Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Il faut dire les choses telles qu’elles sont. L’Afrique me semble aujourd’hui tout à la fois sourde, aveugle et, surtout, muette. Il y avait, autrefois, sur ce continent, quelques grandes voix. Dont on pouvait, certes, parfois, critiquer le discours mais qui portaient loin une vision africaine des relations internationales. Ces grandes voix se sont tues.
Et alors que le continent, de l’Afrique du Nord à la corne de l’Afrique, en passant par le corridor sahélo-saharien et la région des Grands Lacs sans oublier le Soudan, connaît des bouleversements majeurs, il faut se rendre à l’évidence : non seulement l’Union africaine ne joue pas son rôle mais elle est inaudible. Et il n’est aucun chef d’Etat africain en exercice qui ait le courage politique et diplomatique de s’exprimer sur l’évolution du monde contemporain et même du continent. Oh ! bien sûr, des discours il y en a ; des entretiens avec les journalistes aussi. Mais les mots qu’ils contiennent sont aseptisés et on ne sort pas de l’ornière du « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, vive la paix et le dialogue, la solidarité internationale, etc. ». Il suffit de lire ceux prononcés par les chefs d’Etat africains à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies pour se convaincre de l’inanité de ces mots ajoutés aux mots. Tant d’argent dépensé, « d’élites » mobilisées, pour raconter des fadaises, promettre « l’émergence » - nouveau leitmotiv de ceux qui sont pas loin d’être au fond du trou -, se féliciter les uns les autres… !
Il manque une grande voix à l’Afrique. Qui ose dire des choses différentes de ce que l’on entend partout et toujours ; et qui assume totalement son discours. Abdoulaye Wade a été, un temps, celui de son premier mandat, cette voix-là. Certes, on pouvait ne pas être d’accord, toujours, avec la forme et avec le fond, mais il osait s’exprimer sur des sujets « mondiaux » et donner un point de vue « africain ». Blaise Compaoré, bien que taiseux parmi les taiseux, a, lui aussi, laissé sa trace dans l’histoire de la diplomatie africaine et ses médiations ne doivent pas occulter ses déclarations, particulièrement dans Le Journal du Dimanche du 30 juin 1996 (« Mondialisation ou perdition ») et dans Le Figaro du samedi 6-dimanche 7 juin 1998 (« L’essentiel, pour nous, dirigeants, c’est de gérer l’histoire dans l’intérêt des populations »).
Mais tout cela est bien loin, très loin, et, désormais, on n’entend plus guère s’exprimer le président du Faso. On me rétorquera qu’il reste les actions menées : les médiations du Togo à la Guinée en passant par la Côte d’Ivoire ; l’engagement dans la recherche d’une solution au Darfour ; la présence diplomatique sur la scène francophone, africaine et moyen-orientale (je pense au Qatar) ; l’image forte (bien que quelque peu déglinguée aujourd’hui) d’un Burkina Faso « pays des hommes intègres »… Mais le pays est loin de capitaliser le résultat de ses actions continentales et internationales et si chacun pense, à Ouaga 2000, que la « machine tourne bien », elle tournerait mieux encore (si tant est qu’elle tourne bien) s’il y avait quelqu’un pour dire où veut aller le pays et comment il veut y aller ; et dans quelle Afrique et quel monde il doit ainsi tracer sa route. Au temps de la « Révolution », il y avait le DOP, le « discours d’orientation politique » ; aujourd’hui, on gère le quotidien, on ne « gère plus l’histoire ».
Alors que l’Union africaine est devenue le forum de la désunion (à commencer par celle des deux têtes de « l’exécutif » : son président, Obiang Nguema Mbasogo, et le président de la commission, Jean Ping), Ouaga 2000 vient de nommer un nouvel ambassadeur à Addis Abeba. Pour gérer les relations avec l’Ethiopie ainsi qu’avec l’UA et la CEA et une flopée de pays limitrophes (autrefois, cela allait de la Somalie à l’Angola et de l’Afrique du Sud à la République démocratique du Congo !).
