Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
La situation politique que le Burkina-Faso a connue, et qui est à présent sous l’effet d’une accalmie relative, a été analysée par beaucoup comme le chant du cygne pour le pouvoir en place. En effet, les événements qui ont agité notre pays ont coïncidé avec les révolutions qui ont eu lieu en Afrique du Nord. Profitant de ce que le regard du monde était momentanément posé sur l’Afrique, et désireux d’exploiter cet intérêt à leur profit, certains se s’ont empressés de crier à tout vent que la situation au Burkina était la même qu’en Tunisie et en Egypte. Selon eux, le peuple allait se lever comme un homme pour renverser un dictateur affaibli et déjà abandonné par ses puissants alliés étrangers.
Seulement voilà, ce qui devait arriver … n’arriva pas ! Les grands observateurs et connaisseurs de la vie politique burkinabé qui avaient juré que les carottes étaient cuites pour les pontes du pouvoir se sont retrouvés le bec dans l’eau. Comment ont-ils pu se tromper à ce point ? Il y a plusieurs raisons qui expliquent leur méprise.
En premier, l’opposition officielle a été incapable d’exploiter la situation d’instabilité à son avantage. Impatiente et désorganisée, elle s’est jetée dans la contestation, butée avec des revendications non seulement inachevables dans l’immédiat mais surtout très dangereuses. Qui plus est, elle l’a fait avant même de s’assurer que le peuple la suivait. Résultat : une manifestation contre le régime qui a été pour ainsi dire ignorée par la population. Cette manifestation qui, nous disait-on, allait rassembler des milliers, fut un flop. Sans parler du refus des syndicats d’y prendre part. Un criant désaveu ! Le tout a donné au régime en place l’impression qu’il n’avait rien à craindre de cette opposition-là, et aurait pu lui donner la dangereuse illusion d’être, après tout, toujours aussi fort et invincible.
Et puis, il y avait les militaires, agissant en petits groupes apparemment isolés, dont les revendications, elles-mêmes n’étant pas clairement énoncées, ont donné lieu à maintes supputations. Etaient-ils dans les rues pour des raisons de soldes ? Cherchaient-ils à protester par rapport aux conditions d’inégalité au sein de l’armée ? Ou, étaient-ils instrumentalisés par des forces œuvrant dans l’ombre et cherchant à renverser le pouvoir en place ? Personne ne savait répondre à ces questions. Mais très vite une chose est devenue claire : les militaires et l’opposition ne partageaient pas le même combat quel qu’il fut. En effet, l’opinion internationale les voulait au coté du peuple, tels ces militaires en Egypte que les medias nous montraient comme ne faisant qu’un avec le peuple, pour un moment … Mais au Burkina, la réalité était tout autre. Au final il semble qu’ils étaient surtout préoccupés par des revendications catégorielles.
Et que dire du manque d’encadrement des jeunes en colère ? Ces lycéens et étudiants qui manifestaient dans les rues soutenant leurs professeurs qui demandaient de meilleures conditions de travail. Eux avaient des revendications définies. Et avec le meurtre de Justin Zongo, le Burkina s’est embrasé, leur combat a pris des dimensions inattendues et tout à coup semblait avoir la capacité de faire trembler le régime. Mais très vite d’autres se sont appropriés ce combat et l’ont utilisé pour avancer leurs propres intérêts et ambitions, et le mouvement de ces jeunes, avec tout son potentiel, est retombé comme un soufflet.
Finalement, une autre raison, et pas des moindres, que les grands politologues et les grandes rédactions internationales n’ont pas vu, est celle de la sensibilisation préalable des Burkinabés aux réformes et leur adhésion dans la majorité à s’y prêter. Pour le Burkinabé, ce qui compte avant tout, c’est une amélioration de sa situation socio-économique, davantage d’emplois, une meilleure redistribution des ressources et une couverture sociale. En un mot, des réformes pour que l’on évolue vers un système dans lequel le gouvernement prend soin de tous les citoyens sans favoritisme. Pourquoi essayer d’obtenir ces changements par la violence si l’on peut emprunter la voie de la discussion et du compromis ? A qui la violence, le chaos et la confusion bénéficieraient-t-ils ? Pas à ce burkinabé-là, c’est certain et il le sait.
En fin de compte, il n’y avait pour ainsi dire aucune cohésion dans ce qui semblait pourtant de l’extérieur être le début d’un mouvement populaire contre le régime. Les revendications des militaires étaient différentes de celles des étudiants, qui elles-mêmes étaient différentes de celles de « l’opposition » ainsi de suite ….
