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Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

Publié le lundi 26 septembre 2011 à 01h09min

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Monsieur le Président et cher homo,
Je suis Blaise Compaoré, ton homo et camarade de classe à l’Ecole normale de Ouagadougou. Celui que vous aviez surnommé « Le Baron », qui se plaisait à frimer pour plaire aux filles. Je passe sur mes succès sentimentaux d’alors… Aujourd’hui, je gagne ma vie à Bulawayo, au Zimbabwe comme entrepreneur. Je t’écris par le truchement de Monsieur Ibrahiman Sakandé, des Editions SIDWAYA, de passage dans mon pays d’adoption ; j’espère qu’elle te parviendra là-bas à Kosyam. Je pense ainsi renouer le contact avec toi que j’ai perdu de vue voilà plus de deux décennies.

Te souviens-tu ? A l’école, les choses étaient déjà très claires pour moi. Je claironnais sur tous les toits que je voulais être effectivement un baron, un homme qui brasse des millions par jour et qui fait à peu près tout ce qu’il veut dans la vie. Aujourd’hui, c’est chose faite au-delà de ce que je souhaitais : je gagne beaucoup d’argent à Bulawayo, j’en place comme je veux et où je veux. Tout mon temps m’appartient, je le partage avec qui je veux. Je suis riche comme Crésus et libre comme le vent. J’essaie, toutefois, de vivre en homme raisonnable et non pas en « insensé favorisé par les dieux », comme disait Aristote des riches de son temps ? Pour l’essentiel, j’ai une famille à gérer et une vie à conduire.

Et toi ? Es-tu resté énigmatique ? A l’époque déjà, nul ne pouvait jurer sur tes projets et aspirations. Comment te portes-tu, toi qui as un pays à gouverner et des citoyens à satisfaire ? Parfois je t’admire, des jours je te plains, rarement je t’envie.

Te souviens-tu encore ? J’ai quitté le pays sur la pointe des pieds dès que j’ai entendu le premier coup de fusil qui venait sauver les Voltaïques. Il n’est pas en mon pouvoir d’adhérer à des vérités que des fusils annoncent et que des bombes imposent. A l’époque, tu étais calme comme une image de la Vierge Marie, personne ne savait que tu cachais derrière tant de candeur, des ambitions politiques de cette dimension, l’art de gouverner avec tact, le pouvoir de commander, l’habileté d’un fin conciliateur d’hommes et de peuples. Quand l’histoire et les douleurs qui l’accompagnent t’ont hissé au pouvoir, pendant une année entière, j’achetais chaque matin le journal, juste pour savoir si tu tenais bon.

Car il y eut une période où pour savoir qui gouverne en Haute-Volta, il fallait effectivement consulter au quotidien.
« Un, deux, trois, grève ou coup d’Etat », aimions-nous à dire. Ceux des plus jeunes de burkinabè qui n’ont pas connu l’époque de cette liberté pitoyable, parce que vaste et nulle, pensent aujourd’hui que leurs problèmes trouvent leurs sources dans la paix et la stabilité que leurs aînés ont chèrement acquises et conservées. Souhaitons, ici, que chaque génération puissent gérer ses affaires en corrigeant en elle ce qu’elle reproche à celles qui l’ont précédée.

Mais là où je t’admire le plus, c’est de savoir que tu fais un va- et-vient admirable entre le « tout » et les « parties » de ton peuple, entre les individus et le peuple. Quand je regarde ce qui se passe autour de Bulawayo, et non au Burkina où règne l’intégrité, je me demande souvent : à quoi bon ? A quoi bon être un homme politique et de surcroît, assumer les fonctions de Président de la République ? C’est un métier sans avenir. Entre tous les inconnus connus et les connus inconnus qui se bousculent autour de toi, qui est qui ? Qui veut quoi au juste ? Parfois, j’ai la frousse à ta place. On oublie bien vite ce que l’on a, on hurle de rage après ce qui nous manque.

Et parmi nos concitoyens, certains confondent les dures lois de la condition humaine, les revers des situations sociales et l’inattendu qui se cache dans la psychologie de l’homme pour en faire un et un seul acte d’accusation contre les gouvernants. « Ils n’avaient qu’à… »
Quant à ton apostolat de la réconciliation pour l’Afrique de l’Ouest et même pour l’Amérique et l’Europe, je me suis souvent dit que tu en faisais trop. J’ai fini par lier cette débauche d’énergie à ton tempérament sportif, à ton besoin de gagner pour le plaisir. Je me trompe peut-être, mais je ne craindrai pas de dire que ceux qui vont te donner du fil à retordre, c’est justement ceux à qui tu as tendu un fil amical pour les sortir de quelque bourbier.