Alors que Djibril Bassolé est confronté à la pression de l’administration centrale du « Quai d’Orsay » burkinabè - trop de « politiques » recasés dans la diplomatie au détriment des diplomates de carrière - et que Compaoré et les « compaoristes » sont, eux, de leur côté, confrontés au retour au bercail de quelques anciennes têtes d’affiche (Paramanga Ernest Yonli arrive de Washington et Salif Diallo de Vienne ; on attend, aussi, le retour d’Ottawa de Juliette Bonkoungou), Ouaga 2000 a choisi de confier Addis Abeba et tout ce qui va avec à une femme qui est, en quelque sorte, un « produit mixte » : diplomate de carrière, ministre éphémère (plus de trois ans quand même !). Minata Samaté-Cessouma, ministre plénipotentiaire, 1ère classe, 14ème échelon, vient donc d’être nommée ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire auprès de la République fédérale démocratique d’Ethiopie, représentant permanent auprès de l’Union africaine et de la Commission économique africaine.
Née le 14 juillet 1961 à Ndorola (province du Kénédougou), dans l’Ouest du pays, à un jet de pierre de la frontière avec le Mali, Minata Cessouma, épouse Samaté (en l’occurrence le journaliste Kloutan Samaté, ancien présentateur du 20 h à la télévision nationale), est diplômée de l’ENAM (section diplomatie) et de l’Institut international d’administration publique (IIAP) de Paris (section relations internationales), titulaire d’une maîtrise en sciences juridiques (option droit public) et d’un DESS en administration internationale (décrochés à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne).
Addis Abeba ne sera pas une découverte pour elle ; elle y était premier conseiller d’octobre 1997 à août 2003 après avoir été chef du service « organisations internationales » au ministère des Affaires étrangères de 1995 à 1997. Conseiller diplomatique du président du Faso, elle entrera dans le premier gouvernement de Tertius Zongo, le 10 juin 2007. Ministre déléguée à la Coopération régionale sous l’autorité de Djibril Bassolé, elle remplaçait Jean de Dieu Somda. Elle le restera tout le temps où Zongo sera à la primature. La nomination de Luc Adolphe Tiao comme premier ministre, le 18 avril 2011, et son remplacement par Vincent Zakané (Directeur de cabinet du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération régionale) l’ont rendue disponible. Bassolé, qui l’avait eue comme « déléguée », revenant à la tête de la diplomatie, lui offre ainsi sa première ambassade et non des moindres ; mais ayant déjà une expérience éthiopienne et ayant eu à gérer les dossiers de la coopération régionale burkinabè, elle est bien armée, professionnellement, pour assumer sa nouvelle tâche.
Si son mari est un communicateur habitué à être exposé, Minata Samaté a la réputation d’une femme « très discrète ». « Il est difficile de trouver un membre du gouvernement plus effacé » écrivait Lounga dans le Journal du Jeudi (17 juin 2010). A Addis Abeba, elle va prendre la suite d’une figure emblématique de la diplomatie burkinabé (« un monument de la diplomatie burkinabè et africaine » écrit Grégoire B. Bazié - lefaso.net - vendredi 23 septembre 2011) : Bruno Nongoma Zidouemba, qui n’a pratiquement jamais été autre chose que diplomate et qui l’a été pendant vingt sept ans en Amérique, en Europe et en Afrique !
L’arrivée de Minata Samaté dans la capitale éthiopienne et, surtout auprès de l’UA, laisse espérer qu’elle pourrait y être le poisson pilote d’un Blaise Compaoré qui, agacé par les errements de l’organisation panafricaine mais, dans le même temps, débarrassé de l’écrasante (parfois « éructante ») tutelle que Kadhafi faisait peser sur l’UA, se déciderait à devenir cette grande voix d’Afrique qui manque au continent. Ce n’est qu’une espérance ; mais qui consacrerait cette formidable évolution « sociale » qu’a connue la terre voltaïque depuis qu’elle est entrée dans l’histoire du continent il y a bien plus longtemps que ne le pense Nicolas Sarkozy.
