale du Burkina, la RTB2/ Hauts Bassins présente à toute la famille Kiendrebeogo ses sincères condoleances. Puisse Dieu le Tout Puissant consoller les proches de cet éminent journaliste et communicateur.

  • Le 5 janvier 2012 à 19:21 En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    aie aie, 2012 commence mal

  • Le 5 janvier 2012 à 20:29, par Ntal Alimasi, President - National Association of African Catholics in the US En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Mon voisin et ami de 20 ans ! Mon compagnon a l’eglise ! Quelle gentillesse ! Quelle serviabilite ! Un coeur d’Or ! Vas, vaillant combattant !
    Adieu, mon frere et ami !!! Que notre Dieu d’amour t’accueille dans sa Misericorde, et que la Terre de nos Ancetres te soit douce ! A Cecile et toute la famille, du courage ! Dieu a donne, Dieu a repris. Mes condoleances du fond de mon coeur !

  • Le 5 janvier 2012 à 20:53 En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Bonjour à tous les internautes,
    Merci de vos messages de soutien. Je suis un membre de sa famille par alliance. Et en ces moments douloureux ou chaque membre de sa famille dans la douleur, mais restant digne, je voudrais vous rassurer de notre profonde reconnaissance pour vos différents témoignages. Sam restait pour tous, le grand frère, l’oncle, le beau frère, le grand tonton attentionné. Humble, humain. Il était une référence pour tous tant par sa droiture que par son humilité.

    Merci à tous.

    Sam est décédé burtalement. Non, il est plus juste de dire, il s’est endormi. PAISIBLEMENT. Sur son divan. Comme toute personne fatigué revient chez lui, s’allonge sur divan et se repose, s’endort. Il s’est endormi. C’est tellement vrai que plus de trois visiteurs, le trouvant allongé sur son divan dans une posture de sommeil sont repartis en disant. "Comme tu dors, on ne va pas te déranger, on repassera". Sam s’est endormi. Sur son visage aucun signe de douleur.

    Sam, la plupart des gens qui te connaissent t’aiment et t’apprécient. Dieu saura apprécier les voeux de tes semblables. Et maintenant sois un proteceur pour ceux qui t’aiment, pour le Burkina et pour ta famille.

    Merci à tous et que Dieu vous bénisse tous et vous protège !

  • Le 5 janvier 2012 à 21:52, par Alexandre Lebel Ilboudo En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    J’ai eu le privilège d’être interviewé par Samuel Kiendrebéogo en juin 2010 en direct sur la VOA alors que je venais d’être lauréat du Prix CNN. C’était mon premier contact avec ce grand professionnel qui m’avait dit des mots gentils d’hommage. Je m’incline devant sa mémoire et prie pour le repos de son âme. C’est une grande perte !

  • Le 6 janvier 2012 à 01:06, par Ika En réponse à : Brusque disparition de notre confrère Samuel Kiendrebéogo de la VOA

    Paix a ton ame Samuel
    Dieu console ta famille

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