En Afrique, on n’a jamais retenu dans un conte qu’une hyène s’est enrichie en vendant des brochettes. Et pourquoi attendre de ceux qui ne parlent que le langage des armes, de te soutenir pour bâtir la paix dans ton pays et ton continent ?

Bref, j’ai eu ce que je cherchais depuis ma jeunesse : « Etre baron. » Toi, tu as cherché ce que tu as eu » : conduire ton pays vers le développement. Bon courage et succès dans ce que tu fais.
Mon bonjour aux autres copains de l’école, du moins ceux que tes multiples activités te permettent de rencontrer.
S’il t’arrive de passer par Bulawayo, fais-moi un signe, comme dit la chanson que tu aimais à fredonner.

Ton promo :Blaise Compaoré dit « Le Baron »Entrepreneur à Bulawayo

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 26 septembre 2011 à 06:35 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    J’ai lu et relu ce papier d’ un ami a un ami, mais je ne comprends pas l’ objectif. Honnetement. Je ne comprends pas beaucouip l’ ironie, si ironie il y a . Aimez- moi a decrypter ce langage trop sybillin pour un tare comme moi.

  • Le 26 septembre 2011 à 09:36, par Sanon En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Qu est ce que Sakande veut a travers cet article ? Est necessaire de le publier ?

  • Le 26 septembre 2011 à 09:37, par kankan En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Du n’importe quoi. C’est vide. Que de la platitude. On ne retire rien dedans.

  • Le 26 septembre 2011 à 09:41, par BiBI En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Bonjour,
    Je ne sais pas qui de Mr COMPAORE ou de Mr SAKANDE écrit cette belle lettre à Mr le président, j’espère qu’il la lira lui-même et qu’au delà de le faire sourire elle lui donnera quelques instants de profonde réflexion. Car pour ma part tout est dit dans cette lettre.

    Bon courage Mr le président.

  • Le 26 septembre 2011 à 10:18, par sans façon En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Monsieur le Barron
    dit à votre promotionnaire ce que ses conseiller ne peuvent pas lui dire.
    le peuple Buekinabè l’aime mais c’est dans la nature des hommes ils veulent un changement. une alternance......
    j’ai une vaintaine d’année mais je n’ais connu qu’un seul chef d’Etat et si je n’ais pas la chance de vivre pendant longtemps je risque de ne pas en connaître un autre.
    Barron votre promotionnaire est bon , très bon même mais il s’avoir quitter une scène.

  • Le 26 septembre 2011 à 10:27, par L’unique En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Encore un griot de plus pour Blaise. Messieurs de Sidwaya, c’est bien dit "Lettre de Bulawayo a Blaise Compaore, President du Faso", c’est pas une lettre peuple Burkinabe donc de ce fait elle ne peut etre l’editoral du "journal de tous les burkinabes". Il ya trop de sujets et de faits dans ce pays, alors informez nous au lieu de nous pourir la vie avec ces griots d’un genre nouveau.

  • Le 26 septembre 2011 à 10:30, par Gorgui En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Mon cher ami, vous auriez dû envoyer cette lettre via le Ministère des affaires étrangère ! C’est une affaire privée entre vous, les 2 Blaise COMPAORÉ. Donc, pas besoin de la publier ici ! ! !

    Par Gorgui

  • Le 26 septembre 2011 à 10:31, par Gorgui En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Voilà encore ! ! ! ! Un futur candidat aux élections présidentielles qui sort peti-à-petit du bois ! ! !

  • Le 26 septembre 2011 à 10:52, par jhon En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    arrête de faire le griot et vient bâtir le Faso c’est ça le burkinabè.
    on te réserve 100 h à la kompienga.
    néanmoins courage tout en espérant que tu reviendra au bercail un jour.

  • Le 26 septembre 2011 à 11:12 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Belle lettre Mr le "BARON" mais à mon sens inachevé. j’aurais en tous cas apprécié si j’avais été Blaise Compaoré président. Cependant , vous ne lui rendez pas service en ne lui conseillant pas de quitter le pouvoir avant que ce ne soit l’inverse.
    Et si vous tenez tant à le revoir en pleine santé afin de vous souvenir les bons moments passés, alors je vous conseille de lui envoyer une seconde lettre.