Cette situation a donné du répit au régime. Tenant compte de l’exacerbation des passions et avec l’aide d’autres acteurs de la vie politique et sociale, inquiets de préserver la paix, il a choisi le chemin de la sagesse, en l’occurrence, celui des réformes en commençant par créer le CCRP. Et celui-ci, une fois son rapport déposé, a résisté aux multiples assauts pour le faire couler, pour que l’espoir existe toujours au sein du peuple pour régler son différend national par le dialogue. C’est cette leçon qui doit être bien comprise par les observateurs de l’extérieur, mais aussi par nos propres dirigeants.
Fanta
San Finna
Vos commentaires
1. Le 2 septembre 2011 à 05:07 En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Rira qui rira le dernier
2. Le 2 septembre 2011 à 10:06 En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Fanta c’est quoi tu racontes comme ça, mauvaise analyse !!!!
En realité comme d’habitude "les peuples noirs" dont les burkinabè ratent l’histoire.
Le 2 septembre 2011 à 12:57 En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Tu peux ne pas être d’accord mais donnes des arguments, elle a fait une analyse que moi en tout cas je partage.
La Situation du Burkina était très différente.
Le 4 septembre 2011 à 16:24, par le metalleux En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
je partage l’analyse de fanta,la reaction des media internationaux a la crise me laisse penser que les gens sont impatients de voir le faso s enflammer,malheureusement pour eux et heureusement pour nous ,il n’en est rien.vivement que les burkinabè cultive la paix au lieu d’imiter platement certains pays comme la tunisie ou l’egypte avec lesquels nous ne partageons pas les memes realite.merci
3. Le 2 septembre 2011 à 11:07 En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Attendons la suite des évènements avec les réformes avant de tirer vos conclusions bien hatives ! car, rien, à la date d’aujourd’hui, ne prouve que la crise ne va pas resurgir dans les semaines ou mois à venir car toutes les causes liées à la crise restent pendantes. Je ne vois pas encore un début de solutions aux problèmes de fond connus depuis plus de 10 ans ! Et, puis, pourquoi parler de l’opinion internationale ici car elle n’existe pas sauf pour des journalistes comme vous qui la faite et la défaite tous les jours !
4. Le 2 septembre 2011 à 12:48, par tièkadiyé En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Fanta !
Je lis rarement votre canard mais, pour une fois j’aurais pu partager votre analyse. Seulement, l’alternance a échouée au BF pour la plus grande part, à cause de votre mentor, qui, comme son père avait trahi ses camarades, a trahi le Peuple. Il a oublié que nous ne sommes plus dans les années 60 où le simple fait de savoir lire et écrire était un gage de boulot dans l’administration.
Nous somme tous comptables de la situation actuelle du BF. Soit par cupidité, soit par lâcheté ou simplement par ignorance. Vous qui critiquez tous les jours, militez-vous dans un parti qui peut amener le changement ? Vos actes de tous les jours sont-ils conformes à la loi, au droit et àla morale ?
En tout état de cause, il serait plus sage de se taire si l’on est incapable d’aider a avoir le mieux. Voyez-vous, ceux qui jettent la pierre aux opposants, qui disent qu’ils ne mobilisent pas, je vous mets au défis de les inviter à quitter le CDP pour aller tenter l’aventure dans l’opposition. On verrait là, leurs capacités de mobilisation.
5. Le 2 septembre 2011 à 12:56 En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Moi je pense que les militaires s’étant attaqués aux commerces et aux populations ont fini par créer de la peur au sein de la population qui, à son tour, a fini par se terrer à la maison. Sinon il convient de se souvenir que le siège du CDP a été incendié, que l’Assemblée nationale a été atteinte, que plein de d’ediffices publics et de bus ont été brûlés par des manifestants civils. Ces faits sont têtus par leur signification, et peuvent quand-même constituer le signe que le soulèvement était plausible, n’eut été cette attitude difficilement décryptable des militaires. En tout état de cause, 24 ans de pouvoir d’un individu à la tête d’un Etat, même s’il s’agit du Burkina, dans ce monde moderne est trop. Si Blaise n’a pas encore compris cela, il n’a qu’à persister : verra qui vivra.
6. Le 2 septembre 2011 à 13:07, par yankee En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
votre analyse est on ne peut plus plate. vous ne voyez pas plus loin que le bout de votre nez,excusez moi !
Le 2 septembre 2011 à 23:22, par Ad’mada En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Evitez de mettre les pieds dans le plat. Qui parmi nous n’est pas content qu’il ait la paix dans ce Faso ? Le comité des nations de trahison (CNT) en Libye t’attend pour lancer l’assaut sur syrtre.
Le 3 septembre 2011 à 13:38, par youssou En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Mais il faut dire en quoi cette analyse est plate...
Moi je ne vois pas ce qu’il y a à redire les faits sont là , les réformes ont été faites c’est vrai et tout avance ainsi qu’il le faut pour le bien populaire...Alors ?