Jean-Pierre BEJOT
LA Dépêche Diplomatique
Vos commentaires
1. Le 27 septembre 2011 à 19:18, par peace En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Voilà une ’’dame complète’’. Rien à dire. Elle a la diplomatie en elle. Le Burkina peut se réjouir d’avoir des hommes (Djibril Bassolé et bien d’autres certainement ds l’ombre) de leurs caractère et trame dans sa diplomatie.
Bon vent, chère vaillante femme intègre !
Le 28 septembre 2011 à 09:42 En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Comme quoi on peut avoir du charme et être tres competente. Plein succès Minata.
2. Le 27 septembre 2011 à 19:45, par burkinabè des USA En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Jolie femme ; quelqu’un aurait son numéro pour moi ? je suiss complètement chaos
Le 28 septembre 2011 à 07:22 En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Vous avez raison mon frere.Elle est vraiment digne d`etre courtisee.Moi aussi je veux son numero.
Le 28 septembre 2011 à 09:56, par Raogo En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Enfoirer,Suppot de satan c est une femme marie Nom de DIEU pendant que tu es Enfoirer file donc le numero de ta femme a son mari.
PS : Webmaster je suppose que tu as une femme dans ta vie alors publier mes mots a cet Enfoirer de soi dissant burkinabe des USA courreur de femme d autrui.
Le 28 septembre 2011 à 12:18, par Tapsoba En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Tu n es pas loin d un obsédé sexuel et j ai peur pour ton entourage.Ton obsession est si forte que tu te rends même plus compte qu il s agit ici d une femme mariée à un Samaté.Tu fais pitié mon frère.
Le 28 septembre 2011 à 14:05 En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Elle est belle deh.....
3. Le 27 septembre 2011 à 20:13 En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Encore du griotisme avec un article sans saveur,ni d’interêt mais par contre je suis tombé sous le charme de Minata.Elle me fait kiffer grave
Le 28 septembre 2011 à 10:53 En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Très belle et intelligente .
Courage !!!!
Le 28 septembre 2011 à 11:31 En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Vous avez raison ; je crois que même si on est homosexuel et on rencontre une telle femme, il n’y a rien à faire, on change d’orientation.
4. Le 27 septembre 2011 à 21:05, par nikiema gerard En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
je suis tres content de cette nominations felicitations aux autoritès
5. Le 27 septembre 2011 à 21:23, par PHONE NUMBER En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
voici son numéros personnel.+22660603250-32 appeler de suite même. Elle n’attend que toi.
Ais la gentillesse de me dire merci.
6. Le 27 septembre 2011 à 22:24 En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Si moi j’etais son mari, j’allais pas lassier cette femme -la entrer dans le cercle des grands. Ca coute cher pour les jolis femmes souvent. Et surtout pour leurs maris a qui on fait pousser des cornes- champignons, tellement c’est beaucoup.
7. Le 27 septembre 2011 à 23:55, par sidsoman En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Jolie, simple et compétente ! C’est ce qu’on demande aux femmes burkinabè ! Pas des ’gueulardes’ incompétentes, tueuses d’enfants et d’autres femmes dans nos hôpitaux !
Bon vent ma soeur ! J’envie ton mari (tout aussi simple et compétent). En effet, qui n’a pas connu Kloutan Samaté, présentateur à la TNB, spécialiste du conseil des ministres !
Sidsoman
8. Le 28 septembre 2011 à 00:03, par Samuel Kiendrebeogo, Washington En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Attention les gars, attention webmaster, sachons raison garder. Certains ne le savent peut-être pas mais, dans les pays bien ordonné, faire des commentaires (favorables ou défavorables) sur l’apparence physique d’une personnalité publique (homme ou femme) est considéré comme une intrusion insupportable dans sa vie privée, voire une grave offense, par conséquent passible d’un procès pour outrage à l’autorité. Un président n’a pas à être beau ou pas beau, on lui demande d’avoir les qualités lui permettant de résoudre les problèmes posés. Evoquer la beauté d’une femme ministre ou député revient en dernière analyse à rechercher des compensations permettant de dissimuler des carences rédhibitoires. Parler de « femme complète » est tout aussi suspect.