  • Le 26 septembre 2011 à 11:20, par Tapsoba En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Quel sens donné à une telle lettre ? Quel intétêt en la rendant publique ? Je me le demande mais sans réponse.

    • Le 26 septembre 2011 à 15:41 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

      Bonjour M. TAPSOBA, je me suis posé exactement les mêmes questions que vous. Mais je pense que cette lettre est une invite à un ami de savoir mettre une fin à l’exercice du pouvoir car, après l’exercice du pouvoir, il y a autre chose à faire. Mais voyez-vous le pouvoir comporte un certain mystère qui fait que celui qui l’exerce ne veut jamais le quitter jusqu’au jour où le pouvoir le quitte. Et là, les conséquences sont plus dramatiques. C’est ma contribution pour cette lettre écrite d’un ami, à un ami. Wait and see. Le sage.

  • Le 26 septembre 2011 à 11:26 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Monsieur le Baron que fatites vous de la Poste ?????
    Les lignes de nos journaux ne sont pas faites pour ca.
    Respectez le peuple

  • Le 26 septembre 2011 à 11:54, par bakiss En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    pourquoi ce monsieur croit que sidwaya est le meilleur canal pour jpoindre son pote . nous avons tous des relations personnelles avec le preident du faso mais nous pensons que cela doit rester vraiment personnel. attention aux manoeures souteraines . si vous avez les sous venez investir tranquillement au pays et Dieu vous le rendra au centuple. Un president du Faso est fait pour les amis qui veulent l’aider à construire et lutter contre la pauvrété dans son pays. nous en connaissons en Angola en Afrique du sud et partout dans le monde qui font mieux que ca.Que Sidwaya arrete de nous divertir.

  • Le 26 septembre 2011 à 12:25, par tiantigui En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Cher monsieur un peu de respect pour les Burkinabè.Tel que vous décrivez votre succès ,avez vous besoin de passer par Sidwaya pour adresser vos souvenirs d’enfance a votre camarade président que vous avez perdu de vue même s’il au pouvoir depuis 24 ans.
    Quand a vous monsieur Sakandé,ne trouvez pas que ça sent le gombos.Même si vos éditaux sont généralement dépourvus d’intérêt, c’est quand même honteux de les sacrifier contre une lettre que vous pourriez bien transmettre directement à la présidence.Moi en tant que simple burkinabè accepterez vous de publié ma lettre au PF à la place de votre éditorial ?

  • Le 26 septembre 2011 à 12:38, par Win En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Salut Blaise COMPAORE 1 ou 2 (je ne sais pas trop),

    Chez les mossi, on dit que qui s’aime bien aime aussi son homo ! Maintenant que vous êtes tous des « barons », en passant par des chemins divers, pourriez-vous laisser la place à vos jeunes camarades de classe ? Nous sommes maintenant dans nos et attendons notre tours !

  • Le 26 septembre 2011 à 12:48, par SOUGRI En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Cette lettre est accompagné de respect, de mélancolie, et enclin à un sentiment profond d’admiration.
    L’intérêt d’une telle lettre après 20ans de séparation d’avec un homme de la trempe de notre président reste très mitigé......
    Que croire !!! Qu’elle soit spontanée et volatile, juste de la part d’un homme nostalgique et fier d’avoir passé de bon moments avec notre président

    Pourrait-on penser que l’homme qui a rêvé d’être riche, poursuit son ambition en renouant contact avec son homo et promo dans l’espoir de pénétrer notre marché car n’oublions pas qu’il demeure hommes d’affaire. Et l’argent c’est tout comme le pouvoir, plus on en a, et plus on en veut.

    Peut être que riche et probablement puissant, ses fréquentations lui confèrent l’opportunité d’être aux secret des DIEUX à l’international, se qui nous amènerais à penser que c’est un avertissement (cf dernier paragraphe 6,7 quand il fait allusion à l’environnement de l’homme d’état et à la confiance .....

    Bref !cette missive a le merite de situer chaque chose dans son contexte reel :
    L’arrivée douloureuse au pouvoir,le grand combat et les grandes réalisations et un entourage (gangraine et betisier),qui masque l’amour de l’homme(BLAISO) pour son peuple(injustice et pillage).Paradoxe entre sa vision et le qui veut quoi bien enumeré dans la lettre.

    Blaiso a eu se qu’il veut comme le dit son ami,est très edifiant,car lui même à crée cette machine et a gardé trop longtemps le silence qui devrait l’etouffer.

    Il aime son peuple et celui ci en ai conscience ;voilà pourquoi nous attendons de lui,qu’il trouve les solutions pour que le spetre des longs couteaux qui se profile à l’orizon,soit que suspition .