Je pense que les oiseaux de mauvais augure n’ont qu’à se taire un peu !
Quand on voit ce qui est arrivé ailleurs on a pas envie que cela se passe chez nous !
Moi je dis que le gouvernement a pris les bonnes mesures et doit continuer ainsi !
7. Le 2 septembre 2011 à 13:23, par MALICK En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
BONJOUR FANTA
AU FAIT JE VOULAIS JUSTE AVOIR UNE INFORMATION SUR LES CONCLUSIONS DU CCRP CAR ON NOUS PARLE SEULEMENT DE L4ARTICLE37 ET DE L4AMNISTIE DES DU BLAISO. PUIS JE AVOIR DE AMPLE INFORMATION SUR LES GRAND POINT. SI QUELQU’UN A LE RAPPORT QU’IL AIT LA GENTILLESSE DE M’ENVOYER CA PAR MAIL
nfarouck@ymail.com
MERCI
8. Le 2 septembre 2011 à 13:45, par FANTA ECLAIREE En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
QU’EST CE QUE TU EN SAIS TOI FANTA ? GARDES TES ANALYSES APPROXIMATIVES POUR TOI SEULE.
ON VOUS CONNAIT LES BURKINABE SONT DES PERSONNES A GEOMETRIE VARIEE C’EST VOUS ENCORE QUAND LE TYRAN DEBARASSERA LE PLANCHER QUI ALLEZ REVEVENIR A LA CHARGE.
ON NE VOUS ECOUTE PLUS OK ?D’AILLEURS KADHAFFI AUSSI AVAIT DIT LA LYBIE N’EST LA TUNISIE.
CE QUI EST EVIDENT IL RESTE ENCORE UNE CRISE AU BF MAIS LA DERNIERE. GOD BLESS !
Le 3 septembre 2011 à 13:41, par henri En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Il y en a qui prônent la guerre on dirait il faut se méfier des gens comme ça !
Ici le bien du pays passe avant tout et on doit faire fi de ses opinions politiques et des divergences pour s’unir pour lutter pour le bien du peuple ! c’est tout !
9. Le 2 septembre 2011 à 13:45, par FANTA ECLAIREE En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
QU’EST CE QUE TU EN SAIS TOI FANTA ? GARDES TES ANALYSES APPROXIMATIVES POUR TOI SEULE.
ON VOUS CONNAIT LES BURKINABE SONT DES PERSONNES A GEOMETRIE VARIEE C’EST VOUS ENCORE QUAND LE TYRAN DEBARASSERA LE PLANCHER QUI ALLEZ REVEVENIR A LA CHARGE.
ON NE VOUS ECOUTE PLUS OK ?D’AILLEURS KADHAFFI AUSSI AVAIT DIT LA LYBIE N’EST LA TUNISIE.
CE QUI EST EVIDENT IL RESTE ENCORE UNE CRISE AU BF MAIS LA DERNIERE. GOD BLESS !
10. Le 2 septembre 2011 à 15:38, par Ya maam la woto En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Cet article est d’un ridicule éblouissant qui témoigne de la cécité de celle qui l’a pondu.
L’envie de plaire à kossyam s’y invite de façon flagrante.
Prions Dieu pour que la sagesse visite plutôt Blaise pour qu’il daigne quitter le pouvoir en 2015. Faute de quoi je crains fort que les jours à venir soient plus pleins d’horreur que ce que nous avons vécu.Les règnes interminables fondés sur le favoristisme, la corruption, les simulacres de justice, l’impunité et toutes autres forme de gabégie et d’oeuvres malhonnètes finissent par emporter sur leur chemin de déclin les peuples et les quelques acquis, mettant à nu l’échec érigé pendant des années en un semblant d’étape vers l’émergence et un prétendu avenir tranquile. Prenons garde !!! Sans être un oiseau de mauvaise augure, j’ai peur. j’ai peur surtout quand chaque jour je lis dans les journaux des histoires de revoltes dans tel village, telle région, telle administration, telle entreprise, telle organisation. Ce sont les signes d’un raz-le-bol généralisé qui, si l’on n’y prend garde, emportera le régime, et le peuple avec. L’exemple de Kadhafi est édifiant. 42 ans de régne sans partage, mais 42 ans de travail tout même !! Mais 6 mois pour voir tout partir en fumée du fait d’un refus idiot de se conformer à la volonté de son peuple ou même d’y prêter une oreille attentive. Aujourd’hui, les peuples sont matures, les peuples voient ce qui se passent ailleurs et découvrent qu’ils ont aussi droit au bonheur et qu’il faut réjeter la platitude et l’immobilisme servis au quotidien par des gens dépassés, des gens d’une autre époque, des gens finis, des gens amortis, des gens qui n’ont plus rien à donner. Car en tant qu’humains nous avons tous un seuil de productivité. Et depuis quelques années déjà certains de nos dirigeants sont finis. Ils ne font que rééditer ce qui n’a jamais marché.