Le 28 septembre 2011 à 15:16 En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Même pour Abdoulaye Wade, lui il n’est vraiment pas beau toi aussi !
9. Le 28 septembre 2011 à 02:35, par crac crac BOUM En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
@ burkinabé au USA : "enfoiré", on te dit de laissé un commentaire sur l’article mais toi tu ne vois que la beauté de la femme. Y a vraiment qu’aux USA qu’on trouve de pareils pervers sexuel (DSK,...). Mais saches seulement que si DSK a pu rejoindre son pays(la France) c’est parce que de 1, il avait toujours quelques valeurs français (et nous au Burkinabé, on apprends dès le jeune age à ne pas baver sur femme d’autrui...), de 2, il n’était pas laveur d’assiettes chez l’oncle SAM(pas comme certains...), de 3, a bon entendeur "SALUT".
10. Le 28 septembre 2011 à 03:44, par ZOODNOMA En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Monsieur BEJOT,l’afrique n’aura plus jamais ces grandes voies dont vous semblez si nostalgique. Because,elles sont traitees de tous les noms d’oiseaux dont vous, les journalistes,avez le secret. Vous vous contentez des depeches des agences occidentales qui mettent tout en oeuvre pour saper toute vision contraire aux interets de leurs pays,a leur culture,a leur vision et que sais je encore. Ceux qui osent sont traites de faux panafricaniste, de populiste et autres. Nous ne faisons jamais front avec ces grandes voies pour porter haut la voie de l’afrique. Nos devanciers doivent se retourner dans leurs tombes en voyant, comme vous le dites la direction prise par l’afrique. Eux, qui ont combattu les mains et les pieds nus pour empecher la penetration coloniale. Apres avoir presse nos dirigeants comme du citron, on leur demande de degager. S’il tarde a le faire, on arme quelques bandits et on leur trouve un pretexte pour attaquer les institutions.Quand celles ci se defendent, on dit qu’il a tuer des civils. Et comme ils ont les medias les plus vus ou ecoutes, aides en plus de quelques pseudo intellectuels locaux qui ne pensent qu’a leur famille nucleaire, le tour est joue. L’afrique est recolonisee. Si vous avez ecoute Jean PING dans l’emission l’invite de l’actu sur RFI, vous ne me direz pas le contraire. Je le cite. On nous a dit de trouver un pays d’accueil pour Kaddaffi, nous avons trouve quelques pays et nous les avons informe, kadaffi etait d’accord pour partir. Ils ont dit qu’il etait hors de question et qu’il faut qu’il degage. Fin de citation. En langage diplomatique, nous allons l’apprehender pour le remettre a notre justice la CPI. Je vous assure que j’ai eu de la compassion pour Jean PING ce jour. quelle voie s’est elevee en afrique pour dire ca suffit. ZUMA qui s’opposait a l’intervention militaire de l’OTAN, comme partout ailleurs en afrique a ete traite de defenseur de causes perdues par une bonne partie des medias. je ne pourrai en ces quelques lignes, donner les raisons probables du mutisme des grandes voies.
11. Le 28 septembre 2011 à 09:57 En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Quelle belle femme ! Je peux avoir son portable !