    Des esprits plus nourris,porterons certainement biens meilleures analyse,c’est juste la reflexion d’un burkinabe moyen.

    Ni opposant ,ni du pouvoir !juste un partisan de la paix

    VIVE LE PEUPLE DU BURKINA ET SON PRESIDENT.

  • Le 26 septembre 2011 à 12:54 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Est-ce une mise en scène où une vraie missive d’un ancien compagnon de classe ? Si c’est vrai, je crois que Blaise COMPAORE "Le Président" aurait été bien enchanté de voir l’image de Blaise COMPAORE "Le Baron" après autant d’années de séparation.
    Juste pour rélever les limites de notre cher journaliste qui n’a pas eu la présence d’esprit de prendre une photo de la personne qui lui a remise la lettre. A la place de la photo du Prési, il aurait fallu mettre la photo du Baron.
    Sans rancune !!!

    • Le 26 septembre 2011 à 17:15, par X En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

      Je suis d’avis avec vous. Pourquoi le journaliste n’a pas posté la photo du monsieur qui a écrit la lettre. Il faut une enquête sur cette affaire. S’il s’avère que c’est une mise en scène, le journaliste devrait être poursuivi en justice pour avoir utilisé un média public pour divertir les citoyens.
      Sans rancune !

  • Le 26 septembre 2011 à 13:31, par le riche En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Aba, Aba, kabako, les Burkinabè surtout les forumistes internautes sont trop aigres. Ne vous en faites pas, Balise quittera un jour ou l’autre le pouvoir. Peut être pas forcement en 2015 mais ça arrivera un jour. En ce moment c’est vous même qui allez regretter son départ et le rechercher avec torche en plein jour. Dieu vous a donné un président qui arrive à faire un savant dosage entre la liberté, la paix, la justice, la diplomatie et le développement. Vous au lieu de remercier le ciel, vous piaillez tous les jours pour dénoncer de faux problèmes ou la longévité de votre bienfaiteur. Si c’est pas ingratitude wohoo, c’est aigreur ou tout au moins de la méchanceté. Dieu ne dort pas et sauva sauver Blaise.

    • Le 26 septembre 2011 à 14:10, par kiswendsida 1er En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

      Mais le riche c’est normal que les gens pensent ainsi, votre très vénéré Blaise doit surtout penser à l’avenir du burkina et passer le pouvoir à un autre du CDP, afin de pouvoir l’assister, n’oublier pas que l’histoire ne retient que les echecs, si blaise quitte le pourvoir on ne dira que ces echecs, mais bon je le trouve pas spécialement fort, il plutot d’une ancienne génération de gouvernant et il doit faire de la place aux autres, mais néamoins rester à coté pour partager ces expériences, 24 ans c’est beaucoup ; le riche n’oublions jamais pro ou anti blaise, on ne va pas bruler le pays à cause d’une divergence d’opinion, le pb avec blaise c’est que bcp de gens médiocre ont acquis des positions confortables dans la sociétes c’est ce qui revolte le peuple, il y trop ou il y’a eu trop de favoritisme et du reseautage, c grave

  • Le 26 septembre 2011 à 14:02 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Je me suis tellement concentrer pour lire cette lettre qu’a la fin je voulais tourner la page pour voir ou il va enfin parler "juste pour dire qu’il n’y a rien dans sa lettre"

    • Le 26 septembre 2011 à 15:50, par karim En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

      Un photo du baron aurait permi de savoir qu’il existe réellement et que ce n’est pas une lettre redigée par le service de communication ou le cercle pour nous dire que le "Boss" est plus qu’un baron. 0ui on a un pays dirigé par des specialistes en communication politique (Tiao, premier ministre, Alain Traoré ministére de la communication ect...). Cette lettre est sans objet fantaisiste et ludique,et quelqu’un se moque du peuple et de son intelligence