Oui, prenons garde, soyons assez intelligents pour ne serait-ce que jeter un coup d’oeil furtif chez les voisins proches et lointains.
Non, l’entêtement à servir un peuple qui n’en veut plus et qui n’en peut plus conduit à un suicide collectif.
Sur ce cultivons notre jardin, ayons foi en Dieu le père et tâchons de laisser à nos enfants un héritage valable, un héritage qui nous épargnera leurs malédictions !!
11. Le 2 septembre 2011 à 15:57, par ICEE En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
apparemment l’auteur de cet article s’est planté. Elle croit avoir avoir trouvé la solution ou qu’on a trouvé la solution. C’est le petit feu qui crée la grande flamme. Attendons de voir. Personne au burkina n’est fière de nos dirigeants ; ils ne cherchent qu’à maintenir leur pouvoir. La faiblesse de l’opposition ne les arrange pas, cela ne fais que les enfoncer davantage dans leurs erreurs.
Comme au burkina chaque responsable a reçu une formation en autosatisfaction donc ca va au pays. Un jour viendra où chacun regrettera de n’avoir rien fait pour émergence de la contradiction et du dialogue.
12. Le 2 septembre 2011 à 16:18, par Armel do En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
boujour Fanta. dans votre analise vous avancer que le BURKINA n est pas comme la TUNISIE ou L EGYPTE.tres bien dit mais sachez que c est l idee de ca n arrive que les autres qui va mettre mon beau FASO en flamme si les tenants du pouvoir ne font pas attention.POURQUOI il n ya pas eu de consensus sur l article 37 ? . le BURKINA est patient on donne la chance a ce regime de savior sortir .ce regime a 4 ans pour s eclipser des gestions des bien publique. alors Fanta inviter BLAISE COMPAORE a savoir SORTIR au lieu de l inviter a s enfoncer dans des trouble .
13. Le 2 septembre 2011 à 17:04 En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Fanta,
Ton analyse est de mon point de vue peu crédible.Tu fait des raisonnements trop plats.Ton analyse est trop simpliste de la situation que notre pays a connu et je puis te dire que c’est loin d’être fini car les problèmes posés n’ont pas encore été solutionné.Qui vivra verra !
14. Le 2 septembre 2011 à 17:06, par Mechtilde Guirma En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
« C’est cette leçon qui doit être bien comprise par les observateurs de l’extérieur, mais aussi par nos propres dirigeants ».
Si seulement il y avait cinq Fanta à Ouaga, rien que cinq !!!...Mais Dieu aidant il y en aura bientôt, car le Burkina n’en manque pas.
Courage Fanta.
15. Le 2 septembre 2011 à 22:00 En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Nulle comme analyse ; es-tu vraiment un journaliste ? ou bien un mandiant très mal inspiré ? Va travailler au journal "OPINION" car ta place est labà ; à moins que Sanfina et Opinio soient pareils.
Epargner nous de tels articles
Le 3 septembre 2011 à 13:34, par africain En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Cet article est très intéressant !
Je ne comprends pas les multiples critiques ? On a ici une vision très précise des évènements qui tend vers une solution de crise..C’est bien vrai c’est ce qui se passe actuellement au Faso ..
Maintenant la seule chose c’est attendons pour voir....
Tout n’est pas encore joué !
Les réformes doivent aboutir et vite pour montrer que le gouvernement a compris l’appel du peuple !
16. Le 3 septembre 2011 à 22:46, par simple En réponse à : Situation politique au Faso : L’opinion internationale s’est plantée !
Je suis désolé pour l’auteur de cet article vraiment désolé pour ce manque criarde d’une vrai vision de la situation du Burkina Faso.
Chère journaliste ne tromper pas les tenants de ce pouvoir, il peuvent servir autrement ce pays.Savoir Quitter un pouvoir n’est pas la fin du monde.N ’induisez pas en erreur les tenants du pouvoir actuel.Même un aveugle sans voir c’est que ça va pas. Il y a trop de signes.
Le Burkinabé est comme un boxeur qui attend le 10éme Round pour agir Bien au contraire prions pour que ce 10éme Round n’arrive pas.
D’ailleurs je reste persuader que le président Blaise pour son amour du pays et son honneur ne va pas chercher à finir comme Ben Ali, Moubarack ; Kadhafi ou bien d’autres. J’ai beaucoup d’estime pour ce monsieur mais j’ai du dégouts pour tout ceux qui l’ont trompé. Il partira du pouvoir et continuera à servir dignement ce Faso qu’il aime tant.
La sagesse va l’emporter car le monde évolue avec les générations.Il le sait.
Celui qui n’a pas compris tant pis pour lui.