12. Le 28 septembre 2011 à 10:53, par simien En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
bravo madame pour votre nomination a ce poste
je vous suis depuis que vous étes au ministére des affaires étrangéres, et je vous apprecie beaucoup
restez comme vous etes, forte de caractére, honnete et sincére
merci et que dieu vous guide dans vos fonctions nouvelles
Le 28 septembre 2011 à 17:38, par minima En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Merci au Président du Faso pour cette marque de confiance à des femmes discrètes et très efficaces ; toutes mes félicitations à Mme Minata SAMATE/CESSOUMA. Beaucoup de courage à toi et que le Dieu Tout Puissant t’accompagne dans tout ce que tu entreprendras. A ceux qui envoient des mails bizarres,je vous demande d’encourager cette dame qui a émergée parmi tant d’autres ; à ceux qui pensent qu’elle a déjà servi à Addis-Abeba et qu’on devra envoyer d’autres, PATIENCE car votre tour arrivera à coup sûr !Merci
13. Le 28 septembre 2011 à 11:05, par Rabi. En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
ette femme a deja servi a Addis et elle y repart encore. J voudrait u on me prouve qu il n y a que elle seule qui puisse condire la diplomatie burkinabe a Addis Abeba parmi les 14-16 millions de burkinabe que nous sommes. c est toujours kle memes qui sont reconduits. pauvres de nous !
14. Le 28 septembre 2011 à 11:24, par wendbenedo En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Vous êtes tous malades vous de la diaspora ! C’est une femme mariée et bien respectable ! pour son contact, passez par son mari ou la presidence du Faso qui l’a nommée !
Le 30 septembre 2011 à 07:34 En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Wendbenedo, qui t’a dit que ce type est de la diaspora. Ce qui est chez les mossis est ce qui est chez les peulh. Comment peux-tu généraliser ou stygmatiser la diaspora globalement sans discernement ? réponds s’il te plaît pour t’excuser car tu as blessé sans le savoir les burkinabé de la disapora intègre.
15. Le 28 septembre 2011 à 12:25, par Mamadou En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Bon courage à vous Minata
16. Le 28 septembre 2011 à 12:50 En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
si je pouvais etre une mouche dans la salle de bain de minata ??????
Le 28 septembre 2011 à 18:47, par Chahulos En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Félicitations à Mme SAMATE ! Que la mouche de la salle de bain sache que celle-ci est régulièrement désinfectée au "ORO" ou "Kaltox" avant et après chaque bain.
17. Le 28 septembre 2011 à 13:24, par Peace En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
Voici l’adresse de la dame : tu fais un crohet au SIG (situé au rez-de-chaussez du Ministère de la Jeunesse,en face des ministères de l’enseignement secondaire et de l’éducation nationale). Voiiiiilà. Arrivé là bas, tu cherches seulement à voir l premier responsable de l’Institution en kestion(SIG). Quand tu le verras, dis-lui seulement que tu veux le numéro de la bonne dame. Apparemment, elle porte son nom....
C’est ma contribution pour mon sambiiga qui est trop fan d l dame
Le 30 septembre 2011 à 07:31, par Maître Paul KERE En réponse à : Minata Samaté-Cessouma, ambassadeur à Addis Abeba : L’occasion pour le Burkina Faso de faire à nouveau entendre sa voix sur la scène diplomatique africaine
A lire l’ensemble des commentaires, on ne peut qu’être consterné par certains messages et la moralité de leurs auteurs. Je me demande si certains burkinabé comprennent bien le sens de la qualification de "burkinabé". (Peuple intègre) J’exclue de mes critiques les mots de félicitations et de courtoisie de ceux de nos compatriotes et qui traduisent nos valeurs ancestrales burkinabé. En revanche, en ce qui concerne les messages "déplacés" "inopportuns" "inadaptés" et donc constitutifs de faute morale gravissime, j’en appelle à la retenue et au sens du respect d’autrui afin que chaque burkinabé, qu’il soit de l’intérieur ou de l’extérieur reste un vrai burkinabé. Je ne saurai terminer mon message de paix, de réconciliation et surtout de conscientisation sans adresser, humblement, mes vives féliciations à Mme SAMATE pour sa nomination par les autorités de notre pays qui lui ont fait confiance et lui souhaiter un bon courage dans l’exercice de ses missions dans cette partie de l’Afrique récemment et très souvent en proie aux guerres fraticides et à la famine subséquente. Paul KERE.