  • Le 26 septembre 2011 à 15:14, par Sidpawalemdé En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Cher monsieur Blaise Compaoré de Bulawayo, à vous lire, on est obligé de vous concéder au moins une chose ; c’est que pour être resté si longtemps au pays de Mugabé, un pays anglophone, vous n’avez pas moins conservé une belle plume dans la langue de Molière ; chapeau ! De même, en plus de réussir dans les affaires comme vous vous en fanfaronnez vous-même, on peut jurer que vous pouvez aussi être une belle plume laudatrice, ou un politicien louangeur comme il s’en trouve beaucoup sous les cieux d’Afrique pour monnayer leur talent pour aider ancrer des dictateurs.
    Sinon les peuples de Côte d’Ivoire, du Libéria, de Sierra Leone, de Guinée, d’Angola et que sais-je encore se souviennent de votre homonyme altruiste, faiseur de paix et réconciliateur des peuples comme celui qui a armé et attisé leur rebellion ou guerre civile pour exploiter pétrole et diamant...celui qui a tué son alter ego pour lui succéder au pouvoir il ya 24 ans, celui qui a bu la honte en fuyant cette année son palais cette année parce que chassé par son propre pé-carré...
    Et puis Monsieur Blaise Compaoré, vous avez fui votre pays quand vous avez entendu le premier coup de feu. Mais savez-vous que c’était pour vous refugier dans un Zimbabwé qui qui a conquis son indépendance, sa liberté et sa dignité au prix d’une effroyable guerre contre contre le diktatde l’impérialisme et de son souche le ’’rebelle’’ Ian Smith ? Tout ça pour retenir que la liberté coûte plus cher que la paix.
    Sdpawalemdé

  • Le 26 septembre 2011 à 15:32 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    L Homme de Bulowayo, quel etait votre camarade de promo surnommé Ravillac ? Pourquoi ce surnom à ce camarade ? Les jeux et surnoms dans les ecoles sont des signes evidents de jeunesse, de candeur et surtout de verité rarement dementis par la suite des evenements. Ne parlez pas contre votre pensée, surtout que notre Histoire politique burkinabe n est pas reluisante à raconter. Soyons plus courageux ou fermons la.

  • Le 26 septembre 2011 à 17:25 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Mon cher, au lieu de raconter votre vie privé venez en aide au faso, car le pays cherche les bailleurs de fonds pour nous aider avec les financements. Votre don serait le bienvenu.

  • Le 26 septembre 2011 à 19:46, par Pugsongyidasanem En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Personnellement, j’estime que cette lettre adressée au Président Blaise Compaoré initialement fut bien motivée ; mais a la relire attentivement, hélas, permettez-moi cher Mr l’homo du PF, qu’elle est dénudée de sens. Ou alors, dirai-je, vous manquez de tact vous êtes-vous montré volontairement ironique dans votre analyse de ce que vit votre ancien promotionnaire, Blaise Compaoré. En vous lisant, même juste a la fin, j’avoue que je suis restée sur ma faim.
    Comme l’ont bien soulignés d’autres internautes, j’ai du mal a suivre votre résonnement.
    De grâce, en cette période, si vous n’avez rien de substantielle a dire au Président, prière vous abstenir, du reste, épargnez-nous de telle missive.

    Pugsongyidasanem

  • Le 27 septembre 2011 à 00:37 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Tu dis avoir beaucoup d´argent ? Il serait plus "retro" que t´appeler directement ton homo.

  • Le 27 septembre 2011 à 13:34 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Si ce n’est pas à cause de FASONET, son message allait passer inaperçu pour cause de manque de lectorat de sidwaya. Sidwaya a beau améliorer son site internet, consulter le site et vous verez qu’il ya peu de visiteurs à peine 100 lecteurs par jour c’est vraiment triste et ça pose le problème des médias publics qui ne traitent pas souvent les informations de façon objective mais selon les directives des autorités.
    Son journal a intérêt à changer de nom et peut s’appeler par exemple Ziriwaya qui veut dire littéralement l’heure du mensonge est arrivée ce nom pour coller bien avec la réalité

  • Le 27 septembre 2011 à 13:35 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    Je te conseille de rester labàs et de ne pas venir ici parce que ici c’est la merde !!!

  • Le 28 septembre 2011 à 08:50 En réponse à : Editorial de Sidwaya : Lettre de Bulawayo à Blaise Compaoré, Président du Faso

    JE SUIS DESOLE DE VOIR LES INTERNAUTES BURKINABE (je suppose) VOLER SI BAS. C’est à croire que les esprits sont bloqués et bouchés "anti-tout" qu’ils ne sont plus capables d’accueillir aucune nouveauté !!! Sidwaya le journal de tous les burkinabè a bien le droit de publier une telle lettre pleine d’humanité ! Tout n’est pas que politique, et la politique est d’abord pour plus d’humanité : merci pour cette lettre qui nous fait partager le sentiment ou le ressentiment de ceux qui ont de l’ambition pour les autres, et qui ont donner toute leur vie pour cela ! ZUT AUX AIGRIS BORNES !!!!

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